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BASES DE L’IRRIGATION

Introduction
Réseau d’irrigation
Réservoir

Station de
pompage

Combien apporter ? Besoins d’irrigation


3 questions ? Comment apporter ? Méthode d’irrigation
Quand apporter ? Calendrier d’irrigation
Besoins d’irrigation Bilan hydrique Apports et pertes
Méthode d’irrigation Gravitaire, aspersion, localisée Sol, culture
Calendrier d’irrigation Date d’irrigation Évolution réserves eau

SYSTEME DU DEVELOPPEMENT
VEGETAL

SOL

PLANTE ATMOSPHERE
L’EAU ET LE SOL

•PARAMETRES PHYSIQUES DU SOL


•RESERVES EN EAU DU SOL
•HUMIDITES DU SOL
SOL

BESOINS EN EAU
D’IRRIGATION

•BILAN HYDRIQUE
•CALENDRIER D’ARROSAGE PLANTE ATMOSPHERE
•BESOINS NETS
•BESOINS DE LESSIVAGE BESOINS EN EAU
•EFFICIENCE D’IRRIGATION DES CULTURES
•BESOINS BRUTS
•BESOINS MOYENS
•BESOINS DE POINTE
•EVAPOTRANSPIRATION POTENTIELLE
•DEBIT FICTIF CONTINU •EVAPOTRANSPIRATION DES CULTURES
•DOSE D’IRRIGATION
PREMIERE PARTIE

L’EAU ET LE SOL
I. PARAMETRES PHYSIQUES DU SOL

Wa Va
Air

We VT
Wt Ve
Sol Eau

Ws Vs
Solide
II. PARAMETRES PHYSIQUES DU SOL

Densité réelle:
• Masse volumique réelle des grains solides composant le sol Dr 
Wg
Vg
g / cm 
3

• Comprise entre 2,6 et 2,7 g/cm3

 Densité apparente sèche:


•Masse volumique apparente du sol Da 
Wg
VT
g / cm 
3

•Varie entre 1,1 et 1,7 g/cm3 → 1,6 g/cm3 pour les sols sableux et 1,1 à 1,3 g/cm3 pour
les sols argileux

Porosité
• Volume total des vides exprimé en % du volume total de l’échantillon
•P est de l’ordre de 35 à 55 % → textures grossières ont une faible P % aux fines

Ve  Va D
P  1 a
VT Dr
III. HUMIDITES DU SOL
Humidité massique:
•Quantité d’eau contenue dans un échantillon de sol exprimée en % du poids sec
We
Hp 
Wg

Humidité volumique:
•Volume d’eau contenu dans le sol exprimé en % du volume de l’échantillon de sol en
place
  Ve
VT

Relation (;Hp)   H p  Da

Hauteur d’eau contenue dans le sol


•Teneur en eau du sol exprimée en hauteur d’eau
Z

he  Z (mm)
EXEMPLE DE CALCUL 1

Un échantillon de sol de dimensions 10x10x10 cm possède


un poids total de 1460 g dont 260 g en eau. Déterminer :

1. L’humidité massique
2. L’humidité volumique
3. La hauteur équivalente d’eau
4. La densité apparente
5. La porosité totale
6. La porosité de l’air.
IV. NIVEAUX DE LA RETENTION DE L’EAU DANS LE SOL

Humidité à la capacité au champ (Hcc)


•Quantité maximum d’eau que peut retenir un sol après ressuyage → au dessus de
laquelle, l’écoulement est exclusivement gravitaire
•Sable → Hcc = 6% Argile → Hcc = 35%

H ft  H e
1,84
Humidité au point de flétrissement (Hft)
Hcc He
•Humidité minimale compatible avec la vie de la plante → au dessous de laquelle,
l’absorption de l’eau par les racines n’est plus possible
•Sable → Hft = 1 à 3% Argile → Hft = 15 à 30%

 Humidité équivalente (He)


