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AFRICA LIFE WORD MISSION (ALWM)

MISSION DE LA PAROLE DE VIE EN AFRIQUE (MPVA)

DOCUMENT CADRE

PREAMBULE 
Dieu fait tout ce qu’il fait par Sa Parole ; Il conduit Son Eglise selon Sa pensée, suivant
Ses voies et à Sa manière par Sa Parole.

Nous venons de rédiger un document cadre qui va servir de support à l’administration et au


leadership de l’Eglise en Afrique. Nous avons eu le devoir de fidélité envers les Saintes Ecritures
par le Saint-Esprit. L’Esprit sonde tout, même les profondeurs de Dieu, car personne ne connaît les
choses de Dieu, si ce n’est l’Esprit de Dieu (1 corinthiens 2 : 10 et 11) que nous avons certainement
reçu. Pour éviter l’interférence de la sagesse et de l’intelligence humaines, notre livre de référence a
été la Bible, qui est le seul livre qui nous expose la pensée, les voies et la manière dont Dieu gère
son peuple, ou Christ gère son Eglise. Nous avons considéré ce qu’elle nous dit et les modèles
qu’elle nous présente pour notre instruction selon qu’il est écrit :

1 Corinthiens 10 : 11
“Tous ces événements, je le répète, ont une portée prophétique : ces malheurs leur sont arrivés pour
nous servir d’avertissement et pour illustrer la manière dont Dieu agit. Ils ont été consignés par
écrit pour que nous en tirions instruction, nous qui vivons dans la période finale de l’histoire vers
laquelle convergent les richesses de tous les temps“.

La Parole de Dieu est le moyen d’expression de Sa pensée. Il est évident pour tout chrétien
que Dieu, dans son immuabilité (Malachie 3 :6 ; Jaques 1 :17 ; Hébreux 13 :8), a toujours tout fait
par Sa Parole (Jean 1 :1 à 3). Chacun de nous devrait pour cela dire, comme le psalmiste : « Ta
parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier » (Psaumes 119 : 105). Ayant
donc une telle lampe qui nous éclaire dans la marche, nous n’avons de choix que de fixer nos
regards sur elle, pour régler notre administration et notre leadership à sa lumière.

Dans la dispensation d’Israël, Dieu a ainsi Lui-même conduit Son peuple au travers d’un
homme de son choix. Dans la bible, nous voyons Dieu se servir tour à tour de Moïse, de Josué et
des juges jusqu’à Samuel. Moïse est par exemple le principal pionnier de l’organisation du
leadership terrestre (en tant que représentant de Dieu auprès du peuple) en ministères d’autorité
(transmission des oracles de l’Eternel et magistrature) selon Exode 18 :19 à 23 ; et ministères de
service (exécution des tâches courantes par rapport aux besoins de l’ensemble du peuple, selon les
aptitudes, talents et dispositions de cœur accordés par l’Eternel à certains).

De même, dans la dispensation de l’Eglise, c’est Jésus-Christ Lui-même qui la conduit car,
Dieu a fait de lui la tête de l’Eglise qui est Son corps spirituel. Toutefois, dans le cadre de la
gestion et la conduite de l’église visible, il choisit souverainement un instrument à l’instar de Pierre
et Paul (Matthieu 16 : 18 à 19 ; Jean 21 : 15 à 17 ; Actes 9 : 15 ; Actes 22 : 14 à 15 ; Actes 26 : 15 à
17). Il est aussi important de réaliser ici que dans le principe de Son immuabilité, l’Eternel n’a pas
dérogé aux principes suivants :

- La gestion de Son peuple en tant qu’Eglise ;


- La continuité de son leadership caractérisé par la conduite d’un leader ;

- Les ministères d’autorité (Prière et ministère de la parole) par les anciens (Actes 6 : 2 à
4) ;

- Les ministères de service par les diacres et diaconesses (Actes 6 : 2 à 4).

Il s’avère donc à la lumière de ce qui précède que l’Eglise, ne s’inscrivant que dans la
continuité du peuple de Dieu, ne peut se dissocier de manière fondamentale, du modèle de
leadership de l’Assemblée du désert dont elle n’est autre qu’un clair dévoilement (1 Corinthiens
10 :11).

Toutefois, à un moment donné, le peuple peut se fatiguer du leadership de Dieu, parce qu’il
n’est pas toujours du goût des humains, ne répondant généralement pas aux aspirations de la chair.
C’est ainsi que sous Samuel, comme initialement avec Moïse dans le désert, Israël a rejeté le
leadership de Dieu pour se donner un roi qui devait désormais le conduire selon ses propres critères
et aspirations. Comme les autres peuples, il voulait être gouverné à la manière du monde et
persistait dessus, malgré l’interpellation du Seigneur par Son Prophète. Ceci étant bien entendu
contraire à la volonté de Dieu et ne pouvait évidemment pas Lui plaire.

1 Samuel 8 : 5
“Ils lui dirent : Voici, tu es vieux, et tes fils ne marchent point sur tes traces ; maintenant, établis
sur nous un roi pour nous juger, comme il y en a chez toutes les nations .7 L’Eternel dit à
Samuel : Ecoute la voix du peuple dans tout ce qu’il te dira ; car ce n’est pas toi qu’ils rejettent,
c’est moi qu’ils rejettent, afin que je ne règne plus sur eux“.

1 Samuel 8 : 19-20
« Le peuple refusa d’écouter la voix de Samuel. Non ! Dirent-ils, mais il y aura un roi sur nous, et
nous aussi nous serons comme toutes les nations ; notre roi nous jugera il marchera à notre tête et
conduira nos guerres » ().

En tant que chrétiens agissant à la lumière des Saintes Ecritures, les questions sont donc les
suivantes : Qui nous conduit ? Qui doit régner sur nous ? Sur quels modèles devons-nous nous
régler ? Selon Romains 8 : 14, ceux qui se laissent diriger par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu (et
nous le sommes), le Saint-Esprit, l’Esprit de vérité étant venu pour nous conduire à travers celui ou
ceux que Dieu choisit souverainement (1 Corinthiens 14 : 32 à 33).

Jean 16 :13 et 14
“Quand l’Esprit de Vérité sera venu, il vous conduira vers la vérité tout entière, car ce qu’il dira, il
ne le tirera pas de son propre fonds, il répétera seulement ce qu’il aura lui-même entendu et vous
annoncera ce qui doit arriver. Sa mission sera de manifester ma gloire, car il puisera dans ce qui
est à moi et vous le communiquera“.

C’est sur la base et dans l’esprit du questionnement qui précède et de la résolution qui le
suit, que nous avons travaillé en vue de l’élaboration du présent document cadre qui au plan de la
forme, donne une vue d’ensemble de l’Eglise en Afrique et dans la diaspora (qui sommes-nous ?),
tant dans son historique, sa foi (doctrine), sa mission et ses objectifs, que dans son organisation
structurelle et administrative (leadership), en vue d’atteindre efficacement lesdits objectifs, tout en
obéissant aux conformités juridico-administratives en vigueur dans l’espace africain et dans la
diaspora.
En ce qui concerne le fond, nous sommes restés fidèles aux modèles bibliques
d’administration et de leadership du peuple de Dieu, en évitant au maximum d’introduire un feu
étranger de nature à causer des désagréments au sein de l’Eglise que constitue notre communauté,
Africa Life Word Mission. Notre travail a consisté, tout le long de la rédaction de ce document
cadre, à démontrer en étayant par les preuves bibliques, la pertinence de chaque point qui y est
développé ainsi que son application dans le contexte actuel, conformément aux indications et
dispositions suivantes de la Bible :

Romains 12 : 2
« Ne vous coulez pas simplement dans le moule de tout le monde. Ne conformez pas votre vie aux
principes qui régissent le siècle présent ; ne copiez pas les modes et les habitudes du jour. Laissez-
vous plutôt entièrement transformer par le renouvellement de votre mentalité. Adoptez une attitude
intérieure différente. Donnez à vos pensées une nouvelle orientation afin de pouvoir discerner ce
que Dieu veut de vous. Ainsi, vous serez capables de reconnaître ce qui est bon à ses yeux, ce qui
lui plaît et qui vous conduit à une réelle maturité ».
1 ALWM DANS SON HISTORIQUE, SA DOCTRINE (FOI), SA MISSION
ET SES OBJECTIFS

1.1 Historique d’ALWM

Introduction 
Edifiée sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus-Christ lui-même étant la pierre
angulaire (Ephésiens 2 :20), l’histoire de l’Église ou l’Assemblée (car ces deux mots dans le
contexte du présent développement ont la même signification), est liée à celle de l’Evangile, mais
plus exactement de l’évangélisation, l’une émanant de l’autre.
C’est le Seigneur Jésus-Christ lui-même qui va lancer le projet de construction de Son
“Ekklesia“ (Eglise), mot grec qui signifie Assemblée selon le texte de Mathieu 16 :18 : « …Et moi,
je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église, et que les portes du séjour
des morts ne prévaudront point contre elle ». Ainsi le Seigneur s’approprie la paternité de cette
Assemblée qu’Il va bâtir.  Avec l’ordre de mission transmis aux apôtres et ensuite aux disciples
dans la grande commission d’évangélisation, le Seigneur va ouvrir la porte à l’extension de
l’Évangile et par ricochet, le début de la concrétisation (matérialisation physique) de l’œuvre de
construction de l’Eglise. L’Eglise qui était jusqu’à lors un mystère caché (Ephésiens 3 :9 ;
Colossiens 1 :26), mais qui grâce au prix payé par Son précieux sang, prendra enfin naissance, et
avec la descente du Saint-Esprit pendant la Pentecôte, suivie de la prédication des apôtres, l’on
assistera au début visible de son déploiement à Jérusalem d’abord, ensuite en Judée, en Samarie et
jusqu’aux extrémités de la terre, conformément à Actes 1 :8 : « …Mais vous recevrez une
puissance, le Saint Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la
Judée, dans la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre ».
 L’Eglise sur terre est sans nul doute l’entité que le Seigneur aime le plus, la seule pour
laquelle il a pu payer le prix suprême, Sa propre vie (Jean 15 :13). Il représente même l’Assemblée
comme une perle de très grand prix, pour l’acquisition de laquelle Il s’est dépouillé Lui-même, en
vendant tout ce qu’il possédait, c’est-à-dire, Sa majesté, Sa grandeur et même Sa propre vie
(Matthieu 13 :45-46). Cet amour est manifesté par le Saint-Esprit dont Il fait gracieusement don à
chacun des membres qui constitue l’Assemblée, pour les conduire unis (Ephésiens 4 :3) dans la
recherche des leurs et leur propre édification.
Ainsi la Bible nous documente de manière fort précise la constitution et l’évolution de
l’Eglise au premier siècle de notre ère, de la Pentecôte à l’an 33, jusqu’à la dernière lettre de Jean
autour de l’an 100. Toutefois, la suite de l’histoire de l’Eglise fait l’objet d’une étude minutieuse et
très élaborée car, se rapportant essentiellement à des données historiques et littéraires parfois
empruntes de tendance dogmatique, plusieurs des témoignages qui nous sont parvenus n’étant pas
écrits directement de la main des principaux concernés, et donc très souvent sujets à des
interprétations diverses.
En évitant au maximum de verser dans des débats d’appartenances religieuses, la
présentation que nous donnons dans le présent document de l’historique de la véritable Eglise du
Seigneur Jésus-Christ selon Mathieu 16 :18 et dont celle de notre communauté chrétienne ALWM,
se veut un retraçage succinct du parcours de l’Eglise dans le temps tel qu’admis de la plupart des
exégètes et historiens, nous efforçant de trouver les traces les plus visibles du véritable Evangile.

1.1.1 L’Église dans sa définition 


De son étymologie, Eglise vient du mot grec « ekklesia » qui lui-même se constitue du
préfixe « ek » qui signifie « hors » ou « loin de », et du suffixe « klesia » de « kaleo » qui signifie
« appelé ». L’église désignait ainsi initialement, un corps (une assemblée) spécifique des citoyens
rassemblés hors du reste de la population, pour discuter des affaires étatiques ou gouvernementales.

Au regard de l’explication de plusieurs textes bibliques, l’Eglise qu’a promis de bâtir le


Christ Jésus, est un corps (une entité spirituelle) céleste constitué des personnes sauvées (mises à
part hors ou loin du monde et ses attraits) par le Seigneur lui-même au prix de Son propre sang et
dont la connaissance est transmise par le moyen de la foi en Sa parole (Matthieu 16 :18 ; Actes
2 :47 ; Ephésiens 2 :8 ; Romains 10 :17 ; 1 Corinthiens 1 :21).

L’Eglise a de ce fait une implémentation matérielle (physique) regroupant des hommes et


femmes sauvés au sein des communions physiques localisables dans des espaces géographiques
donnés. Nous comprendrons pourquoi dans les épitres, les églises en tant que communautés
physiques étaient très souvent identifiées en rapport avec leurs villes (espace géographique)
d’appartenance (1 Corinthiens 1 :2 : « …à l'Église de Dieu qui est à Corinthe, à ceux qui ont été
sanctifiés en Jésus Christ, ») ou simplement les différents lieux qui les accueillent (l’assemblée
dans la maison d’Aquilas et Priscille ; l’assemblée chez Philémon ; l’Église de Laodicée qui était
chez le frère Nymphas). L’Eglise peut donc être perçue à la fois dans son application spirituelle
(universelle) et son application physique (locale).

1.1.2 Expansion et persécution de l’Eglise


Comme évoqué plus haut, l’expansion de l’Église a fait suite à la propagation de l’Evangile,
l’antique province Romaine de Judée (une partie du proche Orient actuel) étant son berceau.
L’Evangile et l’Église vont ensuite s’implanter en Asie Mineure dans la Babylonie et en Europe du
Sud (Grèce, Macédoine, Italie, Espagne etc…) puis dans le pourtour du bassin méditerranéen,
espace qu’occupait alors l’Empire Romain, faisant de la mer méditerranée une mer d’intérieur, d’où
la célèbre expression latine « Mare nostrum » qui, traduite littéralement, signifie « Notre mer »
(source). 

Cela en effet est connu, l’évangélisation s’est toujours accompagnée de persécutions et


beaucoup de difficultés. Ainsi, outre les oppositions rencontrées de la part des juifs, ce sont les
empereurs romains des premiers siècles qui seront à l’origine des plus grandes persécutions des
premiers chrétiens. Après les apôtres tous morts de la main humaine (à l’exception de l’Apôtre Jean
mort de vieillesse à Ephese aux environ de l’an 100 pendant le début du règne de l’Empereur
Trajan), le martyre des chrétiens va s’institutionnaliser au sein de l’Empire depuis Neron, puis avec
Domitien, Marc-Aurèle, Dioclétien et les autres, qui avaient pris pour habitude de tuer les chrétiens,
les accusant de tous les maux de l’Empire. Beaucoup furent brulés, bouillis, sciés ou décapités
durant plus de 200 ans (de l’an 64 à l’an 313) dont parmi les plus célèbres après les apôtres, figure
Polycarpe de Smyrne, disciple de l’Apôtre Jean et mentor spirituel de Iréné de Lyon, tous deux des
personnages très importants de L’Eglise de cette Epoque de par leurs écrits et récits de la vie de
l’Eglise jusqu’à ces temps-là. Polycarpe mourra brulé sur le bucher pour avoir refusé de renier Jésus
en date du 23 février de l’an 155, pendant la période connue sous le nom de l’Eglise de Smyrne.
(source)
Malgré les difficultés et la persécution, les chrétiens d’alors n’avaient de cesse de prêcher
l’Evangile, arpentant toute l’étendue du vaste Empire Romain qui s’étirait alors sur plus de
5.000.000 km2 d’ouest en est (source). Leur détermination était d’autant plus appréciable que les
moyens de déplacement étaient encore si rudimentaires (montures, et navires à voiles outre la
marche).
1.1.3 Début de la période de tolérance religieuse
Le début du 4e siècle va voir arriver un personnage qui aura un rôle central dans l’histoire de
l’Eglise dont les membres sont désormais reconnus sous l’appellation de « chrétiens », ce qui veut
dire « disciples du Christ », issue du mot grec « Christos » qui signifie « l’oint » en hébreux
“mashia'h“, dont dérive le mot français « Messie ». Les chrétiens sont donc les disciples de l’oint
promis par Moïse et les prophètes (Actes 11 : 26 : « …Ce fut à Antioche que, pour la première fois,
les disciples furent appelés chrétiens » ; Jean 1 :45).

Constantin dit « Le grand », bien qu'initialement proclamé « Auguste » de façon illégitime
par ses troupes à la mort de son père Constance Chlore en 306, verra son règne entériné en 310 par
l'empereur Galère, et le poursuivra sans discontinue jusqu'à sa mort en 337. Il parvint à unifier le
pouvoir impérial en 324 en triomphant sur son co-empereur Licinius, mettant ainsi fin à trente-huit
années de tétrarchie pour devenir seul maître de l'empire pendant treize ans (source).

L'Empereur Constantin 1er mena une vie politique, militaire, religieuse et économique
profondément réformatrice, qui lui permit de réunir sous son unique autorité un empire romain
affaibli et divisé. Il se débarrassera des empereurs Maxence en 312 (bataille du pont Milvius) et
Licinius en 324 (bataille d'Andrinople). Son règne verra l'établissement de la liberté de culte
individuel, qui mettra fin aux persécutions des chrétiens (Edit de Milan, 313).
L’Edit de Milan ou Edit de Constantin, promulgué par les empereurs Constantin 1 er et
Licinius en avril 313, est souvent présenté comme un édit de tolérance par lequel chacun pouvait
désormais « adorer à sa manière la divinité qui se trouve dans le ciel ». Il accorde la liberté de culte
à toutes les religions et permet aux chrétiens de ne plus devoir vénérer l’empereur comme un dieu.
C’est le refus de ce culte qui aura causé la mort de plusieurs leaders de l’Eglise. Constantin
instaurera donc par-là la « Paix de l'Église ».
Dès lors le culte chrétien est désormais libre dans tout l’espace de l’empire et bien plus, la
conversion de l’empereur au christianisme place désormais celui-ci comme la religion favorisée au
sein de l’élite romaine et même de l’Empire de façon générale. Appartenir à la même idéologie que
les gouvernants permettent d’attirer leurs faveurs. Et comme souvent, la liberté de culte et de
croyance va finir par laisser cours au propre de l’humanité : le désir de se faire entendre. De
vibrants débats vont naitre dans l’Eglise et la question de la divinité du Christ va prendre le pas sur
les autres sujets et diviser grandement l’Eglise d’alors. C’est ce débat qui va conduire à
l’immixtion du pouvoir impérial dans les affaires de l’Eglise jusque-là réservées aux hommes de
foi. Dans l’intention de mettre fin à ces débats enflammés, l’Empereur Constantin va alors
convoquer cette grande rencontre connue aujourd’hui sous le nom du « Concile de Nicée ». Le
point principal de discussion était la compréhension théologique de la relation entre Jésus et Dieu.
Un camp (dirigé par Arius) a conclu qu’ils étaient de différentes essences, et l’autre camp (dirigé
par Athanase) a tenu qu’ils étaient de la même essence (source).

1.1.4 Le grand tournant de l’histoire de l’Eglise :


L’Edit de Thessalonique (époque connue comme l’âge de Pergame)

Après l’an 325, année de la réunion de Nicée, le 28 février 380, l’Edit de Thessalonique ou
Edit de Théodose promulgué par l’Empereur Romain du même nom va confirmer la nouvelle
mainmise du pouvoir impérial sur la foi chrétienne. Car si la convocation de Nicée avait permis de
régler la question de l’arianisme (Jésus n’est pas DIEU) l’édit de Théodose qui pouvait être perçu
par plusieurs comme une fleur faite à l’Eglise a plutôt été une véritable catastrophe dans la foi selon
Rom 10 :17 et 1corth1 :21. Car en effet, Théodose Ier qui se range du côté du christianisme nicéen,
(le credo adopté après le concile de Nicée) va le déclarer « Catholique », adjectif qui signifie
Universel. L’empereur va donc par cet édit imposer la chrétienté à tous les sujets de l’Empire. Nous
assistons donc d’une certaine manière par cet épisode à la naissance de « l’église catholique ». Dès
ce temps c’est notre soumission à l’empire et à l’édit du roi qui fait de nous un chrétien et non plus
la prédication de la foi. Nous assistons donc à un changement radical de paradigme. Beaucoup de
théories vont voir le jour durant cette époque et des théoriciens divers émergerons avec des
pratiques diverses telles que le baptême des enfants (avec Augustin d’Hippone) et bien d’autres

1.1.5 Le Christianisme en perte de terrain face à la montée de l’Islam


Partie d’Arabie au début du 7eme siècle, l’islam va en un siècle seulement s’étendre et
s’emparer de vastes territoires ayant appartenu des siècles durant à l’empire Romain chrétien et s’y
établir durablement. On assistera donc à la disparition des vieilles communautés chrétiennes
établies depuis des siècles dans les provinces romaines d’Afrique du Nord parmi lesquelles celles
d’Alexandrie et de Carthage qui avaient connu des noms célèbres comme Tertullien et Cyprien de
Carthage, Athanase et Cyrille Evêques d’Alexandrie, tous citoyens Romains. La ville de Jérusalem
est prise très tôt en 638 et c’est l’interdiction plus tard du pèlerinage dans la « ville sainte » aux
Chrétiens qui va déclencher des puissantes expéditions militaires chrétiennes connue sous le nom
des croisades, qui auront pour but de reprendre la ville aux musulmans.

Avec la montée de l’islam, le christianisme va disparaitre d’Afrique du Nord et du moyen


orient lieu pourtant berceau de la foi. Ainsi l’Europe va devenir le bassin de la Chrétienté, de la foi,
mais aussi de l’Eglise. Outre les pertes de territoires, les valeurs chrétiennes vont se retrouver
fortement affectées par l’introduction de divers rîtes et pratiques innommables tels que
l’instauration du culte du purgatoire et de l’hyperdulie (culte mariale), l’introduction des fêtes
païennes telles que la noël (fête païenne au départ et christianisée à des fins politiques) etc. La
décadence commencée depuis l’édit de Théodose 1er en 380 ne s’arrêtera plus jamais étant entendu
que dès que l’entrée dans la foi est compromise, plus rien ne peut empêcher les hommes de
faire ce qu’ils ont entrepris.

Dès cette période, le véritable Evangile quitte le devant de la scène pour rester l’apanage
d’un petit nombre désormais caché par ce grand ensemble appelé « chrétien catholique » dont le
sens véritable ne traduit plus la foi d’origine, mais une simple confession de foi dénouée de son
fondement biblique. Ce qui nous rappelle les dures vérités confirmées par le Christ lui-même des
centaines d’années plus tôt dans le livre de Luc 13 :24 à savoir qu’il n’y a effectivement que très
peu qui soient sauvés, ce qui tranche avec la vision apparente de la masse qui jouit de l’appui
officiel des gouvernants. Le christianisme va devenir un instrument politique entre les mains des
gouvernants (Papes, Rois, et Empereurs successifs). Cependant, des divisions au sein de l’empire et
des querelles politiques vont conduire à des Schismes multiples dans l’histoire de la chrétienté dont
le premier grand fut celui de 1054 qui désigne en principe la rupture survenue le 16 juillet 1054
entre l'église de Rome (Occident) devenue Catholique Romaine et l'église de Constantinople
(Orient) désormais Catholique Orthodoxe. (source)

1.1.6 Raisons du schisme catholique


En 476, l’empire romain d’Occident disparaît, mais l’Evêque de Rome (c’est-à-dire le Pape)
continue de revendiquer sa primauté sur tous les Evêques de la chrétienté.  Il s’oppose ainsi à
l’Evêque de Constantinople (le Patriarche), qui lui a l’appui de l’Empire romain d’Orient, toujours
florissant. A cette époque, un nouvel Etat apparaît en occident : le Saint-Empire romain germanique
avec la dynastie des carolingiens (Pépin Le Bref, Charlemagne). Il englobe toute l’Europe
occidentale et l’Italie du Nord (Rome excepté) et apporte sa protection au Pape. Fort de cet appui, le
Pape veut imposer son pouvoir spirituel sur tout le monde chrétien.
Problème : Depuis plusieurs siècles, les rites et les dogmes ont profondément divergé entre
chrétiens grecs (orientaux) et latins (occidentaux). Qu’à cela ne tienne ! En 1054, le pape Léon IX
se lance dans une tournée des diocèses d’Italie du Sud, où l’on pratique le rite chrétien à la mode
orientale. Cela provoque la colère du Patriarche de Constantinople Michel Cérulaire, qui rompt
définitivement avec Rome en 1054. Depuis lors, l’Eglise romaine se dit catholique (universelle)
alors que la byzantine se veut orthodoxe (qui a la vraie foi). Il est donc ici intéressant de constater
qu’à l’origine, le courant « chrétien » majoritaire en ce temps-là était le courant Orthodoxe. C’est la
progression de l’islam durant les siècles qui vont suivre et particulièrement la chute de
Constantinople capitale de l’empire romain d’orient (Byzance) le 29 mai 1453, prise par Mehmed
II, jeune Sultan Ottoman mettant fin à l'Empire byzantin, qui fera décliner l’église orthodoxe
grecque au profit de l’église de Rome Latine, et ceci depuis la période des croisades. Le triste
constat qui peut être fait facilement par l’essentiel des lecteurs attentifs est que le mot Eglise ne
s’applique plus simplement à ceux qui ont une foi vraie et conforme aux écritures, mais à
l’ensemble des adhérents aux principes et idéaux véhiculés par les courants dominants sous la
direction des papes en occident et des patriarches en Orient, jouissant tous de l’appui des souverains
temporels (Rois) de chaque espace.

La foi connait alors ses années les plus sombres (l’âge de Sardes) ce fût au point où si nous
n’étions pas convaincus que le Salut se transmet par la prédication, nous pourrions croire à une
quasi disparition du message du salut véritable. Mais nous le savons il n’existe pas de génération
spontanées et Dieu s’est toujours réservé un petit nombre, un lumignon qui fume (Esaïe 42 :3 et
Matthieu 12 : 20). Tout au long de ces grands changements que connait le monde sur le plan
politique, géographique et religieux, des saints continuaient de propager l’Évangile avec les plus
sévères persécutions provoquées par les hommes de pouvoirs prêts à tout pour conserver leurs
positions, privilèges, et autorités. De ce temps qui va du 7 e au 19e siècle à peu près (Thyatire et
Sardes), plusieurs noms vont s’illustrer parmi lesquels l’on comptera : Chrysostome, Jérôme,
Augustin, Niniam, Martin de tour, Colomban, Gall, Les vaudois, Pierre Valvo, Les Cathares, Les
Albigeois, Pierre Brueys et Henri Lausanne. Chacun de ces personnages et communautés mérite
sans doute que l’on s’attarde sur son parcours et ses combats, leurs vies pleines d’enseignements
pouvant être une source d’inspiration pour les chrétiens d’aujourd’hui, plusieurs parmi eux ayant
fini leur vie sur le bûcher pour la défense du vrai Évangile. La vie, la conversion et le parcours de
ces hommes feront sans doute l’objet d’un document spécifique consacré.

Plus tard dans la période d’avant la Réforme entre la fin du 15 e et le début du 16e siècle,
nous avons eu des personnages comme Wiclef et les Lollard, Jean Huss De Bohème, Jérôme De
Prague et autres, qui se sont particulièrement illustrés et distingués dans la préservation et la
propagation du Véritable Evangile. Nous gardons ainsi l’assurance que malgré la domination des
courants populaires dits « chrétiens » en tout temps, DIEU se réserve toujours un petit nombre
(1Rois 19 :14-18) certes invisible mais Unis pour transporter ce si précieux Salut.

1.1.7 La réforme
Après les années Noires de la fin du premier millénaire et du début du second  qui ont connu
une suprématie totale des divers idéaux Catholiques, de plus en plus de voix s’élèvent pour défier
l’autorité papale et des rois catholiques d’alors. C’est dans ce contexte que va s’engager une période
de renouveau qui va ramener la Bible (les Saintes Ecritures) au centre des débats de la foi. Parmi les
personnages les plus en vue de cette période de l’histoire de la chrétienté figure Martin Luther.
Né à Eisleben en Saxe (Allemagne) le 10 novembre 1483 dans une famille de mineurs qui se
fixa plus tard à Mansfeld, Martin Luther vécu, semble-t-il, une enfance assez dure. Son père dut
pourtant arriver à une certaine aisance, puisque, ayant remarqué les brillantes qualités intellectuelles
de son fils, il put l’envoyer, quand il eut quatorze ans, à Magdebourg, afin d’y parfaire ses études. Il
les poursuivit à l’université d’Erfurt, dans la faculté de droit, où il trouva une bibliothèque bien
fournie ; mais il avait vingt ans déjà quand il mit la main sur la Bible, qu’il n’avait jamais vue.
(Source)
Destiné par ses parents à une carrière juridique, Martin Luther va sans doute les décevoir en
choisissant de s’orienter dans la théologie en vue de laquelle il va intégrer un couvent d’Augustin
où, espérait-il, il rencontrerait la réponse à toutes les questions qui se posaient à lui dont
notamment, comment se débarrasser de la culpabilité du péché et comment obtenir la justice de
Dieu. Il écrira ainsi plus tard : « J’ai été moine pendant près de vingt ans. Je me suis tourmenté de
toutes manières. J’ai prié, j’ai jeûné, j’ai veillé, j’ai souffert le froid jusqu’à me faire mourir. Et
dans toutes ces choses, que cherchais-je, si ce n’est Dieu qui devait regarder à l’austérité de ma vie
et à ma fidélité à observer les règles de mon ordre ? Ainsi je vivais dans l’idolâtrie, abusé par des
rêveries humaines. Car je ne croyais pas en Christ, je le craignais comme un juge sombre et
terrible. Aussi je me mis en quête d’autres intercesseurs : c’était Marie, c’étaient les saints,
c’étaient mes bonnes œuvres et les mérites de l’ordre… Je me croyais irrévocablement perdu
chaque fois qu’il s’élevait dans mon âme un désir impur, un mouvement de colère ou de haine… Il
n’y avait rien que je ne fisse pour me délivrer de mes angoisses ; je me confessais tous les jours,
mais les mêmes tentations se reproduisaient sans cesse ».
C’est Staupitz, Vicaire-général de l’ordre des Augustins qui commence à attirer son
attention sur le salut qui s’obtient par la foi en l’œuvre du Seigneur sans dépendre des œuvres.
Durant un de leurs entretiens dit-il, le pieux vicaire lui dira « Mon ami, j’ai juré plus d’une fois au
Dieu Saint de vivre pieusement, mais je n’ai pu tenir mes serments. Aujourd’hui je suis décidé à ne
plus faire une promesse semblable, car je sais que je ne la tiendrai pas. Si Dieu refuse de me faire
Grâce pour l’amour de Jésus-Christ, je ne pourrai subsister devant lui ; malgré mes bonnes
œuvres, je périrai. Regarde au sang que Jésus a versé pour toi : c’est là que tu trouveras la grâce
de Dieu. Au lieu de te martyriser pour expier tes péchés, confie-toi en lui, accepte pour toi-même le
sacrifice qu’il a accompli sur la croix ». Malgré leur long entretien, Martin Luther continue de
croire à un salut par les œuvres. Il persistait à chercher en lui-même la base de la repentance qu’il
savait nécessaire à son salut et répondait ainsi aux arguments de son bienveillant interlocuteur : «
Comment puis-je croire à la faveur de Dieu aussi longtemps que je ne suis pas vraiment converti ?
Un changement doit s’opérer en moi avant qu’il puisse me recevoir ». Staupitz montra à Luther que
le Seigneur, loin de l’avoir abandonné, le faisait passer par ce chemin de souffrances morales pour
se révéler à lui comme un bon et tendre Père qui ne veut pas la mort du pécheur, mais sa conversion
et sa vie. (source)

D’autre part, un moine âgé lui rendit visite dans sa cellule et, alors que Luther lui parlait de
ses doutes, de ses craintes, son confrère lui fit remarquer que la Confession des péchés, si souvent
répétée dans les offices, contient cette phrase : « Je crois à la rémission des péchés ». Soudain la
lumière se fit dans son cœur et il s’écria : « J’y crois ! » Là-dessus le vieillard répondit : « Dans ce
cas, mon frère, rappelle-toi que, selon la voix divine, tes propres péchés sont pardonnés si tu mets
ta confiance dans le sacrifice de Christ ».

Voilà le témoignage qui nous est parvenue de la conversion de Martin Luther. La lecture
plus tard du livre de Paul aux Romains va modifier définitivement son enseignement car il est bien
entendu qu’il faisait déjà profession de prêtre catholique avant de connaitre la paix intérieure. Après
sa conversion Martin Luther va s’attaquer aux dogmes en vigueur dans l’église catholique et
Principalement aux indulgences mises en place dès le 13 e siècle par Alexandre et ratifiées par le
Pape Clément VII. Le Pape Urbain II va quant à lui introduire les indulgences plénières (Pardon
Total) notamment pour tous ceux qui partaient pour les croisades (expéditions militaires en orient
pour libérer la ville de Jérusalem). Mais ce sont les nouvelles indulgences introduites par le Pape
d’à lors Léon X pour achever la construction de la basilique Saint-Pierre de Rome dont le joug
pesait plus sur les Allemands et les Suisses qui vont mettre Martin Luther en colère contre l’église
catholique outre toutes les autres hérésies. C’est alors qu’il va produire les 95 thèses qui
démontaient cette pratique dont voici quelques morceaux choisis :

« 1. Quand notre Maître et Seigneur Jésus Christ dit : « Repentez-vous ! » il entend que la vie tout
entière de ses fidèles serviteurs sur la terre soit marquée par un esprit continuel de repentance ».

« 6. Le pape ne peut absoudre d’aucune condamnation. Il ne peut que confirmer la rémission,


accordée par Dieu lui-même. S’il agit autrement, la condamnation n’en déploie pas moins ses effets
».

« 21. Les commissaires des indulgences sont dans l’erreur lorsqu’ils affirment que l’homme est
sauvé par l’indulgence pontificale et libéré de tout châtiment ».

« 36. Tout chrétien qui éprouve une vraie repentance à l’égard des péchés qu’il a commis en
obtient la rémission, sans le secours des indulgences ».

« 43. Celui qui donne aux pauvres ou prête aux nécessiteux fait là une œuvre plus méritoire que
celui qui achète une indulgence ».

« 46. Quiconque n’a pas de superflu est tenu d’employer ce qu’il a pour procurer le nécessaire aux
siens, et il ne doit pas gaspiller ce qu’il possède pour acheter des indulgences ».

« 62. Le vrai trésor de l’Église, son bien le plus précieux, c’est l’Évangile de la Gloire et de la
Grâce de Dieu ».

« 79. C’est un blasphème de dire que la croix aux armes pontificales a autant de puissance que la
croix de Christ ».

Sa détermination, ses sermons et son courage vont lui valoir des convocations du pape, de
l’Empereur Charles QUINT, et des diètes. Sommé le 15 juin 1520 de se rétracter par le Pape Léon
X il est excommunié le 03 janvier 1521 et mis au ban de l’empire. Il ne doit sa survie qu’aux
soutiens des Princes Germaniques. Il aura également bénéficié du soutien du pouvoir Royal
Britannique des TUDOR suite aux anciennes griefs du Rois Henri VIII avec le pape de l’époque,
Clément VI, à cause de son divorce avec Catherine d'Aragon, fille du Rois Ferdinand II dit « le
Catholique », Rois de l'Aragon et de Castille et grand père du puissant Charles QUINT qui lui
succèdera et qui gouvernera sur l’Allemagne durant la vie de Martin Luther. Plusieurs autres
royaumes et monarques vont épouser les thèses défendues par Martin Luther, contribuant de ce fait
à préserver son intégrité physique.

Martin Luther meurt le 18 février 1546 dans la ville d’Eisleben (Allemagne). Il fut le fondateur de
la Réforme protestante avec ses 95 thèses, se liguant contre le catholicisme et en particulier le pape
et de fait changea le cours de l'histoire religieuse et de la civilisation occidentale.

Si sa conversion peut faire débat, son action dans la traduction de la Bible à partir des
langues d’origines Hébreu et Grec ainsi que son travail de distinction entre les écrits canoniques
d’origines et les écrits apocryphes ayant posé les bases de la Bible à 66 livres communément
utilisée aujourd’hui dans nos communautés, eux ne souffrent de rien. Par ce travail, Luther va
permettre que les écritures reviennent au centre de la vie chrétienne. Voici quelques-uns des
principes qu’il défendit :

 sola scriptura : la norme critique des discours et des actions chrétiennes est la Sainte
Ecriture seule.
 sola gratia : pour atteindre son propre salut, seule la Grâce compte, et non pas les
interventions de l'homme.
 sola fide : on ne peut atteindre le salut que par la foi seule.
 solus christus : le "Christ seul", qui représente à la fois Dieu et l'homme, transmet, à travers
l’Évangile et l'eucharistie, la justification et la guérison.
 soli Deo gloria : seul Dieu est sacré, absolu ou divin. De fait, aucune autre entreprise
humaine, même la théologie, ne peut prétendre être absolue ou universelle.
Cette période de l’histoire coïncidera avec la colonisation du nouveau monde (les
Amériques) ce qui va favoriser la diffusion de l’Evangile réapparu au-devant de la scène dans ce
nouveau Continent où il va s’installer durablement.

