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Chapitre 0

Je m’appelle Sasha, j’avais 13 ans, j’avais un petit frère qui a 7 ans, il s’appellait Jean. Mes
parents étaient des très grands scientifiques qui travaillaient pour le gouvernement Américain, je les
admirais, je voulais devenir comme eux, c’était mon but avant… Mais le vie a fait les choses
autrement, Le 12 septembre en 2023, une catastrophe a lieux, une catastrophe bien pire que une
pandémie mondiale, bien pire que une guerre mondial, bien pire que toute les choses les plus
horribles. Un cataclysme inconnu a frappé dans la région du Texas, une chose inconnu qui dévaste
tous sur son passage, ville, forêts, montagnes, rien ne peux l’arrêter, c’est ce qu’on dit les
informations à la télé. Ce jour là, on était seul mon frère et moi, en voyant ça, on ne savait pas quoi
faire, chaque seconde j’angoissais de plus en plus. Savoir qu’une chose pareil était apparu près de
chez nous, ça me terrifiais. Mon frère me regardait avec un regard rempli de tristesse, il avait beau
être jeune mais il avait très bien compris ce qui se passait, j’essayai de rester forte pour pas lui faire
peur,mais c’était déjà trop tard, il c’était mis à pleuré à chaude larme, je ne peux m’en empêcher,
j’ai pleuré moi aussi. Dans nos sanglots nous entendîmes une sorte de sons ,qui se répétait en
boucle, c’était toujours le même sons au début je ne savais pas ce que c’était, mais après j’ai vite
compris que qu’est que c’était, une sonnerie d’un téléphone, je couru vers le téléphone fixe de la
maison, le numéro m’était inconnu, mais je décrochai quand même, j’entendis une voix familière,
elle disait :
- Tu es la ?
Elle répétait ça en boucle puis elle dis :
-Répond moi s’il te plaît, vous êtes la mes enfants ?
Après ça j’ai vite compris qui c’était, le femme qui m’avait mis au monde mon frère et moi, c’était
ma mère, je fus heureuse d’entendre ça merveilleuse voix, elle avait l’air de pleuré, après quelque
seconde de silence je répondis :
- Maman c’est toi ?
-Tu es là c’est merveilleux, me répondit-elle. Ton frère est avec toi ?
-Oui, il est avec moi, il se passe quoi, à la télé il parle d’une chose, je comprends pas.
Répondis-je en pleurant
Je ne pouvais pas m’empecher de pleurer, chaqu’une de mes réponses étaient accompagnées
d’un pleure.
-Il faut que ton frère et toi partaient au plus vite, dit-elle
-Comment ça, partir où ? Et pourquoi ? Répondis-je désorienté.
-Vous êtes en danger, tous le monde est en danger, une chose terrible va détruire tout forme
de vie existent, partez le plus loin possible d’ici, si possible changez de continent !
Avec ces paroles je compris ce qu’il se passait et les dangers de cela, mais après ces paroles
j’entendis un son fort, c’était des coups de feu ! J’entendais des coups de feu au téléphone ! Après
voir entendu ça je voulais lui demandé qu’es qui se passer mais elle me dit :
-Je suis désoler pour tous mes enfants, mais je vous aime de tous mon coeur, votre père aussi
vous aime, maintenant s’il vous plaît, partez le plus loin possible !
Après ça elle raccrocha, ce fus la dernière fois que j’entendis ma mère, juste après ces
dernières paroles, je ne peux encore une fois retenir mes larmes, je me mis à pleurer tout les larmes
de mon corps, devant mon frère qui lui aussi pleurait. Après quelque minute je me repris en main et
je décidai de faire ce que ma mère a dit, je dis à mon frère :
-Tu as entendus ? Nous devons partir
-Pourquoi qu’est qu’il se passe. Me répondis-il
-Je t’expliquerai en chemin, maintenant il faut préparer nos sacs.
Avec ces paroles j’aurais espérer le rassurer, quelques minutes plus tard, nous avions déjà
prépare nos affaires, nous avions pris le nécessaire, de la nourriture, de l’eau, des médicaments et
sur le moment j’avais pris un couteau dans la cuisine. Je ne savais pas si il m’allait être utile,
l’ennemi n’était pas des zombies, ni des extraterrestres, mais une catastrophe naturelle, un couteau
ne servirait à rien contre ça, mais je le prit quand même par simple précaution, la décente des
escaliers se fit dans la panique, nos voisins quittaient eux aussi l’immeuble, eux aussi avaient pris
de quoi vivres, mais la différence entre eux et nous c’est que ils sont accompagnées de leurs parents
, j’ai essayé de leur demandé de l’aide mais ils ne m’écoutèrent pas. Après quelques minutes de
frayeur et de précipitation, nous arrivâmes enfin en bas de l’immeuble, nous vîmes la sortie et en
sortant de notre ancien foyer ce fut là que tout commença...

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