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D3, LA CURE

MIRACLE

Les Méga-doses
Qui Guérissent

Jeff T. Bowles
Adapté de l'anglais par S. Osman

Ce livre est la propriété intellectuelle de


Jeff T. Bowles LLC
Tous droits réservés.
TABLE DES MATIÈRES

1. LE LIVRE EN BREF
Fait 1 :
Fait 2 :
Fait 3 :
Fait 4 :
2. L’HIBERNATION
Fait 5 :
Fait 6 :
Fait 7 :
Fait 8 :
3. LE SYNDROME D’HIBERNATION HUMAINE
Le syndrome de la réparation incomplète
4. L’HISTOIRE DE LA VITAMINE D3
Qu’est-ce que le rachitisme ?
Les 20 mg de vitamine D des années 1920
devenus 1 000 000 d’unités dans les années 1930
Quelle toxicité ?
L’importance de la vitamine K2
5.LA TOXICITÉ DE LA VITAMINE D REDÉFINIE :
VITAMINE K ET LE MÉCANISME MOLÉCULAIRE
Extrait intéressant de PubMed
Doses thérapeutiques, hypercalcémie et carence en vitamine K2
6. MÉGA-DOSES
Mon expérience dangereuse
Les résultats incroyables
7. VIEILLISSEMENT ET VITAMINE D3
Mon rat de Methuselah
8. EXPLICATION LOGIQUE ET ALTERNATIVE
DU VIEILLISSEMENT
L’énigme de la maladie d’Alzheimer résolue ?
9. LES DANGERS DE LA CARENCE
EN VITAMINE D3
10. UN REMÈDE POUR TOUTE MALADIE EN 30 JOURS
11. LA MEILLEURE OPTION DE TEST SANGUIN
Les résultats de mon déficit en vitamine D3 pendant toute la vie
Petite note secondaire intéressante
12. TESTEZ VOS NIVEAUX DE
VITAMINE D3 VOUS-MÊME
13. POURQUOI LE SOLEIL NE SUFFIT-IL PAS ?
14. COMMENT DÉTERMINER LA BONNE DOSE ?
15. CARENCE EN VITAMINE D3 ET CANCER
Autophagie
16. NOUVEL AJOUT À LA THÉORIE DU SYNDROME
DE L’HIBERNATION HUMAINE
Le diabète
NOUVELLES INFORMATIONS AJOUTÉES AU LIVRE INITIAL
Augmentez vos niveaux de testostérone avec la vitamine D3 ?
17. DIFFÉRENCES ENTRE LA VITAMINE
K1 ET LA VITAMINE K2
18. OBÉSITÉ
Informations supplémentaires venues des lecteurs
19. DIFFÉRENTES QUALITÉS DE VITAMINE K2
AVERTISSEMENT ! ATTENTION !
Les symptômes de la carence en calcium chez les femmes
Engourdissement et spasmes musculaires
Rythmes cardiaques irréguliers
Les convulsions et le coma
Douleurs arthritiques
Un mystère résolu
20. LONGÉVITÉ ET VITAMINE D3
Vitamine D et magnésium
Le parfait résultat au test de glucose
21. LA PÉNIBLE HISTOIRE ET LA PROMESSE INCROYABLE DE LA VITAMINE
D3 À HAUTE DOSE (article)
22. TÉMOIGNAGES
23. ANNEXES
AVANT-PROPOS
Lorsque j’ai commencé à écrire ce livre, je n’appréhendais pas
l’angoisse de la
page blanche. Je savais que ce serait facile et que je pourrais sans
aucun doute
le finir en seulement quatre jours. J’étais emballé et avais hâte de
partager les résultats de mon « expérience dangereuse » (selon les
dires des médecins) de l’année dernière.

Oui. J’ai effectivement écrit le premier projet de ce livre en 4 jours.


J’ai pris quelques notes sur mon expérience, puis j’ai ajouté les
observations de laboratoire aux notes journalières et à d’autres
informations, comme la théorie de l’évolution. Par la suite, j’ai
continué sans cesse à mettre à jour le livre avec des informations
plus récentes et parfois plus précises qu’auparavant. Ainsi, le livre
se lit plus comme un journal de voyage vers l’inconnu plutôt qu’un
guide de référence. Bien que certains puissent trouver le style
rébarbatif, je vous emmène avec moi visiter toutes mes expériences
des doses élevées de vitamine D3.
1. LE LIVRE EN BREF
Permettez-moi tout d’abord de vous donner de petites informations
afin d’aiguiser votre curiosité. Après toutes mes expériences, mes
recherches et mes réflexions sur la vitamine D3, je suis tombé sur
une théorie non seulement fondamentale, mais aussi élégante dans
sa simplicité.
Cette simple théorie peut être créée en combinant quelques faits et
un peu de bon sens. Elle peut expliquer la cause de la plupart des
épidémies que les humains doivent affronter à l’exception, des
maladies liées au vieillissement et aux mutations génétiques. Tout le
reste, semble-t-il, peut être curable par la médecine préventive ou
une cure de vitamine D3 à haute dose.
Je vais maintenant décrire les faits saillants de ce que j’appelle le
syndrome de l’hibernation humaine. Ce syndrome est une
conséquence du manque de soleil et prépare votre corps à l’hiver.
Fait 1 :
La vitamine D3 n’est pas une vitamine ! Il s’agit, en fait, d’une
hormone sécostéroïde qui affecte presque toutes les cellules de
votre corps en modifiant l’expression de vos gènes. Les récepteurs
de la vitamine D3 se trouvent dans toutes les cellules de votre corps.
Fait 2 :
La vitamine D3 est la forme active de l’hormone D que nous
recevons en grosse partie quand nous exposons notre peau nue au
soleil. Celui-ci transforme un dérivé du cholestérol qui est aussi une
forme inactive de vitamine D en hormone fonctionnelle D3. Il y a
quelques autres étapes mineures dans les reins et le foie, mais on
peut les ignorer pour le moment. Les vitamines D1 et la D2
constituent les formes beaucoup moins actives trouvées dans les
aliments irradiés par les rayons ultraviolets. Les vitamines D1 et D2
restent aussi des versions inférieures, synthétiques et faibles de
l’hormone d’origine animale D3. La vitamine D3 fait partie de ce
grand nombre d’hormones fabriquées à partir du cholestérol comme
point de départ. C’est la raison pour laquelle on les appelle des
stéroïdes. Elles comprennent des hormones telles que la vitamine
D3, la testostérone, les œstrogènes, la DHEA, la progestérone, le
cortisol, etc. Elles sont toutes très similaires, à l’exception de
quelques petites tournures ici et là.
Fait 3 :
Chaque personne génère beaucoup plus de vitamine D3 dans sa
peau pendant les mois ensoleillés d’été que durant les mois
sombres d’hiver. Bien que la vitamine D puisse provenir de
l’alimentation, autrefois notre vitamine D3 venait principalement du
soleil.
Fait 4 :
La carence en vitamine D3 est associée à de nombreuses maladies
et troubles métaboliques. Concentrons-nous uniquement sur
l’obésité, la dépression, l’arthrite et la sensibilité au rhume, pour
l’instant. Voici la logique : au printemps et en été, votre corps est
bien exposé au soleil, et vos niveaux de vitamine D3 sont élevés et
augmentent. Votre corps, d’un point de vue évolutif, croit que la
nourriture est abondante, les journées sont longues et tout est bon.
Donc, l’hormone du soleil D3 dit à votre corps qu’il est bon de brûler
beaucoup d’énergie et de faire avancer les choses, car les
ressources alimentaires et vitamines seront disponibles. Ainsi, à
partir de la D3, vous obtenez beaucoup d’énergie, restez actif, mais
aussi gardez votre faim sous contrôle. Vous êtes simplement en
bonne santé.
Lorsque l’hiver arrive dans les latitudes nordiques, les habitants du
nord ont une réduction spectaculaire de la production de D3. Le
signal hormonal du soleil diminue et votre corps tire la sonnette
d’alarme. C’est l’hiver et les ressources seront limitées. Pour
comprendre ce que je décris, vous devriez lire sur la famine d’hiver
de Donner Party quand les pionniers américains sont morts de faim
en 1846 sur les sentiers du Nevada durant un blizzard. Seulement
48 d’entre eux ont survécu sur les 87 du groupe de départ, après
s’être adonnés au cannibalisme.
Maintenant, si vous étiez un ours polaire, le déclin de la vitamine D3
serait le signal d’avertissement de votre hibernation imminente.
Chez les ours noirs, les niveaux de vitamine D3 sont d’environ 23
nmol/L en été (10 ng/mL), mais tombent à 8 nmol/L pendant
l’hibernation. Une forte augmentation d’une forme inactive de
vitamine D reprend le relais et dans le cas des ours, c’est une
pseudo-vitamine D2. Un ours qui se « prépare » à l’hibernation
mange autant qu’il peut pour mettre autant de poids que possible
avant l’hiver. Le poids des ours femelles augmente souvent de 70 %
du poids d’été le plus bas au poids d’hibernation. Beaucoup d’autres
mammifères hibernent aussi, y compris les ratons laveurs, les
mouffettes, les marmottes, les tamias, les hamsters, les hérissons et
les chauves-souris. La plupart des reptiles et des amphibiens
hibernent aussi et ne mangent pas pendant des mois quand il fait
plus froid et plus sombre. Apparemment, l’hibernation est une
réponse à l’évolution chez tous les animaux ou leurs ancêtres
évolutifs. Dans le même ordre d’idées, nous, les humains, avons
probablement des mécanismes anciens qui nous préparent à
l’hibernation, mais ils seraient semi-supprimés et enfermés dans
notre ADN.
2. L’HIBERNATION

Si vous ne croyez pas que les humains auraient pu évoluer à partir


d’un ancêtre hibernant, vous doutez probablement aussi que les
chiens viennent d’un ancêtre canin hibernant. N’est-ce pas ? Eh
bien, pensez au chien viverrin qui existe encore aujourd’hui et qui
est connu comme une version primitive des chiens.
Jetez un coup d’œil à cet extrait de Wikipédia : « Le chien viverrin
est le seul canidé qui hiberne pendant l’hiver. Au début de l’hiver, il
augmente sa graisse sous-cutanée de 18 à 23 % et la graisse
interne de 3 à 5 %. Les animaux qui ne parviennent pas à atteindre
ces taux de graisse corporelle ne survivent généralement pas à la
saison hivernale. Pendant leur sommeil d’hiver, leur métabolisme
ralentit de 25 %. Dans des régions comme l’Oussouri en Russie et
dans d’autres habitats où ces chiens ont migré, ils ne font
qu’hiberner pendant les fortes tempêtes de neige. En décembre, leur
activité physique diminue une fois que la profondeur de neige atteint
15-20 cm. Leurs activités quotidiennes augmentent en février
lorsque les femelles deviennent réceptives et que les aliments sont
plus disponibles. »

Nous devons donc nous poser la question suivante : le corps humain


aurait-il une réponse d'adaptation comparable à l'hibernation des
autres mammifères ? Nous savons que nous recevons peu de
vitamine D3 en raison de l’absence ou l’intensité moindre du
rayonnement solaire sur notre corps. Nous recherchons alors des
hydrates de carbone et prenons beaucoup de poids, puis nous
ralentissons pour conserver l’énergie précieuse : c’est à ce moment-
là que la déprime nous touche. L’évolution peut-elle nous ralentir en
nous poussant à tomber malades avec le rhume commun qui est
habituellement inoffensif ? Nous sommes normalement immunisés
en été, mais ce même rhume nous garde au lit pendant une semaine
ou plus en hiver, ce qui permet d’économiser des forces.
Est-ce que les douleurs arthritiques sont une autre façon de nous
ralentir pour nous garder au foyer et nous empêcher d’utiliser des
ressources énergétiques potentiellement limitées ? Je pense que la
réponse est oui ! L’évolution utilise les douleurs et maladies pour
éviter au corps les grands travaux de réparation en attendant de
meilleurs jours. L’évolution veut conserver les ressources rares pour
d’autres crises possibles à l’avenir. Imaginez que votre corps sache
que vous êtes sur le point de traverser une famine de trois mois. Si
vous vous cassez le bras, votre corps utilisera-t-il tout son stock de
calcium pour réparer votre bras ou le réparer juste assez pour
passer l’hiver ? Et si vous aviez un deuxième ou un troisième
accident pendant les mois de famine ? Auriez-vous assez de
calcium pour réparer votre bras cassé si votre corps avait utilisé tout
son calcium sur votre premier os cassé ? Cette hypothèse sera
développée plus tard.
Fait 5 :

Les personnes obèses, les personnes déprimées et les personnes


atteintes d’arthrite ou de douleurs musculo-squelettiques
généralisées présentent souvent une insuffisance en vitamine D3 !
Fait 6 :

Dans les prisons, 100 % de la population carcérale contractent la


grippe tous les ans. Dans une étude, tous les détenus qui avaient
reçu des compléments de vitamine D3 ont pu éviter même le rhume.
Fait 7 :
Depuis le début des années 1980, les médecins nous mettent en
garde contre les excès de l’exposition au soleil. La croissance
exponentielle des taux d’obésité et de nombreuses maladies comme
l’asthme et l’autisme en sont la conséquence.
Fait 8 :
C’est aussi depuis les années 1980 que sur les conseils des
docteurs, nous fuyons le soleil et utilisons des crèmes pour nous
protéger du cancer de la peau.
3. LE SYNDROME D’HIBERNATION HUMAINE

En résumé, j’ai développé une théorie simple à partir des faits cités
plus haut. Si vous ne recevez pas assez de vitamine D3, votre corps
s’attend à une possible famine d’hiver et essaie de vous faire
hiberner jusqu’à ce que le printemps et l’été reviennent. Ainsi, si
vous ne retournez jamais au soleil après l’hiver, vous souffrirez d’un
cas permanent de ce que j’appelle le syndrome de l’hibernation
humaine (SHH).

Le syndrome de la réparation incomplète, une théorie sous-


jacente du SHH permet d’expliquer les nombreuses maladies que
causent les faibles taux de vitamine D3. Par l’intermédiaire de ce
syndrome, nous conservons nos ressources essentielles et le corps
se répare sans gaspillage. Cette parcimonie conduit à des
réparations incomplètes et une maintenance minimale juste assez
pour pouvoir fonctionner.
Le corps restera dans ce mode jusqu’à ce qu’il obtienne le signal de
l’hormone du soleil qui lui dira que les ressources seront bientôt
abondantes. Après ce signal, le corps peut aller de l’avant et
terminer les réparations ou les refaire complètement en utilisant
toutes les ressources nécessaires. Si vous êtes comme la plupart
des gens qui ont des valeurs de vitamine D3 chroniquement faibles
toute l’année, vous finirez par devenir déprimé, obèse et malade.
Vous commencerez à accumuler des blessures qui ne guérissent
jamais et des problèmes de maintenance qui ne s’arrêtent jamais !
Et depuis que les médecins nous exhortent à rester hors du soleil et
à utiliser des crèmes au facteur de protection solaire (FPS) élevé,
une grande partie de la population américaine est devenue obèse.
La poussée des maladies telles que l’autisme, l’asthme et même les
allergies dangereuses aux arachides est évidente aussi.

Cette théorie des réparations incomplètes est le fil directeur que


nous allons suivre tout au long de ce livre. Maintenant, entrons dans
le vif du sujet.
4. L’HISTOIRE DE LA VITAMINE D3

Laissez-moi vous raconter l’histoire de la vitamine D3 en quelques


lignes.
En passant, elle était connue d’une certaine manière depuis
l’Antiquité, mais ce n’est qu’en 1650 qu’on a décrit la vitamine D
scientifiquement par le biais du rachitisme. Et c’est vers 1920 qu’un
scientifique a expérimenté sur des chiens d’intérieur et découvert
que donner aux chiens de l’huile de foie de morue les protégeait du
rachitisme. On a constaté que le rachitisme pouvait également guérir
par l’exposition des chiens à la lumière du soleil. Plus tard, on a
découvert que le composé actif de l’huile (de foie) de morue n’était
autre que la vitamine D3.
Qu’est-ce que le rachitisme ?

C’est une maladie osseuse qui se répandait dans les villes


européennes et américaines des années 1800 et débuts des années
1900. À cette époque, tout le monde travaillait à l’intérieur des
usines et personne n’allait assez au soleil. Les enfants atteints de
rachitisme finissaient par un retard de croissance avec des jambes
courbées aux os mous et faibles, alors que les femmes souffraient
de déformations sévères dans leur pelvis et devaient accoucher par
césarienne. Lorsque les adultes avaient le rachitisme, on donnait à
la maladie un nom différent, l’ostéomalacie, c’est-à-dire « mauvais
os ». Quand l’huile de foie de morue a corrigé la carence, on a
appelé la substance curative de cette huile « vitamine D » puisque
jusque-là, on n’avait découvert que les vitamines A, B et C.
La communauté scientifique ne savait pas que ce n’était point une
vitamine, mais en réalité une hormone vitale de type sécostéroïde
pour la santé de tous les êtres vivants. On trouve la vitamine D dans
l’huile de foie de morue, mais nous fabriquons aussi de la vitamine D
quand les rayons du soleil touchent notre peau nue. Il en va de
même pour les chiens, les chats, les rats et la plupart des êtres
vivants. D’une façon ou d’une autre, le soleil traverse la fourrure de
l’animal et l’aide à fabriquer de la vitamine D3. Les mammifères
poilus et les oiseaux sécrètent une substance huileuse qui
ressemble beaucoup à la vitamine D2 sur leur fourrure ou leurs
plumes. Le soleil atteint cette substance et le convertit en D3, et ces
animaux obtiennent alors le nécessaire lorsqu’ils se nettoient et
lèchent la D3.
Ainsi, la vitamine D3 sera bonne pour vos chiens, chats et autres
animaux de compagnie, comme c’est le cas pour nous. Je peux voir
d’ici comment la vitamine D3 (plus la vitamine K2 dont je parlerai
plus tard) devrait pouvoir aider tous les chiens de grande race qui
semblent si sensibles à l’arthrite. Donner des suppléments en
vitamine D3 dès la naissance va protéger vos animaux de
compagnie contre l’obésité.

La découverte de la vitamine D a été une percée médicale


extraordinaire. Les scientifiques ont compris que pour éviter les os
fragiles, le retard de croissance chez l’enfant ou la déformation du
bassin chez la femme, il fallait juste une petite dose de 400 UI/jour
de vitamine D3 ou quelques minutes au soleil.

Récemment, l’Institut de médecine des États-Unis a augmenté la


dose recommandée de vitamine D3 de 400 UI à 800 voire 2000
UI/jour alors que 400 UI avaient été l’allocation quotidienne
recommandée en vitamine D depuis longtemps. Seulement 400
UI/jour !
C’était juste assez pour vous empêcher de mourir ou de souffrir
d’une maladie débilitante des os ! Jusqu’en 2011, c’était
pratiquement tout ce que nous avions dans nos multivitamines.
Les 20 mg de vitamine D des années 1920
devenus 1 000 000 d’unités dans les années 1930

L’UI est juste une mesure conventionnelle pour les médicaments,


comme un pouce est à la longueur. Ça représente des unités
internationales et ne signifie rien de plus. Après la première édition
de ce livre, j’ai appris que les grandes compagnies pharmaceutiques
avaient inventé les UI pour embrouiller le public et l’empêcher de
prendre une dose élevée de vitamine D3.
Bien sûr, cela suppose une forme de conspiration de la part des
sociétés pharmaceutiques pour faire fuir les consommateurs qui
voudraient faire une cure de vitamine D3 et les pousser vers les
médicaments coûteux de pharmacie ! Je reviendrai sur ce sujet plus
tard.

Pour la vitamine K2 dont je parlerai plus tard, on utilise comme unité


le microgramme abrégé en µg, symbole du microgramme.
Cependant, parfois sous l'influence de l'anglais américain, on le voit
comme mcg. Les laboratoires sanguins mesurent votre vitamine D3
en nanomoles (nmol/L) ou nanogrammes (ng/mL) suivant le pays. Il
est donc nécessaire pour vous de savoir si vos valeurs sont en
nmol/L ou ng/mL avant d’interpréter vos résultats.
Quelle toxicité ?

Dès la découverte de la vitamine D, les scientifiques ont appris que


le corps ne pouvait pas éliminer l’excédent de vitamine D comme il
le fait pour la vitamine C. La vitamine D peut s’accumuler dans vos
tissus adipeux, si stockée à l’excès.
Dans les pires cas qui sont pratiquement inconnus, la toxicité de la
vitamine D peut favoriser les maladies cardiaques, peut « attaquer »
les articulations, causer des lésions rénales, donner l’hypertension et
l’excès de calcification ici et là. En revanche, la carence en vitamine
D (le rachitisme) provoque la perte du calcium des os qui pénètre
ensuite dans le sang, où il peut ici aussi gâcher vos articulations par
calcification arthritique. Mais en plus, le calcium peut causer des
maladies cardiaques et une longue liste incroyable d’effets néfastes
que vous lirez bientôt dans ce qui suit. Donc, quel que soit le choix,
un problème se pose, dites-vous ? Croyez-moi, tout de même,
lorsque vous aurez fini de lire ce livre, vous comprendrez que ce
n’est pas le cas. Vous avez probablement un taux de vitamine D3
trop bas pour une santé optimale. Oui, mes amis, vous avez une
déficience presque certaine à 99 % en vitamine D3. Si ce manque
de D3 n’existe pas aux normes d’aujourd’hui, il le sera à celles de
demain.

La toxicité à la vitamine D a toujours été très rare, et n’arrive qu’à


une personne qui ingère des quantités énormes de vitamine D,
comme environ un million d’unités par jour, pendant des mois. Dans
ces rares cas, lorsque ces personnes ont arrêté les doses massives
qu’elles avaient prises de façon accidentelle, elles sont presque
toujours revenues à la normale. Dans certains cas rares, ces gens
ont souffert d’une diminution de la fonction rénale et d’une
augmentation de la tension artérielle probablement dues à la
calcification des reins et des artères. La carence en vitamine K2
conduit à cette calcification des reins et des artères. Si ces cas
rarissimes se présentent comme des risques pour vous, attendez de
lire sur les dangers de la carence en D3 qui les surpassent bien.

La toxicité en vitamine D ne s’est jamais produite par exposition


prolongée au soleil. Voici les paroles de Susan Brown, docteure
spécialiste de l’ostéoporose aux États-Unis : « Les préoccupations
sur les risques de toxicité en vitamine D venaient souvent des
problèmes de pureté dans la production. Les soucis venaient aussi
de l’utilisation d’analogues synthétiques et la prise accidentelle de
doses extrêmement élevées (ou des personnes avec une
hypersensibilité à la vitamine D). Pour diverses raisons, la toxicité
pour la vitamine D est devenue une préoccupation exagérée, dont
l’étendue est maintenant en train de devenir énorme. De façon
rétrospective, les scientifiques savent maintenant que la toxicité de
la vitamine D est rare et provient généralement d’une consommation
orale extrêmement élevée, jamais de l’exposition au soleil. »

Dans mes recherches, j’ai lu tous les articles des revues


scientifiques publiées depuis 1967 jusqu’à aujourd’hui dans la base
de données PubMed. Je n’ai trouvé aucun cas de toxicité
documenté sur la vitamine D3 et la plupart des articles décrivent
des doses extrêmement élevées prises sans conséquence négative
sur la santé.
Les médecins ont partagé leur stupéfaction. Les résultats qu’ils ont
documentés contredisaient tout ce qu’ils avaient appris sur les maux
de la vitamine D à l’école de médecine. J’ai également découvert
que certaines personnes pourraient être dans un sous-ensemble
d’environ 5 % de la population qui sont plus sensibles aux doses très
élevées de vitamine D.
L’importance de la vitamine K2

Cependant, la nouvelle théorie qui prévaut implique que la toxicité


de la vitamine D est simple. Quand le corps a un déficit en vitamine
K2, les doses élevées de vitamine D provoquent certaines réactions
qui augmentent encore plus vos besoins en K2.
J’en déduis que peut-être ces 5 % de la population sont simplement
déficients en vitamine K2. Alors, juste un petit rappel ici. Si vous
décidez d’entreprendre une expérience « dangereuse » de hautes
doses de vitamine D3, CONTINUEZ, mais assurez-vous de prendre
également deux ou trois suppléments de vitamine K2 tous les jours.
Gardez à l’esprit que la vitamine K1 ne peut pas remplacer la K2.
La vitamine K1 aide à coaguler votre sang alors que la K2 conserve
le calcium dans vos os et hors de votre sang et de tissus mous.

Attendez ! Permettez-moi d’insister sur ce point une fois de plus


parce que j’ai reçu des courriels de gens qui prennent des doses
élevées de D3 sans prendre de vitamine K2. Ne prenez pas
beaucoup de D3 à moins que vous preniez également beaucoup de
vitamine K2. Le faire ne serait pas raisonnable. Pour doser la
vitamine K2, j’ai pris une gélule de « Super K » de Life Extension
Foundation (LEF) pour 10 000 UI de D3. C’est juste une supposition,
mais je n’ai eu aucun problème pendant mon expérience d’un an.
Encore une fois, ne prenez pas de dose élevée de vitamine D3, sauf
si vous les complétez avec de la vitamine K2 ! En fait, il existe deux
types de vitamine K2 : la MK-4 d’origine animale et la MK-7 d’origine
bactérienne. On dit que la MK-7 est bonne, plus forte, et que son
action est plus durable. La gélule Super K contient 1000 µg de K1
(probablement non nécessaire), 1000 µg de K2-mk4 et 200 µg de
K2-mk7.
Pour de plus amples informations sur l’importance de la vitamine K2,
je vous recommande vivement le livre de la Dre Kate Rhéaume-
Bleue, « Vitamine K2 And The Calcium Paradox ». Ce livre n’a pas
de traduction française, mais si vous pouvez le lire en anglais, vous
apprendrez plus que n’importe quel médecin sur le sujet.

Ce que j’ai retenu de cet ouvrage, c’est qu’avec les régimes


modernes, les carences en K2 sont tellement répandues alors que
cette dernière vitamine est nécessaire pour garder le calcium dans
les os et hors des tissus mous. Les caries et le besoin d’appareils
orthodontiques chez les enfants ne sont que des symptômes de la
carence en K2 pendant la croissance. Les animaux n’ont pas ces
problèmes de dents. Quant aux peuples qui vivent dans leur milieu
naturel, loin de la civilisation occidentale, leurs dents sont parfaites
et sans caries et tout ça sans nos brosses à dents et sans appareil
orthodontique. La déficience en calcium pendant la croissance
cause les mâchoires trop étroites. Ainsi, l'espace est limité pour que
toutes les dents trouvent leur place dans une mâchoire rabougrie.
Tout cela est une conséquence de nos régimes alimentaires
modernes déficients en K2. Les dents et les mâchoires tordues ne
sont pas normales chez ceux qui mangent un régime ancestral riche
en vitamine K2. La vitamine K2 est disponible dans de nombreux
magasins (d’aliments) biologiques et naturels et sur Internet. Si vous
êtes curieux de savoir où j’achète mes vitamines D3 et K2 au détail,
je les ai trouvés à Life Extension Foundation où la qualité est
exceptionnelle et les prix sont assez bons. Cependant, croyez-moi,
je n’essaie pas de vendre leurs vitamines. J’en ai également pris
d’autres, et elles sont en général toutes de bonne qualité. Si ça peut
vous être utile, un des lecteurs de ce livre a mis en place le site web
www.takeD3.com qui contient des liens vers les produits décrits ici.
Vous trouverez aussi sur le même site des articles sur la vitamine D3
et mes revues précédemment publiées et le tout gratuitement. Si
vous voulez les vitamines D3 et K2 vraiment à bon marché, vous
pouvez commander de grandes quantités de ces vitamines de haute
qualité en vrac sur le site Vitaspace. Vous pouvez acheter de la
vitamine K2 à seulement 16 $ le gramme. Vitaspace vend d'habitude
aux compagnies de vitamines qui encapsulent la poudre avant de
distribuer. Une fois mis en gélules, le gramme de vitamine de K2
peut vous coûter jusqu’à 6200 $ ! Vous pouvez voir toutes les offres
du site Internet et des instructions sur la façon de les contacter sur le
site takeD3.com.
Flash Info : Dans de rares cas, certaines personnes peuvent être
sensibles à trop de vitamine K2, en particulier au type mk-7. Si vous
faites une recherche sur Google avec les mots « vitamine K2
palpitations cardiaques ou rythme cardiaque accéléré » en anglais,
vous pourriez lire des témoignages. J’ai réfléchi à ce problème et fait
plus de recherches sur le sujet. J’ai finalement compris que les
symptômes de consommation massive de vitamine K2 sont les
mêmes symptômes que ceux de la carence en calcium.
Apparemment, prendre trop de vitamine K2 chez certains prélève
beaucoup de calcium du sang et des tissus mous et c’est ainsi
qu’apparaissent des symptômes de carence en calcium. Des
palpitations cardiaques et un grand changement dans la tension
artérielle en sont les signes.
Alors, soyez conscient de cet effet secondaire possible et réduisez
votre K2.
Vous pouvez aussi choisir une K2 de type MK-4 si vous rencontrez
ces problèmes.
Je n' ai trouvé qu'une évaluation sur 100 de mon livre qui
mentionnait ce problème d’accélération du rythme cardiaque. Un de
ces cas était celui d'un homme qui avait pris 25 mg (25 000 µg) de
vitamine K2. En comparaison, je n’ai jamais dépassé les 10 mg (10
000 µg) par jour. Cette personne prenait 100 000 UI de D3 en même
temps que les 25 mg de K2.
5.LA TOXICITÉ DE LA VITAMINE D REDÉFINIE :
VITAMINE K ET LE MÉCANISME MOLÉCULAIRE
Extrait intéressant de PubMed
J’ajoute ici un extrait intéressant de PubMed qui traite de la toxicité
de la vitamine D due au manque de vitamine K2. Vous devriez le lire
! Gardez à l’esprit que l’auteur ne fait pas de distinction entre la
vitamine K1 et la K2. De plus amples recherches m’ont permis de
constater que c’est la carence en K2, causée par des doses élevées
de D3, qui peut s’avérer dangereuse.
Doses thérapeutiques, hypercalcémie et carence en vitamine K2

« La dose optimale de vitamine D que certains chercheurs


recommandent comme thérapeutique dépasse celle reconnue
officiellement sans danger. Il est donc important de déterminer le
mécanisme précis par lequel des doses excessives de vitamine D
exercent une toxicité. Ceci est important pour que les médecins et
les autres professionnels de la santé puissent comprendre comment
utiliser des doses thérapeutiques optimales de cette vitamine sans
risque d’effets indésirables. Bien que les scientifiques aient attribué
la toxicité de la vitamine D à l’hypercalcémie, des études sur les
animaux montrent que les paramètres toxiques observés en réponse
à l’hypervitaminose D tels que l’anorexie, la léthargie, le retard de
croissance, la résorption osseuse, la calcification des tissus mous et
la mort peuvent être présents sans hypercalcémie. Cela exige
qu’une nouvelle explication du mécanisme de la toxicité soit
développée. L’hypothèse présentée dans cet article propose de
comprendre que la vitamine D exerce une toxicité en induisant une
carence en vitamine K. Selon ce modèle, la vitamine D augmente
l’expression des protéines dont l’activation dépend de la
carboxylation médiée par la vitamine K. À mesure que la demande
de carboxylation augmente, la réserve de vitamine K est épuisée.
Étant donné que la vitamine K est essentielle au système nerveux et
protège contre la perte osseuse et la calcification des tissus mous
périphériques, sa carence entraîne des symptômes associés à
l’hypervitaminose D. Cette hypothèse est étayée de façon
circonstancielle. On a observé que les animaux déficients en
vitamine K et en protéines dépendantes de la vitamine K présentent
des similitudes remarquables avec les animaux nourris avec des
doses toxiques de vitamine D. L’observation va plus loin encore. La
vitamine D et le médicament Warfarine (un inhibiteur de la vitamine
K) exercent une toxicité synergique lorsqu’ils sont combinés.
L’hypothèse propose en outre que la vitamine A protège contre la
toxicité de la vitamine D en diminuant l’expression des protéines
dépendantes de la vitamine K et exerce ainsi un effet de
préservation de la vitamine K. Si les expériences sur les animaux
peuvent confirmer cette hypothèse, nous devrions réviser les
modèles par lesquels la dose maximale sûre est déterminée. Les
médecins et les autres professionnels de la santé pourraient traiter
leurs patients avec des doses de vitamine D qui possèdent une
valeur thérapeutique supérieure à celles actuellement utilisées. La
prescription de la vitamine D avec les vitamines A et K pourrait éviter
le risque d’effets indésirables. » (Chris Masterjohn)
Vous pouvez lire cet article dans sa version originale plus loin dans
les notes de fin d’ouvrage.
6. MÉGA-DOSES

Une étudiante en 3e année de médecine à l’Université Northwestern


m’a traité de cinglé lorsqu’elle a appris que j’allais augmenter ma
dose de vitamine D3 de 4 000 à 20 000 UI par jour ! Elle m’a averti
contre tous les dangers de la toxicité de la vitamine D. Mon père, un
médecin à la retraite formé à Stanford, m’a également dit que j’étais
fou à lier et que j’allais me tuer en peu de temps ! En passant, j’ai
maintenant convaincu mon père, après les résultats étonnants de
mon expérience, de prendre 7 000 UI par jour (encore trop bas à
mon avis). Quoi qu’il en soit, si vous rapportez tout cela aux
médecins typiques, ils feront tout pour vous décourager. Cette peur
de la vitamine D3 est presque un réflexe enraciné en eux depuis
leurs premiers jours de l’école de médecine.
Je vous conseille de faire une petite recherche sur Internet et jeter
un coup d’œil aux écrits du docteur John Cannell du « Vitamin D
Council » (aux États-Unis). Ses mots vont vous rassurer, car il
conseille de prendre 50 000 UI par jour pendant 3 jours au premier
signe d’un rhume. Pour le Dr Cannell, augmenter la dose
quotidienne de vitamine D3 de 400 à 800 voire 2 000 UI/jour est une
farce pratiquement criminelle ! Il pense que 10 000 UI devraient être
une bonne dose quotidienne pour la plupart des gens, alors que moi,
je suggère jusqu’à 3 fois plus pour quelqu’un d'environ 90 kg comme
moi.
Je pense maintenant, après cette expérimentation d'un an de fortes
doses, que vous devriez commencer par un test et prendre juste
assez de vitamine D3 pour garder votre taux sanguin autour de 225-
250 nmol/L (90-100 ng/mL). C’est presque impossible de le savoir
sans faire le test de vitamine D. Ce que vous allez bientôt découvrir
est facile, pas cher et fondamentalement indolore. Si les hautes
doses de vitamine D3 vous inquiètent encore, je vous réconforterai
plus tard. Mais, en attendant, n’hésitez pas à lire l’histoire des
femmes américaines enceintes qui ont pris 100 000 UI par jour de
vitamine D pour éviter à leur bébé la carence génétique en calcium
en 1966. Pendant toute leur grossesse, elles ont continué de
prendre cette dose sans effet néfaste, et les bébés nés sains et
saufs ont bien démarré leur vie ! N’oubliez pas que cette vitamine D
aurait pu être de la forme D2, qui est reconnue comme plus faible
que la D3.
Récemment, un certain Mark Murphy m'a envoyé un courrier
électronique ! Voici un extrait du courriel : « Je crois que vos doses
de D3 pourraient encore être faibles. Big Pharma (grandes
compagnies pharmaceutiques) et l’AMA (l’association américaine
des médecins) ont exagéré la toxicité de la D3. Ces choses ont été
étudiées depuis très longtemps comme vous le savez. La preuve est
dans la création de l’unité internationale pour embrouiller le public et
la fabrication de trois médicaments sur ordonnance Dalsol, Deltalin
et Drisdol pour lutter contre le cancer. Dalsol, Deltalin et Drisdol
étaient simplement des doses de 50 000 UI de vitamine D. Quand il
y a de l’argent à faire, ils vont essayer de nous contrôler. Regardez
combien d’argent ils ont fait sur l’industrie du cancer. Pendant les
débats de la fin des années 1920, notre gouvernement a implémenté
une étude sur la toxicité de la vitamine D. L’étude Streck de 1937 par
l’Université de l’Illinois a utilisé 63 chiens et 773 humains pendant 9
ans. Dans le rapport final, il n'y avait aucun décès chez les 773
sujets humains qui avaient reçu des doses quotidiennes de 200 000
UI pendant des périodes de 7 jours à 5 ans. De plus, un des
participants a pris 3 000 000 UI par jour pendant quinze jours, sans
aucune preuve de perturbation ».
N’oubliez pas que la vitamine D2 utilisée ici est moins puissante que
la vitamine D3.
Mon expérience dangereuse

Maintenant que nous connaissons l’histoire de la vitamine D et ce


qu’on appelle ses « dangers », passons à ce que vous attendiez de
ce livre. Qu’est-ce qui a été si miraculeux dans mon expérience des
doses très élevées de vitamine D3 ? Au moment où j’écris ce travail,
j’ai 51 ans, mais vers l’âge de 27 ans, j’ai commencé à accumuler
des blessures qui ne guérissaient pas. Il n’y avait rien de majeur,
juste de petites choses embêtantes que les médecins ne trouvaient
pas assez sérieuses à régler. Parfois, c’étaient de petits bobos que
nous aimons soigner en tant que patients. À l’âge de 27 ans, je ne
me rendais pas compte que les problèmes persistants de santé que
j’accumulais pouvaient être liés. Un peu plus tard, je vous parlerai de
tous les autres problèmes connexes que j’ai eus durant mon enfance
comme l’asthme, le trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité
(TDAH) et la sclérodermie. Je vous raconterai aussi les problèmes
de ma mère, comme l’arthrite rhumatoïde, la dépression, les varices,
le syndrome de fatigue chronique, le remplacement du genou et j’en
passe. La carence en vitamine D3 cause toutes ces maladies. Si
cela ne capte pas votre attention, peut-être vous voudrez lire sur la
prévention possible de l’obésité, de la maladie de Crohn, du
syndrome de l’intestin irritable, de la colite ulcéreuse. Vous voudrez
peut-être savoir plus sur le diabète 1 et 2, le psoriasis, les pellicules
dans les cheveux, l’arthrite, l’autisme, la sclérose en plaques ou la
SLA (sclérose latérale amyotrophique ou maladie de Charcot). Peut-
être, vous êtes curieux de connaitre l’impact de la vitamine D sur les
cancers comme la leucémie ou les maladies cardio-vasculaires
comme l’insuffisance et l’hypertrophie cardiaques. Et la bronchite, la
tuberculose, la schizophrénie infantile ou adulte, la BPCO
(bronchopneumopathie obstructive chronique, sa bronchite ou son
emphysème), ça vous intéresse ? Probablement, le zona, le lupus et
les autres maladies auto-immunes vous disent quelque chose.
Sinon, ce doit être le rhume, l’alcoolisme, les ulcères, la gastrite ou
l’acné qui vont retenir votre attention. Allez, j’essaie encore... la
grossesse compliquée, les allergies, les caries dentaires, la fasciite
plantaire et l’incapacité des os à guérir en raison de l’ostéopénie,
vous connaissez ?
Une fois que vous aurez achevé la lecture de cet ouvrage, j’espère
que vous aurez tous les faits devant vous. Vous comprendrez alors
que ce ne sont pas des mutations génétiques rares ou le
vieillissement qui sont responsables des maladies qui font des
ravages de nos jours. Au contraire, TOUTES ces maladies sont
probablement liées aux faibles taux de vitamine D3.
Les résultats incroyables

Assez de théorie pour l’instant! Vous voulez probablement des faits.


