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0. INTRODUCTION
La position de la doctrine de l’Eglise catholique est fondée sur la raison
humaine illuminée par la foi et guidée consciemment par l’intention de faire la volonté
de Dieu notre Père. Ainsi, l’Eglise est à la fois à l'écoute des découvertes scientifiques
et en mesure d'en transcender l'horizon, sûre que sa vision plus complète respecte le
caractère complexe de la personne humaine qui, dans ses dimensions spirituelle et
corporelle, est créée par Dieu et, par sa grâce promise à la vie éternelle.
Comme nous le savons, dans ce monde en mutation, la question de
l’homosexualité est à la une et tout le monde en parle. De plus en plus, les points de
vue sont controversés et, chacun cherche à légitimer la pratique ou à la contester tout
simplement. En effet, l’histoire nous apprend que, pendant de longs siècles,
l’homosexualité a toujours été une pratique sociale. Néanmoins, tout le monde
s’accorde pour affirmer que si jadis, cette pratique était plus discrète, aujourd’hui, elle
est l’objet de toute sorte de publicité, à la fois judiciaire, politique et médiatique.
Dans sa déclaration sur quelques questions d'éthique sexuelle, du 29 décembre 1975,
la Congrégation pour la Doctrine de la Foi avait explicitement traité de ce problème. Dans
cette déclaration, on soulignait le devoir de chercher à comprendre la condition homosexuelle
et on observait combien la culpabilité des actes homosexuels devait être jugée avec prudence.
En même temps, la Congrégation tenait compte de la distinction faite communément entre la
condition ou tendance homosexuelle et les actes homosexuels. Ces derniers étaient décrits
comme des actes qui sont privés de leur finalité essentielle et indispensable, des actes
intrinsèquement désordonnés et ils sont contraires à la loi nature.
En ce qui nous concerne dans le cadre de ce travail, nous ne saurions pas intenter
un procès contre cette pratique sans avoir compris les mécanismes de son
fonctionnement c’est-à-dire comment cette pratique naît dans l’homme, comment se
développe-t-il et tant d’autres questions qui en découlent.
Ainsi donc, pour bien mener à bord ce travail, les contenus essentiels de nos
recherches seront centrés sous six points dont : le premier point aborde la perception
générale sur l’homosexualité, le deuxième point aborde le thème de la considération
anthropologique de l’homosexualité, le troisième point parle de la thématique de
l’homosexualité dans la Bible, quatrième point parle des quelques théologiens qui ont
abordés le thème de l’homosexualité, le cinquième point porte sur la position du
2
magister de l’Eglise sur le thème de l’homosexualité, le sixième point porte sur notre
appréciation critique et enfin nous chuterons par une conclusion.
I. Généralités
D’une manière générale, Freud distingue deux types d’homosexualité qu’il qualifie
d’inversion : homosexualité masculine et homosexualité féminine.
I.1. Homosexualité Masculine
l’amour paternel, même si l’image du père est généralement recouverte par celle de la
mère, ce qui permet au sujet de conserver le genre masculin, 4 le lien privilégié que
celui-ci entretient avec sa mère, dans l’ordre du désir, et sa position d’objet destiné à
combler la castration maternelle au niveau du fantasme, n’empêche pas le noyau
amoureux père-enfant d’être déterminant. Les hommes homosexuels trouvent une
satisfaction sexuelle en pratiquant la fellation jusqu’à la masturbation réciproque,
c’est-à-dire en se suçant mutuellement les pénis entre les jambes de son partenaire. Les
principaux aspects de l’homosexualité chez les hommes aboutit à l’indifférence
complète à une répulsion à l’égard de la femme, jusqu’à devenir misogyne et lutte
pour le mariage uraniste.5
I.2. Homosexualité féminine
l’homosexualité proposées par les psychologues ont porté sur : son origine ou ses
causes, son fonctionnement et son traitement en vue d’une guérison. Toutes les
recherches ont considéré l’homme comme unité d’étude fondamentale, ultime et
exclusive. Ainsi donc, concernant l’homosexualité, notre propos ne peut faire
l’économie aujourd’hui de l’apport de la psychologie.
