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I.0. INTRODUCTION
I.1. DE L’AUTEUR
I.2. ŒUVRES
I.2.1. MOTIVATIONS
Prosper Gubarika, homme de terrain, puise ses œuvres dans les réalités
sociales de son peuple dont il maitrise mieux les us et coutumes. Il met
en exergue le vécu quotidien d’un peuple meurtri par les antivaleurs
dues à la mauvaise gouvernance. Il parle spécialement de la famille qui
est l’unité centrale de toute vie, c’est – à – dire quand l’enfant rate
l’éducation familiale, il a la malchance de perdre le nord.
1
Gubarika, P. Péril la demeure, post face l’œuvre.
2
I.2.4. L’INTRIGUE
De cet extrait, nous constatons que Liz était extrêmement belle mais
déçue par Aloubé, son mari forcené.
Nous lisons dans cet extrait que, après le retour de Liz NGALOULA de
l’occident, elle a contracté un mariage avec Aloubé, quelques années
plus tard, il y a eu divorce.
Ce passage le démontre :
1.2.5.1 LE HEROS
C’est le personnage qui milite pour trouver l’objet de sa quête. Dans cet
ouvrage, il s’agit de LIZ NGALOULA MANDOLA, en sa nature d’une fille
bien éduquée par son père appessah appoussah, espérait, outre. Ses
études, avoir un mariage apaisé et vivre à la liberté et surtout en femme
responsable, hélas, la nature a tranché autrement. Malheureusement,
l’objet de sa quête n’a pas été atteint. Ce passage donne plus de lumière
quant à ce :
3
Labouret, D. & Mounier, A. Méthodes du Français, P.191
8
Dans cette catégorie, nous distinguons, d’une part ceux qui volent au
secours du héros, d’autre part ceux qui barricadent la route au héros
pour qu’il n’obtienne pas l’objet de sa quête. En clair, nous avons les
adjuvants et les opposants.
L’espace réel est celui qui est localisable dans une carte géographique,
identifiable facilement. L’extrait ci – dessous l’explique comme il faut :
Dans cette optique, il s’agit de montrer aux lecteurs que, dans le roman
Péril en la demeure, le temps est aussi un élément objectif et
chronologique qui déchaine les évènements dans un cadre logique
permettant ainsi aux lecteurs de les vérifier. Le narrateur nous précise
parfois l’heure exacte pendant laquelle se déroulent certains
évènements. Parfois pour certains évènements les notations sont
imprécises.
CONCLUSION PARTIELLE
Ce chapitre qui ouvre notre étude a été centralisé sur l’auteur, ses
œuvres et quelques éléments de la structure narrative. D’entrée de jeu,
nous avons focalisé notre attention sur les éléments bibliographiques de
l’auteur. Ceci nous montre à suffisance que Prosper GUBARIKA est un
homme de lettres, Professeur des universités et mieux placé pour décrire
les réalités sociétales de son milieu qui est le Congo. L’œuvre en étude
nous donne des précisions vérifiables même si la fiction de l’auteur voile
tant soit peu le message. Quant à la structure narrative, nous avons
parlé de l’intrigue du roman, du sémantisme du titre, des personnages,
du temps et de l’espace. De tout ce qui précède, l’espace réel est la
République Démocratique du Congo où la famille pour la plupart des
cas, ne joue plus son rôle régalien comme à l’époque. Il ya lieu de nous
amender pour rectifier le tir et assurer une bonne éducation à la
progéniture car la société prend une allure inquiétante.
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CHAPITRE II. PRESENTATION DU CORPUS
II.0. INTRODUCTION
Cette mise au point est nécessaire car le risque existe dans une
forme de faux dialogues, plein de malentendus. Nous utilisons tous
désormais le terme mais dans des acceptions bien différentes.
Dès lors que nous menons une telle recherche, nous pouvons
définir le corpus comme le lieu linguistique où se construit et
s’appréhende l’ébauche des mots des textes. En tout état de chose, on
comprend que l’objet non – restreint de la linguistique est pour certains
auteurs non seulement le texte mais le corpus textuel : il semble qu’à
l’aube de journées consacrées au sujet, il fallait rappeler ces pensées
qui ne peuvent donner au corpus un rôle plus déterminant et une place
centrale dans la linguistique contemporaine.
II.2.1. L’archive
Est celui qui est constitué par l’ensemble de textes sur lequel on va
abordé les éléments en étude.
C’est l’intention du chercheur qui lui donne son sens. Cela étant, il
y a des corpus inadéquats pour les objectifs que se fixe la recherche qui
préside à sa construction pour telle interprétation qu’on en tire.
Par rapport à ce sous point, nous voudrions dire que, le corpus nous
sert de matériau de base qui nous permet d’expliquer directement ou
indirectement une situation envisagée dans un contexte socioculturel
bien déterminé. Ce faisant, il est pour nous l’occasion de matérialiser la
vision de l’auteur d’une part et le bien-fondé de l’utilisation à outrance
des mots locaux d’autre part.
Pour être plus clair à ces détails, les linguistes jugent l’utilisation du
matériau comme un passage obligé, certains d’entre eux par excès
jugeant même suffisante. Cette banque des données à vocation
linguistique nous permet d’étoffer notre étude.7
1. Zododo P.64
2. MUYESU P.100
3. Mamou P.120
4. Tatou P.113
5. Cocacola P.102
6. Mangho – khoto P.62
7. YANKEE P.170
1. Matongue P.154
2. Matadi P.115
3. Mbanza kongo P.34
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Ceci étant, nous pouvons entrer dans le vif du sujet qui consiste à
analyser ce dont il est question. Partant de cette analyse quasi –
exhaustive, nous pourrions alors découvrir la vision de l’auteur.
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III.0. INTRODUCTION
3.1.2. LA DEBROUILLARDISE
3. République article 15
4. Capital cité 15
Dans le langage Kinois, cité 15 est une manière qui permet aux
personnes de se débrouiller. Cité 15 est aussi l’un des titres des romans
de DJUNGU Simba qui parle de la débrouillardise. Georges Gubarika
incite les congolais à se prendre en charge au lieu de croiser le bras, car
même la bible le dit :
3.1.3. LA COMEDIE
Dans le sens figuré, se dit des actions qui ont quelque chose de
plaisant.
8
Wiktionnaire CC By-SA-30. Consulté le 12/04/2023 à 10h45
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Ces termes comiques sont utilisés surtout pour divertir les gens.
Rappelons que l’une des fonctions de théâtre est de divertir les gens
cette fonction est ludique.
3.1.4. LA SPIRITUALITE
nous citons quelques termes locaux que les congolais utilisent lors de
leur prière.
1. Aaamen :
3. Alléluaaaaa :
4. Au nom deeeh :
5. Holololo :
3.3.1. L’ONOMASTIQUE
Wendo : nom propre d’un musicien congolais qui a fait la pluie et les
beaux temps.
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Hébert, L. Opcit
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CONCLUSION PARTIELLE