•Teneur en eau résiduelle d’un échantillon soumis à une centrifugation → toute l’eau
libre est éjectée sous l’effet de la centrifugation
He
• Deux relations pratiques  H e  H cc et H ft 
1,84
NIVEAUXV.
DERESERVES EN DE
LA RETENTION EAU DU SOL
L’EAU DANS LE SOL

Réserve utile maximale (RUmax)


•Différence dans la teneur en eau entre la capacité au champ et le point de
flétrissement → humidité qui peut être accumulée pour être ultérieurement utilisée par
les plantes

Réserve utile disponible (RUi) H ft  H e


1,84
•Différence dans la teneur en eau entre l’ humidité initiale et le point de flétrissement
→ Humidité qui existe encore dans le sol et que la plante peut utiliser
Hcc He
 Réserve facilement utilisable (RFU)
•Fraction de la RU maximale utilisable sans qu’il y ait diminution de l’activité
photosynthétique de la plante
Réserve utile maximale RU max cc  f Hcc H f Da
(RUmax en m3) RU max Hcc H f DaZS
(RUmax en mm) RU max Hcc H f DaZ

Réserve utile disponible RU i i  f Hi H f Da


(RUi en m3) RU i Hi H f DaZ S
(RUi en mm) RU i Hi H f DaZ

Réserve facilement utilisable RFU  2RU max


3
Exemple:

θcc = 34% et θft = 20%


RU max   cc   ft  0,34  0,2  14%

S
θcc = 34% θft = 20% S = 1 ha Z = 1m
RU max   cc   ft  S  Z  0,34  0,2  10 4  1  1400 m3
Z

1400 m3 du volume du sol = RUmax

θcc = 34% θft = 20% Z = 1m


RU max   cc   ft Z  0,34  0,2  103  140mm
EXEMPLE DE CALCUL 2

Un cylindre a été utilisé pour le prélèvement d’échantillons de sol. Son


diamètre est de 178 mm. La hauteur de la colonne de sol récupérée est de
30 cm. Le poids de cette colonne avant et après séchage à l’étuve est de
11,4 kg et 9,5 kg respectivement. Déterminer :

1. La densité apparente du sol.


2. La porosité totale.
3. La teneur en eau massique et volumique du sol au moment du
prélèvement.
4. La quantité totale d’eau contenue dans le sol au moment de
l’échantillonnage sur une profondeur de 120 cm.
5. La part de cette quantité qui peut être utilisée par les plantes si
l’humidité équivalente massique est de 30 %.
EXEMPLE DE CALCUL 3

Soit un sol dont l’humidité volumique à la capacité au champ est de 30%.


Son humidité massique initiale Hi et sa densité apparente sèche varient
avec la profondeur du sol selon les indications suivantes :

Horizon (cm) Hi (%) Da (g/cm3)


H0 : 0 - 5 5 1,2
H1 : 5 - 20 10 1,3
H2 :20 - 80 15 1,4
H3 :80 - 100 17 1,4
Déterminer la profondeur de pénétration de l’eau correspondant à un
arrosage de 50 mm.
EXEMPLE DE CALCUL 4
Soit un sol hétérogène présentant les caractéristiques indiquées dans le tableau suivant:

Horizon Profondeur He (%) Hi (%) Da (g/cm3)


(cm)
H0 12 15 5 1,8
H1 17 36 25 1,1
H2 28 24 18 1,4
H3 50 32 18 1,7
H4 120 40 25 1,6
1. Quelle est la profondeur du sol Z ramenée à la capacité au champ après un apport
d’eau de 110 mm ?
2. Un agriculteur utilise de l’eau pompée dans un puits pour l’irrigation de ce sol
cultivé en luzerne sur 10 ha. Pour cela, il utilise un débit de 200 l/s pendant 24
heures. La profondeur d’enracinement est supposée égale à 50 cm.
a. Déterminer la fraction d’eau apportée par l’irrigation qui sera perdue en
profondeur au-delà de la zone des racines.
b. Calculer la durée pendant laquelle l’agriculteur devait pomper l’eau pour qu’il
n’y aurait pas de pertes d’eau en profondeur.
VI. DOSE D’IRRIGATION

