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c Séquence 8
® 0,2
x 0,4 A
® 0,5 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1
ÚÚÚÚÜÚ:`Yjd]kÚ]lÚDYfgfÚgflÚj]zmÚYmlYflÚ\¾Yj_]flÚd¾mfÚim]Úd¾Ymlj]ÚCYÚ\a^^#j]f[]Ú\]Úd]mjÚfgmn]dd]Ú
ÚÚÚÚÚÚÚ^gjlmf]Ú]klÚ\gf[ÚdYÚe%e]Úim¾YnYfl
ÚÚÚÚÜÚCYÚ\a^^#j]f[]Ú]fÚ des nouvelles fortunes de Charles et Manon est : 158,40 – 140,17 = 18,23
ÚÚÚÚFfÚj]ljgmn]ÚZa]fÚdYÚe%e]Ú\a^^#j]f[]Ú\]Ú^gjlmf]Úim¾YmÚ\#Zml
b) 83,40 – 65,17 = (83,40 + 75) – (65,17 + 75)
3)
a) La somme en que va verser chacun des deux enfants est : 36,10 : 2 = 18,05
Z¨ÚÜÚCYÚfgmn]dd]Ú^gjlmf]Ú]fÚÚ de Charles après l’achat est : 158,40 – 18,05 = 140,35.
Celle de Manon est : 140,17 – 18,05 = 122,12.
ÚÚÚÚÚÜÚ:`Yjd]kÚ]lÚDYfgfÚgflÚ\#h]fk#ÚYmlYflÚ\¾Yj_]flÚd¾mfÚim]Úd¾Ymlj]ÚCYÚ\a^^#j]f[]Ú\]Úd]mjÚfgmn]dd]Ú
ÚÚÚÚÚÚÚÚ^gjlmf]Ú]klÚ\gf[ÚdYÚe%e]Úim¾YnYfl
ÚÚÚÚÚÜÚCYÚ\a^^#j]f[]Ú]fÚ Ú\]kÚfgmn]dd]kÚ^gjlmf]kÚ\]Ú:`Yjd]kÚ]lÚDYfgfÚYhj$kÚd¾Y[`YlÚ\mÚ[Y\]YmÚ]klÚÚÚÚ
140,35 – 122,12 = 18,23
ÚÚÚÚÚFfÚj]ljgmn]ÚZa]fÚdYÚe%e]Ú\a^^#j]f[]Ú\]Ú^gjlmf]Úim¾YnYflÚd¾Y[`Yl
c) 158,40 – 140,17 = (158,40 – 18, 05) – (140,17 – 18, 05)
Exercice 3
1ère
méthode :
Le prix total en que doit payer Karima est :
25,15 + (19,20 – 2,5) = 25,15 + 16,7 = 41,85
1ère méthode :
Le prix total des achats est la somme
ÜÚ\mÚhjapÚ\mÚdanj]
ÜÚÚ]lÚ\mÚhjapÚ\mÚ;M;ÚegafkÚkYÚj#\m[lagfÚ
Les deux termes de la somme sont 25,15 et 19,20 – 2,5.
Pour exprimer que l’on ajoute 19,20 – 2,5 à 25,15 , on écrit
19,20 – 2,5 entre parenthèses, puis pour calculer l’expression,
on applique la règle de propriété 4 : « Dans une expression
contenant des parenthèses, on effectue d’abord les calculs situés
entre parenthèses.
2ème méthode :
2ème méthode :
Faire une réduction de 2,5 sur le prix du DVD revient à faire
Le prix total en que doit payer Karima est : une remise de 2,5 sur le prix total des achats.
(25,15 + 19,20) – 2,5 = 44,35 – 2,5 = 41,85 On peut donc obtenir le prix total en en calculant
(25,15 + 19,20) – 2,5
Ensuite, on applique la règle de propriété 4.
L’exercice a permis de mettre en évidence que :
25,15 + (19,20 – 2,5) = (25,15 + 19,20) – 2,5
Exercice 4
L’unité de longueur est le centimètre.
1ère méthode :
M, N, Q sont alignés dans cet orde
donc MQ = MN + NQ
soit MQ = 7,8 + (3,1 – 1,6)
c’est-à-dire MQ = 7,8 + 1,5
d’où MQ = 9,3
2ème méthode :
M, Q, P sont alignés dans cet ordre L’exercice a permis de mettre en évidence que :
donc MQ = MP – PQ
soit MQ = (7,8 + 3,1) – 1,6
ÚµÚ§~Ú¥Ú~¨Ú¹Ú§
ÚµÚ~¨Ú¥Ú~
c’est-à-dire MQ = 10,9 – 1,6
d’où MQ = 9,3
Exercice 5
Les deux égalités mises en évidence dans les exercices 3 et 4 sont
1) Voici cinq égalités répondant à l’énoncé : du même type :
a) 18,3 + (37,5 – 4,81) = (18,3 + 37,5) – 4,81 ÜÚ~ÚµÚ§~Ú¥Ú¨Ú¹Ú§~Úµ~Ú¨Ú¥Ú
Justification :
ÜÚ
ÚµÚ§~Ú¥Ú~¨Ú¹Ú§
ÚµÚ~¨Ú¥Ú~
18,3 + (37,5 – 4,81) = 18,3 + 32,69 = 50,99
(18,3 + 37,5) – 4,81 = 55,8 – 4,81 = 50,99
donc : 18,3 + (37,5 – 4,81) = (18,3 + 37,5) – 4,81 1) Il y a une infinité de réponses possibles.
b) 2,58 + (19,1 – 6,23) = (2,58 + 19,1) – 6,23 Il ne fallait pas oublier de justifier chaque égalité.
Justification :
Pour cela, on calcule séparément le premier membre et le
2,58 + (19,1 – 6,23) = 2,58 + 12,87 = 15,45 second membre puis on compare les résultats obtenus.
(2,58 + 19,1) – 6,23 = 21,68 – 6,23 = 15,45
donc : 2,58 + (19,1 – 6,23) = (2,58 + 19,1) – 6,23
c) 7,1 + (9,18 – 5,9) = (7,1 + 9,18) – 5,9 (Rappel : Le premier membre d’une égalité est l’expression qui
Justification : est avant le signe « égal »).
7,1 + (9,18 – 5,9) = 7,1 + 3,28 = 10,38
(7,1 + 9,18) – 5,9 = 16,28 – 5,9 = 10,38
donc : 7,1 + (9,18 – 5,9) = (7,1 + 9,18) – 5,9
c c
Exercice 6
A = 1,67 + (8,33 – 2,88) = (1,67 + 8,33) – 2,88 = 10 – 2,88 = 7,12
B = (2,89 + 9,41) – 8,41 = 2,89 + (9,41 – 8,41) = 2,89 + 1 = 3,89
Exercice 7
Gautier a tort. En effet, pour a = 38, b = 26
et c = 4, les expressions a – (b – c) et (a – b) – c
ne sont pas égales.
Pour prouver que Gautier a tort, il suffit de montrer que pour
une valeur de a, b et c, les deux expressions
Justification : a – (b – c) et (a – b) – c ne sont pas égales.
pour a = 38, b = 26 et c = 4,
a – (b – c) = 38 – (26 – 4) = 38 – 22 = 16
(a – b) – c = (38 – 26) – 4 = 12 – 4 = 8
donc : a – (b – c) ≠ (a – b) – c
Cet exercice montre qu’il faut être très prudent avant d’affirmer
une propriété en mathématiques.
Compte tenu du dernier « Je retiens », on aurait pu croire que
les deux expressions proposées étaient égales : ceci est faux.
a) 5 + 4 = 9
Séance 2
Les commentaires du professeur
Z¨ÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚÚ\gff]ÚÚ]klÚdYÚ\a^^#j]f[]Ú\]ÚÚ
b) 57 + 35 = 92 ]lÚ\]ÚÚkgalÚÚ¥ÚÚ[¾]kl££\aj]Ú
[¨ÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚÚ\gff]ÚÚ]klÚdYÚ\a^^#j]f[]Ú\]Ú
c) 539 + 167 = 706 Ú]lÚ\]ÚÚkgalÚÚ¥ÚÚ[¾]kl££\aj]Ú~
d) 7 + (5 – 7) = 5 d) A priori, on ne voit pas de nombre qui réponde à l’énoncé.
