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Intro :
Jean luc lagarce est né en 1957 dans une famille ouvrière de Franche comté. Dès son plus jeune âge, il
se passionne pour l’écriture et en particulier le théâtre, où il écrit sa première pièce en classe de 3eme
seulement. En 1988, il découvre qu’il est séropositif, il écrit de plus en plus et commence la rédaction
de juste la fin du monde lors d’un voyage a Berlin. Elle sera jouée pour la première fois en 1999. Cette
pièce de théâtre relate l’histoire de louis, un homme de 34 ans atteint d’une maladie, qui va a la
rencontre de « sa mort prochaine et irrémédiable » comme il le dit dans le prologue que nous allons
étudier. Ce prologue constitué d’une seule phrase sert a informer le spectateurs de la situation du
protagoniste. Dans ce monologue, louis, par le billet de la parole, annonce sa mort aux spectateurs
annonce les difficultés voire l’impossibilité que louis rencontra pour annoncer sa mort.
Mvt :
- Cl de l’apparence est présent dans ce mouvement « paraitre » x2, « illusion ». L est conscient
qu’il a toujours donner une image d’un homme posé, qui choisi sa vie avec assurance et il
souhaite donner cette image jusqu’au bout bien que ce soit une simple « illusion » == veut
sauver les apparences / pas montrer son désarroi / il jouera la comédie devant sa fam
- On peut donc parler de « théâtre dans le théâtre » : mise en abyme. En effet, en endossant le
rôle de « l’homme posé », L sera le metteur en scène et le perso principale d’une pièce au sein
même d’une pièce.
Conclu : ce prologue annonce bien la difficulté qu’il y a, à dire une nouvelle si grave et dure. Ce prologue
joue bien son rôle : il présente le nœud de l’intrigue : difficulté a s’exprimer et surtout la force du destin
de L. ce prologue annonce un drame fondé sur la difficulté a communiquer car on comprend que toute
la pièce se déroulera sur cette diffic a communiquer, on peut même se demander s’il réussira a
annoncer cette fameuse nouvelle.
Ouverture : peinture à huile De Gustave Courbet le désespérer réaliser entre 1843 et 1845. Sur cet
autoportrait, on retrouve le peintre lui-même, sûrement avec un regard mystérieux traduisant
l'inquiétude virgule le doute, les mains sur la tête prête à arracher les cheveux accentuant ce
sentiment. La perspective qui enfermé le regard du spectateur hé nous amène à partager ce sentiment
d'angoisse. De plus on a l'impression qu'il veut parler mais qui n'y arrive pas : un peu comme Louis et
sa difficulté à s'exprimer. Angoisse et doute pèsent sûrement aussi sur le moral de Louis