Vous êtes sur la page 1sur 3

Karine et ses chaussures...

On part en expédition shopping… On a décidé que ce serait une sortie exhib’ et plan
cul si affinités ! Il fait frais, Karine porte une robe en jersey fin, fluide et très courte.
Normalement ça se porte avec des leggins ; à la place, ma chérie met des bas épais
avec un porte-jarretelle et… c’est tout. Quand elle est debout, on s’y tromperait.
Assise… j’adore sa peau blanche, son sexe rose dans le gris foncé des bas épais.

On a un magasin préféré dans une ville proche. Nous savons qu’il y a des voyeurs
complices.

Karine s’assoit après avoir repéré quelques escarpins. Un vendeur, beau mec, arrive
pour l’aider. J’aime bien sa tête quand il s’installe en face de ma chérie. Elle n’écarte
pas vraiment ses jambes mais joue plutôt à les croiser, les lever, poser le pied sur le
support ; à chaque fois, notre complice-malgré-lui profite du spectacle. La bosse
devant son pantalon est révélatrice. Il est soigné et sexy. Toute excitée, ma Karine se
le mettrait bien sur le ventre.

Le vendeur lui propose de choisir d’autres chaussures dans le stock. Karine me


regarde, j’opine, elle accepte. Je pense qu’il va lui proposer un plan cul… Mais ma
chérie revient de suite, toute seule… « Tu as vu, mon amour ? »

« Oui, pourquoi es-tu revenue si vite, je ne comprends pas ? »

« Je n’avais pas demandé ta permission… Je lui ai dit que je revenais pour te faire
patienter. Tu me le donnes, ce bogoss’ ? »

« Oui, bien sur, je pense que tu vas te faire sauter dans le stock ? Tu me raconteras
tout après, je t’attends ici ma chérie, fais-toi bien baiser. Tiens… »

Je pose discrètement des étuis capote et lingette intime dans sa main.

« Dis-lui que je suis d’accord. Je t’aime mon cœur, profites-en bien, je t’attends »

Karine a un large sourire, toute énervée à l’idée de se faire sauter dans l’arrière
boutique.

Elle part vers la porte du fond. Le reste du magasin est très encombré, les clientes se
bousculent, ça nous garantit une certaine tranquillité.
J’attends un petit quart d’heure. Je pense à ma femme qui se fait tirer au même
moment. Je l’imagine penchée sur des boites en cartons, la robe rabattue sur le dos,
le cul en l’air, la chatte offerte. J’espère que ce type va la bourrer brutalement, la
défoncer… Mmmm… quel plaisir de sentir ma chérie utilisée sexuellement en ce
moment-même, à quelques mètres, le sexe ouvert, dilaté en grand sur une bonne
queue. Pourvu que cet homme prenne le temps de la faire jouir. S’il pouvait l’enculer,
ma Karine serait aux anges… elle aime se faire mettre par derrière, c’est bon
physiquement et c’est aussi un fantasme de soumission.

Vingt minutes plus tard, ma Karine rayonnante revient, dans une tenue impeccable,
seuls ses yeux sont un peu brouillés. Elle se retourne « Finalement je n’ai pas choisi,
je reviendrai seule, ça me laissera le temps d’essayer les autres paires »

Je souris au double-sens involontaire de ses paroles…

« Comme vous voulez, madame » Le vendeur à la voix un peu enrouée.

Nous partons en lui laissant ranger les boites ouvertes.

Dans la rue, je n’y tiens plus « Alors ? racontes moi tout, ma petite salope adorée. Il t’a
baisée comme tu aimes ? Dis-moi ? »

« Merci de ta permission, mon chéri, il m’a sautée comme une reine. Il m’a fait jouir,
mais jouir, bon sang qu’il est bien monté cet enfoiré ! Il m’a retournée sur des piles de
boites à chaussures et m’a tout de suite enfilée. Il m’a traitée comme une salope, il
me l’a dit : -tu es une vraie petite pute de venir ici essayer des chaussures le cul et la
chatte à l’air- J’ai répondu que tu m’obligeais à le faire, ça l’a excité… Oh-la-la ce qu’il
m’a mis le salaud ! J’ai jouis comme une folle. Mon chéri, ta femme est une vraie
chienne en chaleur ! »

Nous montons dans la voiture.

« Tu es content ? J’avais ta permission, je te rappelles ? »

« Je suis très content… et super excité moi aussi, mon cœur. On rentre vite à la
maison si tu veux, j’ai trop envie de te baiser, de sauter ma petite pute »

« Bien sur mon amour, maintenant moi aussi j’ai envie de toi. Au lieu de me calmer,
ce mec m’a remontée comme une pendule »
Karine hésite… « Il faut que je t’avoue… »

« Oui ? »

« Et bien, il s’est beaucoup retenu. Il était prêt à finir en se branlant sur moi pour
m’arroser de sperme. Mais j’étais à plat ventre dans les cartons, ma robe sous les
bras, le cul à l’air ; ça l’a relancé, il m’a demandé si tu voulais bien qu’il me prenne par
derrière ? Qu’il m’encule, quoi ! J’ai répondu que oui, tu adorerais l’idée, j’ai bien
fait ? »

« Bien sur ma chérie, j’adore l’idée… et la chose ! J’espère qu’il t’a enculée profond ?
Tu as bien senti sa queue te défoncer loin dans ton ventre ? »

« Oh oui, il était déchaîné, j’en ai pris plein mon cul, crois-moi. Il m’a enfilée
doucement au début, mais comme on manquait de temps, il a poussé sa queue bien
au fond de moi. C’était si bon que j’ai jouis une fois de plus. Là, je dois dire qu’il s’est
lâché d’un coup et j’ai senti qu’il me remplissait de foutre. J’ai vu la capote bien
pleine quand il s’est retiré de mon cul… Oh putain que c’était bon ! Merci, oh merci
mon amour de me permettre ça. Je suis si contente de savoir que ça t’excites et que
tu vas me sauter juste après, faire l’amour à ta petite pute soumise »

Vous aimerez peut-être aussi