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Travail Pratique 1 - DRT 6241 (Hiver 2023) - Recherche et résumé de

jurisprudence

Décision 1

Questions Vos réponses Pointage


(réservé au
correcteur)

Citez correctement la décision Podlaszecka c. Ministre de la /1


(1 point) Main-d’œuvre et de l’Immigration,
[1972] R.C.S. 733 CanLII 132
(CSC)
En moins de 250 mots, 1. l’informe en outre de la tenue /1
résumez l’historique d’une enquête dont une ordonnance
procédural qui a précédé le d’expulsion pourrait résulter.
processus devant la CISR (1 L’enquête a lieu le 7 mai 1969 et une
point) ordonnance d’expulsion fondée sur
les quatre motifs précités est rendue.
Quels sont les faits qui sont L’appelant conteste la validité /1
contestés ? Indiquez, en juridique de la décision du
moins de 250 mots, en deuxième agent de visas – de ne
quoi ces faits sont contestés pas maintenir son statut de
par les parties. Si aucun fait résidence permanente en ne
n’est contesté, indiquez (en considérant pas l’alinéa 28(2)c)
moins de 250 mots) quels de la LIPR.
faits non contestés pourraient
faire le plus de dommage à la Il conteste cette décision parce
position du demandeur et qu’un autre agent des visas avait
pourquoi (1 point) pris une décision différente de
prime abord, lors de l’octroi de
son TVRP.

Si la décision du deuxième agent


est maintenu, l’appelant
demande au tribunal d’exercer
sa compétence discrétionnaire
en vertu de l’alinéa 67(1)c) de la
LIPR qui concerne le droit de
recourir à un appel en vertu de
mesures spéciales liés à des
motifs humanitaires compte
tenu de l’intérêt supérieur d’un
enfant.

Quel est le meilleur argument Avant de partir pour les /1


du demandeur ? Pourquoi (1 vacances de Noël en Chine en
point, moins de 250 mots)? décembre 2005, M. Wan n’ayant
toujours pas reçu sa carte, il a
contacté les autorités
canadiennes pour les aviser de
son voyage et s’assurer que cela
n’affecterait pas son dossier.

Un agent gouvernemental
officiel l’a rassuré en l’informant
que même sans carte de
résident permanent, il pouvait
retourner au Canada sans
problème en demandant un
autre titre de voyage pour
résident permanent (TVRP) à
partir d’Hong Kong.

Alors que l’appelant pensait que


la nouvelle demande de titre de
voyage serait une simple
formalité, au moment de
demander le TVRP à Hong Kong,
un autre agent lui a dit qu’il avait
manqué à son obligation de
résidence et qu’il ne pouvait
maintenir son statut de
résidence permanente.

Deux agents d’immigration ont


pris des décisions différentes et
cela lui a porté préjudice. Selon
l’appelant, il ne devrait pas être
possible de révoquer une
décision favorable à son dossier
qui a été prise quelques mois à
l’avance.
Quel est le meilleur argument Le meilleur argument du /1
du Gouvernement du Gouvernement du Canada est
Canada ? Pourquoi (1 point, que l’alinéa 28(1) de la LIPR
moins de 250 mots)? stipule que l’obligation de
résidence est applicable à
chaque période quinquennale,
soit celle qui précède
immédiatement la date de
décision de l’agent des visas.

Ainsi, les deux périodes


quinquennales observées par
les deux agents n’étaient pas les
mêmes puisqu’un écart de 4
mois séparait les deux.

Par conséquent, le deuxième


agent de visas n’a pas commis
d’erreur en vérifiant à nouveau
si l’appelant avait respecter ses
obligations de résidence,
notamment l’accumulation des
730 jours de résidence. Il n’avait
pas cette accumulation.

Il avait aussi le droit d’exercer


son pouvoir discrétionnaire
pour analyser si des motifs
humanitaires (alinéa 28(2)c de la
LIPR) pouvaient être pris en
compte pour justifier un
maintien de la résidence
permanente malgré
l’inobservation de l’obligation de
résidence.