D’entrée de jeux, il sied de signaler que ces analyses telles que présentées ici,
ont été développées par Tony Anatrella 12. La bisexualité psychique est un concept
psychanalytique. Elle désigne la structure individuelle dynamique qui rend la personne
capable d’intérioriser et de reconnaître le masculin et le féminin, de mettre ces deux
«pôles » en dialogue à l’intérieur d’elle-même. Cette structure psychique donne accès
en soi à l’autre. Elle permet au moi de se construire en référence à autrui, d’intégrer
l’autre sexe, de créer un lien avec lui, de communiquer. La bisexualité psychique ne
8
Cf. O. BONNEWIJN, Ethique sexuelle et familiale, éd. l’Emmanuel, paris, 2006, p. 135.
9
Cf. BONNEWIJN, Ethique sexuelle et familiale, p.135.
10
BONNEWIJN, Ethique sexuelle et familiale, p.136.
11
Catéchisme de l’Eglise Catholique, n0 2357.
12
T. ANATRELLA, cité par O. BONNEWIJN, Ethique sexuelle et familiale, p.136.
6
13
Cf. ANATRELLA, cité par BONNEWIJN, Ethique sexuelle et familiale, p. 137.
14
ANATRELLA, cité par BONNEWIJN, Ethique sexuelle et familiale, p. 137.
15
Cf. ANATRELLA, cité par BONNEWIJN, Ethique sexuelle et familiale, p. 138.
7
L’objet partiel pourra y devenir dominant, voire fascinant, observe Xavier Lacroix.
Fellation, pénétration anale, masturbation réciproque, etc.16
De ce qui précède, nous voyons que la bisexualité psychique consiste donc dans
un processus de différenciation et dialogue qui œuvre à l’orientation sexuel de
l’individu. Cette construction progressive s’effectue à la fois en référence à l'identité
sexuelle du sujet lui-même et aux modèles rencontrés : parents, frères et sœurs,
éducateurs, amis, etc. L’identité sexuelle est une donnée de la réalité dès le sein
maternel. Elle résiste à tout positionnement qui ne va pas dans le sens de ce qu'elle est
et de ce qu'elle est appelée à devenir. De par sa structure dynamique, elle est
nécessairement l'objet d'un travail d'assentiment, d'intégration, de déploiement,… sans
pour autant pouvoir être radicalement transformée.
L’orientation sexuelle désigne cette même identité en tant que celle-ci est
reprise, positionnée, « orientée», par le sujet. Elle peut soit correspondre à l'identité
selon divers degrés, soit s'en désolidariser toujours selon divers degrés, comme c'est le
cas dans l'homosexualité. Ainsi donc selon Tony Anatrella, à ce niveau, l’orientation
ne dépend pas d'un choix délibéré et rationnel. Elle est une conséquence involontaire
d'une «option» affective ou d'une série d'« élections» affectives. Elle désigne l'action et
le résultat d’un positionnement de la vie psychique dans la cohérence de l'identité
sexuelle ou au contraire qui l'en éloigne. Le sujet est en effet incapable d'élaborer à
partir de lui seul son orientation sexuelle. Il a besoin à cet effet de s’identifier aux
aspects masculins ou féminins des personnes qu'il rencontre dans son histoire, c'est-à-
dire ceux de ses parents, de leurs représentants et des modèles sociaux. Ces références
masculines ou féminines revêtent donc une très grande importance pour l'enfant et
pour le jeune.17
16
X. LACROIX (dir.), l’Amour du semblable. Questions sur l’homosexualité, éd. Cerf, Paris, 2001,
p. 159.
17
Cf. ANATRELLA, cité par BONNEWIJN, Ethique sexuelle et familiale, p. 138.
