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Continuité des parcs

1. Le statut du narrateur est intra diégétique car il se situe à l’extérieur du récit et utilise la
3ème personne de singulier : « Il avait commencé à lire le roman » (l.1) ; « Il se lassait
lentement intéressé par l’intrigue » (l.3)

2. Le type de narration est une narration antérieure car le narrateur qui se situe après les
évènements des actions antérieurs replonge dans ses souvenirs Le récit emploi le passé : « Il
avait commencé à lire le roman » (l.1), « Il jouissait du plaisir presque pervers de s’éloigner
petit à petit, ligne après ligne, de ce qui l’entourait » (l.14), « il se laissait prendre aux images
qui s’organisaient et acquéraient progressivement couleur et vie » (l.21)

3. Le point de vue adopté est interne car nous avons le point de vue que d’un seul personnage.
« L’homme en train de lire » : « Il avait commencé à lire le roman quelques jours auparavant »
(l.1) « Il se mit à lire les dernier chapitres » (l.11) Ces extraits nous montrent ce qu’il a fait. «
Il jouissait du plaisir presque pervers de s’éloigner petit à petit, ligne après ligne, de ce qu’il
l’entourait » cet extrait nous montre que le lecteur connait également les pensées et les
émotions de ce personnage. Justement nous avons aucune idée de ce que font la femme et
l’homme du livre nous apprenons tout au fur et a mesure que l’homme lit son livre.

4. La fausse piste sur laquelle le lecteur est conduit est l’histoire d’un ordinaire lecteur sur
un fauteuil en velours vert. : « Il avait commencé à lire le roman quelques jours auparavant »
(l.1) « Il se mit à lire les dernier chapitres » (l.11) « il laissait sa main gauche caresser de
temps en temps le velours vert ». (l.10)

5. La chute consiste à nous révéler qui est la victime du tueur du livre que l’homme est
entrain de lire mais nous apprenons lors de cette chute que l’histoire irréel que lit l’homme
est au faite la réalité et est en train de décrire le moment qu’il est en train de vivre il
apprend donc qu’il y a quelqu’un derrière lui avec un poignard qui veut le tuer. « Le poignard en
main, les lumières des grandes baies, le dossier élevé du fauteuil de velours vert et,
dépassant le fauteuil, la tête d’un homme en train de lire un roman. » (l.55 à 58)

6. Plusieurs indice nous mettait sur la piste de cette chute comme : « l’illusion romanesque le
prit presque aussitôt » (l.13) nous montre que le personnage a l’illusion d’être dans le livre qui
lit mais la chute va nous le confirmer car ce n’est même pas une illusion c’est la réalité. Le
cadre spatio-temporel que l’on trouvait au début vas aussi se trouver lors de la chute : « la
vus s’étendait sur le parc planté de chênes » (l.7) était ce que voyait l’homme en train de lire
tandis que ces chênes vont être « les épines d’une branche » qui vont « griffer le visage » de
l’homme du livre. Il y a aussi le fauteuil qui vas nous mettre sur cette piste on va le retrouver
au début : « il laissait sa main gauche caresser de temps en temps le velours vert ». (l.10) et
vas nous faire comprendre qu’il s’agit de l’homme en train de lire à la fin : « le dossier élevé
du fauteuil de velours vert » (l.52). Il y a aussi une comparaison entre le l’histoires irréel et
c’elle réel : « Les chiens devaient aboyer », dans l’histoire, « et ils n’aboyèrent pas » dans
l’histoire réel.
7. « le visage griffé par les épines d’une branche » (l.25), nous montre que les personnages du
livre que lit l’homme se situe dans un parc. Le titre « continuité des parc » nous constitue
donc bien un indice de la chute car il nous montre que l’histoire qui commence dans le parc vas
se « continuer » jusqu’à ce que cet homme aille se retrouver chez « l’homme en train de lire »
qui avait une vus sur « le parc planté de chênes. »

Iceberg

1. Le narrateur est intra diégétique, car il, utilise la première personne du singulier, je : « Je
me retiens de ne pas hausser les épaules » (l.20), « J’ai rencontré Irène un soir de
printemps » (l.44) « J’ai préparé mon affaire longtemps l’avance » (l.205). Le narrateur
s’appelle « Bernard ».