Quelle décision citée dans Lai c. Canada (Citoyenneté et /2


cette décision a eu un impact Immigration), 2006 CanLII 1359 (CA
significatif sur la décision (1 CISR)
point pour la citation
exacte)? Expliquez, en 250
Dans la décision Lai c. Canada,
mots ou moins, pour quelle
en 2004, la demanderesse
raison la décision citée a eu
mineure, se voit refuser
un impact significatif selon
l’émission d’un document de
vous (1 point).
voyage à Taiwan pour pouvoir
revenir étudier au Canada en
tant que résidente permanente.
Elle n’avait passé que 443 jours
au Canada durant la période
quinquennale précédant la
demande du document.

Elle veut contester cette décision


en mentionnant des motifs
humanitaires puisqu’elle est
mineure et que ses parents
demeurent à Taiwan. Bien
qu’elle avait commencé des
études au Canada en 2002 à
l’âge de 15 ans, elle retournait
souvent à Taiwan pour de
longues périodes et les motifs
qu’elle a mentionné étaient
insuffisants pour convaincre le
tribunal qu’elle désirait vraiment
s’installer de manière
permanente au Canada. Par
exemple, elle n’avait aucun lien
social au pays.

Je crois que dans la décision


Wan, le tribunal a comparé la
situation de Lai et s’est rendu
compte que ce dernier était bien
établi au Canada, disposant de
liens sociaux et d’une vie
professionnelle en plus de sa vie
d’étudiant.

Cela porte à croire qu’il va rester


définitivement, contrairement à
Lai qui ne s’est jamais ‘intégré’
au pays.
Quelle est la décision/ordonn Le tribunal fait droit à l’appel en /2
ance rendue par la CISR (1 concluant qu’il y a des motifs
point)? Expliquez, en 250 d’ordre humanitaire qui
mots ou moins, le justifient la prise de mesures
raisonnement de la CISR qui spéciales et que le manquement
l’a, selon vous, amené à à l’obligation de résidence en
rendre cette décision (1 raison du nombre de jours
point). insuffisants (moins de 730 jours)
n’est pas suffisant pour perdre
sa résidence permanente, tel
que l’avait stipulé le second
agent d’immigration.

La décision du tribunal a été


prise en 2008, soit plus de 2 ans
après la décision du deuxième
agent d’immigration en 2005. Le
tribunal a constaté que depuis
2005, M. Wan fréquente l’école
au Canada, dépose des
déclarations de revenus, a un
compte bancaire : tous des
facteurs qui portent à croire qu’il
veut s’établir de manière
permanente au Canada.
Formulez, en 250 mots ou Ne pas partir en voyage tant /1
moins, un conseil que vous qu’il n’a pas de carte de
feriez parvenir à un client à la résidence permanente.
lumière de cette décision.
Ne pas prendre pour acquis que
deux agents d’immigration
utiliseront leur pouvoir
discrétionnaire de la même
manière pour prendre des
décisions si celles-ci ne sont pas
prises au même moment.

Ne pas prendre pour acquis que


le fait d’être mineur sans
parents au Canada est une
raison incontestable pour citer
des motifs d’ordre humanitaires

Décision 2

Questions Vos réponses Pointage


(réservé au
correcteur)
Citez correctement la décision Bui c. Canada (Citoyenneté et /1
(1 point) Immigration), 2006 CanLII 93581 (CA
CISR)
En moins de 250 mots, 1. L’appelant a fait l’objet d’une /1
résumez l’historique mesure de renvoi le 29
procédural qui a précédé le novembre 2007 en vertu de
processus devant la CISR (1 l’alinéa 36(1)a) de la
point) LIPR concernant l’interdiction de
territoire pour grande
criminalité car il a été déclaré
coupable d’une infraction
punissable d’un

2. Il a fait un appel à la décision


le 12 juin 2008 suite à quoi la
Section d’appel de l’immigration
(SAI)lui a accordé un sursis de 3
ans avec des conditions.

3. Le 27 avril 2011, la SAI


informe devoir reprendre l’appel
sans audience et demande la
déclaration de l’appelant
concernant son respect des
conditions du sursis.
4. Le 27 mai 2011 l’appelant
informe le tribunal du respect
des conditions de son sursis
mais qu’il a été condamné le 13
mai 2011 à une peine de deux
ans moins un jour pour une
infraction commise en 2006
avant l’octroi du sursis. Il n’a pas
commis d’infractions depuis le
sursis.