8
18
Cf. ANATRELLA, cité par Bonnewijn, Ethique sexuelle et familiale, p. 139.
19
Cf. ANATRELLA, cité par Bonnewijn, Ethique sexuelle et familiale, p. 139.
9
20
Cf. BONNEWIJN, Ethique sexuelle et familiale, p. 139.
21
Cf. BONNEWIJN, Ethique sexuelle et familiale, p. 140.
10
22
THEVENOT, Homosexualités masculines et morale chrétienne, p.216
11
23
M.GILBERT, La Bible et l’homosexualité, in nouvelle revue théologique, Tome 109(1), Janvier-
Février, 198, p. 90.
24
THEVENOT, Homosexualités masculines et morale chrétienne, p. 234.
12
cette phrase de thomas, nous saisissons que le plaisir sexuel n’est donc admissible que
s’il conduit un acte que l’on n’empêche pas de déboucher sur la génération.
Saint Thomas d’Aquin explicite pourquoi les actes contre la nature sont les plus
grands péchés en disant qu’en tout domaine, la corruption du principe est la pire de
toutes, parce que du principe dépendent toutes les autres réalités. Or les principes de la
raison sont ceux qui sont selon la nature : en effet la raison dispose les autres comme il
convient. Cela apparait aussi bien dans l’ordre de la pensée que dans l’ordre de
l’action25. La loi naturelle, participation en l’homme de la loi éternelle est ce qui doit
avec la loi révélée positive, guider l’homme dans son agir. Cette loi naturelle est
l’expression des finalités essentielles de la nature humaine. Selon Saint Thomas, la
finalité essentielle des relations sexuelles étant la prolongation de l’espèce, une saine
application de la loi naturelle se doit de refuser tout acte qui ne serait pas ouvert à la
fécondité26. Sous cette note, il nous parait opportun d’affirmer que le docteur angélique
n’est pas favorable pour l’homosexualité.
IV.2. SAINT ALPHONSE DE LIGUORI
Saint Alphonse De Liguori focalise sa pensée en parlant de l’homosexualité sur
le pêché contre le sixième commandement, d’où il se demande si cette ignorance
qu’ont les hommes par rapport à cette loi peut exister dans le domaine des préceptes de
la loi naturelle. Ainsi il écrit : « Si les péchés sont contre le droit naturel, un
avertissement doit être donné à moins qu’aucun espoir ne soit permis, et qu’on
craigne que les péchés deviennent formels au lieu de rester matériels »27.
La réflexion d’Alphonse de Liguori fait mieux comprendre son opinion selon
laquelle l’ignorance des sixième et neuvième commandements pouvait être parfois
invincible. En mettant l’accent sur l’ignorance comme excuse de la faute n’empêche
pas Liguori de considérer les actes de sodomie comme des péchés matériels graves : il
les classe parmi les péchés de luxures contre nature, en prenant soin de définir avec
précision la sodomie imparfaite comme l’hétérosexualité et la sodomie parfaite comme
l’homosexualité.28
25
THEVENOT, Homosexualités masculines et morale chrétienne, p. 235.
26
THEVENOT, Homosexualités masculines et morale chrétienne, p. 236.
27
THEVENOT, Homosexualités masculines et morale chrétienne, p. 235.
28
THEVENOT, Homosexualités masculines et morale chrétienne, p. 238.
13
29
Catéchisme de l’Eglise Catholique, 2357
30
Catéchisme de l’Eglise Catholique, 2358
31
PAPE JEAN-PAUL II, A l’ occasion de la prière dominicale, Vatican, 2000
14
Pour le pape Benoît XVI l’homosexualité est injuste, elle oppose à la volonté de
Dieu et est inconciliable avec la vocation de prêtre, estime le pape Benoît XVI dans
son livre entretien présenté mardi à la presse, la lumière du monde, une position qui a
suscité l’indignation des gays italiens. En tant qu’êtres humains, ils méritent le
respect ; ils ne doivent pas être rejetés à cause de cela. Le respect de l’être humain est
tout à fait fondamental et décisif, il affirme. « Mais cela ne signifie pas que
l’homosexualité soit juste pour autant. Elle reste quelque chose qui s’oppose à
l'essence même de ce que Dieu a voulu à l’origine, s’empresse-t-il de préciser »32.