Alors, installez-vous confortablement, car vous allez lire d’une traite
les résultats de mon expérience. Je pense que vous ne serez pas au
bout de vos surprises.
À l’âge de 28 ans, j’apprenais la boxe thaïlandaise et je donnais
beaucoup de coups de pied avec ma jambe droite. C’était après le
lycée et mes années de football américain et de rugby à l'université.
C’est à cet âge que j’ai développé le syndrome du ressaut de la
hanche. Je n’avais jamais entendu parler de ça et je pensais que
c’était rare. Mais je pense que c’est parce que les médecins n’ont
pas une bonne façon de le traiter.
Vous voyez, le syndrome de la hanche à ressaut est assez fréquent
chez les ex-athlètes. Beaucoup de gens l’ont et je l’ai su quand j’ai
commencé à en parler autour de moi. Mes amis disaient : « Moi
aussi, j’ai la hanche qui claque ! » Ce syndrome est souvent associé
aux activités sportives, et il n’y a pas beaucoup de choses à faire à
ce sujet. Maintenant, si les médecins avaient une pilule ou une
solution chirurgicale rapide pour cela, je parie que le syndrome de la
hanche serait aussi connu que la dysfonction érectile et le Viagra !
J’ai essayé de guérir mon syndrome de la hanche seul. J’ai essayé
des massages de tissus profonds, des séances chez les
chiropraticiens, de l’acupuncture, etc. Mais c’est toujours sans
soulagement que je suis entré dans la quarantaine et puis tout a
empiré du coup et j’ai commencé à me faire mal chaque fois que je
marchais pendant plus d’un pâté de maisons. Pendant environ 19
ans, le petit clic ne me faisait pas mal, juste un bruit étouffé lorsque
j’ouvrais mes jambes comme si elles étaient des ailes.
Vers l’âge de 47 ans, j’ai commencé à avoir des crampes et je
devais faire des étirements si je voulais marcher sans douleur. J’ai
finalement décidé de prendre mon problème au sérieux et d’essayer
de le régler. J’ai fait des recherches et la communauté médicale a
suggéré d’effectuer une intervention chirurgicale pour « relâcher » le
tendon de l’ilio-psoas. Selon les médecins, ce tendon était en train
de claquer sur la hanche. Désolé, mais je déteste la chirurgie. J’ai
examiné les résultats de ceux qui avaient opté pour la chirurgie et
leurs plaintes n'étaient pas rassurantes. J’ai donc décidé d’essayer
d’autres choses et voilà que mon expérience de D3 démarrait.

Maintenant, après 9 mois de haute dose de D3, la malédiction de


toute ma vie d’adulte, le syndrome du ressaut de la hanche a
entièrement disparu ! Tout ce qui le causait s’est dissous, car j’ai eu
beaucoup de douleurs dans ma hanche pendant ces mois sous mon
régime de vitamine D. Le problème semblait fondre comme neige au
soleil et s’est réglé tout seul.
J’ai parfois eu besoin de plusieurs ibuprofènes pour que la douleur
passe. Je pense que le processus de dissolution et de remodelage a
causé la douleur, mais je vous en dirai plus sur cela plus tard.
Était-ce une coïncidence comme l’étudiante de la faculté de
médecine de Northwestern l’avait suggérée ? Allons à mon
problème numéro 2.

À l’âge de 29 ans environ, l’instructeur de la boxe thaïlandaise nous


avait encouragés à lancer les coudes sur des objets durs pour durcir
nos coudes et en faire des armes dangereuses. Donc, pendant un
certain temps, je brisais des trous à travers les cloisons sèches avec
mon coude gauche, je frappais les sacs tout le temps et mon coude
devenait un peu plus grand et plus osseux sur le bout. Eh bien, il y a
des années, quand j’avais 35 ans, une excroissance osseuse est
apparue sur mon coude gauche. Connu aussi sous le nom
d’ostéophyte, c’est comme un morceau supplémentaire d’os qui
pousse sur l’os d’origine. Vous avez probablement vu des hommes
âgés au coude cagneux ici et là. Le mien était bien visible et sortait
au point où les gens s’en moquaient. Le fils de ma petite amie le
prenait dans sa main. C’était MOCHE ! Quoi qu’il en soit, pendant le
neuvième mois de mon expérience de D3, j’ai remarqué une petite
douleur quand je mettais mon coude sur le repose-bras de la voiture,
mais je n’y pensais jamais, car c’était presque rien. Donc, je n’ai
jamais vérifié si quelque chose se passait jusqu’à tout récemment.
J’ai regardé dans le miroir, et le fichu os n’était plus là ! Au moins à
90 % disparu. Donc, peut-être, la disparition du claquement de la
hanche n’était pas un hasard ? Peut-être qu’une excroissance
osseuse causait ce bruit sourd de la hanche aussi ? D’accord,
continuons.
J'ai remarqué mon problème suivant à l’âge de 28 ans. Avant ça et
durant ma vie antérieure de gamin, je marchais et courais pieds nus
dans toutes les piscines, douches et vestiaires. Je pensais que la
mycose des pieds était quelque chose qui n’arrivait qu’aux autres.
Un jour, j’ai vu cette mycose sous mes ongles devenus jaunes et
épais puis j’ai essayé de l’enlever. Vous ne pouvez pas vous en
débarrasser, car il est sous l’ongle. Bientôt, je voyais cette infection
fongique sous tous mes ongles infectés. Un podologue m’a dit que la
seule façon de s’en débarrasser serait de supprimer complètement
tous les ongles des orteils chirurgicalement. Oh là là ! Trop
douloureux !
Dans les années qui ont suivi, les médecins m’ont proposé un
médicament qui a comme effet secondaire une insuffisance
hépatique. Mais si vous les prenez pendant 3 mois, ces comprimés
de poison traversent votre sang et tuent la mycose qui vit sous les
ongles des orteils. C’était, je crois, le médicament appelé Lamisil. Je
l’ai essayé pendant 5 jours et les tendons du poignet ont commencé
à me faire mal, alors j’ai arrêté d’en prendre. Je l’ai essayé une
deuxième fois, sans succès. Alors, mes orteils étaient devenus un
embarras.
Ensuite, j’ai entendu parler du traitement laser à 450 $ avec des
résultats douteux. Je l’ai laissé tomber. Mais le traitement laser m’a
donné une idée : chauffer mes ongles avec une loupe au soleil. Mes
résultats n’étaient pas concluants, mais cette méthode aurait pu
fonctionner pour certaines personnes.
Je cherchais sérieusement une solution et j’ai essayé de nombreux
remèdes que je mettais directement sur les ongles, y compris l’eau
de Javel, l’huile d’origan, l’huile d’arbre à thé et le vinaigre de cidre
de pomme. J’ai essayé aussi le médicament Rogaine (Regaine en
Europe) qui contient du minoxidil avec promesse de faire croître les
ongles, comme les cheveux, plus rapidement. J’ai même coupé les
pouces de gants en caoutchouc et mis les différents traitements sur
mes ongles, puis j’ai couvert mes gros orteils avec les pouces des
gants en caoutchouc pour que le poison reste pendant 24 heures.
Tout ça n’a servi à rien, mais c’était bien pensé et aurait pu réussir
pour quelqu’un d’autre. Toutes ces astuces qui m’ont pris 2 ans
restaient sans résultat.
Je pense que limer les ongles avait l’air d’aider en réduisant la
couche externe la plus jaune. Oh ! Un peu plus tôt, j’avais également
essayé ce vernis à ongles avec du poison, appelé PenLac. En vain !
Pourtant, j’avais suivi religieusement les instructions de PenLac
pendant les 4 mois que j’utilisais le produit.

Vous l’avez peut-être déjà deviné, oui, mon « expérience


dangereuse » en vitamine D3 a complètement éliminé mes ongles
jaunes en 10 mois sans autre intervention de ma part ! La disparition
de l’infection fongique sous mes orteils concorde avec ce que disent
les internautes qui utilisent la vitamine D3 à dose élevée. Un certain
nombre d’entre eux ont dit qu’ils avaient eux aussi la mycose des
pieds sous leurs ongles, mais que c’était parti avec les hautes doses
de D3. Remarque : la mycose des ongles se trouve souvent sous les
ongles des orteils. Pourquoi me demanderiez-vous ? Je suppose
que les ongles des pieds ne voient presque jamais la lumière du jour
et sont donc particulièrement sensibles à la carence en vitamine D3,
tandis que les ongles des mains sont au soleil tout le temps.
Je suis en train de mener une expérience sur l’homme qui fait des
travaux de réparation chez moi. Il a les ongles les plus horribles et
les plus jaunes du monde, selon lui ! Je ne les ai jamais vus, mais je
lui demanderai de prendre une photo d’eux demain et puis il va
prendre une dose de 30 000 UI de D3 par jour. Finalement, il a
commencé à prendre la D3 à haute dose, mais par intermittence,
jamais constamment. Nous verrons ce qui se passe dans une
année, car il est trop embarrassé de me montrer ses orteils pour
l’instant !
J’ai maintenant un autre cas à signaler : un de mes amis m’a montré
l’infection des orteils
jaunes la plus dégoûtante sur l’ongle craquelé le plus épais que vous
pouvez imaginer. Heureusement pour lui, ce n’était que sur son gros
orteil et un autre orteil. Je lui ai dit d’acheter un demi-kilo de vitamine
D3 pour 50 $ à Vitaspace et de prendre 20 000 UI par jour. Environ 3
mois dans sa thérapie, un ongle parfaitement pur de bébé sortait à
mi-chemin derrière le reste de l’ongle jaune. J’ai pris une photo et
j’essaierai de l’afficher sur le site Internet www.takeD3.com.
Malheureusement, il avait coupé la partie la plus terrible avant de
prendre la photo, mais vous allez voir. Passons.

Il y a 8 ans, je me suis malheureusement blessé le poignet en


transportant de gros morceaux de bois sur une échelle. Mon poignet
faisait très mal après cette journée passée à pousser du bois, et
quand je suis rentré à la maison, c’était devenu comme une balle de
golf. Mon poignet s’était rempli de liquide. Eh bien, cette bosse n’est
jamais partie. Parfois, elle gonflait, parfois elle paraissait enflammée
et puis avec le repos, elle se dégonflait. Environ 4 ans plus tard, je
suis allé dans les cliniques les plus réputées pour les os et
articulations. Comme j’ai l’avantage d’avoir ma propre assurance
médicale (c’est-à-dire que je paie les frais médicaux directement), je
choisis mon médecin et je vous le recommande vivement si possible
dans votre pays. Le diagnostic fut un kyste de ganglion dans le
revêtement du tendon. Ce genre de kyste apparaît lorsqu'on
applique trop de pression sur le poignet.

Les médecins ont essayé d’enlever le liquide et puis ont injecté de la


cortisone qu’ils m’ont facturée à 450 $. Ils m’ont dit que si mon
poignet ne guérissait pas, ils pourraient enlever le kyste pour 4 000
$. Avec le diagnostic correct, j’ai fait des recherches sur Internet et
j’ai trouvé que ces kystes s’appelaient « bosses de Bible » parce
qu’autrefois, les gens les traitaient en les frappant avec une bible ou
un autre livre lourd. Les kystes explosaient sous la peau et parfois
guérissaient. J’ai également découvert que souvent la chirurgie est
plus douloureuse et en fin de compte pire que le kyste, car elle ne
donne pas de bons résultats. Pire que ça ! Le kyste revient souvent
après la chirurgie ! Donc, il y a environ 3 ans, quand il était vraiment
gonflé, j’ai frappé mon kyste avec un marteau en caoutchouc, et je
l’ai tassé et mis à plat. La douleur a disparu instantanément. Mais
après quelques mois, le kyste est revenu.

Heureusement pour moi, j’ai décidé de commencer mon «


expérience dangereuse » aux doses élevées de vitamine D3, et
après environ 9 mois de 20 000 à 100 000 UI par jour, le kyste s’est
durci et s’est rétréci considérablement. Il n’est pas encore parti à 100
%, mais il reste petit et ne fait jamais mal. Ce kyste est allé d’une
balle de golf charnue à la taille d’un petit pois. Il semble également
rétrécir quand je prends des comprimés de Glucophage, appelé
aussi metformine. Ce médicament traite le diabète et réduit votre
taux de glycémie, mais on dit aussi qu'il vous fait vivre plus
longtemps. Dans les expériences, il permet aux rats et aux souris de
vivre beaucoup plus longtemps et aux humains de perdre du poids.
Vous pouvez l’obtenir auprès de diverses pharmacies en ligne sans
ordonnance. La Life Extension Foundation (lef.org) mentionne les
avantages et bienfaits de la metformine contre tout type de cancer.

À l’âge de 27 ans, j’ai eu ce qui allait se révéler plus tard comme un


kyste sous-cutané sur mon visage. Ce n’était pas grand, mais
embarrassant, c’est comme un grand bouton enterré qui
n’apparaissait jamais complètement. Un an plus tard, à l’âge de 28
ans, j’ai décidé de consulter un dermatologue, mais il n’a fait
qu’injecter de la cortisone après avoir essayé d’expulser le kyste
sans succès. Ce bouton-kyste ressemblait un peu aux kystes de
ganglion et on le voit habituellement chez les hommes plus âgés. Je
l’ai eu jusqu’à ce que j’entreprenne mon « expérience dangereuse »
de vitamine D3. Les seules autres méthodes que les médecins
m’avaient offertes étaient d’utiliser un poinçon de biopsie pour faire
un petit trou dans le centre du kyste. Ils appellent ça racler la «
capsule » dans le kyste avant que le tissu cicatriciel ne remplisse
l’espace, laissant une marque à vie. Pas beau !
Heureusement pour moi, après plus d’une année de vitamine D3 à
dose élevée, le petit kyste est parti du jour au lendemain. C’est tout.
J’ai touché mon visage et je n’ai rien senti sous ma peau : le kyste
s’était aplati et n’était plus là ! Merci, Vitamine D3 !

À l’âge de 34 ans environ, je me suis blessé en jouant au paintball.


Comme ma petite amie jouait avec tous ses amis, j’essayais de les
impressionner, et je me promenais, je courais, faisais le canard et
j’en passe. J’ai fait tout ce qui était possible pour me surpasser, et
j’ai fini par capturer le drapeau! Cependant, je me suis blessé à mon
insu, et le lendemain, je ne pouvais plus lever les bras à cause de la
douleur extrême aux épaules. Je me suis reposé, mais mes épaules
n’ont jamais été les mêmes. Elles cliquaient et craquaient à fond. La
masseuse que j’allais voir a souvent refusé de les masser, comme si
elle avait peur de les toucher. Cette condition a persisté pendant
peut-être dix ans. Les médecins de l’équipe des Lakers de Los
Angeles qui ont examiné les radios de mes épaules m’ont révélé que
j’avais des morceaux d’os, mais qu’ils ne recommandaient pas une
intervention chirurgicale puisque je n’étais pas athlète. Ils m’ont dit
que j’allais devoir apprendre à vivre avec ça ! J'ai répliqué que je
voulais encore faire de la musculation et ils m’ont répondu d’y aller
doucement. Quelques années plus tard, je suis allé à une
coopérative médicale de distribution de soins (HMO aux États-Unis)
pour voir s'ils avaient quelque chose pour moi. Le docteur m’a appris
que j’avais la coiffe des rotateurs déchirée, et il m’a prescrit la
thérapie aux ultrasons. J’ai suivi cette thérapie pendant deux mois
sans amélioration évidente. Le seul soulagement, croyez-le ou non,
provenait « d’un sorcier-guérisseur » de la médecine chinoise qui
m’a frotté magiquement l’épaule et lui aurait transféré son énergie
d’après lui, et je me suis réellement senti mieux pendant deux jours.
Mais encore une fois, tout est retourné à la normale. Horrible ! J’ai
abandonné la quête de guérison !

Mais c’est alors que j’ai lu un article dans un magazine de LEF pour
être exact. Il s’agissait seulement de quelques paragraphes, et cet
article disait qu’environ 80 % de ceux qui se plaignaient des
douleurs osseuses et articulaires étaient déficientes en vitamine D3.
Immédiatement après, j’ai commandé un peu de D3 et j’ai
commencé à prendre 4000 UI/jour. Avant cela, j’avais 400 UI par
jour dans ma multivitamine, mais c’était apparemment trop faible.
Qu’est-il arrivé après 4000 UI quotidiennes ?
En un mois, sans blague, ces nombreuses années de clic-clac des
jambes et de blessures aux épaules ont disparu. Luba, ma
masseuse était émerveillée, et je pouvais m’entraîner de nouveau
sans douleur ni blessure. Cependant, seules mes blessures
évidentes étaient guéries. J’avais toujours mal au bas du dos depuis
le jour où je me suis blessé peut-être à l’âge de 32 ans en faisant de
la musculation. La douleur de cette blessure devenait parfois atroce.
C’était vraiment gênant si je conduisais longtemps. J’ai eu un peu de
soulagement avec l’aide d’un chiropraticien pour la douleur extrême,
mais la douleur revenait toujours après quelques semaines. Eh bien,
cette blessure a également disparu un mois après la prise
journalière de 4000 UI de D3. Alors, je me suis arrêté sur 4000
UI/jour en pensant que c’était 10 fois la dose recommandée, et que
j’étais en train de pousser la limite ! Je suis resté à cette dose
pendant environ 6 ans. Mais le clic de la hanche, les kystes, l’éperon
osseux et les ongles jaunes étaient restés, obstinément.
À environ 6 mois dans « mon expérience dangereuse » de hautes
doses, j’ai découvert qu’une idiosyncrasie de toute ma vie a
complètement disparu. Depuis l’âge de 5 ans ou même plus jeune,
j’ai toujours eu les chevilles faibles et des entorses faciles, et quand
je remuais les pieds, je finissais par me tordre les chevilles. Je l’ai
accepté comme une chose normale pour moi. Les chevilles faibles
n’ont jamais été un gros problème, à l’exception de l’entorse
occasionnelle sauf quand j’ai essayé de jouer au hockey sur glace
dans mon enfance. Je me débrouillais bien au jeu mental et je
pouvais être dans la belle position pour voler la rondelle, mais le
frisson était coupé court, car d’autres enfants avec des chevilles
fortes pouvaient facilement me rattraper. Vous avez vu les chevilles
faibles au patinage si vous êtes déjà allé à la patinoire. Les chevilles
de l’enfant cèdent et les lames de ses patins se déplacent dans des
directions opposées comme si l’enfant marche sur ses chevilles et
ne patine pas sur ses pieds. Cet enfant, c’était moi ! Eh bien, comme
je l’ai dit, après 6 mois dans cette « expérience dangereuse », mes
chevilles ne claquaient plus après une vie de chevilles claquantes.
J’ai remarqué aussi que je ne peux plus me craquer les articulations.
Je suppose que je suis tombé sur une question qui a laissé les
médecins perplexes depuis toujours. Pourquoi les articulations des
gens craquent-elles ? La seule explication que j’ai trouvée chez les
médecins, c’est qu’il y avait simplement un excès d’azote qui
s’échappait des articulations. J’ai ma petite idée là-dessus... peut-
être que le fait de faire craquer une articulation signifie que vous
n’avez pas une quantité optimale de D3 dans votre système.

Une dernière chose majeure qui semble si facile à oublier est celle
des rhumes et grippes. Je n’ai pas eu un rhume qui a duré plus d’un
jour pendant les 7 dernières années et depuis que j’ai commencé à
prendre la dose de 4 000 UI/jour. Quand j’ai un rhume, je ne me
sens pas très bien, mais ça ne va pas plus loin !

C’est vraiment inhabituel, mais le rhume s’en va après un jour. Je


trouve cela plus normal maintenant, mais je n’ai pas toujours été
comme ça. Je me souviens encore de ces rhumes désagréables
avec toux, respiration sifflante et fièvres. Je me sentais horriblement
mal et je n’avais qu’une envie, c’était de rester au lit pendant toute
une semaine. Mon dernier rhume remonte au début des années
2000.

Laissez-moi ajouter certaines choses moins miraculeuses que j’ai


remarquées. À l’âge de 31 ans environ, j’ai eu un accident de ski à
Steamboat Springs, au Colorado. J’avais décidé de couper à travers
les arbres pour aller sur une autre piste. J’ai dû skier sur un petit
sentier minuscule, puis remonter pour passer à la piste suivante. Eh
bien ! À ce moment-là, j’ai compris que la patrouille du centre de ski
n’aimait pas les gens qui coupaient dans les bois. Un peu plus bas
sur le chemin, on avait creusé une fosse d’environ 1 m de
profondeur et sur 1 m de diamètre avec des murs verticaux. J’allais
trop vite pour m’arrêter et j’allais soit m’écraser dans la fosse, soit
essayer de sauter par-dessus. J’ai sauté le plus haut possible, mais
je suis tombé à plat sur le mur d’en face. Mes genoux restaient
immobiles et bloqués comme si j’étais tombé d’un bâtiment de 6 m
de hauteur et atterri sur le trottoir. Je me suis relevé et j'ai boité avec
mon genou gauche enflé pour rentrer à la maison.
Je me suis rendu chez le chirurgien orthopédiste de l’équipe de
hockey de Chicago, les Blackhawks. Il m’a dit de choisir entre une
IRM à 800 $ et une chirurgie du genou qui allait me coûter 3000 $.
J’ai pris le troisième choix. J’ai décidé de claudiquer pendant un
moment et de voir comment ça se passe. C’était surprenant de voir
comment mon genou s’est progressivement amélioré, au cours des
années. De temps en temps, ça bougeait, cliquait, puis gonflait, et je
devais clopiner pendant une semaine environ. Au cours des 9 mois
d’expérimentation à fortes doses de vitamine D3, ce genou a
également commencé à me faire mal à peu près en même temps
que les épaules et la hanche. Mais comme toutes mes autres
blessures, celle-ci semble être complètement résolue !

Je ne sais pas si c’est mon imagination ou pas, mais juste avant de


commencer mon expérience dangereuse, j’arrivais au point où
j’allais avoir besoin de lunettes de lecture. Je me suis retrouvé,
comme tout le monde au-delà de l’âge de 39 ans, à devoir tenir les
petites lettres
de plus en plus loin de mon visage pour les lire. Je dois encore tenir
les choses loin de mon visage pour les lire, mais il semble que ce
problème soit peut-être de 30 % meilleur qu’avant. Étant donné que
cette amélioration est si négligeable par rapport aux autres, cela
pourrait venir de mon imagination. Je vous tiendrai informé sur un
site web que je vais configurer ou vous en saurez plus dans les
éditions ultérieures de ce livre.
Plusieurs mois après la première publication de ce livre, j’ai décidé
de commencer une expérience en mettant directement la vitamine
D3 dans mon œil gauche chaque jour pendant un mois, pour voir si
cela pouvait améliorer ma vision. Au moment de la réédition, je l’ai
essayé depuis quelques jours ; j’ai remarqué que ma vue se
brouillait un peu après l’application et puis redevenait normale.
Note ultérieure : J’ai arrêté de mettre la vitamine D3 dans mes yeux
sans raison valable après une semaine ou deux même si la petite
expérience fonctionnait bien. Comme ma vue est généralement
acceptable, je vais attendre avant de recommencer.

Finalement, ce n’est pas trop préoccupant pour moi, mais cela


pourrait intéresser les lecteurs qui voudraient perdre du poids.
Lorsque je suis passé de 4000 à 20 000 UI et plus tard, quand j’ai
poussé mes doses plus haut, je pesais environ 92,5 kg. J’ai
remarqué que quand j’étais bien occupé, j’oubliais de manger
jusqu’à peut-être 5 heures de l’après-midi. En outre, j’ai remarqué
que lorsque je sortais avec des amis dans les mêmes restaurants
que d’habitude, je ne voulais plus terminer mes portions normales de
nourriture. J’ai perdu un peu de poids, mais sans aucun effort, je
n’avais pas changé mon régime de toute façon. Je mangeais
souvent de la pizza au fromage, des omelettes et du chocolat. Je
buvais aussi du vin rouge. Quelques mois plus tard, mon poids ne
semblait pas avoir beaucoup changé ; j’étais bloqué à 89 kg environ.
Alors j’ai cessé de me peser. Il y a juste une semaine ou deux, j’ai
voulu vérifier mon poids pour m’amuser. J’ai sauté sur la balance et
j’ai vu 81 kg ! Je n’ai même pas essayé de suivre un régime ! Je
vous ferai savoir si cette perte de poids continue dans une version
ultérieure de ce livre. Au cas où vous vous demandez, j’ai trouvé que
prendre 50 000 à 60 000 UI par jour a vraiment coupé mon appétit.
Je pèse maintenant 81 kg et mon poids descend vite donc peut-être
la dose de perte de poids est de 50 000 UI pour 90 kg (pour
quelqu’un de mon poids). Autrement dit, vous auriez besoin près de
550 UI de D3 par kilogramme de poids.
Toutefois, je vous suggère de faire vérifier votre taux sanguin de
vitamine D3 avant de commencer. Le mien était de 305 nmol/L (122
ng/mL) après la prise de 25 000 UI par jour. Puis, j’ai poussé ma
dose vers 50 000 et 60 000 UI par jour pendant deux mois. Donc, je
suppose que les valeurs de D3 qui causent la perte de poids se
situent aux alentours de 375 nmol/L (150 ng/mL). Un test postérieur
me situait à 411 nmol/L (165 ng/mL). Je vais bientôt faire un autre
test de sang et mettre à jour ce livre pour les questions de perte de
poids. J’ai remarqué aussi que ma perte de poids a vraiment
augmenté quand j’ai commencé à boire un litre de lait avec 1 % de
matières grasses tous les matins avec un beignet ou un croissant.
Peut-être que la combinaison de hautes doses de vitamine D3 avec
du calcium élevé semblait accélérer ma perte de poids, quoique j’ai
des doutes sur le beignet.
Sur ce sujet, je vous conseille le livre du Dr Holick sur la vitamine D.
Il décrit comment les cellules adipeuses peuvent consommer votre
vitamine D3 et la garder cachée de votre système. Ce qui signifie
que si l’un d’entre vous a un surpoids et beaucoup de cellules
graisseuses, les besoins en vitamine D augmentent pour élever le
taux sanguin de D3. Plus récemment écrit, ce document non publié
peut toujours être lu gratuitement à l’adresse
suivante: https://www.naturalnews.com/SpecialReports/Sunlight.pdf.

En fin de compte, j’ai compris que c'est à l’âge de 27 ou 28 ans que


j’ai commencé à accumuler les problèmes de santé. J’ai réfléchi à ce
qui a pu affecter ma vie à cet âge et je n’ai pas tardé à me rappeler
qu’à 27 ans, j’ai décidé de devenir végétarien, à l’exception des
œufs, du fromage et du lait dont je ne pourrais jamais me passer.
Avant l’âge de 27 ans, je mangeais du poulet et du poisson
régulièrement. Très probablement, enlever le poisson de mon
alimentation vers l’âge de 27 ans était une réduction assez
importante de mes sources de vitamine D3 pour déclencher le
syndrome de réparation incomplète, comme je l’appelle. À l’époque,
je prenais beaucoup de suppléments, et le fais toujours, mais je
crois que ma consommation de vitamine D3 était inférieure à 1000
UI/jour.
Ah! Pas encore séduit par la vitamine D3 ? Laissez-moi faire cette
déclaration : d’après mes longues recherches, l’hormone D3 peut
aider à prévenir presque toutes les maladies. La vitamine D3 peut
aussi guérir les maladies chroniques autres que celles que le
vieillissement ou les mutations génétiques causent ! En réalité,
prendre la bonne dose de vitamine D3 tous les jours pourrait
également ralentir le processus de vieillissement, car à mesure que
les humains vieillissent, leur capacité à synthétiser la vitamine du
soleil diminue considérablement.

Mais pourquoi me croire sur parole sur quoi que ce soit ? Je vais
vous le dire. J’étudie le vieillissement des phases biochimiques aux
phases hormonales et même jusqu’à un degré évolutionnaire depuis
environ 1988. J’ai publié 3 articles relativement importants sur le
vieillissement. En 1998, j’ai écrit « L’Évolution du vieillissement : une
nouvelle approche à un vieux problème de biologie » Hypothèses
Medicales, septembre 1998 (The Evolution of Aging a New
Approach to an Old Problem of Biology, Medical Hypotheses Sep
98). Puis, j’ai publié deux autres en l’an 2000. Mon article de 1998 a
fait sensation et j’ai reçu des demandes de réimpression de 100
éminents scientifiques de tous les coins du monde ainsi que des
meilleures institutions. Dans mes deux articles suivants, puisque j’ai
contesté une croyance majeure à laquelle les scientifiques
traditionnels adhèrent, à savoir que la sélection de groupe est
impossible, la réception a été moins bonne. Je vous en dirai plus sur
cela. Dans tous ces articles, j’ai justifié mes écrits avec des faits et
j’ai fourni les preuves que le vieillissement est programmé et
chronométré par des changements dans nos hormones qui se
produisent avec l’âge. Mes idées ne constituent pas une révolution si
vous comprenez que les hormones poussent toute notre vie depuis
le berceau jusqu’à la ménopause. J’ai fait le simple saut de ce fait
évident à l’idée que les hormones nous font aussi vieillir et mourir.
Ce qui parait simple pour vous et moi représente une idée radicale
pour la communauté traditionnelle de la biologie évolutive.
7. VIEILLISSEMENT ET VITAMINE D3

Je travaille sur les théories du vieillissement, de l’évolution et de la


santé depuis près de 25 ans. J’ai étudié le concept de la restriction
calorique et les moyens d’étendre la durée de la vie chez plusieurs
espèces. Je me suis simplement demandé pourquoi l’évolution
voudrait que vous viviez plus longtemps lors d’une famine. Ma
réponse : l’évolution voudrait garantir la survie, de sorte qu’au moins
un couple du groupe reste assez jeune pour se reproduire après la
famine, surtout si celle-ci était longue. Sinon, le groupe disparaîtrait.
Ainsi, la restriction calorique empêche non seulement le processus
de vieillissement, mais elle empêche aussi la reproduction qui
pourrait être mortelle pour la mère et l’enfant durant une famine. Elle
vous rajeunit ou du moins rajeunit les rats et les souris. En effet, les
scientifiques ont reconfirmé ces résultats fréquemment depuis que la
première expérience de 1933 a démontré l’extension de la durée de
vie chez les rats affamés de Clive McCay. C’était dans le Journal of
Nutrition aux États-Unis. Vous pouvez faire une petite recherche sur
cette étude si vous le souhaitez. Depuis lors, de nombreuses autres
expériences ont démontré les effets de la restriction calorique sur
l’extension de la vie. Maintes et maintes fois, nos scientifiques
aiment rappeler ces résultats étonnants. C’est presque répétitif.

Mais voilà qu’une fois encore, je me suis posé une question simple.
Qu’est-ce qui cause les famines ? Et la réponse que j’ai trouvée est
la sécheresse ! Elle est d’habitude plus longue comme elle précède
et provoque les famines.
Mon rat de Methuselah

J'ai alors spéculé que si l’évolution avait une réponse à la famine,


elle devrait avoir une réponse semblable à la sécheresse, plus
longue et plus intense que les famines qu'elle cause.
J’ai donc testé cette idée sur un petit groupe de rats : 2 rats
restreints à l’eau et 8 rats témoins (qui vivaient normalement).
Étonnamment, un de mes deux rats restreints en eau a vécu plus
longtemps que tous les autres rats restreints en calories que j’ai pu
trouver dans toutes les expériences de toujours ! Il a établi un record
mondial de 47 mois ! La plupart des rats témoins (nourris
normalement) ne dépassaient pas 23 mois. J’ai une petite vidéo sur
YouTube à voir ici http://www.youtube.com/watch?
v=skLVAQgWx60&feature=youtu.be. Vous pouvez également
trouver la vidéo publiée sous le nom Jeffbo7777 en tapant « longest
living rat in the world » dans le champ de recherche sur YouTube.

J’ajoute ceci ici juste pour montrer que j’ai eu de la chance de


proposer des théories inhabituelles et novatrices et que par la suite,
mes hypothèses ont passé la preuve des tests et des expériences !

Permettez-moi de vous raconter une anecdote intéressante à ce


sujet. J’ai partagé les résultats de mon expérience sur la restriction
d’eau avec la directrice de l’Institut National de la Santé (NIH aux
États-Unis). Le Projet Methuselah invitait la communauté scientifique
à d’autres expériences plus poussées sur les rats afin de trouver
comment ils pouvaient vivre le plus longtemps possible. Avec plus
d’investissement, nous avions des promesses pour l’application des
résultats à la santé humaine. Eh bien, cette directrice scientifique a
déclaré : « Oh, c’est intéressant, mais nous ne pouvons pas faire
cette expérience parce que la déshydratation est mauvaise pour
vous ! » Cette pseudo-scientifique se fichait bien du record
historique que mon rat a établi pour la durée de la vie ! L’idée de la
restriction de l’eau a déclenché des cloches d’alarme dans sa tête,
car on lui a toujours enseigné que l’eau est bonne pour vous ! Ce
genre de réponse prouve que ceux qui dirigent notre communauté
scientifique actuelle sont semi-autistes et se fâchent si les meubles
sont réarrangés. Plus tard, j’ai partagé l’expérience et les résultats
de la restriction de l’eau avec d’autres scientifiques dans le domaine
du vieillissement. Ces derniers ne voulaient pas en entendre parler
et ont cherché à savoir comment et pourquoi mon expérience devrait
être ignorée !!! C’était facile pour eux puisque j’ai fait mon
expérience à la maison dans un placard et non dans un laboratoire
scientifique, et je n’avais que deux animaux restreints à l’eau, pour
l’expérience. Peu importe que l’un d’eux ait établi le record du
monde des rats de type Sprague-Dawley !
8. EXPLICATION LOGIQUE ET ALTERNATIVE
DU VIEILLISSEMENT

Allons droit au sujet. Je vous disais que c’est clair que les hormones
sont impliquées dans notre vieillissement, mais nos scientifiques
estimés ne peuvent pas accepter cette idée. La communauté de
biologie évolutionniste traditionnelle tient à une théorie du
vieillissement qui dit que nous nous effondrons tous en raison d’une
erreur de l’évolution ! On suppose que nous nous « épuisons » en
vivant trop longtemps, parce que les biologistes évolutionnistes se
sont accrochés à l’idée simple que quelque chose qui est mauvais
pour vous ne pourrait jamais évoluer !
Par exemple, limiter le nombre d’enfants que vous pourriez avoir
réduirait la propagation de vos gènes. Ces scientifiques croient que
ce sont les gènes qui dirigent l’évolution et essaient de se propager
de plus en plus loin et ne restreignent jamais leur propre
propagation. Cela semble logique à première vue, mais si vous lisez
mes articles, vous verrez que cela pourrait être une simplification
grossière de l’évolution. Et de mon point de vue, l’évolution est
beaucoup plus intelligente et compliquée que ce qu’on peut lire dans
leur modèle simple.
J’explique tout cela en détail et je montre comment le vieillissement
peut évoluer quand l’évolution le choisit même s’il est mauvais pour
l’individu. Je ne vais pas m’étendre sur le sujet ici. Je vais
simplement dire que je reconnais que les hormones qui sont
mauvaises pour vous n’évoluent pas, mais les tendances
hormonales qui pourraient vous nuire par accident pourraient
évoluer si elles se produisaient à un âge avancé et dans un
environnement défavorable. Ces tendances hormonales risquent de
se produire par accident en raison des mutations aléatoires des
gènes (qui ne se déclenchent généralement jamais). Et puis, lorsque
l’environnement est devenu assez sûr pour que vous puissiez vivre
plus longtemps que la normale, ces modèles d’hormones
accidentelles et l’expression de gènes qui sont nuisibles pourraient
se montrer en vieillissant. Je vais aussi montrer que ces modèles
d’hormones et expressions génétiques néfastes évolués peuvent
vous tuer, mais qu’ils sont bons pour le groupe. Cette évolution peut
les capturer et les utiliser pour promouvoir la survie du groupe même
au détriment de l’individu. Peut-être, ceci ne vous intéresse pas,
mais croyez-moi, ce concept est essentiel à la compréhension du
vieillissement. Lisez-le encore et encore jusqu’à ce que vous le
compreniez !
C’est là que tous nos scientifiques et théoriciens ont échoué ! Vous
en saurez plus que tous les scientifiques si j’ai raison, et je suis
certain de cela.
Comment la limitation de la reproduction de chaque individu pourrait-
elle être bénéfique pour le groupe ? En empêchant une personne
d’engendrer ou de porter toute la progéniture d’un groupe, vous
évitez le piège du groupe de clones ou de jumeaux identiques et la
réduction de la diversité du groupe. En d’autres termes, si tous les
individus étaient des jumeaux identiques, et qu’un nouveau
prédateur ou une nouvelle bactérie pouvait tuer un individu, ce
prédateur ou bactérie pourrait toucher tout le groupe qui
disparaîtrait. Avoir la diversité dans le groupe en empêchant (par le
vieillissement) un individu de se reproduire trop souvent crée une
défense contre de nouvelles formes de mortalité qui provoqueraient
une extinction à 100 %. En introduisant suffisamment de variabilité
dans le bassin génétique, au moins, certains membres d’une
population seront assez différents des autres pour survivre à une
nouvelle maladie ou à un nouveau prédateur.
L’énigme de la maladie d’Alzheimer résolue ?