:]h]f\YflÚ\]Úe%e]Úim]ÚÚ¥ÚÚ]klÚd]ÚfgeZj]ÚeYfimYflÚ
dans l’égalité
ÚµÚÚ¹Ú
gfÚh]mlÚ%lj]ÚYe]f#ÚÚk]Ú\]eYf\]jÚkaÚd]ÚfgeZj]ÚÚ¥ÚÚf]Ú
répondrait pas à la question posée.
FfÚ[Yd[md]Ú\gf[ÚÚµÚ§Ú¥Ú¨
D’après l’égalité : a + (b – c) = (a +b) – c
gfÚYÚÚÚµÚ§Ú¥Ú¨Ú¹Ú§ÚµÚ¨Ú¥Ú
\¾g3ÚÚµÚ§Ú¥Ú¨Ú¹Ú~Ú¥Ú
kgalÚÚµÚ§Ú¥Ú¨Ú¹Ú
Ú¥ÚÚ]klÚ\gf[Úmf]Új#hgfk]ÚÚdYÚim]klagfÚhgk#]
Ce qui est délicat, c’est que l’on ne sait pas calculer 5 – 7,
vu que 7 > 5.
Exercice 9 FfÚkYalÚim]ÚÚ¥ÚÚ]klÚmf]Új#hgfk]ÚYmÚhjgZd$e]Úhgk#
FfÚh]mlÚk]Ú\aj]ÚÚYbgml]jÚÚhmakÚj]ljYf[`]jÚÚj]na]flÚÚYbgml]jÚ
mfÚh]mÚegafkÚim]ÚÚhmakÚj]ljYf[`]jÚmfÚh]mÚegafkÚim]Ú
(le « un peu moins étant le même !).
ÁÚGgmjÚd]Úbmkla^a]jÚadÚkm^^alÚ\]Úhjgmn]jÚim]ÚÚÚÚÚµÚ§Ú¥Ú¨Ú¹Ú
c
ÜÚÚÚ¥ÚÚ¹Ú§Ú¥Ú¨Ú¥Ú§Ú¥Ú¨Ú¹ÚÚ¥Ú
FfÚYÚhjgmn#Úim]ÚÚ¥ÚÚÚÚ¥ÚÚÚÚ¥ÚÚÚÚ¥ÚÚÚ~Ú¥ÚÚ#lYa]flÚ
ÜÚÚÚ¥ÚÚ¹Ú§Ú¥Ú¨Ú¥Ú§Ú¥Ú¨Ú¹ÚÚ¥Ú
égales à 0 – 2
ÜÚÚÚ¥ÚÚ¹Ú§Ú¥Ú¨Ú¥Ú§Ú¥Ú¨Ú¹ÚÚ¥Ú
Tu devais faire un raisonnement comparable avec les nombres
ÜÚÚÚ¥ÚÚ¹Ú§Ú¥Ú¨Ú¥Ú§Ú¥Ú¨Ú¹ÚÚ¥Ú
que tu avais trouvés dans l’exercice précédent.
ÜÚÚ~Ú¥ÚÚ¹Ú§~Ú¥Ú~¨Ú¥Ú§Ú¥Ú~¨Ú¹ÚÚ¥Ú
Exercice 11 moins 7
moins 6
moins 5
moins 4
moins 3
moins 2
0 1 2 3 4 5
On remarque que lgml]kÚd]kÚ^d$[`]kÚhgafl]flÚn]jkÚdYÚe%e]Ú_jY\mYlagf : celle qui se trouve
« deux graduations à gauche de 0 ».
Exercice 12 Y¨Ú¥ÚÚ¹ÚÚ¥ÚÚ¹Ú¥ÚÚ¹Ú¥Ú
a) – 3 = 0 – 3 = 7 – 10 = 2 – 5
µÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚµ
b) – 6 = 1 – 7 = 7 – 13 = 0 – 6 Z¨Ú¥ÚÚ¹ÚÚ¥ÚÚ¹ÚÚ¥Ú~Ú¹ÚÚ¥Ú
+6 +6 +6
Exercice 13 ÜÚÚ¥ÚÚ¹ÚÚ¥Ú~ÚÚÚ
\gf[ÚÚ¥ÚÚÚ]klÚd]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚ~Ú\gff]ÚÚ
ÜÚ~ÚµÚÚ¹Ú On déduit que – 5 est une solution de l’égalité à trous
~ÚµÚÚ¹Ú
ÜÚÚ¥ÚÚ¹ÚÚ¥ÚÚÚ
ÜÚÚµÚÚ¹Ú donc – 5 est le nombre qui ajouté à 34 donne 29.
On déduit que – 5 est donc une solution de l’égalité à trous
34 + ....... = 29.
ÜÚ
ÚµÚÚ¹Ú ÜÚÚ¥ÚÚ¹ÚÚ¥Ú
ÚÚÚ
\gf[ÚÚ¥ÚÚ]klÚd]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚ
Ú\gff]ÚÚ
On déduit que – 5 est une solution de l’égalité à trous
ÚµÚÚ¹Ú
ÜÚÚµÚÚ¹Ú~ ÜÚÚ¥ÚÚ¹Ú~Ú¥ÚÚÚÚ
donc – 5 est le nombre qui ajouté à 46 donne 41.
On déduit que – 5 est une solution de l’égalité à trous
46 + ....... = 41.
Exercice 14
moins 3
moins 2
moins 1
-3 -2 -1 0 1 2 3 4 5
Les commentaires du professeur :
Finalement, pour placer par exemple – 3 sur une droite graduée, il suffit de compter 3 carreaux vers la gauche en partant de 0.
Pour placer – 9, on ferait de même : on compterait 9 carreaux vers la gauche en partant de 0.
On a donc trouvé un moyen simple de se représenter tous les nombres qui s’écrivent sous la forme « moins quelque chose ».
Ces nombres sont appelés les nombres négatifs.
Exercice 15
a) 45 – 18 = 27 ÁÚ:gee]ÚÚÞÚ~
ÚgfÚ]klÚ\YfkÚmfÚ[YkÚ\]ÚkgmkljY[lagfÚim¾gfÚ
savait traiter auparavant.
b) 33 – 51 = (33 – 33) – (51 – 33) = 0 – 18 = – 18 Á On ne modifie pas une différence en soustrayant un même
nombre à chacun de ses termes.
c) 48 – 57 = (48 – 48) – (57 – 48) = 0 – 9 = – 9
La question b) devient :
Il faisait 33° et la température a chuté de 51°.
Hm]dd]Úl]eh#jYlmj]Ú^Yal£adÚYmbgmj\¾`maÚ
Le résultat est le même que celui d’une température de 0°
qui chute de 51° – 33°.
Ceci peut s’écrire de la façon suivante :
´Ú¥Ú~´Ú¹Ú§´Ú¥Ú´¨Ú¥Ú§~´Ú¥Ú´¨Ú¹Ú´Ú¥Ú~
´Ú¹Ú¥Ú~
´
a) 58 + 7 = 65
Séquence 8
Y¨ÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚ
Ú\gff]ÚÚ]klÚÚÚÚÚ¥Ú
Ú¹Úc
Z¨ÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚ~Ú\gff]Ú~~Ú]klÚÚÚÚ~~Ú¥Ú~Ú¹Ú¥Ú
Pour calculer 11 – 19 on dispose de plusieurs méthodes :
c
ÜÚgfÚh]mlÚhjg[#\]jÚ[gee]Ú\YfkÚd]ÚZ¨Ú\]Úd¾]p]j[a[]Úhj#[#\]flÚ]lÚ
b) 19 + (– 8) = 11 écrire :
~~Ú¥Ú~Ú¹Ú§~~Ú¥Ú~~¨Ú¥Ú§~Ú¥Ú~~¨Ú¹ÚÚ¥Ú
Ú¹Ú¥Ú
ÜÚgfÚh]mlÚhjg[#\]jÚ_jYh`aim]e]flÚ
-8 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
moins 8 moins 11
moins 19
8ll]flagfÚÚ;YfkÚd¾#[jalmj]Ú~ÚµÚ§¥Ú
¨Úd]kÚhYj]fl`$k]kÚYmlgmjÚ
\]Ú¥Ú
ÚkgflÚaf\akh]fkYZd]kÚEn mathématiques, on n’écrit
jamais deux signes l’un à la suite de l’autre.
c) (– 5) + 23 = 18 [¨ÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚÚ\gff]Ú~
Ú]klÚÚÚÚ~
Ú¥ÚÚ¹Ú¥Ú
Remarque importante :
(– 5) + 23 peut s’écrire plus simplement – 5 + 23.
e) – 9 + 22 = 13
e) Le nombre qui ajouté à 22 donne 13 est : 13 – 22 = – 9
Là aussi, on peut éviter de mettre une parenthèse autour de – 9
pour désigner la somme de – 9 et 22.
f) (– 6) + 6 = 0
f) Le nombre qui ajouté à 6 donne 0 est : 0 – 6 = – 6
(– 6) + 6 peut s’écrire plus simplement – 6 + 6.
