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quoTI ¬ut tohicr ue sur des iocuime1its.

Ccpen:1ant, des conietures


commc ie
eievct trop haut leurs préteutions VC
à l
autrul, et qu'elles assentiment
doivent se présenter teut Au
plus comine unexercice de
gnee de raisOn, concédé pour l'inagination, accmpa
le délassenent et 1a
$ante de
l'esprit mais nullement comme une alidire
Serieu1Se: clles ne peuvent
pas non plus se mesurer
2veCCCIte histoire iui, précisment à
emes evenements, est
propOS ies
accréditée établie Comme
et
un reCit réel dont la vérification repose sur de tOut
autres fondements quue la simple pnilosophie de la
nature. Précisément pour cette ra1son, et puisue
'Ose entreprendre ici un
simple vovage d'agrément,
Je puis bien dlemander cette tave1r qu'il me soit
ermis utiliSer cornine carre un
document sacre, er
d mimaginer en neme temps que mon itineraire,
que je parcours sur les atles de 'imagination, non
toutet01s sans conserver un fil condu teur rattaché
par la raison à l'expérience, retrouve préc isément le
méme chemin (jue celui qui était tracé d'un
p0int
de vue historique dans ce document.
Le leteur
Ouvrira ies pages de ce document(Genèst ,chap. I1à
VIet vertiera pas a pas si le chemi que ta philosoo
phicprend d'apres des concepts coincide avec celui
qu'indique l'histoire.
S1l'on ne veut pas se perdre en pures
conjectures,
il faut prendre pour point de départ ce qui n'est
aucunement susceptibie d'étre dérivé, par la raison
humaine de causes naturelles antécédentes, donc
l'existence de lhomme ,; et il faut même considérer
celui-ci à sa taille aduite, parce qu'il doit se passer
de l'aide maternelle, vivant dans un couple afin
qu'il
engendre son espece, mais sCulement un couple
unique afin que la guerre ne naisse pas immédia-
tement du tait que les hemmes vivraient à prox1mité
les uns des autres en ctant cependant étrangers ; u
encore, af1n quc la naturc ne soit pas accusce ie
n'avoir pas produit, a causc de la diversité des sou-
Ches gu clle introduir, la nmeilleure organisation en
vue de la sociablité, qJi est la hn la plus haute de la.
deStination humaine car lunité de la famille dont
tous les hommes durent descendre fut sans aucun
doute I'arrangement le plus propre pour atteinire
cette fin. j e Suppose ce coupie situ dans un licu
protcge contre les at taques des betes de proie, ct
richementnOurvu par la nature en moy¢ns de sub-
SIstance, doncen quelque srte dans un jardin, sous
un ciimat
toujours doux. t , qui plus est, je ic,
Consi1ére sculement après cqu il a iait un pas cons1-
derabe dans l'habileté à se .ervir d torres, rt
1
epars donc pas de sa nature a i'état tot alement
u r : a r si je voulais entreprendire derombler cett:
acune, qui embrasse probahlement un grand laps
de temps, il se pourrait bien quc lcs conjeétures
deviennent trop nombreuses pour le leéteur alors
mem que les v raisemblances dimiueraient. Le
premier homme pouvait donc Se tenir debout et mar-
cher savait parler (voir Genèse, chap. I1, ver-
set 20*) et meme discourir, c'eSt-à-dire parler en
enchainant des concepts (verset 23), donc penser
Autant de formes d'habileté qu 'il devait toutes
acqucrrr par lui-méme (car, si clles étaicnt innées,
elles seraiert également héréditaires, ce qui est
cependant contraire à l'expérience) ct dont malgré Vi
tout j'admets qu tl est deja pourvu, atirn de nc consi-
dérer dans sa conduite que l'évolution de l'element
éthique qui suppose necessairement cette habileté.
LL'inStirit, cette roin de Dieuà laquelle obéis-
sent tous les animaux, devait seul d'abord guider
notre novice. Il lui autorisait certaines choses pour
nourriure et lui en interdisait d'autres (111,2, 3').
Mais il n'est pas nécessaire d'admettre l'ex1atence
d'un instinét particulier, aujourd'hui
disparu, pour
cet oftice; ce pouvait étre simpiement le sens dec
'odorat; parsa parenté avcc i'organe du goúr, ainsi

