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Bonjour, j’espère que vous allez bien !

Youpiii mon livre vient d'être publié sur Amazon en français et


très bientôt en anglais. Son Titre : « DE ZERO A TROIS MILLIARDS D’EUROS »
https://www.amazon.fr/dp/B0C9SNDS9S?
psc=1&ref_=cm_sw_r_fa_ud_ct_S6AJYPD5E6YK015ZNSD3&fbclid=IwAR0TZwB2IqZTRPF7xA_RBDkw1
yOCLvTF0wFnIbdPGgbfvFfpHEpLW1dVafA Je suis persuadé que vous retirerez un très grand plaisir à
sa lecture! N'hésitez pas ensuite à le faire connaître à vos amis et SURTOUT mettez votre avis sous
mon livre sur Amazon !!! Oui, Je suis l’auteur de ce qui devrait devenir la ‘’ Bible ‘’ ou le ‘’ Tao Te King
‘’ du XXIème siècle pour Vous toutes et tous, les Meta-Geek, mais aussi pour Vous, les futures
Aventurières et Aventuriers… qui vous permettra de passer à travers les mailles des filets et d’éviter
les pièges que l’on tendra sur les routes de votre vie. Berny Dalsace Chères lectrices, chers lecteurs.
Je désire profondément que mon œuvre change votre vision du monde. J’aimerais que la lecture de
ce livre soit dialogique, que nous puissions atteindre vous et moi à la convergence. Je veux créer
pour vous une réalité nouvelle, qui ne s’oppose pas à celle que vous vivez au quotidien, mais qui
vous renseigne sur elle. Le temps de la lecture, je souhaite vous conduire vers un état de liberté
esthétique qui, par mon plaisir extrême à écrire, vous procurera également une grande jouissance à
me lire. Je veux faire naître en vous des souvenirs oubliés, éprouvés secrètement, qui puisse vous
frayer un chemin, doucement, vers des émois perdus. Une catharsis, une expérience affective, qui
vous interpelle et entraîne votre adhésion à ce qui deviendra, sans doute aucun notre futur… Cela
fait des années que, suite à mes nombreuses vies aventureuses, mais néanmoins bien réelles, mes
amis me disent : « Berny, il faut absolument que tu écrives un livre sur ta vie » ! Mais, je dois vous
avouer que ce n’est pas ce qui m’a mis le pied à l’étrier. Comme je vous ai promis de vous dire toute
la vérité et rien que la vérité, je vais vous confesser ce qui m’a poussé à écrire cet ouvrage. Ce qui
m’a décidé, finalement, c’est la lecture d’un article de Paris Match paru en septembre 2018. Il disait
que les sept tomes de la saga Harry Potter, traduits en quatre-vingts langues, s’étaient vendus à plus
de cinq cents millions d’exemplaires. Et que Joanne K. Rowling était la romancière la plus fortunée
du monde. Alors, si je puis en vendre ne serait-ce qu’un million, grâce à vous, cela me suffirait pour
vivre comme je le désire jusqu’à cent vingt ans, sain de corps et d’esprit, selon la formule consacrée.
Car oui, je veux vivre au moins jusqu’à cent vingt ans et je ferai tout ce qu’il faut pour ça. Comment ?