1.1.8 L’évangélisation en dehors de l’Europe


Présents en Europe depuis le 15 e siècle les Moraves vont s’installer aux Etats unis au 18 e
siècle, prêchant la bonne nouvelle. Ils vont profondément influencer des personnages comme John
Wesley, converti alors qu’il était déjà Pasteur Anglican consacré. Plusieurs autres prédicateurs
émergeront ou seront influencés depuis les Etats-Unis faisant de l’Amérique un fort bastion de
l’Evangile dès la fin du 18e jusqu’au début du 20e siècle. Les liens entre les Etats-Unis et
l’Angleterre expliquent également la présence du vrai Evangile entre ces deux territoires.

Désormais des missionnaires américains et anglais vont se projeter dans les nouveaux
territoires l’Inde, la Chine, la Corée et l’Afrique. C’est ainsi qu’encouragé par les explorations de
ces nouveaux territoires, le britannique Livingston parti d’Angleterre, après 50 jours de voyage,
posa pied en Afrique du Sud, colonie britannique entre 1833-1873. Il va évangéliser avec beaucoup
de douleur durant 40 ans en Afrique où il se mariera et connaitra beaucoup de difficultés au point de
perdre sa fille pendant sa mission. Aussi, bien que reconnue de plusieurs, cette mission ne va
cependant pas laisser beaucoup de traces sur le continent, l’analphabétisation à cette époque ayant
peut-être contribué à ce faible résultat…

1.1.9 Provenance de l’Evangile prêché aujourd’hui par ALWM 


L’Évangile véritable que nous prêchons aujourd’hui en Afrique et dans la diaspora trouve sa
provenance contre toute attente en Corée du Sud, comme pour confirmer l’insondabilité des voies
du Seigneur.

1.1.9.1 Etat des lieux en Corée avant l’introduction de l’Evangile véritable


À la fin de la seconde guerre mondiale, les « chrétiens », toutes dénominations confondues,
ne représentaient guère plus de 1 % de la population coréenne et étaient tout aussi affaiblis que les
courants religieux ou philosophiques autochtones. Les monastères bouddhiques étaient restés isolés
dans les montagnes depuis l’avènement de la dynastie des Yi et l’instauration du néoconfucianisme
(1392-1910). Ce dernier, élément constitutif de l’identité coréenne, avait, quant à lui, perdu sa place
privilégiée dans les hauts lieux du pouvoir, le concours de recrutement des fonctionnaires ( kwago),
instauré par les néoconfucéens, ayant été supprimé en 1894 après l’arrivée des Japonais. Sans être
réprimées, ces deux religions ont été, durant la colonisation, surveillées et mises au service du
gouvernement japonais. Contrairement au monde occidental gréco-romain où l’influence
chrétienne est présente depuis plus de 1600 ans, plusieurs régions du monde resteront relativement
épargnées à l’instar de la Corée, le Japon, une partie de la Chine, bref la majeure partie de
L’extrême Orient.

Le catholicisme a été introduit en Corée à la fin du XVIII e siècle par des lettrés coréens qui
rapportaient de Chine des ouvrages consacrés aux sciences et aux religions de l’occident. Son
développement a été stoppé de façon brutale par l’interdiction imposée aux convertis par l’autorité
religieuse de Rome de pratiquer les rites confucéens qui étaient la clé de voûte de l’ordre établi. Les
catholiques ont été ainsi accusés de conspirer avec les occidentaux pour renverser le pouvoir
confucéen en place. Des répressions sanglantes ont eu lieu, dont celle de 1866 qui a fait environ
8000 morts. Durant la violente colonisation japonaise de 1910 à 1945, l’Église catholique,
traumatisée par le souvenir de ces massacres, n’a pas soutenu les mouvements de résistance contre
les Japonais et n’a pas participé aux manifestations pour l’indépendance du 1 er mars 1919,
largement orchestrées par les protestants. Lors de sa libération, le peuple coréen n’a pas oublié de
condamner vivement la collaboration des catholiques qu’il comparait à l’engagement manifeste des
protestants en faveur des causes nationales. Ce qui explique jusqu’aujourd’hui la faible présence du
courant Catholique en Corée contrairement aux mouvements issus du protestantisme.

1.1.9.2 Le renouveau de l’Evangile du Salut véritable en Corée


En 1865 un certain Thomas, Anglais venu de l’Église de Londres pour la Corée, passera
premièrement par la Chine où il fera la rencontre de trois coréens venus s’y réfugier à la fuite de la
persécution de l’Église catholique déjà sur le territoire coréen à cette époque-là. Thomas et l’un de
ces coréens vont prendre un bateau plus tard pour se rendre en Corée ; ils vont arriver au nord de la
Corée et seront endeuillés par la perte d’une personne dans une tempête. Thomas y reviendra 12 ans
plus tard mais, les coréens ne voulant pas de lui, l’arrêteront et le condamneront à mort.

Des années plus tard suite à une prédication de D.L. Moody pendant une conférence en 1882
en Angleterre, un certain City Studd fondateur de la WEC (World Evangelical Congress) réalisera
son salut par cette prédication. Le petit-fils de Studd va se rendre plus tard en Corée où il va
commencer à évangéliser. Dès ce moment il existait déjà divers mouvements « chrétiens », dont les
presbytériens, les catholiques et autres.

La fin de la deuxième guerre mondiale et la défaite de l’axe face aux alliés va précipiter la
chute des colonies japonaise en Asie et dans le pacifique mettant ainsi fin à la domination du Japon
sur la Corée. Mais la paix sera de courte durée pour le pays car la fin de la 2 e guerre mondiale
ouvrait une nouvelle période névralgique dans le monde, celle de la guerre froide entre le bloc
occidental capitaliste dirigé par les Etats Unis, et le bloc oriental communiste dirigé par les
soviétiques et à l’occasion, la Corée va très vite devenir un théâtre d’affrontement idéologique.
Ainsi dès l’année 1945 le pays va être divisé en deux : le Nord (communiste) et le Sud (capitaliste)
au niveau du 38e parallèle.

En 1950 une guerre qui durera environ trois ans avec beaucoup de ravages va éclater entre
les deux régions, notamment après une invasion lancée par le nord soutenu par le bloc communiste
de l’époque, le sud quant à lui soutenu par le bloc occidental.

Après la guerre en 1953 le gouvernement Américain va lancer un appel à l’aide


internationale en faveur de la Corée du Sud. Plusieurs états répondront favorablement à cet appel
ainsi que diverses organisations non gouvernementales et religieuses. Ce sera l’occasion pour
plusieurs Pasteurs et Evangélistes d’entrer en Corée, apportant un soutien moral et matériel, mais
sans l’Evangile véritable qui était toujours caché. Le christianisme étant présenté comme une
religion providentielle, les populations y adhéraient plus par motif d’intérêt que par compréhension.

Norman Grevy (Pasteur Américain), gendre de C. T Studd le fondateur de la WEC, pensant


initialement que le vrai Evangile était prêché en Corée et s’étant rendu compte que ce n’était pas le
cas, enverra alors en 1960, un des missionnaires de sa congrégation pour une mission en Corée, le
néerlandais Kee Glass qui, à la fin des années 60 sera rejoint par l’anglais Dick York.

Le Pasteur Glass dans son déploiement missionnaire va tour à tour évangéliser un pasteur
coréen nommé Guan Sichan qui réalisera son salut, et sera rebaptisé puis excommunié par son
assemblée initiale (de confession presbytérienne), et par la suite le Pasteur Yo Han Rhee qui naitra
de nouveau pendant un séminaire biblique en 1962.

En 1966 les Pasteurs Guan et Rhee animeront une émission radio matinale durant laquelle ils
prêcheront l’Évangile et plusieurs personnes réaliseront leur salut à l’issue des sessions prêchées
pendant ces tranches d’antenne. Ils auront par la suite l’idée de rassembler toutes les personnes nées
de nouveau pour une retraite en été. C’est de là que sont nées les retraites d’été qui sont organisées
désormais chaque année en Corée. Mais en 1974 on va contraindre le Pasteur Guan à abandonner
son émission Radio. La direction de la Radio ayant reçue beaucoup de pression de la part des
dénominations religieuses voisines.

Après cela les frères sauvés se lanceront sans équivoque dans la prédication de l’Évangile et
la retraite d’été de cette année-là va connaitre un franc succès avec la participation de dix mille
personnes. De nombreux Pasteurs, anciens, et membres appartenant à d’autres communautés vont
écouter l’Évangile et être sauvés et repartiront alors vers leurs responsables pour leur expliquer
qu’ils ont été sauvés et que la façon d’annoncer l’Evangile devrait changer. Bien que leurs
intentions fussent bonnes ils recevront en retour des menaces et seront chassés de leurs anciennes
communautés. C’est dans ce contexte que les frères se verront attribuer l’appellation de “la Secte
des sauvés“, surnom à eux donné par les autres communautés dites chrétiennes.

L’évangélisation allait de progrès en progrès et la mission s’est étendue même à


l’international. Les Pasteurs Glass et Dick vont mettre sur pied une école pour enseigner à prêcher
l’Evangile et c’est dans ce cadre que le Pasteur You, gendre du Pasteur Guan et aussi le Pasteur
Park Ock Soo vont déclarer être « sauvés ». Au départ ils prêchaient tous l’Évangile
convenablement mais avec le temps les choses vont connaitre une certaine dégradation. D’une part
à cause des business introduits par le Pasteur You qui prenait l’argent des offrandes de l’Eglise pour
les alimenter, mais sans doute aussi à cause de la modification du credo de l’Évangile, ce qui sera
cause de séparation. C’est en 1983 que la “LIFE WORD MISSION“ (LWM) verra le jour. Après 5
ans, un centre de retraite va être construit dans la ville de Guanzou, le but étant de former les
Pasteurs et organiser des retraites chaque année. Durant ces retraites les frères et sœurs de toutes les
localités venaient prendre part à ces importants moments de communion autour de la parole, mais
c’était surtout l’occasion de prêcher l’Évangile.

A partir de ce moment la mission va devenir internationale et 53 pays dans le monde vont


recevoir l’Evangile par la Grâce du Seigneur au travers du travail des frères coréens. En 2013
l’ancien Lee racontant l’histoire de l’Église aux frères d’Afrique nouvellement nés, leur rappelait
que la LMW existait depuis 30 ans, mais qu’une fois tous les 10 ans pratiquement, un Pasteur ou un
Evangéliste décidait d’aller créer son église et cela était très souvent sans réel résultat. Car quand ils
sont à l’intérieur de l’Église (Assemblée) ils se sentent capables de beaucoup de choses par leur
propre force, mais une fois en dehors cela se révèle bien plus compliqué. Le Pasteur Lee disait :
« Dieu travaille avec une Eglise qui est unie, si tu tombes de l’arbre alors tu n’as aucune
puissance ».

1.1.10 La mission en Afrique


« LIFE WORD MISSION » étant née et implantée en Corée sera baptisée « KOREA LIFE
WORD MISSION » (KLWM) et va étendre son œuvre d’évangélisation jusqu’en Afrique. Les pays
africains d’expression anglaise seront leurs premières cibles ; ce qui produira plusieurs missions au
Ghana, au Kenya, et en Tanzanie, toutes cependant infructueuses jusqu’à la rencontre d’un
camerounais en déplacement en Corée. Initialement parti pour prendre part à un programme
pentecôtiste organisé par une communauté de Seoul en Corée, Esaïe Boukar va rencontrer un frère
sauvé de KLMW qui l’invitera pour une retraite d’été. Après la retraite, il va émettre le besoin de
rester en Corée et prendra part à une formation de 2 mois pendant laquelle il déclarera être sauvé lui
aussi.

A l’issue de cette formation, le Pasteur Boukar informera les frères de la mission coréenne
que son pays le Cameroun était bilingue, d’expression française et anglaise. Il va leur demander
d’être envoyé dans le pays en qualité de missionnaire de la communauté. Ce qui sera fait
moyennant toutes les mesures d’accompagnement nécessaires. Dès lors, des missions coréennes
successives vont être menées en terre camerounaise durant plus de 2 ans à compter de 2008 et ceci 2
fois par an sans réel impact.
Souhaitant prêcher à d’autres leaders camerounais, plusieurs pasteurs seront invités durant
un séminaire en Décembre 2009. A son issue, un comité sera formé et mis sur pied, composé de
différents leadeurs ayant pris part à leurs différentes missions. Quatre personnes constituèrent le
comité en question à savoir les Pasteurs Esaïe Boukar, Denis Boba, Jean Marie Toualeu et
Emmanuel Beyekele, tous responsables de leurs propres communautés. Ce comité devrait être
chargé de la construction de la chapelle de Mfoundassi à Yaoundé.

La décision prise par les frères coréens de faire voyager les trois autres membres du comité
pour une formation de 2 mois en Corée va rencontrer deux difficultés majeures à savoir :

- Le refus du Pasteur Denis Boba qui ne trouvait pas selon lui en ce moment-là
l’importance d’un tel voyage voyant sa présence et sa collaboration avec KLWM plus
comme un soutien à l’œuvre d’évangélisation du pays (puisqu’il avait l’habitude avec
d’autres communautés et leaders de par le monde à l’instar de la CTMI de Miki Hardi en
Île Maurice), que comme une occasion ou un enjeu quelconque de salut personnel ;

- La barrière de la langue anglaise que connaissait le Pasteur Emmanuel Beyekele.

Toutefois, Dieu étant le Maître du temps et des circonstances, va faire connaitre un coup dur
au Pasteur Denis Boba dans ses affaires où il sera arnaqué par des partenaires d’une importante
somme d’argent appartenant en partie à un de ses clients et, voulant trouver un espace de temps et
un cadre pour se remettre de cette douloureuse épreuve, il voudra repartir pour les USA d’où il était
revenu il y’avait quelques temps, mais sans succès. C’est alors qu’il sera relancé par les frères
coréens et, sans se faire prier cette fois ci, il va accepter l’invitation. Le voyage pour la Corée du
Sud sera donc effectué en avril 2010 par le Pasteur Boba en compagnie du Pasteur Jean Marie
Toualeu pour une durée de deux mois, le Pasteur Emmanuel Béyékélé ayant été disqualifié à cause
de la barrière linguistique (l’anglais).
Durant leur formation, les pasteurs vont se rendre compte que leur salut était remis en
question et, avec les 3 autres pasteurs africains (ghanéens et kenyan) qui prenaient également part
au programme, ils feront une entente pour s’opposer subtilement aux enseignements. Cet accord
tacite va toutefois tomber lorsque le Pasteur Dénis BOBA réalisera qu’il n’était effectivement pas
sauvé, en faisant face à Lévitiques 5 :17 et le Psaumes 40 :12. Ce soir-là après l’enseignement, il se
dit : « je vais me mettre à genoux puis je vais d’abord chanter des cantiques puis parler en langue
durant un long moment et ensuite je demanderai à Dieu de me révéler mes péchés que j’avais fait
sans connaitre ». Ce qu’il fera effectivement et, dans l’attente de la réponse qui tardait à venir de la
part du Seigneur, il finira par s’endormir et jusqu’au réveil au petit matin, Dieu ne lui avait rien
révélé du tout. C’est alors qu’il sera désormais clair pour lui qu’il n’était pas sauvé et il sentira
battre son cœur très fort. Il invitera pour cela ses communautés au Cameroun à prier pour lui car, il
ne savait pas ce qui lui arrivait et pensait alors avoir un problème de santé cardiaque, mais ce n’était
rien de plus que la repentance qui avait commencé son œuvre en lui.

Plus tard, pendant la séance d’explication de la rédemption, il réalisera son salut et le


confessera aux aînés qui seront dans une très grande joie. Hospitalisé à la suite d’une intervention
churigicale sur le genou après son salut, la période de convalescence sera idoine pour se poser des
questions sur le pourquoi n’avait-il pas compris ce message au départ pendant qu’il était prêché au
Cameroun. En soliloquant, il va commencer à se dire : « sans doute si on m’avait dit qu’on ne
donne pas sa vie pour être sauvé, on est pas sauvé par les œuvres, on ne confesse pas les péchés
pour être sauvé etc… j’aurais peut-être compris plus facilement ». Il posait ainsi les bases de ce que
l’on connait aujourd’hui sous l’appellation de la « casse de béquilles ».

Né de nouveau en Corée, le Pasteur Denis Boba n’avait plus qu’une obsession à savoir :
rentrer prêcher l’Evangile dans ses communautés. Après une première proposition des aînés de
Corée de prendre la responsabilité de l’Eglise du Cameroun, ce dernier opte plutôt pour un
accompagnement du missionnaire Esaïe Boukar sur place. Le Pasteur Denis Boba dans un entretien
avec le Pasteur Thomas Nnemede alors Président des Pasteurs des Assemblées Chrétiennes de
Restauration (ACR) constitué de 14 communautés (dont le Pasteur Boba était fondateur), va lui
demander d’organiser une rencontre avec tous les leaders des ACR le 03 juillet 2010 du matin au
soir.

Dès son retour au Cameroun dans la nuit du 02 juillet 2010, il tiendra le lendemain son tout
premier séminaire auquel prendront part pratiquement tous les principaux leaders de sa
communauté religieuse (140 personnes). A l’issue de sa prédication, 12 personnes vont déclarer être
sauvés, et cela marquera les débuts de l’ère moderne de l’Évangile en Afrique par ALWM.

1.1.10.1 L’œuvre au Cameroun


Les Pasteurs Denis Boba et Jean Marie Toualeu reviendront de la Corée du Sud au
Cameroun le 02 juillet 2010. Le lendemain, la rencontre sus-évoquée avec les principaux leaders
des ACR se tiendra sous forme de séminaire pendant lequel le Pasteur sera le seul orateur. A l’issue
de ce séminaire hippique plein d’instants mémorables, 12 personnes vont déclarer être sauvées à
savoir : les frères Thomas Nnemede, Luc Sama Etoundi, Thiery Ayina, Bruno Kooh, Isidore Foe,
Edith Ndongo, Christine Amagna, Simplice Ndjeng, Pierre Bime ; Ibong Bernard et Benoit
Mvilongo ; Leonard Kwendjeu.

Les premiers jours de l’Évangile seront empreints de joie et de douleurs car, en ce jour-là,
tous les frères qui avaient cru avaient une très grande joie qui envahissait leurs cœurs. Dans le
même temps, ceux qui ne furent pas persuadés par la multitude des séminaires organisés dès lors
quittaient les communautés et se constituaient en adversaires.

Seul prédicateur pendant plusieurs mois dans un premier temps, le Pasteur Denis Boba va
multiplier les séminaires et formations des prédicateurs à l’issue desquels plusieurs autres
prédicateurs pourront s’ajouter au ministère de la prédication dont les frères Thomas Nnemede, Luc
Sama Etoundi, Thiery Ayina, Bruno Kooh, Isidore Foe, Emmanuel Beyekele, Jean Marie Toualeu,
Simplice Ndjeng et Tony Mvilongo qui seront rejoints quelques mois plus tard par les frères
Joachim Nouma, Fabrice, Samuel Mundo, et bien d’autres…

1.1.10.2 L’expansion de l’œuvre en Afrique


L’année 2011 va être celle de l’expansion missionnaire d’ALWM sur le continent,
commençant par le Tchad voisin.

i. Tchad 

En effet, au profit d’une évacuation sanitaire au Cameroun, Blague Fidèle de nationalité


Tchadienne naîtra de nouveau et conviendra avec les aînés sur l’organisation d’un grand séminaire
au Tchad par une équipe missionnaire formée des Pasteurs Denis Boba, Thomas Nnemede, Joachim
Nouma, Emmanuel Beyekele et Biyong Thomas. Ledit séminaire se tiendra du 03 au 06 Avril 2011
à Ndjamena avec à l’issue plusieurs frères et sœurs qui déclareront leur salut et du nombre
desquels : Josias Taradoum ; Ernestine Djibangar ; Nadège Yankoyoum Yoguelim ; Taroum
Nadjitekimbaye Odingar ; Jacques Djimndou Yanlotoloum; Rimteta Tendjibaye; Abraham
Tokindang Guerino; Virginie Dekana; Rachel Denon Mouaba; Remadji Ndouba; Abraham Doumro
Ndambo et Ngaba Kinaye Hissein. Ce qui marquera le début de notre mission au Tchad.

La même équipe missionnaire à l’exception du Pasteur Joachim Nouma rentré au Cameroun


pour raison professionnelle, poursuivra sa mission internationale au Benin et ensuite au Gabon
quelque temps plus tard, apportant à tout vent, la semence de la vie aux âmes en détresse et
assoiffées.

ii. Bénin 

En 2011, l’équipe missionnaire partie du Tchad rejoindra au Bénin le Pasteur Samuel


Mundo préalablement envoyé sur le terrain. A cette première mission évangélique en terre
béninoise, les pasteurs Assohoto, Daavo et plusieurs autres frères déclareront leur Salut. Après une
seconde mission, on y verra aussi l’arrivée du Pasteur Maurice et son épouse, les pasteurs Paul
Houngbedji et Martin Gbaguidi ainsi que d’autres personnes.

iii. Gabon

Du 21 au 23 avril 2011, un séminaire initié par Papa Lucien Ngah et Tamba Pierre se tiendra
à la mairie d’Oyem. Cette mission est menée par les pasteurs Denis Boba, Nnemede Thomas,
Emmanuel Beyekele et les frères Deny Munka et Junior Biyong. A l’issue de ce séminaire, les
frères Jean Christian Obame, Georges et Stella Nguema déclareront avoir réalisé leur salut éternel.

iv. Togo

La mission conduite par le Pasteur Denis Boba, accompagné des pasteurs Emmanuel
Beyekele, Maurice Amoussou Guenou et Roland Nguema tiendra le premier séminaire biblique au
Togo du 11 juillet 2011, initié par la Sœur Akpetami Françoise née de nouveau au Bénin. A l’issue
de ce séminaire, le Pasteur Toutsaint Simeon et la Sœur Rose vont réaliser leur salut. Un second
séminaire se tiendra le 18 novembre de la même année et verra la nouvelle naissance des pasteurs
Jean Claude et Eliphase, rejoints plus tard par plusieurs frères donc les noms sont bien connus tel
que Jesse Nassiki, Maxwell Wogomebu Yaotse, Tekpa Yawo et autres.

v. Congo Brazzaville

Le Congo Brazzaville va accueillir son premier séminaire en 2012 initié le Frère Jean né de
nouveau au Bénin. Cette mission menée les pasteurs Boba Denis et Mundo Percée, les frères
Wandji Philippe Lebel, Kayum Fokoue Carole et Majolie Loubayi se soldera par la déclaration de la
nouvelle naissance des frères Alain Moussoua, Charmant Mbani, Josias Mbemba et bien d’autres.

vi. République Centre Africaine (RCA)

En Juin 2012, les pasteurs Denis Boba et Joachim Nouma sur une invitation du Pasteur
Théophile tiendront le premier séminaire en RCA à la FATEB (Faculté de Théologie Evangélique
de Bangui) à l’issue duquel plusieurs pasteurs vont déclarer être sauvés parmi lesquels les pasteurs
Joseph Guiombi, Tamboula et Gnikomayima.

vii. Ghana

Initié par le Pasteur Fabrice Hoplog en Aout 2012, une équipe missionnaire constituée des
pasteurs Boba Denis, Hoplog Fabrice, Maurice Amoussou Guenou, Jesse Nassiki, Eliphaz et la
Sœur Kayum Carole fera son entrée au Ghana. Accueillie par le Pasteur Seaworye Xoese, l’équipe
organisera le premier séminaire biblique de ce pays du 20 au 22 Aout 2012 dans l’assemblée du
pasteur xoesse (Ambassador of the Truth Ministries) sise à Denu Région du Volta au Ghana. A
l’issue de ce séminaire le Pasteur Xoese et sa maison déclareront être sauvés entre autres.

viii. Kenya

L’expédition missionnaire au Kenya se fera sous l’impulsion du Pasteur Nassiki Zoukeleni


en septembre 2012 avec la facilitation du Pasteur Opondo et l’Apôtre Rich. Il sera rejoint plus tard
par le Pasteur Denis Boba. Du 25 au 27 du même mois à Kwalwenge – Kitale. L’équipe
missionnaire tiendra un séminaire biblique à l’issue duquel le Pasteur Albert Onyango, le Bishop
Besson, les frères Boniface et Chetambe déclareront leur salut.

ix. Côte d’Ivoire

Le premier séminaire en Côte d’Ivoire préalablement préparé par le Pasteur Jesse aura lieu
en mars 2013 avec le Pasteur Denis Boba à l’issue duquel le Pasteur Charles Emmanuel Dirabou va
déclarer sa nouvelle naissance. Le deuxième séminaire tenu pendant le mois d’Avril sera couronné
de la nouvelle naissance des frères Djedjero Takiss et Didier Meledje. Les activités missionnaires
vont prendre de l’ampleur en Septembre 2013 avec notre premier séminaire à Yopougon Gesco à
l’arrivée des missionnaires Armand Aboua du Cameroun et Francis du Benin.

x. Sierra-Leone

L’œuvre missionnaire d’ALWM entrera dans ce pays en septembre 2013 et aura pour
premier fruit la nouvelle naissance du frère Timothy Moses.

xi. Guinée Equatoriale


Du 31 Décembre 2013 au 1er janvier 2014 le Pasteur Antoine Nedom parti du Cameroun
pour des raisons professionnelles, prêchera l’Evangile à Romeo Seugue Daniel qui déclarera son
Salut à l’issus de ce séminaire. C’est de cette manière que la parole vraie et véritable entrera en
Guinée Equatoriale. Les Pasteurs Daniel et Antoine, malgré les difficultés prêcheront l’Evangile. Le
contexte missionnaire se révélant particulièrement difficile en cette période, c’est avec joie que les
frères accueilleront la déclaration de conversion du frère Macario Ndong comme premier sauvé de
nationalité guinéenne.

xii. Burkina-Faso

Le Burkina-Faso sera à son tour visité par l’Evangile au travers des frères Jean Pierre et
Alain de Côte d’Ivoire dans un premier temps. Plus tard, parti du Cameroun en Avril 2014, le
Pasteur Paul Arthur Doual Koumta effectuera une mission de 45 jours au pays des hommes
intègres. Durant cette mission, les frères Sourabie Braïma, Joseph Sarés et d’autres déclareront leur
salut.

xiii. Mali

L'œuvre évangélique est entrée au mali en Avril 2014 par les frères du Togo, les Pasteurs
Tekpa Yawo et Eliphase, suite à la demande du frère sauvé Georges Setodji (Togolais) qui avait
trouvé du travail au Mali. Il en profitera pour faire la casse de béquilles à son Directeur d'école du
nom de Guely Désiré (béninois) et son épouse (Togolaise) qui l'avaient logé dans leur famille. Le
séminaire sera fait dans sa famille d’accueil avec quelques invités à l’issue duquel les premiers
déclarés sauvés seront Gueli Désiré et sa femme.

xiv. Ouganda

L'Evangile du Salut véritable entrera en Ouganda dans le District de Mbale avec le Pasteur
Alex Aboki du Kenya. Le programme qui y sera mené verra la participation de plusieurs étudiants.
Entamé à l'école Secondaire Progressive de Mbale le 19 février, il s’achèvera le 22 février 2015
avec une participation plus de 25 étudiants desquels 15 déclareront avoir compris mais seulement
trois d'entre eux à savoir Nsubuga Shamidi, Stephens Mandada et Maesach donneront un
témoignage à salut.

xv. Tanzanie

La Tanzanie et certaines régions de l’Afrique de l’Est seront aussi touchées par l’évangile du
salut et 19 pays abriteront l’évangile véritable après 5 ans seulement. Ce qui a donnera lieu à une
grande convention internationale à Yaoundé réunissant l’essentiel des pays déjà touchés par
l’Évangile ainsi que nos frères aînés de Corée auxquels s’étaient joints des frères venus d’Europe.

Dès la fin 2015 les missions internationales et les ouvertures reprirent de plus belle.

xvi. Niger

xvii. République Démocratique du Congo (RDC)

L’évangile entrera en RDC en décembre 2015 par le Frère Emmanuel Ngaba qui fréquentera
la communauté religieuse « La Borne » de Kissangani. Il réussira par la grâce du Seigneur à
organiser les premiers séminaires dans ce pays à l’issue desquels le Frère Joël Mbuyu et la Sœur
Prudence Kampuyu déclareront leur nouvelle naissance respectivement en décembre 2015 et janvier
2016 et ceci sera le début de RDC Life Word Mission.

xviii. Malawi

Le 11 Novembre 2015 une mission conduite par le pasteur Boba Denis et Alex Aboki
séjournera au Malawi jusqu’au 04 Décembre de la même année. Durant cette mission 06 séminaires
seront effectués par l’équipe missionnaire pour un total de 26 personnes déclarées sauvées au
nombre desquelles Patrick Kaunda Selemani et le frère Mojo, et ce sera le début de Malawi Life
Word Mission.

xix. Nigeria

Après plusieurs missions infructueuses, le frère Takougang Nasser, camerounais résidant au


Nigéria alors en visite au Cameroun sera invité à un séminaire biblique organisé par le frère
Chendjou Landcaster le 4 septembre 2016. C'est dans le cadre dudit séminaire que le frère Nasser
TAKOUGANG réalisera son salut. De retour au Nigéria, le frère Nasser fera une demande de
missionnaires qui lui sera accordée.

Le 24 janvier 2019 les pasteurs Gbaguidi Martin, Yannick et Janvier (tous Béninois) se
rendront au Nigéria et seront reçus par le frère Nasser Takougang. Ils organiseront leur premier
séminaire biblique du 2 au 3 février 2019 avec une participation de 20 invités à l’issue duquel la
sœur Ingrid Charity sera sauvée.

Le trio composé du Frère Nasser, la Sœur Ingrid et le Frère Dieudonné, commencera avec
les communions fraternelles chez la Sœur Ingrid jusqu’au 2 mai 2021 lorsqu’ils accueilleront le
premier missionnaire nigérian en la personne du Pasteur Ndep Obi Achu. Sans perdre de temps, un
séminaire sera organisé le même mois du 15 au 16 mai 2021 à Mararaba à Abuja, dans l'assemblée
dirigée par le Frère Solomon Okachi alors Apôtre. 17 personnes seront présentes, avec 13 invités. 5
personnes se déclareront sauvées au cours dudit séminaire à savoir : la Sœur Theresa Ochu, le Frère
Okachi, le Frère Kenneth Ekezie, la Sœur Precious Ken et la Sœur Joy John Eze.

xx. Maroc

Après son arrivée au Maroc pour des raisons professionnelles le frère Romeo Seugue
(Daniel) connu précédemment en Guinée Equatoriale tentera plusieurs séminaires. Le contexte
marocain et magrébin en général étant très difficile pour les églises non traditionnelles, dû à la forte
culture musulmane du pays, les séminaires et la prédication ne se dérouleront pas toujours de façon
libre. Ainsi bien qu’actif sur le terrain depuis 2016, c’est finalement le 19 novembre 2017 que Dieu
sauvera une première personne, à savoir le frère Nadji Dingambaye originaire du Tchad

Le Seigneur permettra que le Frère Tah Moustapha, marocain, soit sauvé au Gabon, et ce
dernier rentrera dans son pays rejoindre les frères sauvés dans la mission.

xxi. Sénégal
C’est sous l’impulsion du Frère Eko Ndong Emane Claudin né de nouveau au Gabon et parti
au Sénégal pour les études que l’évangile commencera à y être prêché, mais avec de grandes
difficultés. En février 2017, le Sénégal recevra son premier missionnaire officiel, le Pasteur Nwal
Raymond venu du Cameroun qui y séjournera jusqu’en avril. En Mars 2017, Sénégal Life Word
Mission prendra forme composé en particulier des étrangers.

xxii. Burundi

Tout commencera en 2017 avec le Pasteur Patrick Kaounda du Malawi qui entrera en
contact avec une de ses connaissances Timothée au Burundi, qui connaît un pasteur de la Baptist
Church Burundi, le Pasteur Philémon qui se disposera à recevoir un missionnaire.

En octobre 2017, le missionnaire Étienne Ngolo arrivera et organisera une série de


séminaires au cours desquels quelques personnes déclareront être sauvées. Mais en réalité, le
Pasteur Nkurunziza Jean Bosco sera sauvé au Kenya en novembre de la même année. De retour au
pays, il commencera à prêcher des séminaires et plusieurs personnes déclareront leur salut et ce sera
le début de Burundi Life Word Mission.

xxiii. Libéria

L’histoire du Libéria commencera en 2018 lorsque la Sœur Milicent H. Gray, épouse du


Pasteur Alex Gray né de nouveau en Sierra Léone, lui présentera le Pasteur Henderson Shirlef de
Bread of Life Ministry Int. Cette même année, le Pasteur Jesse du Togo sera envoyé en mission au
Libéria. Il y passera 10 jours à enseigner à la fois à Bread of Life et dans l’assemblée de certains
pasteurs. Le Pasteur Jesse tiendra des réunions avec divers leaders d'assemblées, parmi lesquels le
Pasteur Nyunkor qui naitra de nouveau en février 2019 lors de la mission d’1 mois effectuée par le
Pasteur Moutymbo. Liberia Life Word Mission verra ainsi le jour.

xxiv. Ile Maurice

L’Evangile entre à l’Ile Maurice par un contact du Pasteur Mundo Olivier via Facebook en
mai 2015. Une équipe missionnaire constituée des pasteurs Boba et Mundo qui après une casse de
béquilles dans une assemblée, 1 membre de cette communauté nommé Sunil décidera d’organiser
un séminaire dans sa maison. Le Pasteur Jean Marc Colas et son épouse Pamela y seront conviés et
à la fin déclareront être sauvés. C’est ainsi que démarrera Mauritius Life Word Mission.

xxv. Madagascar

Après une précédente mission de prise de contact, le 26 juin 2017 à l’île de Madagascar, une
équipe missionnaire formée des pasteurs Thiery Ayina du Cameroun et Jean Marc Colas de l’Île
Maurice organisera des séminaires au cours desquels on enregistrera comme premiers déclarés
sauvés le frère Zenedi Cyprien et la Sœur Jeanne, son épouse. Ceci marquera la naissance de
Madagascar Life Word Mission.

xxvi. Afrique du Sud


L’histoire de l’Evangile en Afrique du Sud commencera en 2015 avec l’arrivée du Frère
Périclès du Bénin, sauvé au Bénin. De son retour du Bénin, il commencera immédiatement à
prêcher à BBM en Afrique du Sud à l’issue de quoi les frères Daniel, Godfrey et Keagan
déclareront à leur tour être sauvés. Lors de la Convention Internationale tenue au Kenya en 2017, le
Frère Jacobus Koekemer et la Sœur Du Toit Petronella Christina (Nellie) d’Afrique du Sud
déclareront être sauvés. C’est ainsi que cette nouvelle communauté grandissante enregistrera en
2018 South Africa Life Word Mission et tiendra sa première convention la même année.

xxvii. Swaziland

La Sœur Noxolo du Swaziland déclarera être sauvée en Afrique du Sud en 2016 et


organisera un séminaire dans sa famille au Swaziland du 29 septembre au 1 er octobre 2017. Ce
séminaire sera tenu par le Pasteur Boba accompagné dans cette mission des frères Périclès, Daniel
et Keagan d’Afrique du Sud. La mère de la Sœur Noxolo et plusieurs autres déclareront être sauvés.
Ceci marquera le début de Swaziland Life Word Mission.

xxviii. Rwanda

En janvier 2017 l’Evangile entre au Rwanda par le Pasteur Nsubuga Chamidi. 2 séminaires
avec 3 personnes déclareront être sauvés, soit Benjamin, Eliézer et Aline.

xxix. Zimbabwe

Le Pasteur Moses déclarera être né de nouveau en Afrique du Sud en 2017 suite à une
invitation du Pasteur Périclès. De retour dans son pays, il organisera un séminaire avec le
Missionnaire Benjamin Du Toit où plusieurs déclareront être nés de nouveau commençant ainsi
Zimbabwe Life Word Mission.

xxx. Ethiopie

En Mars 2017 Moguicha Onesmus et Jesse Nassiki vont effectuer une mission en Ethiopie au
cours de laquelle un juif du nom de Abebe Dawit déclarera son salut. Plusieurs autres missions
seront effectuées dans le pays avec des réactions diverses ; ainsi l’un des pasteurs déclaré sauvé
Thong Yuol participera au Cameroun à la convention des pasteurs et prédicateurs de décembre
2021

xxxi. Sud Soudan

Dès la fin de la convention tenue à Nairobi au Kenya, l’Eglise enverra le pasteur Onesmus au
Sud Soudan en octobre 2017 et durant son séjour missionnaire 12 personnes déclareront leur
salut.

xxxii. Guinée Conakry


Le Pasteur Israël entrera en contact avec le service de la communication d’ALMW via sa
page Facebook après plusieurs missions infructueuses réalisées en Guinée Conakry par des
missionnaires d’ALWM. Dans les échanges suivis avec le Chef de Département de la
communication la Sœur Esther Assiené, il va accepter de recevoir le Pasteur Jesse pour une mission
de 10 jours qui permettra ensuite qu’il se déplace pour la convention de la Côte d’Ivoire en 2018
avec le Colonel Dopavogui Pepe où ils déclareront avoir été sauvés. C’est le début de Guinée
Conakry Life Word Mission.

xxxiii. Gambie

Le Frère Gilles, togolais, nouveau converti travaillant dans une ONG ayant une branche en
Gambie cassera les béquilles au Pasteur James. Ce dernier fera appel au Pasteur Jesse pour prêcher
dans un programme de pasteurs dans l’église « General Christian Council of Gambia », sera invité à
la convention de Lomé par son collègue. Le séminaire se tiendra le 13 avril 2022 à l’issue duquel 11
personnes déclareront être sauvées, parmi lesquels le Pasteur Alberto. C’est le début de Gambia
Life Word Mission.