L'insinél de communication doit d'abord avoir poussé l'hommq


cncore solitaire à manifeSter son existence aux étres vivants qui
Sont extéricurs à lui, et en particujier à ceux qui émettent un son
qu'il pcut imiter et qui peut ensuite servir dc nom. Un cflet
semblable de cet instinet se rencontre encore chez les cnfants et les
Simples d'esprit qui par des bruits, des cris, des sifflements, des
Chants ct autres manicStations bruyantes (Suvent aussi par des
pensées' énoncées à haute voix) troublent la partie pensante de la
Communauté. Car je ne vois pas d'autre motifà ce compo tement
2ue la volonté de manifeSter lrur existence trout autour d'eux.
Tessentir aptiude i'inatitndr!
ou iat 2
Cncore
a cornsomn1ation, telle qJu on lA r n ) r i t r e
Sc:
aujourci'hui. Dn peut mén a d i r e ' 1 , Ce
che: ir 'p1u[pjt qu tle
eta pas pius a1
Sta10urdiur; on sar ii 1 i i 11i
renee Separe, quant àux CAd cie7ht f cpt1({i, it
n n e s qui ne sont preonCU 1 A lcurs Ser:s
de ceux qui, cgalemcnt picCueS pa ieurs pen

sees, sont de ce tait detounes de lcurs sensatIons.