Une indication que ma théorie du vieillissement est correcte se


trouve dans mon article de 1998. Dans cet article, j’ai prédit que
l’hormone lutéinisante (HL) à un niveau très élevé provoque la
maladie d’Alzheimer, le rétrécissement ou atrophie d’organes ou les
cancers dus au vieillissement. Cette énorme augmentation de 1 000
% de l’HL se produit chez les hommes et les femmes après l’âge de
40 ans. L’HL est l’hormone qui provoque la rupture du follicule de
l’ovule chez une femme en provoquant la destruction des cellules du
tissu folliculaire. Cela provoque l’éclatement du follicule, qui libère
l’ovule, permettant ainsi aux spermatozoïdes de l’atteindre pour la
fécondation. Après l’âge de 40 ans, les niveaux de HL montent et
deviennent plus bioactifs, et peuvent ensuite attaquer n’importe quel
tissu dans le corps, tout comme si c’était un follicule !

En 2011, 13 ans après que j’ai proposé cette idée, le National Health
Institute a sauté sur le train en marche et publié un article. Dans cet
article, enfin les scientifiques du NIH ont finalement admis que
l’hormone lutéinisante est la cause des maladies
neurodégénératives. En outre, une autre étude réalisée en 2002 a
montré que chez les victimes de la maladie d’Alzheimer, l’hormone
lutéinisante est présente en grande quantité dans les parties du
cerveau les plus endommagées. Jusqu’à récemment, cette hormone
n’était connue que pour son rôle dans les tissus liés à la
reproduction !
J’ai mis un résumé de l’article du NIH à la fin du livre, mais ne soyez
pas trop contrarié si vous ne comprenez pas tout dans cet article. Je
voulais juste l’inclure ici pour ma propre satisfaction, puisque ces
scientifiques qui avaient raté le coche de l’hormone lutéinisante et
maladie d’Alzheimer ne m’ont pas attribué le mérite de mon article
de 1998.

Si vous êtes affligé de la maladie d’Alzheimer ou un être cher l’est,


vous pouvez m’envoyer un courriel (à Jeffbo@aol.com) et je vous
dirai tout ce que je sais sur la façon d’arrêter la progression de la
maladie. Des idées prometteuses existent, mais vous n’en entendrez
pas parler avant 10 ans ou plus pendant que les tests ont lieu. J’ai
écrit un livre intitulé « Les Traitements d’Alzheimer qui ont
réellement fonctionné dans de petites études. » J’ai sous-titré cet
ouvrage : une nouvelle théorie de pointe jamais testée par votre
médecin ou les Big Pharma. Ce livre contient des informations sur la
façon d’arrêter la maladie d’Alzheimer et le processus du
vieillissement. Je sais que cela parait incroyable, mais lisez le livre et
jugez par vous-même !

D’accord, j’ai trop divagué sur ce point parce que d’après ce que je
sais maintenant, la carence en vitamine D3 est plus liée à nos
modes de vie plutôt qu’au vieillissement. Mais dans une certaine
mesure, le vieillissement engendre une carence en vitamine D aussi,
car la peau âgée a plus de difficulté à synthétiser et fabriquer la
vitamine D3 à partir du soleil comme la peau jeune peut le faire.
Laissons ce point de côté pour le moment et regardons la carence
en vitamine D3 ou le manque de supplémentation indépendamment
de notre âge. Alors, comment ai-je découvert les bienfaits
incroyables de la vitamine D3 ? Je vous le raconte dans ce qui suit.
9. LES DANGERS DE LA CARENCE
EN VITAMINE D3

D’abord, permettez-moi de vous donner une liste de toutes les


maladies qui semblent être liées aux faibles taux de vitamine
D3. Je dis ceci après mes lectures (et recherches) de 52 000
résumés d’articles de revues scientifiques sur la vitamine D. Ces
articles sont généralement de 1967 à 2011, mais certains titres sur la
vitamine D remontent à 1922. Les faibles taux de vitamine D3 sont
associés ou sont connus pour causer les maladies suivantes :

1. L’obésité : presque toutes les personnes obèses sont déficientes


en vitamine D3. Les médecins « prévenants » nous ont conseillé de
nous protéger du soleil et d’appliquer de l’écran solaire dès les
années 1980. Éviter les rayons du soleil et mettre ces crèmes sur la
peau ont contribué à l’épidémie d’obésité que nous connaissons
aujourd’hui ! Ce n’est pas dû au régime alimentaire ou au manque
d’exercice, bien qu’ils puissent jouer un rôle. C’est le manque de
soleil et le manque de D3 qui conduisent à l’obésité, et non la
malbouffe ou le manque d’exercice physique qui ne sont pas de
véritables raisons pour grossir. Voilà ce que j’appelle le syndrome de
l’hibernation humaine. En tout cas, le déficit en D3 vous amène à
développer un appétit insatiable pour les graisses et les glucides.

2. La dépression : le trouble affectif saisonnier (TAS) sévit en hiver


lorsque l’intensité du rayonnement solaire est à son plus bas niveau.
100 000 UI de D3 par jour se sont révélés être beaucoup plus
efficaces que la luminothérapie pour le traitement du TAS.

3. L’arthrite : Si on changeait comment on définit la carence en


vitamine D, je parie qu’au moins 80 % des gens atteints de
problèmes osseux et articulaires seraient déficients en vitamine D3.
J’en suis sûr et certain.
4. L’autisme : l’augmentation considérable de l’autisme depuis les
années 1980 est la conséquence directe des conseils des médecins
qui voulaient nous mettre à l’abri du soleil. Les naissances d’enfants
autistes sont à leur sommet au mois de mars et au mois de
novembre lorsque l’exposition au soleil est au minimum. Durant les
mois d’hiver, le taux de naissance des enfants autistes est plus élevé
que pendant les mois d’été, mais moins que durant les pics de mars
ou de novembre. Le rôle non négligeable de la neige qui reflète le
soleil sur la peau entre décembre et février explique la petite
amélioration des mois d’hiver. Cela explique aussi pourquoi l’autisme
est plus répandu dans les latitudes septentrionales que dans les
régions méridionales ; c’est pour la même raison que la déficience
touche plus gravement les gens à la peau foncée comme ils ont
besoin de plus de soleil (30 fois plus selon le Dr Holick, expert en
vitamine D).
Vous pourriez lire le livre numérique très court, intitulé « Emily’s story
» (l’histoire d’Emily) qui décrit comment certains enfants autistes ont
bien réagi à la thérapie à haute dose de D3.

5. La SEP : la carence en vitamine D3 cause la sclérose en


plaques qui est plus fréquente aux latitudes nordiques et presque
inconnue près de l’équateur.

Flash Info ! Je viens de recevoir un clip vidéo de la part d’un de mes


lecteurs au Brésil. Les médecins brésiliens guérissent oui, j’ai bien
dit... GUÉRISSENT (comme je l’imaginais) la sclérose en plaques
(SEP) avec des doses élevées de D3. Regardez ce clip de près de
30 minutes sur YouTube : http://www.youtube.com/watch?
v=erAgu1XcY-U.

6. La SLA : le faible taux de D3 chez les patients atteints de


sclérose latérale amyotrophique est-il la cause ou la conséquence ?
Selon mes recherches, la SLA ressemble davantage à la maladie
d’Alzheimer et c’est une maladie liée à l’âge.
7. Les bébés schizophrènes ont un faible taux de vitamine D3.

8. L’asthme : le nombre de cas d’asthme est monté en flèche depuis


1980 en raison des faibles taux de D3 chez les asthmatiques. J’ai
récemment appris que plusieurs essais cliniques se déroulent dans
le monde en ce moment. Les malades asthmatiques reçoivent des
doses élevées de la vitamine D3. Lisez le commentaire écrit par une
lectrice sous le nom d’Alaska Dancing Bear pour évaluer mon livre
sur Amazon. Elle décrit comment l’asthme qui l’a accompagné toute
sa vie est parti après 20 000 à 30 000 UI/jour de vitamine D3. Cela
m’a amené à écrire un autre livre pour les asthmatiques. Dans le
livre sur l’asthme, je parle de l’hormone de remodelage pulmonaire.
À la fin de 6 pages, j’avoue que cette hormone de remodelage
pulmonaire humaine n’existe pas. Je l’ai inventé, et je parlais
vraiment de la vitamine D3 ! Dans ce livre, je cite également les cas
des lecteurs du Dr Cannell qui ont guéri leur asthme par les doses
élevées D3.

9. La sclérodermie, une maladie du collagène, touche les patients


avec faibles taux de D3. J’ai moi-même eu une forme bénigne de
sclérodermie dans l’enfance.

10. Les allergies : Je n’ai jamais entendu parler des allergies


dangereuses aux arachides quand je grandissais dans les années
1970. Aujourd’hui, elles sont assez répandues !

11. Tous les troubles auto-immuns mineurs de la peau comme


les pellicules sur le cuir chevelu ou le psoriasis.

12. De nombreux types de cancers y compris les cancers de la


prostate, du sein, du côlon, du pancréas et la leucémie.

13. La tuberculose.
14. Les rhumes qui sont beaucoup plus fréquents pendant les mois
d’hiver que les mois d’été.

15. La mycose des ongles dont certains (moi compris) se sont


débarrassés en prenant de fortes doses de vitamine D3.

16. Le diabète de type 1 qui apparaît chez les enfants : le système


immunitaire détruit les cellules qui produisent de l’insuline. Tous les
malades ont un faible taux de D3.

17. Le diabète de type 2 qui touche généralement les adultes plus


âgés et obèses : tous les patients ont un faible taux de D3 ici aussi.

18. Le syndrome métabolique lié au diabète de type 2 et à la


résistance à l’insuline.

19. L’hypertension artérielle.

20. L’arthrite rhumatoïde.

21. La maladie de Crohn, le syndrome du côlon irritable et la


colite ulcéreuse : lisez dans la section des témoignages à la fin de
ce livre le cas dramatique de Maggie qui guérit sa maladie de Crohn
de 50 ans.
22. L’alcoolisme : souvent connu comme une réaction à la
dépression et plus sévère dans les latitudes nordiques. J’ai un
proche parent qui a été alcoolique. Incapable de résister aux
boissons alcoolisées fortes, il commençait à boire à 13 heures tous
les jours, et cela pendant 20 ans. Après environ six mois de vitamine
D3 à dose assez élevée, il a cessé de boire un jour, tout seul, et
maintenant il ne boit que de la bière de manière occasionnelle.

23. Les kystes de ganglion (voir mon cas plus haut).

24. Les kystes sous-cutanés (voir mon cas plus haut).


25. L’acné ! De façon intéressante, le récepteur de la vitamine D3
n’est pas seulement en compétition avec le récepteur de l’hormone
thyroïdienne-3 (T-3), mais aussi avec le récepteur de l’acide
rétinoïque. On utilise l’acide rétinoïque comme traitement pour
combattre l’acné (et les rides). Vous pouvez bronzer tout en vous
faisant traiter par le soleil contre les boutons méchants. Votre
vitamine D3 augmente dans la peau de la zone touchée par l’acné.
Lisez le
témoignage du garçon qui a guéri son acné avec les doses élevées
de D3 quand le médicament dermatologique Accutane ne lui a pas
réussi.

26. Les maladies cardio-vasculaires : arrêt et hypertrophie


cardiaques.

27. La MPOC : maladie pulmonaire obstructive et chronique (et ses


maladies accompagnatrices de la bronchite et de l’emphysème).

28. Autres problèmes pulmonaires.

29. Le lupus : Lisez le témoignage de la femme qui a soigné ses


lésions cutanées (et son allergie au soleil) avec une dose de 10 000
UI quotidiennes de D3 sur une période de 7 mois.

30. La dégénérescence maculaire : une personne qui a pris de


fortes doses affirme que la vitamine D3 l’a guérie (dans les
témoignages à la fin du livre).

31. Les douleurs liées à croissance chez les enfants.

32. La maladie rénale : Tous les malades ont un taux de D3 faible.

33. Les naissances prématurées : augmentées de 36 % au cours


des 25 dernières années, peut-être en raison des écrans solaires ?
Ces chiffres sont de moitié chez les femmes enceintes qui ont pris
4000 UI de D3 par jour (trop faible, dis-je). On recommande aux
mères allaitantes de prendre 6400 UI/jour. Je dis trop bas ici aussi !

34. Les problèmes de bébés : petits bébés, bébés souffrants de


rhume ou d’eczéma et mères atteintes d’infections, etc.

35. Les complications de la grossesse comme la pré-éclampsie,


l’hypertension artérielle, le diabète gestationnel (réduit par un
dosage élevé de D3).

36. La fausse couche causée par une attaque auto-immune du


fœtus.

37. Ulcères et gastrite associée à la bactérie Helicobacter pylori :


plus connue comme H. Pylori.

38. La mort pendant l’accouchement.

39. Les troubles de l’apprentissage et les déformations


cérébrales chez les enfants.

40. L’anorexie mentale (beaucoup plus élevé en mars).

41. La dépression maniaque : facile à comprendre, car le manque


de sommeil induit une manie et trop de sommeil induit la dépression.

42. Les accidents vasculaires cérébraux pendant et après la


grossesse en hausse de 54 % depuis 1994 !

43. Les attaques cérébrales : une étude récente a démontré un


risque accru de 56 % dans les régions où la lumière du soleil est
faible ou moindre.

44. La douleur osseuse non spécifique.


45. La somnolence de jour excessive : lisez le commentaire d’un
lecteur du livre qui dit que la vitamine a été le remède de sa guérison
!

46. Je vais ajouter le trouble déficitaire de l’attention (TDA) qui se


présente avec hyperactivité ou non. Quand j’étais enfant, j’avais
l’asthme ainsi que le TDA avec hyperactivité et j’ai récemment appris
que les enfants avec déficit d’attention sont également très sensibles
à l’asthme. Bien que je n’aie trouvé aucune étude qui établit le lien
entre la carence en vitamine D3 de la mère et les enfants avec TDA,
je crois que c’est juste une question de temps jusqu’à ce que ce lien
soit établi. De plus, certains des gènes impliqués dans le
déclenchement de l’autisme sont également impliqués dans le
déclenchement du trouble de l’attention. Puisque nous savons que
l’autisme est lié au faible taux en vitamine D3 de la maman, nous
pouvons faire une hypothèse osée selon laquelle le faible taux de D3
chez la mère cause également les troubles de déficit d’attention (et
l’hyperactivité).

47. Le glaucome : Dr Kaufman de l’Institut américain du glaucome a


découvert que les gouttes de vitamine D3 mises dans les yeux des
singes réduisent la pression intraoculaire de 20 à 30 %. Attendez
qu’ils leur donnent 30 000 UI/jour !

48. Les migraines.

49. La maladie de Parkinson (cette maladie touche moins les


ouvriers qui travaillent dehors).

50. Les infections sur les voies urinaires.

51. Le SPM : syndrome prémenstruel chez les femmes.

52. Les crampes menstruelles : voir le dernier résumé du livre.


53. La goutte ou arthrite goutteuse : les niveaux élevés d’acide
urique mangent votre vitamine D3 ou la D3 faible provoque la goutte.

54. Étant donné que diverses conditions psychologiques et


psychiatriques se sont révélées associées à un faible taux de D3, les
cures de vitamine D pourraient guérir deux autres conditions. Ce
sont le trouble compulsif d’accumulateur qu’on appelle aussi la
syllogomanie et le trouble obsessionnel compulsif (TOC). Une
explication plausible : si l’évolution vous prépare pour la famine
d’hiver lorsque vos niveaux de D3 sont bas, c’est logique que vous
commenciez à amasser toutes sortes de choses, y compris les
aliments.

55. Les caries dentaires : après avoir vu un reportage sur


l’augmentation de caries en exacerbation chez les enfants même les
bébés, j’ai jeté un coup d’œil aux sources documentaires. Le Dr
Cannell affirme que donner 1 000 UI/jour de D3 arrête la formation
de cavités chez les enfants.

56. Le psoriasis : c’est incroyable ! Vous pouvez lire le


commentaire d’un lecteur de mon livre sur Amazon : Donn Carroll,
un docteur en médecine, avait un mauvais psoriasis incurable, au
point où il dormait sur le ventre. Après deux mois de 50 000 UI/jour,
il était complètement guéri ! Il était aux anges aussi.

57. La fasciite plantaire : je l’ai eu pendant environ un an, mais elle


est partie avant ma grande expérience, alors que je prenais juste 4
000 UI/jour. Un lecteur brésilien m’a informé qu’il avait eu une
fasciite plantaire pendant deux ans. Après la prise de 25 000 UI/jour,
en l’espace de tout juste 2 semaines, il n’avait plus de nouvelles de
la fasciite !

58. L’ostéopénie : un autre commentateur a récemment décrit


comment les doses élevées D3 et K2 ont guéri l’os cassé dans son
pied après 6 mois d’échec sur les conseils (suivis à la lettre) de son
médecin.

59. Les vertiges et migraines : Une lectrice m’a envoyé un email


depuis l’Écosse pour me dire que la dose élevée D3 a rapidement
guéri ses migraines associées au vertige.

60. Les blessures chroniques et les ulcérations qui ne guérissent


pas : lisez le courrier électronique que j’ai reçu d’une femme avec
des blessures chroniques. Après 75 000 UI/jour de D3, toutes ses
blessures sont devenues introuvables comme elle me l’a raconté
(voir son courriel à la fin du livre).

61. La dégénération du genou : j’ai reçu un courriel d’une lectrice à


qui les médecins avaient dit qu’elle avait besoin de remplacer les
deux genoux. Après avoir pris 2 000 UI de D3 pendant 60 jours, puis
augmenté la dose à 10 000 UI pendant un mois de plus, elle se dit
maintenant complètement avoir les genoux parfaits et a évité la
chirurgie. Voir son courriel à la fin du livre.

62. La myopie et l’hypermétropie : la même lectrice qui a évité


l’opération du remplacement des genoux ci-dessus a également
remarqué que sa vue s’améliorait. Son œil droit est allé de +2,25 à
+0,75 et son œil gauche est allé de +0,75 à +0,25. L’assistante de
son ophtalmologiste lui a demandé si elle avait eu une intervention
corrective. Consultez le courrier électronique à la fin du livre. J’ai
moi-même également remarqué que ma vision lointaine semblait
être plus claire, comme si je regardais des eaux boueuses qui
semblaient devenir limpides et que la perception de la netteté soit
plus prononcée. Je me demande si c’était juste le travail de mon
imagination. Cependant, comme la vitamine D3 remodèle divers
tissus du corps, c’est possible qu’elle remodèle également la lentille
intérieure de votre œil.
63. La kératose actinique : un lecteur aux cheveux roux et à peau
pâle a déclaré qu’il souffrait d’une condition physique, la kératose
actinique, où l’exposition de sa peau au soleil provoque de grosses
taches épaisses. Ces marques sur la peau ont 20 % de risque de se
transformer en cancer. Consultez son courrier électronique à la fin
du livre.

64. Les coups de soleil et brûlures : apparemment, les gens qui


attrapent facilement les coups de soleil peuvent les éviter en prenant
une dose élevée de D3. Voir les derniers courriels, à fin du livre.

65. Les excroissances osseuses : mon ostéophyte sur le coude a


disparu après 9 mois de doses élevées de D3. Puis, j’ai reçu un
courriel d’un homme qui avait deux excroissances sur les chevilles
tellement grosses que son podiatre n’en avait jamais vu. Ces
éperons osseux étaient apparus sur ses chevilles vers l’âge de 20
ans, et ils ne sont partis qu’après 26 000 UI/jour de D3 pendant un
certain nombre de mois (voir le courrier électronique à la fin du livre,
encore une fois).

66. L’hypoglycémie sévère et l’hypogonadisme : le courriel le


plus remarquable à ce jour m’est venu d’un homme qui a subi une
terrible hypoglycémie introuvable depuis son enfance. Guéri en un
mois ! Le traitement D3 à forte dose a également stimulé les niveaux
de testostérone de ce jeune homme au point où, à l’âge de 25 ans, il
a commencé à voir pousser une barbe pour la première fois de sa
vie.

67. Les varices : pas de plaisanterie, c’est sérieux ! J’ai vu des gens
se pencher sur des varices qui ressemblaient à des bandes
d’araignées. Ces varices se sont réduites après les prises de doses
élevées D3.

68. L’incontinence : la mère du lecteur (de mon livre) qui a mis en


place le site web takeD3.com est une femme septuagénaire. Elle
avait du mal à retenir son urine et devait courir aux toilettes pour
éviter les petits accidents. Après six mois et à 10 000 UI de D3 par
jour, elle n’a plus ce problème.

Après avoir examiné cette liste de maladies, un petit nombre de


lecteurs qui sont aussi des commentateurs actifs sur le site Amazon
ont dit que c’était trop beau pour être vrai et exprimé quelques
doutes. Ils parlent de « promesses exagérées sur la santé ». Je leur
réponds qu’avant de parler, ils devraient s’informer. Si vous vous
penchez sur les 52 000 études effectuées sur la vitamine D3
(maintenant 55 000) dans la base de données PubMed, cela ne
vous prendra qu’environ 3 à 6 mois. Vous parlerez alors en
connaissance de cause et pas en vous basant sur vos croyances.
D’une façon ou d’une autre, certaines personnes devraient
abandonner cette « nécessité » de vouloir dire à tout le monde ce
qu’ils pensent savoir. Ce que j’ai appris de ces commentaires, c’est
que le bon sens n’est pas si commun ! Ne savent-ils pas que j’ai
examiné plus de 52 000 études sur la vitamine D ? J’imagine qu’ils
ont manqué cette information ou ne comprennent pas ce que cela
implique.

Quoi qu’il en soit, je ne veux pas que des gens manquent la


possibilité d’un remède parce qu’ils se seraient concentrés sur les
dires de ceux qui régurgitent leur « sagesse » traditionnelle. Les
maladies citées plus haut sont toutes liées à la carence en D3. La
plupart des maladies sur cette liste viennent de la lecture (de 52 000
résumés) d’articles. Quelques-uns de ces points viennent des
comptes-rendus anecdotiques de mes lecteurs.
10. UN REMÈDE POUR TOUTE MALADIE EN 30
JOURS

Je n’ai pas encore fait ceci, mais vous pourriez en apprendre


davantage en tapant simplement la saison ou le mois de naissance
dans la base de données PubMed. Si vous lisez tous les titres des 3
600 articles des revues scientifiques, vous verrez qu’il y a beaucoup
d’informations qui lient le mois de naissance au taux de vitamine D3
de la mère pendant la grossesse.
Maintenant, qu’en est-il de l’ostéoporose ? Le bon sens vous dirait
que si la vitamine D3 est bonne pour vos os, une carence en D3
devrait provoquer une ostéoporose. Je crois que ce n’est pas vrai !
J’ai cherché dans la base de données PubMed les articles
scientifiques qui remontent à 1967 et plus tôt. Pour les termes de
recherche « La carence en D3 provoque l’ostéoporose », j’ai trouvé
seulement 79 résultats ! Si le déficit en D3 provoquait l’ostéoporose,
nous aurions au moins 1 000 résultats ! Bien sûr, j’ai vu des études
qui suggèrent que les niveaux réduits de D3 entraînent une
augmentation des fractures. Mais ce n’est pas l’ostéoporose, mais
plus probablement une mauvaise maintenance osseuse. Je peux
vous garantir et je parie, pratiquement sur ma vie que si vous faites
une petite recherche rapide sur les résumés de PubMed, vous
verrez, que la carence en D3 ne cause pas l’ostéoporose. Je
mentionne PubMed ici afin que vous puissiez vous habituer à faire
vos propres recherches et trouver les réponses à vos questions
dans la base de données. Vous n’avez pas besoin de savoir grand-
chose avant de commencer. Vous pouvez juste réfléchir à une
question, et si c’est vrai, vous obtiendrez beaucoup de résultats qui
disent que c’est expressément vrai. Et vous n’avez pas à lire
l’intégralité du résumé. La plupart d’entre eux ne représentent que
beaucoup de chiffres concernant l’expérience. Chaque résumé est
composé d’un titre, d’une introduction et d’une conclusion. Vous
avez donc besoin de vous concentrer sur ces parties de chaque
résumé et bientôt, même sans être spécialiste d’un domaine, vous
verrez un modèle se dessiner. Les modèles signifient généralement
quelque chose et conduisent à d’autres questions. Je crois que la
plupart des gens pourraient guérir n’importe quelle maladie
uniquement avec les connaissances acquises de leurs recherches
juste en utilisant la base de données PubMed et tout cela en un seul
mois ! Sans blague !

Tous les scientifiques là-bas sont en train de produire à tour de bras


de petites pièces de casse-tête dans leur petit domaine d’expertise,
et presque personne ne travaille sur le grand puzzle ! En fait, si vous
regardez les journaux scientifiques, vous constaterez qu’environ 99
% d’entre eux traitent des résultats d’expériences ou d’observations
cliniques. Je connais seulement une revue médicale consacrée aux
théories et hypothèses médicales ! Cela devrait vous dire combien
notre communauté scientifique est dysfonctionnelle en réalité. Je
crois que la plupart des scientifiques sont des autistes limités qui
aiment la répétition, l’uniformité et la précision pédante. Trop
pointilleux, ils sont trop occupés à corriger les autres et tels les
enfants autistes, ils se fâchent lorsque les meubles sont réarrangés !
On dirait que toutes les personnes créatives font carrière dans les
domaines des beaux-arts et du cinéma ou écrivent des romans,
mais ne choisissent pas les sciences. C’est ainsi que cette base de
données de PubMed reste bien enfouie alors qu’elle contient les
réponses à nos questions sur toutes les maladies. Bien cachée,
mais gorgée de savoir, PubMed n’attend que nos recherches. On a
besoin d’une personne créative qui travaille environ 30 minutes par
jour sur un maximum de 30 jours par maladie ! Vous pouvez accéder
gratuitement à la base de données de PubMed sur Internet à
www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed.

PubMed a documenté beaucoup d’expériences scientifiques menées


depuis 1967. Si vous faites une hypothèse et l’écrivez dans le
champ de recherche et que c’est faux, vous obtiendrez un nombre
restreint de réponses, et les résultats seront liés à votre question de
façon générale. Voici les résultats que j’ai obtenus en réponse à ma
question. En fait, c’était une hypothèse (la carence en D3 provoque
l’ostéoporose) qui n’a pas reçu de confirmation. Les résultats ont
suggéré que la carence en D3 ne provoque pas l’ostéoporose. On
apprend beaucoup en découvrant comment les énormes bases de
données fonctionnent. Je les ai utilisées comme principale source
dans mes recherches depuis plus de 25 ans. Alors, croyez-moi
quand je dis qu’il existe des modèles facilement observables dans
les informations qui vous donneront des réponses. Vous devez juste
donner du temps, comme pour faire un casse-tête.

Les journaux ont publié une étude récente qui suggère que la
supplémentation en vitamine D3 (très faible dose) avec le calcium
n’aide pas les femmes atteintes d’ostéoporose comme ma théorie le
prédit. Cependant, ils n’ont pas utilisé une dose élevée, alors peut-
être que la dose était le problème. En attendant que l’on mène
d’autres études sur des doses plus élevées de D3, j’ai assez
d’assurance pour dire que le faible taux de D3 n’est pas la cause de
l’ostéoporose.
Cette étude a également suggéré que la supplémentation en calcium
a causé une augmentation de la maladie cardiaque due à la
calcification. Je suis sûr qu’ils n’ont pas donné à ces femmes de la
vitamine K2 pour garder le calcium dans leurs os et hors de leur
sang, veines et tissus mous ! La conclusion était d’une négligence
criminelle et conseillait aux femmes de ne pas prendre de « vitamine
D3 pour l’ostéoporose » tout en laissant de côté la multitude d’effets
bénéfiques que la D3 a sur tout le reste ! Certains suggèrent que les
Grandes Compagnies pharmaceutiques ont lancé cette étude de la
désinformation comme première étape de la tentative de faire
proscrire la vitamine D3.
En résumé, les 79 résultats de PubMed concordent avec mes
articles précédemment publiés dans lesquels je suggérais que ce
n’est pas une déficience en hormones qui cause l’ostéoporose. Au
contraire, le problème, c’est l’excès en hormone lutéinisante qui se
produit chez les hommes et femmes après l’âge de 40 ans, lorsque
cette hormone attaque les os (l’ostéoporose), le cerveau (Alzheimer)
et beaucoup d’autres parties du corps. C’est à croire que toutes les
maladies connues de l’homme, autres que celles causées par le
vieillissement, sont toutes liées à la carence en D3. C’est ce que
j’appelle le syndrome de l’hibernation humaine (SHH) avec son
sous-syndrome, le syndrome de la réparation incomplète (SRI).

Vous voyez que j’étais vaguement conscient des avantages de la


vitamine D3 il y a environ 8 ans quand j’ai appris que les douleurs
dans le corps et surtout aux articulations sont les résultats des
carences en vitamine D3. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à
prendre 4000 UI/jour en pensant que c’était une dose assez élevée
pour me donner de bons effets. Et j’ai vu ces effets ! J’ai pu éliminer
beaucoup de mes problèmes arthritiques que j’ai commencé à avoir
dans la trentaine. Puis, j’ai recommencé mes activités sportives et je
pouvais éviter les blessures aux épaules ou aux poignets, chose que
j’essayais depuis 10 ans en vain.

Un jour, j’ai reçu un indice à travers le cas de mon père, médecin


urologue formé à l’Université de Stanford. Il avait suivi mon conseil
et pris 2000 UI de D3 par jour pendant plusieurs années et avait
finalement eu droit à un test de vitamine D3. Comme il aime le dire,
ce test payé par l’assurance médicale Medicare coûte 380 $ ! Moi, je
me contente de mon petit test maison et en vente libre que j’achète
à 44 $ chez Life Extension Foundation (LEF). J’étais choqué lorsque
mon père a reçu ses résultats : il avait encore un niveau de vitamine
D3 à l’extrémité des taux normaux officiels avec 30 ng/mL (74
nmol/L) à l’âge de 79 ans ! Il est plus prudent d’avoir des valeurs au-
dessus de 175 nmol/L et certains disent que c’est plus sain d’être
proche de 375 nmol/L ! Pour ma part, je ne suggère pas que rester à
375 nmol/L est sans risque pendant de longues périodes. Je
recommanderais d’aller aussi haut que pour inverser certains
problèmes de santé avant de vous stabiliser vers 90-100 ng/mL
(225-250 nmol/L).
Les résultats du test de mon père m’ont fait réfléchir. Il avait pris
2000 UI, une dose qui était censée être 5 fois supérieure à la dose
officielle de 400 UI recommandée par les médecins. Je me suis dit
que je venais peut-être d’une famille aux faibles taux de vitamine D3,
causés par nos gènes. Il avait pris 5 fois la dose quotidienne
recommandée, mais il était à un niveau extrêmement critique de 30
ng/mL (75 nmol/L) ! Ou alors, peut-être que toute la communauté
médicale avait tort pendant toutes ces années quant à la quantité de
vitamine D3 que nous devons tous prendre et sur la quantité de
soleil dont nous avons besoin au quotidien.
11. LA MEILLEURE OPTION DE TEST SANGUIN

Aux États-Unis, la façon la moins chère et la plus pratique de


connaitre son taux sanguin de vitamine D est d’utiliser le test de LEF.
C’est simple : vous allez sur leur site web, sélectionnez le test de
vitamine D et payez 44 $. Puis, vous attendez de recevoir un
formulaire de test prépayé. Imprimez-le et allez au laboratoire
médical le plus proche (aux États-Unis, c’est souvent LabCorp). Le
laboratoire prélève votre sang sans peine dès que vous arrivez, puis
vous repartez. Pendant la nuit, votre sang est envoyé à LEF et vous
obtenez vos résultats par courrier électronique en 2-3 jours ! Je
préfère payer 60 $ et sortir mon doigt pour donner 4 gouttes de
sang...aïe !
Je recommande de faire le test sanguin en hiver quand votre taux de
vitamine D est au plus bas. Qui veut savoir son niveau de vitamine D
en été quand ce sont les bas taux qui vous rendent malade ? Peut-
être que Life Extension Foundation fournit ses services dans
d’autres pays ? Je sais qu’ils vendent des produits dans le monde
entier.
La dose de 4000 UI/jour que je prenais pendant environ six ans m’a
suffi comme médecine préventive aux entraînements physiques.
Cependant, cette dose n’a eu aucun effet sur une condition dont je
souffrais pendant plus de 20 ans. La hanche à ressaut est souvent
une blessure associée au sport et signale que quelque chose ne va
pas dans votre hanche, de sorte que lorsque vous étendez vos
jambes assez loin, vous entendez et ressentez un clic étouffé, mais
audible dans la hanche. J’avais essayé de nombreuses façons de
régler le problème en évitant une opération. Les médecins ont
suggéré la chirurgie comme le meilleur traitement pour relâcher le
tendon psoas-iliaque pour qu’il ne cause plus la sensation de
cliquetis en claquant sur l’os. Les chiropraticiens n’avaient aucune
idée pour m’aider. J’avais lu que, entre autres choses, l’hormone-
vitamine D3 est l’hormone de remodelage des os et des
articulations.
C’est ainsi qu’après avoir reçu les résultats de mon père, j’ai décidé
d’essayer une nouvelle expérience et d’augmenter considérablement
la dose de D3 pour voir ce qui allait se passer. Je suis passé de
4000 à 20 000 UI par jour, 20 000 UI. 20 000 UI/jour, c’est 50 fois la
dose recommandée par les médecins ! Ces médecins à qui on a
enseigné la toxicité de la vitamine D lors de leur première année de
l’école de médecine vous auraient mis en garde contre un danger
imminent si vous leur aviez demandé. Les premiers résultats ont été
très intéressants. Je suis allé dans une phase de manie de
testostérone pendant un certain temps, et j’avais beaucoup
d’énergie et de colère. Ceci n’est pas trop surprenant, car la vitamine
D3 est une hormone stéroïde, une hormone sécostéroïde pour être
précis. Cela signifie qu’elle a la même forme qu’une hormone
stéroïde, mais avec un anneau ouvert contrairement aux hormones
stéroïdes qui ont les quatre anneaux fermés en cercle.
Mais j’ai également commencé à ressentir de la douleur dans toutes
les articulations qui avaient déjà eu une blessure auparavant. J’ai
alors compris et lié la douleur à toutes mes vieilles blessures qui ne
s’étaient jamais guéries correctement. Ces anciennes blessures ont
disparu pour de bon et mes os et articulations se remodèlent ! J’ai
repensé à une expérience faite sur des rats qui avaient eu les os
brisés. Les rats sans supplément de vitamine D3 ont eu des
réparations osseuses avec des callosités sur la fracture, alors que
les rats rationnés en D3 avaient les os parfaitement cicatrisés sans
irrégularité. J’ai continué avec les 20 000 UI/jour, en supposant que
l’hypothèse de remodelage des os et des articulations était correcte.
Mais en attendant, j’ai dû prendre de l’ibuprofène de temps à autre
pour surmonter la douleur ! J’ai également mis de la crème
d’ibuprofène sur les articulations douloureuses. Je me sentais un
peu malmené par les doses de vitamine D, mon corps était endolori
pendant quelques semaines. C’était comme si quelqu’un m’avait
frappé les épaules avec un marteau de forgeron tellement j’avais
mal, allant des blessures du vieux rugby aux blessures plus récentes
du paintball. Toutes ces blessures au genou, le ressaut de la hanche
et le kyste ganglion au poignet me faisaient souffrir. Mais à peu près
deux mois plus tard, la plupart de ces douleurs avaient disparu. Et
j’ai remarqué que mon kyste ganglionnaire avait durci et diminué de
taille. Cela semblait fonctionner ! Mes os et articulations se sont
remodelés.

Apparemment, votre corps n’oublie jamais la configuration correcte


des os et des articulations, mais il évite de les réparer à défaut de
ressources cruciales pendant l’hiver. Mes épaules souffrent encore 6
mois plus tard, mais la principale douleur est dans mon épaule
gauche, là où j’ai eu une blessure au rugby. J’ai l’impression que
c’est bien le dernier remodelage qui semble s’effectuer dans cette
épaule gauche disloquée quand j’avais 21 ans. Les médecins m’ont
opéré, mais la correction chirurgicale ne m’a pas guéri. Mon épaule
droite est presque sans douleur, et ma hanche ne fait plus ce petit
bruit sourd. Totalement parti ! Au moment où j’écris, j’ai terminé le 9e
mois de mon expérience dangereuse. J’ai dépassé 100 000 UI/jour,
puis arrêté en raison de la douleur, puis remonté à 25 000 UI/jour,
mais maintenant, mon épaule gauche est totalement sans douleur.
Pourtant, lorsque je soulève des poids lourds, je ressens que
l’articulation de l’épaule gauche glisse comme de la gelée, souple et
sans aucune rigidité. Quand je réduis ma dose de D3, je m’attends à
ce que mes articulations flexibles se durcissent et j’espère retrouver
la bonne configuration réparée de ma jeunesse. Je suis sûr que mon
épaule droite a subi une transformation dramatique puisque j’étais
lanceur de balle et un joueur de troisième base au baseball quand
j’étais au lycée.
Vers la trentaine, mon épaule droite était si rigide que je ne pouvais
pas jeter un ballon hors de la plaque d’origine après la deuxième
base. Mais maintenant, quand je joue avec mes chiens, je peux jeter
le ballon à nouveau, trois fois plus loin ! Et voilà que j’ai ravivé mes
rêves d’être un lanceur de grandes ligues ! Ceci est une petite
plaisanterie, bien sûr.
Pendant un certain temps, j’avais augmenté ma dose jusqu’à 100
000 UI par jour, mais je me suis senti nerveux quand j’ai pensé ou
imaginé que mes reins me faisaient mal. Puis, j’ai eu un test des
reins que je mentionne à la fin de mon livre. Alors je me suis arrêté
pendant un certain temps pendant environ 4 semaines, puis j’ai
recommencé avec 50 000 UI par jour jusqu’au moment où j’ai eu des
douleurs dans les articulations. Je me suis arrêté de nouveau avant
de recommencer à 25 000 UI par jour depuis 2 derniers mois, et tout
semble parfait.

Note ultérieure : comme je trouvais 25 000 UI trop confortables, j’ai


poussé vers les 30 000 UI et j’y reste. (Ça fait environ 2 mois à 30
000 UI et je remarque juste une légère augmentation de la douleur
dans mon épaule gauche et dans ma hanche droite où j’avais eu le
ressaut de la hanche. Je suppose que mon corps veut achever
encore quelques touches finales !)
Mise à jour récente : j’ai finalement décidé de remonter aux 50 000
et 60 000 UI par jour au cours des deux derniers mois pour essayer
de me débarrasser de toutes mes douleurs. L’épaule droite m’a fait
mal pendant un bout de temps, mais semble complètement guérie.
Dans la hanche droite, je n’ai plus de ressaut, juste une douleur
légère.

