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c

c Séquence 8

Ce que tu devais faire


SÉQUENCE 8
Séance 1
Les commentaires du professeur
Je révise les acquis de la 6ème
1) Les quatre nombres donnés ont la même partie entière : 6.
1)
Pour trouver le plus petit d’entre eux, on commence par
x 6,011 1 regarder leur chiffre des dixièmes.
6,100 1 ; 6,11 ; 6,101 ont pour chiffre des dixièmes : 1, tandis
® 6,100 1 que 6,011 1 a pour chiffre des dixièmes 0.
® 6,11 0 < 1, donc 6,011 1 est le plus petit des quatre nombres donnés
Attention ! 6,11 n’est pas le plus petit des quatre nombres
® 6,101 donnés.

2) 2) Classer des nombres dans l’ordre décroissant, c’est les


classer du plus grand au plus petit.
® 6,100 1 < 6,011 1 < 6,101 < 6,11 La réponse correcte est donc la deuxième ou la troisième.
D’après la question 1, le plus petit des nombres proposés est
® 6,100 1 > 6,101 > 6,011 1 > 6,11 6,011 1
x 6,11 > 6,101 > 6,100 1 > 6,011 1 On peut donc trouver sans effort que la réponse correcte est
® 6,011 1 < 6,11< 6,101 < 6,100 1 la troisième (bien sûr, on pouvait procéder comme d’habitude,
mais c’était plus long !).

3) 3) Cinq petits carreaux représentent une unité, donc un petit


®2 carreau représente 1 : 5 soit 0,2 unité.

® 0,2
x 0,4 A
® 0,5 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1

4) On effectue le calcul en utilisant la règle de priorité 1


4)
(Voir le « Je retiens » de la séquence 2, qui suit l’exercice 1).
®4 Cette règle est la suivante :
® 17 « Dans une expression sans parenthèse contenant uniquement
des additions et des soustractions, on effectue les calculs de la
x 22 gauche vers la droite dans l’ordre d’écriture ».
® 26 26 – 2 + 9 – 11 = 24 + 9 – 11 = 33 – 11 = 22.

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Exercice 1
1) La différence de leur fortune en
2)
est : 83,40 – 65,17 = 18,23.

Y¨ÚÜÚCYÚfgmn]dd]Ú^gjlmf]Ú]fÚ de Charles est : 83,40 + 75 = 158,40.


Celle de Manon est : 65,17 + 75 = 140,17.
c
Séquence 8 c

ÚÚÚÚÜÚ:`Yjd]kÚ]lÚDYfgfÚgflÚj]zmÚYmlYflÚ\¾Yj_]flÚd¾mfÚim]Úd¾Ymlj]ÚCYÚ\a^^#j]f[]Ú\]Úd]mjÚfgmn]dd]Ú
ÚÚÚÚÚÚÚ^gjlmf]Ú]klÚ\gf[ÚdYÚe%e]Úim¾YnYfl
ÚÚÚÚÜÚCYÚ\a^^#j]f[]Ú]fÚ des nouvelles fortunes de Charles et Manon est : 158,40 – 140,17 = 18,23
ÚÚÚÚFfÚj]ljgmn]ÚZa]fÚdYÚe%e]Ú\a^^#j]f[]Ú\]Ú^gjlmf]Úim¾YmÚ\#Zml
b) 83,40 – 65,17 = (83,40 + 75) – (65,17 + 75)
3)
a) La somme en que va verser chacun des deux enfants est : 36,10 : 2 = 18,05
Z¨ÚÜÚCYÚfgmn]dd]Ú^gjlmf]Ú]fÚÚ de Charles après l’achat est : 158,40 – 18,05 = 140,35.
Celle de Manon est : 140,17 – 18,05 = 122,12.
ÚÚÚÚÚÜÚ:`Yjd]kÚ]lÚDYfgfÚgflÚ\#h]fk#ÚYmlYflÚ\¾Yj_]flÚd¾mfÚim]Úd¾Ymlj]ÚCYÚ\a^^#j]f[]Ú\]Úd]mjÚfgmn]dd]Ú
ÚÚÚÚÚÚÚÚ^gjlmf]Ú]klÚ\gf[ÚdYÚe%e]Úim¾YnYfl
ÚÚÚÚÚÜÚCYÚ\a^^#j]f[]Ú]fÚ Ú\]kÚfgmn]dd]kÚ^gjlmf]kÚ\]Ú:`Yjd]kÚ]lÚDYfgfÚYhj$kÚd¾Y[`YlÚ\mÚ[Y\]YmÚ]klڑÚÚÚ
140,35 – 122,12 = 18,23
ÚÚÚÚÚFfÚj]ljgmn]ÚZa]fÚdYÚe%e]Ú\a^^#j]f[]Ú\]Ú^gjlmf]Úim¾YnYflÚd¾Y[`Yl
c) 158,40 – 140,17 = (158,40 – 18, 05) – (140,17 – 18, 05)

Les commentaires du professeur :


On vient de voir que :
Üڅ€”‡Ú¥Úƒ‚”~„Ú¹Ú§…€”‡ÚµÚ„‚¨Ú¥Ú§ƒ‚”~„ÚµÚ„‚¨ÚÚÚÚÚÚÚÚ
ÜÚ~‚…”‡Ú¥Ú~‡”~„Ú¹Ú§~‚…”‡Ú¥Ú~…”Ú‡‚¨Ú¥Ú§~‡”~„Ú¥Ú~…”Ú‡‚¨
On est donc amené à se poser la question suivante : Chaque fois qu’on ajoute (ou qu’on soustrait) un même nombre à chacun
des termes d’une différence, obtient-on une nouvelle différence égale à la première ? La réponse est oui, mais nous n’allons
pas démontrer ce résultat. Nous allons l’admettre. Ainsi, tu pourras utiliser cette propriété à partir de maintenant !

Exercice 2 On applique la propriété que l’on vient de voir.

a) 82,6 – 18,9 = 82 – 18,3 Y¨Ú…ڹڅ”ƒÚ¥Ú‡”ƒ


…”ƒÚ¥Ú~…”†Ú¹Ú§…”ƒÚ¥Ú0,6¨Ú¥Ú§~…”†Ú¥Ú0,6)

b) 37,85 – 19,7 = 137,85 – 119,7 Z¨Ú~~†”„Ú¹Ú~†”„ÚµÚ~‡‡


€„”…‚Ú¥Ú~†”„Ú¹Ú§€„”…‚Úµ 100¨Ú¥Ú§~†”„ÚµÚ100)

c) 51,3 – 38,6 = 51,5 – 38,8 c) 51,5 = 51,3 + 0,2


‚~”€Ú¥Ú€…”ƒÚ¹Ú§‚~”€Úµ 0,2¨Ú¥Ú§€…”ƒÚµÚ0,2)

d) 92,5 – 83,9 = 86,5 – 77,9 \¨Ú…ƒ”‚Ú¹Ú†”‚Ú¥Úƒ


†”‚Ú¥Ú…€”†Ú¹Ú§†”‚Ú¥Ú6¨Ú¥Ú§…€”†Ú¥Ú6)

e) 68,2 – 35,7 = 68,5 – 36 ]¨Ú€ƒÚ¹Ú€‚”„ÚµÚ‡”€


ƒ…”ڥڀ‚”„Ú¹Ú§ƒ…”ÚµÚ0,3¨Ú¥Ú§€‚”„Úµ 0,3)

f) 75,9 – 43,8 = 72,1 – 40 ^¨Ú‡Ú¹Ú€”…Ú¥Ú€”…


„‚”†Ú¥Ú€”…Ú¹Ú§„‚”†Ú¥Ú3,8¨Ú¥Ú§€”…Ú¥Ú3,8)

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c
c Séquence 8

Exercice 3
1ère
méthode :
Le prix total en que doit payer Karima est :
25,15 + (19,20 – 2,5) = 25,15 + 16,7 = 41,85
1ère méthode :
Le prix total des achats est la somme
ÜÚ\mÚhjapÚ\mÚdanj]
ÜÚÚ]lÚ\mÚhjapÚ\mÚ;M;ÚegafkÚkYÚj#\m[lagfÚ
Les deux termes de la somme sont 25,15 et 19,20 – 2,5.
Pour exprimer que l’on ajoute 19,20 – 2,5 à 25,15 , on écrit
19,20 – 2,5 entre parenthèses, puis pour calculer l’expression,
on applique la règle de propriété 4 : « Dans une expression
contenant des parenthèses, on effectue d’abord les calculs situés
entre parenthèses.

2ème méthode :
2ème méthode :
Faire une réduction de 2,5 ฀sur le prix du DVD revient à faire
Le prix total en que doit payer Karima est : une remise de 2,5 sur le prix total des achats.
(25,15 + 19,20) – 2,5 = 44,35 – 2,5 = 41,85 On peut donc obtenir le prix total en en calculant
(25,15 + 19,20) – 2,5
Ensuite, on applique la règle de propriété 4.
L’exercice a permis de mettre en évidence que :
25,15 + (19,20 – 2,5) = (25,15 + 19,20) – 2,5

Exercice 4
L’unité de longueur est le centimètre.
1ère méthode :
M, N, Q sont alignés dans cet orde
donc MQ = MN + NQ
soit MQ = 7,8 + (3,1 – 1,6)
c’est-à-dire MQ = 7,8 + 1,5
d’où MQ = 9,3
2ème méthode :
M, Q, P sont alignés dans cet ordre L’exercice a permis de mettre en évidence que :
donc MQ = MP – PQ
soit MQ = (7,8 + 3,1) – 1,6 „”…ÚµÚ§€”~Ú¥Ú~”ƒ¨Ú¹Ú§„”…ÚµÚ€”~¨Ú¥Ú~”ƒ
c’est-à-dire MQ = 10,9 – 1,6
d’où MQ = 9,3
Exercice 5
Les deux égalités mises en évidence dans les exercices 3 et 4 sont
1) Voici cinq égalités répondant à l’énoncé : du même type :
a) 18,3 + (37,5 – 4,81) = (18,3 + 37,5) – 4,81 ÜÚ‚”~‚ÚµÚ§~†”‡Ú¥Ú”‚¨Ú¹Ú§‚”~‚Úµ~†”Ú‡¨Ú¥Ú”‚
Justification :
Üڄ”…ÚµÚ§€”~Ú¥Ú~”ƒ¨Ú¹Ú§„”…ÚµÚ€”~¨Ú¥Ú~”ƒ
18,3 + (37,5 – 4,81) = 18,3 + 32,69 = 50,99
(18,3 + 37,5) – 4,81 = 55,8 – 4,81 = 50,99
donc : 18,3 + (37,5 – 4,81) = (18,3 + 37,5) – 4,81 1) Il y a une infinité de réponses possibles.
b) 2,58 + (19,1 – 6,23) = (2,58 + 19,1) – 6,23 Il ne fallait pas oublier de justifier chaque égalité.
Justification :
Pour cela, on calcule séparément le premier membre et le
2,58 + (19,1 – 6,23) = 2,58 + 12,87 = 15,45 second membre puis on compare les résultats obtenus.
(2,58 + 19,1) – 6,23 = 21,68 – 6,23 = 15,45
donc : 2,58 + (19,1 – 6,23) = (2,58 + 19,1) – 6,23
c) 7,1 + (9,18 – 5,9) = (7,1 + 9,18) – 5,9 (Rappel : Le premier membre d’une égalité est l’expression qui
Justification : est avant le signe « égal »).
7,1 + (9,18 – 5,9) = 7,1 + 3,28 = 10,38
(7,1 + 9,18) – 5,9 = 16,28 – 5,9 = 10,38
donc : 7,1 + (9,18 – 5,9) = (7,1 + 9,18) – 5,9

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d) 3,22 + (7,3 – 2,58) = (3,22 + 7,3) – 2,58
Justification :
3,22 + (7,3 – 2,58) = 3,22 + 4,72 = 7,94
(3,22 + 7,3) – 2,58 = 10,52 – 2,58 = 7,94
donc : 3,22 + (7,3 – 2,58) = (3,22 + 7,3) – 2,58
Séquence 8

c c

e) 9,56 + (24,7 – 13,47) = (9,56 + 24,7) – 13,47


Justification :
9,56 + (24,7 – 13,47) = 9,56 + 11,23 = 20,79
(9,56 + 24,7) – 13,47 = 34,26 – 13,47 = 20,79
donc :
9,56 + (24,7 – 13,47) = (9,56 + 24,7) – 13,47

2) Je suis amené(e) à me poser la question


suivante :
Quels que soient les nombres a, b et c a-t-on : En fait, on admettra que cette propriété est vraie. A partir de
a + (b – c) = (a + b) – c ? maintenant, tu vas donc pouvoir l’utiliser !

Exercice 6
A = 1,67 + (8,33 – 2,88) = (1,67 + 8,33) – 2,88 = 10 – 2,88 = 7,12
B = (2,89 + 9,41) – 8,41 = 2,89 + (9,41 – 8,41) = 2,89 + 1 = 3,89

Les commentaires du professeur :


GgmjÚ[Yd[md]jÚ8”ÚgfÚmladak]Úd¾#_Ydal#Únm]Ú\YfkÚd]ڟÚA]Új]la]fkڞÚhj#[#\]flÚÚY^afÚ\¾]^^][lm]jÚ]fÚhj]ea]jÚdYÚkgee]Ú~”ƒ„ÚµÚ…”€€Ú\]Úl%l]”Ú
car elle est simple à calculer !
Pour calculer B, on utilise à nouveau cette égalité, mais dans « l’autre sens »,
Y^afÚ\¾]^^][lm]jÚ]fÚhj]ea]jÚdYÚ\a^^#j]f[]چ”~ڥڅ”~

Exercice 7
Gautier a tort. En effet, pour a = 38, b = 26
et c = 4, les expressions a – (b – c) et (a – b) – c
ne sont pas égales.
Pour prouver que Gautier a tort, il suffit de montrer que pour
une valeur de a, b et c, les deux expressions
Justification : a – (b – c) et (a – b) – c ne sont pas égales.
pour a = 38, b = 26 et c = 4,
a – (b – c) = 38 – (26 – 4) = 38 – 22 = 16
(a – b) – c = (38 – 26) – 4 = 12 – 4 = 8

donc : a – (b – c) ≠ (a – b) – c
Cet exercice montre qu’il faut être très prudent avant d’affirmer
une propriété en mathématiques.
Compte tenu du dernier « Je retiens », on aurait pu croire que
les deux expressions proposées étaient égales : ceci est faux.

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c
c Séquence 8

Ce que tu devais faire


Exercice 8

a) 5 + 4 = 9
Séance 2
Les commentaires du professeur

Z¨ÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#Úڂ„Ú\gff]چÚ]klÚdYÚ\a^^#j]f[]Ú\]چÚ
b) 57 + 35 = 92 ]lÚ\]ڂ„”Úkgalچڥڂ„”Ú[¾]kl££\aj]ڀ‚
[¨ÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#Úڂ€†Ú\gff]ڄ‡ƒÚ]klÚdYÚ\a^^#j]f[]Ú\]Ú
c) 539 + 167 = 706 „‡ƒÚ]lÚ\]ڂ€†”Úkgalڄ‡ƒÚ¥Ú‚€†”Ú[¾]kl££\aj]Ú~ƒ„
d) 7 + (5 – 7) = 5 d) A priori, on ne voit pas de nombre qui réponde à l’énoncé.
:]h]f\Yfl”Ú\]Úe%e]Úim]چڥڂ„Ú]klÚd]ÚfgeZj]ÚeYfimYflÚ
dans l’égalité
‚„ڵڐÚ¹Ú†
gfÚh]mlÚ%lj]ÚYe]f#ÚÚk]Ú\]eYf\]jÚkaÚd]ÚfgeZj]ڂڥڄÚf]Ú
répondrait pas à la question posée.
FfÚ[Yd[md]Ú\gf[ڄڵڧ‚Ú¥Ú„¨
D’après l’égalité : a + (b – c) = (a +b) – c
gfÚYڑڄڵڧ‚Ú¥Ú„¨Ú¹Ú§„ÚµÚ‚¨Ú¥Ú„
\¾g3ڄڵڧ‚Ú¥Ú„¨Ú¹Ú~ڥڄ
kgalڄڵڧ‚Ú¥Ú„¨Ú¹Ú‚
‚Ú¥Ú„Ú]klÚ\gf[Úmf]Új#hgfk]ÚÚdYÚim]klagfÚhgk#]
Ce qui est délicat, c’est que l’on ne sait pas calculer 5 – 7,
vu que 7 > 5.

