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Dr : Boutabba Tarek
I
Université Abbès Laghrour Khenchela | Dr : T BOUTABBA
Avant Propos
Ce cours s’adresse aux étudiants de la troisième année des filières :
Électrotechnique pour faciliter la compréhension, l’apprentissage, ce support
propose un cours simple pour accompagner les étudiants jusqu’à l’examen.
Il est le résultat du cours que j’ai enseigné, pendant plusieurs années, aux
étudiants de la troisième année Licence Électrotechnique ; de 2015 à 2019.
I. INTRODUCTION 6
I.1 Définition (succincte) de l’appareillage électrique 6
I.2 GENERALITES 6
I.3 CHOIX ET CLASSIFICATIONS DE L’APPAREILLAGE 7
I.4 CONTACT ELECTRIQUE 10
I.4.1 Définition 10
I.4.2 Caractéristiques et catégories 10
PHENOMENES LIES AU COURANT ET A LA TENSION
I.5 11
ELECTRIQUES
I.5.1 Les différents types de défaut 11
I.5.2 Pouvoir de coupure 14
I.6 PROTECTION CONTRE LES SURINTENSITES 15
I.6.1 Principes de la protection 15
I.6.2 Principes de la protection contre les surcharges 15
I.6.3 principes de la protection contre les courts-circuits 16
I.7 L’APPAREILLAGE DE PROTECTION 16
I.7.1 La consignation 17
I.7.2 Protéger contre les courts-circuits 19
I.7.3 Protéger contre les surcharges 20
I.7.4 Protéger les personnes: 21
I.8 SYNTHESE DES PROTECTIONS 22
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II.1.1 L’interrupteur à poussoir 24
II.1.2 Les Boutons tournants 25
II.1.3 Les Boutons « coup de poing » d’arrêt d’urgence 26
II.2 LE SECTIONNEUR 26
II.2.1 Fonctionnement 26
II.2.2 Constitution 26
II.3 L’INTERRUPTEUR SECTIONNEUR 30
II.4 LE CONTACTEUR 30
II.4.1 Constitution 31
II.4.2 Fonctionnement 31
II.4.3 Critères de choix : 32
II.4.4 Catégorie d’emploi 33
II.5 BLOC AUXILIAIRE TEMPORISÉ (OU TEMPORISATEUR) 35
II.6 LE RELAIS THERMIQUE 36
II.7 LE RELAIS MAGNETIQUE 37
II.8 LES DISJONCTEURS MAGNETIQUES 38
II.9 LE DISJONCTEUR MAGNETO-THERMIQUE 39
II.10 LES DISJONCTEURS MOTEURS 40
II.11 LE LIMITEUR DE SURTENSION 41
II.12 CONSEQUENCES DES PERTURBATIONS 41
II.12.1 Les conséquences de ces perturbations sont multiples 41
II.12.2 Techniques D’extinction De L’arc 42
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III.4.2 Norme Française des schémas électriques 48
III.4.3 Exemples de symboles normalisés 49
III.5 SCHEMA ELECTRIQUE 51
III.5.1 Repérage des bornes 51
II.5.2 Repérage appareils 52
II.5.3 Repérages des fils 52
III.5.4 Élaboration des schémas électriques 53
III.5.5 Structure du circuit de puissance 54
ELECTRIQUE
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V.3.3 Démarrage en 3 temps 88
V.4 DEMARRAGE DES MOTEURS ASYNCHRONES TRIPHASES A 89
ROTOR BOBINE
V.5 COMPARAISON DES DIVERS PROCEDES DE DEMARRAGE 90
92
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
VI
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INTRODUCTION
GENERALE
VII
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INTRODUCTION
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Bien entendu, l’appareillage électrique (pour bien être maitrisé) nécessite
d'être représenté par des schémas (ensemble de symboles normalisés) de
puissance et de commande, illustrant le fonctionnement de cet appareillage
et l'intervention en cas de défaillance au moment voulu.
