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INTRODUCTION

Le thème qui fera notre objet d’étude est extrait du conte le village de la honte
de SORO GUEFALA, écrivain ivoirien, il est professeur certifié de lettre
moderne, inspecteur de l’enseignement secondaire et chef de l’antenne de la
pédagogie et de la formation continue de Divo il est auteur de plusieurs œuvres à
savoir l’ordonnance, le sang de l’amour, coproducteur du succès au BEPC et
autre.
Le village de la honte est un conte construit en épisodes (6), le personnage
principal de l’œuvre est kodongo un enfant d’environ 5 ans qui parcoure le
monde sous prétexte d’aller sur la lune.
Notre travail ici ne portera pas sur l’œuvre entière mais sur une partie qui
consistera à montrer l’image de la femme dans ladite œuvre.

I. VUE GENERALE DU THEME

1. VUE DU THEME

Tant de thèmes fabuleux traite sous divers épisodes, font de ce contenu un chef
d’œuvre.
Pour agrément son récit de ficelle littéraire, l’auteur utilise un style courant le
village de la honte qui permet à tous lecteurs de comprendre ce conte. L’égalité
du genre, la solidarité, la réconciliation...Son des réalités d’actualité. Et l’auteur
dans une architecture littéraire a su en parlé par son ouvrage.

2. LE THEME SELON L’ŒUVRE

A travers " le village de la honte" la femme est victime de rejet. En clair, la


société profane est discrédite la femme. Cette injustice est une évidence dans
l’œuvre soumis à notre étude. L’exclusion de la femme est mise en relief dans
tous ses paramètres et la femme souffre tant de cette marginalisation.
II. DEFINITION ET ROLE DE LA FEMME

a) DEFINTION DE LA FEMME
La femme est un être humain adulte de sexe féminin, conjointe, épouse,
partenaire à l’homme. Elle est une personne qui revendique ou assume une part
de féminité, elle est souvent aimée, exploitée et méprisée.

b) LE ROLE DE LA FEMME
La femme joue un rôle très important vue quelle est la seule à s’occuper des
travaux champêtres, des taches domestiques et des enfants. Toutes ces corvées
citées plus haut montrent le rôle décisif de la femme dans la société.
La femme n’a pas seulement pour rôle d’être la femme au foyer et faire des
enfants, au contraire la femme aux mêmes droits que l’homme. Elle est capable
de tout faire. Elle participe au développement de son pays sur le plan
économique et sur d’autres plans. Elle est libre ce qui lui semble bien.

III. L’IMAGE DE LA FEMME DANS QUELQUES CHAPITRES DE


L’ŒUVRE

1) LE CHAT ET LA LUNE
Dans ce premier chapitre l’auteur nous montre l’image d’une femme soumise à
son mari à travers la mère de kodongo .

- La bonne volonté du coq


Peladio nous explique dans ce chapitre le dévouement et la bonne foie avec
lesquelles le coq réveille tout le monde tôt le matin.

- Le portrait moral de Kodongo


Il nous ai décrit ici les comportements et le caractère particuliers de Kodongo, le
prince de Kodara agé de 5ans.
- Les préocupations de peladio
Là il est question de l’opinion que le chef de Kodara à de lui-même et de ses
villageois. Et ça, peladio nous le fait savoir à travers ses pensées.

- La décision de Kodongo
Ici, il est question d’un but, un objectif de kodongo s’est fixé, qui consiste à aller
sur la lune, à la suite de la discussion entre lui et son père. Il était tellement
déterminé qu’il osa désobéir à sa mère qui désapprouvait sa décision.

- Les journalistes de kodara


Il s’agit de Milo le Perroquet, Gopol le coq et Pondin, le chien qui s’acharnait
les un les autres pour être le premier à divulguer la première information. Mais
c’est surtout Pondin qui s’acharnait sur milo car c’est lui qui, cette fois-ci
déténait et répandait l’information.

- La fausse nouvelle
Dans ce chapitre là, Milo a été traité de menteur par les villageois car
l’information qu’il avait divulgué à propos du périple initiatique de Kodongo ne
s’accomplissait pas. Ce qui le mit en colère, et il décida sur le coup d’aller vivre
dans la forêt et de ne plus exercer le métier de journalisme.

