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Le Passager

Réalisé par Maude Roy

Principaux thèmes :
1- La solitude
2- L’enfance
3- La cruauté / la violence
4- L’amnésie

Auteur : Patrick Sénécal

Résumé :
Tout débute lorsqu’Étienne Séguin, enseignant de littérature fantastique au Cégep de Drummondville, doit faire la
route Montréal-Drummondville et vice-versa chaque jour pour aller au travail. Que ce soit le matin ou le soir, il
emprunte toujours la même route, c’est-à-dire l’autoroute 20. Durant l’un de ses premiers trajets, il aperçoit un
auto-stoppeur sous un lampadaire. Étienne voit cet auto-stoppeur chaque mercredi et vendredi pour débuter, mais
par la suite il le voit à tous les jours. Un bon jour, il décide de l’embarquer avec lui. Il se nomme Alex, et aussitôt
embarqué, Étienne remarque qui est spécial. Au fil des trajets, Alex commence à dire qu’il était l’amie d’enfance
à Étienne, mais Étienne en n’a aucun souvenir car il souffre d’amnésie. Par la suite, Alex mène Étienne dans une
série de meurtres violents sans aucune raison. Finalement, Étienne décide de parler à ses parents d’Alex qui
finissent par lui dire que cet auto-stoppeur n’a jamais existé et qu’il était son ami imaginaire dans son enfance.

Appréciation :
Personnellement, je conseille fortement ce roman à tout le monde, mais plus particulièrement à des gens pas trop
sensibles car il y a des passages assez violents. Aussi, il est très facile à lire et contient très peu de mots
compliqués. La principale raison pour laquelle j’ai aimé ce roman est car la fin est totalement inattendue et
surprenante. En effet, tout au long de ma lecture, je m’attendais à tout sauf à ça. Jamais je n’aurais pu deviner
qu’Alex était en fait un ami imaginaire d’Étienne. Tout ça veut alors dire que tous les meurtres commis ont été
fait par Étienne seulement. Malheureusement, il y a un point négatif à ce roman. Ce seul point est que la
calligraphie est trop petite, donc parfois on se perd au courant de notre lecture. Selon moi, le passage marquant
de l’histoire est : « Alex Salvail n’a jamais existé mon chéri ». Cette citation se trouve dans la page 195 du
roman. Pour terminer cette citation est ma préférée, car c’est à ce moment précis que l’on apprend qu’Alex est
qu’une illusion et que qu’Étienne est en fait le seul criminel dans cette histoire.

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