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Chapitre

4 Fonctions de référence
et problèmes
• Énigme 1 a) Vrai, car la courbe coupe l’axe des abscisses en 2.
Les résultats obtenus sont successivement : b) Vrai, car la droite ∆ : y = 1 coupe la courbe en deux
9 ; 14 ; 22 ; 5 ; 18 ; 19 ; 5. points.
Le mot obtenu est I ; N ; V ; E ; R ; S ; E. c) Faux, l’image de 1,5 par g est 0,75 environ.
d) Faux, – 1 n’a pas d’antécédent par g.
• Énigme 2
• En hauteur la balle peut passer puisque 10 cm < 15 cm.
• Vu du dessus, on dispose d’un triangle isocèle rectangle
en A, pour lequel, d’après le théorème de Pythagore,
l’hypoténuse BC = 972 + 72 = 498.
2. Activités d’approche
Or 498 cm < 10 cm, la balle ne peut pas passer entre • Activité 1
deux piquets.
1. a) et b)

1. Vérifier les acquis


a) 4(– 5)2 = 4 × 25
= 100 ;
32 9
b) 4
41 =4×
16
9
= ;
4
c) 4(12)2 = 4 × 2
= 8.
a) Faux, – 5 est l’opposé de 5 b) Vrai c) Vrai
1
a) 5x2 b) 5 +
x
a) (x + 5)2 = x2 + 2 × x × 5 + 52
= x2 + 10x + 25 ;
b) (3 – x) = 3 – 2 × 3 × x + x2
2 2

= 9 – 6x + x2 ;
12 1 12 1
1
c) 2x +
2
= (2x)2 + 2 × 2x × +
2 2 1= 4x2 + 2x + ;
4
• Pour nommer s l’aire du quadrilatère ABCD : clic-droit
1 2
1 2 1 1 2 sur poly 1, renommer, remplacer poly 1 par s ;
1 2 21
d) x – 1 = x – 2 × x × 1 + 1 = x – x + 1 ;
2
2
4 • Saisir M = (a, s) ;
e) (x + 6) (x – 6) = x2 – 62 • Pour obtenir la trace de M : clic-droit sur M, afficher
= x2 – 36 ; la trace ;
f) (1 – 4x) (1 + 4x) = 12 – (4x)2 • Déplacer ensuite le curseur a pour obtenir la parabole.
= 1 – 16x2. 2. a) f (a) = 2 × Aire(OAB) + 2 × Aire(AOD)
a) x > 0 ; b) x < 0 ; c) x < 5. a 2a a 4a
× ×
2 3 2 3
=2× +2×
a) a + 2 < b + 2 ; 2 2
b) – 2a > – 2b ; = a2
a b b) Différentes conjectures peuvent être émises :
c) < .
3 3 – fonction à valeurs positives ;
a) f (4) = 3 – 5 × 4 = – 17. L’image de 4 par f est – 17. – symétrie de la courbe par rapport à (Oy) ;
1 – variations ;
b) f (x) = 4 donne 3 – 5x = 4 donc – 5x = 1 et x = – .
1 5 – minimum ;
– est l’antécédent de 4 par f.
5 – maximum (pour a entre – 4 et 4)…
1
• Activité 2 d) f (x) =
5
4 3
lorsque x = –
5 – 15
4
=
2
ou x = 3
5 15
= .
4 2
a) e) f (x) = 100 lorsque x = – 10 ou x = 10.
I
a) Elle a confondu image et antécédent.
Zo
one
ne rouge 3 est un antécédent de 9 par la fonction carré.
b) L’écran ne montre pas que 9 possède un autre anté-
1 cédent, – 3, par la fonction carré.
a) x2 = 5 lorsque x = – 15 ou x = 15.
Zone verte
b) Un carré est toujours positif ou nul donc l’équation
x2 = – 3 n’a pas de solution.
O 1 2 3 U c) x2 = 0 lorsque x = 0.
b) La zone frontière, en gris, représente la zone de fonc-
tionnement maximal (U × I = 1 Watt).

3. Exercices de base
a) f (4) = 16 b) f (100) = 10 000
c) f (0) = 0 d) f (0,1) = 0,01
a) f (– 5) = (– 5)2 = 25. 1
b) f (– 4) = 16 ; f (– 1) = 1 ; f (– 3,5) = 12,25 ; f (– 0,5) = 0,25.
3 9 4 16 11 121 –1 O 1 3
a) f 14 =
16 1
b) f – =
5 25
c) f – 1 5
=
25
a) f (15) = 5 b) f (– 15) = 5
c) f (213) = 12 d) f (– 415) = 80 1
a) f (103) = 106 0,8
b) f (10– 5) = 10– 10
c) f (8 × 10– 4) = 64 × 10– 8 0,6
d) f (2 + 15) = (2 + 15)2
= 4 + 2 × 2 × 15 + 152 0,4
= 9 + 415
0,2
e) f (18 – 16) = (18 – 16)2
= 182 – 2 × 18 × 16 + 162
= 14 – 2448 – 0,8 – 0,6 – 0,4 – 0,2 O 0,2 0,4 0,6 0,8 1
= 14 – 813
f) f (3 – 12) = (3 – 12)2 a)
= 32 – 2 × 3 × 12 + 122
= 11 – 612.

x – 1 – 0,7 – 0,4 – 0,1 0,2 0,5 0,8


x2 1 0,49 0,16 0,01 0,04 0,25 0,64

a) La droite d’équation y = 4 coupe la courbe


représentative de la fonction carré en deux points b)
d’abscisses – 2 et 2.
b) La droite d’équation y = – 1 ne coupe pas la courbe
représentative de la fonction carré.
a) f (x) = 1 lorsque x = – 1 ou x = 1.
b) f (x) = – 4 n’admet pas de solution.
c) f (x) = 0 lorsque x = 0.
2
14 14
2 2
a) 3 1 24 10
De > , on déduit que > .
7 3 7 3

4 247 et 4 103 sont tous deux positifs et la fonction


16
Or

carré est croissante sur [0 ; + ∞[ donc 4 > 4 .