Exercice 17
-6 0 1 6
Les points d’abscisses – 6 et 6 sont symétriques par rapport au point O.
1ère étape :
ÚÚÚÜÚgfÚmladak]ÚdYÚ\#^afalagfÚ\]Ú¥ÚÚÚ[¾]klÚd]Új#kmdlYlÚ\]ÚÚ¥ÚÚ
ÚÚÚÜÚgfÚmladak]ÚdYÚj]dYlagfÚÚYÚµÚ§ZÚ¥Ú[¨Ú¹Ú§YÚµÚZ¨Ú¥Ú[
On trouve alors : 6 + (– 9) = 6 – 9
2ème étape :
FfÚkYalÚ[Yd[md]jÚÚ¥ÚÚ\]hmakÚdYÚk#Yf[]ÚÚÚÚÚÚÚ¥ÚÚ¹ÚÚ¥Ú
Ú¹ÚÚ¥ÚÚ¹ÚÚ¥ÚÚ¹ÚÚ¥ÚÚ¹Ú~Ú¥ÚÚ¹ÚÚ¥ÚÚ¹Ú¥ÚÚ
(ou bien, directement : 6 – 9 = (6 – 6) – (9 – 6) = 0 – 3 = – 3
Pour bien se représenter les choses, on peut penser à la droite graduée : pour obtenir le résultat de 6 – 9 , on « part de 6 puis on
se décale de 9 carrés vers la gauche ».
-3 0 1 6
moins 9
Exercice 19
a) 7 + (– 3) = 7 + (0 – 3) = (7 + 0) – 3 = 7 – 3 = 4
Les commentaires du professeur :
On procède comme dans l’exercice précédent : on utilise la définition de – 3 et la relation : a + (b – c) =(a + b) – c.
FfÚljgmn]ÚYdgjkÚÚÚµÚ§¥¨Ú¹ÚÚ¥ÚÚFfÚkYalÚ]fkmal]Ú[Yd[md]jÚ[]ll]Ú\a^^#j]f[]
0 1 4 7
moins 3
b) 11 + (– 15) = 11 + (0 – 15) = (11 + 0) – 15 = 11 – 15 = – 4
Les commentaires du professeur :
On procède comme dans l’exercice précédent : on utilise la définition de – 15 et la relation : a + (b – c) =(a + b) – c.
On trouve alors : 11 + (–15) = 11 – 15. On sait ensuite calculer ce type de différence depuis la séance 2.
-4 0 1 11
moins 15
c) 9 + (– 12) = 9 + (0 – 12) = (9 + 0) – 12 = 9 – 12 = – 3
Les commentaires du professeur :
On procède comme dans l’exercice précédent : on sait donc qu’à la fin de la 1ère étape, on obtient : 9 + (–12) = 9 – 12
-3 0 1 9
moins 12
On procède comme dans l’exercice précédent : on sait donc qu’à la fin de la 1ère étape, on obtient : 14 + (– 6) = 14 – 6
0 1 8 14
c c
moins 6
Commentaires généraux du professeur :
Dans cet exercice, on a vu comment ajouter un nombre négatif, mais pas dans tous les cas : seulement dans le cas où le 1er
terme est positif. Nous verrons le cas où ce terme est négatif dans l’exercice suivant.
Exercice 20
a) – 2 + 15 = – 2 + (2 + 13) = (– 2 + 2) + 13 = 13
Les commentaires du professeur :
Les choses se compliquent ! Cette fois, le 1er terme de la somme est un nombre négatif. Comment s’en sortir ?
ÜÚgfÚ]kkYa]ÚÚ\¾#daeaf]jÚÚ[]Úhj]ea]jÚl]je]Úf#_Yla^Ú]fÚdmaÚYbgmlYflÚkgfÚghhgk#Ú
En effet, on sait que : – 2 + 2 = 0. On décompose pour cela 15 de la façon suivante : 15 = 2 + 13
Ainsi : – 2 + 15 = – 2 + (2 + 13)
ÜÚgfÚYhhdaim]Ú]fkmal]ÚdYÚj]dYlagfÚYÚµÚ§ZÚ¥Ú[¨Ú¹Ú§YÚµÚZ¨Ú¥Ú[ÚÚhgmjÚj]_jgmh]jÚ¥ÚÚ]lÚÚÚÚ
– 2 + (2 + 13) = (– 2 + 2) + 13 = 0 + 13 = 13
GgmjÚk]ÚjYhh]d]jÚ\]Ú[]ll]Úe#l`g\]ÚgfÚh]fk]ÚÚdYÚ\jgal]Ú_jY\m#]Ú[a£\]kkgmkÚÚÚgfÚhYjlÚ\]Ú¥ÚÚÚgfÚdmaÚYbgml]ÚÚhmakÚ~ÚgfÚk]Ú
décale donc de 2 carreaux vers la droite, puis de 13 carreaux vers la droite ».
-2 0 1 13
plus 2 plus 13
plus 15
On voit que pour calculer – 2 + 15, il suffit « de partir de – 2 puis de compter 15 carreaux vers la droite ».
b) – 6 + 4 = – 6 + (6 – 2) = (– 6 + 6) – 2 = 0 – 2 = – 2
Les commentaires du professeur :
Essayons d’appliquer la méthode vue dans la question précédente :
ÜÚgfÚ]kkYa]ÚÚ\¾#daeaf]jÚÚÚ¥ÚÚÚ]fÚdmaÚYbgmlYflÚÚGgmjÚ[]dYÚgfÚ\#[gehgk]ÚÚ\]ÚdYÚ^YzgfÚkmanYfl]ÚÚÚÚÚ¹ÚÚ¥ÚÚ
Ainsi : – 6 + 4 = – 6 + (6 – 2). On applique la relation a + (b – c) = (a + b) – c . On obtient :
– 6 + (6 – 2) = (– 6 + 6) – 2 = 0 – 2 = – 2
– 6 + 4 = (– 6 + 6) – 2 = 0 – 2 se traduit de la façon suivante à l’aide d’une droite graduée :
-6 -2 0 1 13
plus 6
moins 2
Remarque : on voit que pour calculer – 6 + 4 , il suffisait de « partir de – 6 , puis de compter 4 carreaux vers la droite ».
c) – 4 + (– 7) = – 4 + (4 – 11) = (– 4 + 4) – 11 = 0 – 11 = – 11
Les commentaires du professeur :
FfÚYhhdaim]ÚdYÚe#l`g\]Únm]Ú\YfkÚdYÚim]klagfÚhj#[#\]fl]Ú:]ÚimaÚ]klÚ\a^^a[ad]Ú\YfkÚ[]Ú[YkÚ[¾]klÚ\¾#[jaj]Ú¥ÚÚkgmkÚdYÚ^gje]Ú
ÚÚegafkÚim]dim]Ú[`gk]ÚÚ@dÚ^YmlÚYdgjkÚh]fk]jÚYmpÚfgeZj]Úf#_Yla^kÚÚ¥ÚÚ¹ÚÚ¥ÚÚÚÚFjÚÚÚÚÚ¥ÚÚ¹Ú§ÚµÚ¨Ú¥Ú§ÚµÚ¨Ú
\¾g3ÚÚÚÚÚ¥ÚÚ¹ÚÚ¥Ú~~
-11 -4 0 1
plus 4
moins 11
I]eYjim]ÚÚgfÚngalÚim]ÚhgmjÚ[Yd[md]jÚ¥ÚÚµÚ§¥Ú¨ÚÚÚÚadÚkm^^akYalÚ\]ÚÚhYjlajÚ\]Ú¥ÚÚhmakÚ\]Ú[gehl]jÚÚ[Yjj]YmpÚn]jkÚdYÚ_Ym[`]ÚÚ
Conclusion : on admettra qu’on peut trouver graphiquement à l’aide d’une flèche le résultat d’une somme.