Je perds du poids sans essayer ! Je pèse maintenant 81 kg et j’en ai


perdu 25 sans effort ! Quand je suis revenu à 50 000 UI par jour, j’ai
commencé de nouveau à ressentir les effets de cette folie à la
testostérone. Les événements politiques me mettaient vraiment en
colère et j’ai commencé à envoyer un blogue quotidien à tout le
monde que je connaissais, cette demi-rage est retombée environ 2
mois plus tard.
Pendant mes recherches sur la vitamine D3, j’ai lu tous les 52 000
résumés ou titres d’articles scientifiques qui mentionnent la vitamine
D, publiés dans des revues scientifiques depuis 1967 [certains en
1922] dans PubMed.
Je ne vous demande pas de me croire sur parole. Vous pouvez
consulter tous ces résumés d’articles en faisant vos recherches sur
PubMed ou Google et en sélectionnant n’importe quel site web ou le
moteur de recherche PubMed. Tapez juste « vitamine D ». Bref, ce
que j’ai appris, la carence en vitamine D3 est la cause principale de
la plupart des souffrances causées par les maladies humaines
autres que le vieillissement. Toutes les nouvelles épidémies que
nous connaissons comme l’autisme, l’obésité, l’asthme, peut-être le
déficit d’attention et beaucoup d’autres [depuis les années 1980]
sont toutes dues aux conseils des médecins. Ces conseils sont de
rester hors du soleil, d’utiliser de la crème solaire et de ne pas
prendre beaucoup de vitamine D3, car c’est dangereux ! Je vous
dirai ce qui est dangereux... les conseils des médecins ! Désolé,
papa !

Permettez-moi de répéter la logique d’une perspective évolutive


quant à la raison pour laquelle cela pourrait être vrai. C’est
incroyablement simple et facile à suivre. Tout ce que vous avez à
faire est de vous demander pourquoi. Pourquoi l’évolution voudrait-
elle que vous deveniez obèse et déprimé si vous n’êtes pas exposé
à la lumière du soleil pendant une longue période ? Réponse : si
l’évolution détecte peu de lumière solaire, elle s’attend à votre
hibernation comme au temps d’une longue famine, quand la
nourriture et les ressources se font rares. En d’autres termes,
l’évolution veut que vous hiberniez, tout comme un ours avant l’hiver.
L’évolution veut vous faire manger comme un fou pour que vous
preniez beaucoup du poids et afin que la déficience en vitamine D3
devienne un signal pour votre corps entier. C’est le signal que la
famine arrive, ce qui vous donnera des envies de glucides et de
graisses, entre autres choses. C’est ainsi que vous restez bloqué à
la maison et évitez de gaspiller l’énergie. En retour, cela vous rend
déprimé. Vous pourriez aussi penser que pour vous garder à la
maison au lit, vous pouvez tomber malade. L’évolution vous donne
également l’asthme qui vous garde à la maison. Peut-être que vos
articulations risquent de se blesser afin que vous ne voyagiez pas
beaucoup et que vous reteniez de l’énergie. Alternativement, votre
système délaisse certaines réparations dans le but de conserver les
ressources précieuses pour la famine à venir. En vous préparant à la
famine, l’évolution ne veut pas votre rétablissement complet.
Ce sont là deux hypothèses qui pourraient être correctes. Dans
l’hypothèse de la rareté de ressources disponibles pendant une
longue période, au lieu de vous réparer complètement, ce qui prend
beaucoup de ressources, votre corps vous répare juste assez en
attendant de meilleurs jours. Quand vous voyez le soleil à nouveau
et que les ressources sont plus abondantes, l’évolution pourra
entreprendre plus de travaux dans votre corps.
Vous comprenez que nous avons trouvé un concept simple selon
lequel la carence en vitamine D3 provoque le syndrome de
l’hibernation humaine et le syndrome de réparation incomplète. Eh
bien, j’ai vérifié sur Internet si quelqu’un avait déjà eu l’idée du
syndrome de l’hibernation humaine, et j’ai trouvé que quelqu’un avait
breveté l’utilisation de T3, la forme active de l’hormone thyroïdienne.
Comme la vitamine D, l’hormone thyroïdienne a plusieurs formes :
T2, T3 et T4 comparables aux D1, D2 et D3 de la vitamine D, mais
seule la T3 est l’hormone active, les autres doivent se transformer
en T3. Ce brevet suggérait que pour soigner le syndrome de
l’hibernation humaine, on devrait prescrire cette hormone T3
généreusement. Ce qui m’a étonné, c’est que toutes les maladies
que la T3 devait conquérir étaient presque les mêmes que la D3
devrait guérir selon mon hypothèse !
Je savais alors que j’étais sur quelque chose de tangible ! J’ai
ensuite examiné l’hormone T3 par rapport à la vitamine D3 et j’ai
trouvé que les deux récepteurs hormonaux et les hormones
rivalisent souvent entre eux. Parfois la moitié d’un récepteur D3 se
retrouve avec la moitié d’un récepteur T3. J’ai aussi découvert que
lorsque vous augmentez une hormone dans le corps, l’autre
descend et que les hormones T3 et D3 sont très similaires en
structure. Cela m’a conduit à penser que peut-être la T3 était la
version hivernale de la D3, et aidait à tempérer la réponse à
l’hibernation humaine et le syndrome de réparation incomplète, mais
n’était pas aussi efficace que la D3. Cela semble être le cas. Le
manque de T3 a pour symptômes une faible énergie, de la
dépression et de l’obésité. Si vous donnez de la T3 à ces personnes
malades pour les relancer, elles se sentiront mieux tout de suite
après. Vous pouvez faire la même chose en leur donnant de la D3
qui leur permettra de se rétablir, à la différence de la T3. J’ai fait des
recherches sur les changements hormonaux chez les ours qui
hibernent, et les sources indiquaient une baisse modeste de
l’hormone thyroïdienne. J’ai ensuite fait des recherches sur
l’hibernation des ours et la vitamine D3 et j’ai trouvé un article qui
disait que les niveaux de vitamine D3 vont de 22 ng/mL en été à 8
ng/mL lorsque les ours hibernent. Ces chercheurs spécialistes en
hibernation se sont mis le doigt dans l’œil ! La vitamine ou hormone
D3 est l’hormone anti-hibernation, l’hormone T3 ne l’est pas !
L’homme qui fait des travaux de réparation chez moi a reçu son
diagnostic d’hypothyroïdie en 2001. Il a pris de la T4 (pas T3)
pendant des années. Son corps devait transformer la T4 en
hormone active T3 au besoin. La prise de l’hormone T4 l’a aidé,
mais pas suffisamment. Un jour, il est venu travailler avec une
infection oculaire et je lui ai suggéré qu’il prenne une grande dose de
D3 pour voir si cela aiderait son système immunitaire à l’éliminer. Il a
commencé à prendre 20 000 UI/jour, et après 3 jours, la D3 a
éliminé son problème aux yeux. Ou serait-ce une simple coïncidence
? C’était après que le médecin lui avait prescrit des antibiotiques qui
n’avaient eu aucun effet. Il a continué à prendre la dose élevée de
D3 pendant un certain temps et il a reçu des effets bonus. Il « ne
s’était jamais senti aussi bien depuis 20 ans » ! Son énergie avait
doublé et j’ai remarqué quelques mois plus tard que son grand ours
de corps commençait à se rétrécir et que son ventre s’était dégonflé.
Avant le changement, il ressemblait à un énorme mammouth poilu,
puisqu’il était très poilu et avec de longs cheveux et une longue
barbe. Je l’avais surnommé ainsi sans qu’il le sache. Il se dit accro
de vitamine D maintenant bien que je pense qu’il n’en prend pas
assez ou l’a peut-être arrêté, car il pèse toujours près 108 kg.

Je vous parlerai des résultats de cet homme s’il continue son


expérience de la vitamine D avant que ce livre ne soit terminé. Ou je
vous le dirai dans une édition ultérieure.

Maintenant, permettez-moi d’essayer de continuer sur des nouvelles


de santé publique dans mon pays ces jours-ci. Au moment où j’écris
ce livre, nous avons la première dame Michelle Obama qui déclare
une guerre contre l’obésité dans le système scolaire public des
États-Unis. Le plan consiste à éliminer l’engraissement et les
aliments riches en calories et à encourager les enfants à faire plus
d’exercice physique. En même temps, l’administration Obama a
récemment promulgué une taxe de 10 % sur les séances de
bronzage soi-disant qu’elles sont mauvaises pour vous. Certains lits
de bronzage peuvent considérablement augmenter vos niveaux de
D3, en particulier les lits UVB (pas UVA). Bien, laissez-moi vous dire,
les personnes de mon âge qui sont allées à l’école avant les années
1980 se souviennent de leurs camarades de classe. Je peux vous
garantir que personne n’avait des élèves gros dans leur classe dans
les années 1970, sauf pour peut-être un ou deux. N’est-ce pas ?
Tous étaient comme moi et mes camarades de classe, minces,
pourtant on mangeait toute la nourriture que nous voulions. Il y avait
juste quelques-uns de nos camarades de classe, qui étaient joufflus,
peut-être 2 ou 3 dans une classe de 25 enfants comme Mimi J ******,
et Scott B ****, mais tout le monde était mince ! Et je me souviens
aussi que Mimi et Scott étaient excessivement pâles. Peut-être un
signe de faible D3 ? Oh, j’allais oublier de mentionner que nous
étions presque tous blancs.

Dernièrement, je suis allé dans la classe de 6e année de la fille de


ma petite amie en 2003 pour participer à une activité parentale.
J’étais choqué : elle était l’une des maigres parmi 4 ou 5 autres
élèves comme elle. Le reste, garçons et filles, environ 80 % de la
classe avait un surpoids ! Beaucoup d’enfants étaient d’origine sud-
américaine, issus de l’immigration récente aux États-Unis, du moins
leurs parents l’étaient.
Cette remarque est importante et se pose comme un avertissement
pour ceux à la peau plus foncée. Les gens de couleur qui sont
récemment arrivés des pays plus ensoleillés présentent un risque
particulièrement élevé pour la carence en vitamine D3. Vous voyez
donc des taux d’obésité très élevés chez les immigrés récents qui
viennent de pays plus proches de l’équateur. La peau plus foncée
nécessite beaucoup plus de soleil que de peau blanche pour
produire la même quantité de vitamine D3 ! Et aujourd’hui, j’entends
que de nombreuses mères noires font tremper leurs enfants dans
les crèmes solaires ! C’est un outrage à mon avis.
Suis-je en train de tirer des conclusions en fonction d’une petite taille
d’échantillon ? Mais vous apprendrez en classe de statistiques qu’un
échantillon aléatoire de 30 est généralement assez précis, et ils
étaient 30 enfants dans cette classe que j’ai visitée. Alors, quelle
serait la différence entre les années 1980 et aujourd’hui ? Peut-être
que maintenant, les enfants obtiennent moins de cours d’éducation
physique et passent trop de temps les yeux sur les ordinateurs et la
télévision à la maison.
En même temps, je me souviens que tous mes amis regardaient des
tas d’émissions télévisées et mangeaient de la nourriture pas
particulièrement bonne pour la santé quand j’étais petit, et nous
n’étions jamais gros ! Nous passions beaucoup de temps dehors et
sans crème solaire puisqu’il n’en existait pas alors, heureusement !
Si les régimes alimentaires et l’exercice ne sont pas suffisamment
différents chez les enfants avant et après le début des années 1980,
qu’est-ce qui est si différent entre mon enfance et maintenant ?
Prenons une hypothèse folle !

L’introduction de la crème solaire et le rejet de l’exposition au soleil


ont fait leur grande entrée dans la société américaine vers 1980.
Cette date est aussi le point de départ de la flambée de l’autisme et
de l’asthme aussi. Fort probablement, les médecins, aux bonnes
intentions ont créé d’autres épidémies iatrogènes (causées par les
médecins) parce qu’ils voulaient nous protéger contre le cancer non-
mélanome, relativement bénin. La forme dangereuse du cancer de
la peau est le mélanome et nous savons aujourd’hui que la vitamine
D3 et l’exposition au soleil protègent contre ce cancer !

Oui, les médecins nous ont peut-être sauvé contre quelques cas du
cancer bénin de la peau, mais ils ont déchaîné une cascade de
toutes les maladies que j’ai mentionnées plus tôt et probablement
d’autres que nous allons découvrir plus tard. Leurs avertissements
contre le soleil nous ont carrément rendus malades, car les
instructions étaient de nous badigeonner d’écran solaire chaque fois
que nous mettions notre nez dehors comme pour nous prémunir
contre des « rayons mortels » ! Il suffit de regarder les nouvelles ces
jours-ci, chaque fois qu’il fait beau, le météorologue vous rappelle
toujours de porter un chapeau et de mettre la crème ! Quel conseil
totalement erroné si vous pensez à l’histoire de l’humanité et
comment nous sommes issus principalement des régions
équatoriales où le soleil est fort !
Les résultats de mon déficit en vitamine D3 pendant toute la vie

Maintenant, permettez-moi de vous en dire un peu sur ma vie et la


déficience de longue durée qui a pu m’a peut-être affecté. Je suis né
bien avant que la protection solaire ne soit en vogue ; tout ce que
nous avions était la lotion de bronzage ou le beurre de cacao ! Vous
rappelez-vous cette affiche publicitaire pour le beurre de cacao ? La
fille de Coppertone avec le chien tirant sur son maillot de bain
exposait sa ligne de bronzage. C’était dans cet environnement de
plage et soleil dans lequel nous avions tous grandi. Je jouais à
l’extérieur au soleil, et bronzais avec mes parents à la maison et à la
plage, et pendant les étés, j’étais toujours, en forme. Mes parents
faisaient de grands efforts pour bronzer quand ils pouvaient. Le
bronzage était à la mode alors et vous donnait l’air d’être en bonne
santé physique et mentale.
Mais à l’âge de 4 ans, en hiver, tout à coup, j’ai eu un asthme
sévère. Je me rappelle que je me sentais comme si je me noyais et
que je ne pouvais pas respirer, et ma mère et ma sœur essayaient
de m’aider, mais elles ne pouvaient rien faire ; c’était une agonie, et
j’ai toujours de la peine pour les autres asthmatiques, même si je
n’en ai pas eu de crise depuis l’âge de 6 ans. Je me souviens
encore des années plus tard, du manque d’air comme si c’était de la
torture sous l’eau ! Bien, « j’ai été guéri par les médecins » qui ont
décidé que j’étais allergique aux oreillers remplis de plumes. Alors,
ils ont pris mes tissus adénoïdes derrière le nez et dans la gorge et
m’ont donné des coussins synthétiques en échange. Cela semblait
faire l’affaire. Cependant, en rétrospection, l’asthme et les allergies
sont fortement associés à un taux faible de vitamine D3, des
suppléments de D3 et un voyage en Floride auraient
vraisemblablement fait l’affaire.
À l’âge de 23 ans, j’ai quitté Saint-Louis pour Chicago et tout à coup,
j’ai commencé à avoir des allergies saisonnières que je n’avais
jamais eues auparavant. Ces allergies revenaient chaque fois que je
voyais cette pelote blanche d’arbres ou de plantes flottantes dans
l’air. J’ai eu de très mauvaises allergies où je continuais d’éternuer
sans cesse et mes yeux piquaient avec démangeaisons et
larmoiements incontrôlables. Je devais prendre des médicaments
antiallergiques pendant une période d’environ 4 semaines.
Finalement, je me suis mis à Claritin, mais j’ai toujours essayé de
prendre le moins de comprimés possible. Ces allergies ne m’ont pas
quitté depuis que je les ai eues. La première année de mon
expérience D3, j’ai trouvé que mes allergies étaient moins
nombreuses et qu’il fallait seulement prendre environ 5 comprimés
de Claritin. Cette année, la deuxième année de mon expérience
dangereuse de D3, j’ai traversé la saison des allergies sans Claritin !
Presque guéri ?! J’ai eu quelques éclats d’éternuements lorsqu’il y
avait de la poussière dans l’air, mais pas besoin de Claritin. Je peux
donc faire l’hypothèse que la dose élevée de D3 sur une longue
durée protégera des allergies.

Apparemment, il faut un peu plus de temps pour remodeler votre


système immunitaire que de se débarrasser d’un éperon osseux ou
d’un ressaut de hanche !

Vers l’âge de 10 ans, j’ai eu un embarrassant début de calvitie sur


ma tête. Vous auriez cru qu’un sabre avait coupé mon cuir chevelu
de mon capuchon vers le bas vers mon visage. Le diagnostic était
net : une forme de sclérodermie non mortelle. Dans la sclérodermie,
votre collagène se comporte mal et crée des tissus conjonctifs épais
et non uniformes. Chez les personnes atteintes de la maladie
mortelle, la sclérodermie se trouve sur une grande partie de leur
corps et traverse tout leur torse, et quand cela arrive à leur cœur,
c’est la mort. Heureusement pour moi, il s’agissait seulement de la
sclérodermie Morphée qui s’arrête juste au cuir chevelu et m’a rendu
chauve jusqu’au moment où j’ai eu recours à la chirurgie. Eh bien,
j’ai fait une petite recherche sur la sclérodermie sur PubMed. Eurêka
! Toutes les victimes sont déficientes en vitamine D3. J’aurais aimé
le savoir quand j’étais plus jeune ! Les médecins avaient fait de leur
mieux à l’époque et m’avaient injecté beaucoup de cortisone sur la
tête (c’est un thème récurrent dans ma vie).

Certaines études que j’ai lues suggèrent une courbe en U pour des
niveaux optimaux de vitamine D3. Ces études semblent dire que si
peu de vitamine D3 a des conséquences négatives sur la santé, les
taux trop élevés pourraient vous nuire aussi. Je suppose qu’il y a un
taux de maintenance souhaitable, mais si vous voulez soigner un
certain nombre de problèmes non résolus et accumulés, vous
pourriez peut-être prendre le risque de monter le haut de la courbe
pendant un certain temps. Quand vos problèmes disparaissent, vous
n’auriez qu’à revenir vers le bas de la courbe.

Gardez à l’esprit : guérir sous le bistouri du chirurgien ou avec des


médicaments dangereux est également risqué. Je ne craindrais pas
de prendre quelques risques calculés pour éliminer certains
problèmes de santé difficiles à résoudre. Je crois que pour maintenir
un taux décent de vitamine D3 dans le sang, j’ai besoin de 25 000 et
30 000 UI/jour.

De nombreux experts de la vitamine D3 disent que 10 000 UI/jour


sont considérés sans danger, mais même ici, ils sont trop prudents.
Pendant ce temps, les médecins ordinaires, en retard d’environ 10 à
20 ans sur leur temps, vous diront que la dose de 2 000 UI est la
limite supérieure sans risque ! Finalement, ces doses
recommandées de 2 000 et 10 000 UI/jour devraient augmenter.
Donc, si vous pesez environ 45 kg et souhaitez essayer la thérapie
de la vitamine D3, je vous y emmène. Vous commencez avec 10
000 UI/jour pendant un certain temps, puis, pour vous guérir de
certaines blessures, augmentez jusqu’à 25 000 UI/jour. Ensuite,
arrêtez-vous quand vous ressentez trop de douleurs avant de
recommencer. Avancez peut-être pendant quelques semaines vers
les 50 000 UI/jour. Ensuite, vous diminuez jusqu’à 10 000 UI/jour
comme la dose de maintien. Assurez-vous donc d’ajuster votre
consommation de vitamine D3 à votre poids, et si vous pesez 180
kg, vous voudrez peut-être doubler la dose que je prends jusqu’à ce
que votre poids revienne à 90 kg. Ensuite, vous pourrez ajuster la
dose. Notez que ce que je viens de vous dire sur le dosage n’a pas
lieu si vous avez le luxe de faire le test de sang pour la vitamine D3
de temps en temps. Dans ce cas, la dose est totalement sans
importance, l’important est de savoir que votre taux sanguin est bon
! Et vous serez tous contents de savoir que j’ai finalement fait mon
dernier test sanguin. Je vous donnerai les résultats bientôt.

Une note tardive : vous allez réduire tous vos soucis sur la thérapie
à dose élevée D3 en prenant une dose élevée de vitamine K2. Ceci
sera discuté ailleurs dans ce livre.

Vous vous rappelez peut-être que je suggérais d’utiliser les trousses


de test à domicile que vous pouvez trouver sur Internet pour 60 $,
pour surveiller vos taux de vitamine D3. J’ai finalement changé
d’avis et j’utilise le service bon marché de Life Extension Foundation.

Je vous disais que j’avais lu un excellent petit livre qui est en fait une
interview avec Dr Holick sur la vitamine D. Le Dr Holick rappelle que
les personnes obèses ont de la difficulté à relever leur D3, car les
cellules adipeuses emprisonnent et séquestrent la vitamine D3 pour
l’empêcher de devenir une hormone circulante. Donc, si vous êtes
en surpoids, vous devriez peut-être prendre des quantités beaucoup
plus élevées de D3 pour atteindre les mêmes taux sanguins de D3
qu’une personne maigre. Alors, qui sait combien vous devriez
prendre si vous êtes en surpoids ? Toute personne en surpoids doit
faire analyser son sang à des intervalles raisonnables pour atteindre
la gamme 225-250 nmol/L, sinon vous allez avoir à jouer aux
devinettes et ça peut être dangereux.

Maintenant, je devrais vous parler de l’expérience de ma mère.


Toute sa vie, elle détestait le poisson alors que le poisson est une
bonne source de vitamine D3. Donc, je ne suis pas étonné
qu’arrivée au troisième âge, elle souffre de nombreuses maladies
apparemment liées à de faibles niveaux de vitamine D3. Elle a subi
deux arthroplasties des genoux à cause de l’arthrite rhumatoïde. Elle
a aussi beaucoup souffert de dépression et de surpoids. Elle avait
des varices et fait deux fausses couches (et elle a eu un enfant
hyperactif, moi !) Je l’encourage pour qu’elle augmente ses niveaux
de D3. Mais elle ne m’écoute pas souvent.

Quant à l’huile de foie de morue, on l’a longtemps utilisée pour traiter


l’arthrite et prévenir les complications lors de l’accouchement. À une
époque, les mères forçaient leurs enfants à en prendre tous les jours
comme médecine préventive. Un autre fait intéressant, c’est
qu’apparemment les médecins du passé comprenaient que vivre
dans un climat ensoleillé avait des avantages pour la santé.
Souvent, quand ils ne savaient pas comment traiter un patient, ils lui
conseillaient de se déplacer vers le sud. Les séjours ensoleillés
guérissaient les malades. Je viens d’ajouter ceci ici pour suggérer
que même en ignorant totalement ce qui se passait réellement du
point de vue biochimique, les médecins d’avant avaient remarqué
les bienfaits de l’huile de foie de morue et du déplacement vers le
sud. Nous connaissons maintenant que les bienfaits proviennent de
l’augmentation de la vitamine D3 dans le sang, mais vous ne le
saurez pas si vous écoutez l’hystérie du corps médical actuel sur
le « cancer du soleil » et de la peau ! Nous sommes tellement
encouragés à utiliser de la crème solaire pour nous protéger du
méchant soleil.

Même l’ancien remède des cures thermales de la mer Morte était


réellement efficace. Tout le monde pensait que les sels de cette
vieille mer les guérissaient, mais la cure venait de l’exposition au
soleil et du taux de vitamine qui s’élevait. Donc, même si j’aime m’en
prendre aux médecins actuels de temps en temps, je tire mon
chapeau à ces docteurs du passé, qui prescrivaient du soleil et de
l’huile de foie de morue à leurs patients. Ils étaient bien en avance
sur leur temps !
Je viens d’entendre à la radio qu’une étude a démontré que les
habitants des régions moins ensoleillées ont un double risque
d’accident vasculaire cérébral par rapport à ceux qui vivent dans des
régions ensoleillées.

Maintenant, dans mon cas je suis blanc, je mesure 1m80 et pèse


environ 86 kg, et j’ai pris 25 000 UI la plupart du temps, et 50 000 UI
pour un bout de temps et 100 000 UI pour une courte période.
Chaque fois que j’augmentais ma dose, je ressentais une douleur
dans les articulations avec de grosses blessures, mais j’ai eu le plus
gros des douleurs pendant les quelques mois à 25 000 UI. Quand je
suis allé à 50 000 UI après 25 000 UI, je n’avais plus de douleur.
Mais je continuais, et j’ai décidé d’aller jusqu’à 100 000 UI/jour, car
les femmes enceintes que j’ai mentionnées plus tôt dans le livre
avaient pris 100 000 UI. Les 100 000 UI n’ont pas causé de douleurs
à mes articulations, mais j’ai cru que je commençais à avoir de la
douleur au niveau des reins. J’ai donc arrêté les doses de 100 000
UI à ce moment-là, j’ai attendu un moment et je suis retourné à 25
000 UI/jour (maintenant, je suis à 30 000).
Parfois, je ne pouvais presque pas résister à la douleur des
réparations de mes articulations, mais j’ai poursuivi mon expérience
de D3 et je suis content de l’avoir fait. Une bonne dose d’entretien
pour moi maintenant semble être de 25 000 à 30 000 UI.
Trois mois après l’écriture de ce livre, j’ai terminé ma dernière
expérience de trois mois de 60 000 UI/jour et j’ai fait un autre test
sanguin de D3 qui m’a placé à 420 nmol/L (168 ng/mL). Ceux qui
pensent que nous devrions vivre pour toujours voient ce taux de
vitamine D comme dangereux. Le « danger » est le risque de la
fibrillation auriculaire qui monte de 5 % chez toute personne de plus
de 65 ans à 12,5 % chez ceux du même âge quand ils prennent la
D3 à dose élevée.
Après la prise de 5 000 à 10 000 UI/jour pendant un mois, j’ai repris
le test. Mes résultats de D3 étaient alors à 287 nmol/L (115 ng/mL)
et je continue de refaire le test.

Voilà quelques informations supplémentaires : les trois mois à 60


000 UI semblaient faire plus de travail de réparation sur mon épaule
gauche et hanche droite, mais pas sur les autres articulations. Ces
parties de mon corps ont toutes deux été douloureuses pendant la
thérapie et pendant environ 2 mois après que j’ai cessé de prendre
les doses de 60 000 UI par jour. Finalement, 2 mois après avoir
arrêté les 60 000 UI/jour, la douleur s’est éteinte et les articulations
durcissent, et bientôt je recommencerai à soulever des poids.

J’ai remarqué un effet secondaire positif sur le parcours de mon


expérience surtout quand j’ai frôlé ou suis allé au-delà des doses de
50 000 UI/jour. Je dormais bien et pendant de longues heures, peut-
être 14 heures. C’était la sensation que vous ressentez lorsque vous
restez au soleil pendant une longue journée et que vous êtes épuisé.
Beaucoup de gens qui utilisent les crèmes solaires ne sauront pas
de quoi je parle. Mais les personnes assez âgées qui allaient en
Floride en vacances dans leur enfance et jouaient sur la plage sans
protection solaire pendant près 8 heures par jour comprendront.
Attendez-vous à dormir beaucoup lorsque vous allez fort sur les
doses de D3 ! Plus tard, j’ai découvert qu’en prenant de fortes doses
de mélatonine pendant la nuit, on peut réduire l’excès de sommeil
qui vient des doses élevées de D3. Cela m’a semblé un peu étrange
au début puisque j’avais précédemment utilisé une dose élevée de
mélatonine qui prise seule, allongeait la durée de mon sommeil.
Vous voyez, le corps produit la mélatonine la nuit quand vous
dormez et la détruit lorsque vous vous asseyez au soleil. La
mélatonine est élevée aussi chez les animaux sur le point d’hiberner.
Donc, vous pourriez l’appeler l’hormone d’hibernation hivernale !
Ainsi, prendre la mélatonine et la vitamine D3 ensemble pourrait
effectivement contrecarrer les propriétés curatives de la vitamine D3
prise seule. Je fais juste une hypothèse ici, mais cela semble
logique. Cependant, l’hormone D3 et la mélatonine sont très utiles
pour vous, alors peut-être après avoir fini une cure de hautes doses
de D3, vous pourrez ensuite ajouter de la mélatonine pour
maximiser les résultats sur votre santé. Une bonne dose de
mélatonine pour une santé maximale pourrait être de 75 mg pour les
femmes. Les Européens ont déjà utilisé ces doses pour le contrôle
des naissances. Un homme pourrait l’ajuster en fonction de son
poids. Je prends 120 mg lorsque j’utilise la mélatonine (ce sera un
autre livre en soi), mais j’ai pris 4 mois à près de 14 heures de
sommeil par jour pour m’habituer à la dose élevée de mélatonine.
Plus tard, vous pouvez finalement revenir à 7 heures de sommeil par
jour. L’autre chose intéressante à propos de la mélatonine, c’est
qu’elle monte bien pendant la restriction calorique (RC) et est
probablement le changement d’hormone qui favorise la reproduction
féminine pendant la restriction calorique. La restriction calorique est
bonne pour vous, car elle arrête le processus de vieillissement
autant que possible et augmente la durée de vie de la souris de 20
% à 40 %. Une autre hormone qui reste élevée pendant la restriction
calorique est la DHEA que j’ai prise depuis longtemps et je la
recommande à tous, mais faites vos propres recherches. Vous
pouvez vous renseigner auprès de Life Extension Foundation. Une
fois sur leur site web, écrivez le mot DHEA dans la barre de
recherche. Encore une fois, je ne suis qu’un client de LEF et je n’ai
aucune connexion commerciale ou autre avec eux à part de
l’admiration pour leur site, leurs vitamines et analyses de sang.
D’autres endroits pourraient être aussi bons, mais je suis trop
occupé pour les chercher.
Petite note secondaire intéressante

J’ai entendu dire que d’autres personnes qui prennent maintenant


des doses plus élevées de vitamine D3 ont un effet secondaire
agréable. Leurs rêves sont vivaces, longs et détaillés et contiennent
généralement la visite de vieux amis perdus ou des animaux de
compagnie morts, etc. Et quand ils les voient en rêve, c’est
exactement comme dans leurs souvenirs du passé même s’ils ne les
ont pas vus depuis 20 à 30 ans ! Et presque tous les rêves sont
vraiment agréables ! Eh bien, qu’est-ce que vous croyez ? C’est
exactement la même chose qui m’est arrivée l’année dernière : des
rêves agréables et visites de vieux amis du passé ainsi que des
animaux de compagnie. J’ai même rêvé du chat de mon enfance
dont j’ai peu de souvenirs (je ne sais pas à quoi il ressemblait si
j’essaie consciemment), mais dans le rêve, c’était comme si je
l’avais vu hier ! Faites-moi savoir si cela vous arrive aussi. Je me
demande quel serait l’objectif évolutif de ces rêves si tout le monde
était affecté de la même manière.
12. TESTEZ VOS NIVEAUX DE
VITAMINE D3 VOUS-MÊME

Si vous êtes plus méticuleux que je l’ai été, vous pouvez commander
des kits de test sanguin pour la vitamine D3 et faire le test à la
maison. Vous prenez du sang sur un petit doigt et puis vous
l’envoyez au laboratoire. La majorité des gens ont des résultats dans
la gamme de 50 à 75 nmol/L alors que les niveaux optimaux se
situent dans la gamme de 175-225 nmol/L ou plus. En général, on
dit que la toxicité de la vitamine D3 ne se déclare pas avant 375
nmol/L ou plus. Donc, si vous êtes trop nerveux d’expérimenter vos
niveaux de vitamine D3, vous pouvez essayer de trouver ces kits de
test pour vous guider. Mais vous devriez aussi observer vos
symptômes. J’ai toujours fait confiance à ce que je ressens quand je
prends un supplément. Si je commence à ressentir quelque chose
d’inattendu, je diminue. Je vais faire le test de sang très
prochainement et vous parler de mes résultats dans une édition
ultérieure de ce livre.

Rappel : il serait judicieux de tester vos niveaux D3 à chaque


étape de votre thérapie et de le garder de 80 à 100 ng/mL (200 à
250 nmol/L).

GRANDES NOUVELLES : je viens de recevoir mes résultats de


vitamine D3 et je suis à 300 nmol/L. C’est exactement le même taux
que les maîtres nageurs et sauveteurs de la Floride qui n’utilisent
pas de crème solaire. Je suis arrivé à ce niveau après l’expérience
de ma longue année et la stabilisation de ma dose de maintenance à
30 000 UI/jour pendant quelques mois.
Ces analyses sanguines ont aussi révélé que mes reins n’avaient
pas souffert et que les niveaux de cystatine C étaient dans la
gamme normale. J’ai passé un test ultérieur de D3 qui m’a placé à
420 nmol/L.
13. POURQUOI LE SOLEIL NE SUFFIT-IL PAS ?

Si vous prenez une dose élevée de D3, vous devriez vous poser
cette question : quel est l’équivalent en temps à passer au soleil ?
Pour trouver le courage d’essayer les mégadoses, réfléchissez à
cette question. Est-ce que l’évolution nous a vraiment conçus afin
que nous recevions juste 10 minutes de soleil par jour ? Pouvons-
nous nous attendre à une santé optimale ? Cela semble ridicule. Il
n’y a pas si longtemps, en termes évolutifs, les humains vivaient
près de l’équateur et avaient beaucoup de soleil tous les jours. Ne
dit-on pas que nos ancêtres qui vivaient près de l’équateur couraient
presque nus ? J’imagine que si l’exposition au soleil vous permet de
produire une hormone de santé optimale, l’évolution veut que vous
obteniez au moins une heure par jour de soleil fort surtout si vous
habitez près de l’équateur. Et si vous avez émigré et habitez loin de
l’équateur plus au nord, l’évolution devrait mettre en place toutes
sortes d’ajustements compensatoires pour surmonter le manque de
soleil en hiver (comme l’hormone thyroïdienne T3). Et cette
compensation évolue probablement encore puisque beaucoup
d’entre nous sont toujours malades du manque de soleil.
14. COMMENT DÉTERMINER LA BONNE DOSE ?

Si nous laissons nos déficiences en D3 ne bénéficier d’aucune


supplémentation en D3 et l’évolution suit son cours, dans 10 000
ans, des raccourcis se seront élaborés. Si cela se fait, les cures de
D3 deviendront non nécessaires pour les générations futures des
latitudes nordiques. Mais en attendant, je préfère court-circuiter le
processus sélectif de l’évolution (que je ne peux ignorer) et
prétendre que j’habite en zone tropicale près de l’équateur toute
l’année en prenant 25 000 à 30 000 UI de D3 par jour. 25 000-30
000 UI équivalent à une demi-heure de soleil équatorial par jour.
Cela ne semble pas si fou, après tout. N’est-ce pas ? Et au fil du
temps, je pourrais augmenter cette dose si j’apprends que c’est sans
risque, voire réduire cette dose en fonction de mes résultats. À
l’heure actuelle, je ne connais pas la dose optimale exacte pour moi
et cela peut varier pour chaque personne en fonction de la couleur
de peau, de la taille, du poids et des origines et autres informations
spécifiques à chaque personne.

La façon de procéder est de faire des tests sanguins réguliers et de


cibler le taux que vous voulez. Je pense que le taux de 300 nmol/L
est formidable ! Un peu plus tard, j’ai ajouté une note-rumeur, qu’un
seul chercheur de pointe suggère. On devrait garder son niveau D3
à 250 nmol/L ou moins pour éviter une augmentation possible du
risque d’arythmie cardiaque où votre cœur bat temporairement vite.
D’habitude, les adultes de plus de 65 ans ont un risque de 5 %
d’arythmie cardiaque pour la durée de leur vie restante. La nouvelle
recherche suggère que ce risque pourrait augmenter à 12 % chez
les personnes qui ont un taux de vitamine D supérieur à 300 nmol/L,
mais je n’ai pas peur... ou est-ce mes derniers mots ?
En vérité, le responsable d’un grand laboratoire d’analyse de sang
m’a affirmé qu’il a examiné les données et n’a pas trouvé cette
corrélation. Je pense que vous préférez avoir toutes les petites
pièces d’information. N’est-ce pas ?
Juste après avoir écrit ce nouveau paragraphe, le magazine LEF
(Life Extension Foundation) a rapporté que ceux qui avaient pris des
suppléments d’huile de poisson oméga-3 sur une base quotidienne
avaient pu réduire leur risque d’arythmie de 90 %. Ce serait donc
sage d’ajouter des omégas 3 si vous décidez de prendre une dose
élevée de D3, conjointement avec la prise quotidienne de vitamine
K2, que vous ajoutez au régime. Dans mon cas, mes suppléments
en omégas 3 sont 6 gélules de l’huile de poisson MEGA EPA/DHA
par jour. Ceci me coûte environ 8 $ pour la bouteille de 120 gélules.
Comme je suis devenu un petit peu préoccupé par l’incidence de la
fibrillation auriculaire chez les personnes au taux supérieur à 200-
250 nmol, j’ai donc continué ma recherche un peu plus loin. Et c’est
ici que j’ai découvert que le problème est le médicament Warfarine
(en fait, un poison pour rat). Les médecins le prescrivent pour la
prévention des caillots dans le sang donc il inhibe l’action coagulante
de la vitamine K1, mais il réduit aussi l’absorption de la vitamine K2.
Finalement, ce sont les patients qui prennent le médicament
Warfarine qui ont une incidence élevée de fibrillation auriculaire (en
raison de l’inhibition de leur vitamine K2). Tout en sachant que ce
médicament aide à prévenir les effets néfastes d’un accident
vasculaire cérébral (AVC) en inhibant la coagulation de K1, ma
dernière trouvaille suggère que c’est ce médicament qui pose
problème, quand il est associé aux taux élevés de D3. Ensemble, ils
peuvent déclencher la fibrillation auriculaire en dilapidant votre
vitamine K2 ! Alors, assurez-vous de prendre assez de vitamine K2
si vous décidez d’entreprendre l’expérience des fortes doses de D3 !
15. CARENCE EN VITAMINE D3 ET CANCER

De nombreux cancers impliquent une carence en vitamine D3. Cela


ne me surprend pas, car j’ai lu plusieurs fois que le cancer n’est pas
une maladie due aux mutations génétiques puisque de nombreuses
cellules sont cancéreuses dans le corps tout le temps. Les cellules
cancéreuses sont généralement détruites par le système
immunitaire quand ce dernier fonctionne bien. Autrement dit, le
cancer est une maladie du système immunitaire. Rien de plus. C’est
juste que votre système immunitaire ne détecte plus les signaux
d’une cellule cancéreuse et pense que la cellule appartient à votre
corps. Peut-être qu’avec des taux de vitamine D faibles, votre corps
est en mode famine et ne veut plus tuer les cellules qui pourraient ne
pas être remplacées. Étant donné que la vitamine D3 arme votre
système immunitaire, il n’est pas surprenant que beaucoup, sinon
tous les types de cancer impliquent des niveaux faibles de vitamine
D3. Mais ce n’est pas tout.
Autophagie

J’ai trouvé un article scientifique qui suggère que la vitamine D3


renforce le processus d’autophagie qui est à peu près la pratique du
corps cellulaire de « se manger soi-même ». Ce processus
d’autophagie qui augmente avec la vitamine D3 est le facteur
principal de la capacité de votre corps à détruire les cellules
défectueuses ou organites cellulaires et tissus défectueux.
16. NOUVEL AJOUT À LA THÉORIE DU
SYNDROME
DE L’HIBERNATION HUMAINE

Quel est l’objectif évolutif du diabète, du syndrome métabolique (de


leurs symptômes associés à la glycémie élevée, à la résistance à
l’insuline, à l’augmentation de la pression artérielle) et du taux de
cholestérol élevé ?
Le diabète

Après avoir écrit ce livre, j’ai eu une petite pensée qui m’a turlupiné.
Aurais-je manqué quelque chose d’important sur la façon dont le
diabète et le syndrome métabolique s’intègrent dans l’ensemble ?
Comment ? L’obésité, le diabète de type II et le syndrome
métabolique coïncident si souvent. Puisque l’obésité n’est que la
façon dont l’évolution vous prépare à la famine d’hiver, le diabète et
le syndrome métabolique doivent aussi vous préparer pour un
événement de mauvais augure. N’oublions pas le diabète de type I
qui se produit généralement chez les enfants lorsque leur système
immunitaire détruit leurs cellules productrices d’insuline dans le
pancréas. Un article scientifique récemment publié par le Scientific
American, en février 2012, note que le diabète de type I augmente
considérablement dans le monde entier. Ces augmentations sont
similaires à celles de l’obésité et des autres épidémies modernes.
Les chercheurs ne savent pas pourquoi et se demandent si une
sorte de virus ou d’infection n’est pas responsable de ces nouvelles
épidémies ! Mais c’est plus probablement d’un manque de soleil.

