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QUAND J’ÉTAIS CHEZ MON PÈRE

 d’après Rachel Grimaud Enquête de André Pacher


Parthenay, 01/10/1972 CERDO DCC00241-015
Bidouillage de Marif Coffineau

Proposition pour la danse : Ronde avant-deux

1. Quand j’étais chez mon père 7. Dis-moi ma chère femme


Garçon à marier Qu’avez-vous donc mangé
Je n’avais rien à faire Des perdrix des begasses
Qu’une femme à chercher Et des chapons lardés
Hélas pourquoi m’y marie-t-on
8. Dis –moi ma chère femme
Que j’étais si aise étant garçon
N’en as-tu pas gardé
2. À présent j’en ai une Les os sont sur la table
Elle me fait enrager Si tu veux les ronger
Le lendemain d’mes noces
9. Et si tu n’en veux pas
En vigne m’a-t-envoyé
Va-t-en vite te coucher
Hélas pourquoi qu’on s’y marie
P’tit Jean baisse la tête
Que l’on est si bien seul dans son lit
Et se met à pleurer
3. M’a-t-envoyé en vigne
10. Pleure gros vilain pleure
Sans avoir déjeuné
Pour moi je vais chanter
En me rendant de vigne
Tant que je serai jeune
Tout mouillé tout ratouillé
Je me divertirai
4. Dis-moi ma chère femme
11. Et quand je serai vieille
Je voudrais bien rentrer
Je me retirerai
Rentre gros vilain rentre
Dans un vieux presbytère
Rentre donc te sécher
Avec un beau curé
5. Dis-moi ma chère femme
12. Dans un vieux presbytère
Je voudrais bien manger
Avec un beau curé
Mange gros vilain mange
Qu’a du vin dans sa cave
Quant à moi j’ai soupé
Du lard dans son charnier
6. Mange gros vilain mange
Quant à moi j’ai soupé
Avec notre vicaire
Et monsieur le curé
Quand j'étais chez mon père

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Quand j'é - tais chez mon pè - re Gar - çon à ma - ri - er Je n'a - vais rien à fai - re Qu'u-

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a f k k k k dksz k k k k k k dk k k k k k k k k dk k
- ne femme à cher -cher Hé - las pour -quoi s'y ma - rie -t'on Que l'on est si aise é-tant gar -çon

Rachel Grimaud, Parthenay, 1972


André Pacher, DCC00241-015, C29/20

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