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NOBLESSE ET GRANDEUR : LE NÉOCLASSICISME

NOBLESSE ET GRANDEUR : LE NÉOCLASSICISME

Du rococo au néoclassicisme
Le bosquet des rocailles dans les jardins du château de Versailles.
Le Déjeuner

François Boucher
1739
h/t
81 x 65 cm
Paris, musée du Louvre
Pèlerinage à l’île de
Cythère

Antoine Watteau
1717
h/t
129 x 194 cm
Paris, musée du
Louvre
Portrait de la marquise de Pompadour

François Boucher
1759
h/t
201 x 157 cm
Munich, Alte Pinakothek
Le Triomphe de Vénus

François Boucher
1740
h/t
130 x 162 cm
Stockholm, Nationalmuseum
La Toilette de Vénus

François Boucher
1751
h/t
108 x 85 cm
New York, Metropolitan museum
Diane sortant du bain

François Boucher
1742
h/t
57 x 73 cm
Paris, musée du Louvre
Le Nid

François Boucher
Vers 1740
h/t
98 x 146 cm
Paris, musée du Louvre
Vue du Hameau de la Reine à Versailles.
Portrait de Denis Diderot

Louis-Michel van Loo


1767
h/t
81 x 65 cm
Paris, musée du Louvre
« Son élégance, sa mignardise, sa galanterie
romanesque, sa coquetterie, son goût, sa facilité, sa
variété, son éclat, ses carnations fardées, sa
débauche, doivent captiver les petits-maîtres, les
petites femmes, les jeunes gens, les gens du
monde, la foule de ceux qui sont étrangers au vrai
goût, à la vérité, aux idées justes, à la sévérité de
l’art ; comment résisteraient-ils au saillant, au
libertinage, à l’éclat, aux pompons, aux tétons, aux
fesses, à l’épigramme de Boucher ? ».
(Denis Diderot, Critique du Salon de 1761.)
Réflexions sur l’imitation des Grecs
dans la peinture et la sculpture, 1755.

« […] une noble simplicité et une


grandeur tranquille, tant dans
l’attitude que dans l’expression,
voilà en définitive le trait général qui
distingue par excellence les chefs-
d’œuvre grecs ».

Portrait de Johann Joachim Winckelmann, Anton


Raphaël Mengs, vers 1777, h/t, 63 x 49 cm, New York,
Metropolitan museum.
Les caractéristiques du « Beau idéal »
selon J. J. Winckelmann :

- Rigueur
- Sobriété
- Harmonie
- Force
- Noblesse
- Sérénité

Apollon du Belvédère, copie romaine d’un


original grec du IVe siècle av. J.-C.,
Vatican, Musée Pio-Clementino.
« L’unique moyen pour nous de devenir
grands et, si possible, inimitables, c’est
d’imiter les anciens ».
(Johann Joachim Winckelmann, Réflexions sur l’imitation des Grecs dans la
peinture et la sculpture, 1755)
Fouilles d’Herculanum, gravure extraite de Voyage pittoresque à Naples et en Sicile de Jean-Claude Richard de Saint-Non, vers 1829.
Autoportrait, Anton Raphael Mengs, vers, 1775, h/b, 102 x Portrait de Joseph-Marie Vien, Joseph Duplessis, 1784,
77 cm, Saint-Pétersbourg, musée de l’Hermitage. h/t, 133 x 100 cm, Paris, musée du Louvre.
Le parnasse, Anton Raphaël Mengs, fresque, 1760-1761, Rome, Villa Albani
Le parnasse, Anton Raphaël Mengs, fresque, 1760-1761, Rome, Villa Albani
Autoportrait, Anton Raphael Mengs, vers, 1775, h/b, 102 x Portrait de Joseph-Marie Vien, Joseph Duplessis, 1784,
77 cm, Saint-Pétersbourg, musée de l’Hermitage. h/t, 133 x 100 cm, Paris, musée du Louvre.
La Marchande d’Amour

Joseph-Marie Vien
1763
h/t
117 x 140 cm
Musée national du Château de
Fontainebleau
Le Clémence de Scipion, Nicolas Poussin, 1640, h/t, 114,5 x 163,5 cm, Moscou, Musée des beaux-arts Pouchkine.
NOBLESSE ET GRANDEUR : LE NÉOCLASSICISME

Du rococo au néoclassicisme

Jacques-Louis David (1748-1825)


Autoportrait

Jacques Louis David


1794
h/t
81 x 64 cm
Paris, musée du Louvre
NOBLESSE ET GRANDEUR : LE NÉOCLASSICISME

Du rococo au néoclassicisme
Jacques-Louis David (1748-1825)

