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Fonctions réelles d’une variable réelle

A-Généralités :

I- Définition d’une fonction :


Soit A et B deux parties de IR. On appelle fonction A dans B toute application qu’à chaque
élément de A, associe au plus un élément de B.

L’ensemble A est appelé ensemble de départ et l’ensemble B est appelé ensemble d’arrivée

Pour tout x ∈ A, on note f( ) l’élément de B (s’il existe) qui est associé par la fonction f. On
appelle, et; f est appelé fonction numérique.

Exemple :

N’est pas une fonction c’est une fonction c’est une fonction

1- Notation :
On note toute fonction de la façon suivante : : ⟶

⟼ ( )

II- Domaine de définition :


1- Définition :
Si f est une fonction de dans , on appelle domaine de définition de l’ensemble des
éléments de qui ont une image par f. On le note .

2- Méthode de recherche du domaine de définition :


La détermination du domaine de définition de f, consiste à chercher les valeurs de la
variable réelle telque ( ) existe.

Pour cela, on cherche à résoudre :

 Les équations obtenues en écrivant que les dénominateurs sont différents de zéro,
puisque zéro n’a pas d’inverse.
 Les inéquations obtenues en écrivant que les quantités sous les racines carrées sont
positives puisque √a est définie seulement lorsque ≥ 0

1
 Les inéquations obtenues en écrivant que les quantités à l’intérieur des logarithmes
sont strictement positives, puisque ( ) = ( ) est défini seulement lorsque
> 0.
3- Application :
Chercher le domaine de définition des fonctions suivantes :
1−
( ) = ; ( ) = − 4 + 4 ℎ( ) = ( − 1).
4−
4- Réponse :
={ ∈ ∕ 4 − ≠ 0} ⟹ 4 − =0⟺ =4⟺ = ±2

= − {−2; 2}

={ ∈ ∕ − 4 + 4 ≥ 0} ⟹ − 4 + 4 = ( − 2) ≥ 0 , ∀ ∈

={ ∈ ∕ − 1 > 0} ⟹ − 1 = ( − 1)( + + 1)

+ + 1 = 0 ⟹ ∆= 1 − (4)(1)(1) = −3 et le signe de > 0 =1

Donc + + 1 > 0 ; ∀ ∈ .

Par la suite le signe de − 1 est celui de − 1.

Comme on cherche le cas où − 1 > 0 alors il suffit d’avoir −1>0⟺ >1

Donc = ]1; +∞[.

B-Continuité et Continuité:
I- Limite :
1- Rappel sur les limites usuelles :
( )
lim ( ) = +∞ ; lim ( ) = −∞ ; lim ( ) = 0 ; lim = 0 ;
→ → → →

(1 + ) ( )
lim = 1 ; lim = 1 ;
→ → −1
−1
lim = +∞ ; lim = +∞ ; lim = 0 ; lim = 0 ; lim = 1 ;
→ → → → →

( ) ( ) 1− ( )
lim = 1 ; ∀ ∈ , ∶ lim = ; lim = 0 ;
→ → →

1− ( ) 1 ( ) ( )
lim = ; lim = 1 ; ∀ ∈ , ∶ lim = 1 .
→ 2 → →

2
Ces limites usuelles ainsi que les techniques de calcul des limites nous permettent de résoudre
les formes indéterminées. Ces formes sont : " + ∞ − ∞" ;" ± ∞ × 0" ; " " et " " .

2- Les techniques de calcul des limites :


a- La partie conjuguée :

Calculer la limite de la fonction ( ) = √1 + − √ en +∞.

lim ( ) = lim √1 + − √ = +∞ − ∞ ( )
→ →

√1 + − √ √1 + +√ 1 1
lim √1 + − √ = lim = lim = =0
→ → √1 + + √ → √1 + +√ ∞

b- Factorisation :
Calculer la limite de la fonction ( ) = au point = 2.

