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SOMMAIRE

INTRODUCTION
I- DEFINITION

A- LE PETROLE
II- ORIGINE DU PETROLE
III- LES DIFFERENTS TYPES DE PETROLE
1- Le pétrole non conventionnel
2- Pétrole extra lourd et sables bitumeux
IV- AVANTAGE DU PETROLE
1- Le pétrole est un fluide
2- La densité énergétique importante du pétrole
3- Les nombreux produits dérivés du pétrole
La forte capacité d'investissement des compagnies
4- pétrolières
5- Des réseaux de distribution bien établis

6- Le pétrole, une source d'énergie bon marché


V- LES INCONVENIENTS DU PETROLE
1- Des réserves de pétrole très localisées
2- La dépendance énergétique des pays industrialisés
3- Une filière polluante
4- La combustion du pétrole libère :

B- LE GAZ

1- L’origine et histoire du gaz naturel


VI- LE DIFFERENT TYPE DE GAZ
1- Gaz conventionnel non associé
2- Gaz associé
3- Gaz de charbon
a- Le gaz de mine
b- Le gaz de couche
4- Gaz de schiste
5- Hydrates
VII- LES AVANTAGE DU GAZ NATUREL
VIII- LES INCONVENIENTS
CONCLUSION
INTRODUCTION

Le pétrole est non seulement la première source d’énergie dans le monde depuis
les années 1950, mais aussi la matière première de l’industrie pétrochimique.il
est à l’origine d’un nombre incalculable de produit dérivés, des matières
plastiques aux peintures en passant par les cosmétiques. Cependant, cette
ressource n’est jamais utilisée à l’état brut. Elle doit subir un ensemble
d’opérations réunies sous le terme de ``RAFFINAGE DE PÉTROLE’’ tandis
que le gaz naturel est la source d’énergie fossile qui à connu la plus forte
progression depuis les années 70.elle représente le cinquième de la
consommation énergétique mondiale. Ainsi notre intérêt pour cet exposé s’est
immédiatement penché vers l’origine du pétrole et des gaz naturels et des
différentes méthodes de transformation qui permettent leur utilisation.
I- DEFINITION

A- LE PETROLE
Le pétrole est un produit naturel renfermant de nombreux hydrocarbures qui
sont séparés par distillation et transformés par divers procédés chimiques lors du
raffinage. Les produits obtenus, principalement l’essence et le gazole, sont
employés comme carburant automobile mais de nombreux autres produits
obtenus alimentent l’industrie chimique.
C’est aussi Le pétrole est un mélange d'hydrocarbures (molécules formées
d'atomes de carbone et d'hydrogène) et de molécules contenant également
d'autres atomes, principalement du soufre, de l'azote et de l'oxygène. Certains de
ses constituants sont, à température et à pression ambiantes, gazeux (méthane,
propane, etc.), liquides (hexane, heptane, octane, benzène, etc.) et parfois solides
(paraffines, asphaltes, etc.). Le pétrole contient des milliers de molécules
différentes qu'il va falloir fractionner et transformer chimiquement pour obtenir
des produits utilisables.

II- ORIGINE DU PETROLE


Le pétrole résulte de la dégradation thermique de matières organiques contenues
dans certaines roches : les roches-mères. Ce sont des restes fossilisés de
végétaux aquatiques ou terrestres, de bactéries et d'animaux microscopiques
s’accumulant au fond des océans, des lacs ou dans les deltas. Appelés
"kérogène", ces résidus organiques sont préservés dans des environnements où
les eaux sont dépourvues d'oxygène, se mêlant ainsi aux sédiments minéraux
pour former la roche-mère. Pendant des dizaines de millions d’années, de
nouveaux sédiments vont continuer à s'accumuler, entraînant la roche-mère à de
grandes profondeurs. Généralement entre 2 500 et 5 000 m et sous l’action des
hautes températures qui y règnent, le kérogène se transforme (craquage
thermique) en pétrole liquide accompagné de gaz. À plus de 5 000 m, le pétrole
"craque" à son tour et se transforme en gaz. Plus légers que l’eau, le pétrole et le
gaz remontent vers des niveaux de roches poreuses (roche réservoir) dans
lesquels ils sont confinés si ceux-ci sont surmontés de roches imperméables
(roche couverture).
III- LES DIFFERENTS TYPES DE PETROLE
1- Le pétrole non conventionnel
Les productions de type non conventionnel comprennent : l'exploitation de
sables bitumineux, de pétrole lourd, de schiste bitumineux, en offshore profond,
en conditions polaires. Si les deux derniers types de pétrole ne sont pas
matériellement différents du pétrole conventionnel, en revanche les trois
premiers, bien qu'ayant la même origine, ont eu une genèse différente. Hormis le
pétrole non conventionnel, les énergies fossiles d'origines non conventionnelles
comprennent également le gaz de schiste.
2- Pétrole extra lourd et sables bitumeux
Les pétroles lourds et les sables bitumeux se retrouvent partout sur le globe,
mais les deux plus importants sites sont situés au Canada (au bord du lac
Athabasca) et au Venezuela (sur les rives de l'Orénoque). D'ici peu,
l'exploitation d'un site au Dakota (États-Unis) sera l'une des plus importantes
avec celles du Canada et du Venezuela. Les hydrocarbures contenus dans ces
champs sont sous forme de bitume, qu'il est possible de transformer en carburant
Orimulsion. Le pétrole extra-lourd vénézuélien est différent des sables
bitumeux canadiens car il est moins visqueux à température ambiante et peut
donc être extrait avec des techniques d'écoulement à froid, même si le taux de
récupération est moindre qu'avec les techniques canadiennes (environ 8 %
comparé à plus de 90 % pour les mines à ciel ouvert ou 60 % pour les forages
gravitationnels assistés par vapeur SAGD en anglais).

