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1. OBJECTIF DU COURS
1
1.1. Objectif général
Ce cours vise à initier les étudiants de deuxième graduat
informatique de gestion de concevoir les pages web.
1.2. Objectifs spécifiques
A la fin de ce cours, l’étudiant devra être capable :
De définir les concepts de base sur le web ;
De créer un page web avec le HTML ;
D’arranger les pages avec le CSS ;
De dynamiser les pages web avec le JavaScript ;
2. CONTENU DU COURS
CHAP I GENERALITES SUR LE WEB
CHAP II LANGAGE HTML
CHAP III LANGAGE CSS
CHAP IV LANGAGE JAVASCRIPT
3. METHODOLOGIE D’ENSEIGNEMENT
1. Exposés interactifs
2. Lectures personnelles, recherche sur internet et travaux individuels
et en groupe ;
4. STRATEGIE D’EVALUATION
a) Les travaux de recherche en groupe et individuel à présenter en
terme d’exposé ;
b) Travaux dirigés improvisés (TD) ;
c) Participation individuelle au cours ;
d) Interrogation sur table ;
e) Examen sur table.
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5. NOTICE BIBLIOGRAPHIQUE
Ir Placide MWEPU : Concepteur des systèmes d’information
E-mail :plaidemwepu@gmail.com
Contact :0997721950/ 0820680397
COURS DE LABO INFORMATIQUE 2/Module de conception web
1. mathieu Nebra, Reussir son site web avecXHTML et CSS, édition EYROLLES,
2
paris 2007.
2. mathieu Nebra, Apprenez à créer votre site Web avec HTML5 et CSS 3,
édition EYROLLES, paris 2013.
3. www.ccim.be/ccim328/vb/index.html.
4. www.ccim.be/ccim328/vb/index.html.
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Les scientifiques ont eu l’idée, par la suite de les relier les ordinateurs
personnels et les autres ordinateurs entre eux afin qu'ils puissent échanger des
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C’est sur ce réseau que les protocoles TCP/IP ont été développés
u milieu des années 1970s, puis unifiés sur tout le réseau. Les scientifiques ont
pris ensuite le contrôle de ce réseau, ce qui leur a permis de communiquer
plus facilement entre eux sur l’avancée de leurs travaux, et à partir de 1995,
Internet s’est ouvert au grand public.
Sur Internet, de nombreux protocoles sont utilisés, ils font partie d'une
suite de protocoles qui s'appelle TCP/IP. TCP/IP repère chaque ordinateur
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par une adresse appelée adresse IP qui permet d'acheminer les données
à la bonne adresse. Puis on associe à ces adresses des noms de domaine
IRC (Internet Relay Chat ) : pour discuter en direct (chat) avec des
gens du monde entier. Le dialogue s’effectue par échange de texte,
mais il est possible de dialoguer aussi en temps réel avec la voix et la vidéo
(vidéoconférence).
http (ou World Wide Web ou www ou tout simplement le web)
pour accéder à des pages web. Le web est l’application Internet la
plus populaire. Grace à un navigateur web (browser), un utilisateur
(internaute) peut lire des pages web stockées sur un ordinateur
serveur situé n’ importe où dans le monde.
ftp (File Transfert Protocol) pour le transfert électronique de fichiers
entre des machines distantes. Avec FTP on peut charger des fichiers sur
des ordinateurs serveurs connectés à Internet, ou télécharger des fichiers
sur le poste client.
telnet (Connexion à un ordinateur distant) : tout utilisateur d’Internet
peut travailler à distance sur une machine, sur laquelle il dispose d’un
compte utilisateur et dont il a accès. Il peut utiliser Telnet ou d’autres
programmes de contrôle à distance (rlogin, rsh…)
SMTP , POP et IMAP: pour la messagerie électronique (ou mail)
o SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) pour l’envoi du courrier.
o POP (Post Office Protocol) permet à l’utilisateur de récupérer les
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sur Internet. Il est associé au protocole http qui permet de lire des
pages web d’un serveur et les afficher sur le navigateur du client.
Ces documents sont stockés sur des serveurs, répartis dans le monde
entier.