Car −3 +2 −2 lim ( ) = lim = ( )


→ →

−2 −1 d’où : − 3 + 2 = ( − 2)( − 1)

− + 2

− + 2
0

−8 −2 d’où − 8 = (x − 2)( + 2 + 4)
−2 +2 +4
( )( )
2 −8 lim ( ) = lim = lim ( )( )
→ → →
2 −4
(x − 1) 1
4 − 8 = lim =
→ ( + 2 + 4) 12
4 −8
0
c- Faire apparaître une limite usuelle :

Chercher la limite en 0 de la fonction ( ) = sin( ) × ( )

lim ( ) = lim sin( ) × ( ) = 0 × (−∞)( )


→ →

sin( )
lim sin( ) × ( ) = lim × lim ( ) = 1 × 0 = 0.
→ → →

d- Changement de variable :
( )
Chercher la limite en +∞ de la fonction ( ) = −

3
( ) +∞
lim − =− ( )
→ +∞

On pose = ; si → +∞ alors = →0

1
( ) 1
lim − = lim − = lim − = lim ( ) =0
→ → 1 → →

e- Encadrement :

Chercher la limite en 0 de la fonction ( ) = sin

1
lim sin = 0 × ∞ ( )

On sait que −1 ≤ sin ≤1⟺− ≤ sin ≤ ⟺

1 1
lim − ≤ lim sin ≤ lim ⟺ 0 ≤ lim sin ≤0
→ → → →

Donc lim sin =0


II- Continuité :
1- Définition :
a- Continuité en un point :

Soit une fonction dont le domaine de définition contient un intervalle de centre .

 On dit que est continue en si est seulement si lim ( ) = ( ).



 On dit que est continue à droite en si est seulement si lim ( ) = ( ).

 On dit que est continue à gauche en si est seulement si lim ( ) = ( ).

b- Continuité sur un intervalle :
 Désigne l’un des intervalles ] ; [ ; ] ; +∞[ ; ]−∞, [ ; ]−∞, +∞[ .

On dit que la fonction, définie sur , est continue sur si et seulement si elle est continue en
tout point de .

 On dit que est continue sur [ ; ] si est seulement si :


- est continue sur ] ; [.
- est continue à droite en .
- est continue à gauche en .
2- Propriétés :
 L’image d’un intervalle par une fonction continue est un intervalle.
 Si est continue et croissante sur [ ; ], alors : ([ ; ]) = [ ( ); ( )].

4
 Si est continue et décroissante sur [ ; ], alors : ([ ; ]) = [ ( ); ( )].
 est continue en et est continue en ( ) , alors la fonction est continue en
.
3- Fonction réciproque d’une fonction continue :
Soit une fonction continue est strictement monotone sur . On a :

 est une bijection de sur ( ).


 La fonction réciproque est continue sur ( )et a le même sens de variation que .
 Dans un repère orthonormé, les courbes représentatives de et de sont
symétriques par rapport à première bissectrice.
4- Prolongement par continuité :
a- Définition :

Soit une fonction définie et continue sur et un point tel que ∉ .

On appelle prolongement par continuité de en la fonction , si elle existe définie


sur ∪ { }, continue en ,telle que , pour tout réel de , on ait ( ) = ( ).

( ) ∈
La fonction est définie par : ( ) = ( ) = lim ( )

b- Exemple :

Soit la fonction ( )=

1/ déterminer le domaine de définion de .

2/ est elle pronongeable par continuité sur .

c- Réponse :

1/ = ∈ ⟹ +3 ≠0 ⟺ ≠ −3 donc = — {3}
( )( )
2/ lim ( ) = lim = lim = lim ( − 3) = −6.
→ → → →

est pronongeable par continuité sur et son prolongement est la fonction :

−9
( )= ∈ — {3}
( ) = +3
(−3) = −6

C-Dérivabilité :
I- Généralité :
1- Définition:
Soit une fonction définie dans un intervalle et un point de .
5
( ) ( )
 est dite dérivable en si seulement si lim

