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Petit Pays, Gaël Faye : fiche


Amélie
de lecture Vioux,
professeur
3 commentaires • Par Amélie Vioux
particulier de
français, je
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Voici une fiche de lecture
ici.
complète (résumé avec analyse
des personnages et des thèmes)
du roman Petit pays de Gaël
Faye.
Commande ton livre ici :
Petit pays est un roman
partiellement autobiographique
publié par Gaël Faye en 2016.

Il constitue un témoignage poignant autour d’un des derniers génocides


du XXe siècle : celui du Rwanda, lors duquel les Hutus massacrèrent des
Tutsis.

Environ 800 000 personnes, majoritairement tutsies, perdirent la vie.

Cette histoire tragique vibre encore dans le présent : les coupables n’ont
pas encore tous été reconnus et condamnés, et les rescapés comme Gaël
Faye restent traumatisés par ces événements.

Mais ce n’est pas le récit d’une guerre qu’il s’agit dans Petit pays, puisque
c’est un enfant qui raconte.

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Le narrateur, Gabriel, est un jeune garçon qui glisse vers l’adolescence


quand le paisible petit pays où il a grandi, le Burundi, glisse vers le chaos.

Dans une écriture métisse, à la fois poétique et politique, Gaël Faye mêle Retrouve mes fiches sur
la mélancolie d’une enfance radieuse au témoignage des violences Instagram :
historiques.

Qui est Gaël Faye ?


Gaël Faye naît en 1982 à Bujumbura, capitale du Burundi. Ce petit pays
se situe en Afrique de l’Est, entre la République démocratique du Congo et
le Rwanda.

Né d’un père français et d’une mère rwandaise, il mène une enfance


paisible, jusqu’à ce que le génocide du Rwanda, en 1994, le force à
l’exil.

En 1995, il s’installe à Versailles avec sa mère, et tente de se recréer un


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environnement familier après la douloureuse perte de ses repères et le
TF1 :
traumatisme de la guerre.

Il mène avec succès des études dans la finance, mais quitte rapidement la
City de Londres, où il ne s’épanouit pas, pour se consacrer à sa passion :
la musique et l’écriture.

00:57

Son premier album solo, Pili Pili sur un croissant au beurre, sort en 2014.

Gaël Faye publie par la suite plusieurs projets musicaux témoignant de la


variété et du multiculturalisme de ses inspirations, puisqu’il collabore avec
Oxmo Puccino (France), Mulatu Astarte (Ethiopie) ou encore Flavia Coelho
(Brésil).

Parallèlement à sa carrière de musicien, Gaël Faye publie Petit pays en


2016, roman en partie autobiographique où il raconte son enfance au
Burundi, et le surgissement du génocide qui le force à partir.

Le roman connaît un grand succès. Il remporte de nombreux prix, et est


adapté au cinéma en 2020.

Comment résumer Petit Pays ?


Prologue
Le narrateur, Gabriel, est un enfant. Il ironise sur l’absurdité du génocide
entre Hutus et Tutsis, justifié par une différence dans la taille des nez.

Dans la deuxième partie du prologue, il exprime du dégoût pour la vie


morne et répétitive qu’il mène en France, où il ne se trouve pas à sa
place.

Il est habité par l’obsession du retour au pays de l’enfance heureuse,


dans une Afrique idéalisée. Il reçoit un mystérieux appel téléphonique.

Chapitre 1
Le narrateur raconte le mariage de ses parents. Son père est du Jura, sa
mère est une gracieuse rwandaise.

Mais les parents, rapidement, ne s’entendent plus, parce que leur


mariage est trop précoce, parce que leur jeunesse pleine d’illusion peine à
accepter les obligations de la vie domestique, parce que la situation
politique se dégrade.

Chapitre 2
Le narrateur raconte son enfance.

Lors d’un trajet familial, la famille quitte le calme Burundi pour le Zaïre
tumultueux. Ils rendent visite à un ami de son père, Jacques, colon
raciste et âgé qui éprouve pour le Zaïre un attachement mêlé de mépris.

Ses propos racistes, ainsi que ceux du père, suscitent la colère de la mère.

Chapitre 3
La destruction du bonheur familial s’accentue.

La bonne humeur du père, tout au long d’un sortie familiale dans une
nature luxuriante, n’empêche pas les disputes avec la mère.

Les parents se séparent.

Chapitre 4
Le narrateur fête Noël et le Nouvel An 1993 avec son père par une
excursion parmi des pygmées dans une forêt.

A leur retour, ils apprennent le brutal départ d’un employé de maison, parti
en volant plusieurs choses, dont le vélo neuf du narrateur.