1.1.10.3 L’expansion dans la diaspora

En effet, sous l’impulsion de plusieurs frères et sœurs ressortissants des assemblées des
sauvés d’Afrique, une communauté dite de la diaspora va se constituer. Avec l’aide des réseaux
sociaux et des applications de réunion virtuelle (comme Zoom), la communion, bien que très
souvent virtuelle va favoriser l’intégration de toute cette mosaïque de personnes disséminées dans
plusieurs continents sous une seule entité dénommée les sauvés de la diaspora et du reste du monde,
qui travaille sans relâche à la propagation de l’Évangile dans les divers lieux où ils se retrouvent.

1.2 Doctrine (foi) d’ALWM

1.2.1 Fondements
Jean 1 : (LSG)
1 Au commencement était la Parole, et la Parole étaient avec Dieu, et la Parole était Dieu. 2 Elle
était au commencement avec Dieu. 3 Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait
n’a été fait sans elle.

Osée 4 : 6 (LSG)


Mon peuple est détruit parce qu’il lui manque la connaissance. Puisque tu as rejeté la
connaissance, Je te rejetterai, et tu seras dépouillé de mon sacerdoce ; Puisque tu as oublié la loi
de ton Dieu, J’oublierai aussi tes enfants.

Jean 8 : 32 (LSG)


Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira.

Jean 17 : 3 (LSG)


Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus
Christ.

Psaumes 103 : 7 (LSG)


Il a manifesté Ses voies à Moïse, Ses œuvres aux enfants d’Israël.
Mathieu 16 : 18 (LSG)
Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Eglise, et que les portes du
séjour des morts ne prévaudront point contre elle.

Jean 1 : (LSG)


12 Mais à tous ceux qui l’ont reçu, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de
devenir enfant de Dieu, lesquels sont nés, 13 non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la
volonté de l’homme, mais de Dieu.

1 Corinthiens 1 : 21 (LSG)


Car puisque le monde, avec sa sagesse, n’a point connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à
Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication.

La foi de l’Eglise du Christ Jésus dont fait partie notre communauté chrétienne, ALWM, est
essentiellement fondée et bâtie sur les principes bibliques qui se dégagent des textes bibliques ci-dessus
relevés, pour ne citer que ceux là. Il s’agit entre autres des principes suivants :

 La Parole de Dieu est l’essence même de Dieu et pour être connue et accessible aux hommes de
toutes les générations, elle a été inspirée de Dieu (2 Timothée 3 :16) à des hommes particuliers (non pas
n’importe qui) qui l’ont reproduite par écrit (2 Pierre 1 :20-21). Ceci fait du recueil de l’ensemble de ces
Saintes Ecritures, la Bible, non pas un livre ordinaire, mais plutôt, un livre sacré, le Testament unique et
souverain de Dieu Lui-même ;

 La Bible, seule détient la clé du mystère de la vie éternelle (la porte étroite) dont l’ignorance conduit
tout homme en enfer, qui qu’il soit et quoi qu’il fasse comme bonnes actions (Osée 4 :6 ; Matthieu 7 :13) ;

 Seule la connaissance du mystère de la vie éternelle (la vérité) donne accès au véritable, unique et
définitif affranchissement (Jean 8 :32) ;

 Le mystère de la vie éternelle ne se trouve nulle part ailleurs que dans la connaissance du seul vrai
Dieu, et celui qu’Il a envoyé, Jésus-Christ (Jean 17 :3) ;

 La connaissance du seul vrai Dieu consiste en la connaissance de Ses voies et œuvres (Esaïe 55 :8),
lesquelles n’ont été révélées qu’à Moïse et au peuple d’Israël (Psaumes 103 :7) ;

 L’Eglise que le Christ Jésus est venu bâtir et qui est uniquement basée sur la connaissance de la
vérité souverainement révélée à Moïse et aux Prophètes d’Israël, n’est pas une œuvre humaine (Actes
17 :24), mais l’œuvre exclusive de Dieu Lui-même (Matthieu 16 :18) ;

 Le canal souverainement choisi par Dieu pour transmettre la connaissance de la vérité n’est autre que
la prédication (Romains 10 :14 ; 1 Corinthiens 1 :21).

L’évidence des principes bibliques fondamentaux ci-dessus énoncés constituant le socle même de
notre foi chrétienne dont l’œuvre missionnaire évangélique repose sur les enseignements incontournables de
Moïse et les Prophètes pour le Salut véritable en Jésus-Christ, nous amène à garder permanemment notre
attention sur quelques éléments capitaux et précis dont :

- La nouvelle naissance (Comment nait-on réellement de nouveau en Christ selon la Bible),


thématique centrale de notre activité évangélique, sachant qu’il n’y a pas de génération spontanée
en Christ (Jean 17 :20-21) ;
- La souveraineté de Dieu qui nous permet de comprendre et voir Dieu en toute chose pour une vie
de foi stable, constante et sereine (Lamentations 3 :37) ;

- La responsabilité du sauvé dans la compréhension des trois étapes du salut (Romains 8 : 29 -30) :

o Justification (Romains 4 :25 ; Romains 5 : 18 ; Ephésiens 2 :12-13 ; Ephésiens 1 :13)

o Sanctification (Tite 2 :11-12 ; 1 Thessaloniciens 4 :1-8 ; Romains 6 :18-22 ; 1 Corinthiens


6 :12-20 ; Hébreux 12 :6-8 ; Jacques 1 :13-15 ; Hébreux 12 :4)

o Glorification (1 Thessaloniciens 4 :16-17 ; 1 Corinthiens 15 :52) ;

- L’engagement inconditionnel dans l’évangélisation (Actes 4 :20 ; Jérémie 20 :9 ; 1Timothée 2 :3-
4 ; Actes 26 :17-18) et le service (Romains 12 :6-8).

La dissémination et l’implémentation de cette œuvre évangélique passe ainsi par deux axes
stratégiques majeurs à savoir :

 L’évangélisation qui vise principalement le salut des âmes et intègre comme composantes :

o La casse de béquilles (Voir section ****) ;

o Le séminaire biblique (Voir section ****) 

o La formation chrétienne, première partie (Voir section ****) ;

 L’enseignement qui vise la croissance spirituelle et l’affermissement de la foi des sauvés. Il se


dispense en assemblée et dans bien d’autres surfaces de communion fraternelle comme :

o La formation chrétienne, deuxième partie (Voir section ****) 

o L’école de base (Voir section ****) 

o Le Q.G (Voir section ****) 

o La convention (Voir section ****) ;

o Les cultes (Voir section ****) ;

o Les groupes d’action (Voir section ****) ;

o Les réseaux sociaux dont Zoom, Facebook, Whatsapp, instagrame et télégramme ne sont
pas en reste.

1.2.2 Les valeurs d’ALWM


En tant que corps spirituel et représentatif du Christ Jésus (2 Corinthiens 5:20) tenu de refléter Sa
lumière et neutraliser la corruption du monde (Mathieu 5:13-16) pour faire connaître aux humains les vertus
du saint et royal sacerdoce du Christ qu’elle constitue (1 Pierre 2:9), l’Eglise prône et promeut des valeurs
vertueuses, non comme un simple besoin sociétal selon l’éducation morale du monde, mais bien plus comme
une émanation évidente (visible) du Saint-Esprit reçu (2 Corinthiens 3:3 ; Philippiens 4:5). Il existe à cet
effet une pléthore de valeurs prônées et promues par l’Eglise dont entre autres :

 Le salut des âmes (l’évangélisation):

 La dépendance totale à Dieu : Souveraineté de Dieu (La prière) ;


 L’unité de l’esprit - communion fraternelle (Ephésiens 4 :3-4) ;

 L’honneur à la parole (Jean 1 : 1-3 ; 1 Corinthiens 4 :6 ; Hébreux 1 :3) pour la manifestation
du fruit de l’Esprit selon Galates 5 :22 : « Mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la
paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance »

1.3 Mission et objectifs d’ALWM

1.3.1 Mission d’ALWM

Mathieu 28 : 19-20 (LSG)


19 Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint
Esprit, 20 et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici je suis avec vous tous
les jours, jusqu’à la fin du monde.

Actes 1 : 8 (LSG)


Mais vous recevrez une puissance, le Saint Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à
Jérusalem, dans toutes la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre.

Actes 26 : 17-18(LSG)


17 Je t’ai choisi du milieu de ce peuple et du milieu des païens, vers qui je t’envoie, 18 afin que tu
leur ouvre les yeux, pour qu’ils passent des ténèbres à la lumière et de la puissance de Satan à
Dieu, pour qu’ils reçoivent ; par la foi en moi, le pardon des péchés et l’héritage avec les sanctifiés.

ALWM n’a d’autre mission que celle assignée à l’Eglise par le Christ Jésus depuis les apôtres, à savoir
la prédication de la bonne nouvelle (l’Evangile) du salut éternel et le perfectionnement des saints
(enseignements d’édification selon Ephésiens 4 :12-14).

1.3.0 Objectifs d’ALWM

1.3.0.1 Objectif général


Conformément à sa mission régalienne principale, ALWM a pour objectif général la préparation
de l’Eglise à l’enlèvement.

1.3.0.2 Objectifs spécifiques


En termes d’objectifs spécifiques poursuivis par ALWM, on peut principalement en
relever deux à savoir : le salut des âmes et le perfectionnement des saints

 Le salut des âmes

o L’amélioration permanente en qualité et disponibilité de l’offre d’évangélisation


(Séminaires bibliques et formations chrétiennes) et de formation des prédicateurs
pour des résultats plus probants sur le terrain en termes de témoignage de vie et
d’efficacité ;
o L’ouverture à l’amélioration des cadres de réflexion au travers des organes
structurels et décisionnels en vue d’une adaptabilité progressive de l’ensemble de
l’offre missionnaire aux besoins contextuels ;

o Le déploiement du maximum possible de missionnaires afin de couvrir


quasiment toute l’Afrique et la diaspora, pour rendre l’Evangile du Salut
disponible et accessible au plus grand nombre.

 Le perfectionnement des saints :

o La mise sur pied d’une documentation stratégique visant à clarifier, encadrer et


faciliter le fonctionnement de l’Eglise en Afrique et dans la diaspora (Document
cadre, manuel de procédure et autres) ;

o Les convocations diverses d’ALWM (Voir section *****)

2 ORGANISATION STRUCTURELLE ET ADMINISTRATIVE D’ALWM

1 Chroniques 28 : 1 à 2 (LSG)

David convoqua à Jérusalem tous les chefs d’Israël, les chefs des tribus, les chefs des divisions au
service du roi, les chefs de milliers et les chefs de centaines, ceux qui étaient en charge sur tous les
biens et les troupeaux du roi et auprès de ses fils, les eunuques, les héros et tous les hommes
vaillants. Le roi David se leva sur ses pieds, et dit : Ecoutez-moi, mes frères et mon peuple ! J’avais
l’intention de bâtir une maison de repos pour l’arche de l’alliance de l’Eternel et pour le
marchepied de notre Dieu, et je me préparais à bâtir.

Les instances d’ALWM sont composées de trois types d’organes, à savoir : les organes
structurels, les organes conducteurs et les organes techniques.

2.1 Les Organes Structurels d’ALWM

Notre action en Afrique a commencé au niveau du Cameroun et c’est l’expansion


internationale progressive qui a donnée lieu à une nouvelle organisation structurelle au niveau
africain et dans la diaspora (ensemble des pays d’outre-mer), sous l’appellation d’Africa Life
Word Mission (ALWM) ou Mission de la Parole de Vie en Afrique (MPVA), pour la traduction
en français dans certains pays d’expression francophone. Cette nouvelle organisation intègre et
chapote toutes les représentations nationales de l’Eglise en Afrique et dans la diaspora.

Ainsi, l’administration d’ALWM a à sa tête le Bureau Afrique (voir section****) dirigé par le
Président Afrique (voir section****). Ce dernier se déploie en Afrique et dans la diaspora pour
l’atteinte des objectifs de la mission via un découpage géographique ecclésiastique allant des zones
qui regroupent plusieurs pays aux individualités nationales, districts et assemblées.
1.2.3 Les Zones Ecclésiastiques

1.2.3.1 Définition de la zone ecclésiastique


Une zone ecclésiastique est un pays ou un ensemble de pays regroupés dans un espace
ecclésiastique. ALWM est constitué de plusieurs zones ecclésiastiques en Afrique et dans la diaspora.

2.1.0.1 Constitution de la zone ecclésiastique


Une zone ecclésiastique peut comprendre un ou plusieurs pays et est dirigé par un point Focal (voir
section ***).

2.1.1 La Coordination Nationale (CN)

2.1.1.1 Définition de la Coordination Nationale


La coordination nationale est la circonscription ecclésiastique d’ALWM recouvrant
l’ensemble d’un territoire national ou pays. Elle est géographiquement découpée en circonscriptions
ecclésiastiques appelées district.

2.1.1.2 Constitution de la CN
La CN est dirigée par un Bureau National (voir section ***) ayant à sa tête un Coordonnateur
National (voir section ***). Il regorge en son sein des départements nationaux (voir section ***) qui
sont des organes techniques contribuant à l’atteinte de ses objectifs. Les saintes convocations de la
CN sont : le Quartier Général National (voir section ***) ; les conventions nationales (voir section ***) ;
la Communion Nationale des Pasteurs et Prédicateurs (voir section ***).

2.1.2 La Coordination du District (CD)

2.1.2.1 Définition de la Coordination du District


Le District est une circonscription ecclésiastique d’ALWM qui regroupe en son sein au
moins deux assemblées. La coordination de district est géographiquement découpée en entités
appelées assemblées.

2.1.2.2 Constitution de la CD
Chaque district a à sa tête un Bureau du District (voir section ***) dirigé par un
Coordonnateur de District (voir section ***). Il regorge en son sein des délégations des départements
(voir section ***) qui sont des organes techniques contribuant à l’atteinte de ses objectifs. Les saintes
convocations de la CD sont : le Quartier Général du District (voir section ***) ; le Culte d’ensemble du
district (voir section ***) ; la Communion des Pasteurs et Prédicateurs du District (voir section ***) ; les
séminaires et formations du district (voir section ***).

2.1.3 Les Assemblées

2.1.3.1 Définition de l’Assemblée


Actes 2 :44
Tous ceux qui croyaient étaient dans le même lieu, et ils avaient tout en commun.

L’Assemblée est un rassemblement des frères et sœurs sauvés, en un même lieu en tant que
démembrement de la coordination de district. Est d’office convié à ce rassemblement qui est une
réunion de famille tout membre, résidant ou de passage dans la localité.
2.1.3.2 Constitution d’une Assemblée
L’Assemblée à sa tête un Pasteur Principal et un Pasteur Principal adjoint, nommés par le
Coordonnateur National. Les organes constitutifs d’une assemblée sont le Comité Directeur (CD) –
Voir section ***, Communion des Pasteurs et des Prédicateurs de l’Assemblée (CPPA) – Voir
section *** et l’Assemblée Générale (AG) – Voir section ***.

Les organes structurels d’ALWM sont dirigés par des organes conducteurs qui seront
présentés dans les sections suivantes.
2.2 Les organes conducteurs

2.2.0 Le Bureau Afrique

2.2.0.1 Définition du Bureau Afrique (BA)


Le Bureau Afrique est l’instance dirigeante supérieure d’ALWM. Il est l’organe central
d’ALWM, chargé de la gestion de ladite structure. Il est aussi chargé de la définition de la politique
générale et des orientations propres à assurer la bonne marche de l’appareil administratif et de
l’évangélisation.

2.2.0.2 Constitution du Bureau Afrique

Le BA est constitué des membres ci-après :


 Le Président Afrique ;
 Le Vice-Président Afrique ;
 Le Secrétaire du Bureau Afrique ;
 Les Conseillers du Président Afrique ;
 Les Chefs de Département Afrique ;
 Les Points Focaux ;

2.2.0.3 Attributions du Bureau Afrique


Sous la houlette de son Président et avec l’aide du Saint-Esprit, le BA : 

 Planifie, coordonne, administre, dirige et supervise l’œuvre de notre Père en Afrique et dans
la diaspora en collaboration avec les points focaux ;
 Examine aux fins de valider, d’amender ou de rejeter la proposition de choix des
collaborateurs locaux émanant des coordinations nationales et des départements du BA ;
 Elabore un plan détaillé d’évangélisation pour l’Afrique et la diaspora et fixe les objectifs
mensuels, trimestriels, semestriels et même annuels à atteindre.
 Définit et lève également les fonds nécessaires pour les atteindre ;
 Etablit en collaboration avec les coordonnateurs nationaux un calendrier quinquennal des
conventions et des formations dans les pays africains et la diaspora.
 Adopte et consolide le budget initié, mené et élaboré sous son contrôle par les
coordonnateurs nationaux, les chefs de départements les points focaux et le secrétaire du
bureau.
 Statue sur les projets d’investissement en provenance des coordinations nationales, et décide
de la convenance à s’engager dans leur réalisation, en tenant naturellement compte de la
disponibilité des ressources et de leur équilibre par rapport aux emplois.
 Examine les rapports d’activités de ses différentes entités aux fins de relever et d’exploiter
les écarts sur l’ensemble des prévisions ;
 Approuve ou rejette en dernier ressort, après leur examen, les projets d’activités et les
calendriers des rencontres internationales élaborés et proposés par les coordinations
nationales ;
 Etudie le bien-fondé d’une proposition ou d’une action quelconque avant de prendre la
décision de s’investir dessus, que ce soit en matière d’investissement ou en rapport avec le
choix des collaborateurs ;
 Modifie le document cadre d’ALWM lorsque jugé utile.

2.2.0.4 Périodicité de tenue des réunions du Bureau Afrique


Les réunions du BA constituent un cadre idéal de consultation, de concertation et de
confrontation d’idées en vue de prises de décisions efficientes sur l’ensemble des sujets stratégiques
en rapport avec le fonctionnement d’ALWM. Ces réunions se tiennent sur convocation du Président
Afrique, aux date(s) et lieu(x) arrêtés par celui-ci.

2.2.0.5 Convocation du Bureau Afrique


1 Chroniques 28 : 1 et 2 (LSG)

David convoqua à Jérusalem tous les chefs d’Israël, les chefs des tribus, les chefs des divisions au
service du roi, les chefs de milliers et les chefs de centaines, ceux qui étaient en charge sur tous les
biens et les troupeaux du roi et auprès de ses fils, les eunuques, les héros et tous les hommes
vaillants. Le roi David se leva sur ses pieds, et dit : Ecoutez-moi, mes frères et mon peuple ! J’avais
l’intention de bâtir une maison de repos pour l’arche de l’alliance de l’Eternel et pour le
marchepied de notre Dieu, et je me préparais à bâtir.

Les réunions du BA sont convoquées par son Président. Toute convocation de la réunion
devra faire l’objet d’une large diffusion auprès des membres du BA. Le rappel devra se faire par
voie de communication ordinaire (sms, email, WhatsApp, téléphone et autres).

2.2.0.6 Représentation ou Mandat de représenter


Les membres du BA sont désignés par le Président Afrique pour une durée indéterminée. Ils
peuvent également être révoqués par celui-ci.

La présence physique et effective de ces membres aux réunions est obligatoire. En cas
d’absence, le membre absent devra prendre les dispositions nécessaires pour se faire représenter par
un membre du BA. Son mandataire se présentera à la réunion, muni des instructions écrites et des
documents attendus : rapports périodiques, documents financiers de synthèse relatifs à la période
entre deux réunions et tout autre document exigible ou jugé utile.

A défaut d’envoyer un représentant, le membre empêché devra faire parvenir au Secrétariat


Afrique son rapport d’activité en version électronique (audio ou saisie) ou imprimée avant la tenue
de la réunion.

2.2.0.7 Attributions des membres du Bureau Afrique


a) Le Président Afrique (PA)

Actes 20 :28

Prenez donc garde à vous-mêmes, et à tout le troupeau sur lequel le Saint-Esprit vous a établis
évêques, pour paître l’Eglise du Seigneur, qu’il s’est acquise par son propre sang.

Exode 3 : 9 à 10
Voici, les cris d’Israël sont venus jusqu’à moi, et j’ai vu l’oppression que leur font souffrir les
Egyptiens. Maintenant, va, je t’enverrai auprès de Pharaon, et tu feras sortir d’Egypte mon
peuple, les enfants d’Israël. Va donc, je serai avec ta bouche, et je t’enseignerai ce que tu auras à
dire. (Exode 4 : 12)

Actes 26 : 17 – 18

Je t’ai choisi du milieu de ce peuple et du milieu des païens, vers qui je t’envoie, afin que tu leur
ouvres les yeux, pour qu’ils passent des ténèbres à la lumière et de la puissance de Satan à Dieu,
pour qu’ils reçoivent, par la foi en moi, le pardon des péchés et l’héritage avec les sanctifiés.

 Il a l’impérieux devoir de conserver en amont avec Korea Life Word Mission, et en aval
avec les nations formant l’espace ALWM, l’unité du corps de Christ (Ephésiens 4:3).
 Il supervise la mission en Afrique. A ce titre, il est le chef de mission d’évangélisation et
donne quitus pour l’exploration de nouveaux champs missionnaires et l’expansion de
l’évangile dans ces zones ;
 Il désigne et remplace en cas de nécessité les membres du BA, à savoir : le Vice-Président,
le secrétaire du BA, les Conseillers, les chefs de département Afrique, les points focaux et
les coordonnateurs nationaux ;
 Il choisit et envoie les missionnaires internationaux ;
 Il convoque et préside la Convention Internationale, la réunion du BA, la réunion avec les
coordonnateurs nationaux, et toutes celles des organes au sein desquels il est orateur, ainsi
que toutes les autres réunions d’importance stratégique ayant un impact sur les grandes
orientations d’ALWM ;
 Il préside les grandes rencontres internationales et les diverses cérémonies y relatives ;
 Il supervise la gestion financière d’ALWM. A ce titre, il ordonne les dépenses de
fonctionnement et d’investissement, et toute autre dépense relative à la mission ;
 Il représente ALWM auprès des hautes autorités administratives et des tiers dans tous les
actes de la vie civile ;
 En cas de décès ou d’invalidité totale, le Vice-Président Afrique le remplace ;
 Il peut désigner en cas d’empêchement un collaborateur pour le représenter ;
 En cas de divergence de vues sur un sujet, il tranche sur la base scripturaire.
 Il est garant de la discipline et de l’ordre dans l’ensemble de la communauté ALWM en
général et dans les instances qu’il préside en particulier.

NB : Le Président actuel étant sous le leadership de Paul (conception, impulsion,


orientation et décision quasi unitaires bien que totalement disposé à l’écoute des
collaborateurs sous l’Autorité du Saint-Esprit) du fait de la singularité biblique exclusive
de son appel et son ministère au sein de notre communauté ALWM, ceux qui viendront
après lui seront sous le leadership de Pierre (consultation et concertation préalables avec
toutefois voix et avis du Leadeur Principal prépondérants) et devront travailler en
collégialité avec les membres du Bureau Afrique jouissant du ministère d’autorité qu’ils
auront trouvés en poste lors de leurs prises de fonction.

Les attributions du nouveau P.A se présentent comme suit :

 Il a l’impérieux devoir de conserver en amont avec Korea Life Word Mission, et en aval
avec les nations formant l’espace ALWM, l’unité du corps de Christ (Ephésiens 4:3).
 Il supervise la mission en Afrique. A ce titre, il est le chef de mission d’évangélisation et
donne quitus pour l’exploration de nouveaux champs missionnaires et l’expansion de
l’évangile dans ces zones ;
 Il convoque et préside la Convention Internationale, la réunion du BA, la réunion avec les
coordonnateurs nationaux, et toutes celles des organes au sein desquels il est orateur, ainsi
que toutes les autres réunions d’importance stratégique ayant un impact sur les grandes
orientations d’ALWM ;
 Il préside les grandes rencontres internationales et les diverses cérémonies y relatives ;
 Il supervise la gestion financière d’ALWM. A ce titre, il ordonne les dépenses de
fonctionnement et d’investissement, et toute autre dépense relative à la mission ;
 Il représente ALWM auprès des hautes autorités administratives et des tiers dans tous les
actes de la vie civile et peut désigner en cas d’empêchement un collaborateur pour le
représenter ;
 En cas de décès ou d’invalidité totale, le Vice-Président Afrique le remplace ;
 En collégialité avec ses collaborateurs :
o Il désigne et remplace en cas de nécessité les membres du BA, à savoir : le Vice-
président, le secrétaire du BA, les Conseillers, les chefs de département Afrique, les
points focaux et les coordonnateurs nationaux ;
o Avec possibilité de délégation, il choisit et envoie les missionnaires internationaux;
 En cas de divergence de vues sur un sujet, il tranche sur la base scripturaire.
 Il est garant de la discipline et de l’ordre dans l’ensemble de la communauté ALWM en
général et dans les instances qu’il préside en particulier.

b) Le Vice-Président Afrique

1 Rois 19 :16
Tu oindras aussi Jéhu, fils de Nimschi, pour roi d’Israël ; et tu oindras Élisée, fils de Schaphath,
d'Abel Mehola, pour prophète à ta place.

 Le Vice-Président est un Ancien désigné par le PA en vue de le seconder dans ses


tâches ;
 Il remplace de plein droit le PA en cas de décès ou d’invalidité totale.

c) Le Secrétaire du Bureau Afrique

1 Samuel 14 : 1 et 6 à 7

1 Et il arriva qu’un jour Jonathan, fils de Saül, dit au jeune homme qui portait ses armes,
Viens, et passons jusqu’au poste des Philistins qui est là, de l’autre côté ; mais il n’en avertit
pas son père.6 Jonathan dit au jeune homme qui portait ses armes : Viens, et poussons
jusqu’au poste de ces incirconcis. Peut-être l’Eternel agira-t-il pour nous, car rien n’empêche
l’Eternel de sauver au moyen d’un petit nombre comme d’un grand nombre. Celui qui portait
ses armes lui répondit : Fais tout ce que tu as dans le cœur, n’écoute que ton sentiment, me
voici avec toi prêt à te suivre.

Il est hiérarchiquement placé sous l’autorité directe du PA. A cet effet :


 Il formalise et tient le projet d’activités annuelles du BA ;
 Il rappelle à la diligence du PA la mise en œuvre chronologique du Projet d’Activités
Annuel à exécuter par les entités du BA ;
 Il assure la gestion administrative et technique des voyages des missionnaires ;
 Il rappelle à la diligence du PA l’exécution des décisions prises lors des réunions des
instances d’ALWM.
 Il organise et gère les tâches administratives du BA ;
 Il centralise les données statistiques générales d’ALWM ;
 Il constitue et gère les archives d’ALWM ;
 Il prépare les réunions du BA, ainsi que toute autre réunion importante appelée à être
supervisée par le PA. A cet effet, il apprête le compte-rendu de la réunion précédente et
documente la synthèse des informations nécessaires destinées à être exploitées à ladite
réunion.

d) Les Conseillers du Président Afrique

Proverbe 15 : 22 (PDV)

Quand on ne demande jamais conseil, les projets échouent. Mais avec beaucoup de conseillers, ils
réussissent.

1 Chronique 27 : 33 à 34 ( LSG)

Achitophel était conseiller du roi ; Huschaï, l’Arkien, était ami du roi ; après Achitophel, Jehojada,
fils de Benaja, et Abiathar, furent conseillers ; Joab était chef de l’armée du roi.

Les conseillers du PA sont des personnes n’étant pas nouvellement converties choisies par
ce dernier dans l’Eglise pour assumer cette responsabilité. A ce titre :

 Ils peuvent être consultés par le PA ou lors des travaux des différentes instances sur un
aspect de la vie de l’église pour apporter leurs avis au regard des Ecritures ou de leurs
expériences.
 Ils peuvent également conduire des missions spécifiques à la discrétion du PA à qui ils
rendent compte.

e) Le Chef de Département

Exode 28 : 3
Tu parleras à tous ceux qui sont habiles, à qui j’ai donné un esprit plein d’intelligence ; et ils
feront les vêtements d’Aaron, afin qu’il soit consacré et qu’il exerce mon sacerdoce.

Actes 6 : (PVV)


2 Alors les douze apôtres convoquèrent une assemblée plénière des disciples et leur
dirent : — Nous estimons qu’il ne serait pas légitime que nous délaissions la proclamation de la
Parole de Dieu pour nous occuper des distributions.
3 C’est pourquoi frères, choisissez parmi vous sept hommes réputés, dignes de confiance,
remplis d’Esprit-Saint et de sens pratique. Nous les chargerons de ce service.

Exode 31 : 2 à 6
Sache que j’ai choisi Betsaleël, fils d’Uri, fils de Hur, de la tribu de Juda.Je l’ai rempli de
l’Esprit de Dieu, de sagesse, d’intelligence, et de savoir pour toutes sortes d’ouvrages, je l’ai
rendu capable de faire des inventions, de travailler l’or, l’argent et l’airain, de graver les pierres à
enchâsser, de travailler le bois, et d’exécuter toutes sortes d’ouvrages. Et voici, je lui ai donné pour
aide Oholiab, fils d’Ahisamac, de la tribu de Dan. J’ai mis de l’intelligence dans l’esprit de tous
ceux qui sont habiles, pour qu’ils fassent tout ce que je t’ai ordonné

Romains 12 :7 (PVV)


Un autre a le don d’exercer des activités pratiques, il s’est vu confier le ministère du diaconat ou
la gérance de biens matériels : qu’il prenne ses responsabilités au sérieux (et serve les frères de
tout son cœur). Un autre est doué pour expliquer la Parole de Dieu et exposer la doctrine : qu’il se
consacre à cette tâche et qu’il utilise son don pour instruire ses frères.

Le Chef de Département a les attributions suivantes :

 Il conçoit à l’attention du Bureau Afrique des fiches techniques et des tutoriels de son
domaine de compétence qui, après validation sont mis à la disposition des Départements
pays pour implémentation ;
 Il est chargé du suivi technique de la mise en œuvre des fiches techniques, des tutoriels et
des recommandations du Bureau Afrique auprès des acteurs pays de son domaine de
compétence ;
 Il conçoit un projet d’activités annuel adossé d’une prévision de budget de son domaine de
compétence qu’il soumet au Bureau Afrique pour examen et adoption au cours d’une
cession dédiée ;
 Il assiste techniquement les chefs de département pays dans l’élaboration et la réalisation de
leur projet d’activités dont il détient officiellement une copie ;
 Il travaille en étroite collaboration avec les Points Focaux dans la bonne tenue des
reportings ;

f) Le Point Focal (PF)

Exode 18 : 20 et 21

Enseigne-leur les ordonnances et les lois ; et fais-leur connaître le chemin qu’ils doivent suivre, et
ce qu’ils doivent faire. Choisis parmi tout le peuple des hommes capables, craignant Dieu, des
hommes intègres, ennemis de la cupidité ; établis-les sur eux comme chefs de mille, chefs de cent,
chefs de cinquante et chefs de dix.

Deutéronome 1 :12-13 (FLS)

12 Comment porterais-je, à moi seul, votre charge, votre fardeau et vos contestations ? 13 Prenez
dans vos tribus des hommes sages, intelligents et connus, et je les mettrai à votre tête

Le PF est l’émissaire permanent du PA auprès des coordinations nationales d’une zone


ecclésiastique d’ALWM. Ses attributions tirent leur légitimité du passage biblique suivant :

Actes 16 : 4 (FLS)

En passant par les villes, ils recommandaient aux frères d'observer les décisions des
apôtres et des anciens de Jérusalem.
En tant que représentant du BA :

 Il est porteur des instructions, des décisions, des programmes, des résolutions, des bilans de
fonctionnement, et de toutes les autres informations utiles à la bonne marche de la mission
en Afrique, à destination des coordinations nationales de sa zone de compétence ;
 Il est chargé de faire comprendre les instructions, en les expliquant dans les moindres détails
à chaque Coordonnateur National de sa zone ;
 Il fait faire aux coordonnateurs nationaux ce qui leur est demandé par le BA ; il ne le fait
pas à leur lieu et place.
 Il veille à ce que chaque Coordonnateur National soit capable de les implémenter fidèlement
dans son pays, avec la collaboration de ses chefs de départements, de ses coordonnateurs de
district et de toutes les parties prenantes ;
 Il travaille en étroite collaboration avec le Coordonnateur National, Il assure
particulièrement le suivi de la politique d’évangélisation arrêtée par le BA dans les pays qui
composent sa zone ;
 Il fait la synthèse périodique de la situation et des activités de sa zone de compétence à la fin
de chaque mois et à l’approche de chaque réunion Afrique. A la fin de l’année, il dresse un
bilan détaillé de sa zone de compétence, d’abord par pays, ensuite globalement, et l’adresse
au PA pour exploitation.

Pour le compte des Départements Afrique :

 Il travaille en étroite collaboration avec les chefs de départements Afrique dans le choix des
méthodes tactiques d’implémentation des décisions prises par le BA concernant les objectifs
fixés par chaque Département en particulier dans sa zone de compétence.
 Il conseille le Coordonnateur National dans le choix de ses collaborateurs pour plus
d’efficacité ;
 Il dresse, à l’attention du PA, un rapport mensuel de toutes les activités de sa zone ;
 Il s’assure que chaque chef de département national soit en relation avec son département de
tutelle ;

Pour le compte des Coordinations Nationales :

 Il représente les coordinations nationales de sa zone auprès du BA, et défend leurs intérêts
quand cela est nécessaire ;
 Il présente les doléances des coordinations nationales de sa zone au BA, doléances portant
sur les besoins en : 
o Matériel d’évangélisation tels que les laptops, les projecteurs, et autre matériel jugé
utile ;
o Missionnaires ;
o Appui financier pour l’organisation d’un événement à caractère panafricain ;
o Prières et encouragements ;
 Il reçoit des coordonnateurs nationaux toutes les informations, propositions de décisions,
documents dûment traités à destination du BA et les y achemine. Ces documents sont pour
les plus importants et pour chaque pays :
o Les projets d’activités ;
o La synthèse mensuelle des rapports de séminaires (sachant que les détails de ces
documents sont remis aux chefs de départements).
o Des rapports financiers.
o Des journaux de caisse ;
o Des statistiques détaillées et consolidées de chaque pays ;
o Des rapports mensuels des groupes d’actions : groupes des Hommes, des Femmes,
des Jeunes, des plus Jeunes et la synthèse des documents des départements
nationaux.
Ces documents sont reçus par le PF pour transmission au BA qui se réserve le droit d’en
faire la synthèse et de les renvoyer ensuite auprès des coordinations nationales respectives.

2.2.1 Le Bureau de la Zone Ecclésiastique (ZE)

2.2.1.1 Définition du Bureau de la Zone Ecclésiastique (ZE)

2.2.1.2 Constitution du Bureau de la Zone Ecclésiastique (BZE)

2.2.1.3 Attributions du Bureau de la Zone Ecclésiastique (BZE)

2.2.1.4 Périodicité de tenue des réunions du Bureau de la Zone Ecclésiastique

2.2.1.5 Convocation du Bureau de la Zone Ecclésiastique

2.2.1.6 Représentation ou Mandat de représenter

2.2.1.7 Attributions des membres du Bureau de la Zone Ecclésiastique

2.2.2 Le Bureau de la Coordination Nationale (BCN)

Chroniques 28 : 1 et 2

David convoqua à Jérusalem tous les chefs d’Israël, les chefs des tribus, les chefs des
divisions au service du roi, les chefs de milliers et les chefs de centaines, ceux qui étaient en
charge sur tous les biens et les troupeaux du roi et auprès de ses fils, les eunuques, les héros
et tous les hommes vaillants. Le roi David se leva sur ses pieds, et dit : Ecoutez-moi, mes
frères et mon peuple ! J’avais l’intention de bâtir une maison de repos pour l’arche de
l’alliance de l’Eternel et pour le marchepied de notre Dieu, et je me préparais à bâtir.
(LSG.

