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Pour finir, dès le départ de la scène le ton est donné entre les deux personnage
« La chambre de Madame », « Solange est vêtue d’une petite robe noire de
domestique ». Ces extraits nous permette de deviner que Claire est le maitre
(supériorités au domestique) et Solange la domestique. « Quand comprendras-tu
que cette chambre ne doit pas être souillée ? ».
Puis ce texte traite de la relation maitre domestique avec des oppositions marquées,
une opposition d’univers pour Claire la chambre (endroit propre) et la belle vie
« coiffeuse commode » alors que pour son domestique la cuisine(endroit sale) «
cuisine »L7. Puis nous avons une opposition symbolique pour le maitre vêtement
blanc, robe blanche et soulier alors que pour le domestique robe noire et gant.
Ensuite nous avons une opposition de langage le tutoiement pour le maitre et une
description péjorative de la domestique « crachats »L9 , « souillé » et « fait ta
biche »L11, « t’ai dit »L6 et « te presse pas » L12 alors qu’au contraire la
domestique utilise le vouvoiement et s’excuse « que … tilleul »L18. Mais ses deux
personnes ne sont pas indépendantes, l’un ne peut pas vivre sans l’autre. Le maitre
rabaisse le domestique « crachat » L9. Enfin le domestique joue un double rôle,
Solange joue le rôle normale a ses fonction c’est-à-dire domestique « préparer ma
robe » L16, « je préparais le tilleul » L18 et « que madame m’excuse »L18 et Donc
son rôle psychologique , une chose ou l’on se défoule « tes crachats » L9 , « vite le
temps presse, « Sors »L12 mais aussi se marque avec une forte expressivité.
L’expressivité du texte avec de nombreuse exclamation traduisent la colère de
Claire. Le texte laisse entendre que les relations entre ces deux personnage sont
régulièrement tendue. Dans le texte il y a forte tensions qui nous laisse croire que
cela ne va pas s’arrêter mais elle finit par baisser en tensions lorsque claire demande
Solange de sortir. Le procédé de l’ironie montre la supériorité dominatrice et hautaine
de Claire l’ironie : « Ne te gêne pas, fais la biche. Et surtout ne te presse pas ».