Volume d’eau délivré à la parcelle en une seule fois pour


combler le déficit hydrique du sol

Dose théorique nette DRU max Hcc H f Da Z (mm)

Dose pratique nette Dp  2.RU max  2 Hcc H f Da Z (mm)


3 3

Dose pratique brute Dpb  Dp (mm)


ep

Z (mm) et Da ( g/cm3)
DEUXIEME PARTIE

L’EVAPOTRANSPIRATION
CLIMAT

PLUIE DEMANDE CLIMATIQUE

EVAPOTRANSPIRATION
IRRIGATION POTENTIELLE
PLUIE EFFICACE

EVAPOTRANSPIRATION
DE LA CULTURE

APPORTS PERTES

COUVERT VEGETAL

APPORT SOL DRAINAGE


NAPPE
I. L’EVAPOTRANSPIRATION
les plantes ont besoin d’eau pour la
transpiration et l’évaporation
eau absorbée par les racines (croissance
des plantes) est dissipée sous forme de
vapeur dans l’atmosphère  transpiration
eau sur la surface du sol+feuilles+tiges
s’évapore dans l’atmosphère  évaporation

Besoin en eau d’une plante


=
transpiration + évaporation

EVAPOTRANSPIRATION
II. LES NIVEAUX DE L’EVAPOTRANSPIRATION
L'évapotranspiration de référence (Eto)
→ l'ensemble des pertes en eau par évaporation et transpiration d'une surface de gazon de
hauteur uniforme, couvrant totalement le terrain, en pleine période de croissance, recouvrant
complètement le sol et abondamment pourvue en eau

L'évapotranspiration maximale (ETM)


→ d'une culture donnée est définie à différents stades de développement végétatif, lorsque l'eau
est en quantité suffisante et que les conditions agronomiques sont optimales (sol fertile, bon état
sanitaire, etc.)

L'évapotranspiration réelle (ETR)


→ ET d’un couvert végétal dans des conditions quelconques de disponibilité en eau
III. METHODES DE MESURE DE
L’EVAPOTRANSPIRATION

 Expérimentales:
• Bacs d’évaporation
• Lysimètres
 Théoriques:
• Méthode de Blaney-Criddle
• Autres
i. Le bac évaporant (classe A):
 Bac rempli d’une quantité d’eau connue
 Évaporation de l’eau pendant 24 h
 Mesure de la quantité d’eau restante (hauteur d’eau)
 Calcul de la quantité d’eau évaporée /unité de temps
 Correction de l’Ebac par Kbac 
ET0 KbacEbac
Type bac

ƒ{ Environnement bac
Climat: humidité+vent
}
LE BAC EVAPORANT(classe A)
ii. Le lysimètre
ii. Le lysimètre

 Bac de 2 à 6 m2 et de 1 à 2 m de profondeur.
 Culture testée + Dispositif d’arrosage + Dispositif de drainage.
 Principe  Mesure des apports d’eau et des pertes en profondeur.
 VET = VI - VD
LE LYSIMÈTRE
IV. METHODE DE BLANEY-CRIDDLE

 Simple
 Facteurs déterminants  température + durée du jour
 Formule : ET0 K p0,46T 8,13

ET0 : évapotranspiration potentielle mensuelle de référence (mm)


T : température moyenne du mois considéré (° C)
p : % d’éclairement du mois considéré  f( latitude du lieu )
K : coefficient d’ajustement f( conditions humidité relative, insolation relative,
vent diurne)
POURCENTAGE JOURNALIER MOYEN DES
HEURES ANNUELLES DE LUMIERE DIURNE
PREDICTION DE ET0 EN FONCTION DE HRmin , n/N ET U2
V. BESOIN EN EAU D’UNE PLANTE

Besoin en eau d’une plante est exprimé en mm/j , mm/mois , mm/saison

Exemple: Besoin en eau d’une plante est 10 mm/j

Chaque jour, la culture a besoin d’une tranche


de 10 mm sur la surface sur laquelle elle croît

 1 mm/j = 10 m3/ha/j
VI. FACTEURS INFLUENCANT LES BESOINS EN
EAU DES CULTURES

De quoi dépendent les besoins


en eau des cultures?