24 10
13 7 3

b) 1– 4
2
11 11 10 1 1
= = + =2+ ;
5 5 5 5 5

1– 4 136 = 136 = 126 + 16 = 2 + 16 .


2

9
8
De > , on déduit que 1– 4 > 1– 4
2 2
1 1 11 13
.
5 6 5 6

Or – 4 et – 4 sont tous deux négatifs et la fonction


11 13
5 6
carré est décroissante sur ]– ∞ ; 0] donc – 4 <–4 .
11 13
5 6
Lorsque x ! [1 ; 3], x2 ! [1 ; 9].
1
–3 a) x 0 10
–!#
13 –!"8 O 1 !"8 3 !#
13
x2 100
9 admet deux antécédents par f ; – 3 et + 3. 0
13 admet deux antécédents par f ; – 413 et + 413.
Donc pour x ! [0 ; 10], x2 ! [0 ; 100].
8 admet deux antécédents par f ; – 212 et + 212.
b) x – 5 –3 0
– 5 n’admet aucun antécédent par f.
25
a) La fonction carré est croissante sur [0 ; + ∞[.
x2 9
0
b) La fonction carré et décroissante sur ]– ∞ ; 0].
Donc pour x ! [– 5 ; – 3], x2 ! [9 ; 25].
a) 6,314 < 8,7 donc 6,3142 < 8,72 ; car la fonction c) x –8 0 2
carré est croissante sur [0 ; + ∞[.
x2 64 4
b) – 10,5 < – 8,72 donc (– 10,5)2 > (– 8,72)2, car la fonction
carré est décroissante sur ]– ∞ ; 0]. 0
Donc pour x ! [– 8 ; 2[, x2 ! [0 ; 64].
a) 5,314 et 5,8 sont tous deux positifs. Or la fonction
carré est croissante sur [0 ; + ∞[, donc de 5,314 < 5,8, on a) 3 0, la fonction carré est croissante sur [0 ; + ∞[,
déduit que 5,3142 < 5,82. donc de x 3, on déduit que x2 9.
b) – 5,3 et – 5,87 sont tous deux négatifs. Or la fonction b) – 1 < 0, la fonction carré est décroissante sur ]– ∞ ; 0],
carré est décroissanet sur ]– ∞ ; 0], donc de – 5,3 > – 5,87, donc de x < – 1, on déduit que x2 1.
on déduit que (– 5,3)2 < (– 5,87)2. c) – 5 < 0 et – 2 < 0, la fonction carré est décroissante
c) 1 – et – 2,5 sont tous deux négatifs. Or la fonction sur ]– ∞ ; 0], donc de – 5 < x < – 2, on déduit que
carré est strictement décroissante sur ]– ∞ ; 0], donc 25 x2 4, c’est-à-dire x2 ! [4 ; 25].
de 1 – > – 2,5, on déduit que (1 – )2 < (– 2,5)2.
d) 103 et 104 sont tous deux positifs. Or la fonction carré 3
est croissante sur [0 ; + ∞[, donc de 103 < 104, on déduit
4
que (103)2 < (104)2.

14
2
24 24 21 3 3 1
a) = = + =3+ ;
7 7 7 7 7

14
2
10 10 9 1 1 –2 O 1 2
= = + =3+ .
3 3 3 3 3 Donc x 2
4 lorsque x ! ]– ∞ ; – 2] " [2 ; + ∞[.
3
a) c)
25 3 3
16

4
1
– 4 –2 O 1 2 4
5
Donc 4 < x < 16 lorsque x ! ]– 4 ; – 2[ " ]2 ; 4[.
2

1
–5 O 1 5 5
Donc x2 < 25 lorsque x ! [– 5 ; 5]. 3
b)
3

x2 = 5 lorsque x = – 15 ou x = 15 donc !'' = 15 ;


–1 O 1 x2 = 3 lorsque x = – 13 ou x = 13 donc !’ = 13.
Donc x > 1 lorsque x ! ]– ∞ ; – 1[ " ]1 ; + ∞[.
2 Ainsi, ! = !’ + !'' = 13 + 15
c) ! # 3,968 m # 397 cm.
3
1
a) f (5) = .
5
3 1 1 1
b) f (4) = = 0,25 ; f (0,5) = = 2 ; f (– 2) = = – 0,5 ;
4 0,5 –2
1 1
f (10) = = 0,1 ; f (2,5) = = 0,4.
10 2,5
–!"3 O !"3 5 7 1
Donc x < 3 lorsque x ! ]– 13 ; 13[.
2 a) f 17 =
5
= 1,4 1 9 =–9
b) f –
3 4 5 8
a)
3 1
c) f –
4
=–
3
d) f 1 = = 1,6
8 5
3 e) f (10– 6) = 106 f) f (105) = 10– 5
1 12 1 – 13
a) f (12) = = b) f (– 13) = =
12 2 – 13 3
1 15
c) f (215) = =
–!"3 O !"3 215 10
Donc 0 < x < 3 lorsque x ! [– 13 ; 13].
2
a) Il n’existe qu’un réel dont l’inverse est 2, car
b) 3 la droite d’équation y = 2 ne rencontre la courbe de la
9
1
fonction inverse qu’en un seul point. Ce réel est .
2
b) Il n’existe qu’un réel dont l’inverse est – 3 car la droite
d’équation y = – 3 ne rencontre la courbe de la fonction
1
inverse qu’en un seul point. Ce réel est – .
3
c) Il n’existe pas de réel dont l’inverse est 0 car la droite
2 d’équation y = 0 (l’axe des abscisses) ne rencontre jamais
la courbe de la fonction inverse.
1 1 4 3
a) = lorsque x = .
x 3 4
–3 –!"2 O 1 !"2 3 1
b) = 0,02 lorsque x = 50.
Donc 2 < x < 9 lorsque x ! [– 3 ; – 12] " [12 ; 3].
2 x
4
1 b)
c) = 10– 5 lorsque x = 105.
x
1
d) = 2 × 104 lorsque x = 5 × 10– 5.
x
1 1
a) = 5 lorsque x = = 0,2.
x 5
1 3 2
b) = – lorsque x = – .
x 2 3
a)
1
c) = 0,8 lorsque x = 1,25.
x
1 12 2 12 × 12
d) = lorsque x = = = 12.
x 2 12 12 3

