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La journée a été vraiment pourries, entre des clients qui ne savais pas ce qu’ils voulaient et une

patronne qui est toujours sur mon dos.


Le seul rayon de soleil dans cette journée, c’est de retrouver ma femme en rentrant.
Comme prévus, quand je rentre elle est la à m’attendre, nue, a genoux, les mains attachées dans son
dos.
Elle sais que son Dom a besoin de se détendre et s’est donc préparée à me satisfaire.
Elle s’avance vers moi a 4 pattes, pause ses mains sur mon pantalons, ouvre ma braguette, sors mon
sexe pas encore dure. Commence a le prendre en bouche pour le faire durcir, me prend en gorge
profonde. Le traitement qu’elle inflige a mon sexe fait sont effet, je durcis de plus en plus. Une fois
bien dure, elle se retourne et se cambre.
« Maître, mon corps est a vous, mais pourriez vous prendre mon cul comme vous savez ci bien le
faire ? »
Quel n’est pas ma surprise de voir son cul déjà occuper par son plug. Je le retire délicatement, pause
mon sexe en érection a l’entrée de son anus et m’enfonce doucement en elle centimètre par
centimètre.
Plus je rentre plus elle se cambre pour me facilité l’accès.
« Ne bougez plus maître, je vais moi même m’empaler sur votre sexe. Ne vous fatiguez pas plus »
Elle s’empale profondément, j’aime la voir se donner comme ça. En y regardant de plus prêt, elle a
sa main sur son clitoris.
« Retire ta main soumis, seulement moi peut s’occuper de ton clitoris ».
Je glisse ma main entre ses cuisses pour la caresser, j’attrape son clitoris et joue avec entre mes
doigts, je le pince, plus je pince plus elle vas vite.
Je sens qu’elle est sur le point de jouir et je m’arrête, je ne veux pas que ce moment se stop
maintenant.
Elle râle que je me sois arrêter mais sais aussi que sa jouissance n’en seras que plus forte. Je l’a
garde empalée sur mon sexe, la soulève, l’emmène avec moi dans la chambre. Chaque pas de ma
part lui arrache un petit cri de plaisir.
Je la lance sur le lit, dans mon regard elle sais que la bête s’est réveillée.
« Maintenant c’est a moi de m’occuper de toi et de ton corps. »
« Je n’attend que ça Maître. »
Je lui détache ses mains et les attaches au lit. J’attrape deux autres liens pour ses pieds que j’attache
aussi au lit. Elle est toute à moi, livrée, impossible pour elle de se débattre.
J’attrape le fouet et commence a le faire parcourir son corps doucement, de son cou au creux de ses
reins. Elle me veux en elle mais nous sommes encore loin de cette partie de notre jeu.
Je lève le fouet, le premier coup tombe sur ses fesses, un petit cri sors de entre ses si jolie lèvres.
Un deuxième, un troisième, ses fesses deviennent rouge sous le fouet, ses cris sont de plus fort. Elle
aime avoir mal, elle aime que son dominant la soumette de cette façon sans qu’elle ne puisse se
défendre.
« Fini les coups de fouet, maintenant je vais m’occuper de ton sexe »
Il est déjà bien mouillée, j’attrape son gode préféré, le gode rouge en verre, celui qui la rend
complètement folle. Je joue avec celui ci, je le passe sur ses lèvres, son clitoris, joue a l’entrée de
son sexe sans le rentrer entièrement.
« S’il vous plais maître, entrer le en moi, je n’en peux plus. »
Je commence à la pénétré avec son jouet préféré. Tout doucement, au plus profond d’elle.
Elle se cambre de plus en plus, elle est sur le point d’attendre le point de non retour mais je ne veux
toujours pas. Et je m’arrête.
« Non Maître s’il vous plais pas ça pas maintenant »
« Depuis quand tu décides de ce qu’il se passe ? »
« Désolé Maître, j’ai oublier de rester a ma place »
« Il me semblait bien »
Je recommence a m’occuper de sa chatte qui est de plus en plus mouillée, tellement mouillée que
son gode glisse tout seul elle. Ma deuxième main est posée sur son clitoris. Cette fois ci je ne