Climat Phase de
Type de Culture croissance
i. influence du climat
BEC sous un climat ensoleillé et
chaud > BEC sous un climat froid
et nuageux

BEC quand il fait sec > BEC quand


il fait humide

BEC sous climats venteux > BEC


sous climats calmes

 Culture croissant dans des zones


climatiques différentes  Besoins en eau
différents.
ii. influence du type de culture

Le type de culture influence la durée de la


saison végétative  influence le besoin en eau
saisonnier

Exemple: variétés de riz  90j<cycle<150j


 BEC(150j) > BEC(90j)
iii. Influence de la phase de croissance

BEC culture complètement développée


> Évaporation
BEC culture venant d’être plantée <
Transpiration

BEC phase initiale Évaporation


 >
Transpiration
50% BEC phase mi-saison

Relation entre l’Etc et l’ET0 :

ETc  Kc  ET0
TROISIEME PARTIE

LES BESOINS EN EAU


D’ IRRIGATION
I. PLUIE EFFICACE

Pluie

=
Pluie non Pluie
+ efficace
efficace

Percolation
profonde Stock zone
+ radiculaire
Ruissellement
II. BESOINS EN EAU D’IRRIGATION

 Besoins nets
Bn ETc Pe (mm)

 Besoins totaux y/c lessivage Bn  ETc  Pe (mm)


1 L.R
L.R=f(conductivité électrique de l’eau et du sol)
L.R : Fraction de lessivage (Leaching requirements)
III. BILAN HYDRIQUE

Représente l’évolution des réserves en eau du sol

Pluie efficace

L’humidité du sol = ƒ Réserve initiale

Evapotranspiration culture

B  RU i  Pe  ETc

Bilan hydrique sous forme graphique


EXEMPLE DE CALCUL

•RUmax = 90 mm
•RUi = 50 mm
•Période d’étude = 30 jours
•Etc = 90 mm (répartie uniformément sur le mois)
•Pluie : 10e jour → 5 mm
14e jour → 8 mm
15e jour → 4 mm
24e jour → 10 mm

Etablir le bilan hydrique sous forme graphique. En déduire la réserve


en eau du sol à la fin de la période considérée.
IV. EFFICIENCE D’IRRIGATION

 Efficience de l’irrigation à la parcelle (Ep) :


Rapport entre la quantité d’eau stockée dans la zone racinaire et
celle apportée en tête de parcelle.

Efficience de transport (Et):


Rapport entre la quantité d’eau apportée en tête de parcelle et
celle prélevée en tête du réseau.

Efficience globale du réseau (Eg):


Produit de l’efficience à la parcelle et celle du transport.
Eg EpEt
i. Efficience à la parcelle:

Pertes par débordement Eau délivrée en tête de parcelle

V1

Pertes par ruissellement

Pertes par infiltration

Eau stockée dans la


Pertes en profondeur zone racinaire

V0
Ep  V0
V1
ii. Efficience du réseau:

Pertes par débordement


Pertes par infiltration
Pertes par évaporation
V2 Fuites
CI

Prise
V1
CIII
CII
Rivière

CIV

V1
Er 
V2
V. BESOINS BRUTS D’IRRIGATION

 En tête de parcelle (Bb1):


Les Bn (mm) doivent être majorés pour tenir compte des pertes
d’eau à la parcelle Bb1  Bn
Ep

En tête du réseau (Bb2):


Les Bb1 (mm) doivent être majorés pour tenir compte des pertes du
B Bn
réseau de transport d’eau Bb 2  b1 
Er E p  Er
VI. BESOINS EN EAU DES
ASSOLEMENTS

Assolement de n cultures, chacune a une superficie Si (ha)


et un besoin net Bni (mm), le besoin net par hectare assolé est :