Le résultat final des deux types de diabète est le même : l’excès de


sucre dans le sang. J’ai alors commencé à me poser des questions
sur la glycémie. La glycémie pourrait-elle nous protéger contre
quelque chose ? À ce moment-là, je me suis souvenu de certaines
expériences menées sur un pauvre chien beagle. On voulait mettre
le chien en animation suspendue sans signes vitaux et voir s’il
pouvait être ressuscité. On l’a fait en réduisant la température de
son corps jusqu’à tout près de la congélation. Enfin, pour empêcher
les dégâts du gel sur les tissus de son corps, on avait ajouté une
grande quantité de glycérol à son sang. Cette substance a diminué
le point de congélation du sang (réduction considérable de la
température) sans les risques des dégâts de cristallisation. Je me
suis également rappelé que c’est la même procédure qu’on suit pour
geler de façon cryogénique les corps de ceux qui ont l’espoir d’être
ressuscités à l’avenir une fois que les progrès technologiques
rendront possible la réanimation. Bonne chance !

Ah ! Voilà ce que j’ai trouvé. Les niveaux de glucose élevés dans le


sang protègent le corps qui hiberne du danger d’un
endommagement des tissus par le gel. En augmentant le niveau de
sucre dans le sang, le corps réduit la température de congélation et
de cristallisation du sang ! Avec cette pensée à l’esprit, j’ai
commencé à regarder ce qui arrive aux animaux qui hibernent. Le
saviez-vous ? Les grenouilles, les amphibiens et les insectes
remplissent leurs corps de glucose et d’autres composés antigel à
base de sucre avant leur congélation solide en hiver, puis ils
reviennent à la vie au prochain dégel ! Tiens, tiens... l’antigel de
voiture (éthylène glycol) est dangereux pour les chats et les chiens,
car ils aiment le goût sucré et le boivent souvent. Les époux
meurtriers et des infirmières tueuses des histoires (vraies) de crimes
à la télévision utilisent aussi l’antigel ajouté aux boissons sucrées
comme Gatorade !

Alors, j’ai fait une petite recherche sur les ours en hibernation. Eh
bien, la théorie ne semblait pas se maintenir si bien parce que la
glycémie de l’ours en hibernation ne semblait pas augmenter en
hiver. C’est alors que j’ai lu une étude intéressante qui a démontré
que si un ours qui hiberne mange une petite quantité de nourriture, il
a un énorme pic de sucre dans le sang. Il gardait ce pic quatre fois
plus longtemps qu’un ours normal. J’ai compris alors que j’étais sur
le point de découvrir quelque chose !
Attendez, voici la meilleure partie : j’ai commencé à m’interroger sur
les parties du corps les plus endommagées par le diabète. Ce sont
les pieds (ce qui conduit souvent à des amputations), les yeux
(conduisant souvent à la cécité) et finalement aux reins (entraînant
souvent une insuffisance rénale). Je me demandais si ces organes
et tissus étaient les plus susceptibles aux dommages par des
températures glaciales. Pour les pieds, c’était évident, car ils sont les
premiers à souffrir des engelures. Les yeux contiennent un liquide,
l’humeur aqueuse qui prend beaucoup de temps à être remplacée,
ce qui veut donc dire que les flux sanguins sont relativement rares !
Les reins semblaient être à risque aussi, car ils ont une quantité
assez élevée d’urine non circulante qui s’accumule à l’intérieur, ce
qui pourrait entraîner une plus grande difficulté de les garder
correctement réchauffés.

Une pensée m’est venue à l’esprit. Peut-être que l’évolution a permis


de concentrer le glucose dans les pieds, les yeux et les reins afin de
les protéger contre les dégâts de la congélation au cas où une
vague de froid surgirait ? Bien, je me suis interrogé sur d’autres
parties du corps qui devraient également être affectées de manière
disproportionnée par le gel. Et bien sûr, les doigts et les oreilles me
sont venus à l’esprit. J’ai donc fait des recherches sur le diabète et
les doigts, et j’ai constaté que les diabétiques subissent souvent une
amputation des doigts aussi. Les preuves ont été plus rares, mais
sur un site Internet, j’ai trouvé des parents d’enfants diabétiques qui
se demandaient pourquoi les oreilles de leur enfant étaient souvent
enflées et rouges ! J’ai recommencé ensuite à vérifier quelles parties
du corps étaient les plus endommagées par le gel et voilà que
celles-ci correspondaient aux pieds, aux mains, aux oreilles et à la
membrane cornéenne des yeux. Mais je ne trouvais rien sur les
reins. Cependant, après une recherche plus approfondie, j’ai pu
dénicher le cas d’un homme qui a souffert d’une hypothermie sévère
alors qu’il essayait de sauver son chien dans un bassin glacé. Trois
jours après l’épreuve, alors que les médecins pensaient qu’il avait
survécu indemne, il a fait une insuffisance rénale complète ! Son
sang était en train de s’épaissir comme un étau qui se serrait autour
de son cou. Enfin, j’ai vérifié une autre hypothèse que l’on pourrait
tirer de cette théorie : les Inuits du Canada qui vivent dans le froid
devraient être plus exposés au diabète de type II et au syndrome
métabolique, et c’est bien le cas. Ainsi, après ce remue-méninges
fou de plusieurs jours, je suis relativement persuadé que le diabète
de type II (et probablement le type I) ainsi que le syndrome
métabolique sont les outils que l’évolution a trouvés pour protéger
les êtres humains. Sans quoi le froid pourrait causer des dommages
(lésions) des tissus et des organes les plus vulnérables. Par contre,
si cette condition temporairement protectrice persiste, l’excès de
sucre séquestré dans les tissus bloqués par le gel finit par les
endommager par des réactions de réticulation.

Quant à l’augmentation du cholestérol, on constate que les ours en


hibernation ont le double de cholestérol et triglycérides en
comparaison avec les autres ours. Est-ce que le sang au taux élevé
de cholestérol est moins susceptible au gel? Est-ce que cette idée
nous rapproche plus de la conception d’un meilleur traitement pour
le diabète de type II et le syndrome métabolique ? Peut-être.
Possiblement en augmentant sa température corporelle par le
sauna, ou les bains chauds, on pourrait faire croire au corps qu’un
gel n’est plus un grand risque et que le taux élevé de sucre dans le
sang n’est pas nécessaire. Cependant, la meilleure façon est de
faire en sorte que le corps sache qu’il n’est plus en hibernation. On
peut le faire en se débarrassant de l’excès de poids, en prenant des
suppléments de D3 ou encore avec des bains de soleil et des
séances de bronzage. L’ajout d’exercice physique quotidien aiderait
également le corps à comprendre que l’hibernation est terminée
pour de bon. Tout cela n’est pas nouveau, comme les médecins ont
longtemps recommandé la perte de poids et l’exercice comme
guérison pour le diabète de type II et le syndrome métabolique. Mais
l’addition de vitamine D3 pourrait rendre la perte de poids beaucoup
plus facile en freinant l’appétit.

J’ai récemment consulté une étude qui dit que la vitamine D3 seule
peut réduire le diabète de type II et le syndrome métabolique dans
une certaine mesure. Vous lirez le résumé de cet article dans les
pages qui suivent. Finalement, certains de mes lecteurs m’ont dit
qu’après environ 6 mois de dose élevée de D3, ils sont en mesure
de réduire les médicaments pour le diabète de type II.

Attendez une minute ! Qu’en est-il de l’augmentation de la tension


artérielle ? Comment cela correspondait-il à ma théorie ? J’ai fait des
recherches sur ce qui arrive aux liquides sous pression accrue et
voulais savoir si leur point de congélation diminuait. J’en avais
presque le cœur brisé, mais c’était négatif. En réalité, la pression
augmentée pousse les molécules liquides plus étroitement ensemble
et leur permet de geler à une température PLUS HAUTE. Eh bien,
j’étais sur le point de revenir au tableau de dessin, quand j’ai
remarqué cette petite mise en garde... « L’eau est cependant une
exception. Comme l’eau augmente de volume lorsqu’elle devient
glace, l’élévation de sa pression (tout en évitant qu’elle se répande)
diminue le point de congélation dans une certaine mesure ». Ainsi,
nous pouvons expliquer l’augmentation de la pression sanguine que
beaucoup d’humains endurent comme un artéfact de la protection
contre le gel qui est venu de l’évolution de nos ancêtres !

Voilà, tous les faits sont en main. Est-ce une affaire classée
maintenant ? On dirait que c’est oui pour moi.
Attendez ! Une dernière chose : j’ai récemment entendu à la radio
que le gouvernement local ajoutait du jus de betterave au sel qu’on
met dans les rues de la ville en hiver pour éviter le verglas. Le jus de
betterave est doux avec plein de sucre... une chose m’est venue à
l’esprit. Le SEL ! Oui, le sel abaisse le point de congélation de l’eau
et est souvent ajouté aux bains de glace pour réduire la température
de congélation de l’eau de -15 à 0 °C dans une solution d’eau salée
complètement saturée. Et puis, je sais que les médecins
recommandent à beaucoup de leurs patients de réduire la
consommation de sel, surtout s’ils font de l’hypertension. Les
médecins voient une relation de cause à effet qui n’existe pas. Rien
ne prouve que la consommation élevée en sel provoque ou
augmente l’hypertension. Voici une autre explication : si vous avez
des niveaux de D3 bas, votre corps craint une période de
congélation et c’est ainsi que vous évitez le sel et n’en mangez plus.
Le sel ne provoque pas d’hypertension artérielle, il s’associe à
l’hypertension pour vous empêcher de congeler. Alors, j’ai fait des
recherches sur l’envie de sel. Eh oui ! En fait, on trouve cette envie
de sel chez les personnes déficientes en vitamine D3. Peut-être que
nous devrions renommer le diabète de type II le syndrome
métabolique ou le syndrome de l’antigel humain ?
NOUVELLES INFORMATIONS AJOUTÉES AU LIVRE INITIAL
Augmentez vos niveaux de testostérone avec la vitamine D3 ?

J’ai récemment lu le résumé du livre de John Cannell intitulé «


L’avantage de l’athlète : Plus rapide, plus vif et plus fort avec la
Vitamine D » (The Athlete’s Edge: Faster, Quicker, Stronger with
Vitamin D ). Voici ce qu’on lit dans cette introduction : « Ce livre
couvre un nouveau terrain. Après une enquête approfondie et la
traduction de nombreux rapports scientifiques en anglais, le docteur
Cannell révèle un secret bien gardé par les entraîneurs et des
athlètes d’Europe de l’Est. Dans les années 1960-70, on l’appelait la
thérapie de la lampe solaire et elle donnait aux athlètes un avantage
net par rapport à leurs compétiteurs, en particulier pour les athlètes
qui s’entraînaient pour les sports d’intérieur ou d’hiver. Le fait que la
vitamine D, la vitamine du soleil, améliore le tonus musculaire, la
force musculaire, l’équilibre, le temps de réaction et l’endurance
physique, ainsi que l’immunité et la santé en général, est une
découverte récente dans la médecine occidentale. Nous pouvons
utiliser ces connaissances pour l’armée sur le terrain, les athlètes
olympiques et autres, et même pour les personnes âgées qui
veulent éviter les chutes et la perte de masse musculaire et de
tonus. Ce livre révolutionnaire est un ajout bienvenu à nos
connaissances actuelles en matière de nutrition et de santé. Lisez-le
du début à la fin. »

Dans l’annonce publicitaire pour la formulation de la vitamine D du


Dr Cannell, il est dit : « La liste des bénéfices recherchés de la
vitamine D augmente presque plus rapidement que les scientifiques
ne peuvent l’expliquer. Et maintenant, le support de la testostérone
vient d’être ajouté à cette liste intéressante. Dans une étude
marquante, 3332 UI de vitamine D pris en tant que supplément
quotidien pendant un an ont augmenté les taux de testostérone chez
les hommes qui présentaient une carence en vitamine D. » Si la
vitamine D3 augmente réellement les taux de testostérone, cela
pourrait expliquer le type de rage hormonale que je semblais avoir
quand je suis passé à la dose de 20 000 UI/jour de D3.

Dans les commentaires sur Amazon, certains lecteurs de mon livre


ont aussi mentionné des effets aphrodisiaques semblables à ceux
du Viagra ! Un homme de 26 ans qui avait souffert d’hypoglycémie
et de l’hypogonadisme (carence en testostérone), durant toute sa vie
a vu son taux de testostérone grimper juste après un mois de
traitement très élevé en vitamine D3. Vous pouvez lire son
témoignage à la fin du livre.
17. DIFFÉRENCES ENTRE LA VITAMINE
K1 ET LA VITAMINE K2

Un article récent de Life Extension Foundation intitulée « Éviter


l’événement catastrophique » (« Avoiding the Catastrophic Event »)
a bien résumé les différences entre la vitamine K1 et la vitamine K2.
D’après cet article, Jack Lalanne, un gourou de l’aérobic est mort
d’une sténose aortique à l’âge de 95 ans alors que tout le monde
s’attendait à ce qu’il vive jusqu’à 300 ans ! Lalanne ne connaissait
sûrement pas la vitamine K2 ! S’il l’avait su, l’âge de 95 ans n’aurait
été qu’un léger ralentisseur sur l’autoroute de la longévité. La
vitamine K1, c’est ce dont vous avez besoin pour que votre sang
coagule. Vous l’obtenez de votre alimentation à partir des légumes
verts. Le K1 peut se transformer en vitamine K2, mais les
différences entre les vitamines K1 et K2 sont si grandes que certains
suggèrent aujourd’hui de les renommer pour éviter la confusion. La
vitamine K2 peut être trouvée dans le fromage, le jaune d’œuf, le
beurre, le poulet, le salami, le bœuf haché et le nattô (un plat
japonais fortement fermenté). Comme manger une bonne quantité
de ces nourritures n’est pas pratique, vous ferez mieux de prendre
de la vitamine K2. Plus tôt dans le livre, je vous ai recommandé de
prendre assez de vitamine K2 avec vos doses élevées de vitamine
D3. L’article de LEF affirme que la toxicité de la vitamine D3
présente les mêmes symptômes que la carence en vitamine K2,
mais l’auteur n’a pas différencié les vitamines K1 et K2. Nous
devons prendre plus de vitamine K2 avec une dose élevée de D3.

La vitamine K2 doit être augmentée parce que les niveaux élevés de


D3 sont importants pour la réparation des os et articulations. L’acide
gamma-carboxyglutamique matricielle ou MGP est une protéine
régulatrice du calcium. Elle inhibe ou favorise la calcification en
fonction de son état de carboxylation. Si la carboxylation est trop
faible, la MGP entraîne une calcification des artères, empêche la
réparation des os et entraîne le calcium dans le sang avec
calcification des veines ! Lorsque la protéine est totalement
carboxylée, elle inhibe la calcification des veines et des artères et
envoie le calcium pour améliorer la réparation des os.

Alors, comment pouvez-vous garantir la carboxylation de votre


protéine MGP ? Cela nécessite de la vitamine K2 ! C’est tout. La
vitamine K2 est vraiment incroyable. Assurez-vous de vous en
trouver. Si vous n’obtenez pas assez de K2, votre corps risque de se
calcifier et vous pouvez mourir ! La vitamine D3, en réparant les os
et les articulations, utilise énormément de MGP et peut finir par
causer un déficit de la K2 avec tous ses dangers. Donc, pour obtenir
les résultats merveilleux des hautes doses de D3 sans crainte de
toxicité, vous n’avez qu’à les prendre en combo, car la vitamine K2
est un partenaire de la vitamine D3. J’ai pris une gélule de « Super K
» (de LEF) pour chaque dose de 10 000 UI de D3 que j’ai pris. La
forme MK-4 de la vitamine K2 provient de sources animales et a une
courte durée d’action, alors que le MK-7 de sources bactériennes a
une durée d’action plus longue. Vous pouvez obtenir votre MK-7 du
plat japonais nattô. J’ai récemment remplacé ma vitamine K2 de LEF
par la vitamine K2 de forme MK-4 de Vitaspace qui est moins chère
et supposée être dépourvue d’effets secondaires. En effet, on peut
éviter le risque de palpitations en utilisant le K2-MK-4 (je reviendrai
sur ce sujet plus tard).
18. OBÉSITÉ

Juste pour vous amuser un peu, allez sur Internet et trouvez la carte
de l’obésité par État aux États-Unis. Vous verrez une tendance
générale vers l’obésité au nord. Il existe cependant d’énormes
exceptions, comme dans le sud profond. Après avoir visualisé la
carte de l’obésité, vous pouvez ensuite faire une autre recherche
Google et trouver une carte qui montre la concentration relative des
Afro-Américains par État. Vous verrez que les résultats étranges de
la forte obésité dans les États ensoleillés du sud sont surtout dus au
pourcentage élevé d’Afro-Américains. Pourquoi ? C’est ainsi parce
que la peau foncée requiert plus de soleil. Suivant les différentes
sources, les Américains noirs ont besoin de 6 à 30 fois plus de soleil
pour faire la même quantité de vitamine D3 que leurs compatriotes
blancs !
Informations supplémentaires venues des lecteurs

J’ai récemment reçu un courriel d’un certain Mark Murphy. Voici un


extrait de son courriel et des informations nouvelles pour moi aussi.
« Je crois que vos doses de D3 pourraient être faibles. Les Grandes
Compagnies pharmaceutiques et l’association des médecins
américains (AMA) ont grandement exagéré la toxicité de la vitamine
D3. Beaucoup de recherches sur la vitamine D ont eu lieu depuis
longtemps, comme vous le savez. La preuve de ces exagérations se
trouve dans la création de l’unité internationale (pour troubler le
public) et la fabrication de trois médicaments sur ordonnance Dalsol,
Deltalin et Drisdol contre le cancer. Dalsol, Deltalin et Drisdol étaient
simplement des doses de 50 000 UI de vitamine D. Quand ils le
veulent, ils vont essayer de nous contrôler. Regardez combien
d’argent ils ont fait sur l’industrie du cancer. Pendant les débats sur
la vitamine D à la fin des années 1920, notre gouvernement a
commandé une étude qui a duré 9 ans à l’Université de l’Illinois,
Chicago Medical College sur les niveaux de toxicité de la vitamine D.
Cette étude est connue sous l’appellation de Rapport Steck de 1937
et comprenait 63 chiens et 773 humains. Selon ce rapport, il n’y a
pas eu de décès chez les 773 êtres humains qui avaient reçu 200
000 UI de dose quotidienne totale pour des périodes de sept jours à
cinq ans. De plus, un des auteurs avait pris 3 000 000 UI par jour
pendant quinze jours sans résultat néfaste » Mark Murphy (traduit de
l’anglais).

Ils ont probablement utilisé la forme moins active de la vitamine D, la


D2 qui provient de l’irradiation de la matière végétale avec de la
lumière UV. On estime que la vitamine D2 est du 1/4 au 1/16 aussi
actif que la vitamine D3 chez les humains. Ainsi, si nous divisons
toutes les doses indiquées ci-dessus par 4 à 16, nous pouvons
obtenir un niveau d’activité équivalent à celui de la D3. Par exemple,
une personne qui prend 3 millions d’UI de D2 dans une journée
aurait le même effet avec 187 500 UI de D3 (3 000 000 divisés par
16) ou peut-être jusqu’à 750 000 UI de D3 (3 000 000 divisés par 4)
selon le ratio que l’on considère comme correct. Même si la copie
imprimée de ce livre ne sera probablement pas mise à jour
régulièrement, toute version électronique le sera fréquemment à
mesure que de nouvelles informations entreront. Par conséquent, si
vous souhaitez rester à jour, vous pouvez acheter la version
électronique de temps en temps, ce qui reviendra moins cher.
19. DIFFÉRENTES QUALITÉS DE VITAMINE K2
AVERTISSEMENT ! ATTENTION !

Il y a pas longtemps, j’ai lu des commentaires de mon livre sur


Amazon et certaines personnes se sont plaintes de palpitations
cardiaques après la prise de la vitamine K2. Mais un de ces
commentateurs avait également cité les paroles d’une autre
internaute qui s’était débarrassée de ses propres palpitations en
changeant la forme et la marque de K2 (en remplaçant la vitamine
K2 de Jarrow par la vitamine K2 de LEF).
Je suppose que certains fournisseurs n’ont pas encore réglé des
défauts de fabrication. Choisissez donc de vous en tenir au K2 de
LEF ou peut-être même mieux d’utiliser la forme MK-4 de la vitamine
K2. À Vitaspace, la vitamine K2-MK-4 va vous coûter le 1/100 du
prix des détaillants (allez à l’adresse www.takeD3.com pour de plus
amples informations sur Vitaspace).
Je cite ici ce commentaire lu sur Amazon : « J’ose dire que la plupart
d’entre vous ont lu ceci dans le fil précédent, mais juste au cas où
vous n’avez pas vu le message, en voilà encore. Je souffrais de
symptômes horribles, mon cœur était partout et j’entendais les
battements dans mes oreilles tout le temps. C’était très
déconcertant. Mon médecin était très préoccupé et m’a dit d’arrêter
de faire du jogging et m’a renvoyé chez un cardiologue. Rien ! Au
début, je n’ai pas considéré mon apport en vitamine K comme
faisant partie du problème. J’ai mis un message sur ce site et une
personne m’a répondu qu’elle avait eu des arythmies cardiaques qui
s’étaient arrêtées environ une semaine après la discontinuation de la
vitamine K. J’ai pris de la vitamine K2 parce que j’ai lu que le nattô
japonais était si bénéfique pour la santé cardio-vasculaire et rendait
les os forts. J’ai commencé à prendre la vitamine K2 de Jarrow sous
sa forme MK-7 (dérivée de nattô). Je prenais 90 µg par jour, mais je
commençais à souffrir de graves arythmies et des acouphènes
pulsés. J’ai arrêté de prendre toute la vitamine K, et bien sûr, en une
semaine, mes symptômes avaient disparu. La seule vitamine K2 de
forme MK-4 que j’ai pu trouver était la vitamine Super K de Life
Extension avec un complexe K2 avancé. Chaque capsule contient
1000 µg de K1, 1000 µg K2 à la forme MK-4 et 100 µg K2 comme
MK-7. J’ai commencé à prendre ces choses, pensant que mes
symptômes allaient revenir. Incroyable, mais vrai ! Bien que cette
nouvelle vitamine K2 contienne un peu plus de MK-7, ces arythmies
et acouphènes ne sont pas revenus ! Cela n’a vraiment aucun sens !
Je me demande si quelqu’un d’autre a eu une expérience similaire.
Je vis au Royaume-Uni et j’ai dû obtenir la vitamine K en
provenance d’Amérique. Suivez les conseils de LynH et essayez
Amazon à l’avenir. Je pense que ce site est merveilleux, car j’ai reçu
une aide aussi compétente. La plupart d’entre vous sont tellement
plus informés que la plupart des médecins. Je vous remercie tous
beaucoup. »

Je pense que j’ai finalement compris. Parlons des symptômes de


carence en calcium ici. Apparemment chez certaines personnes,
trop de vitamine K2 risque d’enlever tellement de calcium du sang et
des tissus mous (le calcium va dans les os) que des symptômes de
carence en calcium apparaissent, mais cela est rare et facilement
réversible.
Les symptômes de la carence en calcium chez les femmes
Le 28 mars 2011 ( article de Lori Newell)

« Le calcium est essentiel pour les dents solides. Il assure que le


cœur bat correctement durant la contraction des muscles et la
dilatation des vaisseaux sanguins, mais le calcium est aussi
responsable de nombreuses autres fonctions. Pour les femmes,
obtenir des niveaux adéquats de calcium aide à maintenir les os
solides et prévient l’ostéoporose. Étant donné que de nombreux
aliments contiennent du calcium, un régime alimentaire bien
équilibré devrait fournir l’exigence quotidienne de 1 000 à 1 200 mg.
Si les niveaux de calcium sont trop bas, des symptômes de carence
peuvent se produire. Le manque de calcium doit être discuté avec
un médecin, qui peut recommander des modifications alimentaires
ou des suppléments, si nécessaire.

Pour prévenir la faible densité osseuse, vous devez éviter


l’hypocalcémie qui est assez difficile à diagnostiquer, car sans aucun
symptôme au début, affirme le Bureau des suppléments alimentaires
aux États-Unis. Cependant, une insuffisance en calcium rend les os
fragiles et susceptibles aux fractures. Non traitée, l’ostéoporose peut
se développer. Dans certains cas, une fracture est le seul signe
d’alerte des os faibles. Étant donné qu’une carence en calcium,
perte osseuse et ostéoporose peuvent exister sans causer des
symptômes, les femmes devraient avoir des tests réguliers de
densité osseuse à partir de l’âge de 40 ans. En outre, lors des
examens médicaux de routine, on peut demander des analyses de
sang pour connaitre son taux de calcium. »
Engourdissement et spasmes musculaires
Si on ne traite pas la carence en calcium, de la raideur et des
spasmes musculaires s’ensuivent. Ceci peut affecter la capacité des
nerfs à envoyer correctement les signaux. Le manque de calcium
peut conduire à des sensations générales d’engourdissements et de
picotements, en particulier dans les doigts, les orteils et le visage,
selon la Clinique de Cleveland. Certains patients peuvent même
subir des spasmes musculaires ou des paralysies à ces endroits.
Des mouvements incontrôlables qui imitent la maladie de Parkinson
peuvent également se produire. Au fil du temps, les muscles
peuvent devenir raides et pénibles.
Rythmes cardiaques irréguliers
Les carences en calcium peuvent se produire en raison de maladies
de la thyroïde, des reins et des troubles intestinaux d’absorption du
calcium ou de la vitamine D. L’alcoolisme ainsi qu’un régime faible
en calcium et en vitamine D peuvent aussi en être la cause. Les
faibles niveaux de calcium peuvent provoquer des rythmes
cardiaques irréguliers et des palpitations, qui peuvent ou non
s’accompagner de perte de connaissance ou de vertige, affirme
l’Académie américaine des médecins généralistes. En outre, la
tension (artérielle) peut être trop élevée ou trop faible. Certains
patients peuvent même avoir de la difficulté à respirer ou respirer
rapidement.
Les convulsions et le coma
Le cerveau exige assez de calcium pour fonctionner correctement.
Quand vous avez une carence, il s’en suit de la confusion, de la
fatigue et la psychose. L’hypocalcémie peut être fatale et les patients
peuvent subir des convulsions ou un coma, à moins qu’ils ne
reçoivent les soins médicaux appropriés. Dans ces cas, le patient
reçoit du calcium par voie intraveineuse.
Douleurs arthritiques
Toute personne qui souffre de douleurs arthritiques devrait prendre
de la SOD (super oxyde dismutase), un antioxydant naturel qui
réduit de façon spectaculaire la douleur de l’arthrite paralysante.
Selon un article de LEF, on peut se débarrasser de sa canne 2
semaines après la prise de SODzyme. Je sais que cela a fonctionné
pour un ami qui avait une opération du genou prévue. Je l’ai mis sur
400 mg de SODzyme et une petite quantité de vitamine D3 et, en un
mois, il avait mis sa canne à la poubelle et pouvait prendre les
escaliers sans problème. Son chirurgien a dû reporter le rendez-
vous de remplacement de genou et voir ce qui se passe. Le
SODzyme a également aidé un vieux chien arthritique que j’avais à
l’époque.
Un mystère résolu
Il y a longtemps, j’ai entendu dire que le lait écrémé provoquait le
cancer de la prostate. Je n’y ai pas cru, car c’était loin de la logique
donc comme j’adorais le lait écrémé, j’ai continué d’en boire. Puis,
j’ai lu le livre de Kate Rheaume-Bleue sur la vitamine K2 et le
Calcium (Vitamin K2 And The Calcium Paradox). Je me suis alors
rendu compte que l’étude était correcte, mais c’était interprété à
l’envers. Le lait écrémé ne cause pas de cancer, mais la graisse
dans le lait vous protège contre ce cancer ! Pour comprendre
comment la graisse de lait empêche ce cancer de s’installer, il faut
savoir qu’elle contient de la vitamine K2, un nutriment qui protège
contre le cancer de la prostate.

Vous pouvez lire sur divers sites web tels que celui du Dr Mercola
(excellent site) que les niveaux de vitamine D3 trop élevés
provoquent un cancer de la prostate. Maintenant, nous savons
pourquoi. Les niveaux de D3 très élevés sans supplémentation en
K2 épuisent votre K2, et c’est cet appauvrissement du corps en
K2 qui semble causer le cancer de la prostate. Aaaahhhh, comme
j’adore quand toutes les pièces étranges du puzzle s’accrochent !
20. LONGÉVITÉ ET VITAMINE D3

Un lecteur d’Écosse m’a envoyé un article intéressant qui a mis mon


esprit en effervescence. Il s’agissait d’une étude sur la longévité de
ceux qui atteignent l’âge de 90 ans ou plus et leurs proches. D’après
cet article, ceux qui vivent le plus longtemps ont tendance à avoir un
niveau nettement inférieur de D3 dans leur sang ! L’étude Leiden sur
la longévité a donc examiné 380 cas de familles néerlandaises avec
des membres qui ont vécu dans leurs 90 ans. À la grande surprise
de tous, les chercheurs ont constaté que les bas niveaux de
vitamine D peuvent aller de pair avec une résistance génétique au
vieillissement. Ça alors ! Bon sang ! Mais que peuvent vouloir nous
dire ces parties étranges du casse-tête, car elles ont toujours
quelque chose d’important à signaler ? À ce moment-là, je me suis
rendu compte que l’étude en question avait comme pris comme
sujets les habitants des régions nordiques d’Europe. Cette étude ne
prenait pas en compte la capacité de bronzer et de ne pas brûler au
soleil. Je suppose que ces familles avec des foies qui ne
métabolisent pas bien la vitamine D3 sont à la fine pointe de
l’évolution humaine. Leur foie a développé une habileté de s’adapter
à la carence en vitamine D3. Quelque temps après, la réponse m’a
sauté aux yeux ! La vitamine D3 ne fait que porter des informations
que votre corps utilise pour activer et désactiver les gènes en
fonction de votre environnement (soleil et saison). Au fur et à
mesure que les humains sont allés des latitudes les plus ensoleillées
aux latitudes plus froides et sombres, les premiers colons ont
souffert de nombreuses maladies causées par le manque de soleil et
de D3. Beaucoup vont mourir et ne pas transmettre leurs gènes.
Les survivants ont évolué de façon à ce qu’ils puissent faire plus de
D3 avec moins de soleil, et éventuellement au fil du temps, auraient
perdu complètement le besoin de D3. Comment est-ce possible ?
Une sorte de mécanisme stimule les récepteurs de vitamine D3 sans
besoin de vitamine D3 ou de soleil. Le corps humain s’adapte et le
foie trouve un moyen de faire son travail sans la vitamine D3. Ces
gens qui vivent avec ces taux très faibles de vitamine D sont
probablement des personnes vraiment pâles. Ces gens à la peau
très blanche ont du mal à bronzer et sont du genre à éviter le soleil.
Cela nous amène à une question intéressante : votre capacité à
bronzer et éviter les coups de soleil marque-t-elle le degré auquel la
supplémentation en vitamine D3 vous aidera à prévenir et à traiter
les maladies ?

Enfin, cette étude ne doit pas être interprétée comme signifiant que
la vitamine D3 est mauvaise pour vous, peut-être que si ces
personnes avaient stimulé leurs niveaux de vitamine D3, elles
auraient pu vivre bien plus longtemps.
Y aurait-il des animaux qui n’ont pas besoin de D3 ? J’ai appris que
le rat-taupe nu qui vit à 100 % sous terre avec la taille d’un rat
régulier peut vivre jusqu’à 8 ans sans vitamine D3 tandis que les
autres rats ne vivent que jusqu’à trois ans, en général. Donc, on peut
espérer qu’un jour l’évolution biologique sera telle qu’elle fera que
les humains du nord de la planète pourront s’adapter comme les
rats-taupes nus. Peut-être qu’ils n’auront plus besoin de lumière de
soleil ni de la vitamine D3 pour leur santé.
Vitamine D et magnésium
Depuis la publication de ce livre, rares sont les gens qui m’ont
contacté pour déclarer que la vitamine D3 ne leur a pas profité. Pour
ceux qui ne se sentaient pas bien en prenant les hautes doses de
D3, il a fallu ajouter du magnésium à leur protocole, tout a fonctionné
comme prévu après. Donc, si vous n’obtenez pas les résultats que
vous attendez, essayez d’ajouter du magnésium. Des doses élevées
de vitamine D3 peuvent induire non seulement une déficience en
vitamine K2, mais aussi une carence en magnésium.

ATTENTION ! Il y a un petit nombre de personnes qui se plaignent


de palpitations cardiaques et de grands changements dans leur
tension artérielle. Ces symptômes sont du même type que ceux que
vous venez de lire au sujet de la vitamine K2 dans sa forme MK-7.
La plupart de ces personnes avec lesquelles j’ai correspondu ont
alors ajouté de grosses doses de magnésium pendant quelques
jours et ont dû garder leur dose de D3 à une dose de maintenance
(dose plus basse) pour faire disparaître tous ces symptômes. Votre
médecin ne va pas tester votre magnésium et probablement ne sait
pas grand-chose sur cette carence, mais presque tout le monde est
déficient en magnésium. Un des symptômes dangereux du
magnésium est l’irrégularité cardiaque. Votre médecin pourrait vous
prescrire des tests qui vous coûtent des dizaines de milliers de
dollars et des procédures inutiles alors que vous avez juste besoin
de plus de magnésium !
Le parfait résultat au test de glucose
La découverte de ce secret va causer de longues queues d’attente
chez le médecin parce que les patients auront hâte de voir leurs
résultats de laboratoire. Oui ! Il y a enfin un moyen facile de vous
donner un avantage en matière de santé glycémique et de diabète.
Vous allez vous sentir bien, énergique et confiant pour faire face à
tous ces tests que votre médecin va lancer sur votre chemin.
Découvrez comment ce secret incroyable du glucose dans le sang
pourrait fonctionner pour vous... Pour cela, imaginez qu’à la fin de
votre vie, vous recevez un bonus : deux années de plus. Que feriez-
vous avec ces 730 jours supplémentaires ? Allez-vous voyager ?
Ferez-vous du bénévolat ? Passerez-vous plus de temps avec vos
enfants ou vos petits-enfants ? Alors que vous réfléchissez à cela,
pensez également à ce qui suit. Le Dr W.B. Grant du Sunlight,
Nutrition and Health Research Center en Californie estime que c’est
possible. Après avoir fait des calculs innombrables, Dr Grant a
proposé cette équation simple : doublez votre taux sanguin de
vitamine D et vous obtiendrez de très bonnes chances d’avoir une
vie plus longue, environ deux ans de plus en moyenne. Cela
suppose que votre niveau de vitamine D soit déjà faible et d'environ
22 ng/mL (54 nmol/L). Mais comme nous l’avons vu avec plusieurs
études, presque tout le monde a des niveaux de vitamine D bas, à
moins d’habiter près de l’équateur. Pour son étude, le Dr Grant a
examiné les recherches sur les maladies qui diminuent lorsque les
niveaux de D3 sont hauts. Il a déterminé qu’un niveau de vitamine D
d’environ 110 nmol/L par litre (44 ng/mL) réduirait le risque de
cancer, de maladies cardiaques, d’infections, d’affections
respiratoires et d’autres maladies de 20 %. En moyenne, cela
équivaut à un don de deux années supplémentaires.
21. LA PÉNIBLE HISTOIRE ET LA PROMESSE
INCROYABLE DE LA VITAMINE D3 À HAUTE
DOSE (article)

Il y a environ 4 600 millions d’années, notre système solaire s’est


formé lorsqu’un énorme nuage de poussière est sorti d’une étoile
explosive qui s’est effondrée. Au début, une grande boule s’est
formée au centre de la masse en spirale. Au fil du temps, cette boule
s’est contractée et s’est réarrangée en une sphère parfaite. C’était
une grosse boule que la gravité poussait comme toute la matière.
Ensemble, la poussière et les débris se sont condensés tellement
que la balle a pris feu et a commencé à cracher de la lumière, de la
chaleur et des rayons cosmiques de toutes sortes, y compris les
ultraviolets (UV). Ainsi, avec la naissance de notre soleil sont venues
la lumière visible et la lumière ultraviolette invisible. Le nouveau
soleil brulant était entouré d’anneaux de matière qui, au fil du temps,
ont fini par heurter cette voie et donné lieu à des globes plus petits,
les planètes d’aujourd’hui. Il n’y avait pas assez de gravité ou de
poussière suffisante pour que ces corps plus petits deviennent des
étoiles. Ils sont donc devenus des sphères solides froides avec une
gravité suffisante pour leur donner des noyaux fondus et chauffés.
Une de ces planètes était la Terre, une autre s’appelait Theia. La
sphère de la matière appelée Terre a commencé à tourner
rapidement tout en suivant lentement un chemin annuel circulaire
autour du soleil. Initialement, tout était parfait, la terre tournait sur
son axe parfaitement vertical, debout alors qu’il parcourait chaque
année dans un cercle parfait. Comme la terre se tenait debout vers
le haut et vers le bas alors qu’elle tournait autour du soleil, les
saisons n’existaient nulle part. Partout sur la terre, chaque jour était
aussi long que chaque nuit, peu importe où l’on était. À l’équateur ou
aux pôles, cela ne changeait pas. La seule chose qui variait était
l’intensité de la lumière du soleil comme les pôles étaient plus
éloignés du soleil que l’équateur. Mais la longueur du jour et la
longueur de la nuit, partout sur terre, étaient égales. Si cette
situation s’est produite avec notre journée de 24 heures aujourd’hui,
le soleil brillerait pendant 12 heures, puis la nuit durerait que 12
heures partout sur la terre, même sur les pôles, pour toujours.