Les années d’appren,ssage


L’Atelier de l’Académie, gravure de Benoît Louis Prévost d’après un dessin de Charles Nicolas Cochin le Jeune, publié dans l’Encyclopédie, 1751
Vue du Salon du Louvre en l’année
1753

Gabriel de Saint-Aubin
17953
Gravure
14,8 x 18,1 cm
New York, Metropolitan museum
Combat de minerve contre Mars

Jacques Louis David


1771
h/t
114 x 140 cm
Paris, musée du Louvre
Érasistrate découvrant la cause
de la maladie d’Antiochius

Jacques Louis David


1774
h/t
120 x 155 cm
Paris, École nationale
supérieure des beaux-arts
« À peine fus-je à Parme que voyant les ouvrages de
Corrège, je me trouvai déjà ébranlé ; à Bologne, je
commençai à faire de tristes réflexions, à Florence, je
fus convaincu, mais à Rome, je fus honteux de mon
ignorance ».

Jacques Louis David, Autobiographie, 1793-1808.


Album de croquis

Jacques Louis David


vers 1780
Crayon noir
19 x 14,9 cm
Paris, musée du Louvre
Département des Arts graphiques
Académie d’homme dite
Patrocle

Jacques Louis David


Vers 1778
h/t
122,5 x 170 cm
Cherbourg-Octeville,
musée Thomas-Henry
Galate mourant

Copie romaine du statue


grecque
Rome, musée du Capitole
Académie d’homme dite
Hector

Jacques Louis David


Vers 1778
h/t
124 x 172,5 cm
Montpellier, musée Fabre
« Il me sembla qu’on venait de me faire l’opération de
la cataracte [...] je compris que je ne pouvais
améliorer ma manière dont le principe était faux, et
qu’il fallait divorcer avec tout ce que j’avais cru
d’abord être le beau et le vrai ».

Jacques Louis David, Autobiographie, 1793-1808.


Bélisaire demandant l’aumône

Jacques Louis David


1780
h/t
288 x 312 cm
Lille, Palais des Beaux-Arts
Portrait de Charlotte David

Jacques Louis David


1813
h/t
62 x 57 cm
Washington, National Gallery of Art
La Douleur et les regrets d'Andromaque sur
le corps d'Hector son mari

Jacques Louis David


1783
h/t
275 x 203 cm
Paris, Musée du Louvre
Le Serment des Horaces

Jacques Louis David


1784-1785
h/t
326 x 420 cm
Paris, Musée du Louvre
« On ne parle plus dans Rome que du
peintre français et des Horaces. »
Jacques Louis David à propos de la présentation du Serment des Horaces à Rome.
Vue du Salon de 1785

Pietro Antonio Martini


1785
Gravure
27,6 x 48,6 cm
New York, Metropolitan
Museum
La Mort de Socrate

Jacques Louis David


1787
h/t
130 x 196 cm
New York,
Metropolitan Museum
Les Licteurs rapportent à
Brutus les corps de ses fils

Jacques Louis David


1789
h/t
323 x 422 cm
Paris, Musée du Louvre
NOBLESSE ET GRANDEUR : LE NÉOCLASSICISME

Du rococo au néoclassicisme
Jacques-Louis David (1748-1825)

Les années d’appren,ssage


David et la Révolu,on française
Le Serment du Jeu
de paume, 20 juin
1789

Jacques Louis David


1791
h/t
66 x 101,2 cm
Musée national du
Château de
Versailles
« On m’a ravi le sommeil pour une série de nuit. […] Ô ma patrie ! Ô
ma chère patrie ! Nous ne serons donc plus obligés d’aller chercher
dans l’histoire des peuples anciens de quoi exercer nos pinceaux.
Les sujets manquaient aux artistes, obligés de répéter, et
maintenant les artistes manqueraient aux sujets. Non, l’histoire
d’aucun peuple ne m’offre rien de si grand, de si sublime que ce
serment du jeu de paume que je dois peindre. Non, je n’aurai pas
besoin d’invoquer les dieux de la fable pour échauffer mon génie.
Nation française, c’est ta gloire que je veux propager. Peuples de
l’univers, présents et futurs, c’est une grande leçon que je veux
vous donner ».

Jacques Louis David devant l’Assemblée, 1790.