= ; avec est un réel finie.
= ( ) est appelé dérivée de en .
( ) ( )
 est dite dérivable à droite en si seulement si lim = ; avec est un

réel finie. = ( ) est appelé la dérivée à droite de en .
( ) ( )
 est dite dérivable à gauche en si seulement si lim

= ; avec est un
réel finie. = ( ) est appelé la dérivée à gauche de en .
 est dite dérivable en si seulement si ( )= ( )= ( )= .
 est dite dérivable sur un intervalle ] , [, si seulement si est dérivable en tout
point de cet intervalle.
 est dite dérivable sur un intervalle [ , ], si seulement si est dérivable sur ] , [, à
droite en et à gauche en .
2- Interprétation géométrique :
Soit une fonction définie sue un intervalle de centre .

Soit C sa courbe représentative. Si est dérivable en alors la courbe C admet une tangente
au point ( , ( )) d’équation : = ( )( − ) + ( ).

( )

3- Rappel sur le calcul des dérivées :


a- Fonctions dérivée des fonctions usuelles :

( ) ( )
0
1
+
+ + 2 +

, ∈
1 ∗ 1 ∗

+ −
− − − −
+ ( + )
√ 1 ∗

2√
( ) ( )
( ) − ( )
( ) − + 1+ ( ) = − +
2 2
6
; ∀ ∈ . 1 ; ∀ ∈ .
( )
( ) ]0, +∞[ 1 ]0, +∞[

b- Opération sur les dérivées :

Si ; et ℎ des fonctions dérivables sur et deux réels, alors :

( + ) = + ; ( × ) = × ;( ) = ;( + ) = +

( × × ℎ) = × ×ℎ+ × ×ℎ+ × ×ℎ

∀ ∈ ; ∶( ) = × ×

× ×
Si ( ) ≠ 0 , alors =− et = ( ) > 0 , alors =

c- Théorème :

Soient f une fonction définie et dérivable un intervalle ouvert et g une fonction définie et
dérivable sur un intervalle contenant ( ), alors la fonction est dérivable sur et on a :
( ) =( )× = ( )×

d- Exemple :

( ( )) = × ( );( ( )) = − × ( ); ( ) = × et si ( ) > 0 ,
alors ( ( )) =

e- Application :

Soit la fonction ℎ( ) = sin( − 2 + 3). Chercher et ℎ ( ).

ℎ est la composée de deux fonctions définie ; continue et dérivable sur .

Soit ( ) = − 2 + 3 et ( ) = sin( ) avec ( ) = 2 − 2 et ( ) = cos ( )

( )( )= [ ( )] × ( )= [ ( )] × ( ) = cos( − 2 + 3) × (2 − 2)

4- Propriétés :
a- Dérivabilité d’une fonction en valeur absolue :

Soit une fonction continue sur un intervalle ; la fonction | | n’est pas dérivable où elle
s’annule.

b- Application :

Etudier la dérivabilité de la fonction ( ) = | − 4| au point = 4.

7
On sait que si > 4 alors ( ) = − 4 et si ≤ 4 alors ( ) = 4 − = − (4 − )

( ) − (4) −4 ( ) − (4) 4−
lim = lim = 1 lim = lim = −1
→ −4 → −4 → −4 → −4
(4) ≠ (4) donc f n’est pas dérivable en 4.

c- La dérivabilité implique la continuité :

Si une fonction est dérivable en alors est continue en .

Remarque : la réciproque n’est pas vraie. En effet la fonction précédente ( ) = | − 4| est


continue en = 4 mais n’est pas dérivable.

5- Dérivabilité et sens de variation :


Soit une fonction dérivable sur un intervalle ouvert

Si pour tout réel de , ( ) ≥ 0 alors est croissante sur .

Si pour tout réel de , ( ) ≤ 0 alors est décroissante sur .

Si pour tout réel de , ( ) > 0 alors est strictement croissante sur .

