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UN REVE

Après si longtemps, tout semblait indiquer que la paix allait bientôt prendre sa fin, que
le méchanceté allait bientôt régner.
Le disciple et le maitre, ainsi que l'ami du disciple, étaient les seuls prêts à se battre et à
survivre dans un scénario proche de guerres et de famine où seulement les plus
courageux survivraient.
Le maître a interprété les signes et a calculé où exactement l’ennemi allait apparaître,
puis il commence à préparer le terrain pour diminuer le risque, et éviter le plus grand
danger : qu'il ne tue le disciple, il faut le vaincre car le maître sait que dans son élève se
sont réalisées toutes les prophéties que ses prédécesseurs avaient dit et en plus il savait
que le monstre viendrait chercher sa tête et celle de l'élève. De cette façon, il n'y aurait
plus d'ennemis sur la surface de la terre pour y faire face, une chose est sûre, le combat
serait épuisant : combien de jours ? qui gagnerait ? qui pourrait garantir leur paix et la
paix de les leurs?
La résolution du professeur était définitive, il était même prêt à donner sa vie, pour cette
raison il a envoyé son élève « l'élu », il l’a envoyé s'occuper de sa maison  , il l’a fait
exprès, loin du danger et lui sans protester lui a écouté même quand il sentait le désir de
se battre et de voir le sang.
L'étudiant est donc rentré chez lui pour avertir les siens que quelque chose d'effrayant
allait se produire dans quelques heures, il a commencé à mettre un enchantement autour
de toute la maison afin d'empêcher l'entrée de toute puissance maléfique pendant que les
siens étaient la bouche bée car ils ne savent pas qui était lui vraiment et quel serait son
travail ultérieur pour assurer la paix dans l'humanité.
L'étudiant a fait un autre tour de la maison et il était prêt tandis qu'en dehors des nuages
noirs noirciraient le ciel bleu et éteignaient le soleil et des vents forts annonçaient le
grand moment attendu. . .

AU BOUT DU ROULEAU

Encore une souffrance, beaucoup de choses qui se passent par sa tête et comment peut-il
s’améliorer ? Elle lui a demandé du temps et il a accepté même s’il l’aime toujours.
Cela a été le voyage le plus long de sa vie, parce cette fois-ci il l’a fait tout seul. Une
fois y arrivé chez lui, il se demandait ce qu’il allait faire maintenant.

Évidemment il avait envie de tout finir, de retourner à sa planète, souvent il se posait la


question et il culpabilisait son père de lui avoir tout appris, de lui avoir donné même son
existence. Parfois il pense prendre sa revanche mais après il se dit : le seul qui n’a pas
appris à se libérer c’était lui-même donc c’est lui qui devrait changer et ne pas
culpabiliser les autres de ses malheurs.

La faim et le sommeil sont partis, il ne pense qu’à elle et comment il fera pour guérir, il
se demandait aussi si un jour ce serait comme avant. 

Ce même soir il a trouvé son copain et ils se sont parlés, autant de choses à se dire.
Finalement il a compris sa ressemblance à lui car ils avaient tous les deux perdus à
quelqu’un de très cher. La douleur est de diverses formes présentes dans chaque
être humain.

Il est surpris car il venait d’apprendre quelque chose si important de la culture de sa


planète, ce garçon qui parfois devient embêtant aux autres « entre la limite d’un ami et
quelqu’un qui fait chier » est resté là et c’est le seul qui peut comprendre sa solitude et
ils la partagent. Chez lui tous sont des frères et des sœurs, il n’y a pas de cousins ni de
cousines même pas d’amis. 

Il venait de prendre conscience de son humanité, sa valeur en tant que personne unique
dans le monde, cette pensée est quelque chose de plus supérieure.

Le sommeil et la faim l’ont laissé, il ne pense qu’à elle. Pour quoi elle était partie pour
toujours. Une décision comporte une autre et il a décidé d’être plus social. Pour sa
première journée cela a été un véritable succès car il a trouvé de monde à l’infirmerie, à
la bibliothèque, à la restauration et chez ses copains, il a trouvé des gens qui avaient
besoin que quelqu’un les écoute, dore en avant il ne sera plus tout seul.

« Les autres ressentent votre angoisse et cela les fait s’éloigner. Quand vous
parvenez à être vous-même, sans le stress de ce que l’on pense de vous, on vous
apprécie plus et on vous apprécie donc pour vous-même. »

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