Exercice 9 FfÚkYalÚim]ڂڥڄÚ]klÚmf]Új#hgfk]ÚYmÚhjgZd$e]Úhgk#
FfÚh]mlÚk]Ú\aj]ڑÚYbgml]jڂÚhmakÚj]ljYf[`]jڄÚj]na]flÚÚYbgml]jÚ
mfÚh]mÚegafkÚim]ڂ”ÚhmakÚj]ljYf[`]jÚmfÚh]mÚegafkÚim]ڄ
(le « un peu moins étant le même !).

Üځڥڃ est une réponse au problème. FfÚh]mlÚYdgjkÚk]Ú\aj]Ú]kkYqgfkځڥڃÚÚÚ[¾]kl££\aj]Ú§‚ÚegafkÚ~¨Ú


Justification : egafkÚ§„ÚegafkÚ~¨
On utilise alors la propriété : a + (b – c) = (a + b) – c
7 + (4 – 6) = (7 + 4) – 6 = 11 – 6 = 5 On voit alors que l’on trouve bien 5.

Üڀڥڂ est une réponse au problème.


Justification :
7 + (3 – 5) = (7 + 3) – 5 = 10 – 5 = 5

ÜÚڥځ est une réponse au problème.


Justification :
7 + (2 – 4) = (7 + 2) – 4 = 9 – 4 = 5

ÜÚ~ڥڀ est une réponse au problème. Les différences 4 – 6, 1 – 3, 3 – 5 et 2 – 4 sont donc


Justification : solutions de notre problème.
Dans chaque cas, on ne sait pas calculer le résultat de la
7 + (1 – 3) = (7 + 1) – 3 = 8 – 3 = 5 soustraction, car on ne sait pas soustraire à un nombre un
nombre qui lui est supérieur !
Il y avait bien d’autres solutions, par exemple :
ƒÚ¥Ú…Ú•ÚڄڥچڕÚڅڥÚ~‡Ú•ÚچڥÚ~~ڕڐ
ou bien encore :
‚”~ڥڄ”~ڕڂ”~~ڥڄ”~~ڕڐ

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Exercice 10
a) La réponse de Clémence est correcte.
En effet : 7 + (0 – 2) = (7 + 0) – 2 = 7 – 2 = 5.

b) Il en est de même pour moi.


b) On applique une propriété vue dans la séance 1 : « On ne
modifie pas une différence en soustrayant un même nombre à
chacun de ses termes ».
c
Séquence 8

ÁÚGgmjÚd]Úbmkla^a]j”ÚadÚkm^^alÚ\]Úhjgmn]jÚim]ڑÚÚڄڵڧ‡Ú¥Ú¨Ú¹Ú‚
c

ÜÚڂڥڄڹڧ‚Ú¥Ú‚¨Ú¥Ú§„Ú¥Ú‚¨Ú¹Ú‡Ú¥Ú
FfÚYÚhjgmn#Úim]ڂڥڄڕځڥڃڕڀڥڂڕÚڥځڕÚ~ڥڀÚ#lYa]flÚ
ÜÚځڥڃڹڧÚ¥Ú¨Ú¥Ú§ƒÚ¥Ú¨Ú¹Ú‡Ú¥Ú
égales à 0 – 2
ÜÚڀڥڂڹڧ€Ú¥Ú€¨Ú¥Ú§‚Ú¥Ú€¨Ú¹Ú‡Ú¥Ú
Tu devais faire un raisonnement comparable avec les nombres
ÜÚÚڥځڹڧÚ¥Ú¨Ú¥Ú§Ú¥Ú¨Ú¹Ú‡Ú¥Ú
que tu avais trouvés dans l’exercice précédent.
ÜÚÚ~ڥڀڹڧ~Ú¥Ú~¨Ú¥Ú§€Ú¥Ú~¨Ú¹Ú‡Ú¥Ú
Exercice 11 moins 7
moins 6
moins 5
moins 4
moins 3
moins 2

0 1 2 3 4 5
On remarque que lgml]kÚd]kÚ^d$[`]kÚhgafl]flÚn]jkÚdYÚe%e]Ú_jY\mYlagf : celle qui se trouve
« deux graduations à gauche de 0 ».

Les commentaires du professeur :


FfÚkYalÚim]ڑڂڥڄڹÚځڥڃÚÚÚ¹ÚڀڥڂڹÚÚڥځڹÚÚ~ڥڀڹÚڇڥڐ
Il est donc normal que toutes les flèches pointent vers la même graduation. On aimerait bien nommer cette graduation, « qui
se trouve à deux graduations à gauche de 0 », mais comment l’appeler ? On pense alors à un ascenseur, ou à un thermomètre :
pourquoi ne pas l’appeler – 2 ?

Exercice 12 Y¨Ú¥Ú€Ú¹Ú‡Ú¥ÚÚ¹Ú„¥ÚÚ¹Ú¥Ú‚
a) – 3 = 0 – 3 = 7 – 10 = 2 – 5
„µ€ÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚµ€
b) – 6 = 1 – 7 = 7 – 13 = 0 – 6 Z¨Ú¥ÚƒÚ¹ÚÚ¥Ú„ڹڐÚ¥Ú~€Ú¹ÚÚ¥Úƒ

+6 +6 +6

Exercice 13 ÜÚڥڂڹڄڥÚ~ÚÚÚ
\gf[ÚڥڂÚÚ]klÚd]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚ~Ú\gff]ڄÚ
ÜÚ~ڵڐÚ¹Ú„ On déduit que – 5 est une solution de l’égalité à trous
~ڵڐÚ¹Ú„

ÜÚڥڂڹÚ†Ú¥Ú€ÚÚ
ÜڀÚµÚÚ¹Ú† donc – 5 est le nombre qui ajouté à 34 donne 29.
On déduit que – 5 est donc une solution de l’égalité à trous
34 + ....... = 29.

Üڀ…ڵڐÚ¹Ú€€ ÜÚڥڂڹڀ€Ú¥Ú€…ÚÚÚ
\gf[ÚڥڂÚ]klÚd]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#Úڀ…Ú\gff]ڀ€Ú
On déduit que – 5 est une solution de l’égalité à trous
€…ڵڐÚ¹Ú€€

ÜځƒÚµÚÚ¹Ú~ ÜÚڥڂڹځ~ڥځƒÚÚÚ
donc – 5 est le nombre qui ajouté à 46 donne 41.
On déduit que – 5 est une solution de l’égalité à trous
46 + ....... = 41.

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c
c Séquence 8

Exercice 14
moins 3
moins 2
moins 1

-3 -2 -1 0 1 2 3 4 5
Les commentaires du professeur :
Finalement, pour placer par exemple – 3 sur une droite graduée, il suffit de compter 3 carreaux vers la gauche en partant de 0.
Pour placer – 9, on ferait de même : on compterait 9 carreaux vers la gauche en partant de 0.
On a donc trouvé un moyen simple de se représenter tous les nombres qui s’écrivent sous la forme « moins quelque chose ».
Ces nombres sont appelés les nombres négatifs.

Exercice 15

a) 45 – 18 = 27 ÁÚ:gee]ځ‚ÚÞÚ~…”ÚgfÚ]klÚ\YfkÚmfÚ[YkÚ\]ÚkgmkljY[lagfÚim¾gfÚ
savait traiter auparavant.
b) 33 – 51 = (33 – 33) – (51 – 33) = 0 – 18 = – 18 Á On ne modifie pas une différence en soustrayant un même
nombre à chacun de ses termes.
c) 48 – 57 = (48 – 48) – (57 – 48) = 0 – 9 = – 9

d) 91 – 66 = 25 Á Comme 91 > 66, on est à nouveau dans un cas de


soustraction qu’on savait traiter auparavant.
e) 29 – 52 = (29 – 29) – (52 – 29) = 0 – 23 = – 23

f) 71 – 45 = 26 Dans cet exercice, on peut imaginer que l’on a à faire à des


températures.
La question a) devient :
@dÚ^YakYalÚځ‚´Ú]lÚdYÚl]eh#jYlmj]ÚYÚ[`ml#Ú\]Ú~…´
Hm]dd]Úl]eh#jYlmj]Ú^Yal£adÚYmbgmj\¾`maڜÚKmÚkYnYakÚ\#bÚj#hgf\j]Ú
à cette question.

La question b) devient :
Il faisait 33° et la température a chuté de 51°.
Hm]dd]Úl]eh#jYlmj]Ú^Yal£adÚYmbgmj\¾`maڜ
Le résultat est le même que celui d’une température de 0°
qui chute de 51° – 33°.
Ceci peut s’écrire de la façon suivante :
€€´Ú¥Ú‚~´Ú¹Ú§€€´Ú¥Ú€€´¨Ú¥Ú§‚~´Ú¥Ú€€´¨Ú¹Ú‡´Ú¥Ú~…´Ú¹Ú¥Ú~…´

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Exercice 16

a) 58 + 7 = 65
Séquence 8

Y¨ÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#Úڂ…Ú\gff]ڃ‚Ú]klڑÚÚڃ‚Ú¥Ú‚…Ú¹Ú„c
Z¨ÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚ~†Ú\gff]Ú~~Ú]klڑÚÚÚ~~Ú¥Ú~†Ú¹Ú¥Ú…
Pour calculer 11 – 19 on dispose de plusieurs méthodes :
c

ÜÚgfÚh]mlÚhjg[#\]jÚ[gee]Ú\YfkÚd]ÚZ¨Ú\]Úd¾]p]j[a[]Úhj#[#\]flÚ]lÚ
b) 19 + (– 8) = 11 écrire :
~~Ú¥Ú~†Ú¹Ú§~~Ú¥Ú~~¨Ú¥Ú§~†Ú¥Ú~~¨Ú¹Ú‡Ú¥Ú…Ú¹Ú¥Ú…

ÜÚgfÚh]mlÚhjg[#\]jÚ_jYh`aim]e]flڑ

-8 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
moins 8 moins 11

moins 19

D’après le schéma, calculer 11 – 19, c’est calculer


ÜÚ~~Ú¥Ú~~Ú
puis
ÜÚj]ljYf[`]jڅÚYmÚj#kmdlYlÚgZl]fm
ÚÚÚ§[¾]kl££\aj]Ú[Yd[md]jڇڥڅ¨
FfÚgZla]flÚ^afYd]e]flڥڅ

8ll]flagfښÚ;YfkÚd¾#[jalmj]Ú~†ÚµÚ§¥Ú…¨Úd]kÚhYj]fl`$k]kÚYmlgmjÚ
\]ڥڅÚkgflÚaf\akh]fkYZd]kÚEn mathématiques, on n’écrit
jamais deux signes l’un à la suite de l’autre.

c) (– 5) + 23 = 18 [¨ÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚ€Ú\gff]Ú~…Ú]klڑÚÚÚ~…Ú¥Ú€Ú¹Ú¥Ú‚
Remarque importante :
(– 5) + 23 peut s’écrire plus simplement – 5 + 23.

d) 6 + (– 6) = 0 d) Le nombre qui ajouté à 6 donne 0 est : 0 – 6 = – 6


Deux nombres comme 6 et – 6 dont la somme est zéro sont
dits opposés.

e) – 9 + 22 = 13
e) Le nombre qui ajouté à 22 donne 13 est : 13 – 22 = – 9
Là aussi, on peut éviter de mettre une parenthèse autour de – 9
pour désigner la somme de – 9 et 22.
f) (– 6) + 6 = 0
f) Le nombre qui ajouté à 6 donne 0 est : 0 – 6 = – 6
(– 6) + 6 peut s’écrire plus simplement – 6 + 6.

Exercice 17

-6 0 1 6
Les points d’abscisses – 6 et 6 sont symétriques par rapport au point O.

Les commentaires du professeur :


– 6 est égal à 0 – 6 , il suffit donc pour le placer sur une droite graduée de compter 6 carreaux vers la gauche en partant de 0.
Comme le point d’abscisse 6 se trouve à « 6 carreaux vers la droite » du point O, les points d’abscisse – 6 et 6 sont symétriques
par rapport à O.

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c
c Séquence 8

Ce que tu devais faire


Exercice 18
6 + (– 9) = 6 + (0 – 9) = (6 + 0) – 9 = 6 – 9 = – 3
Séance 3
Les commentaires du professeur

Les commentaires du professeur :


Le calcul de 6 + (– 9) se fait en deux étapes.

1ère étape :
ÚÚÚÜÚgfÚmladak]ÚdYÚ\#^afalagfÚ\]ڥچڑÚ[¾]klÚd]Új#kmdlYlÚ\]ڇڥچÚ
ÚÚÚÜÚgfÚmladak]ÚdYÚj]dYlagfÚÚYÚµÚ§ZÚ¥Ú[¨Ú¹Ú§YÚµÚZ¨Ú¥Ú[
On trouve alors : 6 + (– 9) = 6 – 9

2ème étape :
FfÚkYalÚ[Yd[md]jڃڥچÚ\]hmakÚdYÚk#Yf[]ÚڑÚÚÚڃڥچڹڂڥڅڹځڥڄڹڀڥڃڹÚڥڂڹÚ~ڥځڹڇڥڀڹڥڀÚ
(ou bien, directement : 6 – 9 = (6 – 6) – (9 – 6) = 0 – 3 = – 3
Pour bien se représenter les choses, on peut penser à la droite graduée : pour obtenir le résultat de 6 – 9 , on « part de 6 puis on
se décale de 9 carrés vers la gauche ».

-3 0 1 6

moins 9

Exercice 19
a) 7 + (– 3) = 7 + (0 – 3) = (7 + 0) – 3 = 7 – 3 = 4
Les commentaires du professeur :
On procède comme dans l’exercice précédent : on utilise la définition de – 3 et la relation : a + (b – c) =(a + b) – c.
FfÚljgmn]ÚYdgjkڑڄڵڧ¥€¨Ú¹Ú„Ú¥Ú€ÚFfÚkYalÚ]fkmal]Ú[Yd[md]jÚ[]ll]Ú\a^^#j]f[]

0 1 4 7

moins 3
b) 11 + (– 15) = 11 + (0 – 15) = (11 + 0) – 15 = 11 – 15 = – 4
Les commentaires du professeur :
On procède comme dans l’exercice précédent : on utilise la définition de – 15 et la relation : a + (b – c) =(a + b) – c.
On trouve alors : 11 + (–15) = 11 – 15. On sait ensuite calculer ce type de différence depuis la séance 2.