IV- AVANTAGE DU PETROLE


Le pétrole est une ressource chimique et énergétique qui a accompagné et
catalysé le développement technologique de l'Humanité. C'est également l'une
des principales causes de la catastrophe écologique majeure qui s'annonce : le
réchauffement climatique. Pourtant, malgré son caractère polluant, le pétrole
dispose de caractéristiques avantageuses, qui en font une source d'énergie de
choix lorsqu'on ne prête garde à ses inconvénients. Le pétrole est une énergie
pratique, dont les possibilités sont nombreuses, grâce à des caractéristiques
physico-chimiques hors du commun.
1- Le pétrole est un fluide
Le pétrole est un liquide. Ça paraît tout bête comme ça, pourtant c'est une qualité
indéniable : plutôt pratique à extraire, à transporter, à stocker et à utiliser, par
opposition à un solide. Un liquide est encore plus pratique qu'un gaz, notamment
en ce qui concerne le problème des fuites et le comportement à température
ambiante. On peut le transvaser facilement. Évidemment, ces avantages ne sont
pas propres au pétrole, ils sont valables pour tout vecteur énergétique liquide.
2- La densité énergétique importante du pétrole
Le pétrole offre une importante densité énergétique. En d'autres termes, cela
signifie qu'un faible volume représente une importante quantité d'énergie. Un
kilogramme de pétrole (type fioul) permet de fournir environ 11.6 kWh
d'énergie, soit environ 10 kWh par litre. Ce sont des valeurs très élevées.
3- Les nombreux produits dérivés du pétrole
Le pétrole brut, après raffinage, permet de produire de nombreux dérivés, à
vocation énergétique ou non. Cette spécificité a permis le développement
parallèle de l'industrie, des transports et de la (pétro) chimie. Les progrès
techniques et le développement des marchés de ces différents secteurs d'activités
ont créé une demande toujours plus forte en pétrole. Les différents débouchés
sont à l'origine de cette croissance de la demande, qui a accéléré le
développement des réseaux de transport et de distribution du pétrole. La manne
financière issue de cette variété d'applications a justifié les investissements
colossaux requis par la mise en place de réseaux d'extraction, de transport, de
transformation, de stockage et de distribution des produits pétroliers.
4- La forte capacité d'investissement des compagnies
pétrolières
Les lourds investissements requis par la mise en place des différentes
infrastructures pétrolières ont souvent été subventionnées par des fonds publics.
Les bénéfices qui ont ensuite pu être générés ont largement profité aux grandes
compagnies pétrolières, qui disposent désormais d'une capacité financière
impressionnante. Cela ne les empêchent pas de faire appel aux subventions
publiques pour la création d'infrastructures supplémentaires, pourtant elles
auraient les moyens de les assumer par elles-mêmes en constituant des
consortiums (ce qu'elles font pour la construction d'oléoducs, par exemple). Les
compagnies pétrolières ont donc une forte capacité d'investissement, mais elles
bénéficient surtout de faveurs gouvernementales (subventions, baisses d'impôts,
exonération de taxes…). On ne prête qu'aux riches… Les profits sont d'autant
plus rapides…