Exercice 21
a) – 2 + (– 7) = – 2 + (2 – 9) = (– 2 + 2) – 9 = 0 – 9 = – 9
b) – 5 + 19 = – 5 + (5 + 14) = (– 5 + 5) + 14 = 0 + 14 = 14
e) – 27,8 + 7,9 = – 27,8 + (27,8 – 19,9) = (– 27,8 + 27,8) – 19,9 = 0 – 19,9 = – 19,9
g) – 4,51 + (– 3,6) = – 4,51 + (4,51 – 8,11) = (– 4,51 + 4,51) – 8,11 = 0 – 8,11 = – 8,11
ÜÚGgmjÚd]Ú]¨ÚgfÚ[`]j[`]Úd]ÚfgeZj]ÚÚÚÚl]dÚim]ÚÚÚÚÚÚÚ
ÚÚÚÚ¥ÚÚÚÚÚÚÚÚ¹ÚÚÚÚ
;¾Yhj$kÚd]Ú[gmjkÚ\]Ú]Úd]ÚfgeZj]ÚÚÚ]klÚÚÚ
ÚÚÚÚ¥ÚÚÚÚÚÚÚ¹ÚÚÚÚ~ÚÚC]ÚfgeZj]ÚÚ]klÚ\gf[Ú~Ú
On remarque qu’il existe une autre règle permettant de déterminer la somme de deux nombres relatifs :
D’après ce qui précède :
Règle (admise)
Lorsqu’on ajoute deux nombres négatifs de même signe :
ÜÚgfÚ[gee]f[]ÚhYjÚ#[jaj]ÚmfÚka_f]Ú¥Ú§[YjÚgfÚkYalÚim]Úd]Új#kmdlYlÚnYÚ%lj]Úf#_Yla^¨
ÜÚgfÚ#[jalÚ]fkmal]ÚdYÚkgee]Ú\]kÚ\]mpÚ\aklYf[]kÚÚ
14
19 – 5
signe de – 24
c) 15 + (–24) = – 9
car 24 >15
24 – 15
c
Séquence 8 c
-5 0 14 -9 0 2 15
plus 19 moins 24
Règle (admise)
Lorsqu’on ajoute deux nombres de signes différents :
ÜÚgfÚ#[jalÚd]Úka_f]Ú\mÚj#kmdlYlÚÚ[¾]klÚÚ[]dmaÚ\mÚfgeZj]ÚimaÚYÚdYÚhdmkÚ_jYf\]Ú\aklYf[]ÚÚ
ÜÚgfÚ#[jalÚ]fkmal]Úd]ÚfgeZj]ÚgZl]fmÚ]fÚ[Yd[mdYflÚdYÚ\a^^#j]f[]Ú\]kÚ\]mpÚ\aklYf[]kÚÚ
Exercice 22
a) 3,1 + (– 5) = – 1,9
Les commentaires du professeur :
Les deux termes sont 3,1 et – 5. Les deux nombres sont de signes différents.
Les distances à 0 sont 3,1 et 5. La plus grande est 5.
Le signe du résultat est donc le signe « – ». On effectue ensuite 5 – 3,1. On trouve 1,9. On a donc : 3,1 + (– 5) = – 1,9
b) – 8,1 + (– 1,9) = – 10
Les commentaires du professeur :
C]kÚ\]mpÚl]je]kÚkgflÚÚ¥Ú
~Ú]lÚÚ¥Ú~ÚC]kÚ\]mpÚfgeZj]kÚkgflÚf#_Yla^kÚ
Le signe du résultat est donc le signe « – ».
FfÚ]^^][lm]Ú]fkmal]Ú
~ÚµÚ~ÚFfÚljgmn]Ú~ÚÚÚÚFfÚYÚ\gf[ÚÚÚÚ¥Ú
~ÚµÚÚ§¥Ú~¨Ú¹Ú– 10
c) – 1,1 + 4,37 = 3,27
Les commentaires du professeur :
C]kÚ\]mpÚl]je]kÚkgflÚ¥Ú~~Ú]lÚÚC]kÚ\]mpÚfgeZj]kÚkgflÚ\]Úka_f]kÚ\a^^#j]flkÚ
C]kÚ\aklYf[]kÚÚÚkgflÚ~~ÚÚ]lÚÚCYÚhdmkÚ_jYf\]Ú]klÚÚ
C]Új#kmdlYlÚ]klÚ\gf[Úhgkala^ÚFfÚ]^^][lm]Ú]fkmal]ÚÚ¥Ú~~ÚFfÚljgmn]ÚÚÚÚÚFfÚYÚ\gf[ÚÚÚÚ¥Ú~~ÚµÚÚ¹ÚÚÚÚ
d) – 7,7 + (– 2,3) = – 10
Les commentaires du professeur :
C]kÚ\]mpÚl]je]kÚkgflÚÚ¥ÚÚÚ]lÚÚ¥ÚÚC]kÚ\]mpÚfgeZj]kÚkgflÚf#_Yla^kÚ
Le signe du résultat est donc le signe « – ».
FfÚ]^^][lm]Ú]fkmal]ÚÚµÚÚFfÚljgmn]Ú~ÚÚÚÚFfÚYÚ\gf[ÚÚÚÚ¥ÚÚµÚ§¥Ú¨Ú¹Ú¥Ú~
e) 13,4 + 7,8 = 21,2
f) 0,01 + (– 0,1) = – 0,09
Les commentaires du professeur :
Les deux termes sont 0,01 et – 0,1. Les deux nombres sont de signes différents.
Les distances à 0 sont 0,01 et 0,1. La plus grande est 0,1.
Le résultat est donc négatif. On effectue ensuite 0,1 – 0,01. On trouve 0,09. On a donc : –0,01 + (– 0,1) = – 0,09
b) – 10 ; – 15 ; – 9 ; – 7
2)
a) – 15 < 1
b) – 9 < – 7
c) – 10 < 6
4)
ÜÚLf]Úl]eh#jYlmj]Úf#_Ylan]Ú]klÚinférieure à une température positive.
ÜÚ;]Ú\]mpÚl]eh#jYlmj]kÚf#_Ylan]kÚdYÚhdmkÚZYkk]Ú]klÚ[]dd]Ú\gflÚdYÚ\aklYf[]ÚÚr#jgÚ]klÚdYÚhdmkÚ_jYf\].
5)
Moscou Oslo Varsovie Dublin Paris Rome Athènes Lisbonne
- 15 - 10 - 9 -7 0 1 4 6 8 températures
en degrés
- 15 -9 -7 0 1 4 6 8
- 42 0 3
Z¨ÚÜÚÚJaÚ\]mpÚfgeZj]kÚkgflÚf#_Yla^kÚYdgjkÚd]ÚhdmkÚh]lalÚ]klÚ[]dmaÚ
b) – 56 < – 17 qui a la plus grande distance à zéro.
ÚÞÚ~Ú\gf[Ú¥ÚÚÝÚ¥ÚÚ~
- 56 - 17 0
-9 0
Séquence 8
9
c c
d)
d) – 13 < 0
- 13 0
e) Un nombre négatif est toujours plus petit qu’un nombre
e) – 9 102 < 0,7 positif.
- 9 102 0 0,7
^¨ÚJaÚ\]mpÚfgeZj]kÚkgflÚf#_Yla^kÚYdgjkÚd]ÚhdmkÚh]lalÚ]klÚ[]dmaÚimaÚ
f) – 29,3 > – 29,4 a la plus grande distance à zéro.
29,4 > 29,3 donc – 29,4 < – 29,3
- 30 - 29 0
- 29,4 - 29,3
-7 -6 0
- 6,2 - 6,17
h) Un nombre négatif est toujours plus petit qu’un nombre
h) 4,6 > – 21,85 positif.
- 21,85 0 4,6
Exercice 25
a) Il y a une infinité de solutions.
Les nombres décimaux qui conviennent sont tous ceux dont
a) 2,67 < 2, 673 < 2,68 d¾#[jalmj]Ú[gee]f[]ÚhYjÚ
c)
c) – 11 < – 10,3 < – 10
- 11 - 10,5 - 10
Il y a une infinité de solutions.
Les nombres qui conviennent sont tous ceux dont l’écriture
commence par « – 10,».
d)
d) – 5,9 < – 5,83 < – 5,8
- 5,9 - 5,85 - 5,8
Il y a une infinité de solutions.
Les nombres qui conviennent sont tous ceux dont l’écriture
commence par « – 5,8».
- 9,110 - 9,105
Il y a une infinité de solutions.