IX
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Chapitre I
PRINCIPE GENERAL DE LA PROTECTION
5
I.2 GENERALITES
I.4.1 Définition
t(s)
Surin te ns it
I (A)
In
Figure I.1- Courbe de la surintensités passagères
P o in t de fusio n
t(s)
C o ur b e d e fusio n
S ur ch ar g e
12
I(A)
In Is
P oint de fusion
Icc
I(A)
In
Figure I.3- Courbe de court-circuit
Conséquences : Arc électrique, échauffement important pouvant
entraîner la fusion des parties actives (soudure des contact, projection
de particule).
Moyens de protection : Déclencheur magnétique du disjoncteur, fusible.
D. La surtension
Les surtensions peuvent avoir comme origines :
des manœuvres sur la ligne HT,
Les surtensions dues aux manœuvres sur les lignes proviennent
souvent d’une commutation au niveau des transformateurs
d’alimentation, ou la mise en service de machines tournantes fortement
selfiques.
13
des perturbations atmosphériques.
Sur les lignes électriques, elles sont surtout dues à des coups de
foudre. On les appelle surtensions d’origine atmosphérique. Une onde
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de choc est créée, produisant une surtension locale de 4 ms à 5 ms
pouvant atteindre 5 millions de volt, et entraînant le claquage de tous
les isolants.
U(V)
500KV
250KV
3 5 t(ms)
Courant admis
dans la canalisation
Courant d’emploi 1.45
CARACTERISATION DU
DESPOSITIVE DE PROTECTION
15
Figure I.5- Croquis de protection contre les surcharges
(I.1)
Destinés à éviter que les matériels ne soient parcourus par des courants
nuisibles à eux-mêmes et leur environnement, les dispositifs de protections
doivent :
16
détecter les surintensités,
couper en charge le circuit.
Séparer
La consignation
Condamner
Moduler l’énergie
Récepteur
I.7.1 La consignation
2) Protection disjoncteurs
Magnétique Magnétothermique
Disjoncteur différentiel
Interrupteur différentiel
Le disjoncteur différentiel (interrupteur différentiel) à courant résiduel est
utilisé, en particulier, chez chaque abonné. Il a pour rôle d’assurer :
La protection des circuits contre les surintensités dues aux
surcharges ou aux courts circuits,
Et la protection des personnes contre les contacts indirects
(fuites de courant à la terre).
Disjoncteur différentiel Interrupteur
21
22
23
poussoirs à ouverture. Ils servent à ouvrir ou fermer un circuit électrique, dès qu’on les
relâche ils reviennent dans leur position initiale.
24
1 1
3 3
S1 S1
S1 S1
2 2
4 4
A. L’interrupteur à bascule
Que nous connais le mieux est sans doute le clignotant d’une
voiture ou l’interrupteur de l’éclairage de la maison. Ici, on
utilise un levier pour faire ou rompre une connexion.
B. L’interrupteur à glissière:
Sur un sèche-cheveux, par exemple.
C. L’interrupteur temporisé ou minuteur
À une horloge intégrée, qui nous permet de déterminer à l’avance l’heure à
laquelle un appareil doit être allumé ou éteint. On retrouve des minuteurs sur
les fours, les machines à laver et les aquariums.
II.1.2 Les Boutons tournants
Ils servent à ouvrir ou fermer un circuit électrique, lorsqu’ils sont
actionnés ils restent dans leur position.
Symbolisation :
3 3
S1 S1
4 4
Définition :
1 1
S1 S1
2 A2
II.2 LE SECTIONNEUR
II.2.1 Fonctionnement
26
C ir c u i t d e co m m a n d e C i r cu i t d e p u i s s a n c e
A. Les contacts principaux (1-2), (3-4) et (5-6) :
Permettent d’assurer le sectionnement de l’installation.
N 1 1 3 1
2 2
2 4
F. Les fusibles :
Assurant la protection contre les surcharges et les courts-circuits dans
l’installation ou l’équipement électrique.
Un fusible est un appareil de protection dont la fonction est d’ouvrir un circuit
par la fusion.
Le principe du fusible est basé sur la création d’un point faible dans un circuit
27
avec un conducteur dont la nature, la section et le point de fusion sont
parfaitement connus.
silice
magnésie
Zones de contact
1. Constitution :
Elément fusible ou cartouche fusible.
2. Différents types de fusibles :
2.1. Classes :
Selon l’utilisation on choisira entre deux classes.