Le Serment du Jeu
de paume, 20 juin
1789

Jacques Louis David


1791
h/t
66 x 101,2 cm
Musée national du
Château de
Versailles
Le Serment du Jeu de Paume, Jacques Louis David, 1791-1792, craie blanche, pierre noire et h/t, 370 x 654 cm, Musée nat. du Château de Versailles
Vue du jardin et des
décorations, le jour de la fête
célébrée en l’honneur de l’être
suprême

Estampe éditée par Jacques-


Simon Chéreau
1794
Musée national du Château de
Versailles
L’exposition du corps et couronnement civique de Michel le Peletier, 24 janvier 1793, 1793, gravure, Paris, Musée du Louvre
La Mort de Marat

Jacques Louis David


1793
h/t
165 x 128 cm
Bruxelles, Musées royaux des Beaux-Arts
de Belgique
La Mise au tombeau

Le Caravage
1602-1604
h/t
300 x 203 cm
Rome, Pinacothèque des Musées du Vatican
La Mort de Marat

Jacques Louis David


1793
h/t
165 x 128 cm
Bruxelles, Musées royaux des Beaux-Arts
de Belgique
Autoportrait

Jacques Louis David


1794
h/t
81 x 64 cm
Paris, musée du Louvre
Les Sabines

Jacques Louis David


1799
h/t
385 x 522 cm
Paris, Musée du Louvre
NOBLESSE ET GRANDEUR : LE NÉOCLASSICISME

Du rococo au néoclassicisme
Jacques-Louis David (1748-1825)

Les années d’appren,ssage


David et la Révolu,on française
Le peintre de l’empereur
Portrait inachevé de Bonaparte

Jacques Louis David


1798
h/t
81 x 65 cm
Paris, Musée du Louvre
« Oh ! mes amis, quelle belle tête il a ! C’est pur,
c’est grand, c’est beau comme l’antique ! C’est un
homme auquel on aurait élevé des autels dans
l’Antiquité ; oui, mes amis ; oui mes chers amis !
Bonaparte est mon héros ! ».

Propos rapportés par Étienne-Jean Delécluze, Louis David son école et son temps, 1855.
Portrait inachevé de Bonaparte

Jacques Louis David


1798
h/t
81 x 65 cm
Paris, Musée du Louvre
Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard

Jacques Louis David


1801
h/t
260 x 221 cm
Musée national du Château de Malmaison
Portrait de Madame
Récamier

Jacques Louis David


1800
h/t
174 x 244 cm
Paris, Musée du Louvre
Le Sacre ou Le
Couronnement

Jacques Louis David


1806-1807
h/t
621 x 979 cm
Paris, Musée du
Louvre
Portrait du pape Pie VII

Jacques Louis David


1805
h/t
86,5 x 71,5 cm
Paris, Musée du Louvre
Le Couronnement de la reine à l’abbaye de Saint-Denis, le 13 mai 1610, Pierre-Paul Rubens, vers 1622, h/t, 394 x 727 cm, Paris, Musée du Louvre
Le Sacre ou Le
Couronnement

Jacques Louis David


1806-1807
h/t
621 x 979 cm
Paris, Musée du
Louvre
« Que c’est grand ! Que c’est beau ! […] Quel relief, quelle
vérité ! Ce n’est pas de la peinture ; on marche dans ce
tableau. La vie est partout […] C’est bien, très bien M.
David ; vous avez deviné ma pensée, vous m’avez fait
chevalier français. Je vous sais gré d’avoir transmis aux
siècles à venir la preuve d’affection que j’ai voulu donner à
celle qui partage avec moi les peines du gouvernement.
David, je vous salue ».
Napoléon à David, à propos du Sacre.
Serment de l’armée fait à l’Empereur après la distribution des aigles, Jacques Louis David, 1805-1810, h/t, 610 x 970 cm, Château de Versailles
Napoléon dans son cabinet de travail

Jacques Louis David


1812
h/t
204 x 125 cm
Washington, National Gallery of Art
Léonidas aux Thermopyles

Jacques Louis David


1814
h/t
395 x 531 cm
Paris, Musée du Louvre
Cuirassier blessé quittant le feu

Théodore Géricault
1814
h/t
358 x 294 cm
Paris, Musée du Louvre
Léonidas aux Thermopyles

Jacques Louis David


1817
h/t
184,5 x 241,6 cm
Cleveland, Museum of Art
Mars désarmé par Vénus et les Grâces

Jacques Louis David


1824
h/t
308 x 265 cm
Bruxelles, Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique
Le Radeau de la Méduse, Théodore Géricault, 1818-1819, h/t, 491 x 716 cm, Paris, Musée du Louvre
Scènes de massacre de Scio