– 9,11 = – 9,110
- 9,100
Exercice 26
f) – ,995 < 5, 4 f) Un nombre négatif est plus petit qu’un nombre positif.
C]kÚfgeZj]kÚf#_Yla^kÚkgflÚÚÚÚ¥ÚÚÚ¥Ú~
ÚÚ¥Ú~
c
Lorsqu’on classe les nombres positifs dans l’ordre croissant, on
gZla]flÚÚÚÚÚÝÚÚÝÚ~
c
ÚÞÚ~ÚÞÚ~
donc lorsqu’on classe les nombres négatifs dans l’ordre croissant,
gfÚgZla]flÚÚÚÚ¥ÚÚÚÝÚ¥Ú~ÚÝÚ¥Ú~
b) – 3,41 < – 3,4 < – 0,783 < – 0,78 < 4,71 < 4,72 < 9 Z¨ÚC]kÚfgeZj]kÚhgkala^kÚkgflÚÚÚÚ~ÚÚÚÚÚ
C]kÚfgeZj]kÚf#_Yla^kÚkgflÚÚÚ¥ÚÚÚ¥Ú
ÚÚ¥Ú~ÚÚ¥Ú
~ÚÞÚÚÚÞÚÚ
ÚÞÚÚ
donc lorsqu’on classe les nombres négatifs dans l’ordre croissant,
gfÚgZla]flÚÚÚÚ¥Ú~ÚÝÚ¥ÚÚÝÚ¥Ú
ÚÝÚ¥Ú
Exercice 30
2,5
On peut trouver la réponse en tâtonnant, mais le mieux, bien
sûr, est de l’obtenir avec méthode.
-4
- 4,1
- 4,1
2,4
2,29
- 4,1
Exercice 31
ÜÚCYÚj#hgfk]Úk]jYalÚÚÚnjYaÚÚkaÚchaque somme de deux nombres
C’est faux. était supérieure à chacun de ses termes, ce qui n’est pas le cas.
Justification :
On a : – 4 + (– 7) = – 11. ÜÚ@dÚf]Ú^YddYalÚhYkÚgmZda]jÚ\] justifier la réponse.
Par ailleurs, on a :
ÜÚÚÚÚ¥Ú~~ÚÝÚ¥Ú
ÜÚÚÚÚ¥Ú~~ÚÝÚ¥Ú
Au total, il existe donc 6 chemins. Voici le détail des calculs pour chacun :
Exercice 34
1)
a)
A = 5 + (– 16) + 29 + (- 17) + 70
Pour le moment, on ne connaît aucune propriété de l’addition
des nombres relatifs. Aussi, pour calculer les sommes de cet
exercice, on ne dispose que d’une seule méthode : les effectuer
de gauche à droite.
A= – 11 + 29 + (– 17) + 70
A= 18 + (– 17) + 70
A= 1 + 70
A= 71
b)
Á On commence par effectuer le calcul entre parenthèses.
B = – 17 + (29 + 70) + (– 16) + 5
B = – 17 + 99 + (–16) + 5
B= 82 + (–16) + 5
B= 66 +5
B= 71
£ÚÜÚ:Yd[mdÚ\]Ú8ÚÚdYÚ[Yd[mdYlja[]
Je tape :
2) La calculatrice affiche les résultats que j’avais 5 + (-) 16 + 29 + (-) ~ÚÚ + ÚÚ EXE
trouvés.
@dÚk¾Y^^a[`]Ú~
ÜÚ:Yd[mdÚ\]Ú9ÚÚdYÚ[Yd[mdYlja[]
Je tape :
(-) Ú~Ú + ( 29 + ÚÚ ) + (-) 16 + 5 EXE
@dÚk¾Y^^a[`]Ú~
2)
c
Séquence 8 c
Exercice 36 JaÚd¾gfÚ]^^][lm]Úd]Ú[Yd[mdÚ\]Ú_Ym[`]ÚÚ\jgal]Ú[¾]klÚ^Ykla\a]mp
FfÚj]eYjim]Úim]Ú\]mpÚl]je]kÚ\]ÚdYÚkgee]Ú§¥ÚÚ]lÚ¨Ú
– 76,4 + (– 49,1) + 76,4 + (– 7,3) = – 76,4 + 76,4 + (– 49,1) + (– 7,3) sont opposés.
8^afÚ\¾mladak]jÚd¾#_Ydal#ÚÚÚÚ¥ÚÚµÚÚ¹ÚÚgfÚj]_jgmh]Ú[]kÚ
deux termes.
– 76,4 + (– 49,1) + 76,4 + (– 7,3) = 0 + (– 49,1) + (– 7,3)
ÁÚCgjkim¾gfÚYbgml]Ú¥Ú~ÚµÚ§¥Ú¨ÚÚÚgfÚgZla]flÚ\gf[Ú
Quel que soit le nombre relatif a, on a : 0 + a = a.
¥Ú~ÚµÚ§¥Ú¨Ú
On a donc :
– 76,4 + (– 49,1) + 76,4 + (– 7,3) = – 49,1 + (– 7,3)
– 76,4 + (– 49,1) + 76,4 + (– 7,3) = – 56,4
Exercice 37
A = 1 833 + (– 976) + 3 976 + (– 2 833)
A = 3 976 + (– 976) + 1 833 + (– 2 833)
Chaque fois qu’on doit additionner des nombres relatifs, il faut
penser à regarder s’il y a des termes dont la somme est facile à
A= 3 000 + (– 1 000) calculer.
A= 2 000
Exercice 38
ÜÚ:Yd[mdÚ\]Ú8
A = 20,4 + (–12,1) + 7,6 + 3, 5 + (– 6,9) + ( − 3, 5)
A = 20,4 + 7,6 + (–12,1) + (– 6,9)
On applique le précédent « Je comprends la méthode ».
C = 47 + (– 61,2)
C = – 14,2
Exercice 39
-7 3 4 -10
Les commentaires du professeur :
ÜÚGgmj commencer, on essaie de trouver à quoi est égale la somme des nombres -2 -4 -5 1
de chaque ligne, de chaque colonne, et de chaque diagonale.
On remarque qu’on connaît tous les nombres d’une diagonale : -6 0 -1 -3
¥ÚÚµÚ§¥Ú¨ÚµÚ§¥~¨ÚµÚÚ¹Ú¥Ú~ÚµÚÚ¹Ú¥Ú~
JmjÚ[`Yim]Úda_f]Ú[`Yim]Ú\aY_gfYd]Ú]lÚ\YfkÚ[`Yim]Ú[gdgff] 5 -9 -8 2
la somme des nombres est donc égale à – 10.
ÜÚ;$kÚim]ÚkmjÚmf]Úda_f]Úmf]Ú\aY_gfYd]ÚgmÚ\YfkÚmf]Ú[gdgff]ÚgfÚ[gffY)lÚljgakÚ\]kÚimYlj]ÚfgeZj]kÚ
on peut trouver le nombre manquant. On peut donc trouver les nombres figurant dans les trois
cases mak]kÚ]fÚ#na\]f[]Ú[a£[gflj] -7 3 -10
¥ÚÚÚµÚÚµÚ + (– 10) = – 10ÚÚ \gf[ÚÚÚÚ¥ÚÚÚµÚÚµÚ = 0 (en ajoutant 10 aux deux membres) -4
soit – 4 + = 0 d’où : =4
-6 -1
Ú¥ÚÚÚµÚÚ ÚµÚ§¥Ú¨ÚµÚÚÚ¹Ú¥Ú~Ú \gf[ÚÚÚÚ¥Ú
ÚµÚ = – 10 d’où : =–2
5 + ÚµÚ§¥Ú
¨ÚµÚÚÚ¹Ú¥Ú~Ú \gf[ÚÚÚÚ¥Ú~ÚµÚ = – 10 d’où : =–9
5 -8 2
Exercice 40
a) (+ 2) + (+ 3) + (– 4) + (+ 5) = 6 On peut commencer à chercher la réponse par tâtonnement.
b) (– 2) + (– 3) + (+ 4) + (– 5) = – 6
8 + (− 5) = 3
Les commentaires du professeur
−2 + 9 = 7
Séquence 8
c c
9 − 4 3 − 8 7 − (−2)
2)
a) – 2 – (– 5) est le nombre ? tel que : – 5 + ? = – 2
On sait que – 5 + 3 = – 2 donc : ? = 3 d’où : – 2 – (– 5) = – 3
b) – 10 – (– 3) est le nombre ? tel que : – 3 + ? = – 10
On sait que – 3 + ( – 7) = – 10 donc : ? = – 7 d’où : – 10 – (– 3) = – 7
3) – 2 – (– 5) ÜÚ Ú Ú Ü – 10 + 3
– 10 – (– 3) ÜÚ Ú Ú Ü 7+2
7 – (– 2) ÜÚ Ú Ú ÜÚÚ – 2 + 5
Maxime, après avoir pris beaucoup d’exemples, a Non, car on n’a pas comparé les différences a – b et b – a pour
certainement remarqué que les nombres relatifs tous les nombres relatifs a et de b.
a – b et b – a semblaient toujours opposés. Il ne
h]mlÚ[]h]f\YflÚd¾Y^^aje]jÚlYflÚim¾adÚf]Úd¾YÚhYkÚ On admettra cependant, que les nombres a – b et b – a sont
démontré toujours opposés. Il est bon de connaître ce résultat.