Classe gG : Les fusibles gG sont destinés aux circuits absorbant
une intensité constante. Ils protègent le départ contre les
surcharges et les courts circuits. Par exemple, départ éclairage,
départ chauffage, etc.…
Couleur : NOIRE
un fusible :
La marque
Le calibre
Le type
La tension maximum
d’utilisation
La couleur de l’inscription
28
2.2. Dimensions :
Temps
Courbe de la fusion du fusible
Intensité (A)
In Inf If 29
Pouvoir de coupure : c’est le courant maximal qu’un fusible peut
couper sans que la tension de rétablissement ne provoque un
Courant
Courant présumé
d’utilisation.
Caractéristiques de court-circuit.
du circuit
I
Caractéristiques Pouvoir de
du fusible. Courant Courant Courant coupure
nominal. minimum coupé nominal.
de
limité.
coupure.
3/L2
5/L3
2/T1
4/T2
6/T3
II.4 LE CONTACTEUR
Destiné à ouvrir ou fermer un circuit électrique par l’intermédiaire d’un circuit
de commande. Par exemple : la commande à distance d’un récepteur, la
commande automatique du récepteur.
KM
30
Contact
Pôles de coupure Bobine
auxiliaire
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II.4.1 Constitution
II.4.2 Fonctionnement
23
33
43
11
21
31
41
41
13
23
33
31
41
13
23
t
44
42
34
32
14
24
22
42
42
34
32
C
14
24
14
4
24
31
3 Contacts NO et 2 Contacts NO et
4 Contacts NO 4 Contacts NC 1 contact NC 2 contacts NC
33
34
2 4 6 98 96 Stop
Fonctionnement :
Le relais thermique utilise la propriété d’un bilame formé de deux lames
minces de métaux ayant des coefficients de dilatation différents. Il s’incurve
lorsque sa température augmente.
Courbe de déclenchement :
Exemple :
Courant de réglage: 3 A
Surcharge de 12 A
Temps de déclenchement:environ
9s .
36
1 3 5 93 91
Symbole :
Fonctionnement 2 4 6 94 92
37
Constitution :
Symbole :
Fonctionnement :
Lorsqu’un défaut survient en aval du
disjoncteur, les déclencheurs
(thermique ou magnétique) provoquent
l’ouverture des pôles de puissance afin
d’interrompre l’alimentation du circuit
en défaut.
39
Le disjoncteur moteur
(magnétothermique) est destiné à
protéger les moteurs contre les
surcharges et les courts-circuits et
permet la coupure en charge.
Symbole :
Courbe de déclenchement
40
Symbole :
Fonctionnement
Pour que la protection soit correctement assurée, le limiteur doit constituer
un point faible dans l'installation.
A. Echauffement :
Le passage du courant dans un fil produit de la chaleur qui échauffe le
conducteur selon la relation W=RI2 t.
Il en résulte une élévation considérable de la température pouvant aboutir à la
détérioration des isolants, voire à la fusion des conducteurs.
B. Création d’un arc électrique :
A la séparation de deux pièces sous tension d’un appareil de coupure, il se
crée une ionisation de l’air, celle-ci engendre la création d’un arc électrique
parcouru par le courant à couper.
Cette ionisation est due à la distance très faible entre les contacts.
41
La température de l’arc, compris entre 2500°C et 5000°C, à pour effet de
volatiliser le métal des contacts et peut provoquer des brûlures graves pour le
personnel d’exploitation.
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II.12.2 Techniques D’extinction De L’arc
42
43
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III.1 DEFINITION D’UNE INSTALLATION ELECTRIQUE
III.2 UN SCHEMA
III.3 UN DIAGRAMME
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B. Les diagrammes
- Le diagramme de séquence pour comprendre étape par étape le
fonctionnement du système.
- Le diagramme temporel pour avoir une idée sur l’évolution temporelle
C. Les schémas de connexion
Ils guident la réalisation et la vérification des connexions d’une installation ou
d’un équipement.
D. Les schémas de dispositions
Pour montrer l’emplacement des différents éléments d’une installation.
KM1
MAS
3~
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représentation est surtout utilisée en triphasé.