Tant que l'homme incxperimente obeit à l'appel


de la nature, i s ' e n trouva bien. Mais la raison
la
Commença bientot à s'éveiller et chercha, par
Comparaison de T'objct consonme avec ce q u un
sens diftérent de celui auquel l'instinct était lie
par cxcmplc le sens de la vue représentait
comme semblable à ce qu'1l avait habituelle ment
Consommc, à eiarg1r sa connaissance des al1ments
au-delà des limites de l'inStint (iun, 6.) Cette ten-
tative aurait pu tortuitement rencontrer une issuee
favorable, quoique l'instiri t ne la recommandat
point, encore qu'elle ne le contredit pas. Seulc-
ment, c est precisement ure particularite de la rai-
son qu'elle peut, avec l'aide ie l'imagirnatio7, créer
artihciellement des désirs, non seulement sans qu'il
y ait un instinct naturel qui s'y rapporte, mais mme
a encontre de celui-ci. Ces désirs, que l'on désigne
nitialement par le terme de concupscence, favorisent
cependant peu à peu, sous le nom de lusure, l'éclo-
Sion de tout un cssaim de penchants superlus, et
meme contraires à la nature. L'occasion de devenir
rebelle à l'instinét naturel put bien n'ètre au debut
qu'une Simple vétille; seuiement, le succes de cette
premiere tentative, c'est-à-dire le fait de deyenir
conscient de sa raison comme d'un
pouvoir qui peut
S ' étendre au-delà des bornes dans lesquelles sont
maintenus tOus les animaux, tut t res important, ct
meme décisif pour le mnode de vie.
Ainsi, à supposer
quil y ait eu, ne serait-cequ'un simple fruit donn
'aspet, par sa ressemblance avec i'autres truits
agreables déjà goutés antéricurement, incitât å taire
Cette tentative; à supposer qu'à ccla vint encorre
Co je
iiii ACiij)it u aiiiiTi.si ii.iiii
Carnuis1ble qu'il
pour l'homme et iqut, par
1
nstun t consequcnt,
naturel se tùt opposé chez c* dernicr a
Ctt
consommation: cela p.it dejà tournir à la
rS
Occa I0n reiere le cica'ir avec VOx
i Ta 1ature (111, I)ct, mal:*rc sOn opposit 1ot1, cde
tr a preimiere tentative (i un tibre chox crnta-
tiVeqil, du tait qu'clie était ii prenmicre, ne dut
probaibiement pas répondre a ce u'en atfcndlait
honrme. Et le donmage peut bicn avoir eté aussi
Insgniiiant que i'on voutra, il rSte neanmoins quc
s veu i des nomnies s'ouvrireit en Certe )Casion
(verset 7). {l découvrit cn lui i: pOuvOir ie choISr
lut-mene un mode de vie et cde r pas étre lie conIne
les autres animaux à un nmode ile vie
uniquc. A a
satista tion immed1ate que put Susciter en i
decouverte d2 cet avantage cdurcnt ui ia
der aussitót i cependant succé-
angoisse et l'.nquieude: Comment lui,
qui ne Conna1ss iut encore les prOprietes Cachces et
les eitets loint.ains d'aucune
dre avec ce
chose, alla1t-il s'y pren-
Tenait en
pouvoir nouvellement découvert? fl se
quelque
en dehors des
sorte au bord d'urn
precipice; car,
objets particuliers cde: son de'sir que
'instinct lui avait jusqu'à
présent indiqués, s'ou
vrait à lui unc inf1nité d'autres
obje ts dens le choix
desquels il ne savait encore aucunement se
et, un« tois qu'il eût reperer
goûté à cet état de liberté,
lut úevint pourtant désornais impoSsible de
revenlr å l'état desevitude (sous la domination de '
'inStin&t). .
Juste après l'instinct de nurrition, par
nature conserve lequel la
est /'tnSTtni
chaque iniividu, le plus important
sexuel
grace auquel la rnature pourvOit à
la conservation de
chaquc espéce. Or ia raison, une
fois éveillée, ne tarda
pas non plus à manifeSter, ici
aussi, son infuence.
prendre que l'excitationhomme
nc tarda
pas à com-
maux
sexuelle, qui chez les ani-
repose seulenent sur une
gère etle mpuiSiOn
plus souvent periodique, ctait passa-,
chez lui d'ètre susceptible i
l'eftet de prolongee et meme augmentée
l'imnaginat1on
d'autant plus jii1 exercC Son
de mesure sanS
sous
action. avesl
oute, mais
aussi de
façon d'autant plus durable et
torme, que l'objet e[t d'autant plus uni-
l
comprit également qucdavantage sousBrat! aux sens, et
cela préservait rle le S2ticte
qu'entraine avcc soi ia satisfaCtion d'un désir pure-
ment animal.
La feuille de
figuicr (verset ?) fut donc le résultat
d'une manifest ation de ia rais on bicn
tante que celle ont cle avait fait plus irmpor-
preuv: nr d la
pemiére etapr ic
developpemcnt.
svn
Car
une inclination plus intense rendr
et plus durable du tit
que l'on soustrait son objct au sens manifeste
déja ia
conscience d'une donination de la raison à l'égard
des
impulsions, et non plus seulemerit, comme à la
première étape, un pouvoi de les servir à plus u
moins grande échelle.
Lrefusfutl'artith:e qui con-
duisit homme des attraits
simplement sensucls aux
attraits idéaux, ct, peu à peu, du désir simnlement
animal à l'amour, puis, avcc ce dernier, du sen-
timent de ce qui est simplement agréable au sen
tment de got pour a beauté, d abord seulem:nt
pour celle de l'hommne, mais également par la suite
pour celle le la nature. La decence incl1naron
susciter chez aut rui du
bonnes manières
respett à not re
égard par nos
(dissimulation de
éveiller du mépris), donna en
ce qui
pou rait
outre, en tant que
tondement authenticque de toute véritabie sOCiab1-
lité, le prermier signe de la formation de l'homme en
ant
que creature moralc. Un début modeste, qui
cependant tait époque en donnant une orientation
coute nouvelle à la
façon de penser, eSt plus impor-
tant quc toutc la serie
intcrminable dcs progrecs
culturels qui s'ensuivent.
La troiSIème étapc tranchie par la
raison, apres
gu'elle se fut meléc dcs premiers besoins
immédiats, fur atente réHéchie del'aven1r. scnsibles
Ce pou-
NOiIr de ne pas jouir simplemcnrde l'insant
mais de rendre présent letemps à venir, für-il présent,
très
cloigné, est le signe distinctif le plus décisif de la
Superiorité de
T'hommne se preparer, contor-
mementà sa dcStination, pour
à des Hns lointaincs; mais
Gest aussi cn mnème la aoufce Ba
temps
sable de soucis et de préoccupations plus l'avenir
intaris-
ncertain suscite, et que
auxqucls tous les animaux sont
1jeclures
soustraits (ersets 13-1 9). L'homme, qui avait a
assurer sa subsistance, ainsi que celle d'une femime
et des entants à naitre, prévit a diticaite toujo:irs
croissante de son travail; l'épuse pre vit les charge
auxquelies ia nature avait sOmis son sexe, et de
surcroit celles que 'homme, pusfort, ui impose-
rait. Tous deux prévirent avec efirOi Ce qui, apres
u n e vie se ticnt à l'arrière-fond du tablcau,
pénible,
atteint certes inévitablement ies animaux,
ce qu1
mais sans cependant les préoccucr, à s a v o i r ja
s'interdire
mort; is donnèrent aliors l'impression de
tous ces
usage de la raison qui leur Occasionnait