2. Le type de narration est une narration simultanée car le narrateur se situe au moment
même où les évènements se déroulent, il raconte les évènements qu’il est en train de vivre. Le
récit emploi le présent : « Irène s’étire sur sa chaise longue, entrouvre les yeux, bâille
longuement et pouffe » (l.1), « Tout à coup, j’ai eu une inspiration : » (l.73) avec un adverbe de
façon soudaine (tout à coup) qui renforce le côté narration simultané. De plus, l’utilisation du
discours direct donne directement la parole aux personnages et confirme cette narration
simultanée : « - Quelle importance ? dis-je. - Pour vous, je suis sûre que ça en a. - Mais non !
On dirait que ça ne me… » (l.3 à 7)

3. Le point de vue interne car le narrateur est intra diégétique il en sait donc autant que le
personnage. : « Je me retiens de ne pas hausser les épaules » (l.20), « J’ai rencontré Irène un
soir de printemps » (l.44) « J’ai préparé mon affaire longtemps l’avance » (l.205).

4. La fausse piste sur laquelle le narrateur nous conduit est que George est le marie de
Irène : « Elle doit penser à Georges […] Le visage d’une femme comblé », « Pas besoin de
tendre l’oreille pour entendre le bruit des baisers à l’intérieur. […] Irène se lève vivement du
lit en reboutonnant son corsage » ce passage nous fait croire qu’Irène est en train
d’embrasser son petit copain dans la chambre mais c’est son fils George à qui elle est
surement en train de lui faire téter le lait. « Et elle est à Georges… » cette phrase nous fait
croire qu’Irène appartient à son mari comme si elle avait déjà quelqu’un d’autre. « La présence
de Georges rôde toujours entre nous et elle ne pense qu’à Georges. » dans cet extrait on nous
dit que la présence de George est dérangeante cela nous fait croire qu’Irène est en train de
tromper son mari avec le narrateur.

5. La chute consiste à nous révéler l’identité de George, on apprend que ce n’est pas le mari
d’Inès mais bien son enfant. Cette chute est révélée par la phrase « Un jeune homme tente
de supprimer le bébé de trois mois pour épouser la mère… ». (l.276 à 278) on apprend à la
fois que George n’était non pas jaloux du mari d’Inès mais de son bébé mais aussi qu’il a
essayé le tuer également. On peut presque parler d’une double chute car nous allons
apprendre que George ne va pas s’en arrêter là : « Je recommencerai, Georges, et cette fois-
ci, je ne te raterai pas ! » (l.286) et George semble le comprendre comme si l’adulte que l’on
croyait être tout le long était dans l’enfant : « Georges semble me comprendre, car il me
regarde fixement, fait la moue et se remet à hurler. » (l.288/289)

6. Les indices de la chute sont : « Pas besoin de tendre l’oreille pour entendre le bruit des
baisers à l’intérieur. […] Irène se lève vivement du lit en reboutonnant son corsage » ce
passage nous fait croire qu’Irène est en train d’embrasser son petit copain dans la chambre
mais c’est son fils George à qui elle est surement en train de lui faire téter le lait. « George
fait sa sieste » (l.16) nous met sur la piste que George est un bébé. « Il aurait été beau
encore ! Mais il était laid – une espèce d’avorton à moitié chauve » (l.181/182) description d’un
bébé, « Tel était celui qui empêchait Irène de rechercher un homme capable de lui apporter
un amour sérieux » (l.184) car un bébé est inconscient il ne peut donc pas apporter un amour
sérieux. « Après tout, que le cher Georges profite de son reste » ce passage nous donne un
indice sur ce qu’il va se passer à la fin car par profiter de son reste signifie que le narrateur
avait déjà l’idée en tête de le tuer.

7. Le titre « Iceberg » est utilisé dans la nouvelle comme étant l’un des caractères du
narrateur « Je préfère rester pour elle un iceberg : un cinquième visible et le reste
immergé. » (l.10) cela nous donne un indice de la chute car il nous montre que le narrateur ne
se montre pas en entier. Cela se confirme lorsqu’on apprend qu’il va devenir un meurtrier car
il va essayer de tuer George.

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