2
1
1 2
– "
–– 3
–3 3
2
O 2
–1 3

–1
–3 2
1 3
"
–2
O 1 3

–3

1
b) • L’image de – 3 est – ; l’image de 1 est 1 ; l’image
3
3 2
de est .
2 3
1
• L’antécédent de – 3 est – ; l’antécédent de 1 est 1 ;
3
" 3 2
l’antécédent de est .
2 3
1 1 1 3 1 2
c) • f (– 3) =
–3 3 1 1
= – ; f (1) = = 1 ; f = = .
2 3 3
2
1 1 1 1 3
• = – 3 donne x = – ; = 1 donne x = 1 ; = donne
x 3 x x 2
2
x= .
1 3

–1 O 1 a) La fonction inverse est décroissante sur ]0 ; + ∞[.


b) La fonction inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[.
1 1
a) > – 1 donc < car la fonction inverse
–1
est décroissante sur ]0 ; + ∞[.
1 1
b) 2 – 17 < 2 – 15 donc > car la fonction
2 – 17 2 – 15
inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[.

a) – 0,1 et – 0,99 sont tous deux négatifs. Or la


a) fonction inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[, donc de
1 1
– 0,1 > – 0,99, on déduit que < .
– 0,1 – 0,99
b) 2 + 12 et 3 + 12 sont tous deux positifs. Or la fonction
inverse est décroissante sur ]0 ; + ∞[, donc de 2 + 12 < 3 + 12,
1 1
on déduit que > .
2 + 12 3 + 12
5
1 1 a)
a) 15 + 2 > 0 et 15 – 3 < 0, donc > .
15 + 2 15 – 3
b) x2 + 2 et x2 + 1 sont tous deux positifs. Or la fonction "
inverse est décroissante sur ]0 ; + ∞[, donc de x2 + 2 > x2 + 1,
1 1 1
on déduit que 2 < 2 .
x +2 x +1 3

4
1 1
Lorsque x ! [1 ; 5],
x
! ;1.
5 $ % O 1 4

3
a) x 0 2 7
1 1

–x 2 1

7 1 3 4
Donc, lorsque %
< , x ! – ∞; 0 " ; + ∞ .
x 4 3 $ $ $
1 1 1
Donc pour x ! [2 ; 7],
x
! ; .
7 2 $ % b)
1 "
b) x 0 5
–1

3
1 1
– O
– 1
x 5

1 1
Donc pour x ! ]0 ; 5],
x %
! ;+∞ .
5 $
c) 1
x –2 – – 0 –3
5
1 –1
– 1 1

x 2 –5 Donc, lorsque
x
< – 3, x ! – ; 0 .
3 $ $
1 1 1
%
Donc pour x ! – 2 ; – %
, ! – 5; – .
5 x 2 $ $ "
1
a) La fonction inverse est décroissante sur ]0 ; + ∞[, –1

2
1 1
donc de x 2, on déduit que < . O 1
x 2
b) La fonction inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[, donc
1 1 1 1
de x < – 4, on déduit que , soit – . –2
x –4 x 4
c) La fonction inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[,
1 1 1 1 1 1
donc de – 1 < x < – , on déduit que
2 –1 x 1
soit Donc lorsque
x %
> – 2, x ! – ∞ ; – " 0 ; + ∞ .
2 $ % $
1 –
– 2 < < – 1. 2 a)
x 7

1 1 "
"
O 1 O 1
1 1
– –
5 7
1 1 1 1
Donc
x
5 lorsque x ! 0 ; % 5
. % Donc 1 <
x
< 7 donc x ! ; 1 .
7 $ %
6
b) c) On conjecture que le point H décrit une hyperbole.
–1

–4 5 1 2. On note x l’abscisse du point M (qui est aussi celle
O1
de H).
–1– Les triangles OIN et OMA sont en configuration de Thalès,
4
" OI ON 1 ON
donc = , c’est-à-dire = .
OM OA x 1
1
Ainsi ON = .
x
1
–5 L’ordonnée de N, qui est aussi celle de H, est donc – .
x
1
Donc – 5 <
1 1 1
$
< – lorsque x ! – 4 ;– . % 1
Finalement, le point H a pour coordonnées x ; – , il est
x
x 4 5 1
situé sur une hyperbole d’équation y = – .
c) 5
x
1. a)

"
1 1
–2 –
O 5 1
1
––
2
1 1
Donc –
2 $
< x < 5 lorsque x ! – 2 ; 0 " 0 ; .
5 $ % % b) On constate que l’on ne peut pas utiliser cette fenêtre
graphique pour déterminer les points d’intersection.
a) P × V = 1 est lié à la fonction inverse car, pour
1 1 1 1
P ≠ 0, V = ou, pour V ≠ 0, P = . 2. = 0,02x lorsque 1 = 0,02x2, c’est-à-dire x2 = ,
P V x 0,02
1 soit x2 = 50 qui a pour solutions x = 450 et x = – 450 et
b) On choisit P = et il faut que 0,5 < V < 5. 1 12 12
V y= = et y = – .
À l’aide du tableau de variation de la fonction inverse, 512 10 10
1 3. La fenêtre : – 9 < X < 9 et – 0,2 < Y < 0,2 convient
on en déduit que : < P < 2. pour obtenir une valeur approchée (en utilisant le mode
5
TRACE , par exemple) des points d’intersection.
v –! 0 0,5 5 +!
1. a) et b)
2
1
P=1
–v –
5

Les valeur possibles pour la pression P sont situées dans


1
$
l’intervalle ; 2 .
5 %

5. Exercices d'entraînement c) On conjecture que :


1. a) et b) Pour C > 0, le tableau de variation de v # Cv2 est :
v –! 0 +!