2.2.2.1 Definition du Bureau de la Coordination Nationale (BCN)


Le BCN est l’organe central d’ALWM d’un pays, chargé d’implémenter les décisions du BA,
d’appliquer la politique générale et de suivre les orientations propres à assurer la bonne marche de
l’appareil administratif et de l’évangélisation.
2.2.2.2 Constitution du Bureau de la Coordination Nationale
Le BCN est constitué des entités ci-après :
 Le Coordonnateur National ;
 Le Secrétaire du BCN;
 Les conseillers ;
 Les chefs de départements nationaux ;
 Les coordonnateurs de district.

2.2.2.3 Attributions du Bureau de la Coordination Nationale


Sous la houlette du Coordonnateur National, le BCN : 

 Coordonne, administre, dirige et supervise l’œuvre dans le pays ;


 Examine aux fins de valider, d’amender ou de rejeter les dossiers émanant des coordinations
de district et des départements ;
 Elabore un plan détaillé d’évangélisation pour le pays, le soumet au BA pour validation, en
fixant les objectifs mensuels, trimestriels, semestriels et même annuels à atteindre. Il définit et
lève également les fonds nécessaires pour les atteindre ;
 Etablit en collaboration avec les coordonnateurs de district un calendrier quinquennal des
conventions et des formations dans les districts ;
 Adopte le budget initié, mené et élaboré sous son contrôle par les coordonnateurs de district;
 Statue sur les projets d’investissement en provenance des coordinations des districts, et
décide de la convenance à s’engager dans leur réalisation, en tenant naturellement compte de la
disponibilité des ressources et de leur équilibre par rapport aux emplois.
 Examine les rapports d’activités des coordinations de districts aux fins de relever et
d’exploiter les écarts sur l’ensemble des prévisions, écarts sur la réalisation du budget, sur la
réalisation des objectifs fixés aux unités opérationnelles et sur l’application de décisions prises
lors de la Convention Nationale ;
 Approuve ou rejette les projets d’activités et les calendriers des rencontres nationales
élaborés et proposés par les coordinations de district en dernier ressort, après leur examen ;
 Etudie le bien-fondé d’une proposition ou d’une action quelconque avant de prendre la
décision de s’investir dessus, que ce soit en matière d’investissement ou en rapport avec le
choix des collaborateurs.

2.2.2.4 Périodicité de tenue des réunions du Bureau de la Coordination


Nationale
Les réunions du BCN constituent un cadre idéal de consultation, de concertation et de
confrontation d’idées en vue d’implémenter les décisions efficientes sur l’ensemble des sujets
stratégiques en rapport avec le fonctionnement de la CN. Ces réunions se tiennent sur
convocation du Coordonnateur National, aux date(s) et lieu(x) arrêtés par celui-ci.

2.2.2.5 Convocation du Bureau de la Coordination Nationale


La Réunion ordinaire du BCN est convoquée par le Coordonnateur National.
2.2.2.6 Représentation ou Mandat de représenter
Les membres du BCN sont nommés par le Coordonnateur National après avis du PA pour une
durée indéterminée et peuvent également être révoqués par celui-ci dans les mêmes conditions.

La présence physique et effective de ces membres aux réunions est obligatoire. En cas
d’absence, le membre absent devra prendre les dispositions nécessaires pour se faire
représenter par un membre du BCN. Son mandataire se présentera à la réunion, muni des
instructions écrites et des documents attendus : rapports périodiques, documents financiers de
synthèse relatifs à la période entre deux réunions et tout autre document exigible ou jugé utile.

A défaut d’envoyer un représentant, le membre empêché devra faire parvenir au Secrétariat son
rapport d’activité en version électronique (audio ou saisie).

2.2.2.7 Attributions des membres du BCN

1 Chroniques 28 : 1 et 2 (LSG)

David convoqua à Jérusalem tous les chefs d’Israël, les chefs des tribus, les chefs des divisions
au service du roi, les chefs de milliers et les chefs de centaines, ceux qui étaient en charge sur
tous les biens et les troupeaux du roi et auprès de ses fils, les eunuques, les héros et tous les
hommes vaillants. Le roi David se leva sur ses pieds, et dit : Ecoutez-moi, mes frères et mon
peuple ! J’avais l’intention de bâtir une maison de repos pour l’arche de l’alliance de l’Eternel
et pour le marchepied de notre Dieu, et je me préparais à bâtir.

La réunion extraordinaire du BCN est également convoquée par le Coordonnateur National.


Toute convocation de la réunion devra faire l’objet d’une large diffusion auprès des membres
du BCN. Le rappel devra se faire par voie de communication ordinaire (sms, email, WhatsApp,
téléphone et autres).

a) Le Coordonnateur National

Exode 4 : 12

Voici, les cris d’Israël sont venus jusqu’à moi, et j’ai vu l’oppression que leur font souffrir
les Egyptiens. Maintenant, va, je t’enverrai auprès de Pharaon, et tu feras sortir d’Egypte
mon peuple, les enfants d’Israël. (Exode 3 : 9 à 10). Va donc, je serai avec ta bouche, et je
t’enseignerai ce que tu auras à dire.

Actes 26 : 17 – 18

Je t’ai choisi du milieu de ce peuple et du milieu des païens, vers qui je t’envoie, afin que tu
leur ouvres les yeux, pour qu’ils passent des ténèbres à la lumière et de la puissance de
Satan à Dieu, pour qu’ils reçoivent, par la foi en moi, le pardon des péchés et l’héritage
avec les sanctifiés.

Actes 20 :28
Prenez donc garde à vous-mêmes, et à tout le troupeau sur lequel le Saint-Esprit vous a
établis évêques, pour paître l’Eglise du Seigneur, qu’il s’est acquise par son propre sang.

Nommé par le Président Afrique, le Coordonnateur National :

 A l’impérieux devoir de conserver en amont avec le BA, et en aval avec les districts
formant l’espace de sa coordination, l’unité du corps de Christ ;

 Supervise la mission dans son pays. A ce titre, il est le chef de mission


d’évangélisation et donne quitus pour l’exploration de nouveaux champs
missionnaires et l’expansion de l’évangile dans les districts de son pays ;
 Propose au PA en collaboration avec les chefs de Département Afrique concernés, la
nomination ou le remplacement en cas de nécessité des membres du BCN ;
 Choisit les missionnaires en collaboration avec le chef de Département National des
Missions et de la Formation pour leur déploiement sur le terrain ;
 Convoque et préside la réunion du BCN, les réunions sectorielles, ainsi que toutes les
autres réunions d’importance stratégique ayant un impact sur les grandes orientations
émanant d’ALWM ;
 Convoque et préside les convocations nationales à l’instar de la Convention
Nationale, la CNPP… et les diverses cérémonies y relatives ;
 Supervise la gestion financière de la CN. A ce titre, il ordonne les dépenses de
fonctionnement et d’investissement, et toute autre dépense relative à la mission ;
 Représente ALWM de son pays auprès des hautes autorités administratives et des
tiers dans tous les actes de la vie civile ;
 Est chargé du dépôt des documents officiels de l’Eglise auprès des autorités
administratives de son pays en vue de sa légalisation ;
 Peut désigner en cas d’empêchement un collaborateur pour le représenter ;
 En cas de divergence de vues sur un sujet, il tranche sur la base scripturaire ;
 Est garant de la discipline et de l’ordre dans les instances nationales qu’il préside.

b) Le Secrétaire du BCN

1 Samuel 14 : 1 et V6 à 20

1 Et il arriva qu’un jour Jonathan, fils de Saül, dit au jeune homme qui portait ses
armes, Viens, et passons jusqu’au poste des Philistins qui est là, de l’autre côté ; mais il
n’en avertit pas son père. 6 Jonathan dit au jeune homme qui portait ses armes : Viens,
et poussons jusqu’au poste de ces incirconcis. Peut-être l’Eternel agira-t-il pour nous,
car rien n’empêche l’Eternel de sauver au moyen d’un petit nombre comme d’un grand
nombre. Celui qui portait ses armes lui répondit : Fais tout ce que tu as dans le cœur,
n’écoute que ton sentiment, me voici avec toi prêt à te suivre.

Il est hiérarchiquement placé sous l’autorité directe du Coordonnateur National. A cet


effet :

 Il formalise et tient le projet d’activités annuelles du BCN ;


 Il rappelle à la diligence du Coordonnateur National la mise en œuvre chronologique
du Projet d’Activités Annuelles à exécuter par les Coordonnateurs de District et les
Départements ;
 Il assure la gestion administrative et technique des voyages des missionnaires
nationaux ; à enlever
 Il rappelle à la diligence du Coordonnateur National l’exécution des décisions
émanant des réunions des Instances de la CN.
 Il organise et gère les tâches administratives du BCN ;
 Il centralise les données statistiques générale de la CN ;
 Il constitue et gère les archives de la CN ;
 Il dresse les états périodiques de synthèse à l’attention du BCN ;
 Il instruit les dossiers que lui confie le Coordonnateur National, et assure le suivi des
instructions données tout en veillant à leur bonne application ;
 Il prépare les réunions du Bureau, ainsi que toute autre réunion importante appelée à
être supervisée par le Coordonnateur National. A cet effet, il apprête le compte-rendu
de la réunion précédente et documente la synthèse des informations nécessaires
destinées à être exploitées à ladite réunion.

c) Les Conseillers du Coordonnateur National

Proverbe 15 : 22 (PDV)


Quand on ne demande jamais conseil, les projets échouent. Mais avec beaucoup de
conseillers, ils réussissent.

1 Chronique 27 : 33 à 34 (LSG)

Achitophel était conseiller du roi ; Huschaï, l’Arkien, était ami du roi ; après Achitophel,
Jehojada, fils de Benaja, et Abiathar, furent conseillers ; Joab était chef de l’armée du roi.

Les Conseillers du Coordonnateur National sont des personnes choisies par ce


dernier parmi les plus anciennes ayant le ministère d’autorité ou de service pour assumer
cette responsabilité. A ce titre :

 Ils peuvent être consultés par le Coordonnateur National ou lors des travaux des
différentes instances sur un aspect de la vie de l’église pour apporter leurs avis au
regard des Ecritures ou de leurs expériences.
 Ils peuvent également conduire des missions spécifiques à la discrétion du
Coordonnateur National à qui ils rendent compte.

2.2.3 Le Bureau de la Coordination de District (BCD)

1 Chroniques 28 : 1 et 2 LSG


David convoqua à Jérusalem tous les chefs d’Israël, les chefs des tribus, les chefs des
divisions au service du roi, les chefs de milliers et les chefs de centaines, ceux qui étaient en
charge sur tous les biens et les troupeaux du roi et auprès de ses fils, les eunuques, les héros
et tous les hommes vaillants. Le roi David se leva sur ses pieds, et dit : Ecoutez-moi, mes
frères et mon peuple ! J’avais l’intention de bâtir une maison de repos pour l’arche de
l’alliance de l’Eternel et pour le marchepied de notre Dieu, et je me préparais à bâtir.

Le BCD est l’instance dirigeante du district. Il est constitué des entités ci-après :
 Le Coordonnateur de district ;
 Les Conseillers du coordonnateur de district ;
 Le Secrétaire du Bureau du district ;
 Les Délégués de District ;
 Les Pasteurs d’Assemblées.

2.2.3.1 Définition du BCD


Le BCD est l’organe central du district, chargé d’implémenter les décisions émanant de la
coordination nationale, d’appliquer la politique générale et de suivre les orientations propres à
assurer la bonne marche de l’appareil administratif et de l’évangélisation.

2.2.3.2 Attributions du BCD

Sous la direction du Coordonnateur de District : 


 Il coordonne, administre, dirige et supervise l’œuvre dans le district,
 Il examine aux fins de valider, d’amender ou de rejeter les dossiers émanant des
assemblées et des représentations des départements dans le district ;
 Il élabore un plan détaillé d’évangélisation pour le district, le soumet au
Coordonnateur National pour validation, en fixant les objectifs mensuels,
trimestriels, semestriels et même annuels à atteindre ; il définit et lève également les
fonds nécessaires pour les atteindre ;
 Il établit en collaboration avec les Pasteurs d’assemblées un calendrier annuel des
conventions et des formations dans les assemblées ;
 Il consolide et adopte le budget initié et élaboré sous son contrôle par les
assemblées ;
 Il statue sur les projets d’investissement en provenance des assemblées, et les
achemine vers la CN ;
 Il examine les rapports d’activités des assemblées aux fins de relever et d’exploiter
les écarts sur l’ensemble des prévisions et sur l’application de décisions en
provenance de la CN ;
 Il approuve ou rejette après examen, les projets d’activités proposés par les
assemblées ;
 Il étudie le bien-fondé d’une proposition ou d’une action quelconque avant de
prendre la décision de s’investir dessus.

2.2.3.3 Périodicité de tenue des réunions du BCD


Les réunions du BCD constituent un cadre idéal de consultation, de concertation et de
confrontation d’idées en vue d’implémenter les décisions efficientes sur l’ensemble des sujets
stratégiques en rapport avec le fonctionnement de la coordination. Ces réunions se tiennent sur
convocation du Coordonnateur de District aux date(s) et lieu(x) arrêtés par celui-ci.

2.2.3.4 Convocation du BCD


La Réunion ordinaire du BCD est convoquée par le Coordonnateur de district.
La réunion extraordinaire du BCD est également convoquée par le Coordonnateur de district ;
Toute convocation de la réunion devra faire l’objet d’une large diffusion auprès des membres du
Bureau. Le rappel devra se faire par voie de communication ordinaire (sms, email, WhatsApp,
téléphone et autres).

2.2.3.5 Représentation ou Mandat de représenter


Certains membres du BCD sont nommés par le Coordonnateur de district pour une durée
indéterminée, à savoir ses conseillers et le secrétaire du bureau de district. Ils peuvent également
être révoqués par celui-ci.
Les autres membres du BCD, à savoir les Délégués départementaux et les Pasteurs
d’Assemblée sont nommés par le Coordonnateur National sur proposition motivée du
Coordonnateur de district. La présence physique et effective de ces membres aux réunions est
obligatoire.
En cas d’absence justifiée, le membre absent devra prendre les dispositions nécessaires pour
se faire représenter par un membre du BCD. Son mandataire se présentera à la réunion, muni des
instructions écrites et des documents attendus. 
A défaut de se faire représenter, le membre empêché devra faire parvenir auprès du Secrétaire du
BCD son rapport d’activité en version électronique (audio ou saisie) avant la tenue de la réunion.

2.2.3.6 Attributions des membres du BCD

a) Le Coordonnateur de District

Nommé par le Coordonnateur National, le Coordonnateur de District


d) A l’impérieux devoir de conserver en amont avec la Coordination Nationale, et en aval avec les
assemblées formant l’espace de sa coordination, l’unité du corps de Christ.
e) Coordonne la mission d’évangélisation dans son district ; 
f) Propose au Coordonnateur National en collaboration avec les Chefs de Départements Nationaux
concernés, la nomination ou le remplacement en cas de nécessité de certains membres du Bureau de
la Coordination du district ;
g) Convoque et préside les réunions : du BCD, avec les Pasteurs d’assemblées, avec les Délégués
départementaux de district, et toutes celles des organes au sein desquels il est orateur ;
h) Supervise la gestion financière de la Coordination de district. A ce titre, il ordonne les dépenses de
fonctionnement et d’investissement, et toute autre dépense relative à la mission ;
i) Toute activité dans le district impliquant plus d’une assemblée requiert son avis.
j) Représente ALWM de son district auprès des hautes autorités administratives et des tiers dans tous
les actes de la vie civile ;
k) Peut désigner en cas d’empêchement un collaborateur pour le représenter ;
l) Est garant de la discipline et de l’ordre dans les instances qu’il préside.
b) Le secrétaire du BCD

1 Samuel 14 : 1 et 6 à 20
1 Et il arriva qu’un jour Jonathan, fils de Saül, dit au jeune homme qui portait ses armes, Viens,
et passons jusqu’au poste des Philistins qui est là, de l’autre côté ; mais il n’en avertit pas son père.

6 Jonathan dit au jeune homme qui portait ses armes : Viens, et poussons jusqu’au poste de ces
incirconcis. Peut-être l’Eternel agira-t-il pour nous, car rien n’empêche l’Eternel de sauver au
moyen d’un petit nombre comme d’un grand nombre. Celui qui portait ses armes lui répondit : Fais
tout ce que tu as dans le cœur, n’écoute que ton sentiment, me voici avec toi prêt à te suivre .
(1Samuel 14 : 6 et 7).

Le Secrétaire du BCD :
 Gère l’Agenda du Coordonnateur de District ;
 Organise et gère les tâches administratives du Coordonnateur de District ;
 Assure les diligences à lui confiées par le Coordonnateur de District ;
 Assure l’organisation matérielle des réunions présidées par le Coordonnateur de District.
m) Formalise et tient le projet d’activités annuelles de la Coordination de District ;
n) Rappelle à la diligence du Coordonnateur de District la mise en œuvre chronologique du Projet
d’activités annuel à exécuter par les Pasteurs d’assemblées et les Délégués Départementaux de
district ;
o) Rappelle à la diligence du Coordonnateur de District l’exécution des décisions émanant des
réunions des Instances de la Coordination de District.
p) Organise et gère les tâches administratives du BCD ;
q) Centralise les données statistiques générales de la Coordination de District ;
r) Constitue et gère les archives de la Coordination de District ;
s) Dresse les états périodiques de synthèse à l’attention du Coordonnateur de District ;
t) Suit les dossiers que lui confie le Coordonnateur de District, et s’assure de leur bonne application ;
u) Prépare les réunions du Bureau, ainsi que toute autre réunion importante appelée à être supervisée
par le Coordonnateur de District. A cet effet, il apprête le compte-rendu de la réunion précédente et
documente la synthèse des informations nécessaires destinées à être exploitées à ladite réunion.

c) Les conseillers du Coordonnateur de District

Proverbe 15 : 22 (PDV)


Quand on ne demande jamais conseil, les projets échouent. Mais avec beaucoup de conseillers, ils
réussissent.

1 Chronique 27 : 33 à 34 (LSG)


Achitophel était conseiller du roi ; Huschaï, l’Arkien, était ami du roi ; après Achitophel, Jehojada,
fils de Benaja, et Abiathar, furent conseillers ; Joab était chef de l’armée du roi.

Les conseillers du Coordonnateur de District sont des personnes choisies par le Coordonnateur de
District parmi les plus anciennes pour assumer cette responsabilité. A ce titre :
 Ils peuvent être consultés par le Coordonnateur de District ou lors des travaux des différentes
instances sur un aspect de la vie de l’église pour apporter leurs avis au regard des Ecritures ou de
leurs expériences.
 Ils peuvent également conduire des missions spécifiques à la discrétion du Coordonnateur de
District à qui ils rendent compte.

2.2.4 Le Comité Directeur (CD)

2.2.4.1 Sa définition et sa tenue


Le Comité Directeur, en abréviation CD, est l’instance dirigeante d’une Assemblée.
Il est institué par la Coordination Nationale en vue de prendre part à la gestion d’une assemblée. Il
est dirigé par le Pasteur Principal de l’Assemblée (voir section***).

Le CD tient ses réunions au moins une fois par mois, ou à la demande ponctuelle du Pasteur
Principal.

2.2.4.2 Les Attributions du CD


Le Comité Directeur est l’instance dirigeante de l’Assemblée. A ce titre :
 Il planifie, coordonne et supervise l’ensemble des activités de l’Assemblée en adéquation avec
les objectifs fixés par la Coordination Nationale ;
 Il statue, en vue de leur budgétisation, sur toutes les prévisions de dépenses et des entrées
propres à l’Assemblée et les consigne dans un document appelé « Projet d’activités ».
 Il reçoit, centralise et consolide en vue de l’élaboration du projet d’activités tous les documents
émanant des différents groupes et départements représentés dans l’Assemblée ; ces documents
sont entre autres : les projets de budget, les projets d’activités et les stratégies d’évangélisation ;
 Il élabore à partir des données ci-dessus le projet d’activités de l’Assemblée et le soumet au
Coordonnateur de District qui, après étude et validation, l’envoie à la Coordination Nationale ;
 Il examine les rapports des autres instances et de différents départements représentés par leurs
porte-paroles ; ensuite, le Pasteur Principal en fait la synthèse dans son rapport d’activités à
destination de la Coordination de District ; les pièces justificatives devront être jointes à ce rapport
de synthèse pour exploitation en amont.
 Il statue sur les problèmes disciplinaires de la communauté ;
 Il suit l’engagement des dépenses dans l’Assemblée en conformité avec le budget ; il statue sur
celles qui ne sont pas budgétisées et décide ;
 Il assure le suivi de la feuille de route et veille sur le respect et la stricte application des
dispositions y afférentes ; en cas d’écart, il procède sans délai à son réajustement.

2.2.4.3 Composition du CD
Le CD est composé des membres ci-après :
- Le Pasteur Principal ;
- Le Pasteur Principal Adjoint ;
- Un Secrétaire d’Assemblée ;
- Un Secrétaire Adjoint ;
- Les Porte-paroles des départements
- Le Trésorier(e)
- L’agent comptable
- Les Conseillers

2.2.4.4 Attributions des membres du CD

Les attributions des membres du Comité Directeur ci-dessus sont déclinées comme suit :

a) Le Pasteur Principal 
Nommé par le Coordonnateur National, il est à la tête de l’Assemblée, et :
 A l’impérieux devoir de conserver en amont avec la Coordination de District, et en aval avec les
membres de son assemblée, l’unité du corps de Christ.
 Représente l’église auprès des tiers et des autorités administratives de la localité ;
 Est garant de l’éthique et de la déontologie dans son assemblée ;
 Supervise toutes les activités et cérémonies organisées par l’Assemblée ;
 Est garant de la sécurité et du bien-être des membres de son assemblée pendant les réunions ;
 Coopte les coordonnateurs des cultes ;
 Met en place les instances dirigeantes de l’Assemblée ;
 Nomme en collaboration avec les délégués de district, les différents porte-paroles de son
assemblée ;
 Convoque et préside les réunions des instances de l’Assemblée ainsi que toutes celles
d’importance stratégique de celle-ci ;
 Propose les calendriers mensuels, trimestriels, ou annuels selon le cas des séminaires de
l’Assemblée, à communiquer aux autorités centrales pour programmation ;
 Dans le cadre des objectifs poursuivis par l’assemblée, il décide des thèmes à enseigner dans les
différents groupes tout le long du mois et assigne les différents prédicateurs en collaboration avec le
porte-parole du département de la Formation et de la Mission ;
NB : ceci dans le cas où les orientations particulières ne sont pas données par le Coordonnateur de
District
 Ordonne les dépenses de l’Assemblée en apposant sa signature sur toute pièce de dépense ;
 Adresse son rapport d’activités habituel et le journal de caisse de son Assemblée à la
Coordination du District pour consolidation ;
 Convoque et dirige les réunions de la CPPA ;

b) Le Pasteur Principal Adjoint 

Nommé par le Coordonnateur National, il assiste le Pasteur Principal dans son travail et le
supplée en cas d’empêchement ou d’absence.

c) Le Secrétaire d’Assemblée :
 Assure le secrétariat de l’Assemblée en général et rédige les comptes rendus des réunions du
Comité Directeur et celles d’importance stratégique en particulier ;
 Assure la diffusion des informations que le Pasteur Principal communique à leurs destinataires ;
 Élabore, à l’attention du Pasteur Principal, la note de synthèse des différents rapports d’activités
périodiques reçus ;
 Enregistre les demandes de baptême et de mariage rédigées par les fidèles ou les tiers ;
 Tient les registres des actes susmentionnés ainsi que d’autres relevant de sa compétence et
conserve les archives de l’Assemblée ;

d) Le Secrétaire d’Assemblée Adjoint :


Assiste le Secrétaire d’assemblée dans ses tâches et le remplace en cas d’empêchement ou
d’absence.

e) Les Conseillers 
En dehors des conseillers désignés par le Pasteur Principal, les autres Pasteurs membres de
l’Assemblée sont d’office conseillers au sein du Comité Directeur et sont à la disposition du Pasteur
Principal qui peut requérir leur avis sur certaines questions, ou leur confier des missions
spécifiques.
2.3 Les Organes Techniques

Les organes techniques d’ALWM sont constitués des différents départements ayant à
leurs têtes des chefs de départements exerçant un ministère d’autorité ou de service :

Exode 28 : 3
Tu parleras à tous ceux qui sont habiles, à qui j’ai donné un esprit plein d’intelligence ; et ils
feront les vêtements d’Aaron, afin qu’il soit consacré et qu’il exerce mon sacerdoce.

Actes 6 : (PVV)


2 Alors les douze apôtres convoquèrent une assemblée plénière des disciples et leur
dirent : — Nous estimons qu’il ne serait pas légitime que nous délaissions la proclamation de la
Parole de Dieu pour nous occuper des distributions.
3 C’est pourquoi frères, choisissez parmi vous sept hommes réputés, dignes de confiance, remplis
d’Esprit-Saint et de sens pratique. Nous les chargerons de ce service.

Exode 31 : 2 à 6
Sache que j’ai choisi Betsaleël, fils d’Uri, fils de Hur, de la tribu de Juda.Je l’ai rempli de l’Esprit
de Dieu, de sagesse, d’intelligence, et de savoir pour toutes sortes d’ouvrages, je l’ai rendu
capable de faire des inventions, de travailler l’or, l’argent et l’airain, de graver les pierres à
enchâsser, de travailler le bois, et d’exécuter toutes sortes d’ouvrages. Et voici, je lui ai donné pour
aide Oholiab, fils d’Ahisamac, de la tribu de Dan. J’ai mis de l’intelligence dans l’esprit de tous
ceux qui sont habiles, pour qu’ils fassent tout ce que je t’ai ordonné

Les attributions des départements tirent leur origine du passage biblique suivant :

Romains 12 :7 (PVV)


Un autre a le don d’exercer des activités pratiques, il s’est vu confier le ministère du diaconat ou
la gérance de biens matériels : qu’il prenne ses responsabilités au sérieux (et serve les frères de
tout son cœur). Un autre est doué pour expliquer la Parole de Dieu et exposer la doctrine : qu’il se
consacre à cette tâche et qu’il utilise son don pour instruire ses frères.

2.3.0 Le Département Afrique

2.3.0.1 Définition du Département Afrique


Le Département Afrique est un organe technique du BA hiérarchiquement rattaché au
Président Afrique, opérationnel et essentiel dans le bon fonctionnement de la Coordination Afrique.
Il est le bras séculier qui exécute les recommandations du BA. A sa tête se trouve un Chef de
Département désigné par le Président Afrique sur la base de ses compétences et de sa probité. Ce
sont des personnes auxquelles Dieu a donné de manière particulière l’habileté, la sagesse et
l’intelligence pour agir dans certains domaines.

Chaque Département en tant qu’organe technique a une représentation au niveau pays et au


besoin, au niveau des autres circonscriptions ecclésiastiques.
2.3.0.2 Les Missions du Département Afrique
 Il conçoit à l’attention du Bureau Afrique des fiches techniques et des tutoriels de son
domaine de compétence qui, après validation sont mis à la disposition des Départements
pays pour implémentation ;
 Il est chargé du suivi technique de la mise en œuvre des fiches techniques, des tutoriels et
des recommandations du Bureau Afrique auprès des acteurs pays de son domaine de
compétence ;
 Il conçoit un projet d’activités annuel adossé d’une prévision de budget de son domaine de
compétence qu’il soumet au BA pour examen et adoption au cours d’une cession dédiée ;
 Il assiste techniquement les Chefs de Département pays dans l’élaboration et la réalisation
de leur projet d’activités dont il détient officiellement une copie ;
 Il travaille en étroite collaboration avec les Points Focaux dans la bonne tenue des
reportings ;

2.3.1 Le Département National (DN)

2.3.1.1 Définition du DN
Le Département National est un organe technique du BCN, opérationnel et essentiel dans le
bon fonctionnement de celle-ci. Il est le bras séculier qui exécute les recommandations du BCN. A
sa tête se trouve un Chef de Département désigné par le Coordonnateur National sur la base de ses
compétences et de sa probité.

Le Département National est rattaché hiérarchiquement au Coordonnateur National et


fonctionnellement à son Chef de Département Afrique.

Chaque Département en tant qu’organe technique a une représentation au niveau des autres
circonscriptions ecclésiastiques.

2.3.1.2 Les missions du Département National


 Il implémente, en collaboration avec le Coordonnateur National et le Chef de Département
Afrique concerné, les instructions émanant du BA concernant son domaine de compétence ;

 Il tient et actualise à l’attention du BCN des fiches techniques et des tutoriels de son
domaine de compétence qui sont mis à sa disposition par les Départements Afrique pour
implémentation ;

 Il est chargé du suivi technique de la mise en œuvre des fiches techniques, des tutoriels et
des recommandations du BA auprès des acteurs nationaux de son domaine de compétence ;

 Il conçoit un projet d’activités annuel adossé d’une prévision de budget de son domaine de
compétence qu’il soumet au BCN pour examen et adoption au cours d’une cession dédiée ;

 Il assiste techniquement les délégués de districts dans l’élaboration et la réalisation de leur


projet d’activités dont il détient officiellement une copie ;
 Il travaille en étroite collaboration avec les Coordonnateurs de District dans la bonne tenue
des reportings ;

2.3.3 Délégation de District

Les départements sont représentés dans un district par les Délégations de District.

2.3.1.3 Définition
Le Département au niveau du district est un organe technique du Bureau de la Coordination
du District, opérationnel et essentiel dans le bon fonctionnement du district. Il est le bras séculier
qui exécute les recommandations de la CN. A la tête de chaque représentation du département dans
un district, se trouve un Délégué de District nommé par le Coordonnateur National sur proposition
du Coordonnateur de District et du Chef de Département National, sur la base de ses compétences
et de sa probité. Il est hiérarchiquement rattaché au Coordonnateur de District, et fonctionnellement
au Chef de Département National.

2.3.1.4 Missions du Délégué de District (DD)


 Il implémente, en collaboration avec le Coordonnateur de district et le Chef de Département
National concerné, les instructions émanant de la Coordination nationale concernant son
domaine de compétence ;
 Il est en relation permanente avec le Chef de Département National dans l’implémentation
de la politique et des orientations de la coordination nationale ;
 Il conçoit un projet d’activités annuel adossé d’une prévision de budget de son domaine de
compétence qu’il soumet au BCD pour examen et adoption au cours d’une cession dédiée ;
 Il élabore et réalise le projet d’activités dont il détient officiellement une copie ;
 Il travaille en étroite collaboration avec le Coordonnateur de District dans la bonne tenue des
reportings ;

2.3.2 Le Département dans une assemblée

2.3.2.1 Définition du Département dans une assemblée


Le Département au niveau de l’Assemblée est un organe technique de l’Assemblée,
opérationnel et essentiel pour le bon fonctionnement de l’Assemblée. A la tête de chaque
représentation du département dans une Assemblée, se trouve un Porte-parole nommé par le Pasteur
d’Assemblée en collaboration avec le Délégué de District, sur la base de ses compétences et de sa
probité.
Il est hiérarchiquement rattaché au Pasteur de l’Assemblée, et fonctionnellement au Délégué
de District.

2.3.2.2 Missions du Porte-parole de Département dans une assemblée


 Il implémente les instructions émanant de son Pasteur d’Assemblée sous la supervision
technique de son Délégué de District ;
 Au plan fonctionnel, Il est en relation permanente avec le Délégué de District dans
l’implémentation de la politique et des orientations définies par l’Eglise ;
 Il conçoit un projet d’activités annuel adossé d’une prévision de budget de son domaine de
compétence qu’il soumet au Comité Directeur pour examen et adoption au cours d’une
session dédiée ;
 Il élabore et réalise le projet d’activités dont il détient officiellement une copie ;
 Il travaille en étroite collaboration avec le Pasteur d’Assemblée dans la bonne tenue des
reportings ;

2.3.3 Les départements d’ALWM

2.3.3.1 Département de la Mission et de la Formation (DMF)

a) Définition du DMF
Le DMF est l’organe technique chargé de la coordination des missions évangéliques et des
formations au sein d’ALWM. Il a à sa tête un Chef de Département et se déploie au niveau
Afrique, national, du district et de l’assemblée.

b) Missions du DMF

Ce Département est chargé de :

 Vider le sauvé du vieux vin, renouveler son intelligence, balayer toutes les vielles
incompréhensions liées aux points doctrinaux et l’équiper des notions de base de la marche
chrétienne qui lui permettent de mieux intégrer la communauté ;
 Former les sauvés que le Seigneur a destinés à la fonction de prédicateurs ou de pasteurs
dans le but d’en faire des experts en la matière ;
 Mettre à niveau ceux qui exercent déjà dans le champ d’évangélisation, et recycler sur
certains modules ceux dont les connaissances tendent à devenir obsolètes du fait de
l’éloignement par rapport au centre de formation ou pour toute autre raison ayant engendré
cet état de chose ;
 Mettre à la disposition du Bureau Afrique, des coordinations nationales, des coordinations
de districts et assemblées un personnel qualifié doté des compétences éprouvées et
reconnues par les formateurs à l’issue de leur cursus.

Pour ce faire, le DMF :

 Fixe les objectifs mensuels, trimestriels, semestriels et même annuels à atteindre, sous forme
d’une feuille de route qui définit également les moyens nécessaires pour les atteindre ;

 Adopte le budget initié, mené et élaboré sous son contrôle par les organes internes ;

 Examine les rapports d’activités des organes internes aux fins de relever et d’exploiter les
écarts sur l’ensemble des prévisions, écarts sur la réalisation du budget, sur la réalisation des
objectifs fixés aux unités opérationnelles et sur l’application des décisions prises ;

 Approuve ou rejette après leur examen, les projets d’activités élaborés et proposés par les
instances internes ;
 Etudie le bien-fondé d’une proposition ou d’une action quelconque avant de prendre la
décision de s’investir dessus, que ce soit en matière d’investissement ou en rapport avec le
choix des collaborateurs ;

 Est garant de la discipline et de l’ordre ; de ce fait, il veille à tous les niveaux que tout ce qui
se fait se fasse dans l’ordre et la bienséance ;

 Assure la supervision en matière de formation et de gestion du fichier des missionnaires


dans la Coordination nationale ; il assure également la liaison entre ce Département et le
Bureau de la Coordination Nationale.

2.3.3.1.1 Département Afrique de la Mission et de la Formation (DAMF)


a) Définition du DAMF

Le DAMF est l’organe technique chargé de la coordination des missions évangéliques et


des formations dans toute l’Afrique et la diaspora. Dirigé par un Chef de Département Afrique, il
est représenté au Bureau Afrique et placé sous l’autorité du Président Afrique.

b) Missions du DAMF

Le DAMF a deux missions principales, à savoir : la formation et la mission.

Pour ce qui est de la formation, Le DAMF est responsable de :

 L’élaboration des programmes et des modules de formations bibliques au sein d’ALWM ;


 La coordination et la supervision de la formation des pasteurs et des prédicateurs au sein
d’ALWM ;
 La centralisation et le suivi dans un calendrier Afrique de toutes les prévisions de formation
des coordinations nationales ;
 En collaboration avec les Points Focaux, veille à l’effectivité et à la qualité de la formation
des chrétiens et des dirigeants en leur rang et qualité dans toutes les circonscriptions
d’ALWM ;
 La formation spéciale des pasteurs désignés par le Président Afrique pour les
communications officielles le cas échéant ;
 Le recrutement et le recyclage des formateurs ;
 La constitution des équipes chargées de la formation, de l’évaluation et de l’habilitation des
apprenants en fin de cycle ;
 La mise à la disposition du BA d’un fichier central actualisé des Prédicateurs et des Pasteurs
formés et non formés ; 
 La conception et l’harmonisation des modules, des unités d’enseignements et des leçons qui
les composent, en veillant à leur application selon l’approche pédagogique retenue par le
Département ;
 Le choix des méthodes d’enseignement en ligne et des logiciels appropriés ;
 La rédaction des termes de références et des cahiers de charge du matériel et équipements
didactiques et autres consommables nécessaires au bon fonctionnement du Département en
vue de leur acquisition par les entités compétentes du Bureau Afrique ;
 La tenue d’un fichier central actualisé des Prédicateurs et des Pasteurs d’ALWM ;
 La tenue des statistiques en matière de formation dans l’église en Afrique et dans la
diaspora ;
 La conception des outils en vue du suivi évaluation des pasteurs et prédicateurs ;
 La conception des outils d’aide à la décision en rapport avec les activités de formation ;
 La création et l’animation d’une base de données à l’usage des enseignants, de nature à
faciliter la recherche ;
 La mise à disposition d’une documentation de référence à l’usage des apprenants, relative
aux enseignements déjà dispensés, matérialisée par l’ouverture d’une bibliothèque
électronique et physique ;
 La rédaction du rapport mensuel des activités et de perspectives à court terme du
Département adressé au BA.
 L’archivage et la sauvegarde des travaux effectués et des publications initiées par le
Département, dont la copie originale doit être transmise au Secrétariat du Bureau Afrique.