considerer comme un crime. Survivre


maux, et de le
dans leur poStérité, dont le sort serait peut-étre
meilieur, ou bien e n c o r e vivre
dans qu une famille
voilà qui tut peut-étre 1
pourrait alléger leurs peines,
cOnsolante a ieur redonner c o u -
la seule perspe tive
rage (versets 16-20).
la rai-
Le quatrième et dernier pas qu'accomplit
l'homme au-dessus de la
son, achevant d'élever
sOCiété avecles animaux, résida dans le tait qu'il
Comprit(quoique de façon seulement obscure) qu'il
était 2u fond la i n de la nature, et que rien de ce qui
avec
Vit sur terre ne pouvait entrer en c o n c u r r e n c em o u
luisur ce poit. La premi re tois qu 'il dit au
ton: La peau que tu portes, la nature ne te l'a pas

donnee pour tol, ma1S pour mo1», qu'il la lul retira


et s'en revêtit (verset 2 1), il prit consCience d'un pri-
raison de s u r tous les
Vlege qu'il avait, en sa nature,
animaux, qu'il ne considéra plus désormais comme
ses compagnons dans la création, mais comme des
moyens e t des instruments dont sa volonté peut
disposcr en vue d'atteindre les fins qu'elle se
Propose à son gré. Cette représentation inclut
(bien qu'obscurément) sa réciproque, à savoir qu'il
n'avait pas le droit de dire une elle chose à un autre
bomme, mais quil devait au contraire le considérer
comme bénéficiant à égalité avec lui des dons de la
nature ceguipréparait de Ioin ax limitations q1e
la raison devait imposer par la suite à sa
volonté
en ce qui concerne Son prochain, imitation qui.
bien davantage çncore que l'atection
nécessaire à l'établissement de la
ct
l'amour, est
société.
t atns!. nOnne
ai2 aree Os ies ires enatientrer
Tu:si
dans un eti
tts, i e queique ran
u'tls pussent etre (i!i, 2: eSt-2-Uire eu egard a
3nretentio à r
S3:-: , à etre cstime
omme tel egaleme:
Lautre, et a n'etre
utiltse parpe rsonre 2t con:me un
cn u t moren
aures tins e a , et non iins ia
raiso Cnsittere 77e un instmiT?ent
ncnatens,
resicic ie tondenient ie teiiement illimitée
de l'homme', meme ar itres supéneurs qu
Ourrà!ent 1 2utre part asser 2u-deia de toute
IRes dons taturel
u n droit à disposer
ie tui àson gre. (.ctte t a
nc en meme tenps
e e a Son re:t nors T2terne!de ia nature,
changement qui est ce ttes 1orihque, maIs à ia toOIS
plein de danger dans
csu re où ia natureia
chassé de ?'tat i'nn0cence et de securite à
T'ent ance, en quelqu: propre
Tme d'un jardin qu
pourvOyait a ses besis sans qu'il s en donnàt lui
meme a peine, er 'a
où tant i e soucis, de
precipite dans ie vaste monde
peines
maux inconnuser de
l'attendaient. ius tare. l s i "
lui arracheront bien suuvent ultés de l'ex1atence
ie
création de suuhait d'unparadis,
sOn
TI. imag1nation, où il pourrait, danss
une oiStvete tranquiile et une
rëver et à tolàtrer. constante, passer
son exiStence à paix
ce sejour Mais, entre lui et
imaginaire des úelices, se dresse
'infati-
gabie raison qui ie pousse
irrésiatibiement
lopper ies capacites qui sont en à déve-
permet pas de retomber à lui, et
qui ne lui
l'etat de
simplicité d'où elie l'avait
t rë
primitivité? etde
pousse à
accepter (verse 4). Fle ie
cependantet horreur,paticmment
a
rec hercher
les
de taux éclats,
peines, dont il a
meprise, à oublier meme ia mort, qu'il
mir, au
protit de ces iutijités qui ie tait tré-
dont il redoute
davantage la perte. encore