C1 S1 Bn1
C2 S2 Bn2
C3 S3 Bn3
Cn Sn Bnn
S B i ni

Bn  i

S i
i
VII. BESOIN DE POINTE

Besoin correspondant à la période pendant laquelle les besoins en eau


sont les plus élevés

Utilisé pour le calcul du débit fictif continu du mois de pointe

 
B p  Max B i
VIII.DEBIT FICTIF CONTINU
DU MOIS DE POINTE

C’est le débit continu nécessaire à l’irrigation d’un hectare assolé


pendant le mois de pointe :
4
B p  10
d . f .c  q  (l/s/ha)
N  86400  E p

Utilisé pour le dimensionnement du réseau d’irrigation


EXEMPLE DE CALCUL
En vue d’équiper en irrigation une exploitation agricole de 9 ha, dont 3
ha en blé, 2 ha en maraîchage et 4 ha en luzerne, vous disposez des
données consignées dans le tableau ci-dessous :
Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Sept. Octobre Nov. Déc.
Et0 (mm/j) 2,5 2,5 3,5 3,5 4,3 4,3 6,1 6,1 4,6 2,3 2,3 2,3
Pe (mm) 45 15 25 18 5 7 0 0 10 22 38 40
kc (blé) 0,9 1,1 1,05 0,95 0,8 0,7 0,3 0,3 0,5 0,7
kc (mar.) 0,35 0,5 0,65 0,75 0,8 0,82 0,8 0,75 0,65 0,5
kc (luz.) 0,6 0,75 0,85 1 1,1 1,15 1,1 1,01 1,1 0,9 0,8 0,65
1. Calculer l’ETc pour chaque culture et pour chaque mois.
2. Déterminer les besoins en eau nets mensuels pour chaque culture.
3. Calculer les besoins moyens pondérés pour chaque mois. En déduire
le besoin de pointe pour toute l’exploitation.
4. En supposant une efficience à la parcelle de 55% :
a. Quel est le débit fictif continu nécessaire à l’irrigation de
l’exploitation durant le mois de pointe ?
b. Si on irrigue 14 j /mois et durant 12 h/j, calculer le débit
d’équipement nécessaire à l’irrigation de l’exploitation.
IX. DOSE D’IRRIGATION

Volume d’eau délivré à la parcelle en une seule fois pour


combler le déficit hydrique du sol

Dose théorique nette DRU max Hcc H f Da Z (mm)

Dose pratique nette Dp  2.RU max  2 Hcc H f Da Z (mm)


3 3

Dose pratique brute Dpb  Dp (mm)


ep

Z (mm) et Da ( g/cm3)
X. CALENDRIER D’IRRIGATION
A DOSE CONSTANTE

Intervalles entre 2 irrigations successives sont variables = f(P et Etc)

Intervalles espacés en hiver  saison pluvieuse + ETc faible

Irrigations en été plus fréquentes  P rares et ETc importante.


EXEMPLE DE CALCUL

Données de base :
- Dose pratique : 50 mm
- ETc : 40 mm en mai
60 mm en juin
80 mm en juillet
120 mm en août
- Sol à la capacité au champ au début de la période étudiée
- Pluviométrie nulle pendant cette période.

Etablir le calendrier d’irrigation à dose constante.


XI. CALENDRIER D’IRRIGATION
A INTERVALLE CONSTANT

Caractérisé par des doses variables apportées suivant des intervalles


entre deux irrigations fixes
Volumes d’eau apportés contrôlés
Intervalle très court humidité du sol proche de Hcc
irrigation fréquente  Main d’œuvre!
Intervalle assez long déroulement d’autres travaux
limite supérieure déterminée par la RFU
EXEMPLE DE CALCUL

Données de base :
- Dose pratique : 50 mm
- ETc : 40 mm en mai
60 mm en juin
80 mm en juillet
120 mm en août
- Sol à la capacité au champ au début de la période étudiée
- Pluviométrie nulle pendant cette période.

Etablir le calendrier d’irrigation à intervalle constant.

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