Chapitre 5
Gabriel discute avec ses voisins, deux jumeaux de son âge. Ils lui
racontent que lors d’un séjour dans un village, chez leur grand-mère, ils
ont été circoncis de force, ce qui les a traumatisés et déplu à leur père
français.

Ils ajoutent enfin qu’ils ont vu dans ce village un enfant conduire le vélo
volé du narrateur.

Chapitre 6
Le petit-déjeuner d’avant l’école offre au narrateur l’occasion de décrire les
employés de maison de son père : le serviable Cuisinier Prothé s’est
remis d’une maladie ; Donatien est le plus fidèle employé ; et Innocent
aussi désagréable que précieux pour les affaires du père.

Chapitre 7
Le narrateur, Gaby, découvre en classe la lettre adressée par sa
correspondante d’Orleans, Laure. Il en éprouve de l’émoi et lui répond
par un autoportrait amusant de lui-même et du Burundi.

Chapitre 8
Gabriel mène auprès des employés de la maison, Donatien et d’Innocent,
une enquête pour retrouver le vélo volé.

Le vélo volé a été vendu à une famille de paysans pauvres.

Gabriel récupère son vélo auprès de cette famille mais éprouve une
profonde culpabilité, car sa famille aurait les moyens de lui offrir un
nouveau vélo contrairement à la famille de paysans.

Il subit la désapprobation d’Innocent et de Donatien.

Chapitre 9
Gabriel rend visite à sa grand-mère maternelle, qui vit parmi d’autres
familles de réfugiés rwandais ayant fui la violence pour vivre au Burundi.

Son oncle maternel, Pacifique, est un beau jeune homme séduisant, qui
se passionne pour les tristes chansons d’amour françaises.

Alphonse était une autre fierté la famille. Ce brillant ingénieur est mort en
combattant pour le Front patriotique rwandais. Et la volonté de Pacifique
de combattre à son tour suscite l’inquiétude de la famille.

L’arrière-grand-mère, Rosalie, raconte quant à elle les légendes du


Rwanda qu’elle a quitté et qui lui manque.

La mère, qui éduque ses enfants comme des blancs, considère cette
nostalgie patriotique avec distance.

Pacifique au contraire écoute Rosalie avec une attention émue, lui promet
le retour au pays, le retour au Rwanda à moderniser.

Chapitre 10
Gabriel décrit les jeux qu’il mène avec sa petite bande d’amis : vol et
revente de mangues, plaisanteries, baignade, pêche.

Son meilleur ami est Gino, un garçon de son âge. La rivalité entre son ami
Gino et un autre enfant, le redoutable Francis, un peu plus âgé, symbolise
le passage vers la peur et la guerre.

Chapitre 11
Portrait de Gino, métis patriote qui, à douze ans, rêve comme Pacifique de
participer à une guerre libératrice au Rwanda.

La conversation politique se poursuit en un débat sur la démocratie dans


un cabaret, véritable « radio du trottoir » où boire et débattre.

Chapitre 12
L’organisation d’élections présidentielle suscite la joie populaire.

Prothé et Innocent, les employés de maison, symbolisent le conflit entre


les deux grands partis qui s’opposent, le nouveau contre l’ancien.

Chapitre 13
Les élections sont un jour d’allégresse pour le peuple qui pour la première
fois peut s’exprimer démocratiquement.

Après l’angoisse de l’attente, les résultats tombent : c’est le Frodebu, le


nouveau parti, qui a gagné face à l’Uprona au pouvoir, que soutient
l’armée.

Chapitre 14
L’anniversaire des onze ans de Gabriel offre l’occasion d’une belle fête
dans le jardin, autour d’un barbecue au crocodile chassé par Jacques.

Les habitants du quartier boivent et dansent dans une joie interrompue par
la bagarre entre Gino et Francis, puis par la pluie.

Chapitre 15
L’entrée au collège s’accompagne pour Garbriel de la découverte des
marques et de l’argent qui hiérarchisent les élèves en groupes.

Gino jalouse Francis pour sa sociabilité.

Mais la conversation entre eux s’interrompt : une fissure dans la maison de


Gino indique un mouvement sismique. Les séismes fréquents
symbolisent la violence imminente sous le calme apparent.

Chapitre 16
Réveil nocturne sous le bruit des balles.

Le lendemain, la population apprend qu’un coup d’Etat vient d’avoir lieu.


Le président élu vient d’être assassiné par l’armée, des massacres
commencent, un couvre-feu est mis en place.

Le père, qui d’après Innocent couche avec une jeune femme de son
quartier, prend ses dispositions pour protéger sa famille. Gabriel s’inquiète,
comme son père.

Chapitre 17
Tandis que le centre-ville des privilégiés reste épargné, le chaos et la
violence gagnent le pays. Les massacres provoquent l’exode de la
population.