Si pour tout réel de , ( ) < 0 alors est strictement décroissante sur .

Si pour tout réel de , ( ) = 0 alors est constante sur .

6- Dérivée d’une fonction réciproque :

Soit une bijection d’un intervalle vers ( ) ; si est dérivable en et ( ) ≠ 0 alors


est dérivable en ( ) = et ( ( )) = ( ( ))

a- Application :

Soit ( ) = 2 ; ∀ ∈

1/ Chercher et étudier la dérivabilité de .

2/ Calculer la réciproque et définir son domaine .

3/ Calculer ( ) de deux manières.

b- Réponse :

1/ = d’après les données.

est une fonction polynôme alors elle est dérivable sur son domaine.

8

2/ ( ) = 2 ; ∀ ∈

lim 2 = +∞ ; lim 2 = 0
→ →

( ) = 4 > 0 ; ∀ ∈ ∗ alors f est strictement croissante et comme elle est continue sur
son domaine de définition donc elle réalise une bijection de ∗ vers ∗ avec :

( )= ⟺2 = ⟺ = ⟺ = = ( )
2 2

3/ première méthode : Calcul directe du dérivée ( ) =

2 2 1 1 1 1
( ( )) = = = = =
2 2 2 4 2
4 2

Deuxième méthode : Application de la définition :

1 1
( ) = =
( ( ))
4 2

II- Développement de Taylor –Lagrange :


1- Théorème :

Soit une fonction continue sur [ , ] et ( + 1) fois dérivable sur ] , [ alors il existe

∃ ∈ ] , [ ∕

( − ) ( − ) ( − ) ( )(
( ) = ( )+( − ) ( )+ ( )+ ( ) + ⋯+ )
2! 3! !
é

( − ) ( )(
+ )
( + 1)!

2- Théorème de Mac-Laurin :

Soit une fonction continue sur [0, ] et fois dérivable sur ]0, [ alors

( ) = (0) + (0) + (0) + (0) + ⋯ + ( )(


0) + ( )
2! 3! !
( ) → 0 → 0

a- Application :

9
Appliquer le théorème de Mac-Laurin sur la fonction ( ) = .
( ) = ; ( ) = ; ( ) = ; … … . . . … ( ) ( ) = ⟹ ∀ ∈ ; ( )( )=
( )(
On sait que (0) = = 1 donc ∀ ∈ ; 0) = =1

( )=1+ ×1+ ×1+ × 1+ ⋯+ ×1+ ( ) ( ) → 0 → 0


2! 3! !

( )= =1+ + + +⋯+ + ( ) ( ) → 0 → 0
2! 3! !

III- Développement limités :


1- Définition :
Un développement limités conduit à une approximation d’une fonction localement ; c'est-à-
dire au voisinage d’un réel , le plus souvent au voisinage de 0.
Graphiquement, cela permet de dire qu’au voisinage du point (0, (0)) la courbe de est très
proche d’une fonction beaucoup plus simple (polynôme…).
2- Propriétés :
 Le DL est calculé en utilisant le théorème de Mac-Laurin.
 Le degrés du polynôme résultant d’un DL n’est pas forcement égale à , il est ≤ .
 Si une fonction , admet un DL au voisinage de 0 : ( ) ; alors
lim → ( ) = ; par conséquence on peut prolonger par continuité par ( ).
 Si admet un DL à l’ordre au voisinage de 0 ; alors est dérivable en 0.
3- DL des fonctions usuelles au voisinage de 0 :
 sin( ) = − + − …….+ ( ) ( ) → 0 → 0
! ! !

 ( )=1− + − ……+ ( ) ( ) → 0 → 0
! ! !

 = 1+ + + + …….+ ( ) ( ) → 0 → 0
! ! !

 (1 + ) = − + − …….+ ( ) ( ) → 0 → 0
( ) ( )( )
 (1 + ) = 1 + + + …+ ( )
! !
( ) → 0 → 0
 = (1 − ) = 1+ + + + ⋯+ ( ) ( ) → 0 → 0
 = (1 + ) = 1− + − + ⋯+ ( ) ( ) → 0 → 0
a- Application :
( ( ) )
Soit la fonction ( ) = .

