Vous êtes sur la page 1sur 6

16 mai 2023 Maika

Lavallée Mme Messier


gr. 543

« Des souris et des hommes »


Chapitre 1
1) Au soir d’un jour très chaud (p.8), au printemps, à quelques milles au sud de
Soledad (p.7), ils arrivent du Nord de Weed (p.12).

2) George : Il est vêtu de pantalon et d’une veste en serge de cotons bleus à


bouton de cuivre, porte un chapeau noir et traîne un rouleau de couvertures.
George est petit, brun de visage avec des yeux inquiets et perçants. Il
possède de petites mains fortes, des bras minces ainsi qu’un nez fin et
osseux. (p.8)
Lennie : Bien que vêtu de la même façon que Gorge, Lennie est pourtant son
opposé, il est grand, possède un visage informe avec de grands yeux pâles et
de large épaules tombantes. Il marche en se traînant les pieds comme un
ours (p.8). Il boit de l’eau comme un cheval et n’a pas de mémoire à court
terme (p.9). S’il se retrouverai seul, on le prendrait pour un coyote (p.20).
Clara : Clara est la tante de Lennie (p.16) et elle est morte (p.20)

3) Situation initial : George et Lennie marchent en direction d’un ranch où ils


travailleront après que le conducteur les aient débarqué à quatre milles de
l’endroit. Élément déclencheur : Lennie demande à George où ils vont, car il a
oublié une foie de plus.
Péripéties : George rappelle à Lennie où ils vont et lui parle des cartes de
travail et de l’endroit où ils étaient. George s’aperçoit que Lennie à quelque
chose dans sa poche et l’oblige à lui rendre la souris. Par la suite, George dit à
Lennie que lors de la rencontre avec le patron, il ne devra rien dire. Comme
ils passeront la nuit où ils sont, George demande à Lennie d’aller chercher du
bois mort pour le feu. Lennie qui n’a pas suivi les directives de George reviens
avec la souris. De nouveau, il se voit obligé de la rendre. George lui assure
que s’il en trouve une nouvelle, Lennie pourra la garder quelques temps ce
qui le fit penser à Clara qui lui en offrait tout le temps. Lennie retourne
chercher du bois et à son retour, demande à George pour la deuxième fois
s’ils ont du coulis de tomates. George se plain de Lennie et lui dit tout ce qui
pourrait faire s’il était seul.
Dénouement : Pendant qu’il fait cuire le souper, George raconte une fois de
plus à Lennie ce qu’ils feront une fois qu’ils auront amassé suffisamment
d’argents.
Situation finale : Les deux hommes mangent leurs haricots en boîte et ensuite
s’endorment.

L’univers est vraisemblable, car les deux hommes font cuire leur souper grâce
au feu (p.17) et les deux ont des projets futurs qui sont plausibles comme
acheter une petite maison (p.21).
Style de l’auteur : L’auteur utilise énormément le dialogue pour faire avancer
l’histoire. Par exemple, à la page 10, il fait parler George et Lennie lorsque
Lennie se demande où ils vont.
Le thème majeur du chapitre est l’amitié, car à la page 21, on apprend qu’ils
ont des projets futurs ensemble et Lennie dit qu’ils sont différents des autres
car ils avancent à deux « Nous on a un futur. On a quelqu’un à qui parler, qui
s’intéresse à nous. […] Moi j’ai toi pour t’occuper de moi, et toi, t’as moi pour
m’occuper de toi. »

Flanc : le côté de quelque chose Affectait : avoir une douleur morale

Sycomores : des arbres S’échiner : travailler, se fatiguer

Bivouac : un campement Pèze : argent

Feignant : quelqu’un de paresseux Hectare : unité de mesure

Vadrouiller : se promener sans but précis Rentier : riches, personnes qui ont accès aux
rentes
Pantomime : mime Clapier : cabane à lapin

Éperdu : troublé, violent

John Steinbeck : Né le 27 février 1902 à Salinas, John est considéré comme l’un des plus
grand écrivain américain de l’entre-deux-guerres. Dans les années 1920, il a été admis à
Stanford, mais il décide pourtant d’arrêter ses études pour aller vivre à New York. En
1926, John décide de retourner dans sa ville natale où il commence à écrire des romans
qui n’auront pas de succès. En 1928, alors qu’il est gardien et guide touristique près du
lac Tahoe, il rencontre Carol Henning, avec qui il se marie deux ans plus tard. Également
en 1928, il croise le chemin d’Ed Ricketts, un biologiste marin qui a e une profonde
influence sur sa pensée et ses œuvres. Ayant continué d’écrire pendant toutes ses
années, ses efforts sont enfin récompensés en 1935 pour son roman Tortilla Flat. Par la
suite et jusqu’à sa mort le 20 décembre 1968, toutes ses œuvres sont devenues des «
best-seller ».1