Pour ce qui est du volet mission, le DAMF est chargé de :

 Tenir le tableau de bord de la mission en Afrique et dans la diaspora ;


 Elaborer, actualiser, et mettre à la disposition de l’église la carte ecclésiastique d’ALWM ;
 Elaborer et mettre à disposition du Bureau Afrique un fichier central des pasteurs et
prédicateurs d’ALWM ;
 En collaboration avec les Points Focaux, veiller à la bonne santé spirituelle de la mission
intérieure des Coordinations Nationales ;
 Tenir un état de la situation disciplinaire des pasteurs, des prédicateurs, et des ouvriers en
général d’ALWM ;
 Concevoir des traités, des prospectus, flyers, à caractère évangélique ;
 Tenir une fiche individuelle actualisée des pasteurs et prédicateurs d’ALWM ;
 Veiller sur la mise en œuvre du planning des missions ordonnées par le Président Afrique ;
 Dresser un rapport mensuel des missions effectuées, un état des missions en cours et un état
des missions en attente d’accomplissement.

2.3.3.1.2 Département National de la Mission et de la Formation (DNMF)

a) Définition du DNMF

Le DNMF est l’organe technique chargé de la coordination des missions évangéliques et des
formations sur le plan national ou au sein d’une coordination nationale. Dirigé par un Chef de
Département National, il est placé sous l’autorité du Coordonnateur National.

b) Missions du DNMF

La formation au sein du DNMF

Sur le plan de la formation, le DNMF est chargé de :

 L’implémentation des programmes et des modules de formations bibliques initiés par le


département d’ALWM au sein de la Coordination Nationale
 La coordination et la supervision de la formation des pasteurs et des prédicateurs au niveau
national ;
 La centralisation et le suivi dans un calendrier national de toutes les prévisions de formation
des coordinations de District ;
 En collaboration avec les Délégués de District, veille à l’effectivité et à la qualité de la
formation des chrétiens et des dirigeants en leur rang et qualité dans toutes les
circonscriptions nationales ;
 Le recrutement et le recyclage des formateurs ;
 La constitution des équipes chargées de la formation, de l’évaluation et de l’habilitation des
apprenants en fin de cycle ;
 La mise à la disposition de la Coordination Nationale d’un fichier central actualisé des
Prédicateurs et des Pasteurs formés et non formés ; 
 La veille au respect de la transmission harmonieuse des modules, des unités
d’enseignements et des leçons qui les composent, en veillant à leur application selon
l’approche pédagogique retenue par le Département Afrique ;
 L’implémentation des méthodes d’enseignement en ligne et des logiciels retenus par le BA ;
 La rédaction des termes de références et des cahiers de charge du matériel et équipements
didactiques et autres consommables nécessaires au bon fonctionnement du Département en
vue de leur acquisition par les entités compétentes de la Coordination Nationale ;
 La tenue d’un fichier central actualisé des Prédicateurs et des Pasteurs de la Coordination
Nationale ;
 La tenue des statistiques en matière de formation dans l’église au niveau national ;
 L’implémentation des outils mis à sa disposition par le Département Afrique, en vue du
suivi évaluation des pasteurs et prédicateurs ;
 L’implémentation des outils d’aide à la décision mis à sa disposition par le Département
Afrique, en rapport avec les activités de formation ;
 La création et l’animation d’une base de données à l’usage des enseignants, de nature à
faciliter la recherche ;
 La mise à disposition d’une documentation de référence à l’usage des apprenants, relative
aux enseignements déjà dispensés, matérialisée par l’ouverture d’une bibliothèque
électronique et physique ;
 La rédaction du rapport mensuel des activités et de perspectives à court terme du
Département adressé à la Coordination Nationale ;
 L’archivage et la sauvegarde des travaux effectués et des publications initiées par le
Département, dont la copie originale doit être transmise au Secrétariat du Bureau Afrique
via la Coordination Nationale.

La mission au sein du DNMF

Au niveau de la mission, le DNMF est chargé de :

 Tenir le tableau de bord de la mission au niveau national ;


 Elaborer, actualiser, et mettre à la disposition de l’église la carte ecclésiastique du pays ;
 Elaborer et mettre à la disposition de la Coordination Nationale un fichier central des
pasteurs et prédicateurs d’ALWM du pays de son ressort ;
 Veiller en collaboration avec les Coordinations de Districts, à la bonne santé spirituelle de la
mission intérieure ;
 Tenir un état de la situation disciplinaire des pasteurs, des prédicateurs, et des ouvriers en
général de la CN ;
 Concevoir des traités, des prospectus, flyers, à caractère évangélique ;
 Tenir une fiche individuelle actualisée des pasteurs et prédicateurs ;
 Veiller sur la mise en œuvre du planning des missions ordonnées par le Coordonnateur
National ;
 Dresser un rapport mensuel des missions effectuées ; un état des missions en cours ; un état
des missions en attente d’accomplissement.

2.3.3.1.3 Département de la Mission et de la Formation du District (DMFD)

a) Définition du DMFD

Le DMFD est l’organe technique chargé de la coordination des missions évangéliques et des
formations au sein des districts. Il est dirigé par le Délégué de District, hiérarchiquement placé sous
l’autorité du Coordonnateur du District et fonctionnellement sous le Chef de Département National.

b) Missions du DMFD

Ce Département dans un district a pour mission de :

 Vider le chrétien sauvé du vieux vin, renouveler son intelligence, balayer toutes les vielles
incompréhensions liées aux points doctrinaux et l’équiper des notions de base de la marche
chrétienne qui lui permettent de mieux intégrer la communauté ;
 Former les sauvés que le Seigneur a destinés à la fonction de prédicateurs ou de pasteurs
dans le but d’en faire des experts en la matière. Mettre à niveau ceux qui exercent déjà dans
le champ d’évangélisation, et recycler sur certains modules ceux dont les connaissances
tendent à devenir obsolètes du fait de l’éloignement par rapport au centre de formation ou
pour toute autre raison ayant engendré cet état de chose.

Attributions du Délégué de District de la Mission et de la Formation 

Le DDMF :

 Travaille de manière à atteindre les objectifs mensuels, trimestriels, semestriels et même


annuels définis par la Coordination nationale. Celle-ci définit également les moyens
nécessaires pour les atteindre ;
 Propose le budget initié, mené et élaboré sous son contrôle par les Assemblées ;
 Examine les rapports d’activités des Assemblées aux fins de relever et d’exploiter les écarts
sur l’ensemble des prévisions, écarts sur la réalisation du budget, sur la réalisation des
objectifs fixés aux unités opérationnelles et sur l’application des décisions prises ;
 Est libre, après leur examen, d’approuver ou de rejeter les projets d’activités élaborés et
proposés par les Assemblées ;
 Veille à la discipline et à l’ordre dans les ministères d’autorité au niveau du district en
collaboration avec le Coordonnateur de District ; de ce fait, il s’assure à tous les niveaux que
tout ce qui se fait se fasse dans l’ordre et la bienséance ;
 Assure la supervision en matière de formation et de la gestion du fichier des missionnaires
dans le district ; il assure également la liaison entre ce Département et le Bureau de la
Coordination du District.

La Formation

A ce niveau, il est responsable de :

 L’implémentation des programmes et des modules de formations bibliques au sein du


district ;
 La coordination et la supervision de la formation des pasteurs et des prédicateurs au sein du
district ;
 La veille en collaboration avec les Pasteurs, à l’effectivité et à la qualité de la formation des
chrétiens et des dirigeants en leur rang et qualité dans toutes les Assemblées ;
 La Mise à la disposition de la Coordination de district d’un fichier central actualisé des
Prédicateurs et des Pasteurs formés et non formés ; 
 L’implémentation des modules, des unités d’enseignements et des leçons qui les composent,
en veillant à leur application selon l’approche pédagogique retenue par le Département
National ;
 La tenue d’un fichier central actualisé des Prédicateurs et des Pasteurs du district ;
 La tenue des statistiques de l’église en matière de formation au sein du district ;
 La création et l’animation d’une base de données à l’usage des enseignants, de nature à
faciliter la recherche ;
 La mise à disposition d’une documentation de référence à l’usage des apprenants, relative
aux enseignements déjà dispensés, matérialisée par l’ouverture d’une bibliothèque
électronique et physique ;
 La rédaction du rapport mensuel des activités et de perspectives à court terme du
Département au niveau du district adressé à la Coordination du district ;
 L’archivage et la sauvegarde des travaux effectués et des publications initiées par le
Département, dont la copie originale doit être transmise au Secrétariat du Bureau de la
Coordination du district.

La Mission

A ce niveau, il est chargé de :

 Tenir le tableau de bord de la mission dans le district ;


 Elaborer, actualiser, et mettre à la disposition de l’église la carte ecclésiastique du district ;
 Elaborer et mettre à la disposition de la Coordination nationale un fichier central des
pasteurs et prédicateurs du district ;
 Veiller En collaboration avec les Pasteurs, à la bonne santé spirituelle de la mission
intérieure dans le district ;
 Tenir un état de la situation disciplinaire des pasteurs, des prédicateurs, et des ouvriers en
général du district ;
 Tenir une fiche individuelle actualisée des pasteurs et prédicateurs du district ;
 Veiller sur la mise en œuvre du planning des missions ordonnées par le Coordonnateur de
district ;
 Dresser un rapport mensuel des missions effectuées ; un état des missions en cours ; un état
des missions en attente d’accomplissement.

2.3.3.1.4 Département de la Mission et de la Formation de l’Assemblée


(DMFA)

a) Définition du DMFA
 
Le DMFA est la représentation dans l’assemblée de l’organe technique chargé de la
coordination des missions évangéliques et des formations. Il est dirigé par un porte-parole désigné
par le Pasteur Principal de l’assemblée en concertation avec le délégué du district.

b) Missions du DMFA 

Au sein de l’Assemblée, le DMFA

 Propose sur la demande du Pasteur principal les thèmes d’enseignements à dispenser au sein
des différents groupes, ainsi que les prédicateurs y afférents ;
 Explore les nouveaux champs d’évangélisation dans sa zone de compétence ;
 Propose au pasteur principal des sorties d’évangélisation et visites de prospection ;
 Tient une fiche individuelle actualisée des pasteurs et prédicateurs de l’Assemblée ;
 Assiste le Pasteur dans la conduite de l’école de base dans l’assemblée (spécialement pour
les nouveaux convertis : renforcer les enseignements sur le salut, et donner les éléments
pouvant lui permettre d’évangéliser) ;
 Approche, persuade et recense ceux qui doivent aller en formation, et en informe le Pasteur ;
 Assure la tenue d’un fichier actualisé des Prédicateurs et des Pasteurs de l’Assemblée ;
 Tient le fichier des statistiques en matière des formations dans l’Assemblée. (Nombre des
formations et les noms des baptisés).

2.3.3.2 Département de la Communication (DC)


Le DC est l’organe technique chargé de la Communication et de l’Information au sein
d’ALWM. Il a à sa tête un Chef de Département et se déploie au niveau Afrique, national, du
district et de l’assemblée.

2.3.3.2.1 Département Afrique de la Communication (DAC)

a) Définition du DAC

Le DAC est l’organe technique chargé de communication et de l’information dans toute


l’Afrique et la diaspora. Dirigé par un Chef de Département Afrique, il est représenté au Bureau
Afrique et placé sous l’autorité du Président Afrique.
b) Missions du DAC

Le DAC est chargé de :

 Diffuser les séminaires bibliques homologués à caractère évangélique ;


 Contribuer à l’édification du chrétien à travers les divers supports et canaux de
communication disponibles et homologués par ALWM ;
 Entretenir l’image de marque d’ALWM au travers des médias, des réseaux sociaux et tout
autre support publicitaire homologué par ALWM ;
 La couverture médiatique des séminaires et des activités d’évangélisation à caractère
panafricain ;
 La diffusion des images et des enseignements au moyen des canaux instruits par le Bureau
Afrique ;
 Recueillir et répondre aux besoins en matière de communication, d’information et de
documentation, exprimés par le BA ;
 Développer la communication au sein des Coordinations Nationales, entre celles-ci et le
Bureau Afrique, et entre elles ;
 La création des sites web, des médias et des organes de presse officiels pour le compte du
Bureau Afrique ;
 La traduction et l’interprétariat aux langues requises ;
 La coordination de la communication lors des rencontres organisées par le BA (Conventions
Internationales, QG Afrique…) ;
 Assurer le traitement, la censure, l’homologation et la diffusion de l’information dans les
plateformes réservées à ALWM ;
 La formation et le renforcement des capacités dans son domaine de compétence, des
ressources humaines mises à sa disposition ;
 Assister les autres Départements Afrique dans les domaines de communication propres
auxdits Départements ;
 La production des Supports de Communication marketing (flyers, booklets, billets, tee-
shirts, polos, calendriers etc.) ;
 Entretenir des rapports étroits avec les autres médias et organes de presses ;
 Créer et gérer les plateformes communicationnelles du BA et assister les Coordinations
Nationales dans la gestion des leurs ;
 La couverture des cérémonies et des événements importants organisés par le BA tels que les
conventions, les séminaires, les formations, l’inauguration de grands ouvrages et leur
diffusion sous forme d’opuscules, de supports graphiques, audiovisuels et électroniques ou
d’albums souvenirs ;
 La conception, la rédaction, la coordination et la diffusion du journal télévisé Afrique sous
la supervision générale du Président Afrique ;
 La réalisation des documentaires, la rédaction des chroniques et d’historiographie
d’ALWM ;
 Assurer la diffusion vers les Coordinations Nationales des cérémonies, des événements et
des spectacles organisés par le Bureau Afrique ou par une Coordination Nationale ;
 Concevoir et réaliser des émissions, des téléfilms, seule ou en coproduction avec une autre
entité d’ALWM ou externe à celle-ci ;
 La rédaction et la publication de la littérature et de la presse chrétiennes sous forme des
livres, des journaux, des revues, des magazines, de périodiques et de tout écrit à caractère
d’information et de communication ;
 Enregistrer, diffuser ou mettre en ligne des livres d’évangélisation, d’enseignements, des
œuvres stockées dans les supports tels que les CD, les DVD, les cartes-mémoires ;
 L’archivage et la sauvegarde des travaux effectués dans le cadre des événements qu’il a
couverts, et des publications placées sous sa responsabilité, tout en prenant soin de déposer
la copie originale auprès du Secrétariat du Bureau Afrique ;
 La rédaction des termes de référence et les cahiers de charges du matériel d’exploitation, des
fournitures, des gadgets publicitaires et de tout autre produit utile au bon fonctionnement du
Département, en vue de leur acquisition par l’entité compétente ;
 Assurer la gestion du matériel et équipements de communication mis à sa disposition ;
 La veille technologique de son domaine de compétence.

2.3.3.2.2 Département National de la Communication (DNC)


a) Définition du DNC

Le DNC est l’organe technique chargé de la Communication et de l’Information d’une


Coordination Nationale. Dirigé par un Chef de Département National, il est hiérarchiquement placé
sous l’autorité du Coordonnateur National et fonctionnellement sous le Chef de Département
Afrique.

b) Missions du DNC

Le DNC est chargé de :

 Contribuer à l’édification du chrétien à travers les divers supports et canaux de


communication disponibles et homologués par ALWM pour implémentation dans son pays ;
 Entretenir l’image de marque de l’Eglise au travers des médias, des réseaux sociaux et tout
autre support publicitaire homologués par ALWM ;
 La couverture médiatique des séminaires et des activités d’évangélisation à caractère
national ;
 La diffusion des images et des enseignements au moyen des canaux instruits par le
Coordonnateur National ;
 Recueillir et répondre aux besoins en matière de communication, d’information et de
documentation, exprimés par le Bureau de la Coordination nationale ;
 Développer la communication au sein de la Coordination Nationale, entre celle-ci et les
coordinations de district ;
 La création des sites web, des médias et des organes de presse officiels pour le compte de la
Coordination nationale ;
 La traduction et l’interprétariat aux langues requises ;
 La coordination de la communication lors des rencontres organisées par la Coordination
nationale (Conventions nationales, QG Nationaux) ;
 Assurer le traitement, la censure, l’homologation et la diffusion de l’information dans les
plateformes réservées à la Coordination nationale ;
 La formation et le renforcement des capacités, dans son domaine de compétence des
ressources humaines mises à sa disposition ;
 Assister les autres Départements Nationaux dans les domaines de communication propre
auxdits Départements ;
 La production des supports de communication marketing (flyers, booklets, billets, tee-shirts,
polos, calendriers etc…) ;
 Entretenir des rapports étroits avec les autres médias et organes de presses ;
 Créer et gérer les plateformes communicationnelles de la Coordination nationale et assister
les Coordinations de district dans la gestion des leurs ;
 La couverture des cérémonies et des événements importants organisés par la Coordination
nationale tels que les conventions, les séminaires, les formations, l’inauguration de grands
ouvrages et leur diffusion sous forme d’opuscules, de supports graphiques, audiovisuels et
électroniques ou d’albums souvenirs ;
 Relayer la diffusion du journal télévisé Afrique sous la supervision générale du
Coordonnateur National ;
 Réaliser les documentaires, rédiger des chroniques à destination du Département Afrique
qui se chargera de leur diffusion ;
 Assurer la diffusion vers les Coordinations de district des cérémonies, des événements et des
spectacles organisés par la Coordination nationale ou par une Coordination de district ;
 Concevoir et réaliser des émissions, des téléfilms, seule ou en coproduction avec une autre
entité de la Coordination nationale ou externe à celle-ci ;
 Rédiger et publier la littérature et la presse chrétiennes sous forme des livres, des journaux,
des revues, des magazines, de périodiques et de tout écrit à caractère d’information et de
communication ;
 Enregistrer, diffuser ou mettre en ligne des livres d’évangélisation, d’enseignements, des
œuvres stockées dans les supports tels que les CD, les DVD, les cartes-mémoires ;
 Archiver et sauvegarder les travaux effectués dans le cadre des événements qu’il a couverts,
et des publications placées sous sa responsabilité, tout en prenant soin de déposer la copie
originale auprès du Secrétariat du Bureau de la Coordination nationale ;
 Rédiger les termes de référence et les cahiers de charges du matériel d’exploitation, des
fournitures, des gadgets publicitaires et de tout autre produit utile au bon fonctionnement du
Département, en vue de leur acquisition par l’entité compétente ;
 Assurer la gestion du matériel et équipements de communication mis à sa disposition ;
 La veille technologique de son domaine de compétence.

2.3.3.2.3 Département de la Communication du District (DCD)


a) Définition du DCD

Le DCD est l’organe technique chargé de la Communication et de l’Information d’une


coordination de district. Dirigé par un Délégué Départemental, il est hiérarchiquement placé sous
l’autorité du Coordonnateur de District et fonctionnellement sous le Chef de Département National.

b) Missions du DCD

Le DCD est chargé de :

 Contribuer à l’édification du chrétien à travers les divers supports et canaux de


communication disponibles et homologués par la Coordination nationale et implémentés
dans son district ;
 Entretenir l’image de marque de l’église au sein du district au travers des médias, des
réseaux sociaux et tout autre support publicitaire homologués par la Coordination nationale ;
 La couverture médiatique des séminaires et des activités d’évangélisation à caractère
régional ;
 La diffusion des images et des enseignements au moyen des canaux instruits par le
Coordonnateur de district ;
 Recueillir et répondre aux besoins en matière de communication, d’information et de
documentation, exprimés par la Coordination de district ;
 Développer la communication au sein de la Coordination de district, entre celle-ci et la
Coordination nationale, et entre les districts ;
 Se connecter aux sites web, et utiliser les médias et les organes de presse officiels pour le
compte de la Coordination de district ;
 La traduction et de l’interprétariat aux langues requises ;
 La coordination de la communication lors des rencontres organisées par la Coordination de
district (Cultes d’ensemble, QG de district) ;
 Assurer le traitement, la censure, l’homologation et la diffusion de l’information dans les
plateformes réservées à la Coordination de district ;
 La formation et le renforcement des capacités dans son domaine de compétence des
ressources humaines mises à sa disposition ;
 Assister les autres Délégués de District dans les domaines de communication propres
auxdits Départements ;
 La production des Supports de Communication marketing (flyers, booklets, billets, tee-
shirts, polos, calendriers etc.) ;
 Entretenir des rapports étroits avec les autres médias et organes de presses ;
 Rejoindre les plateformes communicationnelles de la Coordination Nationale ;
 La couverture des cérémonies et des événements importants organisés par la Coordination
de district tels que les cultes d’ensemble du district, les séminaires, les formations,
l’inauguration de grands ouvrages et leur diffusion sous forme d’opuscules, de supports
graphiques, audiovisuels et électroniques ou d’albums souvenirs ;
 Assurer le relais du journal télévisé Afrique sous la supervision générale du Coordonnateur
de district ;
 La réalisation des documentaires, la rédaction des chroniques à destination du Département
National qui se chargera de la diffusion ;
 Assurer la diffusion vers les Assemblées des cérémonies, des événements et des spectacles
organisés par la Coordination nationale ou par la Coordination de district ;
 La rédaction et la publication sous le contrôle du Coordonnateur National et du
Coordonnateur de District de la littérature et de la presse chrétiennes sous forme des livres,
des journaux, des revues, des magazines, de périodiques et de tout écrit à caractère
d’information et de communication ;
 L’archivage et la sauvegarde des travaux effectués dans le cadre des événements qu’il a
couverts, et des publications placées sous sa responsabilité, tout en prenant soin de déposer
la copie originale auprès du Secrétariat de la Coordination du district ;
 La rédaction des termes de référence et les cahiers de charges du matériel d’exploitation, des
fournitures, des gadgets publicitaires et de tout autre produit utile au bon fonctionnement du
Département, en vue de leur acquisition par l’entité compétente ;
 Assurer la gestion du matériel et équipements de communication mis à sa disposition ;
 La veille technologique de son domaine de compétence.

2.3.3.2.4 Département de la Communication de l’Assemblée (DCA)


a) Définition du DCA

Le DCA est l’organe technique chargé de la communication et de l’information d’une


assemblée. Dirigé par un Porte-Parole, il est placé sous l’autorité du Pasteur Principal.

b) Missions du DCA

Le DCA est chargé de :

 Contribuer à l’édification du chrétien à travers les divers supports et canaux de


communication disponibles et homologués par la Coordination Nationale et implémentés
dans son Assemblée ;
 Entretenir l’image de marque de l’église dans son Assemblée au travers des médias, des
réseaux sociaux : Groupes WhatsApp de l’assemblée ;
 La couverture médiatique et la diffusion dans les groupes WhatsApp de l’assemblée des
séminaires, des enseignements et des diverses activités à caractère local de l’Assemblée ;
 Veiller à la transmission instantanée de toutes les informations et des données recueillies sur
la vie de l’assemblée à son département de tutelle ;
 Recueillir et répondre aux besoins en matière de communication, d’information et de
documentation, exprimés par le Comité directeur de l’Assemblée ;
 Développer la communication au sein de l’Assemblée ;
 Inciter les membres de l’assemblée à se connecter au site web, s’abonner et liker les pages
YouTube, Facebook, instagramme, et à utiliser les médias et les organes de presse officiels ;
 Inciter les membres de l’assemblée à liker et partager les nouvelles publications des œuvres
artistiques des membres de l’église ;
 Diffuser les différents enseignements des QG (QGA, QGN, QGD) et le journal Hebdo
Afrique ;
 La traduction et l’interprétariat aux langues requises ;
 Entretenir des rapports étroits avec les autres médias et organes de presses ;
 L’archivage et la sauvegarde des travaux effectués dans le cadre des événements qu’il a
couverts, et des publications placées sous sa responsabilité, tout en prenant soin de déposer
la copie originale auprès du Secrétaire de l’Assemblée ;
 Assurer la gestion du matériel et équipements de communication mis à sa disposition ;
 La veille technologique de son domaine de compétence.

2.3.3.3 Département des Arts et de la Culture (DAC)

a) Définition du DAC

Le DAC est l’organe technique chargé de promouvoir et de valoriser l’art et la culture sous
toutes leurs facettes au service de la propagation de l’évangile au sein d’ALWM. Il a à sa tête un
Chef de Département et se déploie au niveau Afrique, national, du district et de l’assemblée.
2.3.3.3.1 Département Afrique des Arts et de la Culture (DAAC)

a) Définition du DAAC

Le DAAC est l’organe technique chargé de promouvoir la louange au Seigneur tout en


valorisant l’art et la culture sous toutes leurs facettes au service de la propagation de l’évangile en
Afrique et dans la diaspora. Dirigé par un Chef de Département Afrique, il est représenté au Bureau
Afrique et placé sous l’autorité du Président Afrique.

b) Missions du DAAC

Dans le cadre de ses missions, le DAAC :

 Met en œuvre les actions de l’Eglise permettant d’assurer son rayonnement dans le monde
de la culture et de la création artistique ;
 Promeut la créativité artistique à caractère évangéliques dans toutes ses composantes ;
 Assure la politique de préservation et de valorisation du patrimoine culturel et la politique de
l’architecture et des arts ;
 Promeut des artistes chrétiens au plan africain ;
 Promeut la création de l’art et de l’esprit ;
 Assure le développement de l’éducation artistique et culturelle dans l’Eglise ;
 Assure la création et le suivi des Centres Culturels et des écoles de musiques et des arts au
sein d’ALWM ;
 Assure la protection, la conservation, l’enrichissement et la promotion du patrimoine
culturel, artistique et cinématographique des artistes chrétiens d’ALWM ;
 Gère pour le compte d’ALWM, les droits d’auteur, les brevets…
 Assure la promotion et le suivi de la diffusion des œuvres artistiques et cinématographiques
en collaboration avec le Département de la Communication ;
 Tient une copie des œuvres artistiques produites par les artistes chrétiens d’ALWM dont la
copie originale est conservée par le Département en charge du patrimoine ;
 Assure la création du ballet panafricain avec la collaboration du Département du Protocole
qui veillera aux signaux que la prestation émettra sur l’auditoire ;
 Créé un orchestre panafricain ;
 Rédige les termes de références et les cahiers de charge du matériel et équipements
nécessaires au bon fonctionnement du Département en vue de leur acquisition par les entités
compétentes du BA ;
 Assure la gestion du matériel et équipements mis à sa disposition ;
 Veille à la protection des Droits d’auteurs en collaboration avec le Département du
Patrimoine et de l’Investissement et de l’entité en charge des affaires juridiques d’ALWM ;
 Archive et sauvegarde les travaux effectués dans le cadre des activités placées sous sa
responsabilité, tout en prenant soin de déposer la copie originale auprès du Secrétariat du
Bureau Afrique ;
 S’occupe de la confection des recueils, des albums musicaux, des clips vidéo ou de films à
caractère panafricain et international sur support électronique, sur CD Roms ou sur support
imprimés ;
 S’occupe de la promotion de l’art chrétien et de la distribution des œuvres artistiques des
sauvés dans la perspective d’apporter un appoint de trésorerie et un appui financier à la
mission évangélique ;
 Supervise les grands évènements culturels organisés par le BA ;

2.3.3.3.2 Département National des Arts et de la Culture (DNAC)

a) Définition du DNAC

Est l’organe technique chargé de promouvoir la louange au Seigneur tout en valorisant l’art
et la culture sous toutes leurs facettes au service de la propagation de l’évangile dans une
Coordination nationale. Dirigé par un Chef de Département National, il est placé sous l’autorité du
Coordonnateur National.

b) Missions du DNAC

Le DNAC :

  Organise et supervise la mise en place des différentes entités en charge de la louange et de


la célébration du Seigneur sur l’étendue du territoire national ;
 Assure la programmation et la rotation des chorales au QGN ;

 Met en œuvre les actions de l’Eglise permettant d’assurer son rayonnement dans le monde
de la culture et de la création artistique ;
 Promeut la créativité artistique à caractère évangéliques dans toutes ses composantes ;
 Assure la politique de préservation et de valorisation du patrimoine culturel et la politique de
l’architecture et des arts ;
 Promeut des artistes chrétiens au plan national ;
 Promeut la création de l’art et des œuvres de l’esprit ;
 Assure le développement de l’éducation artistique et culturelle dans l’Eglise ;
 Assure la création et le suivi des Centres Culturels et des écoles de musique et des arts au
sein d’une Coordination nationale ;
 Assure la protection, la conservation, l’enrichissement et la promotion du patrimoine
culturel, artistique et cinématographique des artistes chrétiens de l’église ;
 Gère pour le compte de la coordination nationale, les droits d’auteur, les brevets en
collaboration avec le Département des Affaires Juridiques et celui du Patrimoine, de la
Logistique et de l’investissement ;
 Assure la promotion et le suivi de la diffusion des œuvres artistiques et cinématographique
en collaboration avec le Département de la Communication ;
 Tient une copie des œuvres artistiques produites par les artistes chrétiens de l’église dont la
copie originale est conservée par le Département en charge du patrimoine ;
 Assure la création du ballet national avec la collaboration du Département du Protocole qui
veillera aux signaux que la prestation émettra sur l’auditoire ;
 Crée un orchestre national ;
 Rédige les termes de références et les cahiers de charge du matériel et équipements
nécessaires au bon fonctionnement du Département en vue de leur acquisition par les entités
compétentes du Bureau de la Coordination nationale ;
 Assure la gestion du matériel et équipements mis à sa disposition ;
 En collaboration avec le Département du Patrimoine, de la Logistique et de l’Investissement
et de l’entité en charge des affaires juridiques de la Coordination nationale, il veille à la
protection des Droits d’auteurs ;
 Archive et sauvegarde les travaux effectués dans le cadre des activités placées sous sa
responsabilité, tout en prenant soin de déposer la copie originale auprès du Secrétariat du
Bureau de la Coordination nationale ;
 S’occupe de la confection des recueils, des albums musicaux, des clips vidéo ou de films à
caractère national sur support électronique, sur CD Roms ou sur support imprimés ;
 S’occupe de la promotion de l’art chrétien et de la distribution des œuvres artistiques des
sauvés dans la perspective d’apporter un appoint de trésorerie et un appui financier à la
mission évangélique ;
 Supervise les grands évènements culturels organisés par la Coordination nationale ;

2.3.3.3.3 Département des Arts et de la Culture du District (DACD)


a) Définition du DACD

Le DACD est l’organe technique chargé de promouvoir la louange au Seigneur tout en


valorisant l’art et la culture sous toutes leurs facettes au service de la propagation de l’évangile dans
une Coordination de District. Dirigé par un Délégué de District, il est hiérarchiquement placé sous
l’autorité du Coordonnateur de District et fonctionnellement sous le Chef de Département National.

b) Missions du DACD

Le DACD dans un district :

  Organise et supervise la mise en place des différentes entités en charge de la louange et de


la célébration du Seigneur dans sa circonscription ecclésiastique ;
 Assure la programmation et la rotation des chorales au QGD ;
 Planifie la rotation périodique des chorales dans les assemblées ;
 Met en œuvre les actions de l’Eglise permettant d’assurer son rayonnement dans le monde
de la culture et de la création artistique ;
 Promeut la créativité artistique à caractère évangéliques dans toutes ses composantes ;
 Assure la politique de préservation et de valorisation du patrimoine culturel et la politique de
l’architecture et des arts ;
 Promeut des artistes chrétiens au niveau du district ;
 Promeut la création de l’art et des œuvres de l’esprit ;
 Assure le développement de l’éducation artistique et culturelle dans l’Eglise ;
 Assure la création et le suivi des Centres Culturels et des écoles de musique et des arts au
sein de la Coordination de district ;
 Assure la protection, la conservation, l’enrichissement et la promotion du patrimoine
culturel, artistique et cinématographique des artistes chrétiens de la Coordination de district ;
 Assure la promotion et le suivi de la diffusion des œuvres artistiques et cinématographique
en collaboration avec le Département de la Communication ;
 Tient une copie des œuvres artistiques produites par les artistes chrétiens du district dont la
copie originale est conservée par le Département en charge du patrimoine ;
 Assure la création du ballet au niveau du district avec la collaboration du Département du
Protocole qui veillera aux signaux que la prestation émettra sur l’auditoire ;
 Crée un orchestre de district ;
 Rédige les termes de références et les cahiers de charge du matériel et équipements
nécessaires au bon fonctionnement du Département en vue de leur acquisition par les entités
compétentes de la Coordination de district ;
 Assure la gestion du matériel et équipements mis à sa disposition ;
 En collaboration avec le Département du Patrimoine de la logistique et de l’Investissement
et de l’entité en charge des affaires juridiques de la Coordination nationale, il veille à la
protection des Droits d’auteurs ;
 Archive et sauvegarde les travaux effectués dans le cadre des activités placées sous sa
responsabilité, tout en prenant soin de déposer la copie originale auprès du Secrétariat de la
Coordination de district ;
 S’occupe, sous le contrôle de sa hiérarchie, de la confection des recueils, des albums
musicaux, des clips vidéo ou de films à caractère régional sur support électronique, sur CD
Roms ou sur support imprimés ;
 S’occupe de la promotion de l’art chrétien et de la distribution des œuvres artistiques des
sauvés dans la perspective d’apporter un appoint de trésorerie et un appui financier à la
mission évangélique ;
 Supervise les grands évènements culturels organisés par la Coordination de district.

2.3.3.3.4 Département des Arts et de la Culture de l’Assemblée (DACA)

a) Définition du DACA

Le DACA est l’organe technique chargé de promouvoir la louange au Seigneur tout en


valorisant l’art et la culture sous toutes leurs facettes au service de la propagation de l’évangile dans
une assemblée. Dirigé par un Porte-Parole, il est hiérarchiquement placé sous l’autorité du Pasteur
Principal et fonctionnellement sous le Délégué de District.

b) Missions du DACA

Le DACA est chargé au sein de l’assemblée de :


 Organiser et superviser la mise en place de la chorale en charge de la louange et de la
célébration du Seigneur dans l’assemblée ;
 Promouvoir la créativité artistique à caractère évangéliques dans toutes ses composantes ;
 Assurer la politique de préservation et de valorisation du patrimoine culturel et la politique
de l’architecture et des arts ;
 Promouvoir les artistes et les œuvres artistiques chrétiens de l’église en collaboration avec le
porte-parole de la communication ;
 Promouvoir la création de l’art et de l’esprit ;
 Assurer le développement de l’éducation artistique et culturelle dans l’Assemblée ;
 Tenir une copie des œuvres artistiques produites par les artistes chrétiens de l’Assemblée
dont la copie originale est conservée par le Département en charge du patrimoine ;
 Assurer la création du ballet au niveau de l’Assemblée avec la collaboration du Département
du Protocole qui veillera aux signaux que la prestation émettra sur l’auditoire ;
 Créer un orchestre de l’Assemblée ;
 Rédiger les termes de références et les cahiers de charge du matériel et équipements
nécessaires au bon fonctionnement du Département en vue de leur acquisition par les entités
compétentes de l’Assemblée ;
 Assurer la gestion du matériel et équipements mis à sa disposition ;
 Archiver et sauvegarder les travaux effectués dans le cadre des activités placées sous sa
responsabilité, tout en prenant soin de déposer la copie originale auprès du Secrétaire de
l’assemblée ;
 Superviser les grands évènements culturels organisés par l’Assemblée.

2.3.3.4 Département des Finances (DF)


Malachie 3 : 10 (LSG)
Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, Afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison ;
Mettez-moi de la sorte à l’épreuve, dit l’Eternel des armées. Et vous verrez si je n’ouvre pas pour
vous les écluses des cieux, Si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance.

2Corinthiens 9 : 7 (LSG)


Que chacun donne comme il l’a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte ; car Dieu aime
celui qui donne avec joie.

Tite 3 : 14 (LSG)


Il faut que les nôtres aussi apprennent à pratiquer de bonnes œuvres pour subvenir aux besoins
pressants, afin qu’ils ne soient pas sans produire des fruits.

a) Définition du DF

Le Département Afrique des Finances est l’organe responsable du budget, de la gestion


financière, de la Comptabilité et de la Centrale d’achats au sein d’ALWM. Il a à sa tête un Chef de
Département et se déploie au niveau Afrique, national, du district et de l’assemblée.