2) LES BANNIS DU VILLAGE.


Dans ce second chapitre l’auteur nous fait part de la souffrance des femmes
atteintes d’une maladie mystérieuse et de comment elles la contractaient. Une
vieille femme apporta son propre témoignage à kodongo : elle perdu tout espoir
de vivre depuis sa fille unique fut internée dans le village de la honte parce
qu’elle avait contracté la maladie qui lui avait été transmise par un homme
qu’elle fut forcé d’épousé à douze ans. En effet Nabondala pratiquait le mariage
forcé pour la jeune fille.
3) LES MARTYRES DE GOPANLEDOUO

Dans le village de GOPALEDOUO la femme n’avait pas droit à la parole. Elle


devait se soumettre aux exigences de l’homme. Privée de la liberté les femmes
de ce village n’avaient pas le choix, elle était soumise au lévirat en cas de décès
de leur mari même si elles n’étaient pas toujours d’accord. C’est dans ce sens
qu’une dame âpres avoir perdu son maris sa belle-famille demande à ce qu’elle
épouse son beau-frère elle refuse de l’épouser. A côté de cela une jeune fille du
nom de Paliény âgée de 11 ans est choisie pour être la femme du dieu Tangbalé
sa mère du nom de Omagnan n’étant pas d’avis expliqua à kodongo comment
vivra sa fille âpres ce mariage : page 71. ce mariage étant forcé et obligatoire les
deux se donnèrent la mort afin d’être épargner de cette atrocité.

4) LE MONT KIBEYA

L’auteur dans ce chapitre dénonce les atrocités faites au femme. En effet dans le
Village Nadoleupleu où séjournait kodongo des atrocités étaient faites aux
femmes : page 80 – 81(un homme tenait par les pieds deux bébé ; dans la main
droite il avait un grand coutelas comme ceux les bouchers utilisent généralement
pou égorger les taureaux. Cet homme était suivi par une femme que des jeunes
gens frappaient avec des branches recouvertes d’épines. La femme pleurait à
fendre l’âme. Enfin derrière eux venaient trois géants charger de daba de houes
et de perles). Cette femme est flagellée parce qu’elle avait fait des jumeaux
d’âpres les habitants dudit village page 82.

5) LA REVOLTE DES FEMMES

Comme nous indiques le titre de ce chapitre, il est question ici des femmes de
Banasso, fatiguées d’être maltraitées par leur mari elles décident de ce révoltera
afin d’être libre et de ne plus subirent toutes ces horreurs. kodongo présent dans
le villages reçoit la visite d’une femme du nom Toumara âgée de 15 ans , elle
pleurait à fendre l’âme son mari l’avait battu à sang avec un nerf de bœuf il avait
terrassé , fouetté et brutalisé aux yeux et dans l’indifférence de leurs
cohabitations, il avait pratiquement mise à poil, Elle et son fils parce que : page
95( son mari d’une jalousie maladive………………….....l’un des fils de l’imam
défunt de Banasso). Elle est encore grâce à l’intervention de quelques âmes
charitables qui passaient par là. Elle a son tour pouvait jurer sur n’importe quel
fétiche et livre saint qu’elle avait jamais connu un homme en dehors de son
mari, un homme que son père avait choisi pour elle. Dans la nuit une femme
avait tenté de tué son mari en lui mettant du poison dans le repas et elle disparut
par la suite afin de se donner la mort par la suite : page 98-99.
(Elle avait seize ans …………………………. Ensuite se suicider.) suite à cette
déclaration, plusieurs femmes ont fait part de leur mécontentement, elle était
traitée de sexe faible elles faisaient tous les travaux domestiques ; et y
travaillaient toute la journée.

CONCLUSION

Au terme de notre analyse nous retenons que l’image de la femme est ternie au
regard des souffrances infligées à celle-ci.
Pour notre opinion il devrait y avoir une égalité des genres pour l’équilibre de
notre société.

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