46
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B. La représentation rangée Les symboles des différents éléments d’un
même appareil, ou d’une même installation sont séparés et disposés de
façons que l’on puisse tracé facilement les symboles des liaisons
mécaniques entre différents éléments qui manœuvre ensemble.
C. La représentation développée
Les symboles des différents éléments d'un
même appareil ou d'une même installation sont
séparés et disposés de manière que le tracé de
chaque circuit puisse être facilement suivi.
C'est la tendance actuelle dans tous les
schémas de
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D. La représentation topographique
La représentation des symboles
rappelle la disposition réelle des
matériels dans l'espace. Exemple :
schéma architecturaux, plan ou
schéma d'implantation.
A. Repérage :
Exemple : NF - C - 03 - 103 NF : Norme Française
C : Electricité
03 : Symboles et schémas
103 : Numéro de la norme (ici appareils électriques et dispositifs de protection)
B. Exemples
NF C 03 000 : Symboles littéraux à utiliser
NF C 03 101 : Symboles Elémentaires
48
NF C 03 106 : Electronique
NF C 03 190 : Symboles graphiques du GRAFCET
NF C 03 211 : Plans architecturaux
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NF C 15 100 : Alimentation et distribution électrique BT
etc...
49
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III.5 SCHEMA ELECTRIQUE
A. But
Repérer sur un dossier d'installation électrique les positions de la bobine et
des contacts de chaque relais (puissance ou commande) et les reports
d'alimentation d'une feuille (folio) à une autre.
Ce repérage permet de faciliter la recherche des différents éléments d'un
appareil électrique.
B. Principe
a) Chaque folio est divisé en n colonnes égales repérées par un chiffre ou une
lettre. Chaque contact d'appareil électrique intervenant sur une ligne de
schéma verticale, tracée dans l'axe d'une colonne porte la désignation
suivante : cette désignation est comportée de 2 repères :
repère folio, 51
repère colonne.
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Les unités précisent la fonction associée :
1 et 2 contact à ouverture
3 et 4 contact à fermeture
5 et 6 ouverture à fonction spéciale (tempo, protection, décalé, …)
7 et 8 fermeture à fonction spéciale (tempo, protection, décalé, …)
Le chiffre des dizaines est un numéro d’ordre.
Sauf le 9 qui est réservé au relais de protection de surcharge
L’ARMOIRE ELECTRIQUE
Source d’énergie :
Alimentation triphasée
A. Partie électrique
Elle comprend deux circuits distincts :
le circuit de puissance, composé des éléments assurant
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l'alimentation, la protection et la liaison jusqu'au récepteur,
le circuit de commande, composé des éléments de protection et
de commande d'éléments de la partie puissance.
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III.5.5 Structure du circuit de puissance
Réseau 230 V 3 ~
Générateur 3~
Récepteur
(Moteur 3~) Schéma du circuit de
puissance
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Auto-alimentation
- Priorité à l'arrêt
- Priorité à la marche
C. Signalisation
Il est très souvent nécessaire pour que l'opérateur soit renseigné sur l'état de
sa machine, de rajouter dans les schémas les signalisations indiquant le bon
fonctionnement de la machine, l'arrêt de la machine et un défaut du moteur
de la machine.
Sous tension ⇒ H1
Défaut moteur ⇒ H2
Moteur en fonctionnement ⇒ H3
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D. Commande multipostes
Dans certaines installations, on peut trouver la mise en route de différents
endroits et l'arrêt de différents endroits également, le nombre de postes de
marche pouvant être différents du nombre de postes d'arrêt.
Exemple : possibilité de démarrage de 5 endroits différents et 3 d'arrêts.
- Pour gérer correctement un schéma de commande, les accessoires devant
provoquer l'arrêt sont toujours connecter en série à l'endroit où il y a un seul
fil d'accès pour aller au récepteur. Les accessoires devant provoquer la marche
se connecte en parallèle et si il y continuité de service, on connecte l'auto
56
maintien en parallèle sur ces boutons "marche".
E. Le Relayage
On utilise le relayage dans un circuit de commande lorsque :
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• La technologie du matériel prévu sur le schéma ne correspond pas au
matériel disponible (ou existant).
Dans le montage régulation de niveau, le capteur S4 comprend deux contacts
NC sur le schéma de commande.