5.La question est de savoir si le


sursis est révoqué. Si c’est le cas,
l’appel serait rejeté et M. Bui
serait automatiquement interdit
de territoire en vertu de l’alinéa
36(1)a) de la LIPR.

Quels sont les faits qui sont L’appelant conteste le fait que la /1
contestés ? Indiquez, en dernière infraction pour laquelle
moins de 250 mots, en quoi il a été condamné soit prise en
ils sont contestés par les considération pour la décision
parties. Si aucun fait n’est final. Il estime que celle-ci
contesté, indiquez (en moins concerne une infraction
de 250 mots) quels faits non commise avant même d’avoir
contestés pourraient faire le obtenu un sursis donc elle ne
plus de dommage à la doit pas être considérée. Il
position du demandeur et estime avoir respecté les
pourquoi (1 point) conditions de son sursis quand
même.

D’un autre côté, au paragraphe


68 (4) de la LIPR on peut lire que
le sursis de la mesure de renvoi
(...) est révoqué de plein droit si
le résident permanent est
reconnu coupable d’une autre
infraction mentionnée au
paragraphe 36(1), l’appel étant
dès lors classé. La CISR peut se
baser sur ce paragraphe pour
rejeter l’appel de Bui et le
soumettre à une mesure de
renvoi en vertu du paragraphe
36(1).

Quel est le meilleur argument L’appelant indique le fait qu’une /1


du demandeur ? Pourquoi (1 «autre infraction» réfère à une
point, moins de 250 mots)? infraction ayant lieu durant la
période de référence qui suit le
sursis. L’appelant n’a donc pas
contrevenu à ses conditions.

De plus, l’appelant n’avait pas le


temps d’attendre le verdict
concernant la deuxième
infraction survenue avant la
date de son sursis pour pouvoir
loger son appel. Il disposait de
seulement 30 jours pour
demander un appel à partir de
la réception de la mesure de
renvoi. Il ne peut pas être blâmé
pour la lenteur du système
judiciaire.

Quel est le meilleur argument Le Gouvernement du Canada /1


du Gouvernement du n’a pas d’autre argument que le
Canada ? Pourquoi (1 point, fait que l’appelant soit
moins de 250 mots)? condamné à une nouvelle peine
de deux ans moins un jour pour
une autre infraction.

La loi n’est pas claire (article


68(4)) car elle ne précise pas le
moment où l’infraction doit avoir
été commise, soit avant ou
après le sursis. Le
Gouvernement du Canada peut
donc utiliser cet argument
quand même.

Il s’agit d’un bon argument car il


ouvre la porte à tout un débat
par rapport à la date de
l’infraction VS la date de la
condamnation comme facteur
de prise en considération pour
l’appel. Cela penchera en la
faveur de l’appelant.
Quelle décision citée dans Ferri c. Canada (Ministre de la /2
cette décision a eu un impact Citoyenneté et de l'Immigration)
significatif sur la décision qui (C.F.), 2005 CF 1580, [2006] 3 RCF
a été rendue (1 point pour la 53 Cour fédérale — Canada
citation exacte)? Expliquez, (fédéral).
en 250 mots ou moins, pour
quelle raison la décision citée Le Tribunal n’a pas trouvé de
a eu un tel impact significatif jurisprudence de cas semblable
selon vous (1 point). à celui-ci, mais il a cité souvent la
décision Ferri. Dans cette
dernière, le juge parle du
paragraphe 68(4) en disant entre
autre que la compétence de la
section d’appel de l’immigration
était de savoir si la personne
avait été reconnue coupable
d’une autre infraction
mentionnée au paragraphe
36(1). Il n’y avait pas de précision
sur le moment de l’infraction et
cela témoignait du désir, au
début des années 2000, d’élargir
les catégories de personnes
pouvant être renvoyées sans
droit d’appel.