5- Des réseaux de distribution bien établis

La demande croissante de pétrole et le développement économique du marché


du pétrole passe par la mise en place d'une filière structurée, notamment au
niveau des réseaux de distribution. Les grandes entreprises pétrolières (majors)
contrôlent l'ensemble de la filière, de l'extraction jusqu'à la vente du produit fini.
L'important réseau de distribution du pétrole a rendu cette énergie accessible à
tous, qui, en dépis d'être la moins chère, s'est imposé par ses côtés "pratique" et
"moderne". Ces avantages commencent cependant à être moins affirmés, par
exemples dans les zones désservies par les réseaux de gaz naturel. Néanmoins, il
est encore très facile de trouver des produits pétroliers aux quatre coins du
globe.
6- Le pétrole, une source d'énergie bon marché
Le pétrole a longtemps été une énergie bon marché, grâce à la découverte
d'importants gisements, très rentables, et la mise en place d'importants réseaux
de distribution, qui permettent de générer des profits faramineux, grâce à une
clientèle captive (vous mettez autre chose qu'un dérivé de pétrole dans votre
véhicule, vous?). Son prix varie cependant de manière pas toujours très
naturelle, mais il est encore, à l'heure actuelle, une énergie relativement bon
marché face à des concurrents encore peu nombreux (voire inexistants pour
certaines utilisations) et pas toujours aussi pratiques ou disponibles.

V- LES INCONVENIENTS DU PETROLE


Même s'il reste l'équivalent de quelques décennies de consommation annuelle en
réserves de pétrole exploitables (prouvées), il est clair que celles ci ne sont pas
infinies. La diminution des réserves va inexorablement entraîner une hausse des
coûts, et il va falloir tôt au tard mettre en place des alternatives au pétrole
(alternatives chimiques et énergétiques). Le pétrole et le système économique
qui repose presque exclusivement sur l'exploitation de cette ressource naturelle
fossile ne sont pas des solutions durables. Au rythme de consommation actuel,
les réserves mondiales de pétrole sont estimées à 40-50 ans environ. La hausse
du prix du pétrole qui résultera de cette pénurie progressive devrait cependant
stagner, en réponse à la loi de l'offre et de la demande : avec un prix trop élevé,
la consommation de pétrole stagnera voire diminuera. On devrait donc tendre
vers un équilibre de prix et de consommation, à un niveau qu'il serait bien
prétentieux d'affirmer connaître.
1- Des réserves de pétrole très localisées
Les gisements de pétrole les plus importants ne se situent pas souvent sur les
territoires des pays les plus consommateurs. Cela implique des transports sur de
longues distances, avec de nombreux inconvénients, comme le coût (celui du
transport ou de la construction des infrastructures), l'impact environnemental
(les marées noires et les dégazages sauvages par exemple), et l'importante
dépendance énergétique des pays consommateurs. Cette disparité profite
essentiellement à deux types de pays : les pays pétroliers, qui ont le priviliège de
pouvoir s'enrichir en vendant leur production de pétrole et en faisant un usage
déraisonné (une piste deski à Dubaï, ça vous dit quelque chose ?), et les pays
industrialisés, qui ont les moyens d'acheter ce pétrole.

2- La dépendance énergétique des pays industrialisés


Les pays industrialisés disposent globalement de peu de gisements de pétrole sur
les territoires. Ils sont pourtant les plus gros consommateurs de pétrole, car leur
développement économique a presque entièrement reposé sur l’utilisation de
cette source d’énergie bon marché. Ces pays sont donc devenus largement
dépendants du pétrole, et, par extension, l’économie mondiale aussi. Il en résulte
que si la hausse du coût du pétrole a des conséquences catastrophiques sur de
nombreux secteurs de l’économie, certains pays et entreprises en profitent aussi
largement. Ils ont un pouvoir d’influence majeur sur l’économie mondiale. Cet
aspect est extrêmement problématique pour les pays très consommateurs, et
mène fréquemment à des conflits géopolitiques qui dégénèrent. Face à
l’augmentation du prix d’une ressource qu’ils ne maîtrisent pas alors qu’ils
subissent déjà la compétition de pays émergents, les pays industrialisés ont alors
tendance à délocaliser afin de compenser une tant bien que mal la hausse du prix
de la main d’œuvre.
3- Une filière polluante
L'ensemble de la filière du pétrole est catastrophique du point de vue
environnemental :

 l'extraction du pétrole libère d'importantes quantité de gaz naturel, pas


toujours valorisé, et dont l'effet de serre est 23 fois plus important que
celui du gaz carbonique ;
 l'extraction toujours, qui n'est pas sans conséquence sur l'environnement
immédiat des sites exploités (fuites sous-marines sur les sites d'extraction
offshore) ;
 le transport sur de très longues distances, coûteux en énergie et, lorsqu'il
s'effectue par bateau, peut avoir des conséquences catastrophiques sur
l'environnement (marées noires, dégazage sauvages des pétroliers, fuites
sur oléoducs);
 le traitement et l'utilisation, qui sont largement émetteurs de gaz à effet de
serre et autres gaz polluants ;
 le traitement des produits en fin de vie, qui lorsqu'ils ne sont pas
recyclables (ou pas recyclés), polluent une dernière fois notre air, notre
eau, notre sol, notre vie, et de manière rarement réversible.