Eugène Delacroix
1824
h/t
419 x 354 cm
Paris, Musées du Louvre
« Il fut le père de toute l’école moderne en peinture
et en sculpture ; il réforma jusqu’à l’architecture,
jusqu’aux meubles à l’usage de tous les jours […].
Il règne encore à quelques égards, et, malgré
certaines transformations apparentes dans le goût
de ce qui est l’école d’aujourd’hui, il est manifeste
que tout dérive encore de lui et de ses principes. »
Eugène Delacroix à propos de J. L. David, Journal, 22 février 1860.
NOBLESSE ET GRANDEUR : LE NÉOCLASSICISME

Du rococo au néoclassicisme
Jacques-Louis David (1748-1825)
Les « Davidiens » (cours sur l’ENT)
Intérieur de l’atelier de David

Léon-Mathieu Cochereau
1813-1814
h/t
90 x 105 cm
Paris, Musées du Louvre
« Ce vaisseau avait environ 45 pieds de long sur 30 de large. Ses murs crépis en plâtre
étaient recouverts d’une teinte en détrempe de couleur gris olive et la lumière n’était introduite
en ce lieu que par une seule ouverture élevée de 9 pieds au-dessus du plancher, en donnant
sur l’esplanade du Louvre, sous la grande colonnade. Le long des deux parois latérales,
étaient placés, à gauche, le tableau des Horaces et celui de Brutus. […] Si ces tableaux
attiraient vivement l’attention par leur mérite, l’ameublement de l’atelier était en son genre un
objet de curiosité non moins piquant. Jusqu’à cette époque, les meubles des maisons et
même les plus opulentes de Paris étaient encore fabriqués sur le modèle de ceux du temps
de Louis XV et de Marie-Antoinette, tandis que ceux de l’atelier des Horaces portaient un tout
autre caractère. Les chaises courantes en bois d’acajou sombre, et couvertes de coussins en
laine rouge avec des palmettes noires près des coutures, avaient été copiées sur celles dont
la représentation est si fréquente sur les vases dits étrusques. Au lieu des deux bergères
d’usage, on voyait d’un côté, une chaise curule en bronze dont les extrémités des deux X se
terminaient par des têtes et des pieds d’animaux. […] Le tout était fidèlement imité de
l’antique et exécuté par le plus habile ébéniste de ce temps, Jacob, d’après les dessins de
David et de Moreau, son élève. […] Au surplus, tous ces objets, exécutés d’après le goût et
sur l’ordre de David, étaient, à proprement parler, des meubles d’atelier, puisqu’en effet, ce
peintre les a copiés dans ses ouvrages. »
Étienne-Jean Delécluze, David son école et son temps, 1855.
NOBLESSE ET GRANDEUR : LE NÉOCLASSICISME

Du rococo au néoclassicisme
Jacques-Louis David (1748-1825)
Les « Davidiens »

- Anne-Louis Girodet (de Roucy-Trioson) (1767-1824)


- François-Pascal Gérard (1770-1837)
- Antoine-Jean Gros (1771-1835) (cf. TD)
Autoportrait

Anne-Louis Girodet
1795
h/t
49 x 37 cm
Musée national du château de Versailles
Joseph reconnu par ses frères

Anne-Louis Girodet
1789
h/t
113 x 144 cm
Paris, École nationale supérieure
des Beaux-Arts
Le Sommeil d’Endymion

Anne-Louis Girodet
1791
h/t
198 x 261 cm
Paris, Musée du Louvre
« Je fais un Endymion dormant, l’Amour écarte les
branches des arbres, auprès desquels il est couché de
manière que les rayons de lune l’éclairent par cette
ouverture et le reste de la figure est dans l’ombre. […]
L’invention m’en fut inspirée par bas-relief de la villa
Borghèse. J’ai cru devoir ne pas représenter la figure de
Diane. Il m’a semblé inconvenant de peindre, dans le
moment d’une simple contemplation amoureuse, une
déesse renommée par sa chasteté. L’idée du rayon m’est
apparue plus délicate et poétique ».
Lettre d’Anne-Louis Girodet au docteur Trionson, 1791.
Le Sommeil d’Endymion

Anne-Louis Girodet
1791
h/t
198 x 261 cm
Paris, Musée du Louvre
Portrait de Jean-Baptiste Belley

Anne-Louis Girodet
1798
h/t
159 x 111 cm
Versailles, Musée de l’Histoire de France
L’Apothéose des héros français morts pendant la
guerre de la liberté

Anne-Louis Girodet
Vers 1800
h/t
192,5 x 184 cm
Château de Malmaison
« Les ombres des héros français (à droite)
conduites par la Victoire, viennent habiter
l’Élysée aérien où les ombres d’Ossian et
ses valeureux guerriers s’empressent de
leur donner dans ce séjour d’immortalité et
de gloire, la fête de la Paix et de l’Amitié ».
Extrait de la notice de l’œuvre.
L’Apothéose des héros français morts pendant la
guerre de la liberté