Cv2
0
Pour C < 0, le tableau de variation de v # Cv2 est :
v –! 0 +!
0
Cv2

7
2. Pour C > 0 : • Pour u, v ! ]0 ; + ∞[,
u et v désignent deux réels tels que u < v, c’est-à-dire 1 1 v – u } positif
f(u) – f(v) = – =
tels que u – v < 0. u v uv } positif
– lorsque u et v sont positifs, donc f(u) – f(v) 0, c'est-à-dire f(u) f(v).
Cu2 – Cv2 = C(u2 – v2) = C(u – v) (u + v) La fonction inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[.
• Pour u, v ! ]– ∞ ; 0[,

'
'
négatif positif
donc Cu2 – Cv2 < 0 donc Cu2 < Cv2. 1 1 v – u } positif
f(u) – f(v) = – =
La fonction v # Cv2 est croissante sur [0 ; + ∞[. u v uv } positif
– lorsque u et v sont négatifs, donc f(u) – f(v) 0, c'est-à-dire f(u) f(v).
Cu2 – Cv2 = C(u2 – v2) = C(u – v) (u + v) La fonction inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[.
2. a)
'
'
négatif négatif
donc Cu2 – Cv2 0 donc Cu2 Cv2.
La fonction v # Cv2 est décroissante sur ]– ∞ ; 0].
Pour C < 0 :
On procède de même, C étant négatif, les inégalités
changent de sens et les variations de la fonction égale-
ment.

1. u et v désignent deux réels tels que u < v, On conjecture le tableau de variation suivant :
c'est-à-dire u – v < 0. x –! 0 +!
• Pour u, v ! [0 ; + ∞[,
f(u) – f(v) = u2 – v2 = (u – v) (u + v) donc f(u) – f(v) < 0 –3
–x
'
'

négatif positif
c'est-à-dire f(u) < f(v). La fonction carré est croissante
b) u et v désignent deux réels tels que u < v, c'est-à-dire
sur [0 ; + ∞[.
v – u 0.
• Pour u, v ! ]– ∞ ; 0], 1 1 –3 –3
f(u) – f(v) = u2 – v2 = (u – v) (u + v) donc f(u) – f(v) 0 • Pour u, v ! ]0 ; + ∞[, (d'après le 1.) donc <
u v u v
'
'

négatif négatif (car – 3 < 0) donc f est décroissante sur ]0 ; + ∞[.


c'est-à-dire f(u) f(v). La fonction carré est décroissante 1 1 –3 –3
• Pour u, v ! ]– ∞ ; 0[, (d'après le 1.) donc <
sur ]– ∞ ; 0]. u v u v
2. a) (car – 3 < 0) donc f est décroissante sur ]– ∞ ; 0[.

1. Pour tout réel x, M(x ; x2) appartient à la parabole 3.


Son symétrique par rapport à l'axe des ordonnées est
le point M'(– x ; x2).
Or (– x)2 = x2 donc M' appartient également à 3.
3 est donc symétrique par rapport à l'axe des ordonnées.
2. a) On conjecture que l'axe des ordonnées est axe de
On conjecture que f(x) est positif pour tous les réels x de symétrie de cette courbe.
]– ∞ ; – 1] " [1 ; + ∞[, et négatif sinon. b) Pour tout réel x, M(x ; 2x2 – 3) appartient à la courbe.
b) x2 – 1 = (x – 1) (x + 1) Son symétrique par rapport à l'axe des ordonnées est le
or x – 1 < 0 et x + 1 0 lorsque 0 < x < 1, point M'(– x ; 2x2 – 3).
donc x2 – 1 < 0 et x2 < 1 lorsque 0 < x < 1. Or 2(– x)2 – 3 = 2x2 – 3 donc M' appartient aussi à la
c) x2 – 1 = (x – 1) (x + 1) courbe.
• lorsque x 1, x – 1 0 et x + 1 0 donc x2 1 ; Cette courbe est donc symétrique par rapport à l'axe
• lorsque – 1 < x < 0, x – 1 < 0 et x + 1 0 donc x2 < 1 ; des ordonnées.
• lorsque x < – 1, x – 1 < 0 et x + 1 < 0 donc x2 1.
d) À l'aide des réponses aux questions b) et c) : On note 3 la courbe représentative de la fonction
f(x) 0 lorsque x ! ]– ∞ ; – 1] " [1 ; + ∞[ ; carré et ∆ la droite d'équation y = x. On observe que :
et f(x) < 0 lorsque x ! [– 1 ; 1]. • Pour x < 0, ∆ est en-dessous de 3 donc x < x2 ;
• Pour 0 < x < 1, ∆ est au-dessus de 3 donc x > x2 ;
1. u et v désigne deux réels tels que u < v, c'est- • Pour x > 1, ∆ est en-dessous de 3 donc x < x2 ;
à-dire v – u 0. • Pour x = 0 et x = 1, ∆ et 3 sont sécants donc x = x2.
8
Pour comparer x # x2 et x # x, on s'intéresse au signe a)
de la différence : 3
x2 – x = x(x – 1). Ainsi,
• pour x < 0, x (x – 1) > 0, donc x2 > x
'