Mais ce parfait état de choses ne devait pas durer. Plusieurs


versions raisonnables pourraient expliquer ce qui s’est passé
ensuite, mais pour nous, le scénario suivant nous permet de
continuer notre histoire. Quelque part parmi les autres planètes se
trouvait cette planète rebelle et exubérante appelée Theia, du nom
de la déesse de la mythologie grecque. Contrairement à d’autres
planètes, Theia était à base de fer principalement.

Pour une raison quelconque, Theia n’a pas respecté les règles de
l’orbite appropriée dans un cercle parfait. Elle était violemment
erratique, menaçant toutes les autres planètes parfaites avec une
collision possible. Et puis, un jour... les orbites de Theia et de la
Terre se sont croisées à la fois dans l’espace et dans le temps. Il
s’en est suivi une collision de planètes d’une magnitude inimaginable
que l’on ne verra plus jamais. Ça a dû être horrible à voir ! Une
épave de train au ralenti opposait deux énormes corps de feu
comme quelque chose qu’on pourrait lire dans les textes hindous.
Pensez à des fourmis d’une fourmilière observer deux éléphants
géants se battre dans le ciel.

Theia est venue de son chemin, folle de rage et frappa la Terre à un


angle différent de l’orbite terrestre. Les deux planètes ont explosé au
ralenti et ont formé une boule géante de feu. La force était assez
pour qu’une petite planète soit éjectée de l’espace de la Terre et de
Theia combinées. La grosse partie de la masse de Theia est
devenue le noyau de fer fondu qui génère le bouclier magnétique de
la Terre qui nous protège contre les rayons cosmiques. Ce noyau
crée aussi les conditions de la couche d’ozone qui, à son tour, nous
protège contre l’intensité de rayons UV. La quantité de matière
éjectée de la boule de feu équivalait à près d’un 1/50 de la nouvelle
Terre plus grande. Cette nouvelle force de gravité de la Terre a
capturé les débris de cette énorme masse éjectée à environ 385 000
km.
C’est ainsi que la lune est née et s’est unie avec la terre, après des
milliers d’années de condensation en une sphère parfaite. Bien que
la lune soit formée à partir du 1/50 de la matière de la Terre, elle a
un gros diamètre impressionnant du 1/4 de celui de la Terre. Et
puisque la lune a été créée à partir de débris éjectés de la terre, la
lune a été formée d’une matière qui tournait à la même vitesse que
celle de la Terre au moment de la collision. Ainsi, sur Terre, nous
voyons que la lune ne tourne pas, et c’est peut-être pour cela que
nous voyons seulement un côté de la lune face à la Terre en tout
temps pendant qu’elle circule autour de nous.

Maintenant, ce qui est important pour nos besoins, c’est que la


planète déchaînée Theia a pris feu sur la Terre à un angle
suffisamment raide pour incliner l’axe vertical de notre planète
d’environ 24 degrés. À partir de ce jour, l’axe de la Terre ne sera plus
parfaitement vertical, mais sera incliné à 24 degrés vers le soleil, en
fonction de la saison. À partir de ce jour-là, la Terre aurait des
changements dramatiques au fil des saisons chaque année, surtout
loin de l’équateur.

Et avec la création de la lune, cette inclinaison dans l’axe de la Terre


s’est fixée par la gravité de la Lune à rester toujours à 24 degrés et
donne à la terre des saisons différentes dans les latitudes nord et
sud. Le changement le plus spectaculaire des saisons se trouve aux
pôles.

Depuis la collision, les pôles Nord et Sud connaissent chaque


année, 6 mois d’obscurité complète suivis de 6 mois de soleil (24
heures par jour). Un peu plus tôt ou plus tard après la création de la
lune et des saisons, des formes simples de vie à une seule cellule
ont surgi, il y a près de 4,2 milliards d’années. Maintenant, personne
ne sait avec certitude si un tas de produits chimiques se sont
assemblés sur la planète Terre pour créer la vie, ou si les formes de
vie répliquées sont arrivées sur une comète. Ce qui est connu, c’est
que toutes les formes de vie partagent le même code génétique.
Fondamentalement, toute vie sur Terre partage un langage écrit
avec un alphabet de seulement 4 lettres G, C, A et T. C’est donc
comme Darwin l’a dit, nous sommes tous liés à cet organisme
originel qui a été le point de départ de l’arbre évolutif de la vie.
Maintenant, pour la comparaison, le langage machine de nos
ordinateurs se compose d’une langue écrite avec seulement deux
symboles dans son alphabet... juste 1 et 0. Cela pourrait vous
donner une idée de l’évolution avancée de la gestion de
l’information. L’évolution est très intelligente et très patiente. Donc, il
y a des milliards d’années, notre planète gardait une inclinaison à 24
degrés avant l’aube de la vie sur terre... Maintenant, avancez vite un
milliard d’années après la collision, et vous trouvez que les
premières formes de vie simple de la Terre étaient en train de naître
et de subir l’évolution, peut-être près de l’équateur, peut-être non.
Mais indépendamment de leur origine, elles se répandent, à l’est, à
l’ouest, mais surtout au nord et au sud. Ce ne sont que des cellules
simples. Quelles ont été les premières formes de vie sur Terre ? Pas
grand-chose, elles ne faisaient que transformer la lumière du soleil
en énergie stockée ou sucre par la photosynthèse, se reproduire à la
folie et se répandre géographiquement. Les formes de vie ultérieure
évolueront pour devenir des organismes multicellulaires, pour
s’engager dans la prédation, le mouvement, l’hibernation,
l’accouplement, la migration, etc. Mais la chose la plus importante
que toutes les formes de vie ont dû faire, en commençant par les
plantes photosynthétiques à une seule cellule, était d’évoluer.
Évoluer de manière à faire face aux saisons de la Terre.

Quelle importance avaient les saisons terrestres ? Le facteur


primordial est la distance par rapport à l’équateur et le changement
des saisons. Plus on s’éloignait de l’équateur, plus les nuits d’hiver
étaient très longues et glaciales ! Dans les régions aux latitudes
élevées (loin de l’équateur), les changements extrêmes dans la
durée du jour et de la nuit se combinaient avec l’affaiblissement de
la lumière solaire. C’est ainsi que la Terre était couverte de terribles
zones de famine. Dans ces régions, la famine se répandait comme
résultat de l’arrêt de la photosynthèse. Sans la lumière solaire, rien
ne poussait et il n’y avait pas assez de nourriture ou d’énergie pour
la vie. De plus, dans ces zones, les chutes de température étaient si
extrêmes que presque tout était gelé, à moins que l’évolution n’ait
créé une protection spéciale contre le froid. Dès les premiers jours,
la vie avait choisi un signal pour annoncer l’arrivée de l’été. L’été
était synonyme d’abondance, un temps où la vie était facile et le
coton était haut. Le signal disparaissait en hiver pour faire savoir à la
vie que le danger de la faim, du gel et de la mort était très réel et que
l’extinction totale était plus probable que la survie. C’était alors le
temps de s’endormir et d’attendre. Ce signal était la lumière
ultraviolette dégagée par le soleil et invisible à l’œil animal, mais très
visible à la peau ou à la fourrure. Et ce signal devenait de plus en
plus faible, loin de l’équateur alors que les nuits se prolongeaient et
que les jours devenaient courts.
Qu’est-ce que l’évolution veut que la vie fasse dans les zones de
famine hivernales ? Elle veut que la vie cesse de bouger et elle veut
conserver les ressources, l’énergie et la chaleur. Elle veut que la vie
se protège avant que la famine ne s’installe. Elle veut que la vie
passe en mode de survie, afin d’économiser toutes les ressources et
d’effectuer juste assez de processus métaboliques et de réparations
pour la vie. L’évolution veut changer la physiologie de la vie pour
éviter les dégâts de congélation et pour réparer avec le moins de
ressources possible. Elle attend le retour de bons moments et du
signal de la vie.

Alors, quel a été le résultat final de cette lutte entre l’abondance de


l’été et la famine de l’hiver glacial ? C’était un signal auquel toute vie
obéit, le signal de la lumière ultraviolette. Dans toutes les formes de
vie, à la fois des plantes et des animaux, des champignons et des
bactéries... chaque fois que la vie est exposée aux rayons UV, elle
produit un signal hormonal que l’on appelle la vitamine D. Si
l’exposition aux UV diminue ou est de moindre intensité, les niveaux
de vitamine D chutent. Les niveaux de vitamine D sont
essentiellement un outil de prédiction que l’ADN de la vie utilise pour
dire à un organisme comment se préparer pour les prochains mois.
Et le signal s’accumule, se stocke ou se dissipe, disséminé au fil du
temps dans les tissus adipeux de la vie. Ce signal changeant
détermine la quantité qu’un organe reçoit un jour particulier et
dépend de la vitamine D synthétisée par le corps au cours des
derniers mois.

Bien, passons en accéléré ces 4 milliards d’années environ. Nous,


les êtres humains, vivant dans les latitudes nord et sud avons
totalement oublié cette loi de la Terre. Avec notre peau blanche,
avec nos épiceries remplies d’aliments d’été toute l’année, avec nos
maisons chauffées et éclairées, nos manteaux chauds et nos styles
de vie 24/7, nous avons tout simplement oublié les dangers de la
mort. Nous avons oublié que nous vivons dans des zones
d’extinction. Mais regardez dehors la prochaine fois que vous
descendez dans la rue d’hiver. Les arbres n’ont pas oublié... ils
s’arrêtent complètement et gèlent sur place, perdent toutes leurs
feuilles en attendant que les signaux UV du printemps. Les oiseaux
et les écureuils n’ont pas oublié non plus. Vous ne les voyez pas
pendant la grande partie de l’hiver, et la plupart se dirigent vers les
climats plus tropicaux. Par contre, nous, les humains, nous agissons
comme si rien ne se passait. Nous ne répondons plus au signal du
danger universel des faibles niveaux de lumière UV.

Regardons “nos” ancêtres, les primates partis, probablement près de


l’équateur en Afrique. Avant la découverte de l’agriculture, de
grandes civilisations comme l’Égypte ancienne ou les Mayas étaient
nées. On pense que les humains et les protohumains existaient
dans de petits groupes qui survivaient grâce à la cueillette et la
chasse. Des milliers ou des millions de ces petits groupes ont
probablement erré sur de grandes distances pour éviter les famines
et chasser des animaux. Il est certain qu’ils allaient du nord au sud
et revenaient sur leurs pas. Cela s’est probablement poursuivi
pendant des centaines de milliers voire des millions d’années. La
plupart de ces petits groupes d’humains tout comme les petits
groupes de néandertaliens ont disparu complètement, il n’en reste
plus que la poussière et les 3 % de notre ADN humain issus du
croisement avec les néandertaliens. Seules ont survécu quelques
brindilles de très peu de branches sur l’arbre évolutif. Les humains
sont les descendants de ces petites brindilles de l’arbre évolutif.
Depuis, ils ont continué à survivre avec succès juste assez pour
transmettre certains de leurs gènes au futur groupe génétique
humain moderne.
Alors, comment ces rares groupes de chanceux ont-ils réussi à
survivre à leurs errances sur la planète ? Comment sont-ils arrivés à
survivre à des incursions répétées dans des environnements ingrats,
désertiques où les famines sévissaient parfois pendant 6 mois de
suite ? Comment ont-ils survécu pendant l’âge des glaciers, ou
pendant les hivers volcaniques quand des éruptions ou météorites
voilaient le soleil dans le ciel pendant des mois ? Ils ont dû évoluer
et développer une façon d’hiberner dans ces conditions froides et
arides pour subsister à la famine. Peut-être que ce n’était pas la
même hibernation que chez les ours dont les niveaux de vitamine
D3 plongent de 70 % en automne, déclenchant la suralimentation et
un gain de poids de 70 % avant le sommeil de 4 mois ; mais ça
aurait pu l’être. En prenant en compte la multitude de maladies
auxquelles les humains sont confrontés lorsqu’ils s’éloignent de plus
en plus de l’équateur, nous pouvons avoir une idée de ce que
l’ancienne hibernation humaine impliquait.
Comme le soleil devenait de plus en plus faible alors que les
groupes allaient loin vers le nord ou le sud, une baisse de la lumière
UV entraînait une réduction de la production de vitamine D3 sur la
peau ou sur la fourrure. L’hiver arrivait, et c’était le signal pour trop
manger et mettre le plus de poids possible pour se préparer à la
famine. Une faim de loup et la voracité prenaient le relais, et ces
premiers humains mangeaient tout ce qui était en vue. Tout était bon
à manger. Au fur et à mesure que le soleil s’affaiblissait et les jours
se raccourcissaient alors que la terre s’échappait du soleil, une
grande fatigue enveloppait le groupe. Ils trouvaient alors une grotte
ou un abri et s’endormaient. Ceux qui ne voulaient pas se détendre
tombaient malades et n’avaient ni l’envie ni les capacités physiques
de se déplacer. Ils restaient malades de la dépression, la grippe,
l’arthrite, la sclérose en plaques, l’asthme, le syndrome du côlon
irritable, tout ce qui empêchait les individus d’errer dans une
situation de famine et de gaspiller l’énergie si précieuse. Lorsque le
soleil revenait, le signal UV réapparaissait et l’évolution reprenait le
dessus et réparait les dégâts. La dépression s’en allait, la grippe
s’éloignait, l’arthrite et la sclérose en plaques n’étaient plus qu’un
souvenir. Les poumons retrouvaient leur capacité. Les maladies et
limitations touchaient ces premiers êtres humains pendant l’hiver
pour leur propre bien. Récemment, les scientifiques ont déterminé
que l’ADN humain comporte jusqu’à 3 % d’ADN des néandertaliens
qui étaient des hominidés primitifs d’Europe du Nord 100 000 ans
avant la migration humaine en dehors de l’Afrique. Ce qui est
fascinant pour l’ADN néandertalien, c’est que les gènes qui nous
viennent d’eux sont principalement impliqués dans le développement
de notre peau et de nos cheveux. Ils nous ont également passé des
gènes qui causent le lupus et la maladie de Crohn, deux maladies
qui semblent curables avec une dose élevée de D3. Apparemment,
les néandertaliens ont probablement donné aux humains du nord
leur peau blanche et leurs cheveux lisses, car les Africains
subsahariens n’ont pas d’ADN des néandertaliens.
Un autre aspect de l’adaptation chez les hominidés : les faibles
niveaux de vitamine D signalaient au corps d’augmenter son taux de
sucre dans le sang et sa pression artérielle. Ceci évite au corps les
risques de la congélation. L’eau du corps peut endommager les
organes quand elle se transforme en cristaux pointus comme des
couteaux glacés avec risque de perforation des cellules, des
membranes et des organites dans tout le corps.

Un niveau de sucre plus élevé dans le sang réduit le point de


congélation du sang, et c’est une stratégie employée par des tas
d’animaux qui survivent au gel de l’hiver, y compris les amphibiens,
les insectes et les reptiles. D’ailleurs, comme j’en ai parlé plus tôt,
l’antigel des voitures contient de l’éthylène glycol, un sucre.
L’hypertension réduit également la température de congélation de
l’eau, car celle-ci augmente de volume lorsqu’elle se transforme en
glace. L’augmentation de la pression de l’eau se heurte à la phase
de dilatation/cristallisation.

Aujourd’hui, nous voyons des restes de cette adaptation de survie et


l’appelons le diabète et l’hypertension artérielle, ou le « syndrome
métabolique », qui est fortement associé aux faibles taux de
vitamine D. Les groupes qui n’ont pas reçu cet indice de l’évolution
pour se replier sur eux-mêmes pendant les hivers froids et arides ont
certainement péri et se sont éteints. Ceux qui n’ont pas préparé leur
corps pour éviter les dégâts de gel ont également subi le même sort.

Les seuls survivants ont été ceux qui ont réagi de manière
appropriée au manque de soleil et de chaleur et ont attendu que la
saison du gel et de la famine dans ces régions froides et désertiques
passe. Changer leur physiologie du sang envers une tension
artérielle élevée et un antigel sucré était leur forme d’adaptation.
Aujourd’hui, nous avons un aperçu de la preuve de ce processus
éternel dans les différentes couleurs de peau de la population
mondiale. Les couleurs de peau changent en général avec la
latitude. Les groupes qui vivaient aux alentours de l’équateur ont
rapidement développé une peau sombre qui filtre la lumière UV et
les protège contre les coups de soleil causés par les rayons UV
intenses. Mais cela a également filtré beaucoup du signal UV qui
annonçait l’arrivée de l’été.

Les groupes qui ont migré vers le nord ou le sud avaient encore
besoin de leur signal D3 pour dire au corps d’entreprendre les
réparations, que des ressources étaient disponibles, mais le soleil
était trop faible pour le donner. Ils ont donc perdu leur couleur de
peau sombre, pour que la pigmentation protectrice ne puisse
entraver le signal. Ils sont devenus blancs et très sensibles au soleil.
Juste un peu de soleil leur donnait le signal que l’hiver et la famine
étaient finis. Ils n’avaient plus besoin d’une peau sombre toute
l’année. Ceux qui restaient à l’équateur et qui étaient complètement
dépourvus de saisons n’avaient pas besoin du signal UV, mais ils
avaient besoin d’une protection beaucoup plus forte contre les
rayons UV pour éviter les coups de soleil. Ils sont donc restés noirs
ou sont devenus noirs s’ils revenaient vers le sud près de l’équateur
après une absence. Les gens entre le nord et l’équateur ont
développé une peau brune entre les deux, un bon compromis.

Ainsi, nos ancêtres d’il y a quelques centaines d’années vivaient


dans ce monde de saisons contrôlées par des rayons UV invisibles,
sans comprendre l’importance de ces rayons, et leur mainmise sur
leur vie et leur santé.

Pendant la plus grande partie de notre histoire, les humains ont


probablement attribué les maladies dues au manque de la lumière
solaire aux « mauvais esprits ».

Mais enfin, en 1650, nous, les êtres humains, avons commencé à


comprendre ce qui se passait. C’était juste une égratignure à la
surface de l’histoire de la science des UV et de la vitamine D. En
somme, ce fut le premier petit aperçu du mystère. Au 17e siècle,
l’urbanisation croissante en Angleterre a conduit à la combustion
excessive du charbon qui bloquait souvent le soleil. Les
conséquences ont été désastreuses et les carences en vitamine D
se sont répandues chez les nouveau-nés et leurs mères. Garder les
nouveau-nés principalement à l’intérieur a déclenché et répandu des
carences en vitamine D. Un médecin britannique en a fait
l’observation et a appelé cette nouvelle maladie rachitisme. Cette
maladie était nouvelle. Le rachitisme a entraîné de nombreuses
déformations squelettiques chez les enfants âgés de 6 mois à 2 ans.
Mais une fois que les enfants commençaient à jouer à l’extérieur
après l’âge de 2 ans, la maladie semblait entrer en rémission. [1]
Vers cette période, un autre médecin a décrit des problèmes liés à
l’accouchement et aux bassins rachitiques des femmes. Quelques
siècles plus tard, en 1824, un médecin allemand a découvert que
l’huile de foie de morue utilisée depuis longtemps pouvait traiter le
rachitisme. [2]

Et ce n’est qu’en 1906 qu’un biochimiste anglais a découvert que les


vitamines étaient des facteurs diététiques qui étaient nécessaires
pour prévenir les maladies. En même temps, une autre ligne de
recherche se déroulait, encouragée par la découverte des rayons
mystérieux émis par la lampe à vapeur de mercure nouvellement
inventée en 1901. [3] Ce nouveau type de lumière donnait une lueur
verdâtre et moche, mais était très chargée en rayons ultraviolets.
Plus tard dans les années 1920, des chercheurs américains et
anglais ont constaté que ces rayons mystérieux brillants guérissaient
les rats rachitiques. Mais à leur grande surprise, ils ont constaté que
même sans les rats, l’irradiation des cages vides a également guéri
les rats du rachitisme ! [4] Cela a initialement déclenché une frénésie
sur les nouveaux rayons curatifs qui ont conduit à une nouvelle
industrie florissante de lampes miracles. Tout le monde n’a pas cru
au miracle et pour certains, l’utilisation de ces lampes relevait du «
charlatanisme » bien que les lampes avaient pu guérir le rachitisme
dans les années 1920. Ce qui est drôle, c’est que maintenant nous
savons que ces dispositifs à rayons UV n’avaient rien du
charlatanisme, mais avaient pu avoir des effets bénéfiques
semblables à ceux de la vitamine D3 ou de l’huile de foie de morue.
Vous pouvez voir ces anciennes machines à rayons miracles encore
en vente en tant qu’objets bizarres de cette époque sur eBay.
Pouvez-vous imaginer être l’un de ces scientifiques et remarquer
que ces rayons UV mystérieux guérissaient des rats du rachitisme
lorsque vous les avez exposés aux rayons, mais également lorsque
vous avez irradié les CAGES VIDES ?! Cela avait dû leur sembler
comme une forme de magie. Ces événements ont conduit les
scientifiques à penser que, d’une certaine façon, les rayons avaient
dû changer l’air dans les cages et leur donner des propriétés
curatives. Ces scientifiques ont alors essayé une autre expérience
demandant à leurs assistants de souffler l’air des cages avant que
les rats ne soient retournés et voilà que les rats sont devenus
rachitiques. [5]

Depuis quelques années, ils pensaient que les rayons UV


changeaient l’air et lui donnaient des pouvoirs curatifs. La
communauté scientifique imaginait alors que la maladie provenait
d’un « mauvais air ». C’est ainsi que les patients atteints de
tuberculose se voyaient prescrire la thérapie des sanatoriums des
plaines occidentales venteuses. Ils devaient s’asseoir dehors sur de
grandes structures en bois avec divers trous prévus pour faire
circuler du bon air autour d’eux. Ironiquement, les niveaux bas de D3
sont maintenant reconnus comme la principale cause de la
tuberculose.

Plus tard, on a su que l’assistant qui avait soufflé l’air des cages de
rats avait aussi retiré la literie des rats pour éviter que ça lui tombe
sur le visage. Ils ont fait une expérience ultérieure en soufflant l’air
des cages sans perturber la literie (avec excréments de rats), mais
en irradiant les cages vides avec de la lumière UV. Les rats se sont
guéris du rachitisme ! [6] Alors les scientifiques ne comprenaient
plus ces résultats qui leur semblaient insensés!
Ils ont alors commencé à comprendre quand ils ont empilé des
cages de rats les unes sur les autres. Ils ont constaté que les rats
qui vivaient dans les cages vides irradiées ou dans les cages en
dessous guérissaient du rachitisme, mais pas ceux qui vivaient au-
dessus ! [7] Avec cela, ils ont finalement réalisé que la substance
curative était une substance avec gravité.

Nous avons ignoré cette partie de l’histoire de la vitamine D3, mais


je la trouve fascinante.

Enfin, en 1922, les scientifiques qui étudiaient les chiens gardés en


intérieur avaient toutes ces informations pour continuer la recherche.
C’est ainsi qu’ils ont finalement découvert qu’une substance
alimentaire qu’on trouvait dans l’huile de foie de morue pouvait
empêcher le rachitisme chez les chiens élevés à l’intérieur. Ils l’ont
appelée vitamine D, car ils connaissaient déjà les vitamines A, B et
C. À mon avis, ceux qui avaient vraiment découvert la vitamine D
étaient les scientifiques non reconnus qui ont fait les expériences de
cages de rats. Ils avaient découvert la vitamine D2 !

Les scientifiques qui ont fait les expériences de chiens ont découvert
que l’huile de foie de morue contient la forme animale, la vitamine
D3, et non la forme végétale légèrement différente, la vitamine D2.
Une fois que les expériences de chiens ont finalement conduit à
l’isolement de la vitamine D3, la commercialisation de la vitamine D
a commencé dans les années 1920. Sous cette forme, la vitamine D
provient des produits végétaux irradiés avec de la lumière UV. En
1923, le biochimiste américain Harry Steenbock de l’Université du
Wisconsin a démontré que l’irradiation par la lumière ultraviolette
augmentait la teneur en vitamine D des aliments et d’autres matières
organiques. C’est Steenbock qui a découvert qu’après avoir irradié
l’alimentation des rongeurs, on pouvait les guérir du rachitisme. [8]
Alors que la plupart des scientifiques de l’époque ne déposaient pas
de brevets sur les produits de la recherche universitaire, Steenbock
a breveté sa technique d’irradiation des denrées alimentaires. Le
plus mémorable de ces produits irradiés était le lait. Steenbock a
ensuite transféré son brevet au Wisconsin Alumni Research Fund
(WARF) et pendant de nombreuses années, l’Université du
Wisconsin a recueilli des fonds de centaines de millions de dollars.
Le WARF est devenu une centrale de recherche dont les inventions
incluent l’anticoagulant et diluant sanguin toujours populaire appelé
Warfarine en l’honneur des fonds WARF pour la recherche. Enfin, en
1943, une cour d’appel fédérale a invalidé le brevet du Dr Steenbock
et a déclaré que le processus était une découverte et non une
invention. La vitamine D n’était pas plus brevetable que l’utilisation
du soleil.

L’irradiation de nombreuses substances organiques avec le


rayonnement UV provoque la création de la vitamine D à partir d’un
substrat organique omniprésent. L’irradiation du lait et des
champignons a occasionné la production en masse de la vitamine
D2. Cette forme végétale D2 issue des champignons irradiés a reçu
le nom d’ergocalciférol qui provient du mot ergot (ou champignon).
La vitamine D2 est la forme végétale de la vitamine D, moins active,
elle vaut du 1/4 au 1/16 de la vitamine D3. Cholécalciférol est le nom
donné plus tard à la vitamine D3, la forme animale.
Les formes actives de vitamine D (vitamine D2 et vitamine D3) ne
sont pas vraiment des vitamines. Ce sont en réalité des hormones
très puissantes. Lors de sa découverte, dans les années 1920, les
scientifiques l’avaient classé à tort comme une vitamine parce qu’ils
croyaient qu’elle ne provenait que du régime alimentaire. Mais nous
pouvons fabriquer de la vitamine D3 quand la lumière UV touche
notre peau. Ce qui se passe chez les animaux, c’est que la lumière
UV catalyse la conversion d’une forme de cholestérol (7-
déshydrocholestérol) en vitamine D3. Les êtres humains fabriquent
la vitamine D3 dans la peau, tandis que les animaux le fabriquent
sur leur fourrure et quand ils ingèrent de la vitamine D3 de leur
alimentation.

La vitamine D3 est en fait une hormone qui fournit de l’information à


l’ADN dans chaque cellule de votre corps. La vitamine D ordonne à
l’ADN de faire des choses ou de les défaire. L’hormone D3 contrôle
au moins 1000 gènes différents de notre corps en les activant ou les
désactivant. La vitamine D fait ce travail en s’attachant aux
récepteurs VDR accrochés aux gènes de notre ADN. Mais les
scientifiques trop heureux de nommer des vitamines ont sauté sur le
coup et étiqueté l’hormone D3 comme une vitamine (chose qu’elle
n’est pas). Cette erreur d’étiquetage persiste jusqu’à ce jour et
obscurcit l’importance de cette hormone vitale pour la santé.

En plus de son rôle dans l’absorption du calcium par le corps, la


plupart du temps, la vitamine D n’a rien d’intrinsèquement bon ou de
mauvais, à part les informations qu’elle fournit à votre ADN. C’est
principalement une forme moléculaire d’information, tout comme la
plupart des autres hormones. Mais si vous n’obtenez pas ces
informations, vous allez mourir à coup sûr !

Alors, quelle information essentielle la vitamine D2 ou D3 donne-t-


elle à votre ADN ? Comme vous le savez déjà, l’hypothèse est
qu’elle indique à votre ADN que le soleil brille !

Finalement, nous sommes allés aussi loin que nous devrions pour
avancer dans la direction d’une théorie assez solide de la cause et
de la guérison de la plupart des maladies humaines. Nous en
parlerons en détail dans la dernière partie de cet article. Maintenant,
revenons à l’étrange histoire de la vitamine D et surtout aux grandes
compagnies pharmaceutiques et aux tentatives de la FDA de faire
proscrire la vitamine D. La FDA est l’agence américaine du Ministère
de la Santé.

Après la découverte d’un moyen facile et économique pour fabriquer


les grandes quantités de vitamine D2, le public américain de la fin
des années 1920 a commencé à prendre la nouvelle « vitamine » en
grande quantité et en masse. On enrichissait des dizaines d’aliments
en vitamine D par irradiation, y compris les hot-dogs et la bière. Les
articles de journaux racontaient le miracle du soleil dans une pilule
tout en vantant les nombreux avantages sur la santé. Selon le récit
d’un scientifique, les Américains de la fin des années 1920 et au
début des années 1930 prenaient typiquement 20 mg de vitamine
D2 par jour, et aussitôt les hôpitaux étaient vides, personne ne
devenait plus malade. Ces hôpitaux avançaient vers la faillite avec
les médecins et les compagnies pharmaceutiques. [9]

À la même période, des chercheurs effectuaient des expériences sur


des chiens en utilisant des doses plus élevées que l’équivalent
humain de 20 mg par jour. Certaines études ont suggéré que des
toxicités étaient rencontrées à des doses supérieures à 20 mg par
jour, mais plus tard, on a constaté que la toxicité était principalement
due à des impuretés dans le processus de préparation. Puis, les
méthodes de production ont changé pour produire une vitamine D2
pratiquement non toxique. Cependant, prendre des niveaux
beaucoup plus élevés que cela, comme ingérer presque n’importe
quelle substance en quantité excessive, peut être dangereux et
finalement toxique.

Une version des événements relate que certains dans l’industrie


pharmaceutique se sont accrochés à l’idée de la toxicité de la
vitamine D pour tenter d’éliminer l’hormone D. Leur première action
a consisté à changer l’unité de mesure de la vitamine D des
milligrammes aux unités internationales (UI) que nous utilisons
aujourd’hui. Les 20 mg soudain sont devenus un million d’unités
internationales. Ce nombre est assez effrayant, je vous l’accorde !
Lors d’une étude, on avait convaincu 7 étudiants en médecine de
prendre des doses suffisantes pour tuer un cheval, et voici que ces
étudiants sont tombés très malades. Mais on a arrêté l’expérience
juste après et ils se sont rétablis. [10] C’était tout ce dont avaient
besoin les autorités médicales pour contraindre les fabricants et les
détaillants de vitamine D à la retirer du marché.

Comme on peut se l’attendre, un tollé public a suivi et a poussé le


gouvernement à entreprendre en 1928, une étude approfondie sur la
question de la toxicité. C’était à l’Université de l’Illinois à Chicago.
L’étude a duré pendant 9 ans et des centaines de médecins ont fait
les expériences sur 773 personnes et 63 chiens. L’université a publié
les résultats de l’étude dans le rapport Steck (souvent appelé à tort
le rapport Streck sur Internet). [11] Ce rapport a conclu que les
chiens ont toléré des doses jusqu’à 20 000 UI par kilogramme de
leur poids par jour en toute sécurité pour des durées indéterminées.
20 000 UI par kilogramme équivalent à 1 million d’UI par femme
typique de 50 kg. Selon ce rapport, les cas antérieurs de toxicité
étaient dus aux techniques de production inappropriées. Le nouveau
processus « plus net » a éliminé la toxicité de la vitamine D. Chez
les humains, qui avaient reçu jusqu’à 200 000 UI/jour pour des
périodes de sept jours à cinq ans, on n’a pas observé de décès ! Et
l’un des auteurs du rapport a pris 3 millions d’UI par jour pendant 15
jours sans aucune preuve de perturbation d’aucune sorte.
Finalement, ils ont constaté que prendre des quantités très élevées
de vitamine D pendant de courtes périodes n’entraîne aucun
dommage permanent reconnaissable. La conclusion finale était
tombée : le fardeau de la preuve passait à ceux qui avaient
rejeté la thérapie à haute dose.

Quelques études ultérieures dans les années 30 et 40 ont montré


que des doses massives de vitamine D2 étaient très efficaces pour
traiter et guérir l’arthrite. [12]

N’oubliez pas une chose. Cette étude avait utilisé la vitamine D2 qui
était très disponible à l’époque et qui est du 1/4 au 1/16 aussi active
que la vitamine D3. Mais en passant dans une gamme sûre de D3,
nous pourrions déduire qu’une personne qui pèse 45 kg pourrait
ingérer sans risque entre 50 000 à 250 000 UI/jour de D3. Je
suggère de ne pas dépasser les 50 000 UI/jour pour 45 kg (de votre
poids) jusqu’à ce que vous fassiez le test sanguin. Et surtout,
assurez-vous de compléter ce régime de D3 avec des quantités
suffisantes de vitamine K2. Dans mon cas, je prenais 1000 µg (1
mg) de K2 pour 10 000 UI de D3.

L’AMA (American Medical Association) et l’industrie des


médicaments ont ignoré ces études et le rapport Steck et ont
continué de répéter que « la vitamine D à des doses supérieures à
400 UI/jour peut être toxique » ! C’est ainsi que depuis les années
1930, la quantité recommandée de vitamine D selon les médecins et
l’industrie pharmaceutique n’a pas changé et représente une dose
infime juste assez pour nous éviter le rachitisme et les os mous !
Pour les observateurs extérieurs, déclarer sciemment toxique (avec
le soutien des médecins) un supplément aussi thérapeutique pour
les profits financiers des Big Pharma semble contraire à l’éthique.
Tous les nouveaux médecins (98 % aux États-Unis et seulement 50
% au Royaume-Uni) prêtent le serment d’Hippocrate, le père de la
médecine et disent : « Je vais faire mes prescriptions pour le bien de
mes patients selon mes capacités et mon jugement et je ne vais
nuire à personne ». Pourtant, appeler une substance curative «
toxique » me parait en violation de cet engagement.

Cela pourrait sembler tellement absurde, comme un énorme complot


maléfique ! Mais n’oubliez pas que c’était dans les années 1930,
quand le gouvernement des États-Unis et son ministère de la Santé,
ainsi que les médecins, les scientifiques et chercheurs, ont mis en
place le projet Tuskegee Syphilis. Ce programme recrutait des
hommes noirs atteints de syphilis dans les zones rurales en leur
faisant croire qu’ils recevraient des soins de santé gratuits. Le
véritable objet de l’étude était de s’asseoir et voir ce qui se passe
quand on ne traite pas la syphilis. L’étude a duré 40 ans jusqu’en
1972 ! Et personne n’a dénoncé ce programme alors que tous ces
pauvres hommes auraient pu être guéris avec de la pénicilline qui
commençait à être produite en masse en 1945. Le gouvernement
américain a continué à dire aux participants de l’étude qu’on les
traitait avec des soins médicaux alors que ce n’était qu’un placebo.
La vitamine D devenait trop mauvaise pour « la science » et le
monde pharmaceutique, donc le gouvernement américain a pris du
retard ! Le plus incroyable, c’est que dans les années 1930 alors les
scientifiques et les compagnies pharmaceutiques nous disaient que
toute quantité de vitamine D supérieure à 400 UI peut être toxique,
l’industrie pharmaceutique a créé trois nouveaux de médicaments
miracles. Dalsol, Deltalin et Drisdol n’étaient rien de plus qu’une
pilule quotidienne de 50 000 UI de vitamine D2 et un agent de
remplissage pour le traitement du cancer et d’autres maladies.
L’industrie des médicaments ne se portait pas bien pendant la
Grande Dépression des années 1930 et ces « nouveaux »
médicaments les arrangeaient financièrement. Pendant ce temps, on
continuait de dire au public que la vitamine D était toxique au-delà
de 400 UI, chose particulièrement ridicule quand vous savez que
votre corps produit en trente minutes de 10 000 à 20 000 UI de
vitamine D3 sur votre peau ! [13]
Une fois que le gouvernement a invalidé le brevet sur la vitamine D
en 1943, les compagnies pharmaceutiques ont cherché à récupérer
la vitamine D sous leur contrôle. Ainsi, la campagne a débuté à New
York en 1944 lorsque le procureur général Nathaniel Goldstein a
statué que les vitamines étaient des médicaments et qu’on ne
pouvait les vendre que dans les pharmacies enregistrées. [14] Le
public a rapidement contesté cette décision devant les tribunaux et
annulée. Mais les grandes compagnies pharmaceutiques n’allaient
pas abandonner la bataille.