Exercice 44
Exercice 45
Exercice 46
1) ;¾Yhj$kÚd¾#fgf[#ÚgfÚYÚ
– 15,9 = – 56,6 Á –56,6 est la différence de et de 15,9 donc – 56,6 est le
d’où : = – 56,6 + 15,9 nombre qu’il faut ajouter à 15,9 pour obtenir .
soit : = – 40,7
2) ;¾Yhj$kÚd¾#fgf[#ÚgfÚYÚ
22,41 – = – 38,9 ÁÚ¥
Ú]klÚdYÚ\a^^#j]f[]Ú\]ÚÚ~Ú]lÚ\]Ú Ú\gf[Ú¥Ú
Ú]klÚ
d’où : – 38,9 + = 22,41 le nombre qu’il faut ajouter à pour obtenir 22,41.
ÁÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚÚ¥Ú
Ú\gff]Ú~Ú]klÚdYÚ
Par conséquent : = 22,41 – (– 38,9)
\a^^#j]f[]Ú\]Ú~Ú]lÚ\]Ú¥Ú
ÚkgalÚÚÚÚ~Ú¥Ú§¥Ú
¨
soit : = 22,41 + 38,9
c’est-à-dire = 61,31
46,49
c
Séquence 8 c
17,99 - 28,5
Exercice 49
~¨ÚÚ8 est la différence de – 2,1 et de la somme de – 13 et de 5,85.
A
Les commentaires du professeur
B
-5 -2 0 1 3 8
Points A B C ;
Abscisses 3 8 –2 –5
2)
abscisse abscisse
comparaison des abscisse la plus grande – abscisse la plus petite
longueur de la 1ère de la 2ème
deux abscisses
extrémité extrémité
[AB] 5 3 8 3<8 8–3=5
©:;ª 3 –2 –5 –2>–5 – 2 – (– 5) = – 2 + 5 = 3
[AC] 5 3 –2 3>–2 3 – (– 2) = 3 + 2 = 5
©;9ª 13 –5 8 –5<8 8 – (– 5) = 8 + 5 = 13
2) Comme 4,2 > –1,8 on a : AB = 4,2 – (– 1,8) soit AB = 4,2 + 1,8 c’est-à-dire 89Ú¹Ú
4)Ú:gee]Ú~ ÚÞÚ¥ÚÚgfÚYÚÚÚÚ:;Ú¹Ú~ Ú¥Ú§¥Ú¨ÚÚÚkgalÚÚÚ:;Ú¹Ú~ ÚµÚÚÚÚÚ[¾]kl££\aj]ÚÚÚCD = 6.
5) a)Ú;¾Yhj$kÚd]Ú¨ÚgfÚYÚÚÚÚ89Ú¹ÚÚ;¾Yhj$kÚd]Ú¨ÚgfÚYÚÚÚÚ:;Ú¹ÚÚÚÚFfÚYÚ\gf[ÚÚÚÚ89Ú¹Ú:;
b) On pouvait prévoir le résultat.
Justification :ÚÚ;¾Yhj$kÚd¾#fgf[#Ú
ÜÚ:Ú]klÚd]Úkqe#ljaim]Ú\]Ú8ÚhYjÚjYhhgjlÚÚF
ÜÚ;Ú]klÚd]Úkqe#ljaim]Ú\]Ú9ÚhYjÚjYhhgjlÚÚF
;¾Yhj$kÚd]Ú[gmjkÚmf]Úsymétrie centrale conserve les distancesÚ\gf[ÚÚÚÚ89Ú¹Ú:;
A C B
Séquence 8
2)ÚÜÚ:Yd[mdgfkÚ:8
Comme – 1,2 > – 4,1 on a : Á On applique le dernier « Je retiens ».
CA = – 1,2 – (– 4,1) soit CA = – 1,2 + 4,1
c’est-à-dire :8Ú¹ÚÚ Á Une distance est un nombre positif. On vérifie donc qu’on
ÜÚ:Yd[mdgfkÚ:9 obtient bien un résultat positif.
Comme 1,7 > – 1,2 on a : On vérifie également sur la droite graduée que le résultat
CB = 1,7 – (–1,2) soit CB = 1,7 + 1,2 obtenu a des chances d’être correct.
c’est-à-dire :9Ú¹Ú
Á même commentaire que précédemment
3) Conclusion :
On a :
ÜÚ:Ú∈ [AB]
ÜÚ:8Ú¹Ú:9 Attention, comme cela a été vu en sixième, pour démontrer que
C est le milieu de [AB], il ne suffit pas de prouver que
On peut donc conclure que C est le milieu de CA = CB.
[AB].
Exercice 53
1) moins 4,3 plus 4,3
A1 A A2
- 2,7 0
Il y a deux points répondant à l’énoncé : A1 et A2.
3)
A1 A A2
-7 - 2,7 0 1,6
Exercice 54
1) a) b) et 3) a)
M K N
- 5,7 - 1,7 0 2,3
3) b) On connaît l’abscisse de M.
MN FfÚh]mlÚljgmn]jÚ^Y[ad]e]flÚdYÚ\aklYf[]ÚDBÚ
3) b) K est le milieu de [MN] donc MK =
2 §ngajÚ[a£bgaflÚDBÚ¹Ú¨
:gee]ÚBÚÚ]klÚÚ\jgal]Ú\]ÚDÚkmjÚdYÚ\jgal]Ú_jY\m#]ÚÚÚmfal#k
Comme MN = 8 unités on a : MK = 4 unités \]ÚDÚgfÚgZla]flÚd¾YZk[akk]Ú\]ÚBÚ]fÚYbgmlYflÚÚÚd¾YZk[akk]Ú\]ÚD
C¾YZk[akk]Ú\]ÚB est – 5,7 + 4 soit – 1,7. Lf]Ú^gakÚd]Új#kmdlYlÚn#ja^a#ÚkmjÚdYÚ^a_mj]ÚgfÚ#[jalÚkgmkÚB
son abscisse.
Remarque :ÚFfÚhgmnYalÚgZl]fajÚd¾YZk[akk]Ú\]ÚBÚÚhYjlajÚ\]Ú[]dd]Ú
de N en écrivant :
MN
BÚ]klÚd]Úeada]mÚ\]Ú©DEªÚ\gf[ÚBEÚ¹
2
:gee]ÚDEÚ¹Ú
Úmfal#kÚgfÚYÚÚÚÚKN = 4 unités
L’abscisse de K est donc : 2,3 – 4 soit – 1,7.
Exercice 55
1) 3)
G E F
- 9,8 - 6,1 - 2,4 0
2) Comme – 2,4 > – 6,1 on a : EF = – 2,4 – (– 6,1) soit EF = – 2,4 + 6,1 c’est-à-dire EF = 3,7
4) G est le symétrique de F par rapport à E donc E est le milieu de [GF]. On en déduit que : GE = EF.
