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STRUCTURE NARRATIIVE
I.0. INTRODUCTION
I.1. DE L’AUTEUR
I.2. ŒUVRES
I.2.1. MOTIVATIONS
Prosper Gubarika, homme de terrain, puise ses œuvres dans les réalités
sociales de son peuple qu’il maitrise mieux les us et coutumes. Il met en
exergue le vécu quotidien d’un peuple mentir par les antivaleurs dues à
la mauvaise gouvernance. Il parle spécialement de la famille qui est
l’unité centrale de foute vie, c’est – à – dire quand l’enfant rate
l’éducation familiale, il a la malchance de perdre le nord.
1
Gubarika, P. Péril la demeure, post face l’œuvre.
I.2.2. LES PRINCIPALES ŒUVRES DE PROSPER GUBARIKA
I.2.4. L’INTREGUE
De cet extrait, nous constatons que Liz était extrêmement belle mais
déçue par Aloubé, son mari forcené.
L’homme propose … je sais, par ailleurs, que ton père a non seulement
grand mais grand esprit. Il me comprend. Je suis profondément désolé si
mes choix vous heurtant. » P.113
Nous lisons dans cet extrait que, après le retour de Liz NGALOULA de
l’occident, elle a contracté un mariage avec Aloubé, quelques années
plus tard, il y a eu divorce.
Ce passage en démontre
« Un médecin de mon rang croupir en ces lieux sans voix… tout pouvoir
m’arriver sauf ça! » P.83
3
Labouret, D. & Mounier, A. Méthodes du Français, P.191
Après la lecture de cet extrait, nous constatons que Liz NGALOULA
MANDOLA n’a pas eu un bon mariage comme elle avait souhaité au
départ. Elle est entrain de regretter l’espace du temps passé qui est
perdu. Elle prend une décision ferme en disant :
Dans cette catégorie, nous distinguons, d’une part ceux qui volent au
secours du héros, d’autre part ceux qui barricadent la route au héros
pour qu’il n’obtienne plus l’objet de sa fuite. En clair, nous avons les
adjuvants et les opposants.
L’espace réel est celui qui est localisable dans une carte géografique,
identifiable facilement. L’extrait ci – dessous l’explique comme il faut :
Dans cette optique, il s’agit de montre aux lecteurs que, dans le roman
« Péril en la demeure », le temps est aussi un élément objectif et
chronologique qui déchaine les évènements dans un cadre logique
permettant ainsi aux lecteurs de les vérifier. Le narrateur nous précise
parfois l’heure exacte pendant laquelle se déroulent certains
évènements. Parfois les évènements précises et imprécises.
RESUME DU ROMAN
L’histoire se passe au niveau d’une famille restreinte composée du Père
Aloubé, de la Mère Liz NGALOULA MANDOLA et de leurs deux filles
GIZELA et Princia. Au-delà de leurs natures différentes, les deux
amants nt choisi de vivre ensemble pour le meilleur et le pour le pire.
Hélas, la nature a tranché autrement. Aloubé, piqué par une grosse
mouche, a oublié tout ce qu’il avait juré devant Dieu et devant l’autorité
municipale lors de ce mariage qui a fait écho à Makaramba. Le divorce
consomme, la vie de couple n’avait plus sa raison d’être, chacun d’eux
voulant failler sa vie au promatr du sort leser réservé par Dieu.
Ce chapitre qui ouvre notre étude a été centralisé sur l’auteur, ses
œuvres et quelques éléments de la structure narrative. D’entrée de jeu,
nous avons focalisé notre attention sur les éléments biobibliographiques
de l’auteur. Ceci nous montre à suffisance que Prosper GUBARIKA est
un homme de lettres, Professeur des universités et mieux placé pour
décrire les réalités sociétales de son milieu qui est le Congo. L’œuvre en
étude nous donne des précisions vérifiables même si la fiction de l’auteur
voile tart soit peu le message. Quant à la structure narrative, nous avons
parlé de l’intrigue du roman, du sémantisme du titre, des personnages,
du temps et de l’espace. De but ce qui précède, l’espace réel est la
république démocratique du Congo où la famille pour la plupart des cas,
ne joue plus son rôle régalien comme à l’époque. Il ya lieu de nous
amender pour rectifier le tir et assurer me bonne éducation à la
progéniture car la société prend une allure inquiétante.