En 1952, la FDA (Food & Drug Association) a essayé d’interdire


l’introduction de tout produit « nouveau » dans l’alimentation et les
produits consommables, sans l’autorisation préalable et affirmative
par la FDA. Les tribunaux ont rejeté ces pouvoirs. En 1957, la FDA a
commencé à poursuivre en justice les vendeurs de remèdes contre
la malnutrition (vitamines) et a commencé à utiliser le terme «
charlatan ».
En 1960, la FDA a essayé de limiter la quantité d’acide folique dans
les vitamines à 0,4 mg. Plus tard, cette dose recommandée aux
femmes enceintes pour prévenir les anomalies du tube neural chez
les nouveau-nés s'est avérée trop faible. En 1966, la FDA a essayé
de restreindre l’accès de l’industrie alimentaire aux vitamines en
proposant de nouveaux contrôles sur l’enrichissement de la vitamine
D. [15]
En 1973, la FDA a interdit la vente de vitamine A et de vitamine D à
dose plus élevée. Plus tard, Linus Pauling, chimiste et lauréat du prix
Nobel, l’a contesté en tant que collaborateur du tribunal dans une
poursuite judiciaire contre la FDA.
En 1974, le Congrès a réduit les ambitions excessives de la FDA et
décidé de réglementer les vitamines comme nutriments et non
comme médicaments. En 1976, le Congrès a également adopté un
projet de loi qui bloquait la FDA et les tentatives de l’industrie
pharmaceutique de bloquer la vente de vitamines à haute dose. Et
en 1977, la FDA a abandonné l’exigence d’ordonnance pour les
vitamines à haute dose.
Mais en 1979, la FDA a essayé à nouveau de faire classer les
vitamines comme médicaments sans ordonnance. C’était un autre
petit premier pas vers une interdiction ultérieure.
En 1992 : La FDA a attaqué la vente en détail des vitamines dans
les magasins d’aliments naturels dans tout l’État du Texas et a saisi
les stocks et mis en prison les hommes d’affaires, accusés de
fausses allégations sur les vitamines.
En 1993 : La FDA a décidé de réglementer à nouveau les vitamines
et leurs promesses de santé.

Enfin, en 1994, le peuple américain qui en avait eu assez força le


Congrès à adopter la loi américaine sur la santé et l’éducation
relative aux suppléments alimentaires (DSHEA). Cette loi est
essentiellement une loi sur la « liberté de la santé ». La DSHEA
définit les suppléments comme des nutriments et impose à la FDA
de prouver qu’un produit présente un risque important ou
déraisonnable plutôt qu’au fabricant de prouver la sécurité du
supplément. Finalement, la situation était renversée.
Pourtant, la FDA n’a jamais abandonné. En 2011, dans l’esprit de
l’État-nounou, certains politiciens américains corrompus, achetés et
payés, ont tenté une manœuvre de porte arrière pour redonner à la
FDA le contrôle sur les vitamines et les suppléments. C’était avec
leur introduction de la Loi de 2011 sur l’étiquetage des compléments
alimentaires.
Leur intention était de renverser l’effet de la loi DSHEA de 1994 qui
aidait les consommateurs à avoir un large accès aux compléments
alimentaires. Ils voulaient transformer ce qui était essentiellement un
processus de notification en un processus d’approbation coûteux.
L’effet net du règlement proposé était de reclasser de nombreux
composés nutritionnels actuellement sur le marché en tant que
nouveaux ingrédients alimentaires qui auraient nécessité
l’approbation de la FDA. Heureusement pour la population
américaine, cette récente tentative de mainmise a également
échoué. Mais vous pouvez parier que les politiciens de l’État-nounou
qui défendent les intérêts des compagnies pharmaceutiques seront
de retour tôt ou tard. Alors, soyez à l’écoute et suivez les
événements.

Enfin, la Commission du Codex Alimentarius (code alimentaire)


est une entité de l’ONU pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) et
de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dont le but est de «
créer un ensemble de normes internationales pour guider l’industrie
alimentaire mondiale en pleine croissance et protéger la santé des
consommateurs ». Le CODEX a tenté de s’emparer du pouvoir et
c’est une affaire qui se poursuit actuellement.
C’est l’Allemagne qui tente de manipuler le comité du Codex sur la
nutrition et les régimes alimentaires spéciaux dans le but de
promouvoir les intérêts de l’industrie pharmaceutique allemande.
Pour cela, les normes réglementaires strictes cherchent à éliminer la
concurrence pour que seules les grandes sociétés pharmaceutiques
comme Hoechst, Bayer, BASF, Degussa, Fresenius, Rhône-
Poulenc, Sandoz et Novo Nordisk survivent.

Voici le projet de loi allemand sur les normes des produits


nutritionnels :
– Aucun supplément ne peut être vendu à des fins prophylactiques,
préventives ou thérapeutiques (au revoir la vitamine D !)
– Aucun supplément vendu en tant que substance nutritive ne peut
dépasser les niveaux de dosage fixés par la commission (adieu la
haute dose de vitamine D !)
– Les normes Codex pour les suppléments nutritifs deviendraient
contraignantes (gouvernement gagnant et population perdante !)
– Tous les nouveaux compléments alimentaires seraient
automatiquement interdits à moins qu’ils ne soient conformes aux
normes du Codex, ce qui nécessiterait un processus d’approbation
très coûteux. Incroyable ! Allons-nous supporter cela ? Qui pensent-
ils qu’ils sont ?

Si les États-Unis approuvent et signent ce Codex, la FDA aura le


pouvoir de fermer les magasins d’aliments naturels (magasins bio) et
d’interdire la vente de vitamines, sauf sur prescription médicale et
uniquement dans les pharmacies agréées. Pour voir ce que le
Codex nous réserve dans le monde entier s’il passe à l’avenir, allez
en Allemagne et essayez de faire le plein de vitamines. Les marques
concurrentes n’ont pas d’autorisation et les étagères ne sont pas
accessibles. Vous pouvez seulement obtenir des vitamines
minuscules dans des magasins spéciaux appelés apothicaires dotés
de pharmaciens aux blouses blanches et stérilisées. Vous n’avez
pas l’autorisation de toucher librement les vitamines extrêmement
hors de prix et gardées en toute sécurité derrière le comptoir. Avant
d’apporter les vitamines, le pharmacien vous posera de nombreuses
questions et demandera de voir votre ordonnance.

En Allemagne, le document « Die Rote List » contient une liste


complète des firmes pharmaceutiques internationales qui fabriquent
des analogues brevetés de suppléments alimentaires extrêmement
surévalués vendus en vente libre et sur ordonnance. Si vous
consultez cette liste, vous pouvez voir quelles sont les entreprises
qui essaient de manipuler le processus du Codex.

Sachez que je n’ai jamais été du type qui accepte facilement ou


même considère les théories du complot. En fait, toute ma vie, j’ai
été à l’opposé de cela et j’avais du dédain pour des théoriciens du
complot ! Mais depuis peu, je commence à me poser des questions.
Ai-je découvert une conspiration possible ? Que penser des conseils
presque criminels, que les médecins nous ont donnés pendant des
années ? Ces conseils étaient de rester à l’abri du soleil, d’utiliser
des crèmes solaires, et d’éviter les bonnes doses de vitamine D
parce que c’est « dangereux » ?!

Ces recommandations que le corps médical nous a données dès les


années 1980 comme avertissements contre le soleil ont eu pour
résultat des augmentations explosives des taux d’obésité, d’autisme,
d’asthme et d’autres maladies ! Nous savons que l’ex-première
dame des États-Unis, Michelle Obama, a tenté de lutter contre
l’obésité chez les enfants en les incitant à mieux manger et à faire
plus d’exercice. Mais comment réussir cette tâche si la cause du
problème est ailleurs, comme la carence en vitamine D ?

Maintenant que vous connaissez l’histoire de la vitamine D dans le


monde, laissez-moi vous rappeler les détails de mon histoire
récente. [16]

Enfant, j’avais des problèmes de santé comme l’asthme, le trouble


du déficit d’attention et hyperactivité et la sclérodermie Morphée.
Après l’âge de 28 ans, j’ai commencé à accumuler des blessures et
des problèmes que les médecins ne pouvaient pas guérir facilement.
Voici une liste non exhaustive : champignons jaunes sous les orteils,
kyste sous-cutané facial, cliquetis de la hanche, éperon osseux sur
le coude, kyste ganglionnaire au poignet et arthrite aux épaules et
au dos.

Après de nombreuses années de recherche indépendante sur les


maladies et le vieillissement, j’ai lu il y a environ 8 ans un article qui
suggérait que 80 % des gens qui avaient des douleurs et
courbatures souffraient de carence en vitamine D3. [17] Dès que je
l’ai lu, j’ai commencé à prendre 4 000 UI de vitamine D3 par jour (10
fois la dose quotidienne recommandée de 400 UI), et en l’espace
d’un mois, presque tous mes problèmes d’arthrite avaient disparu.
Cependant, le bruit sec de la hanche, les ongles jaunes, le kyste
ganglionnaire, le kyste sous-cutané et mes problèmes aux épaules
ont résisté obstinément.

Six ans plus tard, mon père, qui avait pris 2000 UI de vitamine D3
par jour (5 fois la dose quotidienne recommandée) pendant des
années avait son premier résultat de test sanguin à seulement 29
ng/mL (72 nmol/L). C’était 1 ng sous l’extrémité la plus basse de la
gamme de référence, ce qui signifiait qu’il devrait déjà être mort !
C’était mon moment « eurêka », je me suis dit que ma famille
pourrait être génétiquement prédisposée aux faibles taux de D3,
donc j’ai augmenté ma dose jusqu’à 20 000 UI/jour, et plus tard, je
suis passé aux 50 000 et même 100 000 UI/jour.

En l’espace d’un mois, j’ai commencé à ressentir beaucoup


d’énergie et aussi des douleurs dans les os et les articulations qui
n’avaient jamais guéri correctement. Je n’avais pas peur parce que
je savais que la vitamine D3 est une hormone de remodelage des os
et des articulations. J’avais lu que les rats qui recevaient de la D3
avaient leurs fractures parfaitement cicatrisées, tandis que les autres
rats sans vitamine D (rats témoins) avaient une grosse cicatrice sur
l’os fracturé au moment de la réparation.
En 5 mois, mes ongles jaunes se sont éclaircis, mon ressaut de la
hanche se dissolvait, mes épaules se réparaient encore mieux
qu’avec les 4 000 UI/jour. Et après un an, j’ai remarqué que
l’ostéophyte sur mon coude était parti, mon kyste sous-cutané n’était
plus là, et mon kyste ganglion avait rétréci (de la moitié d’une balle
de golf à celle d’un pois indolore).

Je me suis demandé pourquoi l’évolution ferait évoluer une hormone


activée par le soleil et cela m’a conduit à l’idée du syndrome de la
réparation incomplète. L’évolution pense que vous êtes coincé en
hiver, avec de rares ressources alors, elle vous répare et vous
maintient juste assez. Ensuite, quand le signal D3 du soleil annonce
que l’été est là et que les ressources sont disponibles, votre corps va
alors reprendre les réparations et les compléter correctement et
jusqu’au bout en utilisant toutes les ressources nécessaires.

J’ai ensuite appris qu’une forte baisse des niveaux de D3 est un


signal majeur pour les ours qui se préparent à l’hibernation. Leur
poids corporel augmente de 70 % ! [18] Un peu plus de recherche et
nous voilà ! Les personnes obèses sont extrêmement déficientes en
vitamine D3 ! Cela m’a conduit à l’idée suivante, celle d’un syndrome
de niveau supérieur, le syndrome d’hibernation humaine (SHH). Si
on garde de faibles niveaux de vitamine D3 toute l’année et toute la
vie en évitant le soleil et en utilisant des crèmes solaires, on devient
obèse pour se préparer à l’hibernation pendant la famine hivernale
prévue.

En plus de la prise de poids, le SHH pourrait également réduire la


dépense d’énergie précieuse. Dans cet esprit, SHH pourrait
également promouvoir la dépression pour vous garder confiné à la
maison (autrefois, la cave). Le taux faible de D3 rend également les
humains plus sensibles à la grippe normalement inoffensive, ce qui
nécessite une semaine au lit et la conservation de l’énergie
précieuse. Et l’arthrite ? Elle décourage la dépense d’énergie en
vous empêchant de courir, ou elle fait juste partie des réparations
incomplètes, en épargnant le calcium précieux.

Finalement, j’ai lu les 52 000 articles et études scientifiques qui


ont été publiés de 1967 à aujourd’hui, disponibles dans la base de
données PubMed pour la vitamine D (en fait, ils sont maintenant 55
000 articles). J’ai découvert que les niveaux bas de D3 sont
associés à presque toutes les maladies qui n’ont pas pour cause le
vieillissement ou des mutations génétiques.
Voici un petit échantillon :
– autisme
– asthme
– diabète
– hypoglycémie grave
– plaies chroniques
– sclérose en plaques
– lupus, maladies rénales et pulmonaires
– 17 types de cancers
– glaucome et dégénérescence maculaire
– maladie de Crohn, syndrome du côlon irritable et colite ulcéreuse
– hypertension
– polyarthrite rhumatoïde
– schizophrénie
– allergies
– tuberculose
– maladies cardiaques
– ulcères
– caries
– maladie de Parkinson
– accidents vasculaires cérébraux
– psoriasis
– pellicules dans les cheveux
– toutes les complications de la grossesse
– migraines
– crampes menstruelles
– syndromes prémenstruels

Toute maladie courante chez les humains semble être la


conséquence de la faible exposition au soleil et des bas niveaux de
vitamine D3 dans le sang ! Pour vous rendre compte qu’une maladie
est liée à un taux faible de vitamine D, regardez la distribution
géographique de la maladie. Si elle est comme la plupart des
maladies, rare près de l’équateur et beaucoup plus répandue aux
latitudes extrêmes [19], ce sera facile de faire le lien avec la vitamine
D3 et de les guérir avec des doses élevées.

Et si toutes ces maladies pouvaient disparaître en passant du taux


typiquement faible de 30 ng/mL (75 nmol/L) au taux de D3 optimum
de 80-100 ng/mL (200-250 nmol/L) ou même plus ? Les sociétés
pharmaceutiques continueraient-elles de générer leurs énormes
profits par les médicaments ? Pensez-y, si les nouvelles se
répandaient et que monsieur Tout-le-Monde apprenait que la
vitamine D3 protège la santé et constitue un traitement supérieur
pour toutes ces maladies ? Beaucoup de profits et d'emplois
disparaîtraient du jour au lendemain !

Allons-y, pensez au directeur imaginaire d’une grande compagnie


pharmaceutique, du type Dr Le Mal qui, d’une manière ou d’une
autre, détient cette information. Il pense que la vitamine D3 est
l’ennemie de son existence et veut à tout prix la supprimer à tout
jamais!

Puisque découvrir le lien entre les maladies et les carences en D3


n’était pas si difficile pour moi, il ne devrait pas l’être pour beaucoup
de médecins avec leurs livres. Si nous avons fait ce lien par nous-
mêmes, où vont tous les milliards de dollars et années de recherche
investis par les compagnies pharmaceutiques dans toutes sortes de
différents médicaments ? Pourquoi les recherches n’ont-elles pas
abouti aux mêmes résultats depuis longtemps ?

Les médicaments de pharmacie semblent tous essayer d’imiter ce


que fait la dose élevée de D3. Mais puisque leurs médicaments ne
sont pas l’hormone du soleil, ils viennent avec des tas d’effets
secondaires désagréables.

Pourquoi nous bourrer de tels médicaments douteux s’ils


connaissent les effets curatifs supérieurs de la dose élevée de D3 ?
La réponse : faire des profits, car ils ne peuvent pas breveter la
vitamine D3 ! Ils ne peuvent pas breveter le soleil !

Donc, j’en arrive à me demander si ces personnages qui


connaissent la vérité existent et s’ils ont décidé de diaboliser la
vitamine D3 en créant de toutes pièces des effets secondaires
effrayants tels que l’excès de calcification des tissus. Cette
calcification ne peut survenir qu’en avalant plusieurs millions d’UI de
D3 ou plus par jour ! Et probablement seulement, si vous ne prenez
pas amplement de vitamine K2 avec votre D3.

Alors le tambour continue dans les oreilles de tous les étudiants en


médecine : les hautes doses de D3 sont très dangereuses !
Dans mes recherches sur la D3, j’ai consulté tous les articles
scientifiques de PubMed qui décrivent la toxicité de la vitamine D3.
J’ai lu presque tous les rapports de patients et de médecins qui ont
pris des doses relativement très élevées de D3 sur une longue
période de temps et sans effet négatif. Les médecins étaient
stupéfaits, car leurs constats s’opposaient à tout ce qu’on leur avait
enseigné à l’école de médecine !
Petite anecdote : j’ai aussi appris que les effets des doses
extrêmement élevées de la D3 sont très semblables aux effets d’une
carence en vitamine K2, donc si vous essayez une dose élevée,
prenez aussi beaucoup de vitamine K2. [20]

Suis-je devenu parano et adepte des théories du complot comme


celle où des compagnies pharmaceutiques préfèrent faire des profits
énormes et intentionnellement professent aux docteurs en médecine
que les doses élevées de D3 sont mauvaises pour leurs patients ?
Pas encore. Tout cela n’est qu’une malfaisance de la part d’un petit
groupe de chercheurs des années 1930 suivi par l’incompétence des
temps modernes et le refus des sociétés pharmaceutiques qui ne
peuvent pas breveter la vitamine D3 à haute dose.

Les compagnies pharmaceutiques d’aujourd’hui connaissent-elles


les pouvoirs thérapeutiques de la vitamine D3 à haute dose ?
Cachent-elles cette information pour sauvegarder leurs profits de
vente ? Je PARIE que oui, mais j’ai presque peur de trouver la
réponse ! Donc, c’est à votre tour de répondre à la question.

Quelle chose sinistre se trouve derrière la peur


exagérée des fortes doses de vitamine D3 que la
grande communauté médicale et pharmaceutique
brandit ?
Notes de fin de chapitre:

Ces notes bibliographiques sont transmises telles qu’elles


apparaissent dans la version originale du livre.

1. Claerr, Jennifer (February 6, 2008). « The History of Rickets, Scurvy and Other
Nutritional Deficiencies ». An Interesting Treatise on Human Stupidity. Yahoo! Voices.
Archived from the original on 2013-03-26. Retrieved March 26, 2013. "URL references"
2. Schuette, D. Beobachtrugen Uber Den Nutzen Des Berger Leberthrans, Arch F. med.
Erfahrung V2, 79, 1824.
3. « Peter Cooper Hewitt ». Encyclopædia Britannica.
4. Forgotten Mysteries in the Early History of Vitamin D. Kenneth J. Carpenter1 and Ling
Zhao. 1999 The American Society for Nutritional Sciences.
5. Ibid
6. Ibid
7. Ibid
8. SOLAR Ultraviolet Radiation AND Vitamin D A Historical Perspective. Am J Public
Health. 2007 October; 97(10): 1746–1754.
9. Quote attributed to the late famous Vitamin D/Calcium Researcher Dr Carl Reich in
Robert Bareoot’s excellent book « The Disease Conspiracy-The FDA Suppression of Cures
» 2006 page 141.
10. Ibid
11. Further Studies on Intoxication With Vitamin-D, was done by the University of Illinois,
Chicago, Annals of Internal Medicine, Volume 10, Number 7, January 1937, 12. Preliminary
Report on Actiated Ergosterol (A form of high dose Vitamin-D in the treatment of chronic
arthritis. G Snyder New York State Journal of Medicine May 1940. And similar studies cited
in Barefoot’s book noted in #9 above.
13. Crissey SD, Ange KD, Jacobsen KL, Slifka KA, Bowen PE, Stacewicz-Sapuntzakis M,
Langman CB, Sadler W, Kahn S (2003). « Serum concentrations of lipids, vitamin D
metabolites, retinol, retinyl esters, tocopherols and selected carotenoids in twelve captive
wild felid species at four zoos ». The Journal of Nutrition 133 (1): 160–6. PMID 12514284.
14. Vitamin Tablets Are Ruled Drugs And General Sale in State Curbed. New York Times,
New York, NY: Jun 24, 1944 pg 1-2 pgs.
15. All these references can be found in Barefoot’s book in #9.
16. Excerpts from my e-book: THE MIRACULOUS RESULTS OF EXTREMELY HIGH
DOSES OF THE SUNSHINE HORMONE VITAMIN D3 MY EXPERIMENT WITH HUGE
DOSES OF D3 FROM 25,000 to 50,000 to 100,000 IU/day OVER A 1 YEAR PERIOD
17. Plotnikoff GA, Quigley JM. Prevalence of severe hypovitaminosis D in patients with
persistent, nonspecific musculoskeletal pain.Mayo Clin Proc. 2003 Dec;78(12):1463-70.
18. Vitamin D Status and Bone and Connective Tissue Turnover in Brown Bears (Ursus
arctos) during Hibernation and the Active State. Peter Vestergaard.
19. Latitude studies on vitamin D and disease 2012, Autoimmunity Research Foundation.
20. See #16
22. TÉMOIGNAGES

Nous avons choisi de résumer les 22 témoignages suivants


avant de les traduire. Vous pouvez aussi les lire dans leur
intégralité dans la langue d’origine dans les annexes. Ces
témoignages sont numérotés de 1 à 22.

Cas 1. Plus besoin de chirurgie !


Voici un courriel reçu en octobre 2012. Cette femme de 69 ans
souffrait d’un problème de plaies chroniques. Elle s’est guérie par les
doses élevées de D3. Les médecins lui avaient proposé une
chirurgie qu’elle a refusée. En plus, elle n’a plus mal au dos, une
blessure au genou est enfin partie et sa jambe gauche continue de
guérir. Janell affirme que le livre a sauvé sa vie.

Résumé de ma réponse à Janell :

Je lui rappelle que son cas est extraordinaire et insiste sur


l’importance de la vitamine K2. Je lui explique comment la vitamine
K2 active l’hormone ostéocalcine et comment cette hormone enlève
le calcium des tissus mous et le replace là où il appartient, c’est-à-
dire dans les os. Je lui rappelle aussi que la vitamine D3 remodèle
les os, mais que pour cela, une bonne réserve de vitamine K2 est
nécessaire sans quoi le calcium sortirait des os et irait dans les
tissus mous.

Cas 2. De Maggie (Amazon)


Maggie est une Britannique qui a souffert de la maladie de Crohn,
d’arthrite et de dépression pendant 50 ans ! Alors qu’elle pensait que
son taux de vitamine D3 était convenable, elle découvre la différence
entre les unités de mesure du Royaume-Uni et des États-Unis. Elle
se sent incroyablement bien, peut enfin retourner à manger du pain
et guérit de l’arthrite. Sa dépression est partie et la maladie de Crohn
est en rémission. Maggie voudrait que tous les médecins lisent ce
livre.

Cas 3. De T. Thielen (Amazon)


Cette dame de 54 ans a vu sa santé se dégrader depuis 1997 sans
que la médecine puisse lui apporter de réponses. Elle a dépensé
des milliers de dollars pour se soigner, mais en vain. Elle souffrait de
fatigue surrénale et prenait des médicaments pour sa thyroïde. Elle
perdait ses cheveux, sourcils et cils qui ne repoussaient plus, etc.
Elle avait beaucoup de problèmes de peau, dont le lupus du cuir
chevelu. Après avoir suivi le protocole et pris la vitamine D3 à haute
dose avec la vitamine K2, tous ses problèmes ont disparu et ses
cheveux, sourcils et cils ont repoussé.

Cas 4. Le psoriasis du Dr Carroll guéri en 2 mois (Amazon)


Ce lecteur reconnaît les bienfaits de la vitamine D3, une hormone
que le corps peut créer seul à partir du soleil. Dr Carroll était atteint
d'un incurable psoriasis et ne pouvait dormir que sur son ventre... il
se sentait comme Job, dans la Bible. Après deux mois à la dose
quotidienne de 50 000 UI avec de la vitamine K2, son taux de D3 se
situait à 150 ng/mL (375 nmol/L). Il se sentait très bien sans
psoriasis et dormait comme un bébé et a guéri d’autres problèmes
de santé aussi.

Cas 5. Un patient avec fibrillation auriculaire


Ce lecteur a 91 ans et demi. Il a commencé à prendre de la vitamine
D3 à 5000 UI/jour et continué pendant 5 années. Ses résultats de
D3 étaient à 45 ng/mL après ces 5 années. Après avoir lu ce livre, il
a augmenté sa dose et s’est finalement débarrassé de la fibrillation
auriculaire. À ce moment-là, son taux sanguin de D3 était à 100
ng/mL (250 nmol/L). Avant cela, il avait subi 8 procédures de
cardioversion pour stimuler son cœur. Il peut maintenant mieux
servir au tennis comme il n’a plus mal à l’épaule.

Cas 6. Un courriel d’une dame avec une BPCO


À 44 ans, Liz L. souffrait de bronchopneumopathie chronique
obstructive depuis 11 ans. Elle a commencé la thérapie à la vitamine
D3 par 20 000 UI/jour et a continué graduellement jusqu’à 80 000 UI.
Ses symptômes de BPCO ont diminué de près de 50 % vers la 6e
semaine et à la 8e semaine, 75 % de la congestion, la toux,
l'asthme et la difficulté de respiration étaient partis. À la 10e
semaine, elle ne présentait plus aucun symptôme de BPCO ! Elle a
remarqué un autre gain : les produits céréaliers ne lui faisaient plus
mal au ventre.

Cas 7. Marcher après la sclérose en plaques ? (Amazon)


Merola écrit qu’il/elle n’a pas marché depuis 3 ans, mais qu’après
des mégadoses de D3, il/elle peut avancer de 9 mètres en utilisant
un déambulateur.

Cas 8. Un lecteur brésilien avec une fasciite plantaire


Fabian a lu le livre alors qu’il cherchait quelque chose pour le cancer
dont sa mère souffrait. Il a ensuite essayé la thérapie à la vitamine
D3 lui-même. En deux semaines, sa fasciite plantaire est partie. Il
parle aussi d’un ami qui avait de l’arthrite aux épaules et qui est
guéri aussi !

Cas 9. Un Canadien de 25 ans... très malade (Amazon)


Ce lecteur de 25 ans endurait beaucoup de souffrance et avait
passé 30 jours dans 6 différentes salles d’urgence. Pendant ce
temps, il avait vu 35 médecins (sans frais au Canada) qui ne lui ont
apporté aucune aide. Il était dépressif, perdait 75 % de force
musculaire et sa coordination était un problème aussi. Il tremblait,
faisait de l’hypoglycémie avec résistance à l’insuline et avait du mal
à voir. Des taches de vitiligo apparaissaient sur sa peau alors qu’une
douleur terrible dans la mâchoire lui causait des problèmes d’ouïe.
Après avoir lu le livre, il a commencé par 50 000 UI et a pris des
doses extrêmement élevées pendant 6 jours, la plus haute étant de
714 000 IU durant le 5e jour. Après ces 6 jours, tous ses problèmes
sont en train de guérir ! Il n’a plus d’hypoglycémie, plus de
dépression et il entend deux fois mieux. La faiblesse musculaire et
les problèmes de coordination sont partis. Il tremble encore un peu,
mais les symptômes continuent de s’améliorer. Son avis sur la
vitamine D3 est clair, mieux qu’un miracle ! Note : ce lecteur a
acheté la vitamine la moins chère à Costco.

Cas 10. Le courriel d’un lecteur de 75 ans


Ce monsieur a pris 20 000 UI/jour de D3 pendant 3 semaines. Il
avait plein d’énergie et a amélioré sa libido. Il partage le protocole
avec sa famille et ses amis. Résultats : son épouse n’a plus de
psoriasis. Son ami compare les doses élevées au Viagra. Le fils de
cet ami, un adolescent de 15 ans n’a plus d’acné.

Cas 11. Guérir de l’asthme et de problèmes dermatologiques


Cette lectrice souffrait de douleurs dues aux problèmes de peau et à
l’asthme. Elle a lu le livre en un soir et commandé les suppléments
le lendemain. En une semaine, elle pouvait de nouveau se coucher
sur son dos, chose qu’elle a été incapable de faire pendant des
années. Les douleurs dans ces jambes sont parties. La condition de
sa peau est nettement meilleure et surtout, la vitamine D a amélioré
sa capacité pulmonaire selon elle. Elle n’a plus tellement besoin de
son inhalateur et des autres médicaments.
Cas 12. Plus de cernes sous ses yeux
Cette lectrice en début de cinquantaine n’a plus de cernes sous les
yeux. Elle a moins de fatigue aussi, et tout ça en juste une semaine !

Cas 13. Guéri d’une dépression majeure !


Ce lecteur a trouvé de nombreux bienfaits dans la thérapie à la
vitamine D3. Il a moins de fatigue et de douleurs aux articulations.
Mais surtout, il n’a plus besoin de l’antidépresseur Prozac après 18
ans de dépression. Il ne s’était jamais senti aussi bien quand il
prenait le médicament sur ordonnance.

Cas 14. Trois semaines de thérapie et de gains incroyables !


Ce lecteur a constaté de nombreuses améliorations de l’arthrite à la
discopathie dégénérative et à la dépression schizoaffective en
seulement 3 semaines de thérapie à la vitamine D3.

Cas 15. Une cure au pityriasis rubra pilaire


Suze en avait assez de son PRP avec sa peau sèche et enflammée.
Elle était toujours fatiguée, avec une vision brouillée, et son
chirurgien orthopédique voulait l’opérer des genoux. Trois mois plus
tard, elle n’a plus de problèmes aux genoux, elle se sent une
nouvelle personne et même sa vision est nettement améliorée.

Cas 16. Guéri de kératose actinique


Mark m’a écrit un courriel. Il souffre de plusieurs troubles musculo-
squelettiques aux genoux et ailleurs. Tomber d’une échelle lui a
causé une fracture à la colonne vertébrale. En poursuivant sa
thérapie à la vitamine D3, Mark a remarqué que sa kératose
actinique est partie ! Il peut enfin aller au soleil et profiter de l’été
même sa peau très blanche et ses cheveux roux.

Cas 17. Plus de bosses osseuses !


Après 26 000 UI de D3 pendant 9 mois, les excroissances osseuses
de ce monsieur sont parties. Ces éperons osseux étaient apparus
sur ses chevilles après un saut du toit à l’âge de 16 ans. Il n’avait eu
rien de cassé tout de suite après sa chute. Parmi les avantages
gagnés durant la thérapie à haute dose de D3, il compte la perte de
poids sans effort et l’absence de rhume ou grippe cette année.

Cas 18. Progrès importants en autisme, dysfonction de la


thyroïde, kystes et asthme
L’endocrinologue de cette lectrice a ajusté la dose de médicament
pour la thyroïde. Ses kystes ne sont plus. Son fils autiste parle plus
et regarde les gens dans les yeux (contact visuel). Sa fille ne prend
pas toujours sa dose de vitamine D3 sérieusement et son asthme
revient dans ce cas. La famille n’a pas eu de rhumes et grippes
depuis cette thérapie.

Cas 19. Plus de kystes !


Ce lecteur s’est débarrassé des kystes aux poignets et son taux de
glycémie est devenu plus stable. Il n’a plus envie de manger autant
de glucides qu’avant et n’a plus les douleurs associées à son âge.

Cas 20. Guéri de la maladie de Crohn !


Ce lecteur avait reçu les diagnostics de la maladie de Crohn et du
cancer de la prostate. Son cancer était guéri par une thérapie
alternative utilisée par son docteur. Mais la maladie de Crohn a pris
plus de temps et de vitamine D3. Après une utilisation très graduelle
de la vitamine D3 pendant 3 à 4 années et à la dose de 15 000 UI,
ce patient a vaincu la maladie débilitante !

Cas 21. Mieux qu’Accutane pour l’acné


Le fils de cette lectrice souffrait d’acné sévère à 19 ans et avait déjà
pris le médicament Accutane. En tant que maman, elle juge le
médicament dangereux. Un mois de dose élevée de D3 avec de la
vitamine K2 a chassé l’acné du visage de ce jeune homme.

Cas 22. Guérir d'une infection au staphylocoque ?


Ce monsieur a appris qu’il avait une infection au staphylocoque et
une dermatomycose.
Il m’écrit pour me demander si la thérapie à la vitamine D3 et K2
peut l’aider. Après deux jours à 50 000 UI, il voit une amélioration. Je
lui réponds que la vitamine D3 dynamise le système immunitaire.

Si vous voulez lire d’autres témoignages, ils sont disponibles


en anglais ici :

https://jefftbowles.com/vitamin-d3-cure-search-engine-can-d3-cure-
your-disease-1000-case-studies/

Vous aurez accès à plus de 1000 témoignages avec photos. Pour


vous informer sur une maladie quelconque, entrez le nom en anglais
dans la barre de recherche de la base de données. Ensuite, vous
pourrez utiliser l’option de traduire les résultats en français.

Pour lire sur l'autisme en français, cliquez ici :


https://jefftbowles.com/blog-francais/
23. ANNEXES

Annexe 1 : témoignages dans leur langue d’origine

1. Jannell, 69 years old woman wrote:

(I am a 69 yo female who has suffered for the past 12 to 14 years


with a bad back, overweight, etc. Since 2006, I have had Lap Band
surgery (2006), Spinal fusion of L 2-3 and rebuild of L 1 and
spending 34 days in a rehab facility (2008), removal of a mesh
bladder sling 2010, rebuild of a bladder sling of my own tissues (Jan.
2011). The bladder sling rebuild resulted in an infection which led
into a wound that would not heal. In October of 2011, it was
recommended that I go to a Wound Healing Clinic where I met with
the staff and the doctor on a weekly basis to have the wound
scraped out and the ‘Wound Vac” replaced for another week. This
continued through May, 2012 when I was told that, because the
wound was not healing, I should return to my original surgeon, which
I promptly did. He recommended a plastic and reconstructive
surgeon to see if he could, perhaps, repair the wound so that it
would heal.
In June of this year I bought myself a Kindle, and one of the first
books I bought was yours, “Against Doctor’s Orders!!”
This has literally been a life saver, and I can’t thank you enough.
But, my saga continues. I now take 75,000 IU D3 daily along with 7
mcg of K2 daily. Is this enough K2?
At this time, 10/22/2012, I am feeling better than I have for years.
Most of my back pain is gone and I can stand for a couple of hours
with very little irritation pain. A knee injury from 8 or 9 years ago ha
healed and my kneecap is back where it belongs. My left leg is
continuing to heal from being semi paralyzed with no feeling from my
hip to my toes. Though I will say that a Naproxen is necessary when
the nerves reconnect and I get a ‘shocking feeling’ I did have the
surgery to make the wound start healing on July 26, 2012. It was a
total success. I had two drains after surgery. One came out after two
weeks and is completely healed. The one on the left side came out
after 7 weeks, and only requires a Band-Aid to cover the drain area
to prevent irritation from my underwear.
I am sending my new primary care doctor your name and e-mail.
She believes that I am taking too much D3 and calcium. My levels on
October 2 were D3 80 and calcium 112. This was when I started
taking more K2. She is a new Doctor and is just learning. The med
reports said I should be between 30 and 50 for my D3 levels, and I
was only slightly high on the calcium levels. I have told her that I
heavily participate in my own health care, so we shall see.
Again, thank you for sharing your knowledge. I feel human for the
first time in years, and plan to continue for many years to come.
Oh, and I am losing weight again. Please feel free to contact me if
you wish. Janell)

My reply to Jannell:

(WOW Janell
I am so happy for you…that really makes my month! I get a lot of
cure stories, but yours sounds particularly amazing....
I renamed the book and it has been updated many times and has a
lot more new information in it...
You ought to get a new copy, upload it and read the new stuff there
is lots of it..
Anyway....it is important to take the K2 ...what does K2 do? It
activates the hormone osteocalcin…this hormone grabs calcium out
of your blood and soft tissues and puts it in your bones. When there
is no K2, the osteocalcin goes in reverse and takes the calcium out
of your bones and puts it into your blood and soft tissues....
So you want to take LOTS of K2 with your D3. You see D3 is
dissolving and remodeling everything, and if you use up your K2, the
calcium can get into your blood and soft tissues...and cause
problems.......This is why doctors are scared of it.....because they
don’t know about K2.....
I took 1 super K from www.lef.org for every 10,000 iu of D3 a
day.....so when I took 100,000 iu I was taking 10 super k's..their
super Ks each have 1000 mcg of K1 also 1000mcg K2 of the mk4
type and 100mcg of the mk7 type (by the way 1000mcg = 1mg)
Mk4 comes from animals and is not as strong Mk7 comes from
bacteria and is much stronger.... now be careful.....some people
have taken too much K2 and they complain of heart racing
headaches and high blood pressure...
I just figured out that these are the symptoms of not enough calcium
in your blood and heart..(hypocalcemia) .......so you have to thread
the needle.....I would keep taking more and more until you finally get
heart racing then back off a bit if you want to get tot the right amount
to actually remove calcium from your soft tissues....... anyway most
people have no problems with the K2 levels I take...and www.lef.org
even tells you to take twice as much K2 that I do... so at 75,000
IU/day of d3 I would take 8 super K's or more to avoid any
calcification risk... oh and I would tell your doctor she should study
up on d3 real quick and that you should be okay getting your blood
level up to 90 minimum....maybe even 125 for awhile....the only risk
of going to 100 to 200 is a slight increase in the risk of afib for those
over 65 .......from the 5% normal risk to 12.5% for those with over
100 d3 levels.... however I am guessing K2 ameliorates this
risk...read the review by Millard Ferguson and you see two surgeries
did not cure his afib but high dose d3 and k2 did..and he is 91 hey
thanks for writing , enjoy the updated book and please go to the
Amazon website for the book and write a review and put all this
information in it so others can know about it!!!
and please keep me posted I have you in the database!!!
all the best Jeff)

2. Maggie From Amazon

(5.0 out of 5 stars All Doctors should be made to read this invaluable
book. - ALSO SEE ADDITION 7 MONTHS LATER 23 Jun 2013 By
maggie Format:Kindle Edition|
This book has helped me more than any health book I have ever
read. For the last year I have had unbearable Arthritic pains resulting
in swollen hands,fingers and wrists and pains in every joint and
muscle. I could not sleep but was tired out all the time. I also have
Crohn's disease which I have managed with a diet for over 50 years.
Two weeks ago a friend sent me an article on this book. It made
sense. I had a blood test and it came back as being Adequate. I live
in UK. Measurements are different in US. I thought that perhaps I
didn't need extra Vit D. I emailed Jeff who is extremely approachable
and helpful and it appears that on the US scale my vitamin D levels
were below even the reference range!! This is really criminal.

Immediately I started taking 4000 iu Vit D and also Vitk2. After 4


days I felt much better. On day 5 I took 12000iu and the pain
dramatically decreased. I upped the dose to 16000 and again the
same. I am now on 20000 and I have never felt so well and have
only been taking it for just over a week. My energy is slowly
increasing and I am now looking forward. I will write another review
when I am further down the line to see if it helps with Crohns. I feel
the research of this man has saved me.
7 MONTHS DOWN THE LINE
I have now been on Vit D3 & K2 for the last 7 months. My severe
Arthritis has disappeared and my Crohns disease is being cured. I
had not eaten bread for years and years so I decided to try some. I
have been eating it for a month with no ill effects. If I did this before
Vit.D I had debilitating pain. The depression I suffered from for years
has gone. This is a big thing for me. I feel fantastic. In fact I feel
better than I have done in my whole life. I only wish I had had Jeff
Bowles book years ago.)

