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Intro

-Définition de taille.
-Plastique primaire/secondaire.
-Constat actuel sur leur présence et quantité ?
-Problème potentiel ?

Corps de texte
-Transport (3,5) et son entrée dans l’eau
-Transformation (3)
-Vecteur d’autre polluants (3 et 5)
-Source de polluant en tant que tel (3 et 5)
-Bioavaility et consommation par animaux : fonction des propriétés du plastique (5)
-Effet sur les animaux marins :
dépend de la taille/forme et du type
1.Diminution de sensation de satiété → stop manger reste → moins de croissance →
problème de reproduction car ayant même forme et taille que ce dont les organismes se
nourrissent(2 et 5).
2.Blocage d’intestin + possibilité de ramener des substances toxiques avec eux dans les
intestins (2 et 5).
→ liste de fou furieux de problème dans article 2 et 5
3.FOOD CHAIN ! (5)
Diviser en effet physique / chimique / biologique :
1.Physique :
● Étranglement (2 et 5)
● Blocage des rayons du soleil (2 et 5) → altère photosynthèse si en suffisamment
grand nombre → nique la food chain à la base.
2.Chimique :
● Agit comme source et sink (5 et 3)

3 ne parle pas bcp de l’effet sur les organismes mais plutot des définitions pratiques +
transport + transfo + vecteur

Conclusion
-Limite des études → relevance des conditions de laboratoire + largeur des études +
challenge de détection (due à petite taille) → pas mal dans article 2 et 4.
-Souvent, des les articles, le même genre de recommandation est donnée → prendre en
compte.
Effets des microplastiques et nanoplastiques sur la structure,le
fonctionnement des écosystèmes aquatique d’un point de vue
écotoxicologique

1.Introduction

L’utilisation excessive des plastiques dans nos sociétés est due à ses
propriétés fondamentalement intéressantes : faible poids, durabilité, faible coûts et
flexibilité (ce qui entraîne sa dérivation en différente forme) [1,4]. Ces principaux
atouts seront démontrés après comme étant ses points négatifs majeurs dans
l’environnement. De par son utilisation intense et sa mauvaise gestion, on retrouve
actuellement du plastique dans tous les environnements, des océans profond à la
neige d’Arctique en passant par le pluie tombant sur les villes [3].
Les sources de plastique sont malheureusement très diverses, celles
revenant le plus souvent sont : l’industrie du textile et le lavage des vêtements, les
produits cosmétiques et les pneus de véhicules [3,5].
Il existe différents types de matière à la base des plastiques mais les plus
dominants sont : le polyéthylène, polypropylène et polyvinyl chloride [1,2]. Au sein de
l’environnement, ces plastiques vont subir divers processus de dégradation
réduisant leur taille et formant les macroplastiques, mésoplastiques mais, de
manière plus importante, les micro et nano plastique. Cette classification dépend de
la taille du plastique mais la définition n’est pas univoque dans la communauté
scientifique : les microplastiques sont définis comme ayant une taille de 0,1µm-5mm
ou de 1µm-1mm alors que les nanoplastiques sont définis comme ayant une taille de
inférieure à 0,1µm ou entre 1nm-1µm [2,4].
Il existe aussi une distinction entre microplastique primaires et secondaires.
Les primaires sont issus directement de produits manufacturés (souvent des
produits de beauté) alors que les secondaires sont issues de la dégradation non
intentionnelle de plastique dans l’environnement selon divers processus comme
l’hydrolyse, la dégradation sous l’effet d’UV ou l’abrasion mécanique [1,2,4].
En ce qui concerne les micro et nanoplastiques retrouvés dans les milieux
aquatiques, le problème majeur est qu’ils sont transférés et accumulés à plusieurs
niveaux de la chaîne alimentaire. Les individus plus haut dans la chaîne alimentaire
auront donc tendance à en accumuler plus et peuvent directement, par la vente de
poisson par exemple, influencer la santé humaine [1,3,4].
Les effets potentiels sont nombreux et encore assez mal connus. Ils vont de
changements biochimiques à une réduction de la fertilité et de la reproduction
jusqu’à la mortalité en passant par diverses perturbations de système fondamentaux
comme le système immunitaire. Ces effets sont causés par la simple présence d’un
corps étranger entraînant une irritation chronique mais sont aussi reliés à la
composition chimique, physique et autres modifications biologiques [1,3,4].
2.Transport des microplastiques jusqu’aux milieux aquatiques

Pour comprendre en quoi les microplastiques sont un enjeux majeur pour les
environnements aquatiques, il faut comprendre comment ils se distribuents dans ces
environnements. Il a été constaté qu’une majorité de plastiques trouvent leurs
chemin vers les environnements d'eau douce depuis les effluents de décharges mais
aussi des égouts, les industries où encore l’eau de ruissellement venant des
espaces urbanisés. La distribution de plastique retrouvée dans les eaux douces est
également en grande partie déterminée par la localisation géographique [2,4,5].