Les capteurs disponibles sont équipés d’un NO et d’un NC, il nous faut
réaliser le montage suivant :
57
L'installation comprend une ou plusieurs séquence de fonctionnement, ex. :
machine industrielle, coffre-fort (câblage atelier).
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Chapitre IV
CIRCUITS D’ECLAIRAGE
58
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INTRODUCTION
Une installation d'éclairage est un ensemble cohérent de circuits électriques,
d'appareils d'éclairage. Elle peut se situer dans un bâtiment ou un ensemble
de bâtiments à usage d'habitation, industriel, commercial, ou de bureaux.
Symbole Signification
Double interrupteur
Interrupteur Va et Vient
Point d’éclairage
Bouton poussoir
Prise 2P + T
Prise téléphone
Prise télévision
Prise de sécurité
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Les Conducteurs
Les conducteurs sont les éléments essentiels dans une installation
industrielle. Pour cela un dimensionnement des câbles utilisé est essentiel
pour le bon fonctionnement des équipements d’installation électrique
61
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IV.4.2 Schéma du double allumage
Le double allumage est un schéma de l'installation électrique qui
consiste à contrôler 2 circuits lumineux différents depuis le même endroit.
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2 points d’allumage, 1 point d’éclairage
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Exemple d'installation
comprenant 2 lampes
commandées de 3 endroits.
A. Schéma développé
B. Plan architectural :
Exemple d'installation comprenant 2 lampes commandées de 3
endroits.
64
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IV.4.5 Le montage avec boutons poussoir et minuterie
2. Minuterie électronique
Aujourd'hui, l'électronique remplace la mécanique. Le principe est 65
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simplement un compteur électronique. Dans tous les cas, on distingue sur
cet appareil : - Le circuit de commande, ( Æ boutons poussoirs), - Le circuit
de puissance, (Æ lampes), - Le circuit d'alimentation de l'électronique
interne. Certains circuits peuvent avoir des fils communs.
A. Fonctionnement
Lorsque la minuterie reçoit une impulsion (suite à l'appui sur un
bouton poussoir par exemple), la temporisation est lancée et les contacts
sont fermés. Si, durant la temporisation, la bobine est ré alimentée, la
temporisation est relancée. Lorsqu'elle est écoulée, les contacts s'ouvrent.
B. Plan architectural
. Exemple de commande du hall d'entrée d'un immeuble
66
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C. Schéma développé
L'étude se portera sur la minuterie électronique. Il existe 2 types de
montages :
Montage sans effet Lorsque la minuterie est enclenchée, le fait
d'appuyer à nouveau sur le bouton poussoir n'a aucun effet sur la
durée de temporisation
Ph N P
F1
K
L1
S1
t
S2
k
Ph N P
F1
K
S1
t
S2
L1
k
67
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Chapitre V
MODES DE COMMANDE D'UN MOTEUR
ELECTRIQUE
68
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INTRODUCTION
Pour faire fonctionner un moteur alternatif triphasé dans un seul sens, il
suffit d'alimenter le moteur par un schéma conventionnel avec un réseau
triphasé, l'alimentation devant arriver sur les bornes U1, V1, W1 du moteur.
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Courant absorbé par le moteur Couple du moteur
Couple résistant de la machine
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o Au courant thermique conventionnel Ith : seuil de réglage =
6 à 15 fois Ith
o Au courant assigné d’emploi Ie : seuil de réglage = 6 à 12 fois
Ie
o A l’intensité de réglage maximale du déclencheur
thermique Irthmaxi : seuil de réglage = 13 fois Irthmaxi
o A l’intensité de réglage du déclencheur thermique Irth :
seuil de réglage = 12 fois Irth
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La commande manuelle directe : l’utilisateur agit directement sur le
contacteur, en général par une commande par levier, au niveau de la
puissance. Cette solution est à proscrire car elle peut soumettre l’opérateur
à des risques dus à une tension élevée (400V).
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triphasé à cage S2 : bouton poussoir NO de marche
km1 (13-14) : contact d’auto-maintien
ou d’auto-alimentation
km1 (A1-A2) : bobine du contacteur
KM1
Equation de KM1 :
a) Fonctionnement :
Une impulsion sur S2, « Marche », alimente la bobine du contacteur KM1.