De cette
Remrqzue
présentation
humaine, il resute la
des débuts de l'histoire
que sortie de
l'homme hors du
qudautre le
ere rtcn
mr s1Our de son espece n a
d'une creature pure-
passage de l'etat de primitivite' des ltsie-
m e n t animmale à celui
d'humanité, paSsage
la
rcs où le tenait
l'inStin t à la cdire tion qu'exerce
l'éiat de
rai son : bret, de la
tutelle de la n a t v r e à
savcirsil'homninc a fa!né u
iberte. iLa quc`tion d tnrs Se
i a n s ce chanement ne peut plus dtes
Drdu de s o n Cspcce,
poser,S1on considere la destination
la progressioivers la
consiste uniquement dans
qui infra tutuses qu aient u
ctre
perteetion, quelque a c e t te tin,
tcntatives pour parvenir
les pre miéres Conatitucnt chez les 1 n t b r e s
alors t n e i m e u 'tiies erte
ecette espece ionguc seric. ioutei01
une

a r c h e qui, pOur iespece,


represcnte u n progres
e x a c t e m e n t ia méin: pour
V e r s ie iIeux
n'est pas
il n'y a v a i t
'individu. Avant l'éveil de la raison,

nterdi tion, par conSequcnt


ni
prescriprion
n infra tion, mais, lorsqu'elle comn
aucune
encore
attion et, tvute
taible u'elle
dexerer son
Icnça l'an1maite dans
lutter corps à corps avce
etait, a
alors que durent apparaitre
des
toute sa force, c'est raison culti-
de la
est pire, au Stade
1aux ct, ce qul tOtalement
a
etranigers
Vee, dcs qui etaient
vices
consequent, d'innoCence.
Tetat d'ignorince et, par fut donc du point
hors de cet état
Cpremier pas
du point de v u e physique,
vue moral u n e cbute,
de l'apparition
chute turent
conséquenccs de
cctte
es jusqu
alois iliCn-

la vie d'une foule ce


màux
dans naiure Com-
L'histoire de_1a
nus, donc u n e punitioi. { ;iiét
Biea, car elle est /cvre de LDieH;
enc donc par le car
commence par le Mal,
histoire de la liberté l'indiviifu, qui
dans
est leuvre de lhomme. Pour
clle songe qu 'àlui-meme, y cut
ii
usage de la liberté ne
pour ia iature, qui
PCTte iors de ce changeinent; en regardaint l es-
,
son but
*C i o m m e poursuit est donc
fonde a se
fut u n gain. L'individu
C tous les m a i x qu il
Sudit

pOur respOIsable de cil


tat
e du mal3 qu'il fait. et e n meme temps, et a
e membre du Tout (d'unc espèce), estiniera

t e r la sagesse et la 6nalité de cette rdonnance.


accorder entre
taçon, on peut éralement
lC e s et avec la raison les a f t i r m a t i o n s si sOuVent lhat

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