'
négatif négatif
3 est au-dessus de ∆ ;
• pour 0 < x < 1, x (x – 1) < 0, donc x2 < x $g
'

'
positif négatif
3 est au-dessous de ∆ ;
• pour x > 1, x (x – 1) > 0, donc x2 > x
'

'

positif positif 1
3 est au-dessus de ∆ ;
O 1
• pour x = 0 ou pour x = 1, x(x – 1) = 0, donc x2 = x
3 et ∆ sont sécants. Les coordonnées des points d'intersection sont :
(– 2 ; 4) et (1 ; 1).
• Par lecture graphique, on conjecture que :
b) (x + 2) (x – 1) = x2 + 2x – x – 2 = x2 + x – 2.
1
x lorsque x ! ]– ∞ ; – 1] " ]0 ; 1] et c) x2 = g(x) équivaut successivement à x2 = – x + 2 puis
x
1 x2 + x – 2 = 0 et donc, d'après le b), à (x + 2) (x – 1) = 0
< x lorsque x ! [– 1 ; 0[ " [1 ; + ∞[. d'où x = – 2 et x = 1.
x
1 1 – x2 (1 – x) (1 + x) Ainsi, les points d'intersection ont pour coordonnées
• Pour tout réel x, – x = = :
x x x (– 2 ; 4) et (1 ; 1).
– lorsque x < – 1 ; (1 – x) (1 + x) < 0 et x < 0 donc
1 1 a) On conjecture que les points d'intersection ont
– x 0 et x;
x x pour coordonnées (1 ; 1) et (4 ; 16) environ.
– lorsque x ! ]0 ; 1] ; (1 – x) (1 + x) 0 et x 0 donc b) • (x – 1) (x – 4) = x2 – 5x + 4 ;
1 1 • x2 = 5x – 4 équivaut successivement à x2 – 5x + 4 = 0
– x 0 et x;
x x
puis (x – 1) (x – 4) = 0, enfin x = 1 ou x = 4.
– lorsque x ! [– 1 ; 0[ ; (1 – x) (1 + x) 0 et x < 0 donc
1 1 Ainsi, les coordonnées des points d'intersection sont
– x < 0 et < x ; (1 ; 1) et (4 ; 16).
x x
– lorsque x ! [1 ; + ∞[ ; (1 – x) (1 + x) < 0 et x 0 donc
a) On conjoncture que le point d'intersection a
1 1
– x < 0 et < x. pour coordonnées (2,2 ; 4) environ.
x x
1 15
Début b) • x –1 4 1
x + 4 = x2 + x – 1 ;
4
Lire x ≠ 0 15 15
a $ x2
• x + x – 1 = 0 équivaut successivement à x x +
2
4 41 =1

b $ 1/x 15 1
puis x + = .
si a – b > 0 alors écrire a 4 x
1 1
sinon écrire b 1
Or x –
4 1
x + 4 = 0 lorsque x = ou x = – 4.
4
Fin Ainsi les coordonnées des points d'intersection sont
1 1
a)
14 1
; 4 et – 4 ; – .
4

a) On conjecture que ces trois courbes se rencon-


trent au point de coordonnées (0,25 ; 4).
9 3 1
b) • 4x + 3 = – 2x + donne 6x = donc x = , ainsi les
2 2 4
courbes représentatives des fonctions x # 4x + 3 et
9
x # – 2x + se rencontrent au point de coordonnées
b) On conjecture que les coordonnées des points d'inter- 2
1 1 1
section sont, environ, (– 1,4 ; 6,1) et (1,4 ; – 2,2). 1 4
;4× +3 = ;4 .
4 4 1
c) x2 – 3x = – 3x + 2 est successivement équivalent à 1 1
x2 = 2, x = – 12 ou x = 12. • De plus, l'image de par x # est 4.
4 x
Les coordonnées des points d'intersection sont : 1
(– 12 ; 312 + 2) et (12 ; – 312 + 2). 4 1
Donc ce point ; 4 est commun aux trois courbes.

9
1. a) a) x 0 donc x + 4 > x + 1 > 0 or la fonction inverse
1 1
est décroissante sur ]0 ; + ∞[, donc < .
x+4 x+1
b) x < 0 donc x – 5 < x – 410 < 0, or la fonction inverse est
1 1
décroissante sur ]– ∞ ; 0[, donc > .
x – 5 x – 410
c) x 5 donc 4x 20 puis 4x – 1 19, or la fonction
1 1
inverse est décroissante sur ]0 ; + ∞[, donc < .
4x – 1 19

b) Valeur approchée de la solution positive : x # 1,6. a) Faux.