Le web est devenu un support d'édition électronique international. Il
devient de plus en plus aussi une zone de commerce électronique.
II.1. DEFINITION
II.2. AVANTAGES
Les attributs sont les options des balises. Ils viennent les compléter
pour donner des informations supplémentaires. Les attributs se place
après le nom de la balise ouvrante et plus souvent c’est toujours une
valeur.
Syntaxe
Exemple :
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1. Le DOCTYPE html
15
2. Html
4. L’encodage (charset)
Cette balise indique l’encodage utilisé dans votre fichier.html.
5. Les commentaires
Pour insérer un commentaire dans les balises html, on utilise la
syntaxe suivante :
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Exemple général
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Dans la plupart de cas, lorsqu’on écrit du texte dans une page web, on le
fait à l’intérieur des paragraphes avec la balises <p>.
Syntaxe
Ex :
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Résultat du code
N.B : il existe une balise orphelline qui sert à indiquer qu’on doit aller à la
ligne : <br/>.
html ,il existe une balise permettant d’insérer les titres : <h>. il existe six
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niveaux des titres.
• Fraises
• Framboises
• Cerises
Syntaxe
Exemple :
Exemple :
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Un site web est constitué de plusieurs pages, comment faire pour aller
d’une page à une autre. À l’aide de liens. Un lien est un texte ou un
objet sur lequel on peut cliquer pour se rendre sur une autre page ou un
autre endroit de la même page.
21
Ou encore
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Une ancre est une sorte de point de repère que vous pouvez
mettre dans vos pages HTML lorsque qu’elles sont très longues. En
effet, il peut alors être utile de faire un lien amenant plus bas dans la
même page que le visiteur puisse sauter directement à la partie qui
l’intéresse.
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Exemple :
23
Ex :
Les deux formats d'image (maximum 256 couleurs) reconnus sur le Web,
24
sont le format GIF (version 89a) et le format JPEG. Pour le format GIF, on
retiendra la caractéristique "entrelacé" qui permet de charger
progressivement l'image lors de l'ouverture de la page. Ces deux formats
donnent des résultats assez équivalents bien que JPG soit plutôt
recommandé pour des images avec des tons nuancés ou dégradés.
L'ennemi sur le Web, c'est la taille des images! Plus l'image sera grande,
plus le temps de chargement sera long... au risque de décourager vos
visiteurs. Si cela est possible, une image en 16couleurs peut très bien faire
l'affaire. Présenter une petite image indiquant un lien vers l'image
complète est également un bon conseil.
Il n'est pas inutile de prévoir dans votre panoplie de compositeur Web, un
logiciel de retouche d'images. A ce propos "Paint Shop Pro" a la triple
qualité d'être disponible en shareware, d'être très intuitif et d'être
performant. En outre, un tel logiciel vous permettra de composer vos
propres images et ainsi de personnaliser vos pages.
Dois-je rappeler qu'il est très facile de se faire une bibliothèque d'images
tout en surfant sur le Web? Avec Netscape, il suffit de se positionner sur
l'image, de cliquer avec le bouton droit de la souris et de suivre les
instructions du menu déroulant (Save Image As...).