4- La combustion du pétrole libère :


 du dioxyde de carbone (CO2), un des gaz à effet de serre ;
 des hydrocarbures imbrûlés, qui peuvent avoir un effet de serre plus ou
moins important ;
 des oxydes d'azotes (NOx, en fonction de la qualité de la combustion) ;
 du monoxyde de carbone (CO, en fonction de la qualité de combustion) ;
 des composés souffrés (SO2 notamment, responsable des pluies acides),
en fonction de la présence de souffre dans le carburant/combustible
pétrolier ;
 des particules cancérigènes, suivant le type de carburant/combustible
pétrolier ;
 des traces d'autres composés chimiques, comme le plomb.
B- LE GAZ
Le gaz naturel, ou gaz fossile, est un mélange gazeux d'hydrocarbures
constitué principalement de méthane, mais comprenant généralement une
certaine quantité d'autres alcanes supérieurs, et parfois un faible pourcentage
de dioxyde de carbone, d'azote, de sulfure d'hydrogène ou d'hélium.

2- L’origine et histoire du gaz naturel


Le gaz naturel est un hydrocarbure naturel. Les hydrocarbures forment une
classe de composés organiques constitués de carbone et d'hydrogène. Le pétrole
brut, le gaz naturel et le charbon en font partie.
Le gaz naturel est un combustible fossile formé sur des millions d'années par la
décomposition de matière végétale et animale enfouie dans des roches
sédimentaires. Sous l'effet de la chaleur et de la pression, cette matière se
transforme en hydrocarbures solides, liquides ou gazeux.
e gaz naturel remplit les pores et les fractures de roches sédimentaires dans les
profondeurs de la Terre et des fonds marins. La partie d'une couche ou d'une
formation sédimentaire qui renferme le gaz naturel est souvent désignée sous les
noms de « réservoir », « champ » ou « gisement ». Le gaz naturel existe partout
dans le monde, seul ou associé à du pétrole brut. Il peut être piégé dans
différents types de roches sédimentaires, notamment des grès, des carbonates,
des filons-couches de charbon et des lits de schistes argileux ou « shales ».
Les réserves de gaz naturel sont les quantités présentes dans des réservoirs forés
qui se trouvent à la portée des gazoducs et des marchés. Ce gaz est considéré
comme récupérable au moyen des technologies actuelles et dans les conditions
économiques actuelles. Les ressources sont les quantités - découvertes ou non -
accumulées souterrain. Les ressources découvertes sont les quantités contenues
dans des réservoirs qui sont la cible de forages et qui sont hors de portée des
gazoducs et des marchés actuels. La construction de pipelines rendrait
récupérables certaines accumulations de gaz au moyen des technologies et dans
les conditions économiques actuelles. Les ressources non découvertes sont les
quantités que l'on juge récupérables dans les conditions économiques et
technologiques actuelles ou prévues, en s'appuyant sur les données géologiques
disponibles, mais dont l'existence n'a pas été prouvée par des forages. Ces
ressources pourraient tout aussi bien se trouver à proximité des pipelines ou en
être éloignées.
Avant que le gaz naturel ne soit produit, des géologues et des géophysiciens
reconnaissent des cibles de forage où l'existence de gaz naturel est plausible. Les
géologues commencent par cartographier les affleurements des formations
géologiques, puis, à la lumière de ce que les forages précédents leur ont révélé,
en tracent les prolongements souterrains. Ils ont également recours à la
prospection séismique pour tracer le profil des formations géologiques et
déterminer les endroits où il convient de forer. Une fois la cible choisie, on fore
un puits jusqu'à la profondeur où le gaz naturel devrait théoriquement se trouver.
Il existe plusieurs techniques de forage. Le forage vertical (ou en ligne droite)
est effectué à l'aplomb de la cible à atteindre. Le forage directionnel (ou incliné)
consiste à forer un puits incurvé, afin d'atteindre une cible qui n'est pas située à
l'aplomb de l'appareil de forage. Le forage horizontal est une forme de forage
directionnel, où le puits débute en ligne droite verticale et est incurvé à une
certaine profondeur pour que le puits atteint la formation cible à l'horizontal.
Le gaz naturel a de nombreuses propriétés avantageuses - combustion
relativement propre, abondance, sécurité, fiabilité et efficacité - qui en ont fait le
combustible de choix dans des applications résidentielles, commerciales et
industrielles, de même que pour la production d'électricité.