-4 0 1 11

moins 15
c) 9 + (– 12) = 9 + (0 – 12) = (9 + 0) – 12 = 9 – 12 = – 3
Les commentaires du professeur :
On procède comme dans l’exercice précédent : on sait donc qu’à la fin de la 1ère étape, on obtient : 9 + (–12) = 9 – 12
-3 0 1 9

moins 12

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d) 14 + (– 6) = 14 + (0 – 6) = 14 – 6 = 8
Les commentaires du professeur :
Séquence 8

On procède comme dans l’exercice précédent : on sait donc qu’à la fin de la 1ère étape, on obtient : 14 + (– 6) = 14 – 6
0 1 8 14
c c

moins 6
Commentaires généraux du professeur :
Dans cet exercice, on a vu comment ajouter un nombre négatif, mais pas dans tous les cas : seulement dans le cas où le 1er
terme est positif. Nous verrons le cas où ce terme est négatif dans l’exercice suivant.

Exercice 20
a) – 2 + 15 = – 2 + (2 + 13) = (– 2 + 2) + 13 = 13
Les commentaires du professeur :
Les choses se compliquent ! Cette fois, le 1er terme de la somme est un nombre négatif. Comment s’en sortir ?
ÜÚgfÚ]kkYa]ڟÚ\¾#daeaf]jڞÚ[]Úhj]ea]jÚl]je]Úf#_Yla^Ú]fÚdmaÚYbgmlYflÚkgfÚghhgk#Ú
En effet, on sait que : – 2 + 2 = 0. On décompose pour cela 15 de la façon suivante : 15 = 2 + 13
Ainsi : – 2 + 15 = – 2 + (2 + 13)
ÜÚgfÚYhhdaim]Ú]fkmal]ÚdYÚj]dYlagfÚYÚµÚ§ZÚ¥Ú[¨Ú¹Ú§YÚµÚZ¨Ú¥Ú[ÚÚhgmjÚj]_jgmh]jÚ¥ÚÚ]lÚڑÚÚ
– 2 + (2 + 13) = (– 2 + 2) + 13 = 0 + 13 = 13
GgmjÚk]ÚjYhh]d]jÚ\]Ú[]ll]Úe#l`g\]”ÚgfÚh]fk]ÚÚdYÚ\jgal]Ú_jY\m#]Ú[a£\]kkgmkڑڟÚgfÚhYjlÚ\]Ú¥ÚڑÚgfÚdmaÚYbgml]ÚÚhmakÚ~€”ÚgfÚk]Ú
décale donc de 2 carreaux vers la droite, puis de 13 carreaux vers la droite ».
-2 0 1 13
plus 2 plus 13
plus 15
On voit que pour calculer – 2 + 15, il suffit « de partir de – 2 puis de compter 15 carreaux vers la droite ».

b) – 6 + 4 = – 6 + (6 – 2) = (– 6 + 6) – 2 = 0 – 2 = – 2
Les commentaires du professeur :
Essayons d’appliquer la méthode vue dans la question précédente :
ÜÚgfÚ]kkYa]ڟÚ\¾#daeaf]jڞÚڥڃÚÚ]fÚdmaÚYbgmlYflڃÚGgmjÚ[]dY”ÚgfÚ\#[gehgk]ځÚ\]ÚdYÚ^YzgfÚkmanYfl]ڑÚÚځڹڃڥÚÚ
Ainsi : – 6 + 4 = – 6 + (6 – 2). On applique la relation a + (b – c) = (a + b) – c . On obtient :
– 6 + (6 – 2) = (– 6 + 6) – 2 = 0 – 2 = – 2
– 6 + 4 = (– 6 + 6) – 2 = 0 – 2 se traduit de la façon suivante à l’aide d’une droite graduée :
-6 -2 0 1 13
plus 6

moins 2
Remarque : on voit que pour calculer – 6 + 4 , il suffisait de « partir de – 6 , puis de compter 4 carreaux vers la droite ».

c) – 4 + (– 7) = – 4 + (4 – 11) = (– 4 + 4) – 11 = 0 – 11 = – 11
Les commentaires du professeur :
FfÚYhhdaim]ÚdYÚe#l`g\]Únm]Ú\YfkÚdYÚim]klagfÚhj#[#\]fl]Ú:]ÚimaÚ]klÚ\a^^a[ad]Ú\YfkÚ[]Ú[Yk”Ú[¾]klÚ\¾#[jaj]ڥڄÚkgmkÚdYÚ^gje]Ú
ŸÚÚegafkÚim]dim]Ú[`gk]ڞÚ@dÚ^YmlÚYdgjkÚh]fk]jÚYmpÚfgeZj]Úf#_Yla^kڑڥڄڹڇڥڄÚÚÚFjڑÚÚڇڥڄڹڧ‡ÚµÚ¨Ú¥Ú§„ڵځ¨Ú
\¾g3ڑÚÚÚڥڄڹځڥÚ~~
-11 -4 0 1
plus 4

moins 11
I]eYjim]ڑÚgfÚngalÚim]ÚhgmjÚ[Yd[md]jڥځڵڧ¥Ú„¨ÚÚڔÚadÚkm^^akYalÚ\]ڟÚhYjlajÚ\]ڥځ”ÚhmakÚ\]Ú[gehl]jڄÚ[Yjj]YmpÚn]jkÚdYÚ_Ym[`]ڞÚ
Conclusion : on admettra qu’on peut trouver graphiquement à l’aide d’une flèche le résultat d’une somme.

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c
c Séquence 8

Exercice 21

a) – 2 + (– 7) = – 2 + (2 – 9) = (– 2 + 2) – 9 = 0 – 9 = – 9

b) – 5 + 19 = – 5 + (5 + 14) = (– 5 + 5) + 14 = 0 + 14 = 14

c) 15 + (– 24) = 15 + (0 – 24) = (15 + 0) – 24 = 15 – 24 = – 9

d) – 1,2 + (– 1,8) = – 1,2 + (1,2 – 3) = (– 1,2 + 1,2) – 3 = 0 – 3 = – 3

e) – 27,8 + 7,9 = – 27,8 + (27,8 – 19,9) = (– 27,8 + 27,8) – 19,9 = 0 – 19,9 = – 19,9

f) 29,1 + (– 13,14) = 29,1 + (0 – 13,14) = (29,1 + 0) – 13,14 = 29,1 – 13,14 = 15,96

g) – 4,51 + (– 3,6) = – 4,51 + (4,51 – 8,11) = (– 4,51 + 4,51) – 8,11 = 0 – 8,11 = – 8,11

Les commentaires du professeur :


On a noté en bleu les nombres qui sont les plus difficiles à trouver.

ÜÚGgmjÚd]Ú\¨” on cherche le nombre ?


ÚÚÚl]dÚim]ڑÚÚÚÚÚÚ~”ÚÚÚÚ¥ÚÚÚڜÚÚÚÚ¹ÚÚÚÚ¥Ú~”… -1,8 0 1 1,2
FfÚYڑÚÚÚÚ~”ÚÚÚÚ¥ÚÚÚڀڹÚÚÚÚ¥Ú~”… moins 1,8 moins 1,2
Donc le nombre ? est 3.
moins (1,2 + 1,8 )

ÜÚGgmjÚd]Ú]¨”ÚgfÚ[`]j[`]Úd]ÚfgeZj]ڜÚÚÚl]dÚim]ڑÚÚÚÚÚÚ„”…ÚÚÚÚ¥ÚÚÚڜÚÚÚÚ¹ÚÚÚڄ”†
;¾Yhj$kÚd]Ú[gmjkÚ\]ڃ]”Úd]ÚfgeZj]ڜÚÚ]klÚÚÚ„”…ÚÚÚÚ¥ÚÚÚڄ”†ÚÚÚ¹ÚÚÚÚ~†”†ÚÚC]ÚfgeZj]ڜÚ]klÚ\gf[Ú~†”†Ú

ÜÚGgmjÚd]Ú_¨” on cherche le nombre ?


tel que : 4,51 – ? = – 3,6 -3,6 0 1 4,51
FfÚYڑÚÚځ”‚~ÚÚÚÚ¥ÚÚÚڅ”~~ÚÚÚÚ¹ÚÚÚڥڀ”ƒ moins 3,6 moins 4,51
\gf[Úd]ÚfgeZj]ڜÚ]klڅ”~~Ú
moins (3,6 + 4,51)

On remarque qu’il existe une autre règle permettant de déterminer la somme de deux nombres relatifs :
D’après ce qui précède :

a) – 2 + (– 7) = – 9 d) – 1,2 + (– 1,8) = – 3 g) – 4,51 + (– 3,6) = – 8,11

2+7 1,2 + 1,8 4,51 + 3,6

-9 -2 0 1 -3 -1,2 0 -8,11 - 4,51 0 1

moins 7 moins 1,8 moins 3,6

Règle (admise)
Lorsqu’on ajoute deux nombres négatifs de même signe :
ÜÚgfÚ[gee]f[]ÚhYjÚ#[jaj]ÚmfÚka_f]Ú¥Ú§[YjÚgfÚkYalÚim]Úd]Új#kmdlYlÚnYÚ%lj]Úf#_Yla^¨
ÜÚgfÚ#[jalÚ]fkmal]ÚdYÚkgee]Ú\]kÚ\]mpÚ\aklYf[]kÚڇ

40 — © Cned, Mathématiques 5e, 2008

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b) – 5 + 19 =
signe de 19
car 19 >5

14

19 – 5
signe de – 24

c) 15 + (–24) = – 9
car 24 >15

24 – 15
c
Séquence 8 c

(le nombre positif 19 peut s’écrire sans signe)

-5 0 14 -9 0 2 15

plus 19 moins 24

signe de – 27,8 signe de 29,1


car 27,8 > 7,9 car 29,1 >13,14

e) – 27,8 + 7,9 = – 19,9 f) 29,1 + (–13,14) = 15,96

27,8 - 7,9 29,1 – 13,14

-27,8 -19,9 -2 0 0 2 15,96 29,1

plus 7,9 moins 13,14

Règle (admise)
Lorsqu’on ajoute deux nombres de signes différents :
ÜÚgfÚ#[jalÚd]Úka_f]Ú\mÚj#kmdlYlڑÚ[¾]klÚÚ[]dmaÚ\mÚfgeZj]ÚimaÚYÚdYÚhdmkÚ_jYf\]Ú\aklYf[]Úڇ
ÜÚgfÚ#[jalÚ]fkmal]Úd]ÚfgeZj]ÚgZl]fmÚ]fÚ[Yd[mdYflÚdYÚ\a^^#j]f[]Ú\]kÚ\]mpÚ\aklYf[]kÚڇ

Exercice 22
a) 3,1 + (– 5) = – 1,9
Les commentaires du professeur :
Les deux termes sont 3,1 et – 5. Les deux nombres sont de signes différents.
Les distances à 0 sont 3,1 et 5. La plus grande est 5.
Le signe du résultat est donc le signe « – ». On effectue ensuite 5 – 3,1. On trouve 1,9. On a donc : 3,1 + (– 5) = – 1,9
b) – 8,1 + (– 1,9) = – 10
Les commentaires du professeur :
C]kÚ\]mpÚl]je]kÚkgflÚڥڅ”~Ú]lÚÚ¥Ú~”†ÚC]kÚ\]mpÚfgeZj]kÚkgflÚf#_Yla^kÚ
Le signe du résultat est donc le signe « – ».
FfÚ]^^][lm]Ú]fkmal]څ”~ÚµÚ~”†ÚFfÚljgmn]Ú~‡ÚÚÚÚFfÚYÚ\gf[ڑÚÚڥڅ”~ÚµÚÚ§¥Ú~”†¨Ú¹Ú– 10
c) – 1,1 + 4,37 = 3,27
Les commentaires du professeur :
C]kÚ\]mpÚl]je]kÚkgflÚ¥Ú~”~Ú]lځ”€„ÚC]kÚ\]mpÚfgeZj]kÚkgflÚ\]Úka_f]kÚ\a^^#j]flkÚ
C]kÚ\aklYf[]kÚڇÚkgflÚ~”~ÚÚ]lځ”€„ÚCYÚhdmkÚ_jYf\]Ú]klځ”€„Ú
C]Új#kmdlYlÚ]klÚ\gf[Úhgkala^ÚFfÚ]^^][lm]Ú]fkmal]ځ”€„Ú¥Ú~”~ÚFfÚljgmn]ڀ”„ÚÚÚÚFfÚYÚ\gf[ڑÚÚÚ¥Ú~”~ڵځ”€„Ú¹ÚÚڀ”„Ú
d) – 7,7 + (– 2,3) = – 10
Les commentaires du professeur :
C]kÚ\]mpÚl]je]kÚkgflÚڥڄ”„ÚÚ]lÚÚ¥Ú”€ÚC]kÚ\]mpÚfgeZj]kÚkgflÚf#_Yla^kÚ
Le signe du résultat est donc le signe « – ».
FfÚ]^^][lm]Ú]fkmal]ڄ”„ÚµÚ”€ÚFfÚljgmn]Ú~‡ÚÚÚÚFfÚYÚ\gf[ڑÚÚڥڄ”„ÚµÚ§¥Ú”€¨Ú¹Ú¥Ú~‡
e) 13,4 + 7,8 = 21,2
f) 0,01 + (– 0,1) = – 0,09
Les commentaires du professeur :
Les deux termes sont 0,01 et – 0,1. Les deux nombres sont de signes différents.
Les distances à 0 sont 0,01 et 0,1. La plus grande est 0,1.
Le résultat est donc négatif. On effectue ensuite 0,1 – 0,01. On trouve 0,09. On a donc : –0,01 + (– 0,1) = – 0,09

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c
c Séquence 8

Ce que tu devais faire


Exercice 23
1)
a) 4 ; 8 ; 6 ; 1
Séance 4
Les commentaires du professeur

b) – 10 ; – 15 ; – 9 ; – 7

2)
a) – 15 < 1
b) – 9 < – 7
c) – 10 < 6

3) – 15 < – 10 < – 9 < – 7 < 1 < 4 < 6 < 8

4)
ÜÚLf]Úl]eh#jYlmj]Úf#_Ylan]Ú]klÚinférieure à une température positive.
ÜÚ;]Ú\]mpÚl]eh#jYlmj]kÚf#_Ylan]k”ÚdYÚhdmkÚZYkk]Ú]klÚ[]dd]Ú\gflÚdYÚ\aklYf[]ÚÚr#jgÚ]klÚdYÚhdmkÚ_jYf\].

5)
Moscou Oslo Varsovie Dublin Paris Rome Athènes Lisbonne
- 15 - 10 - 9 -7 0 1 4 6 8 températures
en degrés

Les commentaires du professeur :


3) On remarquera qu’une fois qu’on a repéré d’une part les températures positives puis d’autre part les températures négatives, on
classe facilement les températures de la plus basse à la plus élevée.
4) On vérifie dans le cas particulier des températures les règles de comparaison des nombres relatifs que tu devras retenir :
Un nombre négatif est toujours plus petit qu’un nombre positif.
Si deux nombres sont négatifs, alors le plus petit est celui qui a la plus grande distance à zéro.
(La distance à zéro d’un nombre, « c’est le nombre sans son signe » : par exemple celle de – 3,2 est 3,2, celle de 8 est 8).
5) On remarque que lorsqu’on parcourt de gauche à droite une droite graduée, les abscisses des points rencontrés sont classées
dans l’ordre croissant.
du plus petit au plus grand

- 15 -9 -7 0 1 4 6 8

Exercice 24 On utilise le « Je retiens » précédent. On trouve les réponses


en utilisant l’une des règles de comparaison ou en imaginant la
a) 3 > – 42 droite graduée.
a) Un nombre négatif est toujours plus petit qu’un nombre
positif.
du plus
dupetit
plusau plusaugran
petit plus grand

- 42 0 3
Z¨ÚÜÚÚJaÚ\]mpÚfgeZj]kÚkgflÚf#_Yla^k”ÚYdgjkÚd]ÚhdmkÚh]lalÚ]klÚ[]dmaÚ
b) – 56 < – 17 qui a la plus grande distance à zéro.
‚ƒÚÞÚ~„Ú\gf[ڥڂƒÚÝÚ¥ÚÚ~„

- 56 - 17 0

42 — © Cned, Mathématiques 5e, 2008

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c) 9 > – 9 positif.