Anne-Louis Girodet
Vers 1800
h/t
192,5 x 184 cm
Château de Malmaison
Scène de déluge

Anne-Louis Girodet
Vers 1806
h/t
441 x 341 cm
Paris, musée du Louvre
Atala au tombeau

Anne-Louis Girodet
1808
h/t
207 x 267 cm
Paris, musée du Louvre
François-René, vicomte de Chateaubriand

Anne-Louis Girodet
1811
h/t
130 x 96 cm
Musée national du Château de Versailles
Napoléon reçoit les clefs de Vienne

Anne-Louis Girodet
1808
h/t
380 x 532 cm
Musée national du Château de Versailles
La Révolte au Caire, Anne-Louis Girodet, 1810, h/t, 365 x 500 cm, Musée national du Château de Versailles
Pygmalion et galatée

Anne-Louis Girodet
1819
h/t
253 x 202 cm
Paris, musée du Louvre
NOBLESSE ET GRANDEUR : LE NÉOCLASSICISME

Du rococo au néoclassicisme
Jacques-Louis David (1748-1825)
Les « Davidiens »

- Anne-Louis Girodet (de Roucy-Trioson) (1767-1824)


- François-Pascal Gérard (1770-1837)
Portrait de François Gérard

Antoine-Jean Gros
1790
h/t
56,2 x 47,3 cm
New York, Metropolitan museum
Bélisaire

François Gérard
1797
h/t91,8 x 72,5 cm
Los Angeles, J. Paul Getty Museum
Jean-Baptiste Isabey et sa fille

François Gérard
1795
h/t
195 x 130 cm
Paris, Musée du Louvre
Psyché et l’Amour

François Gérard
1822
h/t
186 x 132 cm
Paris, Musée du Louvre
Psyché ranimée par le baiser de l’Amour

Antonio Canova
1793
Marbre
155 x 168 x 101 cm
Paris, Musée du Louvre
Ossian évoque les fantômes au son de la harpe sur
les bords du Lora

François Gérard
1800
h/t
180,5 x 198,5 cm
Château de Malmaison
Portrait de Juliette Récamier

François Gérard
1805
h/t
225 x 148 cm
Paris, musée Carnavalet
NOBLESSE ET GRANDEUR : LE NÉOCLASSICISME

Du rococo au néoclassicisme
Jacques-Louis David (1748-1825)
Les « Davidiens »

- Anne-Louis Girodet (de Roucy-Trioson) (1767-1824)


- François-Pascal Gérard (1770-1837)
- Antoine-Jean Gros (1771-1835) (Voir TD)
- Pierre-Narcisse Guérin (1774-1833)
NOBLESSE ET GRANDEUR : LE NÉOCLASSICISME

Du rococo au néoclassicisme
Jacques-Louis David (1748-1825)
Les « Davidiens »

- Anne-Louis Girodet (de Roucy-Trioson) (1767-1824)


- François-Pascal Gérard (1770-1837)
- Antoine-Jean Gros (1771-1835) (Voir TD)
- Pierre-Narcisse Guérin (1774-1833)
Portrait de Pierre-Narcisse Guérin

Robert Lefèvre
1801
h/t
109 x 80 cm
Orléans, musée des Beaux-Arts
La Mort de Caton

Pierre-Narcisse Guérin
1797
h/t
111 x 144 cm
Paris, École supérieure des Beaux-Arts
Le Retour de Marcus Sextus

Pierre-Narcisse Guérin
1799
h/t
217 x 243 cm
Paris, Musée du Louvre
Phèdre et Hippolyte

Pierre-Narcisse Guérin
1802
h/t
40,5 x 54,5 cm
Paris, Musée du Louvre
Bonaparte pardonnant aux révoltés du Caire

Pierre-Narcisse Guérin
1808
h/t
Musée national du Château de Versailles
Andromaque et Pyrrhus

Pierre-Narcisse Guérin
1810
h/t
342 x 457 cm
Pris, musée du Louvre
L’Aurore et Céphale

Pierre-Narcisse Guérin
1810
h/t
254 x 186 cm
Pris, musée du Louvre
Iris et Morphée

Pierre-Narcisse Guérin
1811
h/t
251 x 178 cm
Pris, musée du Louvre
Portrait de l’Impératrice Joséphine

Pierre-Paul Prud’hon
1806
h/t
244 x 179 cm
Pris, musée du Louvre
La Justice et le Vengeance divine poursuivant
le Crime

Pierre-Paul Prud’hon
1808
h/t
243 x 292 cm
Pris, musée du Louvre

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