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Jean Luc Largarce est un auteur, comédien et metteur en scène.

En 1990 il écrit Juste La fin


Monde à Berlin. Il meurt prématurément du sida. Sn œuvre connaitra du succès qu’après sa
mort en 1995. Louis le personnage principal revient après 12 ans d’absence pour annoncer
sa mort prochaine. On se trouve dans l’épilogue où seul louis est sur scène.
Lecture
Structure : l.1 à 6 : il parle de son départ
l.7 à fin : encadre le récit d’un souvenir

1ere :
-fait écho au prologue ou il disait « plus tard l’annee d’apres j’allais mourir à mon tour »
-emploi du présent : rend réel la situation où il n’a pas d’issue
« je ne reviens jamais » : son départ est définitif
-complement circonstanciel de temps « qlq mois plus tard » : on voit l’esperence de vie qui
est tres courte
-à la difference avec prologue il ne revient jamais e c’est la conclusion de la pièce
-échec du projet car il n’a pas annoncé sa mort
-« je raconte encore » : derneire confidence qu’il fait au spectateur
-« j’en aurais fini » : piece finie et sa mort prochaine

2eme
-anaphore « c’est » : présent pour transporter spectateur
-« où je suis absent » : on voit comment évoque ces 12 années d’absence et on peut se
demander si il est absent en etant loin de sa famille ou absent de lui-même
-précis dans son développement mais vague dans le lieu et l’espace
-« dans le sud, la nuit » : les lieux sont précis pour lui mais pour le spectateur
-toujours coté enigmatique et mysterieux de ce personnage
-mais peut etre pas d’importance la seule chose importante c’est sa balade nocturne
« je me suis perdu » : on a vu ça constamment dans la pièce meme si on ne sait pas les
raisons
-« voie ferrée » : sentiment de sécurité car c’est une voie tracée direct sans virage et au plus
court
-voie ferrée peut représenter le chemin de sa maison ou alors la trajectoire de sa vie
-prend tonalité fantastique, entre rêve et réalité et qui est renforcé par l’obscurité
-« ce que je pense » : retour à la réalité mais en fait se rapporte au passé
-justifie son récit « c’est ce que je voulais dire »
-envie de crier
-insiste sur l’envie forte avec adjectif « long, court, joyeux, grand »
-reflet de la pièce où il était venu pour seulement dire mais repart avec un cri étouffé à cause
de l’impossibilité de communiquer
-conditionnel « je devrais » : regret
-double sens : en route dans sa balade mais aussi dans sa vie seul
-fin de la pièce avec le verbe regretter

Conclusion
L’épilogue est très représentatif de la pièce et du personnage de louis. Le projet sur lequel se
basait l’intrigue n’est pas accompli. La pièce traduit la difficulté des relations familiales et de
la communication.

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