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II-problématique
III-les mouvements
MVT 1 : du debut ….. jusqu’à ….. Un personnage qui n’est pas à sa place
Mvt 2 : Portrait de julien
IV-Analyse
Mvt 1
Dès la première ligne, nous avons des informations concernant le père, il est
propriétaire d’une usine comme le montre le déterminant possessif « son » L1. Il
est par ailleurs présente comme un homme puissant à travers l’ expression « voix
de stentor ». Nous savons qu’Il a deux fils aines sous- entendant la présence d’un
autre enfant =effet de suspens. Ces fils aines lui ressemble par la puissance
comme l’atteste l’expansion du nom « espèces de géants » L2 ils semblent tout
droit sortis d’un conte merveilleux ou tout semble hyperbolique. La description qui
suit atteste cette puissance nous avons l’impression qu’ils sont en guerre
« armés » de « haches lourdes ». Ils ont les mêmes gestes mécaniques répétitifs
comme le montre l’imparfait d’habitude « « équarrissaient » et « allaient porter ».
Ils n’entendent pas les appels de leur père car « tout occupes à suivre la marque
noire ». Nous ressentons une certaine soumission et docilité qui s’opposera plus
loin au comportement de Julien.
Les cris du père et puis l’adverbe : « vainement » marquent la dramaAsaAon de la scène : le père
cherche celui qui n’est pas à la place assignée. Julien se place, avant même d’apparaître, sous le
signe
de la désobéissance, de la transgression. L’échec du père : « vainement » l’emploi du
condiAonnel
passé : « à la place qu’il aurait dû occuper » préparent la réacAon que l’on peut prévoir. Le père
est
présenté comme une force en mouvement, il est saisi, pendant toute ce<e scène, en acAon : « En
approchant », il donne de la voix ; chez lui, le physique l’emporte sur la réflexion
Les cris du père et puis l’adverbe : « vainement » marquent la dramaAsaAon de la scène : le père
cherche celui qui n’est pas à la place assignée. Julien se place, avant même d’apparaître, sous le
signe
de la désobéissance, de la transgression. L’échec du père : « vainement » l’emploi du
condiAonnel
passé : « à la place qu’il aurait dû occuper » préparent la réacAon que l’on peut prévoir. Le père
est
présenté comme une force en mouvement, il est saisi, pendant toute ce<e scène, en acAon : « En
approchant », il donne de la voix ; chez lui, le physique l’emporte sur la réflexion
L5 le père entre dans le hangar de la scierie il découvre que Julien n’est pas à sa
place, d’emblée Julien revêt la figure du fils désobéissant avant même d’apparaitre.
L’adverbe « vainement » et le conditionnel passe à la place qu’il aurait dû occuper »
nous fait prédire une réaction violente du père et le verbe d’obligation devoir
montre la désobéissance de Julien. .
L6 le père voit enfin Julien il se trouve à « 5 ou 6 pieds plus haut » il y a une réelle
séparation entre les deux personnages le père est au sol symbolique du monde
matériel et Julien a cheval sur l’une des pièces métalliques de la toiture un livre a la
main symbolique du monde des idées et de l’esprit.
L8« rien n’était plus antipathique au vieux Sorel » point de vue interne, Stendhal
nous restitue les pensées du Père Sorel on comprend très vite qu’il y a un décalage
entre les deux personnages.
Mvt 2
L 12- La deuxième partie débute par l’expression « ce fut en vain » qui reprend
« vainement » de la ligne 5. Les compléments circonstanciels de temps « a deux ou
trois reprises » montre combien Sorel est absorbe par la lecture il est dans son
monde ou le bruit fracassant de la scierie ne le gène même pas.
L13- Excède le père sauta auprès de julien avec grande agilité comme le montre la
déclarative « il sauta lestement », « malgré son âge ». Excède par le
comportement de son fils et animer par la rage il arrive à se déplacer avec
précision comme le montre les indications de lieu « l’arbre, de la, la poutre
transversale ».
L14
le père Sorel fit voler le livre des mains de Julien et lui assigna un coup la répétions
2 fois du Groupe nominal « un coup violent » atteste des deux attaques violentes
subies par Julien, la première fait voler le livre de ses mains et la deuxième lui a fait
perdre l’équilibre faillant le tuer car il serait tombe et broyé par les dents de la scie.