-9 0
Séquence 8

c) Un nombre négatif est toujours plus petit qu’un nombre

9
c c

d)
d) – 13 < 0
- 13 0
e) Un nombre négatif est toujours plus petit qu’un nombre
e) – 9 102 < 0,7 positif.

- 9 102 0 0,7
^¨ÚJaÚ\]mpÚfgeZj]kÚkgflÚf#_Yla^k”ÚYdgjkÚd]ÚhdmkÚh]lalÚ]klÚ[]dmaÚimaÚ
f) – 29,3 > – 29,4 a la plus grande distance à zéro.
29,4 > 29,3 donc – 29,4 < – 29,3

- 30 - 29 0
- 29,4 - 29,3

g) même règle que précédemment


g) – 6,17 > – 6,2 ƒ”ÚÞڃ”~„Ú\gf[ڥڃ”ÚÝÚ¥Úڃ”~„

-7 -6 0
- 6,2 - 6,17
h) Un nombre négatif est toujours plus petit qu’un nombre
h) 4,6 > – 21,85 positif.

- 21,85 0 4,6

Exercice 25
a) Il y a une infinité de solutions.
Les nombres décimaux qui conviennent sont tous ceux dont
a) 2,67 < 2, 673 < 2,68 d¾#[jalmj]Ú[gee]f[]ÚhYjÚ”ƒ„

b) Une droite graduée aide à trouver une réponse.


b) – 5 < – 4,1 < – 4
-5 - 4,5 -4
Il y a une infinité de solutions.
Les nombres qui conviennent sont tous ceux dont l’écriture
commence par « – 4,».

c)
c) – 11 < – 10,3 < – 10
- 11 - 10,5 - 10
Il y a une infinité de solutions.
Les nombres qui conviennent sont tous ceux dont l’écriture
commence par « – 10,».

d)
d) – 5,9 < – 5,83 < – 5,8
- 5,9 - 5,85 - 5,8
Il y a une infinité de solutions.
Les nombres qui conviennent sont tous ceux dont l’écriture
commence par « – 5,8».

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c
c Séquence 8

e) – 9,11 < – 9,103 < – 9,1


e) – 9,1 = – 9,10 = – 9,100

- 9,110 - 9,105
Il y a une infinité de solutions.
– 9,11 = – 9,110

- 9,100

Les nombres qui conviennent sont tous ceux dont l’écriture


commence par « – 9,10».
f)
f) – 0,1 < 0 < 0,1
- 0,1 0 0,1
0,03 ; – 0,03 ; 0,009 ; – 0,009 sont des réponses possibles.
Il y a en fait une infinité de solutions.
Les nombres qui conviennent sont tous ceux dont l’écriture
commence par « 0,0 » et « – 0,0 ».

Exercice 26

1) On déduit de l’énoncé que le nombre cherché


s’écrit sous la forme – 6, ฀.
C]Ú[`a^^j]Ú\]kÚ\apa$e]kÚ\]ÚdYÚ\aklYf[]ÚÚr#jgÚ]klÚd]Ú
tiers de celui des unités.
6 : 3 = 2, donc le nombre cherché est – 6, 2.
2) Rappel : Un entier est divisible par 9 si la somme de ses
2) L’opposé du nombre cherché est un multiple de chiffres est divisible par 9.
9 compris entre 165 et 175.
:gee]flÚY£l£gfÚljgmn#Ú~„~ڜ
Or, le seul multiple de 9 compris entre 165 et 175 FfÚYÚ#[jalÚlgmkÚd]kÚ]fla]jkÚ[gehjakÚ]flj]Ú~ƒ‚Ú]lÚ~„‚
est 171. On a calculé la somme des chiffres de chacun d’entre eux.
Le nombre cherché est donc – 171. J]mdÚ~„~ÚYnYalÚdYÚkgee]Ú\]Úk]kÚ[`a^^j]kÚ\anakaZd]ÚhYjچ

Exercice 27 a) Un nombre négatif est plus petit qu’un nombre positif.


a) 7, > – ฀,9
Z¨ÚÚ¥Úڇ”ƒÚÞڥڄ”…~ÚÚÚeYakÚÚڥچ”ƒÚÚÝÚڥڄ”…~

b) – ฀,6 ............ – 7,81 On ne peut savoir !


c) De deux nombres négatifs, le plus petit est celui qui a la plus
grande distance à 0.
c) – 4,2 > – 8, ฀6
…ÚÞځÚÚÚÚ\gf[ÚÚڅ” 6 > 4,2 ÚÚÚ\¾g3ڑÚÚÚÚÚڥڅ” 6 < – 4,2

d) Le plus petit chiffre que peut cacher est 0.


d) 6,01 < 6, ฀3
On a : 6,01 < 6,03
On a par ailleurs : 6,01 < 6,13
Plus généralement, pour tout chiffre plus grand que 0 caché par
, on a : 6,01 < 6, 3.

e) – 8, ฀9 < – 8,06 e) Le plus petit chiffre que peut cacher est 0.


:gee]څ”‡†ÚÞڅ”‡ƒÚÚÚgfÚYڑÚÚڥڅ”‡†ÚÝڥڅ”‡ƒÚÚÚ
FfÚYÚÚhYjÚYadd]mjkڑÚڥڅ”~†ÚÝڥڅ”‡ƒÚÚ
Plus généralement, pour tout chiffre plus grand que 0 caché par
”ÚgfÚYڑڅ” †ÚÞڅ”Ú‡ƒÚÚÚ\gf[ÚÚڥڅ” †ÚÝÚڥڅ”‡ƒ

f) – ฀,995 < 5, ฀4 f) Un nombre négatif est plus petit qu’un nombre positif.

44 — © Cned, Mathématiques 5e, 2008

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Exercice 28
a) – 9,6 < – 5,14 < – 1,85 < 3,7 < 5 < 10,4
Y¨ÚC]kÚfgeZj]kÚhgkala^kÚkgflڑÚÚڂڕÚ~‡”Ú•Ú€”„Ú
Séquence 8

C]kÚfgeZj]kÚf#_Yla^kÚkgflڑÚÚڥچ”ƒÚ•Ú¥Ú~”…‚Ú•Ú¥Ú‚”~
c
Lorsqu’on classe les nombres positifs dans l’ordre croissant, on
gZla]flڑÚÚڀ”„ÚÝڂÚÝÚ~‡”
c

†”ƒÚÞڂ”~ÚÞÚ~”…‚
donc lorsqu’on classe les nombres négatifs dans l’ordre croissant,
gfÚgZla]flڑÚÚÚ¥Úچ”ƒÚÝڥڂ”~ÚÝÚ¥Ú~”…‚

La réponse à la question posée est donc :


¥Ú†”ƒÚÝڥڂ”~ÚÝÚ¥Ú~”…‚ÚÝڀ”„ÚÝڂÚÝÚ~‡”

b) – 3,41 < – 3,4 < – 0,783 < – 0,78 < 4,71 < 4,72 < 9 Z¨ÚC]kÚfgeZj]kÚhgkala^kÚkgflڑÚÚځ”„~ڕچڕځ”„Ú
C]kÚfgeZj]kÚf#_Yla^kÚkgflڑÚڥڀ”Ú•Ú¥Ú‡”„…Ú•Ú¥Ú€”~ڕڥڇ”„…€

Lorsqu’on classe les nombres positifs dans l’ordre croissant, on


gZla]flڑÚÚځ”„~ÚÝځ”„ÚÝچ

€”~ÚÞÚڀ”ÚÞÚڇ”„…€ÚÞÚڇ”„…
donc lorsqu’on classe les nombres négatifs dans l’ordre croissant,
gfÚgZla]flڑÚÚڥڀ”~ÚÝڥڀ”ÚÝڥڇ”„…€ÚÝڥڇ”„…

La réponse à la question posée est donc :


¥Ú€”~ÚÝڀ”ÚÚÝڥڇ”„…€ÚÝÚڥڇ”„…ÚÝځ”„~ÚÝÚځ”„ÚÝچ

a) Les nombres positifs sont : 3,005 ; 30,55 ; 3,05


Exercice 29 Les nombres négatifs sont : – 3,055 ; – 3,3 ; – 3,33 ; – 3,005

a) Lorsqu’on classe les nombres positifs dans l’ordre décroissant,


30,55 > 3,05 > 3,005 > – 3,005 > – 3,055 > – 3,3 > – 3,33 on obtient : 30,55 > 3,05 > 3,005
3,005 < 3,055 < 3,3 < 3,33
donc lorsqu’on classe les nombres négatifs dans l’ordre
décroissant, on obtient :
– 3,005 > – 3,055 > – 3,3 > – 3,33

La réponse à la question posée est donc :


€‡”‚‚ÚÞڀ”‡‚ÚÞڀ”‡‡‚ÚÞڣڀ”‡‡‚ÚÚÞڥڀ”‡‚‚ÚÞÚڥڀ”€ÚÞڥڀ”€€
b)
3,33 > 3,3 > 3,055 > 3,005 > – 3,005 > – 3,05 > – 30,55 b) Répondre à la question posée, c’est classer dans l’ordre
décroissant les nombres suivants :
3,055 ; – 3,005 ; 3,3 ; – 30,55 ; 3,33 ; – 3,05 ; 3,005.

Les nombres positifs sont : 3,055 ; 3,3 ; 3,33 ; 3,005


Les nombres négatifs sont : – 3,005 ; – 30,55 ; – 3,05

Lorsqu’on classe les nombres positifs dans l’ordre


décroissant, on obtient : 3,33 > 3,3 > 3,055 > 3,005

3,005 < 3,05 < 30,55


donc lorsqu’on classe les nombres négatifs dans l’ordre
décroissant, on obtient : – 3,005 > – 3,05 > – 30,55

La réponse à la question posée est donc :


3,33 > 3,3 > 3,055 > 3,005 > – 3,005 > – 3,05 > – 30,55
Compare cette réponse à celle du a).

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c
c Séquence 8

Exercice 30

2,5
On peut trouver la réponse en tâtonnant, mais le mieux, bien
sûr, est de l’obtenir avec méthode.

Dans la bulle inférieure, se trouve le plus petit des cinq


nombres, soit – 4,1.
Dans la bulle supérieure, se trouve le plus grand, soit 2,5.
On a ainsi :
2,4
2,5
2,29
- 3,9 2,4

-4
- 4,1

- 4,1

Dans la bulle supérieure de droite non encore remplie, se trouve


(vu la position de la bulle), le plus grand des trois nombres :
”†Ú•Ú£Ú€”†Ú•Ú£Ú”
[¾]kl££\aj]Ú”†Ú
On a donc :
2,5

2,4
2,29

- 4,1

Dans la bulle supérieure non remplie qui reste, se trouve le plus


_jYf\Ú\]kÚ\]mpÚfgeZj]kڑÚÚڥځÚ]lڥڀ”†Ú[¾]kl££\aj]ڥڀ”†Ú
§\¾g3ÚdYÚ^a_mj]Ú[a£bgafl¨

Exercice 31
ÜÚCYÚj#hgfk]Úk]jYalÚڟÚnjYaڞ”ÚkaÚchaque somme de deux nombres
C’est faux. était supérieure à chacun de ses termes, ce qui n’est pas le cas.
Justification :
On a : – 4 + (– 7) = – 11. ÜÚ@dÚf]Ú^YddYalÚhYkÚgmZda]jÚ\] justifier la réponse.
Par ailleurs, on a :
ÜÚÚÚÚ¥Ú~~ÚÝڥځ
ÜÚÚÚÚ¥Ú~~ÚÝڥڄ

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Ce que tu devais faire
Exercice 32
1)
Séance 5
Les commentaires du professeur
c
Séquence 8 c

+(-3) +(-3) +(-3) +(-3)


2 −1 −4 −7 − 10
2)
+1,5 +1,5 +1,5 +1,5
- 17 -15,5 -14 -12,5 -11

Exercice 33 Chemin nombre de points


Il existe 6 chemins. E V K E R –6
Le plus grand résultat est – 2. E V L E R –3
Le chemin qui donne le plus grand résultat E V L F R – 10
est donc : E U L E R
E ÚLÚ L E R –2
E ÚLÚ L F R –9
E ÚLÚ M F R –7
Les commentaires du professeur
Pour répondre à la question posée, il faut d’abord trouver les différents chemins. Afin de ne pas en oublier, il faut les déterminer
Yn][Úe#l`g\]ÚMgqgfkÚ[gee]flÚkmjÚmfÚ]p]ehd]ÚJaÚd¾gfÚnY”ÚhYjÚ]p]ehd]”Ú\]Ú<Ún]jkÚM”ÚgfÚh]mlÚ]fkmal]ÚYdd]jÚ\]ÚMÚn]jkÚBÚgmÚ\]ÚMÚn]jkÚ
L. On cherche donc tous les trajets commençant par :
ÜÚ<Ú V ฀BÚ
ÜÚhmakÚ[]mpÚ[gee]fzYflÚhYjÚ<Ú V ฀L.

Il n’y a qu’un seul trajet commençant par E V ÚB”ÚÚkYngajڑÚÚÚ<Ú V ÚBÚ E R.


Il y a deux trajets commençant par E V L :
ÜÚ<Ú V L E R
ÜÚ]lÚÚ<Ú V L F R. (puisqu’il y a deux flèches partant de L).
Une fois déterminés tous les trajets commençant par E V , on cherche, en raisonnant comme précédemment ceux commençant
par E U. On trouve :
ÜÚ<Ú U L E R
ÜÚ<Ú U L F ฀R
}
ceux commençant par E U ฀L

ÜÚ<Ú U M F R } ceux commençant par E U ฀M

Au total, il existe donc 6 chemins. Voici le détail des calculs pour chacun :

E V ฀K E R ¥Ú…ÚµÚ§¥‚¨Ú¹Ú¥Ú~€Ú ¥~€ÚµÚ§¥Úƒ¨Ú¹Ú¥Ú~†Ú ¥~†ÚµÚ§¥Ú¨Ú¹Ú¥Ú~Ú ¥Ú~ÚµÚ~‚Ú¹Ú¥Úƒ


Ce qui peut s’écrire : –8 + (–5) + (–6) + (–2) + 15 = –6
E V L E R ¥Ú…ÚµÚ§¥‚¨Ú¹Ú¥Ú~€Ú ¥~€ÚµÚ§¥Ú€¨Ú¹Ú¥Ú~ƒÚ Ú¥~ƒÚµÚ§¥Ú¨Ú¹Ú¥Ú~…Ú ¥~…ÚµÚ~‚Ú¹Ú¥Ú€
Ce qui peut s’écrire : –8 + (–5) + (–3) + (–2) + 15 = – 3
E V L F RÚ ¥Ú…ÚµÚ§¥‚¨Ú¹Ú¥Ú~€Ú ¥~€ÚµÚ§¥Ú€¨Ú¹Ú¥Ú~ƒÚ ¥~ƒÚµÚ§¥Ú†¨Ú¹Ú¥Ú‚Ú ¥Ú‚ÚµÚ~‚Ú¹Ú¥Ú~‡
Ce qui peut s’écrire : –8 + (–5) + (–3) + (–9) + 15 = – 10
E U L E RÚ ¥Ú…ÚµÚ§¥¨Ú¹Ú¥Ú~Ú ¥~ÚµÚ§¥Ú€¨Ú¹Ú¥Ú~‚Ú ¥~‚ÚµÚ§¥Ú¨Ú¹Ú¥Ú~„Ú ¥~„ÚµÚ~‚Ú¹Ú¥Ú
Ce qui peut s’écrire : –8 + (–4) + (–3) + (–2) + 15 = – 2
E U L F RÚ ¥Ú…ÚµÚ§¥¨Ú¹Ú¥Ú~Ú ¥~ÚµÚ§¥Ú€¨Ú¹Ú¥Ú~‚Ú ¥~‚ÚµÚ§¥Ú†¨Ú¹Ú¥ÚÚ ¥ÚµÚ~‚Ú¹Ú¥Ú†
Ce qui peut s’écrire : –8 + (–4) + (–3) + (–9) + 15 = – 9
E U M F RÚ ¥Ú…ÚµÚ§¥¨Ú¹Ú¥Ú~Ú ¥~ÚµÚ§¥Ú~¨Ú¹Ú¥Ú~€Ú ¥~€ÚµÚ§¥Ú†¨Ú¹Ú¥ÚÚ ¥ÚµÚ~‚Ú¹Ú¥Ú„
Ce qui peut s’écrire : –8 + (–4) + (–1) + (–9) + 15 = – 7
Rappel : De deux nombres négatifs, le plus grand est celui qui a la plus petite distance à zéro.
Euler est un mathématicien du XVIIIe siècleÚf#Ú]fÚJmakk]Ú]fÚ~„‡„ÚFfÚ[gfka\$j]Úim]Ú[¾]klÚd¾un des plus grands génies
mathématiques que le monde ait connu. Il s’est intéressé aux nombres relatifs.