Cette bobine reste alimentée même après le relâchement de S2 par le contact
KM1 (13-14) dit contact d’auto-maintien ou d’auto-alimentation.
La commande Marche est mémorisée et le moteur, alimenté par KM1 tourne.
Une impulsion sur S1, « Arrêt », coupe l’auto-alimentation de la bobine du
contacteur KM1 qui s’ouvre. Le moteur s’arrête de tourner et reste à l’arrêt.
La commande Arrêt est mémorisée. Une action simultanée sur S1 et S2 se
traduit par la non-alimentation de la bobine KM1.
Le contacteur, avec son câblage, est une mémoire à arrêt prioritaire.
b) Anomalies :
Quand le moteur tourne, en cas de court-circuit, les fusibles du circuit de
commande et du circuit de puissance fondent. Le moteur s’arrête
immédiatement.
Quand le moteur tourne, en cas de surcharge, le relais thermique la détecte
et ouvre le contact associé F1(95-96). La bobine de KM1 ne se trouve plus
alimentée, le contacteur s’ouvre et le moteur s’arrête et reste à l’arrêt.
Il faut un réarmement volontaire sur le relais thermique pour à nouveau
fermer le contact F1 et ainsi pouvoir redémarrer le moteur.
73
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2. Démarrage direct 1 sens avec sectionneur disjoncteur
magnétique/contacteur/relais thermique :
CIRCUIT DE PUISSANCE CIRCUIT DE COMMANDE
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a) Equation de KM1 :
b) Fonctionnement :
Une impulsion sur S2, « Marche », alimente la bobine du contacteur KM1. Cette
bobine reste alimentée même après le relâchement de S2 par le contact KM1
(13-14) dit contact d’auto-maintien ou d’auto-alimentation.
La commande Marche est mémorisée et le moteur, alimenté par KM1 tourne.
Une impulsion sur S1, « Arrêt », coupe l’auto-alimentation de la bobine du
contacteur KM1 qui s’ouvre. Le moteur s’arrête de tourner et reste à l’arrêt.
La commande Arrêt est mémorisée. Une action simultanée sur S1 et S2 se
traduit par la non-alimentation de la bobine KM1.
Le contacteur, avec son câblage, est une mémoire à arrêt prioritaire.
c) Anomalies :
Quand le moteur tourne, en cas de court-circuit, le disjoncteur détecte
l’anomalie. Il s’ouvre alors immédiatement, provoquant l’arrêt du moteur.
Quand le moteur tourne, en cas de surcharge, le relais thermique la détecte
et ouvre le contact associé F1(95-96). La bobine de KM1 ne se trouve plus
alimentée, le contacteur s’ouvre et le moteur s’arrête et reste à l’arrêt. Il faut
un réarmement volontaire sur le relais thermique pour à nouveau fermer le
contact F1 et ainsi pouvoir redémarrer le moteur.
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3. Démarrage direct 1 sens avec sectionneur disjoncteur magnéto-
thermique/contacteur :
CIRCUIT DE PUISSANCE CIRCUIT DE COMMANDE
b) Fonctionnement :
Une impulsion sur S2, « Marche », alimente la bobine du contacteur KM1. 76
Cette bobine reste alimentée même après le relâchement de S2 par le contact
KM1 (13-14) dit contact d’auto-maintien ou d’auto-alimentation.
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La commande Marche est mémorisée et le moteur, alimenté par KM1 tourne.
Une impulsion sur S1, « Arrêt », coupe l’auto-alimentation de la bobine du
contacteur KM1 qui s’ouvre. Le moteur s’arrête de tourner et reste à l’arrêt.
La commande Arrêt est mémorisée. Une action simultanée sur S1 et S2 se
traduit par la non-alimentation de la bobine KM1.
Le contacteur, avec son câblage, est une mémoire à arrêt prioritaire.
c) Anomalies :
Quand le moteur tourne, en cas de court-circuit ou de surcharge, le
disjoncteur détecte l’anomalie. Il s’ouvre alors immédiatement, provoquant
l’arrêt du moteur.