2.3.3.4.1 Département Afrique Des Finances (DAF)

a) Définition du DAF

Le DAF est l’organe responsable du budget, de la gestion financière, de la Comptabilité et


de la Centrale d’achats en Afrique et la diaspora. Dirigé par un Chef de Département Afrique, il est
représenté au Bureau Afrique et placé sous l’autorité du Président Afrique.

b) Missions du DAF

Le DAF est chargé de :

 L’élaboration et le suivi du budget de toutes les entités du Bureau Afrique ;


 La centralisation, la consolidation et la tenue du tableau de bord budgétaire des
Coordinations Nationales et de la Diaspora ;
 La réalisation des études de financement des investissements et des charges d’exploitation
d’ALWM effectués par le BA ;
 La contre-expertise financière des projets présentés au BA par les Départements, les
Coordinations Nationales ou des tiers ;
 La mise à disposition des ressources financières nécessaires à la réalisation des projets
programmés ;
 Le suivi sur le plan financier de tous les projets engagés par le BA ou celui dans lequel
celui-ci est partie prenante ;
 L’implémentation des politiques de financement de l’œuvre en Afrique et dans la diaspora ;
 La commercialisation de tous les produits et œuvres d’art issus des activités des autres
Départements du BA ;
 La tenue de la caisse unique du BA ;
 L’élaboration d’un plan de comptes du BA,
 La tenue desdits comptes ;
 La consolidation et la centralisation de tous les comptes d’ALWM ;
 L’audit financier des Coordinations Nationales d’ALWM ;
 La confection des états financiers périodiques et annuels, du BA et des états consolidés des
Coordinations Nationales et de la Diaspora ;
 La tenue des documents financiers du BA ;
 La gestion des placements financiers du BA (dépôts bancaires, comptes d’épargne, actions,
parts des fonds collectifs, etc.) ;
 Les relations avec les institutions financières auprès desquelles le BA est client ;
 La cosignature des instruments de paiement avec le Président Afrique ou son mandataire ;
 La formation du personnel financier d’ALWM ;
 L’élaboration des tutoriels à l’attention des Départements Nationaux ;
 Le financement des besoins matériel, équipements et autres fournitures exprimés par les
entités du BA ;
 Le règlement des factures relatives aux charges de fonctionnement du BA ;
 La paie du soutien financier des pasteurs, des prédicateurs, et du personnel pris en charge
par le BA ;
 La veille technologique ;
 La rédaction des rapports périodiques et annuels à l’attention du BA.

2.3.3.4.2 Département National des Finances (DNF)

a) Définition du DNF

Le Département National des Finances est l’organe responsable du budget, de la gestion


financière, de la Comptabilité et de la centrale d’achats au niveau du BCN. Dirigé par un Chef de
Département National, il est hiérarchiquement placé sous l’autorité du Coordonnateur National et
fonctionnellement sous le Chef de Département Afrique.

b) Missions du DNF

Le DNF est chargé de :

 L’élaboration et le suivi du budget de toutes les entités de la CN ;


 La centralisation, la consolidation et la tenue du tableau de bord budgétaire des
Coordinations de Districts ;
 La réalisation des études de financement des investissements et des charges d’exploitation
effectués par la CN ;
 La contre-expertise financière des projets présentés à la CN par les Départements, les
Coordinations de District ou les tiers ;
 La mise à disposition des ressources financières nécessaires à la réalisation des projets
programmés ;
 Le suivi sur le plan financier de tous les projets engagés par la CN ;
 L’implémentation des politiques de financement de l’œuvre dans la CN ;
 La commercialisation de tous les produits et œuvres d’art issus des activités des autres
Départements de la CN ;
 La tenue de la caisse unique de la CN ;
 L’élaboration d’un plan de comptes de la CN ;
 La tenue desdits comptes ;
 La consolidation et la centralisation de tous les comptes de la CN ;
 L’audit financier des Coordinations de District ;
 La confection des états financiers périodiques et annuels de la CN et des états consolidés des
Coordinations de District ;
 La tenue des documents financiers de la CN ;
 La gestion des placements financiers de la CN (dépôts bancaires, comptes d’épargne,
actions, parts des fonds collectifs, etc…) ;
 Les relations avec les institutions financières auprès desquelles la CN est cliente ;
 La cosignature des instruments de paiement avec le Coordonnateur National ou son
mandataire ;
 La formation du personnel financier de la CN ;
 La mise à disposition des tutoriels à l’attention des Délégués de District ;
 Le financement des besoins en matériel, équipements et autres fournitures exprimés par les
entités de la CN ;
 Le règlement des factures relatives aux charges de fonctionnement de la CN ;
 La paie du soutien financier des pasteurs, des prédicateurs, et du personnel pris en charge
par la CN ;
 La veille technologique ;
 La rédaction des rapports périodiques et annuels à l’attention du BCN.

2.3.3.4.3 Département des Finances du District


a) Définition du DFD

Le Département des Finances au niveau du district est l’organe responsable du budget, de la


gestion financière, de la Comptabilité et de la centrale d’achats. Dirigé par un Délégué de District, il
est hiérarchiquement placé sous l’autorité du Coordonnateur de District et fonctionnellement sous le
Chef de Département National.

b) Missions du DFD

A cet effet, le Délégué des Finances du District est chargé de :

 L’élaboration et le suivi du budget de toutes les entités de la Coordination du District ;


 La centralisation, la consolidation et la tenue du tableau de bord budgétaire de la
Coordination de District et des Assemblées ;
 La réalisation des études de financement des investissements et des charges
d’exploitation effectués par la Coordination de District ;
 La contre-expertise financière des projets présentés à la Coordination du District par les
Départements, les assemblées ou les tiers ;
 La mise à disposition des ressources financières nécessaires à la réalisation des projets
programmés ;
 Le suivi sur le plan financier de tous les projets engagés par la Coordination de District
ou celui dans lequel celui-ci est partie prenante ;
 L’implémentation des politiques de financement de l’œuvre dans la Coordination de
District ;
 La commercialisation de tous les produits et œuvres d’art issus des activités des autres
Départements de la Coordination de District ;
 La tenue de la caisse de la Coordination de district ;
 L’élaboration d’un plan de comptes de la Coordination de District ;
 La tenue desdits comptes ;
 La consolidation et la centralisation de tous les comptes de la Coordination de District ;
 L’audit financier de la Coordination de District et des Assemblées ;
 La Confection des états financiers périodiques et annuels, de la Coordination de District
et des états consolidés des Assemblées ;
 La tenue des documents financiers de la Coordination de District ;
 La gestion des placements financiers de la Coordination de District (dépôts bancaires,
comptes d’épargne, actions, parts des fonds collectifs, etc.) ;
 Les relations avec les institutions financières auprès desquelles la Coordination de
District est cliente ;
 La cosignature des instruments de paiement avec le Coordonnateur de District ou son
mandataire ;
 La formation du personnel financier de la Coordination de District ;
 La mise à disposition des tutoriels à l’attention des Assemblées ;
 Le financement des besoins en matériel, équipements et autres fournitures exprimés par
les entités de la Coordination de District ;
 Le règlement des factures relatives aux charges de fonctionnement de la Coordination du
District ;
 La paie du soutien financier des pasteurs, des prédicateurs, et du personnel pris en
charge par la Coordination de district ;
 La veille technologique ;
 La rédaction des rapports périodiques et annuels à l’attention de la Coordination de
District.

2.3.3.4.4 Département des Finances de l’Assemblée (DFA)

a) Définition du DFA
Le Département des Finances au niveau de l’Assemblée est l’organe responsable du budget,
de la gestion financière, de la Comptabilité et de la centrale d’achats. Il est sous la responsabilité de
l’agent comptable qui est le porte-parole du DFA, hiérarchiquement placé sous l’autorité du Pasteur
Principal de l’Assemblée et fonctionnellement sous le Délégué des Finances du District.  

b) Missions du DFA

Dans l’assemblée, le DFA a deux missions majeures : la gestion de la comptabilité et le


contrôle financier d’une part, et la trésorerie d’autre part.
La comptabilité et le contrôle financier du DFA sont sous la responsabilité d’un agent
comptable désigné par le Pasteur Principal. Il est chargé de :
 L’élaboration et le suivi du budget de toutes les entités de l’Assemblée ;
 La centralisation, la consolidation et la tenue du tableau de bord budgétaire de l’Assemblée ;
 La réalisation des études de financement des investissements et des charges d’exploitation
effectués par l’Assemblée ;
 La contre-expertise financière des projets présentés au Comité Directeur de l’Assemblée par
les portes parole ou les tiers ;
 L’élaboration d’un plan de comptes de l’Assemblée ;
 La tenue desdits comptes ;
 L’audit financier de l’Assemblée ;
 La Confection des états financiers périodiques de l’Assemblée ;
 La tenue des documents financiers de l’Assemblée ;
 Le suivi sur le plan financier de tous les projets engagés par l’assemblée ou tout autre projet
ou celle-ci est partie prenante.
 L’implémentation des politiques de financement de l’œuvre dans l’assemblée
 La veille règlementaire et technologique ;
 La rédaction des rapports périodiques et annuels à l’attention du Comité Directeur de
l’Assemblée.

La trésorerie est sous la responsabilité d’un trésorier ou d’une Trésorière désigné(e) par le
Pasteur Principal. Elle est chargée de :
 La tenue de la caisse unique de l’assemblée
 Le suivi de la collecte des fonds dans l’Assemblée ;
 La mise à disposition des ressources financières nécessaires à la réalisation des projets
programmés ;
 La commercialisation de tous les produits et œuvres d’art issus des activités des autres
Départements mis à sa disposition ;
 La gestion des placements financiers de l’Assemblée (dépôts bancaires, comptes d’épargne,
actions, parts des fonds collectifs, etc.) ;
 Les relations avec les institutions financières auprès desquelles l’Assemblée est cliente ;
 La cosignature des instruments de paiement avec le Pasteur d’Assemblée ou son
mandataire ;
 Le financement des besoins en matériel, équipements et autres fournitures exprimés par les
entités de l’Assemblée ;
 Le règlement des factures relatives aux charges de fonctionnement de l’Assemblée ;
 La paie du soutien financier des pasteurs, des prédicateurs, et du personnel pris en charge
par l’assemblée ;

2.3.3.5 Département du Protocole (DP)

a) Définition du DP

Le Département Afrique du Protocole est l’organe technique du BA chargé des affaires


protocolaires et événementielles au sein d’ALWM. Il a à sa tête un Chef de Département et se
déploie au niveau Afrique, national, du district et de l’assemblée. Il se déploie sur deux (02) grands
axes : le Protocole pour la bienséance dans les cérémonies officielles, et la Sécurité.

2.3.3.5.1 Département Afrique Du Protocole (DAP)


a) Définition du DAP

Le Département Afrique du Protocole est l’organe technique du BA chargé des affaires


protocolaires et événementielles à caractère panafricain et international. Dirigé par un Chef de
Département Afrique, il est représenté au Bureau Afrique et placé sous l’autorité du Président
Afrique.

b) Missions du DAP

Le DAP se déploie sur deux grands axes : le Protocole pour la bienséance dans les
cérémonies officielles, et la Sécurité. A cet effet, il est chargé de :

 Créer et offrir un cadre convivial et agréable aux cérémonies organisées par le BA;
 Réserver aux invités et aux participants un accueil chaleureux et un hébergement adéquat le
cas échéant ;
 Offrir aux invités le cadre et les commodités de la vie des hôtes de marque ;
 Offrir à ses membres des formations et des renforcements de capacités leur permettant
d’avoir des compétences nécessaires à leur mission ;
 Organiser la couverture sanitaire et d’hygiène lors des rencontres à caractère panafricain ;
 Mettre à la disposition des Départements nationaux du Protocole des tutoriels leur
permettant de s’arrimer aux bonnes pratiques en la matière ;
 Entretenir une correspondance permanente avec les Départements Nationaux du Protocole
en ce qui concerne le séjour des missionnaires internationaux ;
 Créer et tenir à jour le fichier des membres du protocoles d’une part, et d’autre part, les
fichiers des officiels, des invités, des intervenants et des membres du comité d’organisation
des événements organisés ou à organiser par le BA ;
 La recherche, la location et l’intendance des locaux et des sites devant abriter une cérémonie
organisée par le BA, en collaboration avec le Département du Patrimoine et le Secrétariat du
BA;
 L’inspection, la réservation des lieux d’hébergement et le counseling des familles
d’accueil, en collaboration avec les Départements du Patrimoine et des Finances, et le
Secrétariat du BA;
 L’ordonnancement des cérémonies, des cultes, des QG, des réceptions et des conférences
organisées par le BA;
 Le pilotage logistique des manifestations ;
 L’élaboration et la mise à disposition du conducteur validé des cérémonies organisées par le
BA ;
 La tenue et la mise à jour des listes d’enseignants et des autres intervenants lors des
séminaires, conventions, formations, des cultes d’ensemble à caractère panafricain ;
 La tenue du fichier des statistiques de présence à chaque convocation et cérémonie
officielles internationale ;
 La gestion des préséances cérémonielles dans chaque cérémonie d’ALWM de son périmètre
de compétence ;
 Le recrutement et la gestion des hôtesses et stewards ;
 La décoration des lieux de cérémonie ;
 La gestion et la coordination des family visits organisées par le BA en collaboration avec le
Département du Patrimoine ;
 L’organisation du plan de table lors des évènements ;
 La rédaction des termes de références et des cahiers de charge du matériel et équipements
nécessaires au bon fonctionnement du Département en vue de leur acquisition par les entités
compétentes du BA ;
 La gestion du matériel et de la logistique mis à sa disposition ;
 La sécurité des personnes et des biens lors des cérémonies de son ressort.

2.3.3.5.2 Département National du Protocole (DNP)

a) Définition du DNP

Le Département National du Protocole est l’organe technique du BCN chargé des affaires
protocolaires et événementielles à caractère national. Dirigé par un Chef de Département National,
il est hiérarchiquement placé sous l’autorité du Coordonnateur National et fonctionnellement sous le
Chef de Département Afrique.

b) Missions du DNP

Le DNP se déploie sur deux grands axes : le Protocole pour la bienséance dans les
cérémonies officielles, et la Sécurité. A cet effet, il est chargé de :

 Créer et offrir un cadre convivial et agréable aux cérémonies organisées par la CN;
 Réserver aux invités et aux participants un accueil chaleureux et un hébergement adéquat le
cas échéant ;
 Offrir aux invités le cadre et les commodités de la vie des hôtes de marque ;
 Offrir à ses membres des formations et des renforcements de capacités leur permettant
d’avoir des compétences nécessaires à leur mission ;
 Organiser la couverture sanitaire et d’hygiène lors des rencontres à caractère national ;
 Mettre à la disposition des Délégués du Protocole des districts des tutoriels leur permettant
de s’arrimer aux bonnes pratiques en la matière ;
 Entretenir une correspondance permanente avec les Délégués de District du Protocole en ce
qui concerne le séjour des missionnaires nationaux ;
 Créer et tenir à jour le fichier des membres du protocole d’une part, et d’autre part, les
fichiers des officiels, des invités, des intervenants et des membres du comité d’organisation
des événements organisés ou à organiser par l’église ;
 La réservation, la location et l’intendance des locaux et des sites devant abriter une
cérémonie organisée par la CN en collaboration avec les départements du Patrimoine et
logistique ainsi que celui des Finances ;
 L’inspection, la réservation des lieux d’hébergement et le counseling des familles d’accueil ;
 La gestion des moyens de déplacement des convives lors des cérémonies en collaboration en
le département du patrimoine ;
 L’ordonnancement des cérémonies, des cultes, des QG, des réceptions et des conférences
organisées par la CN ;
 La coordination et le pilotage logistique des manifestations à caractère national ;
 L’élaboration et la mise à disposition du conducteur validé des cérémonies organisées par la
CN ;
 La tenue et la mise à jour des listes d’enseignants et des autres intervenants lors des
séminaires, conventions, formations, des cultes d’ensemble à caractère national ;
 La tenue du fichier des statistiques de présence à chaque réunion et cérémonie officielles du
pays ;
 La gestion des préséances cérémonielles dans chaque cérémonie organisée par la CN ;
 Le recrutement et la gestion des hôtesses et stewards ;
 La décoration des lieux de cérémonie ;
 La gestion et la coordination des family visits organisées par la CN ;
 L’organisation du plan de table et du service lors des évènements ;
 La rédaction des termes de références et des cahiers de charge du matériel et équipements
nécessaires au bon fonctionnement du Département en vue de leur acquisition par les entités
compétentes du Bureau de la CN ;
 La gestion du matériel et de la logistique mis à sa disposition ;
 La sécurité des personnes et des biens lors des cérémonies de son ressort.

2.3.3.5.3 Département du Protocole du District (DPD)


a) Définition du DPD

Le Département du Protocole au niveau du district est l’organe technique de la Coordination


du District chargé des affaires protocolaires et événementielles dans le district. Dirigé par un
Délégué de District, il est hiérarchiquement placé sous l’autorité du Coordonnateur de District et
fonctionnellement sous le Chef de Département National.

b) Missions du DPD

Le DPD se déploie sur deux grands axes au sein du district : le Protocole pour la bienséance
dans les cérémonies officielles, et la Sécurité. A cet effet, il est chargé de :

 Créer et offrir un cadre convivial et agréable aux cérémonies organisées par la Coordination
de District ;
 Réserver aux invités et aux participants un accueil chaleureux et un hébergement adéquat le
cas échéant ;
 Offrir aux invités le cadre et les commodités de la vie des hôtes de marque ;
 Offrir à ses membres des formations et des renforcements de capacités leur permettant
d’avoir des compétences nécessaires à leur mission ;
 Organiser la couverture sanitaire et d’hygiène lors des rencontres au niveau du district ;
 Mettre à la disposition des Porte-paroles du Protocole des Assemblées des tutoriels leur
permettant de s’arrimer aux bonnes pratiques en la matière ;
 Entretenir une correspondance permanente avec les Porte-paroles du Protocole des
Assemblées en ce qui concerne le séjour des missionnaires nationaux ou ceux du district ;
 Créer et tenir à jour le fichier des membres du protocole d’une part, et d’autre part, les
fichiers des officiels, des invités, des intervenants et des membres du comité d’organisation
des événements organisés ou à organiser par la Coordination du District ;
 La réservation, la location et l’intendance des locaux et des sites devant abriter une
cérémonie organisée par la Coordination de District en collaboration avec le département
des finances et celui du patrimoine de la logistique et de l’investissement ;
 L’inspection, la réservation des lieux d’hébergement et le counseling des familles d’accueil ;
 La gestion des moyens de déplacement des convives mis à sa disposition lors des
cérémonies ;
 L’ordonnancement des cérémonies, des cultes, des QG, des réceptions et des conférences
organisés par la Coordination de District ;
 La coordination et le pilotage logistique des manifestations ;
 L’élaboration et la mise à disposition du conducteur validé des cérémonies organisées par la
Coordination de District ;
 La tenue et la mise à jour des listes d’enseignants et des autres intervenants lors des
séminaires, conventions, formations, des cultes d’ensemble au niveau du district ;
 La tenue du fichier des statistiques de présence à chaque réunion et cérémonie officielles du
district ;
 La gestion des préséances cérémonielles dans chaque cérémonie organisée par la
Coordination de District ;
 Le recrutement et la gestion des hôtesses et stewards ;
 La décoration des lieux de cérémonie ;
 La gestion et la coordination des family visits organisées par la Coordination de District ;
 L’organisation du plan de table et du service lors des évènements ;
 La rédaction des termes de références et des cahiers de charge du matériel et équipements
nécessaires au bon fonctionnement du Département en vue de leur acquisition par les entités
compétentes de la Coordination de District ;
 La gestion du matériel et de la logistique mis à sa disposition ;
 La sécurité des personnes et des biens lors des cérémonies de son ressort.

2.3.3.5.4 Département Du Protocole de l’Assemblée (DPA)


a) Définition du DPA

Le Département du Protocole au niveau de l’assemblée est l’organe technique de


l’Assemblée chargé des affaires protocolaires et événementielles. Dirigé par un Porte-Parole, il est
hiérarchiquement placé sous l’autorité du Pasteur Principal et fonctionnellement sous le Délégué de
District du Protocole.

b) Missions du DPA
Le DPA se déploie sur deux grands axes dans l’Assemblée : le Protocole pour la bienséance
dans les cérémonies officielles, et la Sécurité.

A cet effet, le Porte-parole de ce Département est chargé de :


 Créer et offrir un cadre convivial et agréable aux cérémonies organisées par l’Assemblée ;
 Réserver aux invités et aux participants un accueil chaleureux et un hébergement adéquat le
cas échéant ;
 Offrir aux invités le cadre et les commodités de la vie des hôtes de marque ;
 Indiquer et solliciter en faveur de ses membres les besoins en formations et renforcement de
capacités leur permettant d’avoir des compétences nécessaires à leur mission ;
 Organiser la couverture sanitaire et d’hygiène pendant les rencontres dans l’Assemblée ;
 Créer et tenir à jour le fichier des membres du protocole d’une part, et d’autre part, les
fichiers des officiels, des invités, des intervenants et des membres du comité d’organisation
des événements organisés ou à organiser par l’Assemblée ;
 L’ordonnancement des cérémonies et des cultes, des réceptions et des conférences
organisées par l’Assemblée ;
 La coordination et le pilotage logistique des manifestations ;
 L’élaboration et la mise à disposition du conducteur validé des cérémonies organisées par
l’Assemblée ;
 La tenue et la mise à jour des listes d’enseignants et des autres intervenants lors des
séminaires, Communions des Pasteurs et des Prédicateurs, formations, et cultes au niveau de
l’Assemblée ;
 La tenue du fichier des statistiques de présence à chaque réunion et cérémonie officielles de
l’Assemblée ;
 La gestion des préséances cérémonielles dans chaque cérémonie organisée par l’Assemblée ;
 Le recrutement et la gestion des hôtesses et stewards ;
 La décoration des lieux de cérémonie ;
 La gestion et la coordination des family visits organisées par l’Assemblée ;
 L’organisation du plan de table et du service lors des évènements ;
 La rédaction des termes de références et des cahiers de charge du matériel et équipements
nécessaires au bon fonctionnement du Département en vue de leur acquisition par les entités
compétentes de l’Assemblée ;
 La gestion du matériel et de la logistique mis à sa disposition ;
 La sécurité des personnes et des biens lors des cérémonies de son ressort.

2.3.3.6 Département du Développement Socioéconomique et de la Famille


(DDSEF)

a) Définition du DDSEF

Le DDSEF est l’organe responsable des activités à caractère économique et de


l’épanouissement social d’ALWM en tant que famille. Il a à sa tête un Chef de Département et se
déploie au niveau Afrique, national, du district et de l’assemblée. Le DDSEF, est composé de quatre
groupes d’action, à savoir : Les hommes, les Femmes, les jeunes et les plus jeunes.
2.3.3.6.1 Département Afrique du Développement Socioéconomique et de la
Famille (DADSEF)

a) Définition du DADSEF

Le DADSEF est l’organe d’ALWM responsable des activités à caractère économique et de


l’épanouissement social d’ALWM en Afrique et la diaspora en tant que famille. Dirigé par un Chef
de famille Afrique, il est représenté au Bureau Afrique et placé sous l’autorité du Président Afrique.

b) Mission du DADSEF

Il a pour mission :

 L’élaboration des orientations générales et des stratégies de développement à moyen et long


termes et du suivi de leur mise en œuvre ;
 L’élaboration d'un cadre global de planification stratégique du développement
socioéconomique par la Coordination Nationale ;
 La réalisation des études et des analyses sur la cohérence des stratégies sectorielles (par
groupe d’actions et par Coordination Nationale) dans le cadre global de développement
établi par le BA ;
 La coordination des études et des projets d’intérêt socioéconomique d’ALWM et la diaspora
;
 La centralisation et la gestion de la banque des projets socioéconomiques ;
 La coordination et le suivi des activités des hommes, des femmes, des jeunes et des plus
jeunes ;
 La coordination et la supervision de la production et de la diffusion des données statistiques
d’ALWM et la diaspora ;
 L’organisation des activités à caractère international des hommes, des femmes, des jeunes,
et des plus jeunes ;
 La proposition de cadres de concertation permettant aux différents acteurs de
développement de contribuer à la définition, à la mise en œuvre et à l’évaluation des options
de développement socioéconomique ;
 La réalisation des modèles macro-économiques susceptibles d'éclairer les décisions du BA
en matière de politique de développement et social ;
 L’élaboration et de la mise en œuvre de la politique d’ALWM en matière de prévention et
d’assistance sociale ;
 Le reporting au BA de l’état de santé spirituelle et socioéconomique de chaque groupe
d’action.

c) Les groupes d’action du DADSEF

Le DADSEF, est composé de quatre groupes d’action, à savoir : Les hommes, les Femmes,
les jeunes, les plus jeunes.

i) Le Groupe d’Action Afrique des Hommes (GAAH)

Le GAAH est l’entité du DADSEF chargée au niveau du BA de :


 La veille de mise en œuvre harmonieuse des politiques africaines de l’épanouissement
moral, et matériel des hommes d’ALWM ;
 La coordination (suivi/évaluation) au plan africain et de la diaspora des activités des
hommes au niveau pays ;
 La consolidation des activités socioéconomiques d’ALWM ;
 L’encouragement des hommes à contribuer moralement, matériellement, physiquement
et financièrement aux projets et activités de la famille ;
 L’encadrement des initiatives et de la participation des hommes aux projets et activités
socioéconomiques ;
 La communion fraternelle, et du développement socioéconomique des hommes
d’ALWM ;
 L’organisation des activités à caractère international des hommes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des hommes ;
 L’organisation, l’encadrement et l’assistance en tant que homme, en cas de décès dans la
famille ALWM ;
 L’organisation, l’encadrement et la gestion en tant que hommes, des cas de naissance ;
 L’organisation, l’encadrement et la gestion en tant que hommes, des mariages ;
 L’organisation, l’encadrement et l’assistance des cas de maladies graves constatées ;
 L’organisation, l’encadrement et l’assistance aux nécessiteux, aux veuves, aux orphelins,
tant dans la famille ALWM, qu’en dehors ;
 L’organisation, l’encadrement et l’exercice de l’hospitalité ;
 L’encadrement moral et social du jeune homme ;
 La préparation du jeune homme à l’insertion dans la vie active ;
 La préparation du jeune homme au mariage ;
 L’organisation et la mise en œuvre de la conduite conjugale (discipline, fidélité…) ;
 L’organisation de l’éducation et l’épanouissement des plus jeunes de l’église ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DADSEF.

ii) Le Groupe d’Action Afrique des Femmes (GAAF)

Il est l’entité du DADSEF chargé au niveau du Bureau Afrique de :

 La veille de mise en œuvre harmonieuse des politiques africaines de l’épanouissement


moral, et matériel des femmes d’ALWM ;
 La coordination (suivi/évaluation) au plan africain et de la diaspora des activités des
femmes au niveau pays ;
 L’encouragement des femmes à contribuer moralement, matériellement, physiquement
et financièrement aux projets et activités de la famille ;
 L’encadrement des initiatives et de la participation des femmes aux projets et activités
socioéconomiques ;
 La communion fraternelle, et du développement socioéconomique des femmes
d’ALWM ;
 L’organisation des activités à caractère panafricain des femmes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des femmes ;
 L’assistance en tant que femmes, en cas de décès dans la famille ALWM ;
 La gestion en tant que femmes, des cas de naissance ;
 L’organisation et la gestion en tant que femmes, des mariages ;
 La restauration et les services y afférents en cas de nécessité ;
 L’assistance en cas de maladies graves constatées ;
 L’assistance aux nécessiteux, aux veuves, aux orphelins, tant dans la famille ALWM,
qu’en dehors ;
 L’exercice de l’hospitalité ;
 L’encadrement moral et social de la jeune fille ;
 La préparation de la jeune fille à l’insertion dans la vie active ;
 La préparation de la jeune fille au mariage ;
 La conduite conjugale (discipline, fidélité…) ;
 L’éducation et l’épanouissement des plus jeunes ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DADSEF.

iii) Le Groupe d’Action Afrique des Jeunes (GAAJ)

Il est l’entité du DADSEF chargé au niveau du Bureau Afrique de :


 La veille de mise en œuvre harmonieuse des politiques africaines de l’épanouissement
moral, et matériel des jeunes d’ALWM ;
 La coordination (suivi/évaluation) au plan africain et de la diaspora des activités des
jeunes au niveau pays ;
 L’encouragement des jeunes à contribuer moralement, matériellement, physiquement et
financièrement aux projets et activités de la famille ;
 L’encadrement des initiatives et de la participation des jeunes aux projets et activités
socioéconomiques ;
 La communion fraternelle, et du développement socioéconomique des jeunes
d’ALWM ;
 L’organisation des activités à caractère international des jeunes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des jeunes ;
 L’assistance en tant que jeunes, en cas de décès dans la famille ALWM ;
 La contribution en tant que jeunes, en cas de naissance ;
 La contribution des jeunes en cas mariages ;
 La contribution des jeunes lors des communions et des festivités familiales d’autres
natures ;
 Les travaux manuels et le service d’hygiène et de salubrité en cas de nécessité ;
 La contribution des jeunes en cas de maladies d’un membre de la famille ;
 La contribution des jeunes en cas d’assistance aux nécessiteux, aux veuves, aux
orphelins, tant dans la famille ALWM, qu’en dehors ;
 La contribution des jeunes à l’éducation et l’épanouissement des plus jeunes ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DADSEF.

iv) Le Groupe d’Action Afrique des Plus Jeunes (GAAPJ)

Il est l’entité du DADSEF chargé au niveau du Bureau Afrique de :


 La veille de la mise en œuvre harmonieuse des politiques africaines d’éducation,
d’épanouissement moral, et matériel des plus jeunes d’ALWM ;
 La coordination (suivi/évaluation) au plan africain et de la diaspora des activités des plus
jeunes au niveau pays ;
 L’apprentissage des plus jeunes à contribuer moralement, matériellement, physiquement
et financièrement aux projets et aux activités de la famille ;
 L’encadrement de la participation des plus jeunes aux projets et aux activités de la
famille ;
 La formalisation et de l’encadrement des activités post et périscolaires des plus jeunes ;
 L’organisation des activités à caractère panafricain des plus jeunes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des plus jeunes ;
 L’évaluation de l’apport des contenus éducatifs de l’Ecole du Dimanche à la croissance
sociale et l’épanouissement des plus jeunes ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DADSEF.

2.3.3.6.2 Département National du Développement Socioéconomique et de la


Famille (DNDSEF)

a) Définition du DNDSEF

Le DNDSEF est l’organe responsable des activités à caractère économique et de


l’épanouissement social de l’église en tant que famille sur l’ensemble du territoire national. Dirigé
par un Chef de famille National, il est hiérarchiquement placé sous l’autorité du Coordonnateur
National et fonctionnellement sous le Chef de Famille Afrique.

b) Mission du DNDSEF

Le DNDSEF a pour mission, en collaboration avec son Chef de Département Afrique :

 L’implémentation des orientations générales et des stratégies de développement à moyen et


long termes et du suivi de leur mise en œuvre ;
 L’élaboration d'un cadre global de planification stratégique du développement
socioéconomique dans l’église ;
 La réalisation des études et des analyses sur la cohérence des stratégies sectorielles (par
groupe d’actions) de développement avec le cadre global de développement établi par le
B.A ;
 La coordination des études et des projets d’intérêt socioéconomique dans l’église ;
 La centralisation et la gestion de la banque des projets socioéconomiques ;
 La coordination et le suivi des activités des hommes, des femmes, des jeunes et des plus
jeunes ;
 La coordination et de la supervision de la production et de la diffusion des données
statistiques ;
 L’organisation des activités à caractère national des hommes, des femmes, des jeunes, et des
plus jeunes ;
 La proposition de cadres de concertation permettant aux différents acteurs de
développement de contribuer à la définition, à la mise en œuvre et à l’évaluation des options
de développement socioéconomique ;
 La réalisation des modèles macro-économiques susceptibles d'éclairer les décisions de la CN
en matière de politique de développement et des politiques sociale ;
 L’implémentation et la mise en œuvre de la politique de l’église en matière de prévention et
d’assistance sociale ;
 Le reporting auprès du Chef de Département Afrique de l’état de santé spirituelle et
socioéconomique de chaque groupe d’action.

c) Les groupes d’action du DNDSEF

Le DNDSEF, est composé sur le plan national de quatre groupes d’action, à savoir : Les
hommes, les femmes, les jeunes, les plus jeunes.

i) Le Groupe d’Action National des Hommes (GANH)

Le GANH est l’entité du DNDSEF chargé au niveau de la CN de :

 La mise en œuvre harmonieuse des politiques africaines de l’épanouissement moral, et


matériel des hommes ;
 La coordination (suivi/évaluation) au plan national des activités des hommes ;
 La consolidation des activités socioéconomiques ;
 L’encouragement des hommes à contribuer moralement, matériellement, physiquement
et financièrement aux projets et activités de la famille (l’église) ;
 L’encadrement des initiatives et la participation des hommes aux projets et activités
socioéconomiques ;
 La communion fraternelle, et le développement socioéconomique des hommes dans
l’église ;
 L’organisation des activités à caractère national des hommes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des hommes ;
 L’organisation, l’encadrement et l’assistance en tant qu’hommes, en cas de décès dans
l’église ;
 L’organisation, l’encadrement et la gestion en tant qu’hommes, des cas de naissances ;
 L’organisation, l’encadrement et la gestion en tant qu’hommes, des mariages ;
 L’organisation, l’encadrement et la gestion en tant qu’hommes, des communions et
autres festivités familiales (fêtes de fin d’année…);
 L’organisation, l’encadrement et l’assistance des cas de maladies graves constatées ;
 L’organisation, l’encadrement et l’assistance aux nécessiteux, aux veuves, aux orphelins,
tant dans l’église qu’en dehors ;
 L’organisation, l’encadrement et l’exercice de l’hospitalité ;
 L’encadrement moral et social du jeune homme ;
 La préparation du jeune homme à l’insertion dans la vie active ;
 La préparation du jeune homme au mariage ;
 L’organisation et la mise en œuvre de la conduite conjugale (discipline, fidélité…) ;
 L’organisation de l’éducation et l’épanouissement des plus jeunes de l’église ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DNDSEF.

ii) Le Groupe d’Action National des Femmes (GANF)


Ce groupe est l’entité du DNDSEF chargé au niveau de la CN, de :

 La mise en œuvre harmonieuse des politiques africaines de l’épanouissement moral, et


matériel des femmes dans l’église ;
 La coordination (suivi/évaluation) au plan national des activités des femmes dans
l’église ;
 L’encouragement des femmes à contribuer moralement, matériellement, physiquement
et financièrement aux projets et activités de la famille (l’église) ;
 L’encadrement des initiatives et la participation des femmes aux projets et activités
socioéconomiques ;
 La communion fraternelle, et le développement socioéconomique des femmes ;
 L’organisation des activités à caractère national des femmes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des femmes ;
 L’assistance en tant que femmes, en cas de décès dans l’église ;
 La gestion en tant que femmes, des cas de naissances ;
 L’organisation et la gestion en tant que femmes, des mariages ;
 L’organisation et la gestion en tant que femmes, des communions et autres festivités
familiales (fêtes de fin d’année…) ;
 La restauration et les services y afférents ;
 L’assistance en cas de maladies graves constatées ;
 L’assistance aux nécessiteux, aux veuves, aux orphelins, tant dans l’église qu’en dehors ;
 L’exercice de l’hospitalité ;
 L’encadrement moral et social de la jeune fille ;
 La préparation de la jeune fille à l’insertion dans la vie active ;
 La préparation de la jeune fille au mariage ;
 La conduite conjugale (discipline, fidélité…) ;
 L’éducation et l’épanouissement des plus jeunes ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DNDSEF.

iii) Le Groupe d’Action National des Jeunes (GANJ)

Il est l’entité du DNDSEF chargé au niveau de la coordination nationale de :

 La mise en œuvre harmonieuse des politiques africaines de l’épanouissement moral, et


matériel des jeunes dans l’église ;
 La coordination (suivi/évaluation) au plan national des activités des jeunes ;
 L’encouragement des jeunes à contribuer moralement, matériellement, physiquement et
financièrement aux projets et activités de la famille (l’église) ;
 L’encadrement des initiatives et de la participation des jeunes aux projets et activités
socioéconomiques ;
 La communion fraternelle, et le développement socioéconomique des jeunes de l’église ;
 L’organisation des activités à caractère national des jeunes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des jeunes ;
 L’assistance en tant que jeunes, en cas de décès dans l’église ;
 La contribution en tant que jeunes, en cas de naissances ;
 La contribution des jeunes en cas de mariage ;
 La contribution des jeunes lors des communions et des festivités familiales d’autres
natures ;
 Les travaux manuels et le service d’hygiène et de salubrité ;
 La mise en place d’un service hebdomadaire de nettoyage du lieu du QGN ;
 La contribution des jeunes en cas de maladies d’un membre de la famille (l’église) ;
 La contribution des jeunes en cas d’assistance aux nécessiteux, aux veuves, aux
orphelins, tant dans l’église qu’en dehors ;
 La contribution des jeunes à l’éducation et l’épanouissement des plus jeunes ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DNDSEF.

iv) Le Groupe d’Action National des Plus Jeunes (GANPJ)

Ce groupe est l’entité du DNDSEF chargé au niveau de la CN de :

 La mise en œuvre harmonieuse des politiques africaines d’éducation, d’épanouissement


moral, et matériel des plus jeunes ;
 La coordination (suivi/évaluation) au plan national des activités des plus jeunes dans
l’église ;
 L’apprentissage des plus jeunes à contribuer moralement, matériellement, physiquement
et financièrement aux projets et aux activités de la famille (l’église) ;
 L’encadrement de la participation des plus jeunes aux projets et aux activités de l’église ;
 La formalisation et l’encadrement des activités post et périscolaires des plus jeunes ;
 L’organisation des activités à caractère national des plus jeunes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des plus jeunes ;
 L’évaluation de l’apport des contenus éducatifs de l’Ecole du Dimanche à la croissance
sociale et à l’épanouissement des plus jeunes ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DNDSEF.

