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Le Radeau de la Méduse

Théodore Géricault
(1791-1824)
Portrait de Théodore Géricault

Alexandre-Marie Colin
1824 (d’après un portrait de 1816)
Lithographie
40,3 x 29,4 cm
Paris, École Supérieure nationale des Beaux-Arts
Reconstitution du radeau.
Théodore Géricault, La Révolte contre les officiers (étude pour la Méduse), 1817-1819, Rouen, musée des Beaux-Arts
Théodore Géricault, Scène de cannibalisme sur Le radeau de la Méduse, 1817-1819, Paris, musée du Louvre
Théodore Géricault, L'Apparition de l'Argus avec études de corps (étude pour la Méduse), 1817-1819, Rouen, musée des Beaux-Arts
Théodore Géricault, Le Radeau de la Méduse : l'Argus en vue, 1817-1819, lavis d'encre brune, plume, 20,3 x 28,7 cm,
Rouen, musée des Beaux-Arts
Théodore Géricault, Le Radeau de la Méduse, première esquisse, 1817-1819, huile sur toile, 37 x 46 cm, Paris, musée du Louvre
Théodore Géricault, Le Radeau de la Méduse, esquisse, 1817-1819, huile sur toile, 65 x 83 cm, Paris, musée du Louvre
Théodore Géricault, Étude de têtes pour Corréard et Savigny et d’autres personnages du Radeau de la
Méduse, 1818-1819, crayon noir, New-York, Metropolitan Museum of Art
Théodore Géricault

Portrait d'homme
1817-1819
huile sur toile
46 x 38 cm
Rouen, musée des Beaux-Arts
Théodore Géricault

Étude de dos pour le Noir faisant


des signes
1819
Huile sur toile
55 x 45 cm
Montauban
Musée Ingres
Têtes de suppliciés

Théodore Géricault
1818-1819
h/t
50 x 67 cm
Stockholm, Nationalmuseum
Étude de pieds et de main

Théodore Géricault
1817-1819
h/t
52 x 64 cm
Montpellier, Musée Fabre
« Ce fragment de Géricault est
vraiment sublime. C’est le meilleur
argument en faveur du beau
comme faut l’entendre ».
E. Delacroix, Journal, 1857.
William Turner, Naufrage du Minotaur, vers 1810, huile sur toile, 172,7 x 241,21, cm, Lisbonne, musée Calouste-Gulbenkian
L’Hiver ou Le Déluge

Nicolas Poussin
1660-1664
h/t
118 x 160 cm
Paris, Musée du Louvre
Scène de déluge

Anne-Louis Girodet
Vers 1806
h/t
441 x 341 cm
Paris, musée du Louvre
Jugement dernier (détail)

Michel-Ange
1660-1664
Fresque
Rome, Palais du Vatican
(chapelle Sixtine)
Captif dit L'esclave Mourant

Michel-Ange
vers 1513-1514
Marbre
209 x 71 x 50 cm
Paris, musée du Louvre
« C’est un nègre qui est peint au sommet de la toile, s’épuisant
à faire des signaux avec des lambeaux de draperies. Mais quoi !
Ce nègre n’est plus à fond de cale, et c’est lui qui sauvera
l’équipage ! N’admirez-vous pas comme ce grand malheur a
tout à coup rétabli l’égalité parmi les races ! C’est un pauvre
esclave qui va délivrer tous ces hommes qui l’ont asservi et
dédaigné, et cela se passe sur cette même côte du Sénégal où
l’on va prendre ses frères pour les conduire en servitude ! Noble
idée que celle d’avoir ainsi renversé les rôles ! Géricault lorsqu’il
est mort, méditait une grande composition représentant la traite
des nègres, et ce n’est pas sans intention qu’il a placé un de
ces parias au point culminant de son tableau ».
Charles Blanc, Histoire des peintres français au dix-neuvième siècle, tome 1, 1842.
*« Pas un trait d’héroïsme et de
grandeur, pas un indice de vie et de
sensibilité ; rien de touchant, rien
d’honorable pour l’humanité morale ».

Anonyme, La Gazette de France, 1819.


*« M. Géricault paraît s’être trompé.
Le but de la peinture est de parler à
l’âme et aux yeux, et non pas de
repousser ».
P. A. Coupin, Le Salon de 1819.
Officier de chasseurs à cheval de la
garde impériale chargeant

Théodore Géricault
vers 1812
h/t
349 x 266 cm
Paris, Musée du Louvre
Curassier blessé quittant le feu

Théodore Géricault
vers 1814
h/t
358 x 294 cm
Paris, Musée du Louvre
Course de chevaux libres à Rome : la mossa, Théodore Géricault, vers 1817, huile sur papier marouflé sur toile, 45 x 60 cm, Paris, Musée du Louvre
Chevaux libres, Théodore Géricault, 1817, huile sur papier marouflé sur toile, 44,9 x 59,5 cm, Baltimore, Walters Art Museum
Assassinat de Fualdès le 19 mars 1817 :
translation du cadavre

Théodore Géricault
1817
Dessin, encre brune, lavis brun, mine de
plomb
21 x 27 cm
Paris, Musée du Louvre
Le Derby d’Epsom, Théodore Géricault, 1821, h/t, 92 x 123 cm, Paris, Musée du Louvre
Boxeurs

Théodore Géricault
vers 1818
h/t
46,2 x 33,2 cm
Chantilly, Musée Condé
La Monomane de l’envie

Théodore Géricault
vers 1820
h/t
72 x 58 cm
Lyon, Musée des Beaux-Arts
Ary Scheffer, La mort de Géricault, 1824, huile sur toile, 36 cm x 46 cm, Paris, musée du Louvre

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