3. From T. Thielen (Amazon)

(5.0 out of 5 stars Great Information!!, September 12, 2013


By T. Thielen (Albuquerque NM) - See all my reviews
(REAL NAME)
I am very fortunate to have found this ebook. I had a Vit D test on
July 25, 2013 and my test number was 18. It did not surprise me
because I have been at these low numbers for years and did nothing
about it. My doctors were never concerned about it and neither was I
since I did not know better. I am female and 54 years old. In 1997 my
body started falling apart and fifteen doctors and thousand of dollars
spent trying to find a solution to my medical problems. I was referred
to different doctors for different problems. I have discoid lupus on my
scalp which caused quite a bit of hair loss, horrible skin breakouts
and lesions on my scalp, face, chest and arms. I started loosing my
eyegrows and eyelashes. Talk about severe stress. I was at stage 5
adrenal fatigue, take thyroid medication and of course medication for
the lupus problems. I could not heal with the different medications I
took or the healthy foods I ate. I became allergic to the sun. If I did
go outside I would break out in welts on my exposed skin. I found the
e book and started taking 10,000 of Vitamin D3 with the K2 the
following Monday. Four weeks later I had another blood test and my
Vitamin D level was at 58. I am now seven weeks taking my Vitamin
D3. My eyelashes, eyebrows and hair have started growing back in. I
still have a way to go growing my scalp hair back in though. All of my
welts have healed!! Nothing I did before would heal my skin. My skin
is now very supple, it feels as if I have tons of lotion on. I had a root
canal done two weeks ago and was put on penicillin for 10 days
(endodontist said I had this problem for over a year) and for 5 of
those days I stopped the Vitamin D3. My entire body started hurting
again. I felt so bad. I immediately started my vitamins again and I
was back to my old self again the next day. I am now able to spend
time out in the sun again. It feels so good. Last week I spend time
weeding my garden and got bit by several mosquitos. Usually these
bites are very uncomfortable and I scratch my skin until it bleeds.
NOT this time. I was bit and I did not feel any discomfort whatsoever.
My skin never swelled from the bites nor did they itch. For me that
was amazing. I have a doctors appointment soon and I will ask for a
thyroid test and d level test to see where I am at. I want to get off of
my medications. I have been wanting to up my Vitamin D3 to 20-
30,000 UI. I still have a way to go. I have a bone spur and some
other medical issues I want healed. The vitamins I now take are
Andrews Lessmans Vitamin D3-2000UI (10,000) K1/K2 (1000),
Calcium(2500) Magnesium (1200) per day. Again, thanks for the
valuable information provided to us. I am planning to put my
husband and brother on this program. They both need it! **My
present doctor is learning as much as he can from me. I am his only
patient that he knows of taking this much Vitamin D and he has
noticed the huge improvement)

4. From Dr. Carroll (Amazon)

(58 of 62 people found the following review helpful


5.0 out of 5 stars Cured My Incurable Psoriasis with 50,000/day in 2
months!! June 12, 2012
By Don Carroll
This is the most helpful book of the century. Jeff is a genius out of
the box thinker to come up with an epic tome like this. He researches
thousands of studies on D3 to find out the great benefits with almost
zero side effects. Then he uses himself as an experiment to find the
right dosage. The studies show almost every disease is eliminated
with large dose D3 because it is a hormone naturally made in the
body from the sun.
I just got back my lab results from using 50,000 units of D-3 with
Vitamin K-2 MenaQ7 (Metabolic Maintenance) daily for 2 months.
My test showed 150 ng/mL, this is in the high range of what most
authorities say it should be but I hate to reduce it. Just four months
ago I had the worst Psoriasis you could imagine covering my body. I
could only sleep on my stomach I felt like Job from the Bible. My
research found almost nothing that would help it. I started on a
mostly raw vegan, gluten free diet with super foods and super herbs
and no sugar and some cultured vegetables. I then began to take the
D-3. I now feel so good and have had so many good results besides
the disappearance of the Psoriasis. I sleep like a baby my ganglion
cysts are disappearing, my previously injured thumb is remodeling,
my skin is not as dry, my prostate healed, restless leg gone and I
could go on and on. I feel totally on top of the world.
If you have an ailment especially an incurable read this book. By the
way I am taking Russell James TheRawChefAcademy.com internet
course for the best raw food without sugar you could imagine.)

5. About atrial fibrillation


(45 of 49 people found the following review helpful
5.0 out of 5 stars This book will become a classic for vitamin D
proponents April 26, 2012
By Millard Ferguson
I read this book with interest because I have been taking large doses
of vitamin D for more than 5 years. I should mention that I am a 91.5
year old male who started taking 5000 iu's of vitamin D 5 years ago,
with 25(OH) D3 level of about 45 ng/ml.
I gradually increased my D intake and have been taking 12000 iu,
with a 25(OH)D3 level of 90 to 97 for the past 2 years, along with
vitamin K2. My blood work has not shown any significant changes
over this period. Several things have occurred in my health situation
that now suspect, after reading Jeff's ebook, have been caused by
my relatively high D level
1. My atrial fibrillation (afib) has been cured, at least for the last 8
months, after the third cardioversion procedure, when my D3 level
was near 100 ng/ml.
The previous two attempts, unsuccessful, were done when my D
level was low.
2. After serving underhanded for the last 3 years, because of a
shoulder problem, I can now serve a tennis ball normally with no
pain.
Millard Ferguson)

6. An email about COPD

(To : jeffbo <jeffbo at aol dot com.


Sent : Fri, Mar 21, 2014 11:33 pm
Subject: Vit D Review
Hi Jeff, a few weeks back you had asked me to leave a review of my
experience so far with Vit D. I was not sure where to leave it so I will
write it here and give my permission to post it where ever you feel it
would be helpful to others.

I have been using High Dose Vit D for 11 weeks to date. I began with
20 IU and gradually moved up to 80K IU by week 8. I began using
Vit D for the treatment of COPD. I am 44 and have been battling
symptoms for 11 years. I have never smoked or been exposed to
lung contaminants that I know of. I have tried many Natural
Treatments including other high dose herbs and many Natural
Modalities. All have been helpful for a time and in a limited capacity.
At the time of beginning Vit D, my symptoms had become
unmanageable and life threatening, increasingly by the day. I had
seemingly run out of options. So trying this so called "Extreme" felt
like a last ditch effort.

By week six I had noticeable improvement in breathing and


congestion and asthma. I would say a 40 -50% improvement.
However an unexpected improvement was that I no longer had
stomach pain in caused by eating grain. I discovered this by
accidentally consuming grain and had no pain. I then experimented
to see if it was just a fluke and NO it wasn't. I still don't consume
grain intentionally, but I can if I want to.

I went through a period of 10 days of severe pain in my hip and


back. I was aware It could be an effect of the Vit D healing these
areas that had been painful for years. I did not back off of the D.
After 10 days I was completely pain free in these joints. I also went
through weeks of needing to sleep long hours. I knew I was healing
so I just went with it. That lifted at week 10.

At week 8 I had a 75 percent improvement in Congestion, shortness


of breath, asthma and coughing. And by week 10 I had NO
symptoms of COPD!!!!

I have in week 11 I backslid some. I have continued on with the 80


IU Vit D and Vit K, but have had some MILD symptoms return. I have
also experienced some irritability and depression that is
uncharacteristic for me.

I plan to continue for at least six months while monitoring blood


levels.

Thanks for all of the info you provided. I am grateful for the
knowledge and for my results.

Sincerely Liz L*******)

7. Walking after Multiple Scleroses (Amazon)

(5 of 6 people found the following review helpful


5.0 out of 5 stars Walking Again, April 27, 2013
By merola - See all my reviews
I have MS and hadn't walked in 3 years. AFTER mega dose of D I
am now walking 30 feet with a walker.)

8. From a Brazilian reader with PLANTAR FASCIITIS

(7 of 9 people found the following review helpful


5.0 out of 5 stars I AM AMAZED! I HAVE HAD PLANTAR FASCIITIS
FOR 2 YEARS AND 25,000/DAY CURED ME IN 2 WEEKS!!, July
15, 2012 By Fabian Laszlo - See all my reviews
I read this book trying to find something to help my mother's cancer.
And it sounded so good I decided to try it myself.
I have been limping for 2 years with painful plantar Fasciitis in my
foot. After 2 weeks of taking 25,000 a day it is 100% gone....I am so
happy.
Also a friend of mine with shoulder arthritis has been taking it for two
weeks too and his pain is almost gone.
I live in brazil and cannot get Vitamin K2 so I am buying the
Japanese food Natto form the Japanese restaurants down here it is
supercharged with Vitamin K2. Natto have 1103.4 mcg/100g.)

9. From a 25 years old Canadian (Amazon)

(From a guy with who knows what??


9 of 12 people found the following review helpful
5.0 out of 5 stars A million stars out of 5!!!, March 16, 2013
By Thomas Lavoie - See all my reviews
(REAL NAME)
6 days ago I was dying, I'm not even kidding. For the last 18 years
I've been suffering deeply. I'm 25. I spent 30 days in 6 different
emergency rooms in 2012-2013, I saw 35 free Canadian Doctors
that all couldn't help me (yes, thirty five). I had lost 75% of my
muscle strength, 30% of my muscle coordination, 98 to 99% of my
muscle endurance (yes, I couldn't even work 6 days ago), I was
trembling all the time, couldn't bend over, couldn't do a push-up,
massive depression, would go blind often during hypoglycemia, had
extreme hypoglycemia, insulin resistance, skin vitiligo on my penis,
very painful problem spots aches that made me hurt badly: a piece
of broken bone inside my foot that felt like I was stepping on a small
rock when I would walk, an ache I had in my back, a terrible ache in
my wrist that I got from punching a door open 10 years ago, a
terrible pain under my right foot I got from landing too hard 10+ years
ago, a terrible jaw pain that never went away after having a wisdom
tooth removed 7 years ago. Also, I've been having difficulty hearing
(embarrassing to always ask people to repeat), I've been hungry my
whole life, eating non-stop all the time, 4 to 10 meals per day.

First day I decided to do 50 000IU, the next day I did 150 000IU and
150 000IU on third day. 4th day 400 000IU, 5th day 714 000IU
(Crazy dose), 6th day 200 000IU. Suddenly, all the problem areas on
my body are healing, suddenly, the piece of bone in my foot
dissolves overnight, I wake up all red, everything is healing, all aches
are burning, my ears burn and then I sleep more, I realize I can hear
twice as good, my blood sugar is now perfectly stable (no need for
glucose meter anymore), I feel energized, no depression, the
hypoglycemia being gone is so amazing I'd have given ALL my
money to cure this horrendous disease, I'm not going blind anymore,
my libido is through the roof, skin vitiligo starting to heal (base of
grey hairs on my head are turning brown, base of pubic hair turning
black again). Also, let me say that vitamin D3 isn't the only thing that
did this, I also took vitamin K2, calcium and magnesium all together
at huge doses for each of them. This is more than a miracle, this is
enough for me to sue Doctors for keeping this secret away from me.
Vitamin D3 is the greatest supplement I've ever done. I got my D3 at
Costco in Canada: 2 bottles of 360 pills @ 1000IU for 6.82$ + sales
taxes, Also, the muscle weakness is nearly all gone. Muscle
coordination is up by a lot. My muscle trembling is still present but
going away fast, jeez, this is only day 6!)

10. From a 75 years old man

(An email about pimples libido and other things


Dear Jeff,
Update on D3
I have been taking 2 capsules of 10,000 per day (3 weeks) and I tell
you I now feel younger and my body is full of life. My Libido is
fantastic for someone 75.
My wife started 2 weeks ago. She has some sort of skin itching
problem on the legs, looks like “Psoriasis” she has this problem for
about 14 months. Her doctor has prescribed many tablets and
lotions and the problem persisted. Now after taking D3 the skin looks
almost normal and the itching was gone within days of taking D3.
I gave some D3 capsules (10,000) for a friend to try, he ordered
some and he has been taking them for about 2 weeks.
10 days ago he came to see me with his 15 yr old son whose face is
full of pimples. I gave him a capsule immediately and told him to take
2 a day.
This morning his father came to see me and he told me his sons
pimples have all but disappeared. My friend has a beautiful color in
his face and he told me that he has never felt better. He does weight
lifting and he says that when he did that he had muscle aches for 24
hrs now he says he lifts same weights and no aches. Hi Libido is
high (he compares it to viagra)
Now Jeff I will fill you in on “Melatonin” powder.
I used to wake up at least 5 – 8 times per night to urinate. I never
slept good.
I have been taking about Melatonin 1/6 teaspoon every night.
I only urinate 1 am and 6 am almost like clockwork. I have a very
fulfilling sleep. I don’t know about my hair yet.
Kind regards,
Sammy)

11. A cure for Asthma?

(24 of 27 people found the following review helpful


5.0 out of 5 stars Pain disappearing & Asthma Improvement, April 7,
2012
By alaskadancingbear - See all my reviews
I began my search to reduce pain and improve my overall health
when I came across this book. I read it entirely in one evening and
placed an order the following day for the supplements. It has been
years since I have been able to lie flat on my back at night without
any discomfort. Within a week, I found myself sleeping on my back.
The throbbing pain in my leg going from my ankle to my hip was
keeping me awake and during the day it would center around my
knee. When I reached 20,000IU of D3, it went away. I dropped to
10,000 and it returned. I'm back on 20,000 and pain free. A skin
condition is showing improvement also. It's been a less than 3 weeks
that I began documenting results and I am truly amazed. And, if you
want to contact the author, read his book, he gives you his email
address and he actually cares enough to respond... I wanted to
update my review by noting the improvement in my chronic asthma. I
was born full term but spent three days in an incubator because of
my lungs. All my life I have struggled with the condition - even
though I was a runner, I was always trying to catch my breath after
the event. The virus that I recently caught would have put me in
respiratory distress and the end result would have been pneumonia.
I haven't had any difficulty breathing with the virus, only coughing.
It's been a week now and today I'm almost completely back to better
health and still taking the D3. I believe the D3 has had a significant
role in my improved lung capacity. I'm barely using my rescue inhaler
and I've cut down on my daily medications..I'm beginning the 30,000
dosage today...will see what this brings over the next two weeks and
I'll update this review....Here's to better health for all…)

12. No more Dark circles


(18 of 20 people found the following review helpful
5.0 out of 5 stars Wow - Awesome Information on Vitamin D3 and
Vitamin K, April 20, 2012
By Joann E. Rogers (Hutto, TX United States)
I don't know what to say, ordered the kindle ebook, read it shared it
followed it. Within 3 days the dark circles under my eyes that were
supposed to be from allergies were GONE! I have had aches and
pains since a work accident when I was 32 and like the author I am
in my early 50's and really tired of hurting all the time. So I am taking
around 20,000 IU's a day right now the sublingual type with Vit K
also. My neck and back feel a lot better and my fatigue is starting to
lighten up. Only on it for a week and already seeing changes.
THANK YOU for the information at such an affordable price!)

13. No more depression!

(14 of 15 people found the following review helpful


5.0 out of 5 stars Great results from following the authors advice,
December 14, 2012
By otter30 - See all my reviews
I was intrigued by the title but skeptical of the claims. However the
reasonable price swayed me.

The book is written in the spirit of "The 4 Hour Body". The author has
come up with a very intriguing theory on how large doses of D3
could benefit us, and conducts an experiment on himself to verify
aspects of the theory. He claims that he benefited greatly.

Well, I took his advice and am now up to 35000 IU/day after 4


months. I can wholeheartedly say that the authors advice has greatly
benefited me. In addition to the resolution of general tiredness and
overall joint pain/creakiness issues, an unexpected benefit was that I
no longer take Prozac after being on it for over 18 years. I actually
feel much better on the high D3 dose than I ever did from Prozac.
Prozac prevents depression, the D3 actually makes you feel good.

Despite the book being a bit disjointed, I have to give it 5 stars


because of the good that comes from following the authors advice.
At this price, he is really doing a wonderful thing here.)

14. Incredible gains!

(13 of 14 people found the following review helpful


5.0 out of 5 stars My own experiment, results, August 14, 2012
By kmisty19898 - See all my reviews
I am my third week of my experiment, and thought you might like to
know the results I have so far. Just so you know I started with 30,000
IU daily of D3 with 200mcg K2. But I must admit (here's fodder for
another book) I am also taking cayenne pepper twice daily. I use 1/4
teaspoon in 1ounce apple cider vinegar in 4 ounces of the hottest
water I can stand. The hot water helps it absorb. But you can only
use Heinz in the glass jar or home-made vinegar because the other
stuff is synthesized.

RESULTS:
1-Haven't felt like this in 15 years at least! Even my friends are
remarking that I seem "Perky" to them.
2-I am feeling some heavy pain in my very arthritic knee, and was
thinking of cutting back, but I want the joint to "remodel". 3-I have
been diagnosed with depression and schizo-effective disorder and
see #1
4-The cracking of my knuckles is minimizing already.
5-I have degenerative disk disease and extruded disks in my back
with arthritis. Something IS going on there I can feel it.
6-I use an exercise machine and have noticed that I have a much
faster recovery time between sets than before, because I feel so
good.
7-My eyes are being effected too, my night vision is getting better
already and my vision seems sharper.
8-I am losing my appetite! And have lost a tad bit of weight!
9-I am very tired at the end of the day and have been sleeping
through the night. I've had sleep disturbances for years and tried
many different meds to no avail!

This is just what I have noticed thus far and it's just the beginning of
the third week! I praise God that I found your book! I've been telling
my friends with mixed reviews, but one couple have purchased the
D3and K2 and I "gifted" them the book so they don't go astray
somewhere and quit. I am on disability and don't receive much
money but next month I plan to buy your "Alzheimer’s" book. Thank
you for pulling me back from the brink!)

15. A cure for PRP?

(11 of 12 people found the following review helpful


5.0 out of 5 stars WOW. A cure for my skin disease (possibly),
November 16, 2012
By Jaime Vendera ""Phoenix Earth" produc... (Ohio) (VINE VOICE)
WOW, this author should be a scientist!!! I cannot believe the lengths
he went on his own to study D3. He should be paid by the
government!

I accidentally stumbled across this book when browsing Kindle, and


honestly, I'd usually skip over a book with such a long title on a plain
yellow background, but something told me to stop and take a look.
I'm so glad I did! I'm a lifelong sufferer of a skin disease called PRP
(pityriasis rubra pilaris) and I have suffered severely for the last five
years, with dry, inflamed skin, energy loss, blurred vision, low libido,
etc., much worse than I have during my 30+ years of this affliction.
Fed up with dermatological treatment, I started looking for natural
alternatives.

When I found this book, vitamin therapy, or D3 for the matter, wasn't
even a consideration. But I followed my gut and forked out $2.99. Off
the but, I can tell you that this book reads like you are talking to the
author, who is o started taking 2000 iu for 60 days, my knees that my
doctor & orthopedic surgeon both told me needed replaced are so
much better but still sore after standing a long time, so I increased to
10000 iu 2 weeks ago and knees are fine, also improved my fingers
which had limited movement since I broke them 2 -3 years ago. Feel
like a new person, get tested in another week to see what level is
now. I can't believe such a simple fix!
I just had my eye appointment after taking D3 now for about 90 days,
My eyesight had improved! It's official, my right eye went from +2.25
to +0.75 and left eye from +0.75 to -0.25. My near vision (reading)
went from +2.75 to +2.50. Dr didn't believe it was from D3 but that's
the only difference from last year. Same meds, same weight, etc.
Assistants at both eye doctor's office and eyeglass place asked if I
had had corrective surgery. Knees are also still improving, but can
walk up & down steps now and able to stand longer without pain.
Thank you Jeff Bowles for your book. I had no idea!
I have my regular doctor appointment next Monday with results of
2nd D3 level test and checkup. Boy is my doctor going to hear about
it!!! What a surprise for him.
Thanks again for your book.
Suse)

16. Mark is happy!


(If I could play golf pain free again, I would be happy with that.
Possibly some of these dreams can be realized through consistent
D3 therapy.

Oh, and I took it to heart to go ahead and do k-2 therapy along with
d-3 to avoid the wrong effect on the bones. I am taking greater than
80,000 ius d-3 daily. How much k-2 do you think I need to take with
that? I weigh about 155 lbs.

Last March 2012 I fractured my spine falling off a ladder trimming a


tree. My compression fracture fused just fine with lots of
supplementation but it has been a struggle to regain strength in the
ligaments. I also banged up my left knee pretty good but
comparatively speaking a much lesser problem. I have pain in the
knee and it is slightly swollen but my mobility is still there. In fact I
have been sprinting 100 yard dashes as part of my exercise
program. I have not had the knee scoped but i suspect a possible
bone chip in the tissues cause it hurts when I kneel down on it or sit
with it bent in my easy chair for very long. I am wondering if d-3 will
rehab this knee.

I don't know if I mentioned it in my last email but the high d-3 has
resolved my actinic keratosis. This is one of those irritating
syndromes that doesn't allow you to be exposed out in the sun. You
get a raised red rash on neck, forearms and legs. The sun makes
the little red bumps itch and fester almost like poison ivy or
something. I am a red headed fair skinned individual. This summer I
was able to go outside and enjoy the sun (without sunscreen) for
fairly lengthy durations, say 1-1/2 to 2 hrs without burning and
without any effect on the rash bumps. Vitamin D is itself protective
against UVA. Today the rash bumps are few in number.)
17. No more bone spurs

(This is one of the greatest books I have read in years.


I am an avid health reader and much similar to Jeff I do my own
health experiments.
Here are a couple of observations of my own: 1: Per my podiatrist I
had two of the largest bone spurs he had ever seen on my ankle. I
got them when I was 16(I am 40 now) when I jumped off of the roof
and landed on a bent foot. I did not break a bone but the trauma took
a few month's to heal and left me with two nasty spurs that would
stay with me for the next 24 years. I put myself on 26000 iu of
vitamin d3 for 9 months and both these spurs have disappeared
completely. Really unbelievable.

2: I also lost 30 pounds without even trying (230 lb to 200 lb).

3: Also I used to get the cold/flu every year, this year it seems to
have taken a vacation.

I have initiated a bunch of other health experiments using so called


large dose vitamin D and I would update my review when I get an
update).

18. Autism, thyroid, Asthma...

(5.0 out of 5 stars Vitamin d3 has made wonders in our family. We


are living proof of this Aledav
Though the author writes like he is talking 100 miles per minute, it is
very easy to follow right along with him. I think everyone should read
this book. It's amazing how many people know nothing about vitamin
d3 and are ready to criticize the information. A couple of years ago I
went to a regular doctor visit and was asked the general questions
about what supplements and medications I was curently taking. The
doctor freaked out when I said I was taking 3000 iu daily and ordered
a toxicity test for d3, which came back normal. I am currently taking
6000 iu daily and a ganglian cyst which I had for years has
disappeared. I also went to my endocronologist and my thyroid
medication has been lowered for the first time ever and it has always
been increased instead. I also have a 5 yr old son on the autism
spectrum whom I've been giving 1200 iu daily. They just tested his
d3 and it was low. The doctor told to increase it to 4000 iu daily. We
have seen improvement in his speech, WAY BETTER EYE contact,
and more social. He will get retested in December to see if we
should increase it again. I am more than excited with the results we
are experiencing. My daughter takes 3000 iu daily, and when she is
off of it, her asthma bothers her. My husband takes 5000 iu and is
thinking going up to 10000 iu. At our home, we have not had a cold
or the sniffles in years (before taking d3 in these doses). Before
people start talking negative, they should do some research and try it
for themselves. Love the book and the information.)

19. Plus de kystes !

(5.0 out of 5 stars Enthusiasm to push me to do more research M. R.


"me" (Chicago, IL United States)
While not a masterpiece of editing and style, this book is enthusiastic
and has lots of research that you can go to yourself to get additional
information. I have done a lot of Vitamin D research before, but this
book inspired me to try to find information on large doses. This was
also the first book that said anything about K2 - which is important to
how Vit. D works. I do wish the author had been clearer about how
long he took each mega-dose of D3, but each update the author
does to the book seem to improve its flow incrementally. Read the
book and catch some of the author's enthusiasm for D3.

I had been taking 10k IU of Vitamin D3 for over a year and had
noticed improved moods. Then I got this book. I upped my D3 to 50k
IUs a day on Oct. 1, 2013. I ordered K2 and started that along with it
on about Oct.15th. About mid-month in October I realized that my
ganglion cysts (which I have in both wrists) had retreated
significantly. Now, on Nov. 1, I can't feel them at all. It is really hard to
tell how long the author took each mega dose he talks about. That is
why I think that getting your Vit. D levels tested will be very
important. I just sent my test kit in and should have results soon. (I'll
update this review when I get them.)
I have noticed that my blood sugar seems steadier - I don't crave
carbs or get hungry as often. I think I may have taken my D3 too late
on the day a few times and that has made it difficult to sleep, so now
I try to take it early in the day. I have none of the aches and pains
that friends the same age (mid-40s) complain about.

ETA : Got my results. Last year at this time, taking 10k IUs per day, I
was at 66 ng/ml. Today, after 3 weeks at 50K IUs/day I am at (oops)
172 ng/ml. I may reduce my dose a bit, but I might not. I am taking
my K2 and I feel great.)

20.Crohn's Disease defeated

(My Crohn's Disease Is Cured, Kurt W. Fuller


I must say that I literally stumbled onto this book. But the title rang
true with me, so I bought it (Kindle version) for a very low price.

Around age 53, I was diagnosed with severe Crohn's disease. At the
same time, I was diagnosed with prostate cancer. Though a number
of different urologists were "foaming at the mouth" wanting to
remove the prostate, I decided to try alternative medicine first (over
the objections of everyone in knew).

Fortunately, I found a doctor (in a state halfway across the country)


who practiced alternative medicine. He cured me of prostate cancer
without surgery. However, he said that my Crohn's was far more
dangerous to me in the long run. I said that I'd researched Crohn's
thoroughly on the internet and that every site called the disease
"incurable." He scoffed and said that my problem was a shortage of
Vitamin D.

At the time, I was taking 1,000 IU of Vitamin D per day. The doctor
recommended an increase to 2,000. When that didn't work, he
changed the dose to 4,000. Then he went to 5,000. Then 10,000.
Then 15,000. At 15,000 I finally began to see improvement. After 3-4
years, my symptoms disappeared.

I'm now 59. Oh how I wish I'd seen this book years ago. I can see
now that the strategy was good, but the doses were way too small. I
have friends with Crohn's who refuse to deviate from what "the
doctor" says, despite their lack of success. Maybe if they read this
book, they'd think differently. I couldn't recommend any book more
strongly than this one.)

21. Better than Accutane

(A recent review: Cures acne in 1 month better than Acutane

Jeff-Just wanted to give you an interesting update.


I have had my son on high dose D3 (and K2) for a month or so now.
He is 19 and has had severe acne since about 16. He went on on
Acutane when he was junior in high school and of course this
dangerous drug worked; temporarily. I was reluctant to try this drug,
however, it is hard enough being a teenager!
After about a year his acne returned.
I am happy to report that his face is almost completely cleared!
Cindy M.)

22. Could vitamin D3 cure STAPHYLOCCOCCUS ?

(Hi Jeff, aftera long a time, I finally found what I have for 20 years,
STAPHYLOCCOCCUS and RINGWORM.
let me know if K2 is beneficial in this case too. I was taking 25k d3 +
2caps K2 for almost 2 months and it was better with the eyes but
dont know how it affects staph infection.
I will try again 50k D3 DAILY. so please let me know.)

Hi Julian-great news getting the right diagnosis is often 90% of the


battle.....
I expect most infections should fall to D3 as the high doses super
charge your immune system....... you will be the first I have heard
attacking staph with it... thanks-Jeff

Hello Jeff
2 days 50000 IU VITAMIN D3+ k2 shows good results. i have
staphyloccocus on head in the eyes, face, mouth etc.)

Klin Wochenschr. 1977 May 15 ; 55 (10) : 507-8.


[Studies on the antimicrobial effect of vitamin D (author's transl)].
[Article in German]
Feindt E, Ströder J.
Abstract
In in vitro studies vitamin D3 proved inhibitory on strains of
Staphylococcus aureus, Streptococcus pyogenes, Klebsiella
pneumoniae. Escherichia coli, and Candida albicans. In the
presence of 5x10(4)-9x10(4) IU/ml vitamin D3 the organisms were
killed or reacted with a marked growth inhibition.

It is proved vitamin d3 is A MIRACLE. but I have to test it for at least


2 months but for now i found a very high RELIEF.)

Annexe 2 : une étude du NIH confirme mon article de 1998

Veuillez lire dans le paragraphe suivant le résumé du nouveau


document du NIH (National Institute of Health) et ce que disent les
scientifiques professionnels à ce propos. Notez que Wang ne dit pas
dans son résumé que l’hormone lutéinisante (HL) provoque la
maladie d’Alzheimer, mais que les agonistes de GnRH peuvent
traiter la neurodégénérescence en supprimant l’HL. J’étais le
premier à mentionner et publier sur le sujet, c’était dans mon article
de 1998 !
Cette étude est un examen approfondi et complet des données qui
entourent le concept du GnRH/HL élevé dans la contribution à la
maladie d’Alzheimer. C’est à noter que l’un des meilleurs neuro-
scientifiques au NIH, qui est complètement indépendant et sans lien
avec une entreprise privée, a mené cette étude.

Les récepteurs de l’hormone gonadotrophine :


rôle modulateur dans le vieillissement et la
neurodégénérescence
(Résumé de l’article du NIH en français)

Les récepteurs hormonaux de l’axe hypothalamo-hypophyso-


gonadique s’expriment dans tout le cerveau. Le déclin lié à l’âge des
hormones reproductives des gonades provoque des déséquilibres
de cet axe, et de nombreuses hormones sont liées fonctionnellement
à la pathophysiologie neurodégénérative. L’hormone libératrice de la
gonadotrophine (GnRH) joue un rôle essentiel dans la régulation de
la reproduction centrale et périphérique. La GnRH a toujours été
l’hormone de l’hypophyse. Cependant, au cours des dernières
années, un intérêt accru s’est développé pour les actions de GnRH
sur les cibles périphériques non pituitaires. Les ligands et les
récepteurs de la GnRH se retrouvent dans tout le cerveau où ils
peuvent agir pour contrôler de multiples fonctions supérieures telles
que l’apprentissage et la fonction mémoire et le comportement
alimentaire.
L’activation d’un récepteur unique couplé à la protéine G de type
rhodopsine qui ne possède pas de séquence terminale
cytoplasmique carboxylée modère les actions de la GnRH chez les
mammifères.
L’activation de ce récepteur semble servir de médiateur à une
grande variété de mécanismes de signalisation qui montrent la
diversité dans différents tissus. Une réduction de la maladie
neurodégénérative après la thérapie agoniste de la GnRH met en
évidence le soutien épidémiologique pour le rôle de la GnRH dans
les fonctions centrales. On a déjà considéré que l’action directe de la
GnRH dans le cerveau ne donnait pas ces effets, mais des données
récentes ont montré une action centrale directe de ces ligands en
dehors de l’hypophyse. Nous avons donc résumé ici les preuves que
le rôle direct central des ligands et récepteurs de la GnRH est
important dans le contrôle de la physiologie nerveuse centrale et de
la pathophysiologie.
Voici une réponse d’un scientifique dans la discussion qui a suivi
l’article.

« Nouvelles du NIH !!! Un nouveau document suggère une hormone


lutéinisante élevée derrière la maladie d’Alzheimer.

L’acétate de leuprolide est le composé à l’étude dans les essais de


phase II B. Il se forme dans un implant de biopolymère breveté,
développé par DURECT Corporation. Selon la société, il libère
uniquement un niveau de dosage exclusif qui est beaucoup plus
élevé que celui utilisé dans les applications précédentes du
composé pour traiter les cancers de la prostate et de l’endométriose
ou la puberté précoce. On a prouvé que l’acétate de leuprolide peut
être très… ».

Annexe 3 : l’article du NIH en anglais

« Gonadotropin-releasing hormone receptor system:


modulatory role in aging and neurodegeneration »

Liyun Wang1, Wayne Chadwick1, Soo-Sung Park1, Yu Zhou1,


Nathan Silver1, Bronwen Martin2, and Stuart Maudsley1
Receptor Pharmacology Unit, National Institute on Aging, National
Institutes of Health, Biomedical Research Center, 251 Bayview
Boulevard, Baltimore MD 21224
2Metabolism Unit, Laboratory of Clinical Investigation, National

Institute on Aging, National Institutes of Health, Biomedical Research


Center, 251 Bayview Boulevard, Baltimore MD 21224
Abstract
« Receptors for hormones of the hypothalamic-pituitary-gonadal axis
are expressed throughout the brain. Age-related decline in gonadal
reproductive hormones cause imbalances of this axis and many
hormones in this axis have been functionally linked to
neurodegenerative pathophysiology. Gonadotropin-releasing
hormone (GnRH) plays a vital role in both central and peripheral
reproductive regulation. GnRH has historically been known as a
pituitary hormone; however, in the past few years, interest has been
raised in GnRH actions at non-pituitary peripheral targets. GnRH
ligands and receptors are found throughout the brain where they
may act to control multiple higher functions such as learning and
memory function and feeding behavior. The actions of GnRH in
mammals are mediated by the activation of a unique rhodopsin-like
G protein-coupled receptor that does not possess a cytoplasmic
carboxyl terminal sequence. Activation of this receptor appears to
mediate a wide variety of signaling mechanisms that show diversity
in different tissues. Epidemiological support for a role of GnRH in
central functions is evidenced by a reduction in neurodegenerative
disease after GnRH agonist therapy. It has previously been
considered that these effects were not via direct GnRH action in the
brain, however recent data has pointed to a direct central action of
these ligands outside the pituitary. We have therefore summarized
the evidence supporting a central direct role of GnRH ligands and
receptors in controlling central nervous physiology and
pathophysiology. »

Ma remarque : je suis convaincu que nous avons déjà effectué les


expériences dont nous avons besoin pour comprendre toutes les
maladies. Il suffit de savoir manier correctement la base de données
PubMed pour trouver la réponse à presque toutes les questions.
Voici ce que vous obtenez pour les mots « la carence de vitamine D
provoque une ostéoporose » : 79 résultats pathétiques ! Et aucun
titre ne confirme l’hypothèse. Ces 79 résultats sont maigres sur
toutes les recherches qui ont eu lieu de 1967 à ce jour !

Annexe 4 : les 79 résultats obtenus pour l’hypothèse que « la


carence de vitamine D cause l’ostéoporose »

Source : PubMed

Annual high-dose vitamin D3 and mental well-being: randomised


controlled trial. Sanders KM, Stuart AL, Williamson EJ, Jacka FN,
Dodd S, Nicholson G, Berk M. Br J Psychiatry. 2011 May;198 (5) :
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The effect of intramuscular vitamin D (cholecalciferol) on serum
25OH vitamin D levels in older female acute hospital admissions.
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Mulkerrin E. Ir J Med Sci. 2010 Mar;179(1):57-61. Epub 2009 Aug
28.
The relation between osteoporosis and vitamin D levels and disease
activity in ankylosing spondylitis. Mermerci Başkan B, Pekin Doğan
Y, Sivas F, Bodur H, Ozoran K. Rheumatol Int. 2010 Jan;30 (3) : 375-
81. Epub 2009 Aug 14.
The relationship among renal injury, changed activity of renal 1-alpha
hydroxylase and bone loss in elderly rats with insulin resistance or
Type 2 diabetes mellitus. Huang CQ, Ma GZ, Tao MD, Ma XL, Liu
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Cortet B. Joint Bone Spine. 2009 Mar;76(2):162-5. Epub 2009 Jan
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Lentinula edodes improves osteoporosis-like symptoms and induces
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Annexe 5 : l’article de Chris Masterjohn en anglais

Titre : Masterjohn C. Weston A. Price Foundation, 4200 Wisconsin


Ave., NW, Washington, DC 20016, United
States.ChrisMasterjohn@gmail.com Med Hypotheses.
2007;68(5):1026-34. Epub 2006 Dec

Abstract
« The dose of vitamin D that some researchers recommend as
optimally therapeutic exceeds that officially recognized as safe by a
factor of two; it is therefore important to determine the precise
mechanism by which excessive doses of vitamin D exert toxicity so
that physicians and other healthcare practitioners may understand
how to use optimally therapeutic doses of this vitamin without the
risk of adverse effects. Although the toxicity of vitamin D has
conventionally been attributed to its induction of hypercalcemia,
animal studies show that the toxic endpoints observed in response to
hypervitaminosis D such as anorexia, lethargy, growth retardation,
bone resorption, soft tissue calcification, and death can be
dissociated from the hypercalcemia that usually accompanies them,
demanding that an alternative explanation for the mechanism of
vitamin D toxicity be developed. The hypothesis presented in this
paper proposes the novel understanding that vitamin D exerts
toxicity by inducing a deficiency of vitamin K. According to this
model, vitamin D increases the expression of proteins whose
activation depends on vitamin K-mediated carboxylation; as the
demand for carboxylation increases, the pool of vitamin K is
depleted. Since vitamin K is essential to the nervous system and
plays important roles in protecting against bone loss and calcification
of the peripheral soft tissues, its deficiency results in the symptoms
associated with hypervitaminosis D. This hypothesis is
circumstantially supported by the observation that animals deficient
in vitamin K or vitamin K-dependent proteins exhibit remarkable
similarities to animals fed toxic doses of vitamin D, and the
observation that vitamin D and the vitamin K-inhibitor Warfarin have
similar toxicity profiles and exert toxicity synergistically when
combined. The hypothesis further proposes that vitamin A protects
against the toxicity of vitamin D by decreasing the expression of
vitamin K-dependent proteins and thereby exerting a vitamin K-
sparing effect. If animal experiments can confirm this hypothesis, the
models by which the maximum safe dose is determined would need
to be revised. Physicians and other health care practitioners would
be able to treat patients with doses of vitamin D that possess greater
therapeutic value than those currently being used while avoiding the
risk of adverse effects by administering vitamin D together with
vitamins A and K. »
À Propos de l’auteur

Jeff T. Bowles n’est pas plus qualifié que vous pour écrire ce livre. Il
a juste passé quelques semaines, des mois et des années comme
lecteur passionné dans les bibliothèques universitaires à se
documenter sur les résultats des travaux scientifiques sur la vitamine
D3. Ne cherchez pas à savoir les diplômes qu’il peut avoir, mais
évaluez plutôt l’information dans ce livre. Faites vos propres
recherches et utilisez votre pensée critique. On peut avoir un
doctorat et être ignorant. Se fier aux titres pour juger un argument
n’est qu’une forme de paresse intellectuelle.

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