2.3.3.6.3 Département du Développement Socioéconomique et de la Famille du


District (DDSEFD)
a) Définition du DDSEFD

Le Département du Développement Socioéconomique et de la Famille dans un district, en


abrégé DDSEFD est l’organe responsable des activités à caractère économique et de
l’épanouissement social de l’église en tant que famille dans un district. Dirigé par un Chef de
Famille de District, il est hiérarchiquement placé sous l’autorité du Coordonnateur de District et
fonctionnellement sous le Chef de Famille National.

b) Mission du DDSEFD

Cette entité a pour mission, en collaboration avec son Chef de Département National :

 L’implémentation des orientations générales et des stratégies de développement à moyen et


long termes et du suivi de leur mise en œuvre ;
 L’élaboration d'un cadre global de planification stratégique du développement
socioéconomique dans son district ;
 La réalisation des études et des analyses sur la cohérence des stratégies sectorielles (par
groupe d’actions) de développement avec le cadre global de développement établi par la
coordination nationale ;
 La coordination des études et des projets d’intérêt socioéconomique dans son district ;
 La centralisation et la gestion de la banque des projets socioéconomiques ;
 L’organisation, la coordination et le suivi des activités dans le District des hommes, des
femmes, des jeunes et des plus jeunes ;
 La coordination et la supervision de la production et de la diffusion des données
statistiques ;
 La proposition de cadres de concertation permettant aux différents acteurs de
développement de contribuer à la définition, à la mise en œuvre et à l’évaluation des options
de développement socioéconomique ;
 La réalisation des modèles macro-économiques susceptibles d'éclairer les décisions de la
Coordination de District en matière de politique de développement et politique sociale ;
 L’implémentation et la mise en œuvre de la politique de l’église en matière de prévention et
d’assistance sociale ;
 Le reporting auprès du Chef de Département National de l’état de santé spirituelle et
socioéconomique de chaque groupe d’action.

c) Les groupe d’action du DDSEFD

Le DDSEFD est composé de quatre groupes d’action, à savoir : Les hommes, les Femmes,
les jeunes, les plus jeunes.

i) Le Groupe d’Action des Hommes du District (GAHD)

Il est l’entité du DDSEF chargée au niveau du district de :

 La mise en œuvre harmonieuse des politiques de l’épanouissement moral, et matériel des


hommes ;
 La coordination (suivi/évaluation) au niveau du district des activités des hommes ;
 La consolidation des activités socioéconomiques ;
 L’encouragement des hommes à contribuer moralement, matériellement, physiquement
et financièrement aux projets et activités de la famille (l’église);
 L’encadrement des initiatives et de la participation des hommes aux projets et activités
socioéconomiques ;
 La communion fraternelle, et le développement socioéconomique des hommes de la
Coordination de District ;
 L’organisation des activités des hommes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des hommes ;
 L’organisation, l’encadrement et l’assistance en tant qu’homme, en cas de décès dans la
famille au niveau du district ;
 L’organisation, l’encadrement et la gestion en tant qu’hommes, des cas de naissances ;
 L’organisation, l’encadrement et la gestion en tant qu’hommes, des mariages ;
 L’organisation, l’encadrement et la gestion en tant qu’hommes, des communions et
d’autres festivités familiales (fêtes de fin d’année…);
 L’organisation, l’encadrement et l’assistance des cas de maladies graves constatées ;
 L’organisation, l’encadrement et l’assistance aux nécessiteux, aux veuves, aux orphelins,
tant dans l’église, qu’en dehors ;
 L’organisation, l’encadrement et l’exercice de l’hospitalité ;
 L’encadrement moral et social du jeune homme ;
 La préparation du jeune homme à l’insertion dans la vie active ;
 La préparation du jeune homme au mariage ;
 L’organisation et la mise en œuvre de la conduite conjugale (discipline, fidélité…) ;
 L’organisation de l’éducation et l’épanouissement des plus jeunes de l’église ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DDSEFD.

ii) Le Groupe d’Action des Femmes du District (GAFD)

Ce groupe est l’entité du DDSEF chargée au niveau du district, de :

 La mise en œuvre harmonieuse des politiques de l’épanouissement moral, et matériel des


femmes ;
 La coordination (suivi/évaluation) des activités des femmes au niveau du district ;
 L’encouragement des femmes à contribuer moralement, matériellement, physiquement
et financièrement aux projets et activités de la famille (l’église) ;
 L’encadrement des initiatives et de la participation des femmes aux projets et activités
socioéconomiques ;
 La communion fraternelle, et le développement socioéconomique des femmes ;
 L’organisation des activités des femmes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des femmes ;
 L’assistance en tant que femmes, en cas de décès dans la famille au niveau du district ;
 La gestion en tant que femmes, des cas de naissances ;
 L’organisation et la gestion en tant que femmes, des mariages ;
 L’organisation et la gestion en tant que femmes, des communions et d’autres festivités
familiales (fêtes de fin d’année…) ;
 La restauration et les services y afférents ;
 L’assistance en cas de maladies graves constatées ;
 L’assistance aux nécessiteux, aux veuves, aux orphelins, tant dans l’église qu’en dehors ;
 L’exercice de l’hospitalité ;
 L’encadrement moral et social de la jeune fille ;
 La préparation de la jeune fille à l’insertion dans la vie active ;
 La préparation de la jeune fille au mariage ;
 La conduite conjugale (discipline, fidélité…) ;
 L’éducation et l’épanouissement des plus jeunes ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DDSEF.

iii) Le Groupe d’Action des Jeunes du District (GAJD)


Cette entité est chargée au niveau du district de :

 La mise en œuvre harmonieuse des politiques de l’épanouissement moral, et matériel des


jeunes dans une coordination de district ;
 La coordination (suivi/évaluation) des activités des jeunes au niveau du district ;
 L’encouragement des jeunes à contribuer moralement, matériellement, physiquement et
financièrement aux projets et activités de la famille (l’église) ;
 L’encadrement des initiatives et de la participation des jeunes aux projets et activités
socioéconomiques ;
 La communion fraternelle, et le développement socioéconomique des jeunes de la
Coordination du District ;
 L’organisation des activités des jeunes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des jeunes ;
 L’assistance en tant que jeunes, en cas de décès dans l’église ;
 La contribution en tant que jeunes, en cas de naissances ;
 La contribution des jeunes en cas de mariages ;
 La contribution des jeunes lors des communions et des festivités familiales d’autres
natures ;
 Les travaux manuels et le service d’hygiène et de salubrité ;
 La contribution des jeunes en cas de maladies d’un membre de la famille ;
 La contribution des jeunes en cas d’assistance aux nécessiteux, aux veuves, aux
orphelins, tant dans l’église qu’en dehors ;
 La contribution des jeunes à l’éducation et l’épanouissement des plus jeunes ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DDSEF.

iv) Le Groupe d’Action des Plus Jeunes du District (GAPJD)

Cette entité est chargée au niveau du district de :

 La mise en œuvre harmonieuse des politiques d’éducation, d’épanouissement moral, et


matériel des plus jeunes ;
 La coordination (suivi/évaluation) des activités des plus jeunes au niveau du district ;
 L’apprentissage des plus jeunes à contribuer moralement, matériellement, physiquement
et financièrement aux projets et aux activités de la famille ;
 L’encadrement de la participation des plus jeunes aux projets et aux activités de la
famille ;
 La formalisation et l’encadrement des activités post et périscolaires des plus jeunes ;
 L’organisation des activités des plus jeunes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des plus jeunes ;
 L’évaluation de l’apport des contenus éducatifs de l’Ecole du Dimanche à la croissance
sociale et l’épanouissement des plus jeunes ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DDSEF.

2.3.3.6.4 Département du Développement Socioéconomique et de la Famille


de l’Assemblée (DDSEFA)
a) Définition du DDSEFA

Le Département du Développement Socioéconomique et de la Famille dans une Assemblée,


en abrégé DDSEFA est l’organe responsable des activités à caractère économique et de
l’épanouissement social dans l’église en tant que famille dans une Assemblée. Dirigé par un Chef
de famille, il est hiérarchiquement placé sous l’autorité du Pasteur Principal et fonctionnellement
sous le Chef de Famille de District.

b) Mission du DDSEFA

Le Chef de famille de ce Département a pour mission, en collaboration avec son Délégué de


District :
 L’implémentation des orientations générales et des stratégies de développement à moyen et
long termes et du suivi de leur mise en œuvre ;
 L’élaboration d'un cadre global de planification stratégique du développement
socioéconomique de l’assemblée ;
 La réalisation des études et des analyses sur la cohérence des stratégies sectorielles (par
groupe d’actions) de développement avec le cadre global de développement établi par
l’Eglise ;
 La coordination des études et des projets d’intérêt socioéconomique dans son Assemblée ;
 La centralisation et la gestion de la banque des projets socioéconomiques de l’assemblée ;
 La coordination et le suivi des activités des hommes, des femmes, des jeunes et des plus
jeunes ;
 La coordination et la supervision de la production et de la diffusion des données
statistiques ;
 L’organisation des activités à caractère local des hommes, des femmes, des jeunes, et des
plus jeunes ;
 La proposition de cadres de concertation permettant aux différents acteurs de
développement de contribuer à la définition, la mise en œuvre et à l’évaluation des options
de développement socioéconomique ;
 La réalisation des modèles macro-économiques susceptibles d'éclairer les décisions de la
Coordination de District en matière de politique de développement et de politique sociale ;
 L’implémentation et de la mise en œuvre de la politique de l’Eglise en matière de prévention
et d’assistance sociale ;
 Le reporting auprès du Comité Directeur de l’état de santé spirituelle et socioéconomique de
chaque groupe d’action.

c) Les groupes d’action du DDSEFA

Le DDSEFA, est composé dans l’assemblée de quatre groupes d’action, à savoir : Les hommes,
les Femmes, les jeunes, les plus jeunes.

i) Le Groupe d’Action des Hommes de l’Assemblée (GAHA)

Cette entité du DDSEFA est chargée au niveau de l’Assemblée de :


 La mise en œuvre harmonieuse des politiques de l’Eglise de l’épanouissement moral, et
matériel des hommes ;
 La coordination (suivi/évaluation) des activités des hommes ;
 La consolidation des activités socioéconomiques ;
 L’encouragement des hommes à contribuer moralement, matériellement, physiquement
et financièrement aux projets et activités de la famille (l’église) ;
 L’encadrement des initiatives et de la participation des hommes aux projets et activités
socioéconomiques ;
 La communion fraternelle, et le développement socioéconomique des hommes de
l’assemblée ;
 L’organisation des activités à caractère local des hommes ;
 La gestion du fichier des hommes ;
 L’organisation, l’encadrement et l’assistance en tant qu’homme, en cas de décès dans la
famille au niveau de l’Assemblée ;
 L’organisation, l’encadrement et la gestion en tant qu’hommes, des cas de naissances ;
 L’organisation, l’encadrement et la gestion en tant qu’hommes, des mariages ;
 L’organisation, l’encadrement et la gestion en tant qu’hommes, des communions et
d’autres festivités familiales (fêtes de fin d’année…);
 L’organisation, l’encadrement et l’assistance des cas de maladies graves constatées ;
 L’organisation, l’encadrement et l’assistance aux nécessiteux, aux veuves, aux orphelins,
tant dans la famille des saints, qu’en dehors ;
 L’organisation, l’encadrement et l’exercice de l’hospitalité ;
 L’encadrement moral et social du jeune homme ;
 La préparation du jeune homme à l’insertion dans la vie active ;
 La préparation et l’accompagnement du jeune homme au mariage ;
 L’organisation et la mise en œuvre de la conduite conjugale (discipline, fidélité etc) ;
 L’organisation de l’éducation et l’épanouissement des plus jeunes de l’assemblée ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DDSEFA.

ii) Le Groupe d’Action des Femmes de l’Assemblée (GAFA)

Ce groupe est l’entité du DDSEFA chargée au niveau de l’Assemblée, de :


 La mise en œuvre harmonieuse des politiques de l’épanouissement moral, et matériel des
femmes ;
 La coordination (suivi/évaluation) des activités des femmes au niveau de l’Assemblée ;
 L’encouragement des femmes à contribuer moralement, matériellement, physiquement
et financièrement aux projets et activités de la famille ;
 L’encadrement des initiatives et de la participation des femmes aux projets et activités
socioéconomiques ;
 La communion fraternelle, et du développement socioéconomique des femmes ;
 L’organisation des activités à caractère local des femmes ;
 La gestion du fichier des femmes ;
 L’assistance en tant que femmes, en cas de décès dans la famille au niveau de
l’assemblée ;
 La gestion en tant que femmes, des cas de naissances ;
 L’organisation et la gestion en tant que femmes, des mariages ;
 L’organisation et la gestion en tant que femmes, des communions et d’autres festivités
familiales (fêtes de fin d’année…) ;
 La restauration et les services y afférents ;
 L’assistance en cas de maladies graves constatées ;
 L’assistance aux nécessiteux, aux veuves, aux orphelins, tant dans l’assemblée qu’en
dehors ;
 L’exercice de l’hospitalité ;
 L’encadrement moral et social de la jeune fille ;
 La préparation de la jeune fille à l’insertion dans la vie active ;
 La préparation et l’accompagnement de la jeune fille au mariage ;
 La conduite conjugale (discipline, fidélité…) ;
 L’éducation et l’épanouissement des plus jeunes ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DDSEFA.

iii) Le Groupe d’Action des Jeunes de l’Assemblée (GAJA)

Il est l’entité du DDSEFA chargée au niveau de l’Assemblée de :


 La mise en œuvre harmonieuse des politiques de l’épanouissement moral, et matériel des
jeunes dans une Assemblée ;
 La coordination (suivi/évaluation) des activités des jeunes au niveau de l’Assemblée ;
 L’encouragement des jeunes à contribuer moralement, matériellement, physiquement et
financièrement aux projets et activités de la famille (l’église) ;
 L’encadrement des initiatives et de la participation des jeunes aux projets et activités
socioéconomiques ;
 La communion fraternelle, et le développement socioéconomique des jeunes de
l’Assemblée ;
 L’organisation des activités à caractère local des jeunes ;
 La gestion du fichier des jeunes ;
 L’assistance en tant que jeunes, en cas de décès dans l’église ;
 La contribution en tant que jeunes, en cas de naissance ;
 La contribution des jeunes en cas mariages ;
 La contribution des jeunes lors des communions et des festivités familiales d’autres
natures ;
 Les travaux manuels et le service d’hygiène et de salubrité (nettoyage divers) ;
 La contribution des jeunes en cas de maladies d’un membre de la famille ;
 La contribution des jeunes en cas d’assistance aux nécessiteux, aux veuves, aux
orphelins, tant dans l’assemblée qu’en dehors ;
 La contribution des jeunes à l’éducation et l’épanouissement des plus jeunes ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DDSEFA.

iv) Le Groupe d’Action des Plus Jeunes de l’Assemblée (GAPJA)

Ce groupe du DDSEFA est chargé au niveau de l’Assemblée de :


 La mise en œuvre harmonieuse des politiques de l’Eglise d’éducation, d’épanouissement
moral, et matériel des plus jeunes ;
 La coordination (suivi/évaluation) des activités des plus jeunes au niveau de
l’Assemblée ;
 L’apprentissage des plus jeunes à contribuer moralement, matériellement, physiquement
et financièrement aux projets et aux activités de la famille ;
 L’encadrement de la participation des plus jeunes aux projets et aux activités de la
famille ;
 La formalisation et l’encadrement des activités post et périscolaires des plus jeunes ;
 L’organisation des activités des plus jeunes ;
 La consolidation et la gestion du fichier des plus jeunes ;
 L’évaluation de l’apport des contenus éducatifs de l’Ecole du Dimanche à la croissance
sociale et l’épanouissement des plus jeunes ;
 La préparation des éléments de son domaine de compétence, à inclure dans le rapport
périodique du DDSEFA.

2.3.3.7 Département du Patrimoine, de la Logistique et des Investissements


(DPLI)
a) Définition du DPLI

Le DPLI est l’organe responsable d’organiser et de gérer de manière optimale le patrimoine,


la logistique et les investissements au sein d’ALWM. Il a à sa tête un Chef de Département et se
déploie au niveau Afrique, national, du district et de l’assemblée.

2.3.3.7.1 Département Afrique du Patrimoine, de la Logistique et des


Investissements (DAPLI)
a) Définition du DAPLI

Le DAPLI est l’organe responsable d’organiser et de gérer de manière optimale le


Patrimoine, la logistique et les Investissements en Afrique et la diaspora. Dirigé par un Chef de
Département Afrique, il est représenté au BA.

b) Mission du DAPLI

Le DAPLI a pour mission :

 Le recensement et l’évaluation réguliers du patrimoine d’ALWM ;


 L’organisation, le suivi des inventaires physiques systématiques du Patrimoine des
Coordinations Nationales et de la Diaspora ;
 La centralisation du fichier du patrimoine d’ALWM ;
 La maitrise d’ouvrage délégué des projets immobiliers initiés par ALWM ;
 L’identification, l’étude et la programmation des projets d’investissement ;
 L’élaboration pour chaque projet d’un schéma d’ordonnancement ;
 Le suivi de l’exécution des travaux relevant d’ALWM dans le respect strict du plan
d’ordonnancement et de l’ordre de priorité des tâches ;
 L’acquisition des immobilisations corporelles, incorporelles et financières en coaction avec
le Département des Affaires Juridiques et celui des Finances ;
 L’acquisition du matériel et des fournitures d’exploitation d’ALWM ;
 La gestion et l’entretien du patrimoine d’ALWM ;
 La programmation des acquisitions et des investissements en fonction des besoins
préalablement recensés et dont l’accord de financement a été donné, et le financement lui-
même garanti ;
 Le pilotage ou le suivi de la réalisation des projets engagés ;
 Le pilotage ou le suivi des travaux de réhabilitation des bâtiments anciens ;
 L’acquisition en coaction avec le Département des Affaires Juridiques et celui des Finances
à titre onéreux, des immobilisations en général : corporelles, incorporelles, financières
destinées à entrer dans le patrimoine d’ALWM ;
 La gestion des actifs et du passif (dettes et emprunts …) d’ALWM en collaboration avec le
Département des Affaires Juridiques et celui des Finances ;
 La gestion des moyens de déplacement des convives lors des cérémonies en collaboration
avec le DAP ;
 La recherche, la location et l’intendance des locaux et des sites devant abriter une cérémonie
organisée par le BA, en collaboration avec les Départements du Protocole et des Finances et
le Secrétariat du BA ;
 L’acquisition formelle du petit matériel, outillage ;
 L’acquisition des matériaux, des matières premières et des fournitures pour ALWM ;
 La conservation en relation avec le Secrétariat du BA, de la documentation et des supports
scientifiques ;
 La mise en magasin des achats stockés des biens meubles ;
 La gestion des stocks d’ALWM ;
 Le suivi des mouvements de chaque élément du patrimoine ;
 La déclaration d’incident : panne, perte, vol, destruction, détérioration et de mise en rebut,
dans un formulaire conçu à cet effet ;
 La maintenance, l’administration et l’exploitation des installations techniques et du parc
immobilier et automobile ;
 La rédaction d’un rapport régulier de la situation du patrimoine d’ALWM à la disposition du
BA.

2.3.3.7.2 Département National Du Patrimoine, de la Logistique et des


Investissements (DNPLI)
a) Définition du DNPLI

Le DNPLI est l’organe du Bureau de la Coordination Nationale responsable du patrimoine et


la de la logistique qu’il gère, ainsi que des investissements. Dirigé par un Chef de Département
National, il est hiérarchiquement placé sous l’autorité du Coordonnateur National et
fonctionnellement sous le Chef de Département.

b) Mission du DNPLI

Le DNPLI a pour mission :

 Le recensement et l’évaluation réguliers du patrimoine national mis à la disposition de la


Coordination Nationale ;
 L’organisation, le suivi des inventaires systématiques des éléments du patrimoine de la
Coordination Nationale ;
 La centralisation du fichier du patrimoine de la Coordination Nationale ;
 L’identification, l’étude et la programmation des projets d’investissement.
 Le suivi de l’exécution des travaux relevant de la Coordination Nationale dans le respect
strict du plan d’ordonnancement et de l’ordre de priorité des tâches.
 L’acquisition des immobilisations corporelles, incorporelles et financières en coaction avec
le Département National des Finances ;
 La réservation, la location et l’intendance des locaux et des sites devant abriter une
cérémonie organisée par la coordination nationale en collaboration avec les départements du
Protocole et celui des Finances ;
 L’acquisition des matières et fournitures d’exploitation de la Coordination Nationale en
collaboration avec le département des finances ;
 La gestion et l’entretien du patrimoine de la Coordination Nationale ;
 L’Elaboration pour chaque projet d’un schéma d’ordonnancement ;
 La programmation des acquisitions et des investissements en fonction des besoins
préalablement recensés et dont l’accord de financement a été donné, et le financement lui-
même garanti ;
 Le suivi de la réalisation des projets engagés ;
 L’acquisition en coaction avec le Département des Affaires Juridiques et le Département
National des Finances à titre onéreux des immobilisations en général : corporelles,
incorporelles, financières destinées à entrer dans le patrimoine national ;
 L’acquisition formelle du petit matériel, outillage et équipement non considérés comme
éléments d’actif immobilisé en collaboration avec le département des finances ;
 L’acquisition des matériaux, des matières premières et des fournitures de toute nature en
collaboration avec le Département des Finances ;
 L’achat de la documentation et des supports scientifiques en collaboration avec le
département des finances ;
 La mise en magasin des achats stockés des biens meubles ;
 L’enregistrement des entrées des éléments du patrimoine dans le livre des inventaires ;
 L’ouverture d’une fiche de stock par élément, à l’entrée en stock ;
 Le suivi des mouvements de chaque élément du patrimoine ;
 La déclaration d’incident : panne, perte, vol, destruction, détérioration et de mise en rebut ou
autre, dans un formulaire conçu à cet effet ;
 La rédaction d’un rapport régulier de la situation du patrimoine national.

2.3.3.7.3 Département du Patrimoine, de la Logistique et des Investissements


du District (DPLID)
a) Définition du DPLID

Le DPLID est l’organe de la Coordination du District responsable du patrimoine, de la


logistique et des Investissements qu’il gère sous la supervision de la Coordination de district. Il est
dirigé par un Délégué de District fonctionnellement rattaché au Chef de Département National.
b) Mission du DPLID

Le DPLID a pour mission :

 Le recensement et l’évaluation réguliers du patrimoine national mis à la disposition de la


Coordination du District ;
 L’organisation, le suivi des inventaires systématiques des biens meubles et immeubles et du
matériel roulant de la Coordination de District ;
 La centralisation du fichier du patrimoine de la Coordination de District ;
 L’identification, l’étude et la programmation des projets d’investissement dans son district.
 Le suivi de l’exécution des travaux relevant de la Coordination de District dans le respect
strict du plan d’ordonnancement et de l’ordre de priorité des tâches ;
 L’acquisition des immobilisations corporelles, incorporelles et financières en coaction avec
le Département des Finances ;
 L’acquisition des matières et fournitures d’exploitation de la Coordination de District ;
 La gestion et l’entretien du patrimoine de la Coordination de District ;
 L’Elaboration pour chaque projet d’un schéma d’ordonnancement ;
 La programmation des acquisitions et des investissements en fonction des besoins
préalablement recensés et dont l’accord de financement a été donné, et le financement lui-
même garanti ;
 Le suivi de la réalisation des projets engagés ;
 L’acquisition en coaction avec le Département des Affaire Juridiques, et le Département des
Finances à titre onéreux des immobilisations en général : corporelles, incorporelles,
financières destinées à entrer dans le patrimoine du district ;
 L’acquisition formelle du petit matériel, outillage et équipement non considérés comme
éléments d’actif immobilisé en collaboration avec le département des finances;
 L’acquisition des matériaux, des matières premières et des fournitures de toute nature en
collaboration avec le département des finances ;
 L’achat de la documentation et des supports scientifiques en collaboration avec le
département des finances ;
 La mise en magasin des achats stockés des biens meubles ;
 L’enregistrement des entrées des éléments du patrimoine dans le livre des inventaires ;
 L’ouverture d’une fiche de stock par élément, à l’entrée en stock ;
 Le suivi des mouvements de chaque élément du patrimoine ;
 La déclaration d’incident : panne, perte, vol, destruction, détérioration et de mise en rebut ou
autre, dans un formulaire conçu à cet effet ;
 La rédaction d’un rapport régulier de la situation du patrimoine du district.

2.3.3.7.4 Département du Patrimoine, de la Logistique et des Investissements


de l’Assemblée (DPLIA)
a) Définition du DPLIA
Le DPLIA qui est dirigé par un Porte-parole est l’organe de l’Assemblée responsable du
patrimoine et de la logistique qu’il gère sous la supervision du Pasteur Principal de l’Assemblée,
ainsi que des investissements. Il est fonctionnellement rattaché au Délégué de District.

b) Mission du DPLIA

Le DPLIA a pour mission :


 Le recensement et l’évaluation réguliers du patrimoine et la logistique de l’Eglise mis à la
disposition de l’Assemblée ;
 L’organisation, le suivi des inventaires systématiques des biens meubles et immeubles et du
matériel de l’Assemblée ;
 L’enregistrement et la conservation des immobilisations corporelles, incorporelles et
financières ;
 L’enregistrement et la conservation des matières et fournitures d’exploitation de
l’Assemblée ;
 La gestion et l’entretien du patrimoine et la logistique de l’Assemblée ;
 La participation à toutes les commissions d’acquisition à titre onéreux des immobilisations
en général : corporelles, incorporelles, financières destinées à entrer dans le patrimoine de
l’église en collaboration avec le département des finances ;
 L’acquisition formelle en coaction avec le département des finances du petit matériel,
outillage et équipement non considérés comme éléments d’actif immobilisé (ampoules ;
pilles etc);
 La mise en magasin des achats stockés des biens meubles ;
 L’enregistrement des entrées des éléments du patrimoine dans le livre des inventaires ;
 L’ouverture d’une fiche de stock par élément, à l’entrée en stock ;
 Le suivi des mouvements de chaque élément du patrimoine ;
 La déclaration d’incident : panne, perte, vol, destruction, détérioration et mise en rebut ou
autre, dans un formulaire conçu à cet effet ;
 La rédaction d’un rapport régulier de la situation du patrimoine de l’Assemblée.

2.3.3.8 Département des Affaires Juridiques et de la Règlementation (DAJR)

Mathieu 22 : (LSG)


17 Dis-nous donc ce qu’il t’en semble : est-il permis ou non de payer le tribut à César ? 19
Montrez-moi la monnaie avec laquelle on paie le tribut. Et ils lui présentèrent un dénier. 20 Il leur
demanda : De qui sont cette effigie et cette inscription ? 21 De César, lui répondirent-ils. Alors ils
leur dit : Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.

Romains 13 : (LSG)


1Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures ; car il n’y a point d’autorité qui ne
vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. 2 C’est pourquoi celui qui
s’oppose à l’autorité résiste à l’ordre que Dieu a établi, et ceux qui résistent attireront une
condamnation sur eux-mêmes. 3 Ce n’est pas pour une bonne action, c’est pour une mauvaise, que
les magistrats sont à redouter. Veux-tu ne pas craindre l’autorité ? Fais le bien, et tu auras son
approbation. 4 Le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien. Mais si tu fais le mal, crains ; car
ce n’est pas en vain qu’il porte l’épée, étant serviteur de Dieu pour exercer la vengeance et punir
celui qui fait mal. 5 Il est donc nécessaire d’être soumis, non seulement par crainte de la punition,
mais encore par motif de conscience. 6 C’est aussi pour cela que vous payez les impôts. Car les
magistrats sont des ministres de Dieu entièrement appliqués à cette fonction. 7 Rendez à tous ce qui
leur est dû : l’impôt à qui à qui vous devez l’impôt, le tribut à qui vous devez le tribut, la crainte à
qui vous devez la crainte, l’honneur à qui vous devez l’honneur.

a) Définition du DAJR

Conformément aux textes Bibliques ci-dessus, le DAJR est l’organe par excellence de veille
et de gestion de la conformité de l’Eglise à la réglementation en vigueur dans l’espace de sa
représentation tant en Afrique que dans la diaspora. Il a à sa tête un Chef de Département et se
déploie au niveau national, Afrique et dans la diaspora.

2.3.3.8.1 Département Afrique des Affaires Juridiques et de la Règlementation


(DAAJR)
a) Définition du DAJR

Dirigé par un Chef de Département Afrique, le DAAJR est l’organe chargé de l’assistance,
du conseil juridique, de la gestion des risques juridiques, du suivi des affaires contentieuses et de la
règlementation d’ALWM.

b) Mission du DAAJR

Le DAAJR a pour mission :

 L’avis, l’analyse et les consultations juridiques dans tous les domaines du droit pouvant
toucher le fonctionnement interne d’ALWM ;
 L’ingénierie juridique permettant d’analyser, de proposer et de mettre en œuvre des
montages juridiques nouveaux ou complexes ;
 L’assistance du Bureau Afrique et de l’ensemble des Coordinations Nationales et des
services dans l’élaboration et la négociation des conventions ;
 La définition et la mise en place d’outils juridiques types et d’outils d’aide à la décision
juridique (contrat-types, guide, outils de suivi…) à l’attention du BA et des CN ;
 L’obtention des diverses autorisations auprès des instances judiciaires et des administrations
concernées en vue de la bonne tenue des cérémonies ;
 L’intervention ou l’assistance des hôtes en difficulté auprès des autorités aéroportuaires et
des services de douane en vue des diligences administratives y relatives ;
 La saisine de conseils juridiques extérieurs pour la délivrance d’avis et les consultations
juridiques ;
 L’assistance et le conseil juridique du BA et des CN dans le cadre de situations
précontentieuses ;
 L’assistance et le conseil du BA dans le cadre de la gestion et le suivi des contentieux ;
 La prise en charge avec l’assistance technique des Départements intéressés des contentieux
complexes ou à fort enjeu pour le Département (complexité juridique, incidences
financières, niveau d’instance…) ;
 La Définition des modalités de saisine des avocats en charge de la défense des intérêts
d’ALMW dans le cadre des instances précontentieuses ou contentieuses ;
 La définition et la mise en place des outils juridiques nécessaires dans le cadre de l’activité
contentieuse (autorisation d’ester en justice, outils de suivi…) ;
 L’élaboration du compte rendu annuel à l’attention du BA et des autres instances sur
l’exercice de l’activité contentieuse ;
 La collecte au sein des entités (Département, CN…) de l’ensemble des éléments techniques
et administratifs permettant de fournir le cas échéant, des éléments d’éclairage juridiques
rendus nécessaires ou alerter sur les risques juridiques ;
 La recherche avec l’assistance d’un conseil extérieur si nécessaire, d’antériorités préalables
à tout dépôt de marque, au dépôt de marques, au renouvellement de marques déposées, à la
mise en œuvre des actions nécessaires à leur protection ;
 La veille réglementaire et juridique conformément aux recommandations du BA ; 1
Corinthiens 4 : 6 « …ne pas aller au-delà de ce qui est écrit… ».

2.3.3.8.2 Département National des Affaires Juridiques et de la


Réglementation (DNAJR)
a) Définition du DNAJR

Le DNAJR est l’organe chargé de l’assistance, du conseil juridique, de la gestion des risques
juridiques, du suivi des affaires contentieuses et de la règlementation d’ALWM dans l’espace de sa
représentation nationale. Il est Dirigé par un Chef de Département National sous l’autorité du
Coordonnateur National.

b) Missions du DNAJR

Le DNAJR a pour mission :

 L’avis, l’analyse et les consultations juridiques dans tous les domaines du droit pouvant
toucher au fonctionnement interne de l’église ;
 L’ingénierie juridique permettant d’analyser, de proposer et de mettre en œuvre des
montages juridiques nouveaux ou complexes ;
 L’assistance de la Coordination Nationale et de l’ensemble des Coordinations de Districts et
des services dans l’élaboration et la négociation des conventions ;
 La définition et la mise en place d’outils juridiques types et d’outils d’aide à la décision
juridique (contrat-types, guide, outils de suivi…) à l’attention de la Coordination Nationale
et des Districts Ecclésiastiques ;
 La saisine de conseils juridiques extérieurs pour la délivrance d’avis et les consultations
juridiques si nécessaire ;
 L’assistance et le conseil juridique de la Coordination Nationale et des Districts dans le
cadre de situations précontentieuses ;
 L’assistance et le conseil de l’église dans le cadre de la gestion et du suivi des contentieux ;
 La prise en charge avec l’assistance technique des Départements intéressés des contentieux
complexes ou à fort enjeu pour le Département (complexité juridique, incidences
financières, niveau d’instance…) ;
 La Définition des modalités de saisine des avocats en charge de la défense des intérêts de la
coordination nationale dans le cadre des instances précontentieuses ou contentieuses ;
 La définition et la mise en place des outils juridiques nécessaires dans le cadre de l’activité
contentieuse (autorisation d’ester en justice, outils de suivi…) ;
 L’élaboration du compte rendu annuel à l’attention de la CN et des autres instances sur
l’exercice de l’activité contentieuse ;
 La collecte au sein des entités (Département, Coordinations de districts…) de l’ensemble
des éléments techniques et administratifs permettant de fournir le cas échéant, des éléments
d’éclairage juridiques rendus nécessaires ou alerter sur les risques juridiques ;
 La recherche avec l’assistance d’un conseil extérieur si nécessaire, d’antériorités préalables
à tout dépôt de marque, au dépôt de marques, au renouvellement de marques déposées, à la
mise en œuvre des actions nécessaires à leur protection ;
 La veille réglementaire et juridique conformément aux recommandations du BA.

1 Corinthiens 4 : 6 « …ne pas aller au-delà de ce qui est écrit… ».

3 LES CONVOCATIONS D’ALWM

Les convocations d’ALWM sont des plateformes de rassemblement d’importance graduelle,


en vue de l’implémentation de ses mission et objectifs.

3.1 La Convention
Lévitique 8 :
1L’Eternel parla à Moïse, et dit : 2 Prends Aaron et ses fils avec lui, les vêtements, l’huile
d’onction, le taureau expiatoire, les deux béliers et la corbeille de pains sans levain ; 3 et convoque
toute l’assemblée à l’entrée de la tente d’assignation. 4 Moïse fit ce que l’Eternel lui avait
ordonné ; et l’assemblée se réunit à l’entrée de la tente d’assignation.5 Moïse dit à l’assemblée :
Voici ce que l’Eternel a ordonné de faire.

Nombres 20 :
7 L’Eternel parla à Moïse, et dit : 8 Prends la verge, et convoque l’assemblée, toi et ton frère
Aaron. Vous parlerez en leur présence au rocher, et il donnera ses eaux ; tu feras sortir pour eux de
l’eau du rocher, et tu abreuveras l’assemblée et leur bétail.

1 Samuel 10 : 17 à 19
Samuel convoqua le peuple devant l’Eternel à Mitspa, et il dit aux enfants d’Israël : Ainsi parle
l’Eternel, le Dieu d’Israël : J’ai fait monter d’Egypte Israël, et je vous ai délivrés de la main des
Egyptiens et de la main de tous les royaumes qui vous opprimaient. Et aujourd’hui, vous rejetez
votre Dieu, qui vous a délivrés de tous vos maux et de toutes vos souffrances, et vous lui dites :
Etablis un roi sur nous ! Présentez-vous maintenant devant l’Eternel, selon vos tribus et selon vos
milliers.