m’arrêterais que quand elle aura jouis tout ce qu’elle a en elle.
« Je vais jouir maître, je ne peux plus me retenir, ne vous arrêtez pas s’il vous plais. »
« Laisse toi aller, jouis de tout ton corps. »
Elle tremble, se contracte, crie et fini par jouir.
Elle inonde le lit, elle ruisselle. Mais ce n’est pas pour cela que je m’arrête.
« Je veux que tu jouisse encore et encore »
« Je ne peux pas maître »
« Oh que si tu peux encore jouir la preuve »
Un second orgasme s’empare d’elle, une seconde vague, une seconde jouissance, une seconde
inondation.
J’attrape son deuxième jouet en verre, celui pour son petit cul si chaud.
Je la prend en double pénétration, elle aime ça et je le sais.
Je sais ou cela vas aller.
Et ça ne manque pas, elle jouis encore une fois, elle n’en peux plus, elle est épuisée , totalement
soumise à moi.
Je la détache et la met sur le dos, je descend ma tête entre ses jambes et commence a lécher son
clitoris.
« J’adore le goût et l’odeur de ta cyprine ma princhienne »
« Hum hum hum »
Voilà les seules mots qu’elle est encore capable de dire. Elle encercle ma tête avec ses pieds, je
rentre ma langue dans son vagin et remonte jusque sont clitoris. Puis je redescend vers son clitoris
et continue a descendre pour aller vers sa petite fleure. Je commence mon anulingus, lèche sa
corolle de fleure, rentre ma langue dans son cul. Je ressort et remonte vers son sexe jusque sont
clitoris, je l’aspire, le mort, le pince. Elle se cambre encore, je sais que elle peux encore jouir, je
rentre un doigt en elle puis deux, puis trois.
Elle est a la limite de craquer encore une fois, je trouve sont point G, ses hanches se soulève pour
venir vers ma langue. A ses cris, je comprend qu’elle vas encore jouir et ça ne manque pas, elle
inonde mon visage de son jus, je n’en manque aucune goûte, j’aspire et avale toute sa cyprine.
« Tu es tellement bonne a goûter ma princhienne, ton odeur ton goût tout me plais en toi »
J’approche mon sexe en érection de son sexe, le pause a l’entrée de ses lèvres.
« Oui maître, prenez moi, donnez moi votre membre bien dure, faite de moi votre chienne »
« Non ma soumise, je ferais de toi ma princhienne »
Et a ses mots je la pénètre sauvagement, je ne lui fait pas l’amour, je la baisse comme elle le mérite,
je sais que avoir mon membre en elle est le plus grand de ses désires. Je pause une main sur son
clitoris et une sur son cou.
Mon sexe en elle, son clitoris entre mes doigts et ma main qui lui serre le coup, ses yeux se révulse
par le plaisir qu’elle prend. Elle hurle de plaisir, viens vers mes coup de rein, qui deviennent de plus
en plus puissant.
Je suis a la limite de jouir mais je n’ai pas fini avec elle, je m’arrente, la met a quatre pattes. Je
commence à la prendre en levrette, notre position préférée.
« Caresse toi en même temps que je te baise princhienne »
« A vos ordre maître »
J’attrape son gode au passage, lui met dans son petit cul.
Double pénétration, sa main sur son clitoris, je lui attrape les cheveux et tire dessus. Nous arrivons
tout les deux a la limite de notre endurance, encore quelques aller retour et je vais la remplir de ma
jouissance.
Dans un cri unis, nous jouissons tout les deux en même temps. Deux, trois, quatre jet de mon
sperme au fond de son sexe. Elle tremble et tombe allongée sur le lit, essayant de récupérer sa
respiration.
Je sors de son sexe, le mélange de notre jus coule de celui ci. Elle arrive a se retourner vers moi,
attrape mon sexe et me dit en me regardant droit dans les yeux :
« Laissez moi vous nettoyer mon maître »
« Je n’en attendais pas moins de ta pars »
Elle nettoie chaque centimètre de mon sexe du mélange de nos deux semence.
Une fois bien nettoyer, je l’attrape dans mes bras, nous nous allongeons et nous endormons nu l’un
contre l’autre plus amoureux que jamais.

FIN

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