L’abscisse de G est : – 6,1 – 3,7 = – 6,1 + (– 3,7) = – 9,8
¨ÚJmjÚdYÚ\jgal]Ú_jY\m#]Ú>Ú]klÚÚ_Ym[`]Ú\]Ú<ÚÚÚmfal#kÚ\]Ú<Ú\gf[Úd¾YZk[akk]Ú\]Ú>Ú]klÚ#_Yd]ÚÚ§ÚYZk[akk]Ú\]Ú<¨Ú¥Ú
c c
L M O N K
- 5,6 - 2,9 0 0,7 2,5
2) 2,5 > – 5,6 donc KL = 2,5 + (–5,6) soit KL = 2,5 + 5,6 c’est-à-dire KL = 8,1
2 2 8,1
3) a) KM = KL ; KL = 8,1 donc KM = x 8,1 = 2 x = 2 x 2,7 = 5,4
3 3 3
M est donc à gauche de K sur [KL], à 5,4 unités de K. Comme l’abscisse de K est 2,5, celle de M est :
2,5 – 5,4 = 2,5 + (–5,4) = – 2,9
2 2 5, 4
b) MN = MK ; MK = 5,4 donc MN = x 5,4 = 2 x = 2 x 1,8 = 3,6
3 3 3
N est donc à droite de M sur [MK], à 3,6 unités de M. Comme l’abscisse de M est – 2,9,
celle de N est : – 2,9 + 3,6 = 0,7
2 1 2
c) N est le point de [MK] tel que MN = MK, donc NK = MK. Or, d’après l’énoncé : MK = KL.
3 3 3
1 2 1x 2 2
On a donc : NK = x KL soit NK = KL c’est-à-dire NK = KL.
3 3 3x 3 9
c)
1 1
ÜÚÚ DBÚ¹Ú pÚDB
3 3
ÜÚÚGgmjÚemdlahda]jÚ\]mpÚ^jY[lagfkÚgfÚemdlahda]Úd]kÚfme#jYl]mjkÚ]flj]Ú]mpÚ]lÚd]kÚ\#fgeafYl]mjkÚ]flj]Ú]mp
Y¨ÚLfÚYk[]fk]mjÚ]klÚÚd¾#lY_]Ú¥ÚÚ@dÚegfl]Ú\]Ú~Ú
Les commentaires du professeur
ÜÚ@dÚqÚYÚZa]fÚk4jÚmf]Úaf^afal#Ú\]Új#hgfk]kÚhgkkaZd]k
En voici une autre :
Aujourd’hui, Cortot a fait 5 parties de billes.
étages, descend successivement de 8 étages, puis Voici le bilan de chacune de ses parties.
de 5 étages.
Enfin, il remonte de 10 étages. Où s’immobilise- Bilan
t-il ? 1ère partie £Ú
ème
2 partie + 15
b) En effectuant – 3 + 15 – 8 – 5 + 10 de la 3ème partie £Ú
gauche vers la droite, on obtient : 4 ème
partie £Ú
- 3 + 15 – 8 – 5 + 10 = 9 5 ème
partie + 10
L’ascenseur s’immobilise donc au 9èmeÚ#lY_]
Quel est le bilan total de Cortot à la fin du jeu ?
ÜÚ;#lYadÚ\mÚ[Yd[mdÚ\]Ú:ÚÚ§hgmjÚd]Úege]flÚgfÚkYalÚk]md]e]flÚ
calculer de gauche à droite ce type d’expression)
:Ú¹Ú¥ÚÚµÚ~Ú¥Ú
Ú¥ÚÚµÚ~
:Ú¹ÚÚÚÚÚ~ÚÚÚÚÚÚ¥Ú Ú¥ÚÚµÚ~
C= 4 – 5 + 10
C= –1 + 10
C= 9
ÜÚÚÚÚÚ¥ÚÚµÚ~Ú¥Ú
Ú¥ÚÚµÚ~ est un exemple de somme
algébrique. Une somme algébrique est une suite d’additions et
de soustractions.
Exercice 58
1) A = 12 – 49,1 + 6 – 53,8 + 2
A = 12 + (– 49,1) + 6 + (– 53,8) + 2 Á Cette ligne met en évidence, que l’écriture
~Ú¥Ú~ÚµÚÚ¥Ú
ÚµÚ
c
JaÚd¾gfÚ]kkYa]Ú\]Ú[Yd[md]jÚBÚ\]Ú_Ym[`]ÚÚ\jgal]Ú[¾]klÚ^Ykla\a]mp
GYjÚ[gflj]ÚgfÚh]mlÚh]fk]jÚim]ÚBÚ]klÚd¾#[jalmj]Úkaehda^a#]Ú\]ÚdYÚ
kgee]Ú¥ÚÚµÚÚµÚ
ÚµÚ§¥Ú~¨ÚµÚ~ÚµÚ§¥Ú¨ÚhmakÚngajÚk¾adÚ
y a des termes opposés.
c
8Ú¹ÚÚÚÚÚÚÚÚÚ¥Ú
B = 4 – 5,3 – 2 – 15,8
B=4 – 23,1
9Ú¹ÚÚÚÚÚÚÚ¥Ú~~Ú
C = 13,6 – 13,1
C = 0,5
Exercice 61
ÜÚ8bgml]jÚ¥ÚÚ[¾]klÚkgmkljYaj]ÚÚÚÚÚÚ
1) A = – 7,1 – 6,4 + 13 + 6,3 – 12,8 ÜÚJgmkljYaj]Ú¥Ú~Ú[¾]klÚYbgml]jÚ~ÚÚ
2)Ú;¾Yhj$kÚ[]ÚimaÚhj#[$\]ÚgfÚYÚ
d’où :
A = 19,3 – 26,3
8Ú¹Ú¥Ú
Exercice 62
E = 7 – (– 13) + 22 + (– 9) – (– 2)
E = 7 + 13 + 22 – 9 + 2
E = 42 – 9 + 2
On applique le précédent « Je retiens ».
E = 44 – 9
E = 35
F = 2,1 – 5
F = – 2,9
R= 6,7 – 15
R= – 8,3
S = – 2,8 – (5 – 9) + (3 – 17,1) + 3
S = – 2,8 – (– 4) + (– 14,1) + 3
S = – 2,8 + 4 – 14,1 + 3
S = 4 + 3 – 2,8 – 14,1
S= 7 – 16,9
S= – 9,9
Exercice 64
Pour a = – 1,7 b = – 2,3 c = – 5,4 on a :
LÚ¹ÚÚ¥Ú§¥Ú~¨ÚµÚ§¥Ú¨Ú¥Ú§¥Ú¨
LÚ¹ÚÚµÚ~Ú¥ÚÚµÚ
LÚ¹ÚÚµÚ~ÚµÚÚ¥Ú
LÚ¹ÚÚÚÚÚÚÚ~~ÚÚÚÚÚÚÚÚ¥Ú
U= 10,8
V = (5 – 7) – (3 – 5)
V = – 2 – (– 2)
Séquence 8
c
Á Mettre des parenthèses autour du premier – 2 serait inutile.
c
V=–2+2
V=0
2) Pour x = – 1
V = (– 1 – 7) – [3 – (– 1)]
Á Il n’était pas faux d’écrire :
MÚ¹Ú§¥Ú~Ú¥Ú¨Ú¥Ú§Ú¥Ú§¥Ú~¨¨
Cependant, mettre des crochets rend l’expression plus lisible.
Rappel : On remplace une parenthèse par un crochet lorsque la
parenthèse en contient déjà une autre.
Un crochet est une parenthèse particulière.
V = – 8 – (3 + 1)
V=–8–4 Á Les crochets ne sont plus utiles.
V = – 12
3) Pour x = – 7
V = (– 7 – 7) – [3 – (– 7)]
V = – 14 – (3 + 7)
V = – 14 –10
V = – 24
Exercice 66
C = 1 – 2 + 3 – 4 + 5 – 6 + 7 – 8 + ... + 999 – 1 000 Á Les pointillé indiquent qu’on continue de la même façon
im¾YmÚ\#ZmlÚ8hj$kÚ¥Ú
ÚadÚqÚYÚ\gf[ÚµÚÚ¥Ú~ÚµÚ~~Ú¥Ú~Ú
C= –1 –1 –1 –1 ......... –1 La méthode consistant à rassembler les nombres positifs (donc
les nombres négatifs) paraît peu adaptée pour faire ce calcul.
500 termes Ce serait fastidieux. On cherche donc une autre méthode.
C = – 500 On remarque alors que
ÜÚ~Ú¥ÚÚ¹Ú¥Ú~ÚÚÚÜÚÚ¥ÚÚ¹Ú¥Ú~ÚÚÚÜÚÚ¥ÚÚ¹Ú¥Ú~Ú
Il y a 1 000 : 2 petits « paquets » puisque C est une somme
algébrique de 1 000 termes.