1) Donner le développement limité de à l’ordre = 3 au voisinage de 0.


2) Donner le développement limité de cos( ) à l’ordre 3 au voisinage de 0.
3) En déduire le développement limité de cos(−2 ) à l’ordre 3 au voisinage de 0.
4) Donner le développement limité de (1 + X) à l’ordre 3 au voisinage de 0.
5) Donner le développement limité de (cos(2 ) + ) à l’ordre 3 au voisinage de 0.
6) Donner le développement limité de à l’ordre 4 au voisinage de 0.

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7) Déterminer le développement limité de ( ) à l’ordre 4 au voisinage de 0.
b- Réponse :
1) =1+ + + + ( ) ( ) → 0 → 0
! !

= 1+ + + + ( ) ( ) → 0 → 0
2 6
2) ( )=1− + ( ) ( ) → 0 → 0
!
3) On pose = −2 si → 0 alors = −2 → 0

(−2 )
(−2 ) = 1 − + ( ) ( ) → 0 → 0
2
(−2 ) = 1 − 2 + ( ) ( ) → 0 → 0
4) (1 + ) = − + + ( ) ( ) → 0 → 0

5) (cos(2 ) + − 1) = 1−2 +1+ + + −1+ ( ) =

log 1 + − + + ( )

On pose = − + si → 0 alors = − + →0

(cos(2 ) + − 1) =

3 3
3 − 2 + 6 − 2 + 6
− + − + + ( )
2 6 2 3
3 3
= − + − + + + ( )= −2 +2 + ( )
2 6 2 2 3
( ) → 0 → 0
6) =1+ + + + ( ) ( ) → 0 → 0
1
( ) = (cos(−2 ) + − 1) ×
1−
(
= −2 +2 ) + 1+ + + )+ ( )
(
= + + −2 −2 +2 + ( )= − + + ( )
( ) → 0 → 0
IV- Différentielle :
1- Définition :
: →
Soit f une fonction dérivable en un point ; le différentielle de noté
ℎ→ ( )ℎ

Où ℎ = ∆ est un accroissement arbitraire de .


a- Exemple :

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Soit la fonction ( ) = ; déterminer et .

On sait que ( )=− ⟹ (2) = − (5) = −

: → : →
et
ℎ→− ℎ ℎ→− ℎ

b- Notation :

La différentielle de est noté : = ( ).

Reprenant l’exemple précédent : Soit la fonction ( ) = alors =− .

2- Valeur approchée :
a- Théorème :

Soit une fonction dérivable en un point et ℎ un réel proche de 0, alors


( + ℎ) ⋍ ⟺ ( + ℎ) − ( ) ⋍ ( )ℎ.

Cela revient à approximer la courbe de en par sa tangente.

b- Application :

Chercher une valeur approchée à √7 ;

Les carrées les plus proche de 7 sont 9 et 4 en d’autre terme pour 7 = + ℎ ; on peut choisir
= 9 ℎ = −2 ou bien = 4 ℎ = 3.
Appliquant le théorème pour les cas :
1
( + ℎ) ⋍ ( ) + ( )ℎ ⟺ √9 − 2 ⋍ √9 − (2) ⟺ √7 ⋍ 2,66
2√9
1
( + ℎ) ⋍ ( ) + ( )ℎ ⟺ √4 + 3 ⋍ √4 − (3) ⟺ √7 ⋍ 2,75
2 √4
En vérifiant avec la machine, on remarque que la meilleur approximation est donner par
= 9 ℎ = −2.

c- Remarque : En générale pour chercher une valeur approchée, on choisie de façon


que le calcul de ( ) soit simple.

On remarque que plus la valeur de ℎ est proche de 0 plus la valeur approchée meilleur (plus
proche de la réalité).

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