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c
c Séquence 8

Exercice 34
1)
a)
A = 5 + (– 16) + 29 + (- 17) + 70
Pour le moment, on ne connaît aucune propriété de l’addition
des nombres relatifs. Aussi, pour calculer les sommes de cet
exercice, on ne dispose que d’une seule méthode : les effectuer
de gauche à droite.

A= – 11 + 29 + (– 17) + 70

A= 18 + (– 17) + 70

A= 1 + 70
A= 71

b)
Á On commence par effectuer le calcul entre parenthèses.
B = – 17 + (29 + 70) + (– 16) + 5

B = – 17 + 99 + (–16) + 5

B= 82 + (–16) + 5

B= 66 +5
B= 71
£ÚÜÚ:Yd[mdÚ\]Ú8ÚÚdYÚ[Yd[mdYlja[]
Je tape :
2) La calculatrice affiche les résultats que j’avais 5 + (-) 16 + 29 + (-) ~„ÚÚ + ڄ‡Ú EXE
trouvés.
@dÚk¾Y^^a[`]ڄ~

ÜÚ:Yd[mdÚ\]Ú9ÚÚdYÚ[Yd[mdYlja[]
Je tape :
(-) Ú~„Ú + ( 29 + ڄ‡Ú ) + (-) 16 + 5 EXE
@dÚk¾Y^^a[`]ڄ~

3) Je remarque que l’on a :


5 + (-16) + 29 + (-17) + 70 = - 17 + (29 + 70) + (- 16) + 5

4) a) On obtient la somme B en changeant l’ordre


des termes de celle A et en groupant deux d’entre 4 b) On admettra que la réponse à la question posée dans le
eux (29 et 70). 4 b) est « oui ». Retiens ce résultat :
Z¨Ú;YfkÚmf]Úkgee]Ú\]ÚfgeZj]kÚj]dYla^k”Úh]ml£gfÚ Dans une somme, on peut changer l’ordre des nombres et
changer l’ordre des termes et les grouper comme les grouper comme on veut.
on veut ?

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Exercice 35
1) Les calculs de Yasmina et Fannelle sont
corrects.

2)
c
Séquence 8 c

a) Yasmina effectue A \]ÚdYÚ_Ym[`]Ún]jkÚdYÚ\jgal]


b) Fannelle a mis ensemble Á méthode correcte, puisque dans une somme on peut changer
ÜÚd]kÚfgeZj]kÚpositifs, l’ordre des termes et les grouper comme on veut.
ÜÚd]kÚfgeZj]kÚf#_Yla^k.

3) La méthode de Fannelle est préférable à celle


de Yasmina.
PYkeafYÚYbgml]ÚljgakÚ^gakÚ\]kÚfgeZj]kÚ\]Úka_f]kÚ Á Dire que des nombres sont de signes contraires, c’est dire
contraires, tandis que =Yff]dd]Úf¾]fÚYbgml]Ú que l’un des deux nombres est positif et que l’autre est négatif.
im¾mf]Úk]md]Ú^gak (à la fin de son calcul).
Il est plus facile d’ajouter des nombres de même
signe que des nombres de signes contraires.

Exercice 36 JaÚd¾gfÚ]^^][lm]Úd]Ú[Yd[mdÚ\]Ú_Ym[`]ÚÚ\jgal]”Ú[¾]klÚ^Ykla\a]mp
FfÚj]eYjim]Úim]Ú\]mpÚl]je]kÚ\]ÚdYÚkgee]Ú§¥Ú„ƒ”Ú]lڄƒ”¨Ú
– 76,4 + (– 49,1) + 76,4 + (– 7,3) = – 76,4 + 76,4 + (– 49,1) + (– 7,3) sont opposés.
8^afÚ\¾mladak]jÚd¾#_Ydal#ڑÚÚڥڄƒ”ÚµÚ„ƒ”Ú¹Ú‡ÚgfÚj]_jgmh]Ú[]kÚ
deux termes.
– 76,4 + (– 49,1) + 76,4 + (– 7,3) = 0 + (– 49,1) + (– 7,3)

ÁÚCgjkim¾gfÚYbgml]ڥځ†”~ÚµÚ§¥Ú„”€¨Úڇ”ÚgfÚgZla]flÚ\gf[Ú
Quel que soit le nombre relatif a, on a : 0 + a = a.
¥Ú†”~ÚµÚ§¥Ú„”€¨Ú

On a donc :
– 76,4 + (– 49,1) + 76,4 + (– 7,3) = – 49,1 + (– 7,3)
– 76,4 + (– 49,1) + 76,4 + (– 7,3) = – 56,4

Mahreb a manifestement remarqué que deux


termes de la somme étaient opposés :
– 76,4 et 76,4.
Il en a déduit en raisonnant mentalement comme
ci-dessus que Avec la méthode de Mahreb, le calcul peut être effectué de tête.
– 76,4 + (– 49,1) + 76,4 + (– 7,3) = – 49,1 + (– 7,3)
Chaque fois qu’on doit calculer une somme dont deux des
termes sont opposés, il faut penser à utiliser la méthode de
calcul qu’on peut faire Mahreb.
mentalement En pratique, on commence par barrer les termes opposés.
GgmjÚ]^^][lm]jڣڄƒ”ÚµÚ§£Ú†”~¨ÚµÚ„ƒ”ÚµÚ§£Ú„”€¨
par exemple, on présente les calculs ainsi :
76,4 µÚ§£Ú†”~¨ÚµÚ 76,4 µÚ§£Ú„”€¨Ú¹Ú£Ú†”~ÚµÚ§£Ú„”€¨Ú¹Ú£Ú‚ƒ”

Exercice 37
A = 1 833 + (– 976) + 3 976 + (– 2 833)
A = 3 976 + (– 976) + 1 833 + (– 2 833)
Chaque fois qu’on doit additionner des nombres relatifs, il faut
penser à regarder s’il y a des termes dont la somme est facile à
A= 3 000 + (– 1 000) calculer.
A= 2 000

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c
c Séquence 8

Exercice 38
ÜÚ:Yd[mdÚ\]Ú8
A = 20,4 + (–12,1) + 7,6 + 3, 5 + (– 6,9) + ( − 3, 5)
A = 20,4 + 7,6 + (–12,1) + (– 6,9)
On applique le précédent « Je comprends la méthode ».

Á On remarque qu’il y a deux termes opposés : 3,5 et – 3,5.


Á On met ensemble les nombres positifs et les nombres
négatifs.
A= 28 + (– 19)
A= 9
ÜÚ:Yd[mdÚ\]Ú9
B = −35 + 42 + (–13) + 70 + ( −7) Á On regarde s’il y a des termes opposés. On n’en voit pas a priori.
On observe alors bien les nombres. On remarque que :
¥Ú€‚ÚµÚ§¥Ú„¨Ú¹Ú¥Ú
:gee]ځÚµÚ§¥Ú¨Ú¹Ú‡”ÚgfÚYڑÚÚځÚµÚ§¥Ú€‚¨ÚµÚ§¥Ú„¨Ú¹Ú‡
FfÚh]mlÚZYjj]jÚd]kÚljgakÚfgeZj]kڥڀ‚”Úځ”ÚڥڄÚ
8bgml]jڇÚÚdYÚÚkgee]Ú¥Ú~€ÚµÚ„‡Úf]Ú[`Yf_]ÚhYkÚkYÚnYd]mj
B = – 13 + 70 Á On peut éviter d’écrire les parenthèses autour de – 13.
B = 57
ÜÚ:Yd[mdÚ\]Ú:
C = – 9,2 + ( − 6) + 47 + 10 + (– 52) + ( − 4) Á On regarde s’il y a des termes opposés. On n’en voit pas à
priori.
On observe alors bien les nombres. On remarque que :
(– 6) + (– 4) = – 10
Comme 10 + (– 10) = 0, on a : 10 + (– 6) + (– 4) = 0.
On peut barrer les trois nombres – 6, – 4, 10.
8bgml]jڇÚÚÚdYÚÚkgee]ÚÚÚڥچ”ڵځ„ÚµÚ§¥Ú‚¨Úf]Ú[`Yf_]ÚhYkÚkYÚnYd]mj
C = 47 + (– 9,2) + (– 52) Á On met ensemble les nombres positifs et les nombres négatifs.

C = 47 + (– 61,2)
C = – 14,2
Exercice 39
-7 3 4 -10
Les commentaires du professeur :
ÜÚGgmj commencer, on essaie de trouver à quoi est égale la somme des nombres -2 -4 -5 1
de chaque ligne, de chaque colonne, et de chaque diagonale.
On remarque qu’on connaît tous les nombres d’une diagonale : -6 0 -1 -3
¥Ú„ÚµÚ§¥Ú¨ÚµÚ§¥~¨ÚµÚÚ¹Ú¥Ú~ÚµÚÚ¹Ú¥Ú~‡
JmjÚ[`Yim]Úda_f]”Ú[`Yim]Ú\aY_gfYd]Ú]lÚ\YfkÚ[`Yim]Ú[gdgff]” 5 -9 -8 2
la somme des nombres est donc égale à – 10.

ÜÚ;$kÚim]ÚkmjÚmf]Úda_f]”Úmf]Ú\aY_gfYd]ÚgmÚ\YfkÚmf]Ú[gdgff]ÚgfÚ[gffY)lÚljgakÚ\]kÚimYlj]ÚfgeZj]k”Ú
on peut trouver le nombre manquant. On peut donc trouver les nombres figurant dans les trois
cases mak]kÚ]fÚ#na\]f[]Ú[a£[gflj] -7 3  -10
¥Ú„ÚÚµÚ€ÚµÚ + (– 10) = – 10ÚÚ \gf[ÚÚÚڥڄÚÚµÚ€ÚµÚ = 0 (en ajoutant 10 aux deux membres)  -4
soit – 4 + = 0 d’où : =4
-6 -1
ڥڄÚÚµÚÚ ÚµÚ§¥Úƒ¨ÚµÚ‚ÚÚ¹Ú¥Ú~‡Ú \gf[ÚÚÚÚ¥Ú…ÚµÚ = – 10 d’où : =–2
5 + ÚµÚ§¥Ú…¨ÚµÚÚÚ¹Ú¥Ú~‡Ú \gf[ÚÚÚÚ¥Ú~ÚµÚ = – 10 d’où : =–9
5  -8 2

ÜÚÚFfÚh]mlÚ]fkmal]Ú\#l]jeaf]jÚ puis et # puis : -7 3 4 -10


3 + (– 4) + + (– 9) = – 10 donc – 10 + = – 10 d’où : =0 -2 -4  
– 6 + 0 + (– 1) + Ú¹Ú¥Ú~‡Ú \gf[ÚÚÚÚÚ¥Ú„ÚµÚ = – 10 d’où : =–3 -6  -1 
ÚµÚ³ÚÚµÚ§¥Ú~¨ÚµÚ§¥Ú…¨Ú¹Ú¥Ú~‡Ú \gf[ÚÚÚڥڂڵڳÚÚ¹Ú¥Ú~‡Ú \¾g3ڑ # =–5 5 -9 -8 2
– 2 + (– 4) + (– 5) + = – 10 donc – 11 + = – 10 d’où : =1

Exercice 40
a) (+ 2) + (+ 3) + (– 4) + (+ 5) = 6 On peut commencer à chercher la réponse par tâtonnement.
b) (– 2) + (– 3) + (+ 4) + (– 5) = – 6

50 — © Cned, Mathématiques 5e, 2008

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Ce que tu devais faire
Exercice 41
1)
4 + 5 = 9
Séance 6

8 + (− 5) = 3
Les commentaires du professeur

−2 + 9 = 7
Séquence 8

c c

9 − 4 3 − 8 7 − (−2)
2)
a) – 2 – (– 5) est le nombre ? tel que : – 5 + ? = – 2
On sait que – 5 + 3 = – 2 donc : ? = 3 d’où : – 2 – (– 5) = – 3
b) – 10 – (– 3) est le nombre ? tel que : – 3 + ? = – 10
On sait que – 3 + ( – 7) = – 10 donc : ? = – 7 d’où : – 10 – (– 3) = – 7

3) – 2 – (– 5) ÜÚ Ú Ú Ü – 10 + 3
– 10 – (– 3) ÜÚ Ú Ú Ü 7+2
7 – (– 2) ÜÚ Ú Ú ÜÚÚ – 2 + 5

b) Il semble que j]ljYf[`]jÚmfÚfgeZj]Úf#_Yla^ revient à ajouter son opposé.

Les commentaires du professeur


L’égalité : – 2 – ( – 5 ) = – 2 + 5 met en évidence que retrancher – 5 revient à ajouter 5.
L’égalité : – 10 – ( – 3 ) = – 10 + 3 met en évidence que retrancher –3 revient à ajouter 3.
On admettra que soustraire un nombre relatif revient à ajouter son opposé.
Exercice 42
a) Retrancher – 23, c’est ajouter l’opposé de – 23 (soit 23).
a) 17 – (– 23) = 17 + 23 = 40 b) Retrancher – 25, c’est ajouter l’opposé de – 25 (soit 25).
b) – 37 – (– 25) = – 37 + 25 = – 12 c) Retrancher 13, c’est ajouter l’opposé de 13 (soit – 13).
\¨ÚI]ljYf[`]jڥڄ”Ú[¾]klÚYbgml]jÚd¾ghhgk#Ú\]ڥڄÚ§kgalÚڄ¨
c) – 6 – 13 = – 6 + (–13) = – 19 ]¨ÚI]ljYf[`]jڅƒ”Ú[¾]klÚYbgml]jÚd¾ghhgk#Ú\]څƒÚ§kgalÚڥڅƒ¨
d) – 72 – (–72) = – 72 + 72 = 0 f) On n’utilise pas la propriété du dernier « je retiens » :
on sait faire le calcul proposé depuis l’école primaire.
e) 24 – 86 = 24 + (– 86) = – 62
f) 52 – 47 = 5

Exercice 43 Les nombres 3 – 2 et 2 – 3 sont opposés.