S1
S2 km1
A1 A2
Q1 KM1
Q1 I I I
Q1 : sectionneur/contacteur/disjoncteur
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sectionneur/contacteur/disjo : sectionnement de la commande
ncteur S1 : bouton poussoir NF d’arrêt
M1 3 : Moteur asynchrone S2 : bouton poussoir NO de
triphasé à cage marche
b) Fonctionnement :
Une impulsion sur S2, « Marche », alimente la bobine du contacteur KM1.
Cette bobine reste alimentée même après le relâchement de S2 par le contact
KM1 (13-14) dit contact d’auto-maintien ou d’auto-alimentation.
La commande Marche est mémorisée et le moteur, alimenté par KM1 tourne.
Une impulsion sur S1, « Arrêt », coupe l’auto-alimentation de la bobine du
contacteur KM1 qui s’ouvre. Le moteur s’arrête de tourner et reste à l’arrêt.
La commande Arrêt est mémorisée. Une action simultanée sur S1 et S2 se
traduit par la non-alimentation de la bobine KM1.
Le contacteur, avec son câblage, est une mémoire à arrêt prioritaire.
c) Anomalies :
Quand le moteur tourne, en cas de court circuit ou de surcharge, le
disjoncteur détecte l’anomalie. Il s’ouvre alors immédiatement, provoquant
l’arrêt du moteur.
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4. Autres représentations des circuits de puissance précédents :
Disjoncteur magnétique + Disjoncteur magnéto-thermique +
contacteur + relais thermique contacteur
W
U
W
V
U
a) Circuits de signalisation :
La signalisation peut être lumineuse ou sonore et elle concerne un état de
l’équipement : mise sous tension, marche, arrêt, défaut, etc.
Dans le cas d’une signalisation de défaut, le détecteur de défaut ferme un
contact qui alimente un avertisseur sonore. Ce dernier reste alimenté tant
qu’un bouton poussoir « Acquittement » n’a pas été actionné par la personne
chargé de la surveillance de la machine.
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a) Signalisation lumineuse b) Signalisation lumineuse de
de mise sous tension marche
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5. Démarrage direct 2 sens de marche : L’inversion du sens de
rotation est obtenue par l’inversion de 2 phases.
Circuit de puissance Circuit de commande
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a) Equation de KM1 :
b) Equation de KM2 :
c) Fonctionnement :
Une impulsion sur S2, « Marche », alimente la bobine du contacteur KM1.
Cette bobine reste alimentée même après le relâchement de S2 par le contact
KM1 (13-14) dit contact d’auto-maintien ou d’auto-alimentation.
La commande Marche est mémorisée et le moteur, alimenté par KM1 tourne.
Une impulsion sur S1, « Arrêt », coupe l’auto-alimentation de la bobine du
contacteur KM1 qui s’ouvre. Le moteur s’arrête de tourner et reste à l’arrêt.
La commande Arrêt est mémorisée. Une action simultanée sur S1 et S2 se
traduit par la non-alimentation de la bobine KM1.
Le contacteur, avec son câblage, est une mémoire à arrêt prioritaire.
Le fonctionnement est analogue lorsqu’il y a une impulsion sur S3.
d) Anomalies :
Quand le moteur tourne, en cas de court-circuit, les fusibles du circuit de
commande et du circuit de puissance fondent. Le moteur s’arrête
immédiatement.
Quand le moteur tourne, en cas de surcharge, le relais thermique la détecte
et ouvre le contact associé F1(95-96). La bobine de KM1 ou de KM2 ne se
trouve plus alimentée, le contacteur s’ouvre et le moteur s’arrête et reste à
l’arrêt. Il faut un réarmement volontaire sur le relais thermique pour à
nouveau fermer le contact F1 et ainsi pouvoir redémarrer le moteur.
e) Verrouillages :
Si l’on ne prend pas certaines précautions, la fermeture simultanée de KM1
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et de KM2 entraîne un court circuit au niveau du circuit de puissance. Il est
donc nécessaire de verrouiller un contacteur par rapport à l’autre et
inversement.
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Ce verrouillage se fait de 2 manières :
Verrouillage mécanique : symbolisé dans le circuit de puissance et de
commande par le symbole , il empêche une action manuelle
simultanée sur les 2 contacteurs. Ce verrouillage est un composant qui
s’intègre entre les 2 contacteurs KM1 et KM2.