Le code Html est :
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<TABLE> ... </TABLE>pour créer un tableau. Pour cette commande les options
suivantes sont possibles :
Remarque
Exemple1 :
<HTML>
<HEAD>
<TITLE>tableau 1</TITLE>
</HEAD>
<BODY>
<CENTER>
<TABLE BORDER>
<CAPTION ALIGN=top> PREMIER TABLEAU</CAPTION>
<TR>
<TD>ligne 1 ; cellule 1</TD>
<TD>ligne 1 ; cellule 2</TD>
</TR>
<TR>
<TD>ligne 2 ; cellule 1</TD>
<TD>ligne 2 ; cellule 2</TD>
</TR>
</TABLE>
</CENTER>
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<BODY>
<HTML>
Exemple 2:
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<HTML>
<HEAD><TITLE>tableau 2</TITLE></HEAD>
<Body>
<TABLE BORDER=8 CELLPADDING=10>
<CAPTION ALIGN=bottom>DEUXIEME TABLEAU
</CAPTION>
<TR>
<TH COLSPAN=5>LETTRES</TH>
</TR>
<TR>
<TD>Aa</TD><TD>Bb</TD><TD>Cc</TD><TD>Dd<
/TD><TD>Ee</TD>
</TR>
<TR>
<TD>Ff</TD><TD>Gg</TD><TD>Hh</TD><TD>Ii</TD
><TD>Jj</TD>
</TR>
</TABLE>
</BODY>
</HTML>
II.6.7.Formulaires
1. La commande FORM
Des formulaires peuvent être préparés afin de saisir des données et les traiter
au niveau du serveur. Pour rédiger un questionnaire, il faut:
Syntaxe: INPUT="TEXT"
Exemple:
<HTML>
<FORM METHOD="POST" ACTION="/cgibin/questionnaire.cmd?xxx">
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<p>
<h4><CENTER>Essai Formulaire </CENTER></H4>
<pre><b>
<LI>NOM: <input type="text" name="name" size=30>
<LI>ADRESSE: <input type="text" name="street.address" size=30>
3. La commande INPUT="RADIO"
Un autre type de champ est le type "input type=radio"qui permet
d'afficher une série de boutons radio comme choix de réponses. Il suffit
d'abord de poser la question puis de positionner la commande suivante:
Dans l'exemple ci-dessous, deux choix sont offerts Oui ou Non. Lorsque
l'usager répond, il n'a d'autre choix que l'une ou l'autre réponse. Il ne peut pas
choisir les deux. <P> <br>
<DL>
…
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<br>
<DL><DT>A. <input type="radio" name="refer" value="par_hasard.">
Tout à fait par hasard.
<DT>B. <input type="radio" name="refer" value="Par un ancien."> </DL>
</BODY>
</HTML>
Remarque:
Dans l'exemple précédent il faut noter que le nombre de choix de
réponses n'est pas limité à deux.
3. La commande INPUT=CHECKBOX
ou
<BR>
<select name><option selected>DUT<option>BTS<option>DEUG</select>
5. La commande TEXTAREA.
*= hauteur restante.
• = largeur restante
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caractérise la cellule
<NOFRAME> </NOFRAME>
à partir de cette commande, le texte ne sera affiché que par les Browsers ne
sachant pas gérer les frames.
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La première question que vous devez vous poser est : où doit-on placer
le code CSS ? Dans le fichier .html, entre des balises spéciales ou dans un
autre fichier ?
p
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{
text-align: center;
}
Vous pouvez enregistrer le fichier dans le même dossier que les .html, ou
dans un sous-dossier css. Il n’y a pas de règle particulière sur ce point.
Maintenant que cela est fait, il va falloir modifier le fichier XHTML (test.html
dans mes exemples) pour lui dire d’utiliser le fichier style.css.
Vous pouvez modifier si vous le désirez les attributs title (facultatif, c’est le
nom de votre design) et href (nom du fichier .css).
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*
{
}
Les accolades délimitent le style. Tout le code CSS qui se trouve à l’intérieur
sera appliqué à toutes les balises. Si on veut centrer le texte de toute la page
web (titres, paragraphes...), on écrira le code suivant :
*
{
text-align: center;
}
Dans cet exemple, text-align est ce qu’on appelle une propriété CSS,
et center est une valeur. Il est possible de définir plusieurs propriétés CSS à la
fois : dans ce cas elles se combineront. On peut ainsi faire en sorte que le
texte soit centré et écrit en bleu, italique et souligné à la fois.
*
{
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propriete: valeur;
propriete: valeur;
propriete: valeur;
}
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Contact :0997721950/ 0820680397
COURS DE LABO INFORMATIQUE 2/Module de conception web
1. UN IDENTIFIANT UNIQUE
Nous savons comment changer l’apparence de toutes les balises d’un
même type (par exemple tous les paragraphes). Comment faire pour
changer l’apparence d’un seul paragraphe en particulier ?
En fait, il s’agit d’identifier un paragraphe précis en CSS. Et pour cela, il
faut donner un nom à la balise qui nous intéresse.