Soledad : Soledad est une ville du compté de Monterey, en Californie. Elle est située à
environ 40 km au sud-est de Salinas.2

La Salinas : Salinas est une municipalité de Californie. C’est le siège du compté de


Monterey et la capitale de la laitue. L’économie de la ville et de la région est basée sur
l’agriculture. 80% de la laitue des États-Unis proviennent de la vallée de Salinas. 3

Monts Gabilan : la chaine de montagne Gabilan est située sur la côte centrale de
Californie. Elle s’étale de nord-ouest au sud-ouest des comptés de Monterrey et de San
Benito. Le mot Gabilan désigne un faucon très présent sur la chaine de montagne
Gabilan. 4

Magazines Wild West : le magazine Wild West présente l’histoire de l’ouest américain. Il
couvre la période du début de la colonisation à aujourd’hui. 5

Règles d’écritures :
Ranches écrit avec es comme terminaisons est accordé au pluriel tandis que lorsqu’il est
écrit ranch, on parle d’un seul ranch.
Grand-route est écrit comme ça car autrefois l’adjectif grand ne s’accordait pas avec le
nom qu’il précédait.
Chez-soi s’écrit avec un trait d’union, car c’est une locution adverbiale composée de
deux mots. Le trait d’union est utilisé pour relier les deux éléments et former une unité
orthographique.

1
Marine Pohu, 2020, « John Steinbeck : biographie de l'auteur "Des souris et des hommes" ».
2
https://fr.wikipedia.org/wiki/Soledad_(Californie) .
3
https://fr.wikipedia.org/wiki/Salinas_(Californie) .
4
https://fr.wikipedia.org/wiki/Chaînon_Gabilan .
5
https://magazineslecto.com/online/fr/wild-west-p1096 .
Chapitre 2
Le vingt (p.30), en avant midi, au ranch où George et Lennie vont travailler (p.25).

Le vieux : Il est vêtu de coutil bleu, il tient un balai dans sa main gauche et lui manque la
main gauche (p.26). Le vieux a les joues mal rasées et hérissée de poils blancs (p.27).
Surnommé Candy (p.45), il possède un vieux chien de berger (p.32).
Whitey : Ancien occupant du lit de George, il est un forgeron qui a quitté l’endroit à
cause de la nourriture (p.27).
Le palefrenier : Surnommé le nègre, il est un brave type qui a le dos de travers à cause
d’un coup de sabot de la part d’un cheval. Il est un passionné de lecture (p.28).
Le patron : Assez gentil il se met parfois en rogne. Petit et trapu, il porte un pantalon de
coutil bleu, une chemise de flanelle, un gilet noir déboutonné, un veston noir, est coiffé
d’un vieux feutre brun et porte des bottes à hauts talons avec des éperons (preuve qu’il
n’est pas un journalier (p.28). Le brave type (p.33) pense que George vole de l’argent à
Lennie (p.31).
Smitty : Il est un petit roulier qui s’est déjà battu avec le nègre (p.28).
Murray et Ready : Ils ont donné les cartes de travail à George et Lennie (p.30).
George Milton : Dit au patron qu’il est le cousin de Lennie ce qui est faux (p.31).
Lennie Small : Fort comme un taureau, il peu faire n’importe quoi. Il n’est pas intelligent
(p.30), mais peu porter plus de grain que deux gars ordinaires (p.43). Lorsque Carlson dit
que sa chienne a accouché, il dit à George qu’il veut un chien brun et blanc (p.46),
Slim : Grand roulier, il s’occupe d’une équipe (p.31) et conduit les mules. Il ne porte pas
de bottes à hauts talons (p.37) et porte un pantalon bleu avec une veste courte en toile.
Il possède une grande autorité sur les autres (p.42-43). Sa chienne (Lulu) vient
d’accoucher de 9 chiot (il en reste 5) (p.44)
Curley : Fils du patron, il a les cheveux noirs et crépus. Sa main gauche est dans un gant
de travail. Il chausse de bottes à hauts talons (p.33) et est un gars habile. Il est un poids
léger et pratique la boxe (p.34). Marié depuis 15 jours, il est maintenant plus arrogant.
Son gant à la main gauche est plein de vaseline (p.36).
Carlson : Robuste et corpulent (p.44).
Femme de Curley : Elle habite chez le patron, est jolie et n’a pas froid aux yeux (p.36).
Elle fait de l’œil à Slim et Carlson se qui fait penser au vieux que c’est une pute (p.37).
Ses grosses lèvres rouges, ses yeux très écarté et maquillé, ses ongles rouges et sa robe
de maison en coton font d’elle quelqu’un de magnifique à regarder (p.40).