Le fait que le tribunal évoque la


décision Ferri a permis à
l’appelant de lancer un débat sur
l’interprétation et de convaincre
le tribunal qu’une sentence
reçue pour une infraction
commise avant de recevoir un
sursis ne peut pas être
considérée.

Quelle est la La CISR stipule que la demande /2


décision/ordonnance rendue de révocation du sursis est
par la CISR (1 rejetée, Thanh Van Bui a le droit
point)? Expliquez, en 250 à l’appel et sa mesure de renvoi
mots ou moins, le est cassée.
raisonnement de la CISR qui
l’a amené à rendre cette Le tribunal en est venu à cette
décision (1 point). décision car le critère «autre
infraction» n’est pas valable
pour le cas de Bui puisque
l’infraction a eu lieu avant le
sursis. Bui a donc respecté
toutes ses conditions et n’est
plus disposé à la mesure de
renvoi.

L’appelant a de plus coopérer en


purgeant sa peine dans la
collectivité et est en bonne voie
de réhabilitation.

Puis, il importe de souligner que


la CISR s’est aussi basée sur
d’autres décisions, notamment
Riascos. Dans cette dernière, le
tribunal avait conclu que
l’élément déclencheur de
l’application du paragraphe 68(4)
n’est pas la commission d’une
infraction mais bien la
déclaration de culpabilité. Cette
déclaration dans le cas de Bui
est venue après le début du
sursis. Elle ne peut pas être
considérée pour la décision.
Formulez, en 250 mots ou Si un de mes clients est dans la /1
moins, un conseil que vous même situation, je lui
feriez parvenir à un client à la suggèrerais de demander un
lumière de cette décision. report de son appel jusqu’à ce
qu’il ait le verdict de toutes les
infractions commises avant
d’avoir obtenu un sursis face à
une mesure de renvoi.

Dans la décision il est écrit que


l’appelant a normalement 30
jours pour loger un appel.
Toutefois, dans la décision
Bennett, citée dans Bui, il est
indiqué que l’appelant qui a une
cause pendante au moment où
il loge son appel pourrait avoir
une raison légitime de
demander que l’audition de son
appel soit retardée jusqu’à ce
qu’il connaisse l’issue de cette
cause.

Sinon, un verdict de culpabilité


pour une infraction commise
avant pourrait jouer contre lui.

Décision 3

Questions Vos réponses Pointage


(réservé au
correcteur)
Citez correctement la Nguesso c Canada /1
décision (1 point) (Citoyenneté et Immigration),
2008, CAF 145 CanLII

En moins de 300 mots, - Le 27 décembre 2006, /1


résumez l’historique l’appelant a déposé une
procédural qui a précédé le demande d’immigration au
processus devant la Cour (1 Canada dans la catégorie
point) «regroupement familial»
car son épouse et ses
enfants sont canadiens.
- Le 20 décembre 2013,
l’agente d’immigration
prend une décision : elle
déclare l’appelant interdit
de territoire pour motifs de
criminalité organisée selon
l’alinéa 37(1)a) de la LIPR.
- Ensuite, M. Nguesso va en
appel à la Cour fédérale
pour contester la décision
de l’agente.
- La juge demande à l’agente
d’immigration de vérifier à
nouveau l’analyse du
dossier.
- Le 18 février 2016, après
avoir refait une analyse,
conclut encore que
l’appelant, M. Nguesso, est
interdit de territoire au
Canada en raison de son
appartenance à une
organisation criminelle
conformément à l’alinéa
37(1)a) de la LIPR.
- La juge rejette donc la
demande de contrôle
judiciaire à l’égard de la
décision rendue par
l’agente d’immigration.
- Le 24 novembre 2016, M.
Nguesso interjette un appel
contre la décision de la juge
à la Cour d’appel fédérale.

Quels sont les faits qui sont L’appelant explique que /1


contestés et indiquez, en l’agente d’immigration n’a pas
moins de 250 mots, en quoi identifié les dispositions
ils sont contestés par les pénales congolaises
parties? Si aucun fait n’est correspondant aux infractions
contesté, indiquez (en lui étant reprochées.
moins de 250 mots) quels
faits non contestés L’appelant évoque aussi le fait
pourraient faire le plus de que l’agente s’était appuyée sur
dommage à la position du une vision empreinte de
demandeur et pourquoi (1 préjugés à l’encontre du Congo
point) et de son administration et
avait présumé que les haut
dirigeants d’entreprise, comme
lui, étaient nécessairement
corrompus sans avoir de
preuve tangible.

