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Définition Du Risque
Définition Du Risque
Définition Du Risque
:
Le risque est le danger auquel une entreprise peut faire face représentée par
une activité, une structure ou un concept. cela peut être un fait, une action ou
un évènement qui est en mesure de créer des dommages a l’entreprise.
Tout les épargnants et investisseurs sont exposés au risque de perte, en effet
ils peuvent être amené a vivre deux issues possibles : le gain ou la perte
Toutefois il existe une prime de risque, plus l’entreprise investit sur un actif
risqué, plus son gain ou sa perte sera élevé a l’issue de la période
d’investissement, cette dernière souhaite naturellement un retour sur
investissement optimal.
Cependant, les agents économiques sont nombreux à chercher cette quête : le
marché départage les gagnants ou perdants en fonction de leur comportement
et prise de décision.
La finalité est de réduire les incertitudes, en ce basant sur la planification
financière te le management des risques.
SOURCES
- https://jobphoning.com/strategie-entreprise/gestion-des-risques#
- Tout les épargnants …… https://www.rachatducredit.com/definition-
risque-financier-9786/#
Objectifs du management des risques :
SOURCES
YAICH Abderraouf, Le cadre de management des risques de l’entreprise
(coso 2),La revue comptable et financière n°85-troisieme trimestre
2009,p60 .
14- HOTTIN. J P Associé PwC et coll., « Pocket Guide, COSO 2013 Une opportunité pour
optimiser votre contrôle interne dans un environnement en mutation », A partir de propos
tenus lors du Colloque du 21 mai 2013
Rendre compte (et faire un rapport), conformité (aux lois et règlements),
opérations (ordonnées, éthiques, économiques, efficientes et efficaces) et
protection des ressources.
Les rangs horizontaux à savoir les cinq éléments, et la troisième dimension
de la matrice correspondent aux différentes divisions de l’organisation et à
ses départements. Chaque rang de composantes croise les objectifs
généraux et s’y applique.
Par exemple, les informations financières et non financières, provenant de
sources internes et externes et qui relèvent de la composante « information
et communication », sont indispensables pour gérer les opérations, pour
rendre compte et pour assurer la conformité aux lois en vigueur.
En outre, les cinq éléments sont pertinents pour chacun des quatre
objectifs généraux.
Si nous nous concentrons , par exemple, sur l’objectif d’efficience et
d’efficacité des opérations, il est évident que les cinq éléments sont
concernés et jouent un rôle dans sa réalisation.
Le contrôle interne s’applique aussi bien à l’organisation dans son
ensemble qu’à ses départements pris isolément.
Ce lien est représenté par la troisième dimension qui représente
l’ensemble de l’organisme : les entités et les départements.
De cette manière, il est ainsi possible de se concentrer sur n’importe
quelle cellule de la matrice prise en particulier. Si le système de contrôle
interne ainsi définit est pertinent et applicable à toutes les organisations, la
manière dont la direction le met en œuvre varie largement en fonction de
l’organisation et dépend d’un certain nombre de facteurs qui lui sont
spécifiques.
Il s’agit notamment la structure organisationnelle, du profil de risque, du
contexte opérationnel, de la taille, de la complexité, des activités et du
degré de déréglementation.
Compte tenu de la situation spécifique de l’organisation, les dirigeants
feront une série de choix en ce qui concerne la complexité des processus et
des méthodologies mises en places pour appliquer les composants du
dispositif de contrôle interne. Le COSO constitue donc un cadre conceptuel
pour le système de contrôle interne.
Il permet aux entreprises et aux organisations de toutes sortes (à but
lucratif et non lucratif), grâce à la manière dont il a distingué les objectifs
généraux ainsi que les cinq composantes citées, d’évaluer leur dispositif de
contrôle interne afin d’identifier les éventuels
risques pouvant compromettre la réalisation de leurs objectifs.