2. a) (a ; b) = (1 ; 2) ; (a ; b) = (1,5 ; 2) ; Carré de la somme de deux réels x et y : (x + y)2.
(a ; b) = (1,5 ; 1,75) ; (a ; b) = (1,5 ; 1,675). Somme des carrés de ces réels : x2 + y2.
b) Cet algorithme a pour but de donner un encadrement Or (x + y)2 = x2 + 2xy + y2 ≠ x2 + y2 (sauf dans le cas où x
précis de la solution positive de l'équation x2 = x + 1. et y sont nuls).
c) b) Faux.
Inverse de la somme (non nulle) de deux réels x et y :
1
.
x+y
1 1
Somme des inverses de ces réels : + .
x y
1 1 1
Or + ≠ , en effet :
x y x+y
1 1 1 y(x + y) + x(x + y) – xy
+ – =
x y x+y xy(x + y)
d) L'encadrement obtenu est [1,5 ; 1,675].
x2 + y2 + xy
=
1. a) La droite (OA) a pour équation y = x et, pour xy(x + y)
tout x ! ]0 ; 1[ , x2 ≠ x. ≠ 0.
b) La droite (AB) a pour équation y = 3x – 2 et, pout tout Johanna : Faux car x2 + 1 = 0 n'a pas de solution.
x ! ]1 ; 2[, x2 ≠ 3x – 2. Mehdi : Faux car x2 > 42 lorsque x ! ]– ∞ ; – 4[ " ]4 ; +∞[,
y –y
2. a) • Le coefficient directeur de (MN) : a = M N on peut le vérifier par le graphique, par exemple à l'aide
xM – xN
v2 – u2 (v – u) (v + u) d'un contre-exemple.
a= = =v+u
v–u v–u Amanda : Faux lorsque x < 0, un contre-exemple suffit.
• y = ax + b donc y = (v + u) x + b en remplaçant les coor-
Elle a oublié la solution x = – 4.
données du point M :
u2 = (v + u) u + b donc b = u2 – (u + v) u. Elle a omis de préciser que la fonction inverse n'est
b) • ya – x2 = (u + v) x + u2 – (u + v) u – x2 pas définie en 0.
= (u + v) (x – u) + u2 – x2 Il faut représenter la fonction inverse pour des
= (u + v) (x – u) – (x – u) (x + u) valeurs de x négatives pour s'apercevoir que cette équa-
= (x – u) [(u + v) – (x + u)] tion admet une solution.
= (x – u) (v – x)
• u < x < v donc x – u > 0 et v – x > 0 donc (x – u) (v – x) > 0 Le professeur va écrire qu'il manque des détails de
ainsi yQ – x2 > 0. la démonstration. Elle devrait être :
c) Pour tout x de ]u ; v[, yQ – x2 > 0 donc yQ > x2 donc la 1 < x < 2, donc 0 < x – 1 < 1.
parabole 3 est située sous la droite [MN]. Or (x – 1)2 > 0 donc
(x – 1) × (x – 1)2 < 1 × (x – 1)2, ainsi
a) x 3 (x – 1)3 < (x – 1)2 lorsque 1 < x < 2.
donc x2 9 car la fonction carré est croissante sur [0 ; + ∞[,
– 5x2 < – 45 car – 5 < 0 ; Maxime parle des nombres 0 et 1 ; Andréa parle
– 5x2 + 10 < – 35. des nombres – 1 et 1.
b) x < – 5 À la calculatrice, représenter les fonctions inverse
1 1
donc – car la fonction inverse est décroissante et carré pour comparer leur position pour x > 0. L'affir-
x 5
sur ]– ∞ ; 0[ ; mation est fausse :
1 1 1 16 1 1
– 3 – – 3; – 3 – x2 < pour 0 < x < 1 et x2 pour x 1.
x 5 x 5 x x
1 32 1
1
2 –3 2–
x 1 5
car 2 > 0. C'est la fonction x # 2 .
x
10
a) La fonction inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[ 1. a) Oui b) Non c) Pas nécessairement.
et décroissante sur ]0 ; + ∞[. 2. a) Vrai car a = b est équivalent à a – b = 0 ce qui implique
b) La fonction carré est décroissante sur ]– ∞ ; 0] et que (a – b) (a + b) = a2 – b2 = 0, donc que a2 = b2.
décroissante sur [0 ; + ∞[. b) Vrai car a2 ≠ b2 est équivalent à a2 – b2 ≠ 0 donc
c) La courbe représentative de la fonction carré est, dans (a – b) (a + b) ≠ 0 ce qui est équivalent à a ≠ b et a ≠ – b.
un repère orthogonal, symétrique par rapport à l'axe c) Faux car il se peut que a = – b.
des ordonnées. 3. a) Vrai car a = b est équivalent à b – a = 0, ce qui est
d) Les courbes représentatives des fonctions carré et b–a b a
équivalent à = 0 (car ab ≠ 0) puis à – = 0 donc
inverse ont un seul point d'intersection dans un repère. ab ab ab
1 1 1 1
– = 0, ainsi = .
1. a) Elle multiplie 1,73 par 7 et compare le résultat a b a b
à 12. Ce qui donne 12 > 713 qui est faux ! b) et c) Puisque le a) est une relation d'équivalence, b)
b) 122 = 144 ; (713)2 = 49 × 3 = 147. et c) sont vraies.
(713)2 > 144 donc 713 > 12. L'affirmation de Bahia est fausse, par exemple pour
2. a) 152 = 225 ; (715)2 = 245 donc 15 < 715. 1 1
a = – 1 et b = 1, a < b mais < .
b) (– 2413)2 = 52 ; (– 317)2 = 63 donc (– 2413)2 < (– 317)2 a b
mais 0 > – 2413 > – 317 car la fonction carré est décrois- Les affirmations d'Amélie et Luka sont justes.
sante sur ]– ∞ ; 0].
12 12
1 + 13 > 2 et < 2, donc < 1 + 13.
6. Se préparer au contrôle
7 7
12 1. c) 2. b) 3. a)
Or 1 + 13 > 0 et > 0, la fonction carré est croissante
7 12 1. b) Car a et – 2 sont tous deux négatifs. Or la
sur [0 ; + ∞[, donc de < 1 + 13, on déduit que
7 fonction carré est décroissante sur ]– ∞ ; 0], donc de
12 2
17
< (1 + 13)2. a < – 2, on déduit que a2 (– 2)2 donc a2 4.
2. b) Car a et – 5 sont tous deux négatifs. Or la fonction
a) Vrai, car la fonction carré est croissante sur inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[, donc de a < – 5, on
[0 ; + ∞[. 1 1
déduit que – .
b) Faux, par exemple pour x = – 3 : – 3 < 2 mais (– 3)2 > 4. a 5
c) Vrai, car la fonction carré est décroissante sur ]– ∞ ; 0]. 3. c) Car 1 – 15 et 2 – 15 sont tous deux négatifs.
Or la fonction carré est décroissante sur ]– ∞ ; 0], donc de
a) Vrai car la fonction carré est décroissante sur
1 – 15 < 2 – 15, on déduit que (1 – 15)2 > (2 – 15)2.
]– ∞ ; 0], donc de – 5 < x < – 2, on déduit que 25 x2 4,
4. b) Car + 3 > 6 donc ( + 3)2 > 36 et + 4 > 7
donc 4 < x2 < 25, ainsi 0 < x2 < 30. 1 1
b) Faux : contre-exemple : pour x = 1,37, x2 < 1,88. donc < .
+4 7
c) Vrai car la fonction carré est croissante sur [0 ; + ∞[, donc
a) Faux b) Vrai c) Faux
de 12,5 < x < 13,2, on déduit que 156,25 < x2 < 174,24,
d) Vrai e) Faux f) Faux
ainsi 156,2 < x2 < 174,3.
d) Faux : contre-exemple : x = 0, x2 = 0 % [1 ; 4]. a) Vrai, on peut se servir du tableau de variation
de la fonction carré sur [0 ; + ∞[.
a) b) ! c) d) !
x 0 2 +!
Pour tout réel x,
• Si x = 25 alors x = – 5 ou x = 5.
2 x2 0 4
• Si x3 = 125 alors x = 5. b) Faux car il se peut que x < – 7.
• Si x = 5 alors x2 = 25. c) Faux, par exemple lorsque l’un est négatif et l’autre
• Si x = 5 ou x = – 5 alors x2 = 25. 1 1
• Si x = 5 alors x3 = 125. positif, – 2 < 3 et – < .
2 3
1 d) Faux, + 13 > + 12, ils sont tous deux positifs,
a) Il existe un réel x tel que si x 5 alors 0 < < 0,1.
x et la fonction inverse est décroissante sur ]0 ; + ∞[,
1 1 1
b) Il existe un réel x tel que si 1, alors 1 < x < 2. donc < .
x
1 + 13 + 12
c) Pour tout réel x, si < – 2 alors x < 0. 1 9 5 4 4
x e) Vrai, = = + =1+ .
5 5 5 5 5
Il existe au moins un réel x tel que si x2 = 36 alors
9
0 < x < 6. f) Faux car il se peut que se soit négatif. Par exemple,
b) Il existe au moins un réel x tel que si x2 = 36 alors 1 1
pour x = – 3, – 3 < 2 mais < .
0 < x < 3. –3 2
11
a) 1 – 12 et 1 – 13 sont tous deux négatifs. Or la a) x – ! –!"7 !"7 + !
fonction carré est décroissante sur ]– ∞ ; 0], donc de
1 – 12 > 1 – 13, on déduit que (1 – 12)2 < (1 – 13)2. x2 7 7
b) 13 – 1 et 12 – 1 sont tous deux positifs. Or la fonc- 0
tion inverse est décroissante sur ]0 ; + ∞[, donc de
1 1 Donc x2 < 7 lorsque – 17 < x < 17.
13 – 1 > 12 – 1, on déduit que < .
13 – 1 12 – 1 b) 1–
x –! 0 2 +!
5
a) 5
1 1
– –
3 x 2
2
1 1 1
Donc < < 5 lorsque < x < 2.
1 2 x 5