Ces paroles ont immédiatement suscité la condamnation de la principale
association italienne de défense des droits des homosexuels, Arcigay : Les paroles du
pape humilient des millions de vies qui doivent supporter chaque jour des
discriminations. Le pape finit par armer le bras de l’homophobie en offrant une
justification aux auteurs de discriminations, et ressuscite la haine envers ce qui est
différent, se rendant ainsi coresponsable d'homicides, d'arrestations et de violences,
poursuit le communiqué. Arcigay conclut en annonçant, dans un avenir immédiat, des
contestations directes contre le pape.
Benoît XVI s’exprime de manière plus spécifique en jugeant que
l’homosexualité n’est pas conciliable avec la vocation de prêtre. Sinon, on courrait un
grand risque si le célibat devenait en quelque sorte un prétexte pour faire entrer dans la
prêtrise des gens qui ne peuvent de toute façon pas se marier, il ajoute « La sélection
des candidats à la prêtrise doit donc être très scrupuleuse. Il faut y apporter la plus
grande attention pour éviter que s’instaure une confusion de ce type et qu’au bout du
compte le célibat des prêtres soit pour ainsi dire assimilé à la tendance à
l’homosexualité »33, conclut-il. Interrogé sur l’existence d’une homosexualité dans les
monastères, parmi les religieux34, qui n’est peut-être pas vécue et donc justement pas
pratiquée, le pape répond : Les personnes concernées doivent au moins essayer de ne
pas mettre en œuvre cette tendance activement, afin de rester fidèles à la mission
inhérente à leur ministère.
V.3. Pape François
32
PAPE BENOIT XVI, Lumière du monde. Le pape, l’Eglise et le signe du temps, Ed.
Bayard, Paris, 2010, p. 55.
33
PAPE BENOIT XVI, Lumière du monde. Le pape, l’Eglise et le signe du temps, p. 43.
34
PAPE BENOIT XVI, Lumière du monde. Le pape, l’Eglise et le signe du temps, p. 57.
15
L’homosexualité est considérée comme une épreuve que les personnes, si elles
sont chrétiennes, sont invitées à vivre dans la perspective de leur salut, en s’unissant au
sacrifice de la croix. Elles sont appelées à la chasteté, c’est-à-dire qu’elles ne peuvent
vivre de relations sexuelles qui sont considérées comme des péchés. Dans un
documentaire du 21 octobre 2020, le pape François semble favorable à l’union civile
des personnes homosexuelles. Il avait tenu des propos similaires comme archevêque
de Buenos-Aires avant son élection au Saint-Siège. Le pape François réprime le
lobbying mais ne juge pas l’homosexualité. « Le problème n’est pas d’avoir cette
tendance, c’est de faire du lobbying. C’est le problème le plus grave selon moi. Si une
personne est gay et cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour la
juger ? »35 . Cette phrase a tourné en boucle dans les médias après que le pape François
l’a prononcée, plusieurs fausses interprétations ont été reproduites. L’Eglise ne peut se
contenter de prendre position sur des questions liées à l’avortement, au mariage
homosexuel, et à l’utilisation de méthodes contraceptives. Elle doit accompagner les
personnes, telles qu’elles sont.
Dans la vie de tous les jours, Dieu accompagne les personnes et nous devons les
accompagner et les accepter à partir de leur condition. Car tout homme a été créé à
l’image de Dieu36. Le magistère de l’Eglise enchaine en disant qu’il est interdit à l’être
humain de négliger la vie corporelle, bien au contraire, il doit estimer et respecter son
corps qui a été créé par Dieu et qui doit ressusciter au dernier jour 37. La dignité propre
de toute personne doit toujours être respectée dans les paroles, dans les actions et dans
les législations.