<p>Nous sommes les meilleurs étudiants de l’iss dans la médiocrité.</p>
<p id="introduction"> Nous sommes les meilleurs étudiants de l’iss dans la
médiocrité.</p>
Notre paragraphe est maintenant identifié: il a pour nom « introduction ».
Rendons-nous maintenant dans notre fichier CSS pour y mettre le code
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suivant :
#introduction
{
text-align: center;
}
Le symbole dièse (#) permet d’indiquer que l’on parle d’une balise ayant
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un nom précis.
2. UN IDENTIFICATEUR REUTILISABLE
Le défaut de l’identificateur id, c’est qu’on ne peut l’utiliser qu’une
seule fois. Il donne un nom unique. Heureusement, il existe un autre attribut, lui
aussi utilisable sur la plupart des balises. Il s’agit de class. Son fonctionnement
est pratiquement le même que celui d’id, à la différence près qu’on peut
donner le même nom à autant de balises que l’on veut.
Dans cet exemple, nous donnons un même nom au titre <h1>et au
premier paragraphe.
<h1 class="maclasse">Bienvenue sur mon site web !</h1>
Cette fois, nous devons modifier le CSS et utiliser un point à la place du dièse :
.maclasse
{
text-align: center;
}
III.3. METTRE EN FORME SON TEXTE
III.3.1. L’ALIGNEMENT
Nous avons découvert dans le chapitre précédant comment centrer
un titre, avec le code suivant :
h1
{
text-align: center;
}
Commençons par étudier plus en détail la propriété d’alignement text
align. On n’a fait que l’apercevoir jusqu’ici : nous n’avons vu que la valeur
permettant de centrer ! Il faut savoir qu’il existe en tout 4 valeurs différentes :
• left: à gauche ;
• center: centré ;
• right: à droite ;
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• justify: justifié
Ces possibilités d’alignement sont les mêmes que celles que vous offre
n’importe quel éditeur de texte. Prenons par exemple la valeur justify qui
permet d’obliger le texte à prendre la même largeur sur chaque ligne. Cet
41
alignement est très utilisé dans le monde de l’imprimé.
Ex :
p
{
text-align: justify;
}
III.3.2. LES POLICES
La propriété CSS précisant la police est font-family. Si vous voulez que vos
paragraphes de texte s’affichent en Verdana, vous taperez le code suivant :
Notez que vous pouvez combiner cette propriété avec celle d’alignement
que nous venons d’apprendre. C’est même là tout l’intérêt du CSS !
D’après le code suivant, mes paragraphes seront donc écrits en Verdana et
seront justifiés :
p
{
font-family: Verdana;
text-align: justify;
}
Vous pouvez bien entendu demanderà utiliser d’autres polices que
celles-ci, mais vous ne pouvez pas être sûr que vos visiteurs l’auront sur leur
ordinateur. Comment faire pour gérer le cas où le visiteur ne possède pas la
police que vous voulez ? Eh bien le CSS a tout prévu, comme nous allons le
voir...
En règle générale, on n’indique jamais un seul nom de police. On en
propose plusieurs, que l’on sépare par des virgules : Les noms de polices
doivent être écrits par ordre de priorité. Cela signifie dans l’exemple ci-dessus
que la police Elephant sera utilisée en priorité si elle est présente sur
l’ordinateur du visiteur. Si elle n’est pas présente, alors le navigateur
recherchera la seconde police (Arial Black) et ainsi de suite. La dernière
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}
p 42
{
font-family: Verdana;
text-align: justify;
}
p
{
font-family: Elephant, "Arial Black", Georgia, Verdana;
}
Vous vous demandez sûrement... « Mais comment fait-on si le visiteur
n’a même pas Verdana ? ». La réponse est simple : on doit indiquer un nom
de police par défaut.
Il existe deux noms de polices par défaut :
• serif: police par défaut avec empattement.
• sans-serif: police par défaut sans empattement.
III.3.3. LA TAILLE DU TEXTE
La propriété CSS gérant la taille du texte est font-size. Il existe, vous allez
le voir, un nombre important de manières de s’en servir. On peut en effet
préciser la taille du texte de différentes façons.