a)
–!"2 O 1 !"2
Donc x2 2 lorsque x ! ]– ∞ ; – 12] " [12 ; + ∞[.
b)
2 À la lecture de l’écran ci-dessus, on conjecture que
pour x 1, x2 x2 – x + 1.
1
b) Pour x 1, x2 – (x2 – x + 1) = x – 1 0.
Ainsi, x2 x2 – x + 1 donc la courbe représentative de f
O 1 est située au-dessus de celle de g sur [1 ; + ∞[.
1

2 a) A2 = (13 + 15)2 = 3 + 2 × 13 × 15 + 5 = 8 + 2415
"
B2 = (97 + 2415)2 = 7 + 2415
b) A 0 et B 0, la fonction carré est croissante sur
Donc
1
x %
< 2 lorsque x ! – ∞ ; 0 "
1
2 $ %
;+∞ . $ [0 ; + ∞[, donc de A2 > B2, on déduit que A > B.

a)
3 7. Exercices d’approfondissement
9
• Dans le repère (O ; I, J), le point M est à l’inter-
1
section des droites (AM) d’équation x = et (OA’)
1 4
d’équation y = x.
4
Donc le point M a pour coordonnées
1 1
;
4 16 1 .
• On montre de même que :
1
1 1 1
N ; ,L ;
2 4
3 9
1
4 16
et K(1 ; 1).
• Ainsi, pour les quatre points, on a y = x2.
–1 O1 3
Ils appartiennent tous à la courbe de la fonction carré.
Donc lorsque x ! [– 1 ; 3[, x2 ! [0 ; 9].
1. a)
b)
–5 –1 O
–1

5
–1

Donc lorsque x ! [– 5 ; – 1[,


1
x % 1
! – 1; – .
5 %
12
b) On conjecture que, VP2 = VH2 + PH2 d’où
pour xy > 0, (x + y)2 > x2 + y2 ;
pour xy < 0, (x + y)2 < x2 + y2 ;
VH2 = 1 x 2
2

41
x 2 3x2
=
16
, ainsi VH =
x13
4
.

pour xy = 0, (x + y)2 = x2 + y2. x x13


×
2. a) (x + y)2 – (x2 + y2) = x2 + 2xy + y2 – x2 – y2 = 2xy. L’aire de PQRTUV est égale à : 6 × 2 4 = 3x2 13 .
2 8
b) Pour xy > 0, 2xy > 0 donc (x + y)2 > x2 + y2.
3. a) Df [0 ; 10] car M ! [OS] et OS = 10.
Pour xy < 0, 2xy < 0 donc (x + y)2 < x2 + y2.
b) Pour a, b ! [0 ; 10], si a < b alors a2 < b2 car la fonction
Pour xy = 0, 2xy = 0 donc (x + y)2 = x2 + y2. 3 13 2 3 13 2
carré est croissante sur [0 ; + ∞[, d’où a < b
a) C(x) = 3 000 + 15x. 8 8
ainsi f(a) < f(b).
C(x) 3 000 + 15x 3 000 La fonction f est croissante sur [0 ; 10].
b) f(x) = = = 15 + .
x x x
c) x 0 10
300!"
_____5
f(x )
0 8
300 13
f(10) = .
8
c)

d) • Il y a bénéfice lorsque C(x) < 25x.