Dans des extraits, sans doute montés, d’une interview du mercredi 21 Octobre
2020, le pape François se prononce en faveur des contrats d’union civile pour les
couples de même sexe afin que les conjoints bénéficient d’une protection juridique.
C’est la première fois qu’un pape plaide pour le pacs et les formules apparentées. Pape
François dans un film réalisé par Evgeny Afineevsky et intitulé Francesco, le saint
père a affirmé que « Les personnes homosexuelles ont droit à être dans une famille, ce
sont des enfants de Dieu, elles ont droit à une famille. On ne peut évincer personne
35
PAPE FRANÇOIS, in Shift for Church, Voices Support for Same-Sex Civil Unions », 21 October
2020
36
CONCILE OEUCUMENIQUE VATICAN II, La constitution pastorale Gaudium et Spes, no12, §3.
37
CONCILE OEUCUMENIQUE VATICAN II, La constitution pastorale Gaudium et Spes, no14, § 1.
16
d’une famille, ni lui rendre la vie impossible à cause de cela. Ce que nous devons
faire, c’est une loi d’union civile, elles ont le droit d’être légalement protégées. J’ai
défendu cela. »38
En parlant au passé, le pape fait sans doute référence mais le documentaire ne
précise pas le contexte de l’entretien au temps où il était l’archevêque de Buenos
Aires. A cette époque, entre 2009-2010, il s’était vivement opposé au gouvernement
argentin, dirigé par Cristina Kirchner, qui avait entrepris d’ouvrir le mariage aux
couples de même sexe. Il s’était jeté dans la bataille politique et avait publiquement
qualifié ce projet d’« attaque qui vise à détruire le plan de Dieu »39. Il avait cependant
tenté de convaincre sans succès les autres évêques d’accepter une union civile comme
alternative au mariage homosexuel en vain.
38
OBSERVATOR ROMANO, Pape François dans un film réalisé par Evgeny Afineevsky et intitulé
Francesco, Vatican, 2020
39
OBSERVATOR ROMANO, Pape François dans un film réalisé par Evgeny Afineevsky et intitulé
Francesco, Vatican, 2020
40
Catéchisme de l’Eglise catholique, Ed. Paulines, Côte d’Ivoire, 2011, n o 2335
17
estime que l’homosexualité possèdes des causes d’ordre biologique lorsque par
exemple le personne a un dérèglement hormonal, mais aussi des causes volontaires et
psychiques. L’homosexualité revêt plusieurs formes : bisexualité ou encore
Narcissismes. La Bible condamne sous toute ses formes cette pratique homosexualité
car n’étant pas digne et n’honore pas. « Ne commets pas d’adultère et n’excite pas la
passion homosexuelle, ne transgresse pas de couches imposées par nature pour une
passion illicite car même les animaux n’agressent pas des relations entre males »41
C’est de cette manière que certains théologiens comme Saint Thomas d’Aquin,
Alphonse de Liguori condamne implicitement cet acte qui est contre la loi naturelle et
conduit parfois à une sorte de bestialité.
Bien que la pratique de l’homosexualité semble être à la une ou une monnaie
courante, nous sommes appelés à lutter contre cette pratique car amène à déconsidérer
la place de la sexualité naturelle telle que voulu dès l’origine. L’Eglise quant à elle par
l’annonce de l’Evangile pourra rejoindre ces personnes dans les diversités de leur état
en vue de leur conversion.
BIBLIOGRAPHIE
1. La Bible de Jérusalem
2. Catéchisme de l’Eglise catholique, Ed. Paulines, Côte d’Ivoire, 2011,
3. Bonnewijn O., Ethique sexuelle et familiale, éd. l’Emmanuel, Paris, 2006.
41
M. GILBERT, la Bible et l’homosexualité, in Nouvelle revue théologique, 85
19