VI- LE DIFFERENT TYPE DE GAZ

1- Gaz conventionnel non associé


Le gaz conventionnel non-associé est composé à plus de 90 % de méthane. Il
est donc plus léger que l'air, incolore et inodore. Selon son lieu d'extraction, sa
composition peut varier et il peut également contenir des hydrocarbures, par
définition plus lourds que le méthane.
Les hydrocarbures les plus souvent présents dans le gaz naturel sont le dioxyde
de carbone et le sulfure d’hydrogène. On peut également trouver de l’heptane,
du diazote et parfois même de l’hélium.
2- Gaz associé
Les gaz naturels provenant des puits de pétrole sont généralement appelés «
gaz associés ». Ces gaz peuvent exister séparément du pétrole dans la formation
en tant que gaz libre ou peuvent être dissous dans le pétrole brut.
3- Gaz de charbon
Le gaz de houille est un gaz manufacturé, produit lors de la transformation de la
houille en coke et par gazéification du charbon. 
c- Le gaz de mine
Aussi appelé « grisou », le gaz de mine correspond au gaz de charbon qui
s’accumule dans les anciennes galeries de mines de charbon. Pompé, ce gaz de
mine est exploité comme c’est le cas dans la région des Hauts-de-France depuis
1992. Le procédé d’extraction se fait par une technique conventionnelle de
forage dans une poche de gaz, puis d’aspiration par mise en dépression.
d- Le gaz de couche
Ce gaz est présent dans les veines de charbon vierges. Son exploration et son
exploitation s’effectuent par forage vertical, dans des conditions 4-
conventionnelles et approuvées.
4- Gaz de schiste
Le gaz de schiste, également appelé gaz de roche-mère, est un gaz naturel
contenu dans des roches marneuses ou argileuses riches en matières organiques,
roches qui peuvent avoir une structure litée de schiste.
5- Hydrates
Les hydrates sont des composés formés par l'union d'eau et d'une autre
substance, union résultant généralement en un corps neutre, comme certains sels
cristallisés. Si l'eau est de l'eau lourde, où l'hydrogène est en fait du deutérium,
on utilise le terme « deutérate » plutôt qu'« hydrate ».
VII- LES AVANTAGE DU GAZ NATUREL
Tout d’abord, le gaz naturel a la particularité d’être pauvre en CO2, ce qui est
tout à fait bénéfique à l’environnement. Le prix du gaz naturel est aussi
nettement plus bas que celui de l’essence et reste très facile à exploiter. Le
principal inconvénient du gaz naturel est qu’il s’agit d’une énergie fossile. Il est
donc limité. On ne peut également pas le trouver partout car le gaz est enfermé
dans des gisements, dont le nombre est réduit. Selon les sources, les réserves
estimées de gaz naturel vont de 55 ans à plus de 200 ans selon les méthodes
d’extraction.

VIII- LES INCONVENIENTS DU GAZ NATUREL

Tout d’abord, le gaz naturel a la particularité d’être pauvre en CO2, ce qui est
tout à fait bénéfique à l’environnement. Le prix du gaz naturel est aussi
nettement plus bas que celui de l’essence et reste très facile à exploiter. Le
principal inconvénient du gaz naturel est qu’il s’agit d’une énergie fossile. Il est
donc limité. On ne peut également pas le trouver partout car le gaz est enfermé
dans des gisements, dont le nombre est réduit. Selon les sources, les réserves
estimées de gaz naturel vont de 55 ans à plus de 200 ans selon les méthodes
d’extraction.
CONCLUSION
 Le gaz naturel est une ressource énergétique clé, dont les réserves sont
abondantes et qui permet également d'alimenter la pétrochimie ou le pool
essence, pour les composés les plus lourds. Le marché du gaz naturel est en
croissance du fait de la demande énergétique mondiale en constante évolution.
Comme dans le secteur pétrolier, l'évolution des ressources, vers des gaz de plus
en plus acides, l'évolution des contraintes environnementales et donc des
spécifications visées, conduisent à des besoins de traitement en constante
évolution, avec des enjeux techniques et économiques. Les technologies matures
restent des références opérationnelles pour la chaîne de traitement mais de
nouvelles technologies sont développées afin de répondre à ces enjeux autant
dans le domaine des procédés, que dans le domaine des équipements
(contacteurs, distributeurs gaz et liquides.

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