Verrouillage électrique : ce verrouillage se situe dans le circuit de commande.
Il consiste à placer en série avec la bobine d’un contacteur un contact NF (à
ouverture) de l’autre contacteur. Ici, le contact km1(21-22) est en série avec
la bobine KM2 et le contact km2(21-22) est en série avec la bobine KM1.
Quand la bobine KM1 est alimentée, le contact km1(21-22) s’ouvre ; une
impulsion sur le bouton S3 ne pourra pas mettre le moteur en route dans
l’autre sens.
Il est à signaler que pour passer d’un sens à l’autre, il faut nécessairement
passer par une phase d’arrêt du moteur.
Les associations décrites précédemment pour le démarrage direct 1 sens
sont encore valables pour le démarrage direct 2 sens de marche.
a) Principe de démarrage :
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Premier temps Deuxième temps
L1 L2 L3 L1 L2 L3
W1
V1
U1
W1
V1
U1
W2
U2
V2
W2
U2
V2
Couplage Couplage
b) Caractéristiques :
Evaluation du curant au démarrage Evaluation du couple au démarrage
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La courbe In = f(n) montre que l’appel de courant au moment du
démarrage est le tiers de l’appel en démarrage direct triangle. Id = 1,3 à
2,6 In.
CIRCUIT DE COMMANDE
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CIRCUIT DE PUISSANCE
Q1 : contacts de précoupure du sectionneur : sectionnement de la
commande
F2 : fusible : protection de la commande contre les courts circuits
F1 : contact à ouverture issu du relais thermique : protection contre
les surcharges
S1 : bouton poussoir NF d’arrêt
S2 : bouton poussoir NO de marche sens 1
a) Fonctionnement :
Fermeture manuelle de Q1
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V.3.2 Inversion du sens de marche
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V.3.3 Démarrage en 3 temps
Pour diminuer la surintensité au passage étoile en triangle, on ajoute un
3ème temps dans lequel une résistance est mise en série avec les
enroulements couplés en triangle pendant environ 3 secondes.
Plaque à bornes
Couplage des enroulements en étoile
In In In
Q1 In = I ; KM1 et KM4 J = ; F1 ; KM3 I =
3 3 3
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V.4 DEMARRAGE DES MOTEURS ASYNCHRONES TRIPHASES A ROTOR
BOBINE
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V.5 COMPARAISON DES DIVERS PROCEDES DE DEMARRAGE
Moteur à
Moteur à rotor en court-circuit rotor bobiné
Etoile/triangl Electronique
Démarrage Direct Rotorique
e progressif
Courant Réglable de
4 à 8 In 1,3 à 2,6 In < 2,5 In
de démarrage 2 à 5 In
Couple initial 0,6 à 1,5 Réglable de
0,2 à 0,5 Tn < 2,5 Tn
de démarrage Tn 0,1 à 0,7 Tn
Simple, économique et Réglable à la
robuste mise en service Très bon
Peu rapport
encombrant couple/couran
Avantages Statique (pas t
Couple de Démarrage peu de pièces en Possibilité de
démarrage onéreux mouvement) réglage des
important Adaptable à valeurs au
tous les cycles démarrage
de Pas de coupure
fonctionnemen d’alimentation
t pendant la
Démarrage en phase de
souplesse démarrage
Couple de
démarrage Moteur plus
Pointe de faible Génère des onéreux
Inconvénient courant Pas de perturbations Nécessite des
s important possibilité de sur le réseau résistances
e réglage Entretien des
Démarrag Coupure de balais de
90
e brutal l’alimentation commutation
du moteur au
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changement de
couplage et
phénomènes
transitoires
Durée de 2 à 3 3 à 7 secondes Réglable de 1 à Fonction de la
démarrage secondes 60 secondes valeur des
résistances
Machines
démarrant à Pompes Machines
Exemples Petites vide ou à faible Ventilateurs démarrant en
d’application machines charge Compresseurs charge ou à
pouvant Machines Convoyeurs démarrage
démarrer ayant un progressif
à pleine couple
charge résistant
proportionnel
au carré de la
vitesse
(ventilateur)
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