Mais les jeux et les escapades continuent pour Gabriel.

Le vol de mangues dans le jardin de Francis provoque cependant la


violente vengeance de ce dernier, qui tente de noyer Gabriel et Gino dans
la rivière.

Dans son supplice, le jeune Gino avoue sous la menace de Francis que sa
mère, que personne n’a jamais vue, est morte. La douleur et surtout les
pleurs de Gino suscitent la haine de Gabriel à l’encontre de Francis.

Chapitre 18
Les tensions s’accroissent et l’atmosphère se trouble. Les massacres et
les disputes, comme celle entre Prothé et Innocent, se multiplient.

Innocent est licencié par le père, qui est très préoccupé par la situation.

A l’école, Gabriel découvre la différence qui structure le Burundi, entre


Hutus et tutsis. Il découvre que la situation impose à chacun, dont lui-
même, de faire partie d’un camp.

Chapitre 19
Gabriel part en vacances au Rwanda avec sa sœur Ana et sa mère. Ils se
rendent chez la sœur de la mère : tante Eusébie. Chez elle, règne la joie
familiale.

Pacifique annonce son mariage et la grossesse de sa femme.

Mais il révèle que des massacres se préparent au Rwanda, car les


extrémistes Hutus s’opposent au Front populaire rwandais. C’est pourquoi
il demande à la mère d’accueillir au Burundi les enfants d’Eusébie et sa
femme, ce qu’elle accepte.

Chapitre 20
La famille chemine en voiture pour aller assister au mariage de Pacifique.

Mais la festivité laisse vite place à l’angoisse à un barrage militaire, dont


les soldats Hutus insultent la famille parce que tutsie.

Le mariage entre Pacifique et Jeanne a finalement lieu, rapide et heureux.


Les au revoirs au couple s’accompagnent de promesse de se revoir.

Chapitre 21
Alors que les crimes politiques se multiplient, Gabriel découvre avec effroi
que Gino a intégré Francis à leur bande.

Mais Gino se justifie, en expliquant que Francis a pu être violent parce


que comme lui il a perdu sa mère. Il rassure ensuite Gabriel en lui
assurant qu’ils sont toujours meilleurs amis.

Francis s’intègre au groupe en les invitant à profiter d’une piscine


publique. Gabriel se distingue par un plongeon audacieux qui l’aide à se
débarrasser de sa peur et à gagner l’admiration des autres garçons. Le
retour en taxi se fait dans le bonheur et la pluie.

Chapitre 22
Le 7 avril 1994, la mère arrive à la maison en catastrophe. Elle apprend à
la famille que les président du Burundi et du Rwanda viennent d’être
tués en avion.

Au téléphone, tante Eusébie explique que les Tutsis sont tenus pour
responsables de l’attentat et massacrés. Tante Eusébie dit adieu à sa
sœur.

Les jours suivants, les parents se relaient au téléphone, sans parvenir à


obtenir l’extradition de leurs proches au Rwanda.

La mère s’épuise dans l’angoisse, tandis que le génocide des Hutus à


l’encontre des Tutsis s’accentue et se prolonge d’avril à juillet 1994.

Mais début juin, Pacifique appelle pour apprendre à la famille que le Front
populaire rwandais est en train de prendre le dessus sur le gouvernement
génocidaire en déroute.

Chapitre 23
Les violences provoquent le départ des jumeaux (les amis de Gabriel) qui
partent s’installer en France.

Les adieux douloureux laissent la bande de Gabriel orpheline d’une partie


de ses membres.

L’évolution de la bande se poursuit désormais sous l’influence de


Francis, qui veut en faire un gang à l’image des véritables organisation et
criminelles qui violentent, organisent des barrages lors des journées
« villes mortes ».

Gaby constate que les jeux d’enfants relèvent désormais du passé. La


fascination de Gino et de Francis pour la violence et la vengeance face
aux Hutus, dont Gino prétend qu’ils ont tués sa mère, amène Gabriel à
prendre ses distances avec la bande.

C’est ce qui amène Gabriel à fréquenter l’une de ses voisines, Madame


Economopoulos. Grâce à elle, il découvre la littérature qui l’aide à
prendre ses distances avec sa bande d’amis et la violence de la guerre.

Chapitre 24
L’insécurité s’installe et amène les gens à se barricader, tandis que la
violence se banalise : Gabriel voit dans la rue un homme se faire lyncher
à mort sans que personne ne réagisse.

Chapitre 25
Jacques arrive brusquement à la maison, avec la mère, dont la famille
avait perdu la trace depuis longtemps.

Elle est méconnaissable : maigre, malade, faible. Son élégance a


disparu.