ÜÚ¥Ú~Ú¥Ú~Ú¹Ú¥ÚÚÚÚÜÚ¥Ú~Ú¥Ú~Ú¥Ú~Ú¹Ú¥ÚÚÚÚÜÚ¥Ú~Ú¥Ú~Ú¥Ú~Ú¥Ú~Ú¹Ú¥ÚÚ
y'
Séance 9
Les commentaires du professeur
M. VIEL 9 S
A R
6
V
3
H 2 M. MARTIN
-7 1
x -5 O 1 3 6 8 x'
T -2
1) et 2)
¨Ú8ÚetÚ8¾Ú9ÚetÚ9¾ÚÚ:Ú]lÚ:¾Úont la même
abscisse. B
2
Les ordonnées deÚ8Ú]lÚ8¾Ú9ÚetÚ9¾Ú:ÚetÚ:¾
sont opposées. C'
1
4) ;¾Úkqe#ljaim]Ú\]Ú;ÚhYjÚjYhhgjlÚÚd¾Yp]Ú
\]kÚYZk[akk]kÚYÚdYÚe%e]ÚYZk[akk]Úim]Ú;Ú -3 -2 1 2,5
soit – 1 050.
C]kÚgj\gff#]kÚ\]Ú;Ú]lÚ;¾ÚkgflÚghhgk#]k -1
C
On a donc : ÚÚÚ;¾§¥Ú~ÚÚÚ¨ B'
8 C
Séquence 8
c c
A
2
1
1,5
-3 1 J 6
-4
B
Exercice 70
1) Deux points ont pour abscisse – 5 : C et E.
1) Mon abscisse est égale à – 5 et mon ordonnée L’ordonnée de C est positive (C’est 3) tandis que celle de D est
est positive. Qui suis-je ? C négative (C’est – 2).
2) Mon abscisse est égale à 4 et mon ordonnée 2) Deux points ont pour abscisse 4 : D et B.
est positive et différente de mon abscisse. L’ordonnée de D est 4 (elle est donc égale à l’abscisse de D).
Qui suis-je ? 9 L’ordonnée de B est 6.
Exercice 71
1)
A
1
-6 C
O 1 5
B
¨Ú9Ú§¥ÚÚÚ¥Ú¨ -4
C (8 ; 0).
-6
3) b)D (5 ; – 6). D
Exercice 72
1)
C
1,4 A
Points coordonnées
1
8 (0,4 ; 1,6) D 0,8 I
B (0 ; 1,8)
0,4
; (– 0,4 ; 0,8) - 1,6 - 0,8 0,4 0,8 1
F (– 0,8 ; – 0,6) O
E H
H (1,6 ; – 0,2)
C (– 0,4 ; 1,6) F G
E (– 1,6 ; – 0,2)
G (0,8 ; – 0,6)
I (0,4 ; 0,8)
¨ÚC¾Yp]Ú\]kÚgj\gff#]kÚk]eZd]Ú%lj]ÚmfÚYp]Ú\]Úkqe#lja]Ú\]ÚdYÚ^a_mj]
ÜÚ8^afÚ\¾YngajÚmf]Úa\#]Ú\mÚj#kmdlYlÚgfÚhj]f\ÚmfÚ]p]ehd]
c c
Justification :
– 2 + (– 7) = – 9 ÜÚC¾Y^^ajeYlagfÚYmjYalÚ#l#ÚnjYa]ÚkaÚlgml]Úkgee]Ú\]Ú\]mpÚ
– 2 – (– 7)= – 2 + 7 soit – 2 – (– 7 )= 5 nombres était supérieure à la différence des deux mêmes
nombres.
Comme – 9 < 5, la somme des nombres – 2 et – 7
est inférieure à la différence de ces nombres.
Exercice 74
1) a) Pour a = – 1 b = 0,5 c = 0,9
X = – 1 – (0,5 + 0,9)
X = – 1 – 1,4
X = – 2,4
Y = – 1 – 0,5 – 0,9
Y = – 2,4
2)
Y¨ÚGgmjÚ[`Y[mf]Ú\]kÚnYd]mjkÚ\gff#]kÚ\]Úa, b et c
on a : a – (b + c) = a – b – c
b) Je suis amené(e) à me poser la question b) Attention ! Il ne fallait pas conclure que l’égalité était vraie.
suivante : On a remarqué qu’elle était vérifiée pour quelques valeurs de
C¾#_Ydal#ÚÚa – (b + c) = a – b – c est-elle vraie quels a, b et c. Cependant, on ne sait pas si elle est vérifiée quels que
que soient les nombres a, b et c ? soient les nombres a, b et c.
Exercice 75
Les sommes a + (– 6) + b + (– 2) et – 8 + b + 11 + (– 4) sont égales donc : a + (– 6) + (– 2) = – 8 + 11 + (– 4)
d’où a + (– 8) = 11 + (– 12)
c’est-à-dire a = 7
soit a + (– 8) = – 1 donc a = – 1 – (– 8) soit a = – 1 + 8
1) x 3,7
® – 3,7
® 14,5
1) Les nombres 9,1 et – 5,4 sont de signes contraires.
ÜÚC]Új#kmdlYlÚYÚ\gf[ÚhgmjÚka_f]Ú[]dmaÚ\mÚfgeZj]ÚimaÚYÚdYÚhdmkÚ
ÜÚCYÚ\aklYf[]ÚÚr#jgÚ\mÚj#kmdlYlÚk¾gZla]flÚ]fÚ[Yd[mdYflÚdYÚ
différence des distances à zéro des deux nombres.
c
® – 14,5 FjÚÚÚÚ~Ú¥ÚÚ¹Ú
¨ÚC]kÚfgeZj]kÚ¥Ú
~Ú]lÚ¥Ú~ÚkgflÚ\]Úe%e]Úka_f]
2) ® – 2,3 ÜÚC]Új#kmdlYlÚYÚ\gf[ÚhgmjÚka_f]Ú[]dmaÚ\]kÚ\]mpÚfgeZj]kÚ§kgalÚd]Ú
® 2,3 signe –)
x – 18,5
ÜÚCYÚ\aklYf[]ÚÚr#jgÚ\mÚj#kmdlYlÚk¾gZla]flÚ]fÚ[Yd[mdYflÚdYÚkgee]Ú
® 18,5 des distances à zéro des deux nombres.
FjÚÚÚÚ
~ÚµÚ~Ú¹Ú~
4) ® 0 4)
®3 A
x6
® 10 -8 -6 -4 -2 0 2 4 6
5) ® 1,2
x – 19,8 5) On sait qu’un nombre négatif est plus petit qu’un nombre
positif.
® – 5,31
® – 7,1 Le plus petit nombre de la liste est donc négatif.
De deux nombres négatifs, le plus petit est celui qui a la plus
grande distance à zéro.
;]kÚljgakÚfgeZj]kÚf#_Yla^kÚÚÚÚ¥Ú~
ÚÚ¥Ú~ÚÚ¥Ú~ÚÚd]ÚhdmkÚ
h]lalÚ]klÚ\gf[Ú¥Ú~
7) ® – 7
®7
® 19
¨ÚFfÚh]mlÚ]^^][lm]jÚ[]Ú[Yd[mdÚ\]Ú\]mpÚ^YzgfkÚ\a^^#j]fl]kÚ
8) ® – 103
¨ÚLf]Ú\aklYf[]Ú]klÚmfÚfgeZj]Úhgkala^ÚCYÚj#hgfk]Ú[gjj][l]Úf]Ú
x – 103 h]mlÚ\gf[Ú%lj]Ú¥Ú~ÚgmÚ¥Ú~
~
® – 181 A quoi est égal AB ?
® 181
Pour le savoir, on commence par chercher lequel des deux points
A et B a la plus grande abscisse. C’est A.
D’après le cours :
AB =« abscisse la plus grande » – « abscisse la plus petite »
Ainsi : AB = – 39 – (– 142)
soit AB = – 39 + 142
[¾]kl££\aj]ÚÚÚÚ89Ú¹Ú~Ú
10) ® – 2,67
10)
x – 0,72
® – 30,38 8Ú¹Ú¥ÚÚ¥Ú§¥Ú
¨ÚµÚ§¥Ú¨Ú¥Ú§¥¨
® 41,53 Pour retrancher un nombre, on ajoute son opposé, donc :
8Ú¹Ú¥ÚÚµÚ
ÚµÚ§¥Ú¨ÚµÚ
8Ú¹Ú
ÚµÚÚµÚ§¥Ú¨ÚµÚ§¥Ú¨
8Ú¹Ú~
ÚµÚ§¥Ú~¨
8Ú¹Ú¥Ú