Cgjkim¾gfÚafl]jn]jlalÚd]kÚ\]mpÚl]je]kÚ\¾mf]Ú\a^^#j]f[]”ÚgZla]fl£
ÜÚ>j#_gaj]ÚYÚlgjl on toujours un nouveau résultat opposé à l’ancien ?
En effet : 3 – 2 = 1 tandis que 2 – 3 = – 1 Afin de voir s’il en est ainsi, on prend des exemples.
Pour économiser ses efforts, on peut utiliser des résultats
obtenus à l’exercice 42.
ÜÚDYpae]ÚYÚjYakgfÚ d’affirmer que d¾gj\j]Ú\]kÚ
~„Ú¥Ú§¥Ú€¨Ú¹Ú‡ ¥Ú€Ú¥Ú~„Ú¹Ú¥Ú€Úµ§¥Ú~„¨Ú¹Ú¥Ú‡Ú
l]je]kÚ\YfkÚmf]Ú\a^^#j]f[]ÚYÚ\]Úd¾aehgjlYf[]
¥Ú€„Ú¥Ú§¥Ú‚¨Ú¹Ú¥Ú~ ¥Ú‚Ú¥Ú§¥€„¨Ú¹Ú¥Ú‚ÚµÚ€„Ú¹Ú~
– 6 – 13 = – 19 13 – (– 6) = 13 + 6 = 19
~„Ú¥Ú§¥Ú€¨ÚÚ]lÚÚÚ¥Ú€Ú¥Ú~„ÚÚÚkgflÚghhgk#k
Il en est de même de :
ÚÜڥڀ„Ú¥Ú§¥Ú‚¨ÚÚÚ]lÚÚÚ¥Ú‚Ú¥Ú§¥€„¨”
ÚÜڥڃڥÚ~€ÚÚÚ]lÚÚ~€Ú¥Ú§¥Úƒ¨
G]ml£gfÚ[gf[dmj]Úim]Úd]kÚfgeZj]kÚÚYÚ¥ÚZÚ]lÚZÚ¥ÚYÚkgflÚghhgk#kÚ
quels que soient les nombres relatifs a et b?

Maxime, après avoir pris beaucoup d’exemples, a Non, car on n’a pas comparé les différences a – b et b – a pour
certainement remarqué que les nombres relatifs tous les nombres relatifs a et de b.
a – b et b – a semblaient toujours opposés. Il ne
h]mlÚ[]h]f\YflÚd¾Y^^aje]j”ÚlYflÚim¾adÚf]Úd¾YÚhYkÚ On admettra cependant, que les nombres a – b et b – a sont
démontré toujours opposés. Il est bon de connaître ce résultat.

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c
c Séquence 8

Exercice 44

~¨ÚC¾_]Ú\]ÚG#ja[d$kÚÚkYÚegjlÚétait (en années) :


– 429 – (– 495) = – 429 + 495 = 66
« âge à la mort = année de la mort – année de naissance »

¨ÚC¾Yff#]Ú\]ÚdYÚegjlÚ\]ÚG`a\aYkÚest : « année de la mort = année de naissance + âge à la mort »


– 490 + 41 = – 449
€¨ÚC¾Yff#]Ú\]ÚfYakkYf[]Ú\¾8fYpY_gj] est : « année de naissance = année de la mort – âge à la mort »
– 428 – 72 = – 428 + (–72) = – 500

Exercice 45

a) – 2,75 + = – 3,6 b) 19,1 + = 9,64 c) – 4,6 + = – 3,53

= – 3,6 – (– 2,75) = 9,64 – 19,1 = – 3,53 – (– 4,6)


= – 3,6 + 2,75 = 9,64 + (–19,1) = – 3,53 + 4,6
= – 0,85 = – 9,46 = 1,07

Les commentaires du professeur :


Y¨ÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚ¥Ú”„‚Ú\gff]ڥڀ”ƒÚ]klÚdYÚ\a^^#j]f[]Ú\]ڥڀ”ƒÚ]lÚ\]Ú¥Ú”„‚ÚkgalڑÚÚڥڀ”ƒÚ¥Ú§¥Ú”„‚¨
b) Le nombre qui ajouté à 19,1 donne 9,64 est la différence de 9,64 et de 19,1 soit : 9,64 – 19,1.
c) Le nombre qui ajouté à – 4,6 donne – 3,53 est la différence de – 3,53 et de – 4,6 soit : – 3,53 – (– 4,6).

Exercice 46
1) ;¾Yhj$kÚd¾#fgf[#”ÚgfÚYڑ
– 15,9 = – 56,6 Á –56,6 est la différence de et de 15,9 donc – 56,6 est le
d’où : = – 56,6 + 15,9 nombre qu’il faut ajouter à 15,9 pour obtenir .

soit : = – 40,7

2) ;¾Yhj$kÚd¾#fgf[#”ÚgfÚYڑ
22,41 – = – 38,9 ÁÚ¥€…”†Ú]klÚdYÚ\a^^#j]f[]Ú\]ÚÚ”~Ú]lÚ\]Ú Ú\gf[ڥڀ…”†Ú]klÚ
d’où : – 38,9 + = 22,41 le nombre qu’il faut ajouter à pour obtenir 22,41.
ÁÚC]ÚfgeZj]ÚimaÚYbgml#ÚÚڥڀ…”†Ú\gff]Ú”~Ú]klÚdYÚ
Par conséquent : = 22,41 – (– 38,9)
\a^^#j]f[]Ú\]Ú”~Ú]lÚ\]ڥڀ…”†ÚkgalڑÚÚÚ”~Ú¥Ú§¥Ú€…”†¨
soit : = 22,41 + 38,9
c’est-à-dire = 61,31

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Exercice 47

46,49
c
Séquence 8 c

17,99 - 28,5

7,44 - 10,55 17,95

7,1 - 0,34 10,21 - 7,74


Les commentaires du professeur :
Cet exercice n’est pas facile !
On doit déterminer , , , , # et .
ÜÚFfÚj]_Yj\]Ú[]Úim]Úd¾gfÚh]mlÚ[Yd[md]jÚ\YfkÚmfÚ~]jÚl]ehkڑÚadÚf¾qÚYÚim]Ú !
ڄ”~Ú¥Ú Ú¹Ú„”ÚÚÚÚÚÚ\gf[ÚڑÚÚÚڄ”ÚµÚ ڹڄ”~
46,49
D’où : ڹڄ”~ڥڄ”Ú¹Ú„”~ÚµÚ§¥Ú„”¨ÚÚÚÚÚ = – 0,34
 
ÜÚFfÚf]Úh]mlÚ]fkmal]Ú[Yd[md]jÚim]Ú .
= – 0,34 – 10,21 = – 0,34 + (– 10,21) d’où : = – 10,55 7,44  
7,1  10,21 
ÜÚFfÚf]Úh]mlÚ]nsuite calculer que .
Ú¹„”Ú¥Ú§¥Ú~‡”‚‚¨Ú¹Ú„”ÚµÚ~‡”‚‚ÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚ\¾g3ڑÚÚÚÚ Ú¹Ú~„”††ÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚ

ÜÚFfÚf]Úh]mlÚ]fkmal]Ú[Yd[md]j que , puis # et .


On procède comme pour le calcul de :

ÜÚ~„”††ÚÚ¥Ú = 46,49 d’où : Ú¹Ú¥Ú…”‚ÚÚÚ


ÜÚÚ¥Ú~‡”‚‚ÚÚ¥ÚÚ³Ú¹Ú¥Ú…”‚ÚÚÚÚÚ\¾g3ڑÚÚÚÚ³Ú¹Ú~„”†‚
ÜÚÚ~‡”~ÚÚ¥ÚÚ ÚÚ¹Ú~„”†‚ÚÚÚÚÚ\¾g3ڑÚÚÚÚ Ú¹Ú¥Ú„”„
Exercice 48
1) La somme de – 7,81 et de la différence de 3,47
2)
et de 9,6 se note : – 7,81 + (3,47 – 9,6).
ÜÚ;YfkÚmf]Ú]phj]kkagfÚ[gfl]fYflÚ\]kÚhYj]fl`$k]k”ÚgfÚ]^^][lm]Ú
d’abord les calculs entre parenthèses (d’après la règle de priorité
2)
4 de la séquence 2).
– 7,81 + (3,47 – 9,6) = – 7,81 + [3,47 + (– 9,6)] ÜÚ;]kÚ[jg[`]lkÚkgflÚ\]kÚhYj]fl`$k]kÚFfÚj]ehdY[]Úmf]Ú
–7,81 + (3,47 – 9,6) = – 7,81 + (– 6,13) parenthèse par des crochets quand à l’intérieur de la parenthèse
d’où : – 7,81 + (3,47 – 9,6) = – 13,94 il y a déjà des parenthèses. Cela permet d’y voir plus clair.

Exercice 49
~¨ÚÚ8 est la différence de – 2,1 et de la somme de – 13 et de 5,85.

2) A = – 2,1 – (–13 + 5,85)


A = – 2,1 – (– 7,15)
A = – 2,1 + 7,15
ÚÚÚÚÚÚ8ڹڂ”‡‚

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c
c Séquence 8

Ce que tu devais faire


Exercice 50
1) D C O
Séance 7

A
Les commentaires du professeur

B
-5 -2 0 1 3 8

Points A B C ;
Abscisses 3 8 –2 –5
2)
abscisse abscisse
comparaison des abscisse la plus grande – abscisse la plus petite
longueur de la 1ère de la 2ème
deux abscisses
extrémité extrémité
[AB] 5 3 8 3<8 8–3=5
©:;ª 3 –2 –5 –2>–5 – 2 – (– 5) = – 2 + 5 = 3
[AC] 5 3 –2 3>–2 3 – (– 2) = 3 + 2 = 5
©;9ª 13 –5 8 –5<8 8 – (– 5) = 8 + 5 = 13

3) Il semble d’après les deux colonnes colorées, im¾gfÚgZla]flÚdYÚ\aklYf[]Ú\]Ú\]mpÚhgaflkÚ\¾mf]Ú\jgal]Ú


_jY\m#]Ú]fÚ[Yd[mdYflÚdYÚ\a^^#j]f[]Ú]flj]Úd¾YZk[akk]ÚdYÚhdmkÚ_jYf\]Ú]lÚd¾YZk[akk]ÚdYÚhdmkÚh]lal]

Les commentaires du professeur :


3) On admettra qu’on obtient effectivement la distance de deux points d’une droite graduée en calculant la différence entre
l’abscisse la plus grande et l’abscisse la plus petite.
Exercice 51
1) C B O D A
-1,8 0 1 4,2

2) Comme 4,2 > –1,8 on a : AB = 4,2 – (– 1,8) soit AB = 4,2 + 1,8 c’est-à-dire 89ڹڃ

3) a)Ú;¾Yhj$kÚd¾#fgf[#”Ú:Ú]klÚd]Úkqe#ljaim]Ú\]Ú8ÚhYjÚjYhhgjlÚÚFÚ\gf[Úd¾abscisse de C est l’opposé de


celle de A soit – 4,2.
b) En raisonnant comme dans la question précédente, on montrerait que l’abscisse de D est l’opposé
de – 1,8 soit 1,8.

4)Ú:gee]Ú~”…ÚÞڥځ”ÚgfÚYڑÚÚÚ:;Ú¹Ú~”…Ú¥Ú§¥Ú”¨ÚÚÚkgalÚÚÚ:;Ú¹Ú~”…ڵځ”ÚÚÚÚ[¾]kl££\aj]ÚÚÚCD = 6.

5) a)Ú;¾Yhj$kÚd]Ú¨ÚgfÚYڑÚÚÚ89ڹڃÚ;¾Yhj$kÚd]ځ¨ÚgfÚYڑÚÚÚ:;ڹڃÚÚÚFfÚYÚ\gf[ڑÚÚÚ89Ú¹Ú:;
b) On pouvait prévoir le résultat.
Justification :ÚÚ;¾Yhj$kÚd¾#fgf[#ڑ
ÜÚ:Ú]klÚd]Úkqe#ljaim]Ú\]Ú8ÚhYjÚjYhhgjlÚÚF”
ÜÚ;Ú]klÚd]Úkqe#ljaim]Ú\]Ú9ÚhYjÚjYhhgjlÚÚF
;¾Yhj$kÚd]Ú[gmjk”Úmf]Úsymétrie centrale conserve les distances”Ú\gf[ڑÚÚÚ89Ú¹Ú:;

Les commentaires du professeur :


1) On trace C et D symétriques respectifs de A et B par rapport à O à l’aide d’un compas.
2) On applique le dernier « Je retiens ».
Une distance est un nombre positif. On vérifie donc qu’on obtient bien un résultat positif.
On vérifie également sur la droite graduée que le résultat obtenu a des chances d’être correct.
4) même commentaire que dans le 2)

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Exercice 52

A C B
Séquence 8

Bien qu’il ne soit pas demandé de représenter les points A,


c
B et C, il est conseillé de le faire. Cela permet de vérifier des
résultats sur la figure.
c

- 4,1 - 1,2 0 1,7

8eYmjqÚYÚjYakgf D’après le « Je retiens » du cours de 6ème qui suit l’exercice 25


de la séquence 1, pour prouver que C est le milieu de [AB], il
Justification : suffit de prouver que :
C ∈ [AB] et CA = CB.
1) On a : C ∈ ©89ª
(puisque l’abscisse de C est comprise entre celles
de A et de B).

2)ÚÜÚ:Yd[mdgfkÚ:8
Comme – 1,2 > – 4,1 on a : Á On applique le dernier « Je retiens ».
CA = – 1,2 – (– 4,1) soit CA = – 1,2 + 4,1
c’est-à-dire :8Ú¹Ú”†Ú Á Une distance est un nombre positif. On vérifie donc qu’on
ÜÚ:Yd[mdgfkÚ:9 obtient bien un résultat positif.
Comme 1,7 > – 1,2 on a : On vérifie également sur la droite graduée que le résultat
CB = 1,7 – (–1,2) soit CB = 1,7 + 1,2 obtenu a des chances d’être correct.
c’est-à-dire :9Ú¹Ú”†
Á même commentaire que précédemment
3) Conclusion :
On a :
ÜÚ:Ú∈ [AB]
ÜÚ:8Ú¹Ú:9 Attention, comme cela a été vu en sixième, pour démontrer que
C est le milieu de [AB], il ne suffit pas de prouver que
On peut donc conclure que C est le milieu de CA = CB.
[AB].

Exercice 53
1) moins 4,3 plus 4,3

A1 A A2
- 2,7 0
Il y a deux points répondant à l’énoncé : A1 et A2.

¨ÚÜÚC¾YZk[akk]Ú\]Ú81 est : – 2,7 – 4,3 = – 2,7 + (– 4,3) = – 7


ÜÚC¾YZk[akk]Ú\]Ú82 est : – 2,7 + 4,3 = 1,6

3)

A1 A A2
-7 - 2,7 0 1,6

Par lecture sur la droite graduée, je trouve que :


ÜÚd¾YZk[akk]Ú\]Ú81 est – 7
ÜÚ[]dd]Ú\]Ú82 est 1,6.