Même si les lacs jouent un rôle dans l’accumulation de plastique sur une
courte échelle de temps, les rivières sont souvent identifiées comme étant le chemin
primaire entre les environnements d’eau douce et marins [2,4]. Une fois arrivés dans
les rivières et fleuves, les plastiques trouvent leur chemin vers l’environnement marin
en fonction des vents et du débit. Une fois dans les océans, les plastiques y sont
majoritairement accumulés et peuvent être distribués sur une plus grande échelle
géographique en fonction des courants océaniques [2,4,5].
Dans des conditions particulières de courants, de marées et de vents,
certaines plages peuvent être le lieux d’accumulation massive de plastiques ce qui
influence aussi grandement les organismes aquatiques vivant le long de la côte [4].

Même s’il est reconnu qu’une majorité des sources de microplastiques sont
issues du continent. Il existe quelque source directement au niveau des océans,
c’est par exemple le cas de l’industrie de pêche ou du transport maritime de
marchandise [5].

3. Ecotoxicologie des micro et nanoplastiques

Les majeurs problèmes soulevés par la présence excessive des


microplastiques sont reliés aux propriétés chimique, physique et biologique de ces
plastiques, soit de à cause de la composition du plastique de manière intrinsèque
soit à cause de sa modification.

A.Les propriétés physiques :

De par la fabrication des plastiques, un ensemble de propriétés physiques du


produit fini posent problème. C’est le cas de sa densité, sa couleur, sa taille et sa
forme.

La densité du plastique va déterminer s’il est capable de flotter ou non.


Les plastiques de faible densité vont s’accumuler majoritairement dans la zone
supérieure de l’océan et seront majoritairement disponibles pour le nekton, les
producteurs primaires (algues et cyanobactéries) et le zooplancton. Il peut aussi
poser problème pour d’autres parties de la chaîne alimentaire comme les oiseaux de
mer qui pourront le confondre avec une proie [4,5]. En ce qui concerne les
producteurs primaires, les nano et microplastiques peuvent s’adsorber à la surface
des cellules créant un effet d’ombre mais aussi modifiant son interaction avec le
milieu extérieur pour le prélèvement de CO2 par exemple. On constate donc une
diminution de la photosynthèse [1,5].
Les plastiques de densité plus élevés seront eux disponibles pour le benthos [4].
On voit donc qu’à travers la densité, on aura pas les mêmes groupes écologiques
qui seront impactés.

La couleur, la forme et la taille des microplastiques auraient aussi une


influence sur la préférence de consommation de certains organismes marins. Ainsi,
certains poissons ayant l’habitude de sa nourrir de zooplancton de couleur blanche à
jaune se feront piéger par des plastiques de cette couleur [4].

La taille des microplastiques joue un rôle essentiel dans son impact sur la vie
aquatique. Les plastiques de grandes tailles sont connus pour causer des
étranglements et suffocations et peuvent rendre les mouvements des organismes
plus difficiles. Cependant, on constate que l’ingestion de microplastique, s’ils sont
prit pour une proie peut donner une impression de satiété aux organismes entraînant
une malnutrition. De même, les microplastiques étant majoritairement accumulés, ils
peuvent causer l'obstruction plus ou moins complète du tractus digestif et mener à
une malnutrition, l’inhibition de la croissance et de la reproduction voir la mort.
On constate également que les microplastiques de petite taille sont ingérées plus
facilement par des maillons inférieurs de la chaîne alimentaire [1,4,5]. De plus une
accumulation de microplastique dans un individu permet aux produits chimiques
qu’ils contiennent et relâche d’avoir plus d’effets [1,4,5].

Il a aussi été remarqué que certaines formes de plastiques semblent plus


problématiques que d’autres. Il semble que les microplastiques primaires ont des
tailles plus sphériques et régulières car designer pour un usage. Les microplastiques
secondaires ont des tailles beaucoup plus hétérogènes due aux différentes
modifications qu’ils peuvent subir dans l’environnement. Les microplastiques ayant
une forme de fibres, où de manière plus globale, ayant des formes irrégulières
semblent plus problématiques que les microplastiques sphériques. En effet, les
microplastiques aux tailles irrégulières pourraient plus facilement se retrouver piégés
dans le tractus digestif et causer des dommages internes [1,3,5].

B.Les propriétés chimiques :

4.Méthodes de détection

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