Elle revient du Rwanda, où la population fuit massivement les massacres,


comme le raconte Jacques. Il décrit une misère atroce qui déferle sur le
Kivu.

La mère leur apprend la mort des enfants de tante Eusébie, massacrés


dans leur maison, de même que la famille de Jeanne.

Pacifique, qui a tué les meurtriers pour se venger, a été fusillé par la cour
martiale tutsie. Tente Eusébie reste introuvable.

La famille est bouleversée.

Chapitre 25
L’employé de maison Donatien adresse à Gabriel un discours pacifique et
philosophique, lui raconte sa vie faite de misère et d’épreuves. Sa foi en
Dieu l’aide à garder espoir.

Puis Gabriel découvre avec effarement que Francis et Gabriel se sont


procuré deux grenades auprès d’un gang. Ils s’arment pour se défendre
contre les Hutus.

Effrayé, Gabriel décide de ne plus les fréquenter.

Chapitre 26
La mère plonge dans la dépression et l’épuisement.

La nuit, elle raconte à Ana, la sœur de Gabriel, les horreurs qu’elle a


vécues : ramasser et enterrer les cadavres découpés des enfants de tante
Eusébie, pour que cette dernière ne voit pas les traces à son retour.

Gabriel raconte à son père ce que la mère inflige à Ana. Une dispute
éclate alors entre les parents.

La mère devient furieuse, accuse les membres de la famille d’être des


Français responsables du génocide, blesse Ana en jetant un objet.

La blessure d’Ana justifie le départ aux urgences. Au retour, la mère est


introuvable.

Gabriel s’en veut d’avoir voulu protéger son bonheur en faisant fuir sa
mère.

Chapitre 27
Lettre de Gabriel à Christian, son cousin assassiné.

Il lui annonce qu’il épousera Laure, ce correspondante de France avec qui


il échange des lettres.

Il lui dit combien il l’aime et combien il lui manque. Il lui dit également
combien il comprend son père qui l’a tenu à distance de la politique et des
choses d’adultes, qui ont rendu violente sa bande d’amis. Il lui dit combien
le monde est absurde et violent.

Chapitre 28
Ana dessine les scènes horribles décrites par sa mère disparue.

Tout à coup, de jeunes Tutsis armés pénètrent la maison. Ils menacent


Prothé car il est hutu, et demandent à la famille de quitter le Burundi, car
ils accusent les Français d’être complices du génocide au Rwanda.

Cette menace achève de tuer l’enfance du narrateur. Mais les livres de


madame Economipoulos lui offrent une échappatoire.

Chapitre 29
Gino apprend à Gaby l’assassinat du père de leur ami Armand.

Gaby se rend compte que la guerre n’épargne personne et l’oblige à


prendre parti, à agir.

Gaby suit donc Francis avec sa bande. Il les amène auprès d’un violent
gang tutsi dirigé par Innocent. Ils s’apprêtent à brûler vif l’un des
meurtriers prétendus du père d’Armand, qui assiste à la scène, terrifié.

Innocent décide que c’est Gaby qui doit lancer le briquet dont la flamme
immolera l’homme, ligoté dans un taxi.

Gaby s’exécute, sous la pression de Francis, de Gino, du gang, dont les


membres menacent Gaby de tuer sa famille s’il ne tue pas l’homme. Alors
Gaby s’exécute. Il en éprouve une profonde culpabilité.

Chapitre 30
Gabriel adresse une lettre poétique à Laure sur la beauté de Bujumbura
sous la neige. Les jeux et la pureté blanche qui recouvrent la ville font, en
apparence, oublier les horreurs de la guerre, qui ont ôté tout sens à la vie.

Chapitre 31
Les violences s’intensifient au point de faire partie de l’actualité
internationale.

Prothé a été lapidé à mort dans la rue. La population fuit massivement.

Gabriel et sa sœur, qui s’en vont rejoindre une famille d’accueil. Gabriel
fait ses adieux à madame Economopoulos et à son père.

Épilogue
20 ans plus tard, Gabriel retourne au Burundi en tant que jeune adulte.

Il retrouve Armand, avec qui il se remémore leur enfance dans le cabaret


du quartier, tout en prenant soin de ne pas évoquer les désastres qui les
lient.

Le père de Gabriel est mort dans une embuscade peu après son départ.
Gabriel explique qu’il est revenu au Burundi récupérer les livres laissés par
madame Economopoolos à sa mort.

C’est alors que Gabriel reconnaît dans le cabaret la voix de sa mère,


vieillie par l’alcool et la pauvreté. Elle le prend pour Christian, le cousin
assassiné.

Gabriel ne sait pas ce qu’il adviendra de sa vie, sinon qu’il prendra soin de
sa mère, tout en repensant à ses origines.

Qui sont les personnages dans Petit Pays


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