Situation initial : Vers 10h, le vingt, les deux hommes arrivent au ranch. Ils se rendent
dans la pièce où ils vont dormir. Par la suite, ils font la rencontre de l’homme à tout faire
qui leur donne quelques informations sur les personnes qui travaillent ici.
Élément déclencheur : le patron entre dans la chambre et fait la rencontre de George et
Lennie. Il leur demande leur carte de travail et elles lui confirment qu’ils étaient
supposés arrivé hier soir. Il pose plusieurs questions aux hommes, comme leur nom,
d’où ils viennent et ce qu’ils savent faire. Avant de partir, le patron met George en garde
qu’il en a déjà vu plus d’un malin.
Péripéties : George se fâche contre Lennie, car il avait dit qu’il ne parlerait pas et il a
parlé. George aperçoit le vieux près de leur porte et pense qu’il était en train d’écouter.
Le vieux affirma le contraire et demande au deux hommes ce qu’ils pensent du patron. À
ce moment, Curley entre dans la chambre, car il cherche son père et avant de partir s’en
prend à Lennie. Le vieux dit aux nouveaux que Curley est un boxeur, qu’il se bat avec
n’importe qui et qui a toujours la chance de son côté. Avant de quitter la pièce
accompagné de son vieux chien, l’homme à tout faire donne d’autres information
concernant Curley, notamment à propos de son mariage. George met en garde Lennie à
propos de Curley, car il sent qu’il va avoir des problèmes avec lui. Il lui fait répéter à
plusieurs reprises qu’il ne faut pas qu’il s’approche de lui ni qu’il lui parler et que s’il a
des problèmes qu’il faut qu’il se rende où ils ont couché la nuit dernière. La femme de
Curley entre dans la pièce demandant aux nouveaux s’ils ont vu son mari. Lorsqu’elle
part, George dit à Lennie de ne pas s’approcher d’elle. George et Lennie ne se plaisent
déjà pas à l’endroit, mais ils doivent rester, car ils ont besoin d’argent. Ils font ensuite la
rencontre de Slim qui leurs dit qu’il aimerait les avoir avec lui sur le terrain.
Dénouement : Carlson arrive et demande à Slim il en est où avec sa chienne. Slim dit
qu’il reste 5 bébés, car il en a noyé 4. Carlson propose dans offrir un au vieux.
Situation finale : Les hommes s’en vont manger, Lennie dit à George qu’il veut un chien
brun et blanc. Sur le chemin, ils croisent Curley qui est à la recherche de sa femme.

L’univers est vraisemblable, car la description des lieux à la page 25 semble réel, la
méfiance de George face au lieu est tout à fait normale, car il ne sait pas qui le précédait
(p.26). La rencontre du patron (p.29 à 31) est également vraisemblable, car il est normal
de rencontrer son employeur avant de commencer un nouveau boulot.
Le style de l’auteur : encore une fois, l’auteur utilise énormément le dialogue que ce soit
lors de la rencontre entre George, Lennie et le patron (p.29 à 31) ou avec Curley (p.33-
34), le vieux (p.26-27 et 32 à 37) et Slim (p.43-44).
Le thèmes principale est la confiance, car à aux pages 35 et 36, le vieux fait confiance
aux nouveaux en leur communiquant de l’information sur Curley et sa femme. Par la
suite, aux pages 38 et 39 George fait part à Lennie de son manque de confiance envers
le fils du patron et sa femme. Lennie fait ensuite confiance à George en le croyant
lorsqu’il dit qu’il ne laissera pas le boxer sans prendre à Lennie (p.38). Finalement, à la
page 43 Slim fait confiance à George quand ce dernier lui dit que Lennie est capable de
tout faire mieux que les autres dans un champ.

Coutil : tissu en coton Belliqueux : agressif

Bougre : type Hargneux : qui manifeste sa mauvaise humeur

Liniment : lotion pour muscle endolori Tâter : sonder

Palefrenier : celui qui s’occupe des chevaux Mutin : espiègle

Roulier : travailleur Croupe : partie arrière

Vous aimerez peut-être aussi