Il aide également à détecter les faiblesses majeures du système dans le but
de prendre les mesures correctives appropriées et permettre ainsi une
meilleure maitrise de leurs activités.
https://www.ummto.dz/dspace/bitstream/handle/ummto/5207/memoire
%20pour%20l%27obtention%20du%20diplome%20de%20master
%20portant%20sur%20l%27%C3%A9valuation%20du%20controle
%20interne%20selon%20le%20r%C3%A9f%C3%A9rentiel%20COSO%20Cas
%20~1.pdf?sequence=1&isAllowed=y
Management des risques selon le référentiel COSO :
Le système de gestion des risques est intégré dans le processus de
management global de l'organisation mais toutes les actions de gestion ne font
pas partie du système de gestion des risques. Par conséquent, les notions
d’évaluation et d'appréciation utilisés dans la prise de décision, qui constituent
une partie importante du processus de management global, ne relèvent pas du
dispositif de management des risques.
Le COSO 2 précise : «qu'en règle générale, le dispositif de management des
risques intègre des éléments du processus du management global qui
permettent à la direction de prendre des décisions avisées. Toutefois, le fait
que des bons choix ont été faits ne permet pas de conclure que le dispositif est
efficace. Par ailleurs, si les objectifs spécifiques, les modes de traitement des
risques et les activités de contrôle sélectionnées relèvent de l'appréciation et
du jugement de la direction, les choix doivent se traduire par une diminution
des risques à un niveau acceptable, correspondant à l'appétence de
l'organisation pour le risque, et doivent donner une assurance raisonnable que
les objectifs de celle-ci seront atteints».
SOURCES :
YAICH Abderraouf, Le cadre de management des risques de l’entreprise (coso
2),La revue comptable et financière n°85-troisieme trimestre 2009,p59
IDENTIFICATION DES
RISQUES
COMMUNICATION DES
RISQUES
GESTION DE CRISE
PROCESSUS DE
MANAGEMENT
DES RISQUES
EVALUATION DE LA
LA MAITRISE DES RISQUES GRAVITE DES RISQUES
L’identification des risques :
Dans un premier temp, les consultants spécialisés analysent tous les facteurs
pouvant constituer une menace pour l’organisation. Cela comprend un audit
interne complet pour évaluer la situation de l’intérieur puis une analyse de
l’environnement par le biais d’une étude du marché précise. Ainsi, la nature du
risque peut être déterminée, mais aussi classer en fonction de la typologie
(risques stratégiques, risques opérationnels et risques environnementaux).
La maîtrise du risque :
C’est l’étape la plus importante, car elle va permettre de mettre en place des
dispositifs préventifs au sein de l’organisation. Quel que soit le domaine
d’activité (santé, travail, production, construction, artisanat, services,
technologies…), il existe des contrôles de qualité et des certifications. C’est
aussi le cas lorsque l’on met en place des actions de formation des employés.
Les mesures préventives peuvent aussi inclure la mise en place de processus à
suivre pour limiter le risque de survenance d’un problème. Dans les hôpitaux,
des protocoles de soin et de nettoyage ont été mis en place pour éviter
l’apparition d’infections nosocomiales. Les experts peuvent aussi vous
conseiller de l’éviter tout simplement en suspendant une action. Cela peut-
être par exemple l’interdiction d’utilisation pure et simple d’un produit, ou au-
delà d’une certaine date.
Ensuite, lorsque les mesures préventives n’ont pas suffi à écarter un risque, il
sera alors question de mettre en place des actions correctives pour en
diminuer les conséquences. Par exemple, l’utilisation d’une machine
représente un risque de blessure grave. Le port d’un équipement de sécurité
ne réduit pas le risque de survenance d’un problème, mais il permet d’en
atténuer les effets.
Les actions palliatives quant à elles consistent à transférer le risque vers un
tiers. C’est le rôle des assurances par exemple. Enfin, il y a des risques que l’on
dit acceptés, car ils ont une importance moindre. C’est le cas d’un coiffeur ou
d’une coiffeuse qui accepte d’utiliser des produits à base d’ammoniaque ou
d’un peintre qui préfère travailler sans gants.
La gestion de crise :
Enfin, il est important de mettre en place un plan de gestion de crise pour faire
face à d'éventuels incidents ou catastrophes. Le plan doit être régulièrement
testé et mis à jour pour assurer une réponse rapide et efficace en cas de crise.
SOURCE :
https://www.onemansupport.com/content/quest-ce-que-le-management-des-
risques/IDE
CONCLUSION :