1. EN PIXELS
Vous pouvez définir la hauteur des lettres en pixels. C’est la technique la plus
précise : elle indique au pixel près la taille que doivent prendre les lettres
affichées à l’écran du visiteur.
Par exemple, si vous souhaitez obtenir une taille de 18 pixels, vous
écrirez :
p
{
font-size: 18px;
}
2. EN DONNANT UN NOM A LA TAILLE
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Oui oui, vous avez bien lu : on peut écrire directement « gros », « très
gros » ou encore « gigantesque » en toutes lettres pour définir la taille. Bien
entendu, il va falloir exprimer cela en anglais !
Si on souhaite écrire un texte en grand, on utilisera le code suivant :
p
{ 43
font-size: large;
}
L’avantage est que cette notation est relative. Si le navigateur du
visiteur est configuré pour afficher de gros caractères, alors le mot grand
signifiera peut-être 30 pixels de hauteur au lieu de 20 pixels en temps normal.
3. EN NOTATION RELATIVE « EM »
La notation relative que nous venons de voir ne nous permet d’utiliser
que sept tailles différentes. Si on recherche une taille intermédiaire, ou L’unité
« em » constitue en ce sens un bon choix.
Dans cette notation, 1em signifie « Taille normale », 1.5 em signifie que
la taille sera 1,5 fois plus grande que la normale, et 0.5 em qu’elle sera à la
moitié de la taille normale.
Supposons que nous souhaitons grossir légèrement la taille de nos
paragraphes. Avec le code suivant, mes paragraphes seront écrits 1,3 fois
plus gros que la normale :
p
{
font-size: 1.3em;
}
C’est cette notation que j’utilise personnellement le plus souvent car
elle permet d’être précis tout en s’adaptant à la taille de police par défaut
du visiteur.
4. En pourcentage
Enfin, il est aussi possible d’exprimer la taille en pourcentage. C’est une
notation connue, donc facile à utiliser pour la plupart des webmasters
débutants.
Sur cet exemple, la taille de mes lettres sera égale à 120 % de la taille
par défaut :
p
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{
font-size: 120%;
}
Cette unité est là encore très proche de « em » et « ex ». Elle est plus facile à
appréhender par les débutants car tout le monde connaît les pourcentages.
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Vous savez déjà que votre script vient s'ajouter à votre page Web. Le
langage Html utilise des tags ou balises pour "dire" au browser d'afficher une
portion de texte en gras, en italique, etc.
b. Les commentaires
n'importe où.
mais là où il le faut.
Le browser traite votre page Html de haut en bas (y compris vos ajoutes
en Javascript). Par conséquent, toute instruction ne pourra être exécutée
que si le browser possède à ce moment précis tous les éléments nécessaires à
son exécution. Ceux-ci doivent donc être déclarés avant ou au plus tard lors
de l'instruction.
Pour s'assurer que le programme script est chargé dans la page et prêt à
fonctionner à toute intervention de votre visiteur (il y a des impatients) on
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fonctions. Rien n'interdit de mettre plusieurs scripts dans une même page
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Html.
Il faut noter que l'usage de la balise script n'est pas toujours obligatoire.
Ce sera le cas des événements Javascript (par exemple onClick) où il faut
simplement insérer le code à l'intérieur de la commande Html comme un
attribut de celle-ci. L'événement fera appel à la fonction Javascript lorsque la
commande Html sera activée. Javascript fonctionne alors en quelque sorte
comme une extension du langage Html.
Sans vraiment entrer dans les détails, voyons une première instruction
Javascript (en fait une méthode de l'objet window) soit l'instruction alert().
alert("votre texte");
Javascript est "bon enfant" car il n'est pas toujours trop strict sur la syntaxe et
passe au-dessus de certaines libertés prises avec celle-ci. Très bien! Mais ce
caractère "bon enfant" est à double tranchant car parfois, pour une raison
indéterminée, il devient dans certaines situations plus rigoureux et alors bonne
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Rappelez-vous... Nous avions montré que ce qui apparaît sur votre écran,
peut être "découpé" en objets et que Javascript allait vous donner la
possibilité d'accéder à ces objets (Un peu de théorie objet). La page Html qui
s'affiche dans la fenêtre du browser est un objet de type document.