• Graphiquement : C(x) < 25x lorsque x > 300.
y = 25x
25 000

20 000
18 000
y = C(x )
15 000
3x2 13 400
d) f(x) = 50 lorsque = 50 donc x2 =
10 000 8 313
20
d’où x = (car x > 0).
6313
5 000 e) On utilise le tableau de variation du b) pour déduire
3 000 3x2 13 160 240
Quantité que 20 < < 30 lorsque <x<
8 313 313
O 100 1 000 40 2460
d’où <x< .
• Par le calcul, C(x) < 25x est équivalent à 3 000 + 15x < 25x ; 6313 6313
3 000 < 10x ; x > 300. a) %(x) = %(ABEF) + %(BCE) + %(CDE)
Il y a bénéfice lorsque plus de 300 unités sont produites x x
et vendues. ×
x × x 12 12 7
= x2 + + = x2
2 2 4
1. a) Ces droites sont contenues dans le plan (SOA), 7
or elles sont perpendiculaires à la même droite (SO) donc a= .
4
elles sont parallèles. b) et c)
(MP) est perpendiculaire à (SO) car elle est contenue dans
le plan perpendiculaire à (SO) passant par M.
b) Les triangles SMP et SAO sont en configuration de Thalès
SM MP x
(dans le plan (SAO)), ainsi = donc MP = .
SO OA 2
2. L’hexagone PQRTUV est consti-
V
tué de six triangles équilatéraux.
x x c) On conjecture que %(x) = 112 pour x = 8.
On sait que PM = donc PH = 7
2 4 d) %(x) = 112 est équivalent à x2 = 112 soit x2 = 64
x 4
et PV = , d’après le théorème donc x = – 8 ou x = 8. Mais x désigne la longueur AB
2 P M
de Pythagore dans le triangle VPH, H donc x = 8.
13
B A • f(T) = 435 est équivalent à 501T = 435 ;
1T = 8,7 ; T = 75,69.
• On note x la distance MN.
Ainsi PQ = x, QN = MP = 60 – 2x.
• L’aire de baignade est donnée par la fonction
f : x # x(60 – 2x) avec 0 < x < 30.
• À l’aide de la calculatrice, on peut représenter cette
fonction et conjecturer qu’elle admet un maximum 450.
C • On démontre cette conjecture par le calcul :
E F
f(x) – 450 = x(60 – 2x) – 450
= – 2x2 + 60x – 450
= – 2(x2 – 30x + 225)
D = – 2(x – 15)2
< 0 car un carré est toujours positif ou nul.
4 3 3 Donc f(x) < 450 et f(x) = 450 lorsque x = 15.
1. a) V = x m.
3 Ce qui prouve que l’aire de baignade maximale est 450 m2,
4 3
b) Masse d’eau déplacée : m = & × V = 1 046 × x kg. elle est atteinte en plaçant les bouées Q et N à 15 m du
3
4 3 41 840 3 bord.
c) f(x) = mg = 1 046 × x × 10 = x.
3 3
On paramètre les données dans le logiciel, si Laure
2. a)
pèse moins de 72 kg alors elle ne peut pas conduire ; si
Marc pèse plus de 67 kg alors il peut conduire, à condition
que leur repas dure au moins une heure.
On note x ce nombre réel positif non nul.
1
Son inverse est .
x
Lorsque x augmente de 25 %, il devient
b) À l’aide de la fonction TRACE de la calculatrice, on 25
obtient : 0,44 < x0 < 0,45. x’ = x + × x = 1,25x.
100
1 1
a) L’inverse de x’ est =
x' 1,25x
1 1,25 – 0,25 1,25 0,25 1 1
= = – = –
x' 1,25x 1,25x 1,25x x 5x
1 1 20 1
= – × . Donc lorsque x augmente de 25 %, son
x' x 100 x
inverse baisse de 20 %.
S’il existe, l’entier cherché doit :
b) On conjecture que cette fonction est croissante sur – se terminer par zéro ;
[0 ; + ∞[. – donner 2 000 en quatre derniers chiffres lorsqu’on
c) • u et v sont deux réels positifs tels que u < v, l’élève au carré.
(1u – 1v)(1u + 1v) (1u)2 – (1v)2 u–v Or 102 = 100 ; 202 = 400 ; 302 = 900 ; 402 = 1 600 ;
1u – 1v = = = .
1u + 1v 1u + 1v 1u + 1v 502 = 2 500 ; 602 = 3 600 ; 702 = 4 900 ; 802 = 6 400 ;
• u < v donc u – v < 0, de plus 1u + 1v > 0 donc 1u – 1v < 0, 902 = 8 100 ; 1002 = 10 000.
ainsi 1u < 1v et 501u < 501v. Aucun ne se termine par 2 000 donc le nombre donné
La fonction f est croissante sur [0 ; + ∞[. n’est pas le carré d’un entier.
d) • Avec la calculatrice, On note n et n + 1 ces deux entiers :
1 1 1
– = est équivalent successivement à :
n n + 1 2 070
n+1–n 1
= ; 2 070 = n(n + 1) ;
n(n + 1) 2 070
À la calculatrice, on peut conjecturer la solution de cette
équation, puis vérifier que n = 45.
Les deux entiers sont donc 45 et 46.
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