Les commentaires du professeur :


¨ÚÜÚ:gee]Ú81 est situé sur la droite graduée à gauche de A, à 4,3 unités de A, l’abscisse de A1 est : (abscisse de A) – 4,3
ÚÚÚÚÚÜÚ:gee]Ú82 est situé sur la droite graduée à droite de A, à 4,3 unités de A, l’abscisse de A2 est : (abscisse de A) + 4,3.

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c
c Séquence 8

Exercice 54
1) a) b) et 3) a)

M K N
- 5,7 - 1,7 0 2,3

2) Comme 2,3 > – 5,7 on a : 2)


MN = 2,3 – (– 5,7) soit MN = 2,3 + 5,7 On applique le dernier « Je retiens ».
Á Une distance est un nombre positif. On vérifie donc qu’on
c’est-à-dire MN = 8 obtient bien un résultat positif.
On vérifie également sur la droite graduée que le résultat
obtenu a des chances d’être correct.

3) b) On connaît l’abscisse de M.
MN FfÚh]mlÚljgmn]jÚ^Y[ad]e]flÚdYÚ\aklYf[]ÚDBÚ
3) b) K est le milieu de [MN] donc MK =
2 §ngajÚ[a£bgaflÚDBڹځ¨
:gee]ÚBÚÚ]klÚÚ\jgal]Ú\]ÚDÚkmjÚdYÚ\jgal]Ú_jY\m#]”ÚځÚmfal#k
Comme MN = 8 unités on a : MK = 4 unités \]ÚD”ÚgfÚgZla]flÚd¾YZk[akk]Ú\]ÚBÚ]fÚYbgmlYflځÚÚd¾YZk[akk]Ú\]ÚD
C¾YZk[akk]Ú\]ÚB est – 5,7 + 4 soit – 1,7. Lf]Ú^gakÚd]Új#kmdlYlÚn#ja^a#ÚkmjÚdYÚ^a_mj]”ÚgfÚ#[jalÚkgmkÚB
son abscisse.

Remarque :ÚFfÚhgmnYalÚgZl]fajÚd¾YZk[akk]Ú\]ÚBÚÚhYjlajÚ\]Ú[]dd]Ú
de N en écrivant :
MN
BÚ]klÚd]Úeada]mÚ\]Ú©DEªÚ\gf[ÚBEÚ¹
2
:gee]ÚDEڹڅÚmfal#kÚgfÚYڑÚÚÚKN = 4 unités
L’abscisse de K est donc : 2,3 – 4 soit – 1,7.

Exercice 55
1) 3)

G E F
- 9,8 - 6,1 - 2,4 0

2) Comme – 2,4 > – 6,1 on a : EF = – 2,4 – (– 6,1) soit EF = – 2,4 + 6,1 c’est-à-dire EF = 3,7

4) G est le symétrique de F par rapport à E donc E est le milieu de [GF]. On en déduit que : GE = EF.
L’abscisse de G est : – 6,1 – 3,7 = – 6,1 + (– 3,7) = – 9,8

Les commentaires du professeur :


2) On applique le dernier « Je retiens ».On vérifie qu’on obtient bien un résultat positif.
On vérifie également sur la droite graduée, que le résultat obtenu a des chances d’être correct.

3) On trace G à l’aide d’un compas.

¨ÚJmjÚdYÚ\jgal]Ú_jY\m#]”Ú>Ú]klÚÚ_Ym[`]Ú\]Ú<”Úڀ”„Úmfal#kÚ\]Ú<”Ú\gf[Úd¾YZk[akk]Ú\]Ú>Ú]klÚ#_Yd]ÚÚ§ÚYZk[akk]Ú\]Ú<¨Ú¥Ú€”„

56 — © Cned, Mathématiques 5e, 2008

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Exercice 56
1)
Séquence 8

c c

L M O N K
- 5,6 - 2,9 0 0,7 2,5

2) 2,5 > – 5,6 donc KL = 2,5 + (–5,6) soit KL = 2,5 + 5,6 c’est-à-dire KL = 8,1

2 2 8,1
3) a) KM = KL ; KL = 8,1 donc KM = x 8,1 = 2 x = 2 x 2,7 = 5,4
3 3 3

M est donc à gauche de K sur [KL], à 5,4 unités de K. Comme l’abscisse de K est 2,5, celle de M est :
2,5 – 5,4 = 2,5 + (–5,4) = – 2,9

2 2 5, 4
b) MN = MK ; MK = 5,4 donc MN = x 5,4 = 2 x = 2 x 1,8 = 3,6
3 3 3

N est donc à droite de M sur [MK], à 3,6 unités de M. Comme l’abscisse de M est – 2,9,
celle de N est : – 2,9 + 3,6 = 0,7

2 1 2
c) N est le point de [MK] tel que MN = MK, donc NK = MK. Or, d’après l’énoncé : MK = KL.
3 3 3

1 2 1x 2 2
On a donc : NK = x KL soit NK = KL c’est-à-dire NK = KL.
3 3 3x 3 9

Les commentaires du professeur :

2) On applique le dernier « Je retiens ». On vérifie qu’on M N K


obtient bien un résultat positif.

On vérifie également sur la droite graduée, que le résultat 2 MK


obtenu a des chances d’être correct. 3

3) a) b) Pense à vérifier tes résultats sur la figure.

c)

1 1
ÜÚÚ DBÚ¹Ú pÚDB
3 3
ÜÚÚGgmjÚemdlahda]jÚ\]mpÚ^jY[lagfk”ÚgfÚemdlahda]Úd]kÚfme#jYl]mjkÚ]flj]Ú]mpÚ]lÚd]kÚ\#fgeafYl]mjkÚ]flj]Ú]mp

© Cned, Mathématiques 5e, 2008 — 57

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c
c Séquence 8

Ce que tu devais faire


Exercice 57
Séance 8

Y¨ÚLfÚYk[]fk]mjÚ]klÚÚd¾#lY_]ڥڀÚ@dÚegfl]Ú\]Ú~‚Ú
Les commentaires du professeur
ÜÚ@dÚqÚYÚZa]fÚk4jÚmf]Úaf^afal#Ú\]Új#hgfk]kÚhgkkaZd]k
En voici une autre :
Aujourd’hui, Cortot a fait 5 parties de billes.
étages, descend successivement de 8 étages, puis Voici le bilan de chacune de ses parties.
de 5 étages.
Enfin, il remonte de 10 étages. Où s’immobilise- Bilan
t-il ? 1ère partie £Ú€
ème
2 partie + 15
b) En effectuant – 3 + 15 – 8 – 5 + 10 de la 3ème partie £Ú…
gauche vers la droite, on obtient : 4 ème
partie £Ú‚
- 3 + 15 – 8 – 5 + 10 = 9 5 ème
partie + 10
L’ascenseur s’immobilise donc au 9èmeÚ#lY_]
Quel est le bilan total de Cortot à la fin du jeu ?

ÜÚ;#lYadÚ\mÚ[Yd[mdÚ\]Ú:ÚÚ§hgmjÚd]Úege]fl”ÚgfÚkYalÚk]md]e]flÚ
calculer de gauche à droite ce type d’expression)
:ڹڥڀڵÚ~‚Ú¥Ú…Ú¥Ú‚ÚµÚ~‡

:Ú¹ÚÚÚÚÚ~ÚÚÚÚÚڥڅڥڂڵÚ~‡

C= 4 – 5 + 10

C= –1 + 10
C= 9
ÜÚÚÚÚڥڀڵÚ~‚Ú¥Ú…Ú¥Ú‚ÚµÚ~‡ est un exemple de somme
algébrique. Une somme algébrique est une suite d’additions et
de soustractions.
Exercice 58
1) A = 12 – 49,1 + 6 – 53,8 + 2
A = 12 + (– 49,1) + 6 + (– 53,8) + 2 Á Cette ligne met en évidence, que l’écriture
~ڥځ†”~ڵڃڥڂ€”…ÚµÚ

A = 12 + 6 + 2 + (– 49,1) + (– 53,8) est en quelque sorte une écriture simplifiée de la somme


~ÚµÚ§¥Ú†”~¨ÚµÚƒÚµÚ§¥Ú‚€”…¨ÚµÚ
Chaque fois que tu considèreras une expression du type de A, il
A= 20 + (– 102, 9)
faudra y penser.
8= – 82,9
2) B = 6 + 12 – 53,8 + 2 – 49,1 Á même type de remarque que précédemment
B = 6 + 12 + (– 53,8) + 2 + (– 49,1)
La somme B a les mêmes termes que la somme A.
Seul, l’ordre des termes change. C’est pourquoi
Paul peut conclure sans faire de calculs
que l’on a : 8Ú¹Ú9. On vient de démontrer que :
~ڥځ†”~ڵڃڥڂ€”…ÚµÚڹڃڵÚ~ڥڂ€”…ÚµÚڥځ†”~
Un raisonnement semblable aurait permis de montrer que :
~ڥځ†”~ڵڃڥڂ€”…ÚµÚڹڥځ†”~ÚµÚÚµÚ~ڥڂ€”…ÚµÚƒ
ou que :
Ú~ڥځ†”~ڵڃڥڂ€”…ÚµÚÚ¹~ڵڃڵÚڥځ†”~ڥڂ€”…ڐ
On a par ailleurs : 12 = + 12
N’oublie pas, par conséquent, que dans l’écriture
~ڥځ†”~ڵڃڥڂ€”…ÚµÚ
un signe + est sous – entendu devant 12.

58 — © Cned, Mathématiques 5e, 2008

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Exercice 59

K = – 6 + 5,2 + 2,8 – 15 + 12 – 5,2


Séquence 8

c
JaÚd¾gfÚ]kkYa]Ú\]Ú[Yd[md]jÚBÚ\]Ú_Ym[`]ÚÚ\jgal]”Ú[¾]klÚ^Ykla\a]mp
GYjÚ[gflj]”ÚgfÚh]mlÚh]fk]jÚim]ÚBÚ]klÚd¾#[jalmj]Úkaehda^a#]Ú\]ÚdYÚ
kgee]ڥڃڵڂ”ÚµÚ”…ÚµÚ§¥Ú~‚¨ÚµÚ~ÚµÚ§¥Ú‚”¨”ÚhmakÚngajÚk¾adÚ
y a des termes opposés.
c

K = – 6 + 5, 2 + 2,8 – 15 + 12 −5, 2 Á Il y a deux termes opposés : 5,2 et – 5,2.


On les barre.
K = 2,8 + 12 – 6 – 15
Á On met alors ensemble les nombres positifs (donc aussi les
nombres négatifs).
K= 14,8 – 21
Á On calcule la somme des nombres positifs ainsi que celle des
nombres négatifs.
K= - 6,2
Egl]ÚZa]fÚim¾gfÚh]mlÚ#nal]jÚ\¾#[jaj]Úd]Úka_f]ÚµÚ]flj]Ú~”…Ú]lÚ
– 21.
Il faut savoir calculer sans hésitation, avec la méthode utilisée
\YfkÚ[]lÚ]p]j[a[]”Úmf]Ú]phj]kkagfÚ\mÚlqh]Ú\]ÚB

Exercice 60 On applique le précédent « Je retiens ».

A= 7 – 9,6 + 12,1 – 15 + 6,3 − 7

A = 12,1 + 6,3 – 9,6 – 15

A= 18,4 – 24,6 ÁÚ#[jalmj]Úkaehda^a#]Ú\]ÚdYÚkgee]Ú\]Ú~…”Ú]lڥځ”ƒ

8Ú¹ÚÚÚÚÚÚÚÚڥڃ”

B = 4 – 5,3 +14 –2 +8 – 15,8 - 22

B = 4 – 5,3 – 2 – 15,8

B=4 – 23,1

9Ú¹ÚÚÚÚÚÚÚ¥Ú~†”~Ú

C = – 7,4 + 10 −28, 5 + 3,6 – 5,7 + 28, 5

C = 10 + 3,6 – 7,4 – 5,7

C = 13,6 – 13,1
C = 0,5
Exercice 61
ÜÚ8bgml]jڥڃ”Ú[¾]klÚkgmkljYaj]ڃ”ÚÚÚÚÚ
1) A = – 7,1 – 6,4 + 13 + 6,3 – 12,8 ÜÚJgmkljYaj]Ú¥Ú~€Ú[¾]klÚYbgml]jÚ~€ÚÚ
2)Ú;¾Yhj$kÚ[]ÚimaÚhj#[$\]”ÚgfÚYڑ

A = 13 + 6,3 – 7,1 – 6,4 – 12,8

d’où :
A = 19,3 – 26,3
8ڹڥڄ

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c
c Séquence 8

Exercice 62
E = 7 – (– 13) + 22 + (– 9) – (– 2)
E = 7 + 13 + 22 – 9 + 2
E = 42 – 9 + 2
On applique le précédent « Je retiens ».

E = 44 – 9
E = 35

F = – 2,3 + 1,2 – (– 2) + 0,9 + (– 5) + 0,3


F= − 2, 3 + 1,2 + 2 + 0,9 – 5 + 0, 3

F = 2,1 – 5
F = – 2,9

G = – 2,4 + (– 4,9) – (– 2,3) + 1,8 – (– 0,6)


G = – 2,4 – 4,9 + 2,3 + 1,8 + 0,6 Á Les nombres positifs sont déjà groupés. Inutile de les changer
G = 4,7 – 7,3 de place.
G = – 2,6
Exercice 63
R = 1,7 – (2 – 6) – 13 + 1 + (7 – 9)
R = 1,7 – (– 4) – 13 + 1 + (– 2)
R = 1,7 + 4 – 13 + 1 – 2
R = 1,7 + 4 + 1 – 13 – 2

R= 6,7 – 15
R= – 8,3

S = – 2,8 – (5 – 9) + (3 – 17,1) + 3
S = – 2,8 – (– 4) + (– 14,1) + 3
S = – 2,8 + 4 – 14,1 + 3
S = 4 + 3 – 2,8 – 14,1

S= 7 – 16,9
S= – 9,9

Exercice 64
Pour a = – 1,7 b = – 2,3 c = – 5,4 on a :

Lڹڃڥڧ¥Ú~”„¨ÚµÚ§¥Ú”€¨Ú¥Ú§¥Ú‚”¨
LڹڃڵÚ~”„Ú¥Ú”€ÚµÚ‚”
LڹڃڵÚ~”„ÚµÚ‚”Ú¥Ú”€

LÚ¹ÚÚÚÚÚÚÚ~€”~ÚÚÚÚÚÚÚÚ¥Ú”€
U= 10,8

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Exercice 65
1) Pour x = 5

V = (5 – 7) – (3 – 5)
V = – 2 – (– 2)
Séquence 8

c
Á Mettre des parenthèses autour du premier – 2 serait inutile.
c

V=–2+2
V=0
2) Pour x = – 1
V = (– 1 – 7) – [3 – (– 1)]
Á Il n’était pas faux d’écrire :
MÚ¹Ú§¥Ú~ڥڄ¨Ú¥Ú§€Ú¥Ú§¥Ú~¨¨
Cependant, mettre des crochets rend l’expression plus lisible.
Rappel : On remplace une parenthèse par un crochet lorsque la
parenthèse en contient déjà une autre.
Un crochet est une parenthèse particulière.
V = – 8 – (3 + 1)
V=–8–4 Á Les crochets ne sont plus utiles.