L’appelant est d’avis que


l’agente n’était pas impartiale.
Quel est à votre avis le Le meilleur argument de M. /1
meilleur argument du Nguesso est le fait que l’agente
demandeur et pourquoi (1 n’a jamais trouvé concrètement
point, moins de 250 mots)? de lois congolaises qu’il avait
violé. Bien que des fonds de
son entreprise étaient
détournés et qu’il se versait un
salaire de plus de 3 millions de
dollars par année, cela ne
voulait pas dire que c’était
illégal au Congo donc pour lui
on ne pouvait pas appliquer
l’article 37. Or c’était un
argument faible car l’agente
d’immigration n’avait juste à
prouver que ces faits seraient
punissables s’ils avaient été
commis au Canada.
Quel est à votre avis le Dans les faits, une seule /1
meilleur argument du infraction à une loi fédérale
Gouvernement du Canada canadienne punissable par
et pourquoi (1 point, moins mise en accusation suffisait
de 250 mots)? pour rejeter l’appel et interdire
le territoire à M. Nguesso. Il se
trouve que l’agente
d’immigration en avait identifié
trois : 1) fraude 2) fraude fiscale
et 3) recyclage des produits de
la criminalité.

Il s’agit de trois actions qui, si


elles avaient été commises au
Canada, seraient fortement
punies. Cela était suffisant pour
évoquer le paragraphe 37 1) de
la LIPR et interdire de territoire
l’appelant pour motif de
criminalité.

Quelle décision citée dans Lai c. Canada (Sécurité /2


cette décision a eu un publique et Protection civile),
impact significatif sur la 2015 CAF 21
décision rendue (1 point
pour la citation Dans la décision Lai, le juge
exacte)? Expliquez, en 250 avait spécifié que pour l’alinéa
mots ou moins, pour quelle 37(1)a), la loi ne requiert pas de
raison la décision citée a eu preuves des éléments
un impact significatif sur la constitutifs d’une infraction
décision rendue (1 point). commise à l’étranger et de son
équivalence au Canada.
Autrement dit, le jugement de
l’agente d’immigration, ses
perceptions et ses recherches
étaient suffisantes comme
preuves. Il ne fallait pas de
détails supplémentaires (ex :
comptes bancaires,
témoignages et autres preuves
plus concrètes).

Ainsi, l’analyse de l’agente


d’immigration était suffisante
pour que la juge arrive à la
décision de rejeter l’appel de
Nguesso.
Quelle est la L’appel est rejeté et M. /2
décision/ordonnance Nguesso est interdit de
rendue par la Cour (1 territoire.
point)? Expliquez, en 250
mots ou moins, le La juge a noté que l’agente
raisonnement de la Cour avait identifié trois infractions à
qui l’a amené à rendre cette la loi fédérale punissables et
décision (1 point). que cela était suffisant pour
refuser l’appel de M. Nguesso.

De plus, la juge a interpreté la


demande d’éléments
constitutifs de l’appelant
comme des prétentions pour
que son dossier soit à nouveau
analyser. Cela n’était pas le rôle
de la juge d’analyser à nouveau
le dossier et le travail de
l’agente d’immigration devait
être considéré et non dénigré.
Formulez, en 250 mots ou Dans le cas de Nguesso, ce /1
moins, un conseil que vous dernier a refusé de transmettre
feriez parvenir à un client à plusieurs informations à
la lumière de cette décision. propos de sa compagnie au
Congo à l’agente d’immigration.
Je conseillerais à un client de ne
jamais cacher des informations
et surtout de ne pas dénigrer
les agents d’immigration (de ne
pas paraître hautain et de
traiter tous les employés du
système judiciaire de la même
manière).

Le fait de ne pas fournir


d’information peut laisser
entrevoir des activités
frauduleuses, même si cela
n’est pas assuré.

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