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STUPEUR ET TREMBLEMENT

J’ai trouvé le livre Stupeur et tremblement d’Amélie Nothomb très intéressant,


car l’auteur parle de beaucoup de thèmes fascinants. Mais le passage du libre que je
trouve le plus attirant c’est lequel où Amélie fait une description de la situation des
femmes au Japon. Elle montre son admiration pour la femme japonaise parce qu’elle
ne se suicide pas, et, après, elle explique les dogmes et traditions nippones que font la
vie d’une femme au Japon très dure. Par exemple, Amélie dit que les Japonaises ne
doivent rien espérer de beau dans la vie, en plus de travailler. Et même dans le
travaille, elles n’ont pas beaucoup de possibilités de être promues.

La femme japonaise doive supporter beaucoup de contraintes, de corsets,


d’interdit et de dogmes, qui affectent tous les aspects de sa vie et la font très
complique, presqu’insupportable. L’auteur fait une révision de tous ses dogmes et
obstacles dans le fragment du livre que j’ai choisi comme le plus intéressant.

À mon avis, cette description est très réaliste et, au même temps, très effrayant.
Je crois que cette passage du livre est réaliste parce que Amélie connaît très bien le
Japon (sa culture, ses traditions, …) pour y être née là, et la description qu’elle fait est
très détaillé. Par ailleurs, les choses qu’elle explique sont d’accord avec ça que je
connaissais déjà du Japon, un pays que je trouve fascinant.

La culture japonaise est très intéressante, mais elle est très machiste et la
femme joue un rôle secondaire, comme on peut voir dans cette livre avec le
personnage de Fubuki. Elle a un poste de responsabilité dans Yamimoto, mais elle a
luté beaucoup et très longue temps pour l’obtenir. Et quand elle croit qu’Amélie peut
améliorer sa situation dans l’entreprise rapidement, elle n’hésite pas de la dénoncer et
de faire sa vie insupportable.

Et, étant une femme moi-même, je trouve cette passage du livre effrayant parce
que, et ça est reflété dans le livre aussi, la femme japonaise ne fait pas rien pour
changer sa situation d’infériorité et accepte tous ses dogmes et habitudes. Il y a des
femmes au Japon qui se sont rebelles pour sa situation, mais quand elles arrivent aux
vingt-cinq ans et elles ne se sont pas mariés la honte fait qu’elles acceptent tous ces
dogmes et interdits absurdes pour un Occidental.

Moi, je considère particulièrement difficiles d’accepter tous les choses banales


qui peuvent porter le déshonneur aux Japonaises, comme la suer, le rire ou le plaisir.
THÈMES

- L’entreprise et le monde du travail au Japon: le roman expose le système


japonais du travail, qui réclame la perfection des employés et traite très mal aux
éléments discordants. L’entreprise japonaise est très hiérarchisée, et le respect à la
pyramide patronale est absolu. L’entreprise est fondamentale dans la vie des Japonais
et elle est plus important même que la famille.

- La négation de l’individualité: dans le monde du travail, mais aussi dans la


société japonaise, l’individualité est méprisée et suivre les règles est fondamental.

- Le rapport entre hommes et femmes: le livre montre comme ce rapport est


réglé par un rigide formalisme.

- La soumission de la femme japonaise: la femme japonaise doive suivre


beaucoup de règles, normes, etc., et elle complètement soumis à l’homme.

- Les différences de mentalité entre Occidentaux et Japonais: la forme


que les Occidentaux voient la vie, le travail, les relations, etc. est complètement
différent à celle des Japonais.

PERSONNAGES

- Amélie : elle est une fille belge, née au Japon, qui commence à travailler dans
une entreprise japonaise, Yumimoto. Elle a beaucoup de problèmes dans le travail,
parce qu’elle est très naïve. Elle connaît les traditions japonaises mais elle est
incapable de s’adapter.

- Fubuki : elle est la supérieure immédiate d’Amélie et elle la méprise


complètement pour son incapacité. Elle est très belle et elle suive les règles.

- Monsieur Saito : au début, il fait les choses difficiles pour Amélie mais il est
aimable avec elle à la fin. Il n’aime pas le système japonais du travail mais il ne se
rebelle pas.

- Monsieur Omochi : il est le vice-président de Yumimoto, il est énorme et


effrayant et il méprit Amélie. Il est très désagréable avec tout le monde.

- Monsieur Haneda : est le président, il est un homme aimable, un bon chef,


qui est respecté pour ses employés, et aussi pour Amélie.
- Monsieur Tenshi : responsable du département de produits laitiers, il
demande la collaboration d’Amélie, ça génère un problème pour lui et pour elle, mais il
est vraiment très aimable avec elle tout le temps.

LA PROMOTIONS D’AMÉLIE

Amélie commence à travailler a Yumimoto comme traducteur mais ses erreurs et


son incapacité pour s’adapter à les traditions et règles de l’entreprise japonaise font
qu’elle fait beaucoup de travailles différents dans l’entreprise (comptable, changer la
page des calendriers, etc.), l’un pire que l’autre. À la fin, pour son incapacité et pour la
mauvaise relation qu’elle a avec Fubuki, elle travaille dans les toilettes, le pire travaille
possible pour un Japonais.

LE RAPPORT D’AMÉLIE AVEC LES AUTRES

Le plus important est le rapport entre Amélie et Fubuki. Ce rapport est très
complique, un mélange de jouissance et de sadisme, que Amélie dans le livre compare
avec le rapport des personnages du film Furyo.

Avec le reste de personnages, le rapport d’Amélie est aussi difficile, mais moins
compliqué. En général, elle est méprisée, pour son incapacité pour s’adapter, et pour
ses erreurs.

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