V = – 12

3) Pour x = – 7
V = (– 7 – 7) – [3 – (– 7)]
V = – 14 – (3 + 7)
V = – 14 –10
V = – 24

Exercice 66
C = 1 – 2 + 3 – 4 + 5 – 6 + 7 – 8 + ... + 999 – 1 000 Á Les pointillé indiquent qu’on continue de la même façon
im¾YmÚ\#ZmlÚ8hj$kڥڅ”ÚadÚqÚYÚ\gf[ڵچڥÚ~‡ÚµÚ~~Ú¥Ú~ڐ
C= –1 –1 –1 –1 ......... –1 La méthode consistant à rassembler les nombres positifs (donc
les nombres négatifs) paraît peu adaptée pour faire ce calcul.
500 termes Ce serait fastidieux. On cherche donc une autre méthode.
C = – 500 On remarque alors que
ÜÚ~Ú¥ÚÚ¹Ú¥Ú~ÚÚÚÜڀڥځڹڥÚ~ÚÚÚÜڂڥڃڹڥÚ~ڐ
Il y a 1 000 : 2 petits « paquets » puisque C est une somme
algébrique de 1 000 termes.

ÜÚ¥Ú~Ú¥Ú~Ú¹Ú¥ÚÚÚÚÜÚ¥Ú~Ú¥Ú~Ú¥Ú~ڹڥڀÚÚÚÜÚ¥Ú~Ú¥Ú~Ú¥Ú~Ú¥Ú~ڹڥځڐ

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c
c Séquence 8

Ce que tu devais faire


Exercice 67

y'
Séance 9
Les commentaires du professeur

M. VIEL 9 S

A R
6

V
3
H 2 M. MARTIN
-7 1
x -5 O 1 3 6 8 x'

T -2

2) T est chez Monsieur Viel.


3) R est chez Monsieur Martin.
4) On ne sait pas : S ne se trouve ni chez M. Viel, ni chez M. Martin.
A
Exercice 68 4,5

1) et 2)
€¨Ú8ÚetÚ8¾”Ú9ÚetÚ9¾Ú”Ú:Ú]lÚ:¾Úont la même
abscisse. B
2
Les ordonnées deÚ8Ú]lÚ8¾”Ú9ÚetÚ9¾”Ú:ÚetÚ:¾
sont opposées. C'
1
4) ;¾Úkqe#ljaim]Ú\]Ú;ÚhYjÚjYhhgjlÚÚd¾Yp]Ú
\]kÚYZk[akk]kÚYÚdYÚe%e]ÚYZk[akk]Úim]Ú;”Ú -3 -2 1 2,5
soit – 1 050.
C]kÚgj\gff#]kÚ\]Ú;Ú]lÚ;¾ÚkgflÚghhgk#]k -1
C
On a donc : ÚÚÚ;¾§¥Ú~ڇ‚‡Ú•Ú‚‡‡¨ B'

Les commentaires du professeur :

2) Pour tracer le symétrique d’un triangle par


rapport à une droite, on trace le symétrique de
chacun des côtés du triangle par rapport
à la droite.
A'

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Exercice 69

8 C
Séquence 8

c c

A
2

1
1,5
-3 1 J 6

-4
B

2) Par lecture, sur le graphique, on obtient : I (0 ; – 2)


3) Par lecture, sur le graphique, on obtient : J (3 ; 0)
4) Par lecture, sur le graphique, on obtient : K (0 ; 4)

Exercice 70
1) Deux points ont pour abscisse – 5 : C et E.
1) Mon abscisse est égale à – 5 et mon ordonnée L’ordonnée de C est positive (C’est 3) tandis que celle de D est
est positive. Qui suis-je ? C négative (C’est – 2).

2) Mon abscisse est égale à 4 et mon ordonnée 2) Deux points ont pour abscisse 4 : D et B.
est positive et différente de mon abscisse. L’ordonnée de D est 4 (elle est donc égale à l’abscisse de D).
Qui suis-je ? 9 L’ordonnée de B est 6.

3) Mon abscisse et mon ordonnée sont opposées. 3) A (3 ; – 3)


Qui suis-je ? 8

4) Mon abscisse et mon ordonnée sont négatives. 4) E (– 5 ; – 2)


Qui suis-je ? E

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c
c Séquence 8

Exercice 71
1)
A
1
-6 C
O 1 5

B
¨Ú9Ú§¥ÚƒÚ•Ú¥Ú¨ -4
C (8 ; 0).
-6
3) b)D (5 ; – 6). D

Les commentaires du professeur :


Dans le repère qu’on veut tracer, A a pour ordonnée 2. L’axe des abscisses se trouve donc deux carreaux plus bas que le point A.
A a pour abscisse – 3, donc l’axe des ordonnées se trouve 3 carreaux à droite de A.

Exercice 72
1)

C
1,4 A

Points coordonnées
1
8 (0,4 ; 1,6) D 0,8 I

B (0 ; 1,8)
0,4
; (– 0,4 ; 0,8) - 1,6 - 0,8 0,4 0,8 1
F (– 0,8 ; – 0,6) O
E H
H (1,6 ; – 0,2)

C (– 0,4 ; 1,6) F G

E (– 1,6 ; – 0,2)

G (0,8 ; – 0,6)

I (0,4 ; 0,8)

¨ÚC¾Yp]Ú\]kÚgj\gff#]kÚk]eZd]Ú%lj]ÚmfÚYp]Ú\]Úkqe#lja]Ú\]ÚdYÚ^a_mj]

Les commentaires du professeur :


Le plus dur est de calculer ce que représente 1 cm.
”‚Ú[eÚj]hj#k]fl]flÚ~Úmfal#”Ú\gf[Ú~Ú[eÚj]hj#k]fl]Ú”‚Ú^gakÚegafkÚkgalÚ~ڑÚ”‚Ú[eÚ§[¾]kl££\aj]ڇ”Ú[e¨

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Ce que tu devais faire
Exercice 73
C’est faux.
Séance 10
Les commentaires du professeur
Séquence 8

ÜÚ8^afÚ\¾YngajÚmf]Úa\#]Ú\mÚj#kmdlYl”ÚgfÚhj]f\ÚmfÚ]p]ehd]
c c

Justification :
– 2 + (– 7) = – 9 ÜÚC¾Y^^ajeYlagfÚYmjYalÚ#l#ÚnjYa]ÚkaÚlgml]Úkgee]Ú\]Ú\]mpÚ
– 2 – (– 7)= – 2 + 7 soit – 2 – (– 7 )= 5 nombres était supérieure à la différence des deux mêmes
nombres.
Comme – 9 < 5, la somme des nombres – 2 et – 7
est inférieure à la différence de ces nombres.

Exercice 74
1) a) Pour a = – 1 b = 0,5 c = 0,9
X = – 1 – (0,5 + 0,9)
X = – 1 – 1,4
X = – 2,4
Y = – 1 – 0,5 – 0,9
Y = – 2,4

b) Pour a = – 3 b = – 1,4 c = – 10,8


X = – 3 – [– 1,4 + (– 10,8)]
X = – 3 – (– 12,2)
X = – 3 + 12,2
X = 9,2
Y = – 3 – (– 1,4) – (– 10,8)
Y = – 3 + 1,4 + 10,8
Y = 12,2 – 3
Y = 9,2
c) Pour a = 2 b = – 3 c = 1,8
X = 2 – (– 3 + 1,8)
X = 2 – (– 1,2)
X = 2 + 1,2
X = 3,2
Y = 2 – (– 3) –1,8
Y = 2 + 3 – 1,8
Y = 5 – 1,8
Y = 3,2

2)
Y¨ÚGgmjÚ[`Y[mf]Ú\]kÚnYd]mjkÚ\gff#]kÚ\]Úa, b et c
on a : a – (b + c) = a – b – c
b) Je suis amené(e) à me poser la question b) Attention ! Il ne fallait pas conclure que l’égalité était vraie.
suivante : On a remarqué qu’elle était vérifiée pour quelques valeurs de
C¾#_Ydal#ÚÚa – (b + c) = a – b – c est-elle vraie quels a, b et c. Cependant, on ne sait pas si elle est vérifiée quels que
que soient les nombres a, b et c ? soient les nombres a, b et c.

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c
c Séquence 8

Exercice 75
Les sommes a + (– 6) + b + (– 2) et – 8 + b + 11 + (– 4) sont égales donc : a + (– 6) + (– 2) = – 8 + 11 + (– 4)
d’où a + (– 8) = 11 + (– 12)
c’est-à-dire a = 7
soit a + (– 8) = – 1 donc a = – 1 – (– 8) soit a = – 1 + 8

Les sommes 7 + c + d + (– 4) et – 7 + d + 11 + (– 2) sont égales, donc 7 + c + (– 4) = – 7 + 11 + (– 2)


d’où c + 3 = 11 – 9 soit c + 3 = 2 donc c = 2 – 3 c’est-à-dire c = – 1

La somme commune correspondant à chacun des alignements est : – 7 + (– 1) + (– 6) + (– 8) soit – 22.


On déduit que : – 8 + b + 11 + (– 4) = – 22
soit b + 11 + (– 12) = – 22 d’où b + (– 1) = – 22 donc b = – 22 – (– 1) soit b = – 22 + 1
c’est-à-dire b = – 21

Comme la somme commune correspondant à chacun des alignements est – 22 on a :


– 7 + d + 11 + (– 2) = – 22 d’où d + 11 + (– 9) = – 22 donc d + 2 = – 22 soit d = – 22 – 2
d’où d = – 24

66 — © Cned, Mathématiques 5e, 2008

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Je m’évalue

1) x 3,7
® – 3,7
® 14,5
1) Les nombres 9,1 et – 5,4 sont de signes contraires.

grande distance à zéro (soit le signe de 9,1)


c
Séquence 8

ÜÚC]Új#kmdlYlÚYÚ\gf[ÚhgmjÚka_f]Ú[]dmaÚ\mÚfgeZj]ÚimaÚYÚdYÚhdmkÚ

ÜÚCYÚ\aklYf[]ÚÚr#jgÚ\mÚj#kmdlYlÚk¾gZla]flÚ]fÚ[Yd[mdYflÚdYÚ
différence des distances à zéro des deux nombres.
c

® – 14,5 FjڑÚÚچ”~ڥڂ”Ú¹Ú€”„

¨ÚC]kÚfgeZj]kڥڅ”~Ú]lÚ¥Ú~‡”ÚkgflÚ\]Úe%e]Úka_f]
2) ® – 2,3 ÜÚC]Új#kmdlYlÚYÚ\gf[ÚhgmjÚka_f]Ú[]dmaÚ\]kÚ\]mpÚfgeZj]kÚ§kgalÚd]Ú
® 2,3 signe –)
x – 18,5
ÜÚCYÚ\aklYf[]ÚÚr#jgÚ\mÚj#kmdlYlÚk¾gZla]flÚ]fÚ[Yd[mdYflÚdYÚkgee]Ú
® 18,5 des distances à zéro des deux nombres.
FjڑÚÚڅ”~ÚµÚ~‡”Ú¹Ú~…”‚

3) x 7,66 3) Pour calculer une somme de nombres relatifs, on met


® 24,14 ensemble
® – 7,84 ÜÚÚ\¾mf]ÚhYjl”ÚlgmkÚd]kÚfgeZj]kÚhgkala^kÚ
® 23,96 ÜÚÚ\¾Ymlj]ÚhYjl”ÚlgmkÚd]kÚfgeZj]kÚf#_Yla^k
GgkgfkڑÚÚÚ8ڹڥڀ”ڵڃ”…ÚµÚ§¥Ú”„¨ÚµÚ†”~ÚµÚ§¥Ú”€¨
FfÚYÚ\gf[ڑÚÚ8ڹڃ”…ÚµÚ†”~ÚµÚ§¥Ú€”¨ÚµÚ§¥Ú”„¨ÚµÚ§¥Ú”€¨
Comme une somme de nombres négatifs est un nombre négatif,
ayant pour distance à zéro la somme des distances à zéro des
nombres qu’on ajoute, on conclut que :
8Ú¹Ú~‚”†ÚµÚ§¥Ú…”¨ÚÚÚ\¾g3ڑÚÚ8ڹڄ”ƒƒ

4) ® 0 4)
®3 A
x6
® 10 -8 -6 -4 -2 0 2 4 6

5) ® 1,2
x – 19,8 5) On sait qu’un nombre négatif est plus petit qu’un nombre
positif.
® – 5,31
® – 7,1 Le plus petit nombre de la liste est donc négatif.
De deux nombres négatifs, le plus petit est celui qui a la plus
grande distance à zéro.
;]kÚljgakÚfgeZj]kÚf#_Yla^kڑÚÚÚ¥Ú~†”…Ú•Ú¥Ú‚”€~ڕڥڄ”~ÚÚd]ÚhdmkÚ
h]lalÚ]klÚ\gf[Ú¥Ú~†”…

6) Pour soustraire un nombre, on ajoute son opposé. Pour


6) x – 1,87 soustraire – 4,63 on ajoute donc 4,63.
® 1,87
® – 11,13
® 11,13 Ainsi : – 6,5 – (– 4,63) = – 6,5 + 4,63
\¾g3ڑÚڥڃ”‚Ú¥Ú§¥Ú”ƒ€¨Ú¹Ú¥Ú~”…„

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c
c Séquence 8

7) ® – 7
®7
® 19
„¨ÚFfÚh]mlÚ]^^][lm]jÚ[]Ú[Yd[mdÚ\]Ú\]mpÚ^YzgfkÚ\a^^#j]fl]kڑ

1ère façon : On considère –6 –13 comme la différence de


– 6 et de 13.
x – 19 On sait que retrancher 13 revient à ajouter son opposé.
Ainsi : – 6 – 13 = – 6 + (– 13)
d’où : – 6 – 13 = – 19

2ème façon : On considère (mentalement) que – 6 – 13 est


l’écriture simplifiée de la somme de – 6 et de – 13.
On écrit directement : – 6 – 13 = – 19

8) ® – 103 …¨ÚLf]Ú\aklYf[]Ú]klÚmfÚfgeZj]Úhgkala^ÚCYÚj#hgfk]Ú[gjj][l]Úf]Ú
x – 103 h]mlÚ\gf[Ú%lj]Ú¥Ú~‡€ÚgmÚ¥Ú~…~
® – 181 A quoi est égal AB ?
® 181
Pour le savoir, on commence par chercher lequel des deux points
A et B a la plus grande abscisse. C’est A.
D’après le cours :
AB =« abscisse la plus grande » – « abscisse la plus petite »
Ainsi : AB = – 39 – (– 142)
soit AB = – 39 + 142
[¾]kl££\aj]ڑÚÚÚ89Ú¹Ú~‡€Ú

9) ® A et B 9) Attention ! Encore une fois, il ne fallait pas confondre les


® B et C notions d’abscisse et d’ordonnée.
®Ú9Ú]lÚ; A et B ont la même abscisse : 2, mais ils n’ont pas la même
x C et D ordonnée.
L’ordonnée de B est 1, tandis que celle de A est – 1.
C et D ont la même ordonnée : 2, mais ils n’ont pas la même
abscisse.
L’abscisse de C est 4, tandis que celle de D est – 3.

10) ® – 2,67
10)
x – 0,72
® – 30,38 8ڹڥڃ”‚Ú¥Ú§¥Ú„”…¨ÚµÚ§¥Ú†”€¨Ú¥Ú§¥„”‡€¨
® 41,53 Pour retrancher un nombre, on ajoute son opposé, donc :
8ڹڥڃ”‚ÚµÚ„”…ÚµÚ§¥Ú†”€¨ÚµÚ„”‡€
8ڹڄ”…ÚµÚ„”‡€ÚµÚ§¥Úƒ”‚¨ÚµÚ§¥Ú†”€¨
8Ú¹Ú~”…€ÚµÚ§¥Ú~‚”‚‚¨
8ڹڥڇ”„

68 — © Cned, Mathématiques 5e, 2008

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