3.1.1 La Convention Internationale (CI)

3.1.1.1 Définition et tenue de la CI


A la lumière des textes bibliques sus cités, la Convention Internationale est l’instance qui
réunit, sous l’égide du Président Afrique, tous les frères et sœurs sauvés (le peuple de Dieu,
l’Eglise) d’Afrique et de la diaspora. Elle se tient périodiquement au siège à Yaoundé Cameroun, à
la convocation du Président Afrique (PA). Elle peut aussi se tenir dans les mêmes conditions dans
un autre pays appartenant à l’espace ALWM. Le Président Afrique désigne à cet effet un Président
du Comité d’Organisation (PCO) auquel il confie la charge de l’organisation matérielle et financière
de l’événement.

3.1.1.2 Les Attributions de la CI


La Convention Internationale (CI) se tient sous la supervision du Président Afrique qui en est
l’organisateur. Elle a pour rôle et pouvoir de :
 Actualiser les connaissances des participants sur la prédication du séminaire au moyen des
sessions-modèles harmonisées qui y sont prêchées en deux jours ;

 Tenir informés tous les participants de la vie de l’Eglise en Afrique et dans le monde à
travers les rapports détaillés (écrits et lus) des Points Focaux de Zones, et des Coordonnateurs
Nationaux. En cas d’absence d’un coordonnateur, le Point Focal de la zone prend la parole en ses
lieu et place. Le Président Afrique clôture par un rapport de synthèse sur l’œuvre en Afrique ;

 Dispenser aux pasteurs et prédicateurs une formation classique actualisée et harmonisée de


six jours portant sur la prédication du séminaire ;

 Dispenser aux différents responsables des enseignements sur les modules-clés pour le
perfectionnement des sauvés afin qu’ils soient tous convenablement équipés pour leur service et
que chacun soit rendu capable d’exercer son ministère en vue de l’édification du Corps du
Christ ;

 Organiser les ateliers ou séances de travail entre le Président Afrique et : les Points Focaux
et Coordonnateurs Nationaux ; les Chefs de Départements Nationaux ; tout autre responsable ou
collaborateur de son choix ;

 Organiser les rencontres et les séances de travail entre chaque Chef de Département Afrique
et les membres présents de son réseau ; entre chaque Point Focal et les Coordonnateurs
Nationaux de sa zone ;

 Expliquer l’organisation et le fonctionnement de l’Eglise ;

 Faire la synthèse écrite des résolutions et des conclusions issues de différents travaux et
ateliers, et les faire tenir aux responsables concernés pour implémentation, chacun dans son
domaine de compétence.

3.1.1.3 Composition de la CI
Elle est l’instance qui rassemble tous les membres de l’Eglise d’Afrique et de la diaspora.

a) Le Président du Comité d’Organisation (PCO) de la CI

2Chroniques 35 : 10 à 16
10 Le service s’organisa, et les sacrificateurs et les Lévites occupèrent leur place, selon leurs
divisions, d’après l’ordre du roi. 11Ils immolèrent la Pâque ; les sacrificateurs répandirent le sang
qu’ils recevaient de la main des Lévites, et les Lévites dépouillèrent les victimes. 14 Ensuite ils
préparèrent ce qui était pour eux et pour les sacrificateurs, car les sacrificateurs, fils d’Aaron,
furent occupés jusqu’à la nuit à offrir les holocaustes et les graisses ; c’est pourquoi les Lévites
préparèrent pour eux et pour les sacrificateurs, fils d’Aaron. 15 Les chantres, fils d’Asaph, étaient
à leur place, selon l’ordre de David, d’Asaph, d’Héman, et de Jeduthun le voyant du roi, et les
portiers étaient à chaque porte ; ils n’eurent pas à se détourner de leur office, car leurs frères les
Lévites préparèrent ce qui était pour eux. 16 Ainsi fut organisé ce jour-là tout le service de
l’Eternel pour faire la Pâque et pour offrir des holocaustes sur l’autel de l’Eternel, d’après l’ordre
du roi Josias.

Le PCO de la CI est chargé de l’organisation matérielle et financière de la Convention. A ce


titre :

 Il est responsable du bon déroulement de chaque articulation de la convention ;


 Il élabore le budget et en assure le suivi ;
 Il forme les commissions auxquelles il confie des tâches spécifiques en s’appuyant sur les
départements existants ;
 Il met en place une comptabilité-matières qui constate et enregistre les mouvements des
stocks des matières premières, entrées, sorties et solde ;
 Il tient un journal de caisse qui donne à sa gestion une réelle traçabilité ;

A la fin de la Convention, à partir des rapports de différentes commissions, il dresse un bilan


exhaustif et l’adresse au Président Afrique à titre de compte rendu.

3.1.2 La Convention Nationale


Lévitique 8 : 3
…et convoque toute l’assemblée à l’entrée de la tente d’assignation. 4 Moïse fit ce que l’Eternel
lui avait ordonné ; et l’assemblée se réunit à l’entrée de la tente d’assignation.5 Moïse dit à
l’assemblée : Voici ce que l’Eternel a ordonné de faire.

Nombres 20 : 7
L’Eternel parla à Moïse, et dit : 8 Prends la verge, et convoque l’assemblée, toi et ton frère Aaron.
Vous parlerez en leur présence au rocher, et il donnera ses eaux ; tu feras sortir pour eux de l’eau
du rocher, et tu abreuveras l’assemblée et leur bétail.

3.1.2.1 Définition et tenue


Sous la supervision du PA, la Convention Nationale est l’instance qui réunit, sous l’égide du
CN, assisté du PF, tous les frères et sœurs sauvés d’un pays. Elle accueille aussi les sauvés des
autres pays d’Afrique, de la diaspora et du reste du monde désireux d’y prendre part.

La Convention Nationale se tient à la demande du Coordonnateur National qui en est


l’organisateur. La demande est validée par le Président Afrique, à la date et au lieu choisis par la
Coordination Nationale. Le Coordonnateur National doit créer à cet effet un Comité d’Organisation,
à la tête duquel il nomme un PCO à qui il confie la charge de l’organisation matérielle et financière
de l’événement.

Le Coordonnateur National peut inviter à sa convenance, les responsables nationaux des


autres pays, les membres du BA selon l’importance des sujets à l’ordre du jour requérant leur
expertise.
3.1.2.2 Missions de la Convention Nationale
La Convention Nationale a pour missions de :

 Implémenter le modèle des sessions harmonisées et communiquées lors de la dernière


Convention Internationale.
 Tenir informés tous les participants de la vie de l’Eglise dans le pays, à travers les rapports
détaillés (écrits et lus) des Coordonnateurs de district et le discours-programme du
Coordonnateur National ;
 Expliquer l’organisation et le fonctionnement de l’église ;
 Dispenser aux fidèles les enseignements de base ;
 Dispenser aux différents responsables des enseignements sur les modules-clés pour le
perfectionnement des sauvés.
 Organiser les ateliers ou les séances de travail entre le Coordonnateur National et les
coordonnateurs de district ; entre le Coordonnateur National et les autres responsables nationaux
qu’il désire rencontrer. Le Coordonnateur National a la latitude d’y convier toute personne de
son choix.
 Organiser les rencontres et les séances de travail entre chaque Chef de Département et les
membres présents de son réseau ; entre Coordonnateurs de district et Chefs de département
Nationaux ;
 Faire la synthèse écrite des résolutions et des conclusions issues de différents travaux et
ateliers, et les faire tenir aux responsables locaux concernés pour implémentation, chacun dans
son domaine de compétence avec ampliation au BA.
 A la fin de la convention, un rapport exhaustif est dressé et envoyé au BA à titre de compte
rendu.

3.1.2.3 Composition de la Convention Nationale


Elle est composée de tous les membres de l’église au plan national. Peuvent aussi y
participer les sauvés des autres pays d’Afrique, de la diaspora, du reste du monde ainsi que des
invités spéciaux.

Le Président du Comité d’Organisation (PCO) de la Convention Nationale

2 Chroniques 35 : 10 et 16

10 Le service s’organisa, et les sacrificateurs et les Lévites occupèrent leur place, selon leurs
divisions, d’après l’ordre du roi.

16 Ainsi fut organisé ce jour-là tout le service de l’Eternel pour faire la Pâque et pour offrir des
holocaustes sur l’autel de l’Eternel, d’après l’ordre du roi Josias.

Le PCO de la Convention Nationale est chargé de l’organisation matérielle et financière de


la Convention. A ce titre :

 Il est responsable du bon déroulement de chaque articulation de la convention ;


 Il élabore le budget et en assure le suivi ;
 Il forme les commissions auxquelles il confie des tâches spécifiques en s’appuyant sur les
départements existants.
 Il met en place une comptabilité-matières qui constate et enregistre les mouvements des
stocks.
 Il fait tenir un journal de caisse qui donne à sa gestion une réelle traçabilité ;
 Il rend régulièrement compte au Coordonnateur National de l’évolution des activités qu’il
coordonne en vue d’éventuels réajustements en cas de nécessité ;
 A la fin de la Convention, il dresse un rapport général ayant en pièces jointes les comptes
rendus visés des différentes commissions, adressé au Coordonnateur National, avec
ampliation au Bureau Afrique.

3.2 Le Quartier Général (QG)


Nombres 20 : 7
L’Eternel parla à Moïse, et dit : 8 Prends la verge, et convoque l’assemblée, toi et
ton frère Aaron. Vous parlerez en leur présence au rocher, et il donnera ses eaux ; tu feras
sortir pour eux de l’eau du rocher, et tu abreuveras l’assemblée et leur bétail.

Nombres 21 : 16
De là ils allèrent à Beer. C’est ce Beer, où l’Eternel dit à Moïse : Rassemble le peuple, et je
leur donnerai de l’eau.

Le QG est la tribune qui rassemble plusieurs frères venant de diverses assemblées. Il se


tient une fois par semaine au lieu et heure fixés par le principal responsable. Il a été initié par le
Président Afrique et a pour but :
 D’informer les chrétiens sur la vie générale de l’Eglise ;
 D’apporter des enseignements et des exhortations de croissance et d’édification aux sauvés
d’une localité, d’un district, d’un pays, d’une zone ou d’un continent et ses annexes.

Le QG n’est pas un rassemblement ordinaire, ni un culte d’assemblée, encore moins


un culte d’ensemble. A cause de son caractère particulier, on n’y trouve pas les éléments
suivants :
 La collecte des dîmes et des offrandes ;
 La présence d’une seule assemblée ;
 La présence d’une seule chorale y officiant de manière répétitive ;
 La présence d’un seul pasteur ou prédicateur y opérant en continu.

On doit obligatoirement y trouver les éléments suivants :


 Rotation des chorales d’assemblées et districts ;
 Temps de prière ;
 Programmation et Rapports des séminaires ;
 Témoignages de salut ;
 Un Service de la Communication ;
 Un Service du Protocole ;
 Un Service de la Parole.
3.2.0 Le Quartier General Afrique (QGA)

3.2.0.1 Définition et tenue du QGA


Le QGA couvre l’Afrique et la Diaspora. Le Président Afrique en est le principal
responsable. Il existe un seul QGA qui se tient tous les lundis de 17h à 21h30 à Yaoundé au
Cameroun. Il fait usage à l’intérieur des limites assignées à son espace de compétence, des
applications de vidéo-conférence (zoom), des pages (Facebook, Instagram, Youtube…) et des fora
(Whatsapp, Telegram…) ouverts et autorisés à cet effet, pour relayer et diffuser les enseignements.
Chaque pays (ses membres) devra se connecter au QGA et suivre ses articulations. Par
soucis d’ordre et de discipline, le Département de la Mission et de la Formation désigne un pasteur
chargé de la programmation des coordonnateurs du QGA et lui donne des directives sur son
fonctionnement. Chaque articulation du QGA doit être introduite par un passage biblique approprié.

3.2.0.1 Missions du QGA

Le QGA se tient sous la supervision du Président Afrique. Il a pour rôle de :

 Faire vivre concrètement les quatre piliers de la vie chrétienne aux sauvés ;
 Amener les sauvés à prier ensemble ;
 Dispenser les enseignements et les exhortations pour l’édification des saints et le
perfectionnement des sauvés ;
 Amener le département Afrique de la communication, à tenir un journal hebdomadaire qui
donne :
- Le rapport des séminaires selon Actes 11 : 4 « Mais Pierre se mit à leur exposer, point
par point, tout ce qui s’était passé » PVV ;
- Le compte-rendu des formations ou des conventions ;
- La diffusion des communiqués et des annonces à caractère international ;
- Les rapports de missions.

 Amener le Département Afrique des Arts et de la Culture à conduire les saints dans la
célébration et la louange au Seigneur selon les règles de l’art ;
 Amener le Département Afrique du Protocole à assurer l’ordre et la sécurité ;
 Faire écouter les témoignages de salut et de la marche chrétienne donnés par les frères et
sœurs sauvés ;
 Diffuser le programme des séminaires de la semaine et les prédicateurs désignés à cet effet,
afin de les soutenir dans la prière ;
 Diffuser en présentiel les annonces.

3.2.0.1 Composition du QGA


Est d’office conviée à cette réunion de famille, toute personne sauvée, ayant ou non une
responsabilité au sein de l’église, sans distinction de sexe ni d’âge.

3.2.1 Le Quartier General National (QGN)

Nombres 20 : 7
L’Eternel parla à Moïse, et dit : 8 Prends la verge, et convoque l’assemblée, toi et ton frère Aaron.
Vous parlerez en leur présence au rocher, et il donnera ses eaux ; tu feras sortir pour eux de l’eau
du rocher, et tu abreuveras l’assemblée et leur bétail.

Nombres 21 : 16
De là ils allèrent à Beer. C’est ce Beer, où l’Eternel dit à Moïse : Rassemble le peuple, et je leur
donnerai de l’eau.

3.2.1.1 Définition et tenue du QGN

Le QGN est la tribune qui rassemble plusieurs frères venant de diverses assemblées. Il se
tient une fois par semaine au lieu et heure fixés par le principal responsable. Il a été initié par le
Président Afrique et a pour but :
 D’informer les chrétiens sur la Vie Générale de l’Eglise
 D’apporter des enseignements et des exhortations de croissance et d’édification aux sauvés
d’une localité, d’un district, d’un pays.

Le QGN a une couverture nationale. Le coordonnateur National en est le principal


responsable. Toutefois, à l’arrivée dans un pays d’une Mission officielle ordonnée par le Président
Afrique, d’un ou de plusieurs prédicateurs, celui-ci ou le chef de mission en prend la responsabilité
et devient le principal orateur.
Il existe un seul QG National par pays qui se tient en un lieu précisé en accord avec le
Président Afrique, et en un jour différent de celui de la tenue du QG Afrique.
Il peut faire usage à l’intérieur des limites assignées à son espace de compétence, des applications
de vidéo-conférence (zoom), des pages et des fora ouverts et autorisés à cet effet, pour relayer et
diffuser les enseignements du QG.

Chaque district devra se connecter au QG National et suivre ses articulations.


Par souci d’ordre et de discipline, le Coordonnateur National désigne un pasteur chargé de la
programmation des coordonnateurs du QGN et lui donne des directives sur son fonctionnement.
Chaque articulation du QGN doit être introduite par un passage biblique approprié.

3.2.1.1 Missions du QGN


Le QGN a pour rôle de :

 Faire vivre concrètement les quatre piliers de la vie chrétienne aux sauvés ;
 Amener les sauvés à prier ensemble ;
 Dispenser les enseignements et les exhortations pour l’édification des saints et le
perfectionnement des sauvés ;
 Amener le département national de la communication, quand cela est possible, à tenir un
journal hebdomadaire qui donne :
- Le rapport des séminaires selon Actes 11 : 4 « Mais Pierre se mit à leur exposer, point par
point, tout ce qui s’était passé » PVV ;
- Le compte-rendu des formations ou des conventions ;
- La diffusion des communiqués et des annonces à caractère national ;
- Les rapports de missions ;
- La présentation des événements couverts par la Communication nationale ;
- L’espace artistique et culturel ;
 Faire écouter les témoignages de salut et de la marche chrétienne donnés par les frères et
sœurs sauvés ;
 Diffuser le programme des séminaires de la semaine et les prédicateurs désignés à cet effet,
afin de les soutenir dans la prière ;
 Relayer impérativement les informations en provenance du QGA;
 Assurer la rotation et la prestation des chorales d’assemblées ou de district ;
 Diffuser en présentiel les annonces nationales.

3.2.1.1 Composition du QGN


Est d’office conviée à cette réunion de famille, toute personne sauvée, ayant ou non une
responsabilité au sein de l’église, sans distinction de sexe ni d’âge.

3.2.2 Le Quartier Général du District (QGD)

3.2.2.1 Définition et tenue


Le Quartier Général du District (QGD) est une tribune hebdomadaire à portée régionale
dans une coordination nationale. Il existe un seul QGD qui se tient en un lieu précisé en accord avec
le Coordonnateur National, et en un jour différent de celui de la tenue du QGN. Toutefois, en raison
des contraintes géographiques, celui-ci peut, sur instruction du Coordonnateur National, être
dupliqué sur une ou plusieurs autres localités.
Il est institué, sous la supervision du Coordonnateur National, en vue de relayer et de
diffuser dans son espace ecclésiastique, les enseignements de croissance et d’édification reçus de la
coordination nationale. Il a une audience limitée à son district. Il peut faire usage, à l’intérieur des
limites assignées à son espace de compétence, des applications de vidéo-conférence (zoom), des
pages et des fora ouverts et autorisés à cet effet, pour relayer et diffuser les enseignements du QGN.
Chaque sauvé indisponible peut se connecter aux pages du QGD et suivre les enseignements.

Le QGD a une couverture régionale. Il est initié par le coordonnateur de district qui en est le
principal responsable. Toutefois, à l’arrivée dans le district d’une Mission officielle ordonnée par le
Coordonnateur National, d’un ou de plusieurs prédicateurs, celui-ci ou le chef de mission en prend
la responsabilité et devient le principal orateur. Par souci d’ordre et de discipline, le Délégué de
district en charge de la mission et la formation désigne un pasteur chargé de la programmation des
coordonnateurs du QGD et lui donne des directives sur son fonctionnement. Chaque articulation du
QGD doit être introduite par un passage biblique approprié.

3.2.2.1 Les Attributions du QGD


Le QGD a pour rôle de :

 Faire vivre concrètement aux sauvés du district les quatre piliers de la vie chrétienne ;
 Amener les sauvés à prier ensemble ;
 Dispenser les enseignements et les exhortations pour l’édification des saints et le
perfectionnement des sauvés ;
 Amener l’antenne régionale de la communication, quand cela est possible, à relayer les
informations du journal télévisé hebdo-Afrique ainsi que tout autre information instruite ;
 Donner les rapports de séminaires selon Actes 11 : 4 « Mais Pierre se mit à leur exposer,
point par point, tout ce qui s’était passé » PVV ;
 Donner le compte-rendu des formations ou des conventions ;
 Diffuser les communiqués et les annonces du district ;
 Donner les rapports de missions dans le district ;
 Présenter les événements couverts par l’antenne locale de la communication ;
 Animer la rencontre par des prestations artistiques et culturelles ;
 Faire écouter les témoignages de salut et de la marche chrétienne donnés par les frères et
sœurs sauvés ;
 Diffuser le programme des séminaires de la semaine et les prédicateurs désignés à cet effet,
afin de les soutenir dans la prière ;
 Suivre la prestation des différentes chorales des assemblées et celle du district.

3.2.2.1 Composition du QGD


Est d’office conviée à cette réunion de famille, toute personne sauvée, résidente ou non,
ayant ou non une responsabilité au sein de l’église, sans distinction de sexe ni d’âge, et tout autre
invité.

3.3 La Communion des Pasteurs et Prédicateurs (CPP)

Actes 15 : (LSG)


2 Paul et Barnabas eurent avec eux un débat et une vive discussion ; et les frères décidèrent que
Paul et Barnabas et quelques uns des leurs, monteraient à Jérusalem vers les apôtres et les anciens,
pour traiter cette question. 4 Arrivés à Jérusalem, ils furent reçus par l’Eglise, les apôtres et les
anciens, et ils racontèrent tout ce que Dieu avait fait avec eux. 5 Alors quelques uns du parti des
pharisiens, qui avaient cru, se levèrent, en disant qu’il fallait circoncire les païens et exiger
l’observation de la loi de Moïse. 6 Les apôtres et les anciens se réunirent pour examiner cette
affaire.

La Communion des Pasteurs et Prédicateurs, (CPP) est un organe capital de concertation et


de gestion du Ministère d’Autorité dans l’Eglise, ayant pour principal objet la prière, l’entretien de
la Communion fraternelle entre les Pasteurs et les Prédicateurs, le renforcement des capacités et
l’examen éventuel des problèmes doctrinaux et autres soucis dans l’œuvre missionnaire et la vie de
l’église. Elle se décline de manière graduelle en Communion Nationale des Pasteurs et Prédicateurs
(CNPP), Communion des Pasteurs et Prédicateurs du District (CPPD) et Communion des Pasteurs
et Prédicateurs d’Assemblée (CPPA).

3.3.1 La Communion Nationale des Pasteurs et des Prédicateurs (CNPP)

3.3.1.1 Définition de la CNPP

La CNPP est un organe important dans la CN, ayant pour principal objet la prière, l’entretien
de la Communion fraternelle entre les pasteurs et les prédicateurs, le renforcement des capacités et
l’examen éventuel des problèmes doctrinaux et autres soucis dans l’œuvre missionnaire et la vie de
l’église. Elle est placée sous la responsabilité du Coordonnateur National. Celui-ci désigne un
Secrétaire Permanent chargé d’en faciliter le fonctionnement.

3.3.1.2 Missions du Secrétaire Permanent de la CNPP


Le SP de la CNPP :

 Est chargée du suivi et de l’organisation des événements qui concernent spécifiquement la


CNPP ;
 Prépare les réunions périodiques de la Communion des Pasteurs et Prédicateurs en élaborant
avec le Coordonnateur National une proposition détaillée d’ordre du jour.
 Rappelle aux participants deux semaines à l’avance par voies électroniques (e-mails, sms) ou
par téléphone la réunion programmée, avec indication du lieu et de la date, ainsi que des
modalités pratiques d’accès à ce lieu (itinéraire, coût du transport, lieu de rassemblement,
facilités s’il y en a, heure d’ouverture des travaux), et tout ce qui est de nature à apporter
autant d’informations que possible sur la réunion à tenir ;
 Il se charge de la rédaction et de la lecture du compte rendu de la rencontre précédente en
insistant sur les résolutions prises et le niveau d’avancement dans leur application.
 Il est responsable de la tenue des fiches et du registre de présence ;
 Il tient et assure la mise à jour du fichier signalétique individuel de chaque pasteur ou
prédicateur en y portant toute information utile le concernant, avec : localisation
géographique, contacts, situation matrimoniale, spécialités, profession séculière, etc.
 Il assure la rédaction de diverses correspondances se rapportant à la Communion des Pasteurs
et des Prédicateurs : lettre de remerciement, de rappel à l’ordre, de félicitation, etc.
 Il est responsable de la discipline et de la sécurité des biens et des personnes pendant la
réunion ; de ce fait, il travaille en étroite collaboration avec le département du protocole de la
localité qui abrite la réunion.
 Il entreprend de faire un voyage de reconnaissance des lieux avant chaque rencontre des
pasteurs et prédicateurs et s’avise de la diligence avec laquelle les responsables s’activent
dans les préparatifs, la logistique et les structures d’accueil.
 Il est autorisé à tirer la sonnette d’alarme chaque fois qu’il relève un écart important sur un
comportement peu honorable, ou une léthargie dans l’exécution d’un programme, susceptible
de le paralyser.
 Il est autorisé à porter à la connaissance du Coordonnateur National tout acte de nature à
fragiliser la communion, ou à créer des dissensions entre frères, aux fins de statuer dessus,
soit séance tenante, soit à l’assise suivante.
 Il enregistre et enrôle les intervenants et leurs sujets à la réunion des pasteurs et prédicateurs.
Au même titre, il reçoit les doléances, les suggestions et les sujets, objets des débats en
réunion pour en faciliter le traitement en vue d’y apporter des réponses précises.

3.3.2 La Communion des Pasteurs et Prédicateurs du District (CPPD)

3.3.2.1 Définition de la CPPD


La Communion des Pasteurs et Prédicateurs du district, (CPPD) est un organe important
dans la Coordination de District, ayant pour principal objet la prière et l’entretien de la communion
fraternelle entre les pasteurs et les prédicateurs. Font partie de la CPPD tous les pasteurs et
Prédicateurs du district. La CPPD est placée sous la responsabilité du Coordonnateur de District.
3.3.2.1 Mission de la CPPD
 Organiser la prière pour les besoins du district ;
 Organiser les réunions pour méditer la parole ;
 Informer les participants de la vie des assemblées ;
 Statuer sur les questions d’ordre doctrinal émanant des assemblées du district ;

3.3.3 La Communion Des Pasteurs et des Prédicateurs d’Assemblée (CPPA)

3.3.3.1 Définition de la CPPA


La Communion des Pasteurs et Prédicateurs d’Assemblée, (CPPA) est un organe important
dans l’assemblée, ayant pour principal objet la prière et l’entretien de la communion fraternelle
entre les pasteurs et les prédicateurs. Font partie de la CPPA tous les pasteurs et prédicateurs de
l’assemblée. La CPPA est placée sous la responsabilité du Pasteur Principal et se tient sur
convocation de Pasteur celui-ci.

3.3.3.2 Missions de la CPPA


 Organiser et gérer l’ensemble des activités spirituelles de l’assemblée (Prédication,
exhortation dans les différents groupes d’action, modération de culte, prière et autres) ;
 Organiser et tenir régulièrement les réunions de concertation et de méditation de la parole ;
 Organiser, gérer et tenir régulièrement l’école de base.

3.4 Le culte

Actes 2 : (LSG)


42 Ils persévéraient dans l’enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la
fraction du pain, et dans les prières. 44 Tous ceux qui croyaient étaient dans le même lieu, et ils
avaient tout en commun. 46 Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient
le pain dans les maisons, et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cœur.

1 Corinthiens 14 : (LSG)


26 Que faire donc, frères ? Lorsque vous vous assemblez, les uns ou les autres parmi vous ont-ils
un cantique, une instruction, une révélation, une langue, une interprétation, que tout se fasse pour
l’édification. 33 Car Dieu n’est pas un Dieu de désordre, mais de paix. Comme dans toutes les
Eglises des saints, 40 Mais que tout se fasse avec bienséance et avec ordre.

2 Corinthiens 9 : 7 (LSG)


Que chacun donne comme il l’a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte ; car Dieu aime
celui qui donne avec joie.

Le culte est la principale plateforme de communion fraternelle et d’activités spirituelles


(enseignements, prière et autres) de l’Eglise. C’est aussi le lieu par excellence de la collecte des
fonds pour le financement de l’œuvre missionnaire et du fonctionnement de l’ensemble de l’Eglise.
Il comporte plusieurs composantes principales dont :
 La modération qui sert de guide dans toutes les articulations d’un bout à l’autre du culte,
sous la conduite d’un modérateur ou coordonnateur ;
 La prière, phase pendant laquelle des sujets sont solennellement élevés et présentés au
Seigneur ;
 La louange par des cantiques et autres prestations vocales sous la direction de la chorale ;
 La prédication sur un sujet précis d’enseignement ou d’exhortation en vue de l’édification
de l’assistance ;
 Les témoignages dont le but est d’exprimer le privilège du salut acquis et s’édifier
mutuellement dans la marche ;
 La communication permettant aux uns et aux autres de s’informer des différentes actualités
dans la marche et le fonctionnement de l’Eglise ;
 La collecte des libéralités (Dîmes, offrandes, besoins pressants et autres) pour le
financement de l’œuvre missionnaire et subvenir aux besoins divers de l’Eglise ;
 L’école de base pour le renforcement des capacités des sauvés dans la vie de foi ;
 L’école du dimanche qui est un organe d’encadrement des plus jeunes et tous petits pour
les exposer à la Parole et les préparer à recevoir l’Evangile du Salut le moment venu.

Le culte au sein de l’Eglise se pratique principalement à deux niveaux que sont le culte
d’ensemble et le culte d’assemblée.

3.4.1 Le culte d’ensemble


Le culte d’ensemble est celui qui rassemble toutes les assemblées locales d’un district
ecclésiastique. Il se tient sur convocation du Coordonnateur de District.

3.4.2 Le culte d’assemblée


Le culte d’assemblée est la surface de rassemblement de base de l’Eglise. Il rassemble les
âmes de la même localité pouvant aussi recevoir la visite des membres d’autres assemblées et
intègre en principe toutes les composantes d’un culte chrétien comme ci-dessus indiqué. C’est aussi
le premier socle d’encadrement et de socialisation des âmes nouvellement converties (nouveau né).

3.5 Les formations chrétiennes


Il existe plusieurs types de formation dispensées au sein d’ALWM parmi lesquelles :

 La capacitation des pasteurs et prédicateurs ;

 Le renforcement des capacités des ministères d’autorité et de service ;

 La formation classique.

3.5.1 La capacitation des pasteurs et prédicateurs ;


Actes 19 : (LSG)
9Mais comme quelques-uns restaient endurcis et incrédules, décriant devant la multitude la voie du
Seigneur, il se retira d’eux, sépara les disciples, et enseigna chaque jour dans l’école d’un nommé
Tyrannus 10Cela dura deux ans, de sorte que tous ceux qui habitaient l’Asie, Juifs et Grecs,
entendirent la parole du Seigneur.

2Timothée 2 :2
Et ce que tu as entendu de moi en présence de beaucoup de témoins, confie-le à des hommes fidèles,
qui soient capables de l’enseigner aussi à d’autres.

La capacitation des Pasteurs et Prédicateurs se fait au sein de notre communauté dans un


cadre spécifique à vocation institutionnelle encore appelé Ecole des Prédicateurs, sous l’autorité
officielle de l’Eglise et l’encadrement technique et administrative du Département de la Mission et
de la Formation.

Elle a pour objectif de mieux encadrer et développer le don et les aptitudes dans la vocation
ministérielle détectée ou approuvée des apprenants afin de :

- Bâtir des hommes faits, disponibles et suffisamment représentatifs de l’image de Christ


dans le monde en général et dans leurs communautés respectives en particulier ;

- Outiller les futurs Pasteurs et Prédicateurs du mieux possible dans la prédication de


l’Evangile afin d’en faire un corps d’élite, une masse ouvrière suffisamment efficace dans
la mission évangélique.

La capacitation des Pasteurs et Prédicateurs dans le cadre formel est prévue pour un cycle de
deux ans avec une base minimale requise pour chaque apprenant d’au moins 03 années d’ancienneté
dans la foi et un minimum de deux formations classiques. A l’issue de la formation, la promotion
finissante est officiellement présentée à l’Eglise et déployée sur le terrain selon les besoins de
l’ensemble de la mission en Afrique et dans la diaspora.

3.5.2 Le renforcement des capacités des ministères d’autorité et de service 


Il est ici question d’une activité en faveur des ministères d’autorité et de service déjà actifs sur
le terrain en vue soit de la mise à niveau des différents acteurs concernés sur des points ou sujets
précis de la parole dont la nécessité est avérée, soit de l’harmonisation de nouvelles
recommandations ou orientations dans le fonctionnement général de l’Eglise, ou alors simplement
de l’exhortation de certaines composantes de l’Eglise dans la marche, les groupes d’action en
l’occurrence.

3.5.3 Les formation classique

2 Corinthiens 13 : 5 (LSG)


Examinez-vous vous-même, pour savoir si vous êtes dans la foi ; éprouvez-vous vous-même.
Ne reconnaissez-vous pas que Jésus Christ est en vous ? A moins peut-être que vous ne soyez
reprouvés.

Jean 11 :44
Et le mort sortit, les pieds et les mains liés de bandes, et le visage enveloppé d’un linge. Jésus leur
dit : Déliez-le, et laissez-le aller.

1Pierre 2 :2-3
Désirez, comme des enfants nouveau-nés, le lait spirituel et pur, afin que par lui vous croissiez pour
le salut, 3 si vous avez goûté que le Seigneur est bon.

Hébreux 5 :12
Vous, en effet, qui depuis longtemps devriez être des maîtres, vous avez encore besoin qu’on vous
enseigne les premiers rudiments des oracles de Dieu, vous en êtes venus à avoir besoin de lait et
non d’une nourriture solide.

La formation classique initialement tenue sur deux semaines (14 jours) et qui se tient
désormais sur six (06) jours en mode internat et sur une période variable en mode externat,
constitue d’une certaine manière pour le né de nouveau, une entrée en matière dans les
enseignements bibliques. Elle offre un cadre adéquat :

 D’examen de sa foi ;

 De dépouillement du vieil homme et ;

 D’intégration des rudiments de la foi nous permettant de mieux amorcer la vie de foi.

Une formation classique peut être organisée par diverses entités de l’Eglise à savoir le Bureau
Afrique, la Coordination Nationale, la Coordination de District, l’assemblée, et même des personnes
physiques.

3.6 Le séminaire biblique

Mathieu 28 : (LSG)


19 Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint
Esprit, 20 et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici je suis avec vous tous
les jours, jusqu’à la fin du monde.

Actes 1 : 8 (LSG)


Mais vous recevrez une puissance, le Saint Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à
Jérusalem, dans toutes la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre.

Actes 26 : (LSG)


17 Je t’ai choisi du milieu de ce peuple et du milieu des païens, vers qui je t’envoie, 18 afin que tu
leur ouvre les yeux, pour qu’ils passent des ténèbres à la lumière et de la puissance de Satan à
Dieu, pour qu’ils reçoivent ; par la foi en moi, le pardon des péchés et l’héritage avec les sanctifiés
.
Actes 28 : 23 (LSG)
Ils lui fixèrent un jour, et plusieurs vinrent le trouver dans son logis. Paul leur annonça le royaume
de Dieu, en rendant témoignage, et en cherchant, par la loi de Moïse et par les Prophètes, à les
persuader de ce qui concerne Jésus. L’entretien dura depuis le matin jusqu’au soir.

1Corinthiens 1 :21
Car puisque le monde, avec sa sagesse, n’a point connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à
Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication.

Le séminaire biblique est un espace de rencontre entre un ou plusieurs prédicateurs


missionnaires (évangélistes) et une ou plusieurs âmes disponibles à l’écoute de l’évangile,
préalablement sensibilisées (« casse de béquille ») ou non. C’est l’instrument majeur de l’Eglise
dans son approche stratégique en matière d’évangélisation. Il porte généralement sur des
thématiques diverses visant toutes à résoudre le problème biblique central qu’est la mort spirituelle
dont l’ignorance de l’unique véritable solution (la porte étroite) conduit tout homme en enfer (Osée
4 : 6). Le Séminaire biblique peut être subdivisé en plusieurs sessions.

Le séminaire biblique peut être organisé par la quasi-totalité des entités et membres de
l’Eglise.

3.7 La casse de béquilles


C’est une expression consacrée, qui désigne l’activité d’évangélisation préalablement menée
en vue d’une invitation à un séminaire biblique. Elle peut être entreprise sur une initiative
personnelle dans une relation interpersonnelle (B to B), une planification en assemblée locale en
vue d’un séminaire d’assemblée ou dans le cadre du déploiement d’un groupe missionnaire ou de la
Commission d’Evangélisation Permanente (C.E.P).

Conclusion
Ce travail ardu a mobilisé de multiples énergies pour ce résultat que nous savons imparfait ;
mais cependant adapté à nos réalités et nos besoins ; et si dans la pratique et le temps nous
constatons des difficultés majeures, alors nous nous souviendrons que le Seigneur disait en son
temps que :

« Mar 2 :27 Puis il leur dit : Le sabbat a été fait pour l'homme, et non l'homme pour le
sabbat, » Ainsi les présents textes ont pour but de nous aider à mieux fonctionner et peuvent par
conséquent être modifiés en cas de nécessité à l’initiative du Bureau Afrique, dans le but de
perfectionner le fonctionnement dans l’Assemblée.

REMERCIEMENTS :

Comité de rédaction des textes : Boba Denis ; Assiéné Bodiang ; Etoundi Sama Luc ;
Nnemede Thomas d’Aquin ; Ayina Onana guy thiery ; Ekani Jean Pierre ; Toualeu Jean Marie ;
Wogomebu Yaotsé Maxwel ( le nom) ; Beyekele Emmanuel ; Nouma Simon Joachim ; Nzue
Ntoutoume Daniel et pour la relecture : Belinga Jean Joel ; Kayum Carole Fokoue ; Nlong Thomas
Apôtre ; Alexandre Bahiya ; Damboura Gabanna Alfred ; Ndema Misse Eitel ;…., tous ceux qui
ont, de près ou loin, apporté leur contribution à l’élaboration du présent document, notamment Jesse
Nassiki Zoukeleni, Etienne Ngolo, Moutymbo Jean, Foé Isidore et bien d’autres encore.

A l’Eglise des Saints pour ses prieres ; A tous ceux charges de la reception restauration
etc…

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