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nom_de_l'objet.nom_de_la_méthode
b. La méthode write()
write("<B>Le résultat est</B>" + resultat); ou write ("<B>" + "Le résultat est " +
"</B>" + resultat)
c. Exemple (classique !)
<HTML>
<BODY>
<H1>Ceci est du Html</H1>
<SCRIPT LANGUAGE="Javascript">
<!--document.write("<H1>Et ceci du Javascript</H1>");
//-->
</SCRIPT>
</BODY>
</HTML>
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les fonctions écrites par vous-même pour les besoins de votre script.
50
C'est à celles-là que nous nous intéressons maintenant.
b. Déclaration des fonctions
Pour déclarer ou définir une fonction, on utilise le mot (réservé) function. La
syntaxe d'une déclaration de fonction est la suivante :
function nom_de_la_fonction(arguments) {
... code des instructions ...
}
La mention des arguments est facultative mais dans ce cas les
parenthèses doivent rester. C'est d'ailleurs grâce à ces parenthèses que
l'interpréteur Javascript distingue les variables des fonctions. Nous reviendrons
plus en détail sur les arguments et autres paramètres dans la partie Javascript
avancé.
Lorsque une accolade est ouverte, elle doit impérativement, sous peine
de message d'erreur, être refermée. Prenez la bonne habitude de fermer
directement vos accolades et d'écrire votre code entre elles. Le fait de définir
une fonction n'entraîne pas l'exécution des commandes qui la composent.
Ce n'est que lors de l'appel de la fonction que le code de programme est
exécuté.
c. L'appel d'une fonction
L'appel d'une fonction se fait le plus simplement du monde par le nom
de la fonction (avec les parenthèses).
Soit par exemple nom_de_la_fonction();
Il faudra veuiller en toute logique (car l'interpréteur lit votre script de
haut vers le bas) que votre fonction soit bien définie avant d'être appelée.
d. Les fonctions dans <HEAD>...<HEAD>
Il est donc prudent ou judicieux de placer toutes les déclarations de
fonction dans l'en-tête de votre page c.-à-d dans la balise <HEAD> ...
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<HEAD>. Vous serez ainsi assuré que vos fonctions seront déjà prises en
compte par l'interpréteur avant qu'elles soient appelées dans le <BODY>.
e. Exemple
51
Dans cet exemple, on définit dans les balises HEAD, une fonction appelée
message() qui affiche le texte "Bienvenue à ma page". cette fonction sera
appelée au chargement de la page voir onLoad=.... dans le tag. <BODY>.
<HTML>
<HEAD>
<SCRIPT LANGUAGE="Javascript">
<--function message() {
document.write("Bienvenue à ma page");
}
//-->
</SCRIPT>
</HEAD>
<BODY onLoad="message()">
</BODY>
</HTML>
f. Passer une valeur à une fonction
On peut passer des valeurs ou paramètres aux fonctions Javascript. La
valeur ainsi passée sera utilisée par la fonction.
Pour passer un paramètre à une fonction, on fournit un nom d'une variable
dans la déclaration de la fonction. Un exemple un peu simplet pour
comprendre. J'écris une fonction qui affiche une boite d'alerte dont le texte
peut changer.
Dans la déclaration de la fonction, on écrit :
function Exemple(Texte) {
alert(texte);
}
Le nom de la variable est Texte et est définie comme un paramètre de la
fonction. Dans l'appel de la fonction, on lui fournit le texte :
Exemple("Salut à tous");
g. Passer plusieurs valeurs à une fonction
On peut passer plusieurs paramètres à une fonction. Comme c'est souvent
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while (compt<5) {
document.write ("ligne : " + compt + "<BR>");
compt++;
}
document.write("fin de la boucle");
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<FORM NAME="form1">
<INPUT TYPE="text" NAME="input" VALUE=""><BR> 56
<INPUT TYPE="button" NAME="bouton" VALUE="Contrôler"
onClick="controle(form1)">
</FORM>
</BODY>
</HTML>
<FORM NAME="form2">
<INPUT TYPE="text" NAME="input" VALUE=""> Zone de texte
d'entrée <BR>
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