« Pas de panique », comme disait Mathusalem quand on lui parlait de la retraite des vieux. Vous le
découvrirez dans l’un des chapitres qui va suivre. Sommaire et quelques extraits: Mon enfance en
Alsace 9 Mes frères et sœurs 13 Mon adolescence 31 Premier grand voyage 39 Mes premiers jobs 43
Mes voitures 51 Mes motos 61 Mes premiers émois et ma virginité 71 Mon Premier Grand Amour 75
Mon Deuxième Grand Amour 81 À moi Paris 87 Marseille 93 Être photographe ! Du rêve à la réalité
111 Mes souffrances, pires que celles du jeune Werther 119 Paris au mois de mai ! 127 Retour en
Alsace 133 Raymond, Raymond, Raymond Depardon, putain… Raymond 145 Une nouvelle vie
commence 153 Ma vie de milliardaire 161 Mais où se trouve LA Vérité ? Chez les Témoins de
Jéhovah ? 169 « Comment devenir Gourou » par Krisnamurti 185 En visite chez le Dalaï-Lama 189
Vous avez dit : Réincarnation ? 193 Osho Rajneesh 199 L’Inde ? Il faut y aller (au moins une fois dans
votre vie) 203 En prison sur l’île de Palawan 207 Ma belle aventure instincto-nutrition 213 La Dame
sur la péniche 227 Mes fabuleuses aventures à Tahiti 243 Dans la peau de Robinson Crusoé 273 Les
aventures extraordinaires de mon ami Kiki 277 Le plus beau des Nouvel An de toute ma vie 283 Une
Princesse persane 285 Vous avez dit : « Armes de destruction massives ? » 293 Une histoire de
lingots d’or 299 Le début de la fin 311 A nouveau en liberté ! 321 Mon « Aphrodisia-Restaurant »
325 Une « Psychothérapeute » à Saint-Raphaël 341 Lettre ouverte à Mohed Altrad 353 Liban, mon
Amour ! 375 Coronavirus ou Covid-19 391 Le Grand Chaos ! Analyse d’un désastre annoncé 393 Ma
Base Autonome Durable (BAD) 397 11 000 Diamants + 2 exceptionnels, inestimable 409 LA CASA DE
PAPEL… en France …mais puissance dix !!! 417 Quelques extraits… « Je suis de l'Alsace, de cette terre
féconde où l'on ne parle pas français comme tout le monde. Mon accent me trahit. Ce pays béni où
se croisent deux cultures, Goethe et Descartes, deux pensées y perdurent. Et tous ses châteaux qui
se dressent hauts et fiers, surplombant partout des forêts de sapins verts». Bernard Guntz « … La
première fois que j’ai lu Germinal, le terrible roman d’Émile Zola, j’avais douze ans et cela m’a fait
beaucoup rigoler. Pourtant, c’est le récit de la vie effroyable d’une famille de pauvres mineurs
travaillant dans les mines de charbon du Nord de la France. C’était en classe de CM2 à l’école
primaire Amélie II à Wittelsheim en Alsace, car oui, j’étais un petit Alsacien. Pourquoi ce récit m’a-t-il
fait rire ? Parce que chez nous, dans ma famille, c’était pire ! … Je suis né dans une cité minière du
Sud de l’Alsace. Mon père était mineur de fond aux MDPA, les Mines Domaniales des Potasses
d’Alsace (des mines de sel gemme). Quasiment illettré, il travaillait dans un enfer de poussière de sel
à moins sept cents mètres de fond et à plus de 50 °C, à des cadences infernales, car ils étaient tous
payés au rendement. Mais cela ne l’a pas empêché d’engrosser ma pauvre mère dix fois en vingt
ans. Ce fut également un enfer pour ma mère, pendant une trentaine d’années, non pas parce que
mon père était mineur de fond mais parce qu’il est devenu un alcoolique invétéré, et ce dès le
retour de son service militaire où notre belle armée française lui a appris à boire et à fumer. Cela a
commencé peu de temps après sa descente à la mine. Il fallait bien se rincer le gosier au bistro du
coin après le travail, pour évacuer toute la poussière de sel inhalée durant ses huit heures de boulot.
Et ce n’était malheureusement pas avec la Lisbeth, notre excellente eau minérale de Soultzmatt,
venue du plus profond des Vosges. Non, cela aurait été trop beau ! C’était avec du Saint-Morand, du
bon gros rouge qui tache, qui coûtait encore moins cher que l’eau. … À l’époque, la paie de la mine
se percevait en espèces dans des enveloppes brunes. Les jours de paie, mon père rentrait à la
maison, s’asseyait à table, sortait les billets de l’enveloppe, les partageait en deux tas, prenait le
premier et disait à ma mère : « Tiens voilà pour toi ». Il empochait la deuxième moitié, puis s’en allait
à son bistro habituel pour aller se saouler la gueule, soir après soir… ». « … Je devais avoir dans les
quinze ans et je commençais à fantasmer grave sur les filles. J’avais lu quelque part, dans une des
revues sexy piquées en douce à mon frère Pierrot, (qu’il cachait au fond d’un tiroir), un article sur le
naturisme ! Elle parlait de l’île du Levant, située dans le sud de la France, et dont les neuf dixièmes
sont un « domaine militaire » et un dixième un domaine naturiste. Et il se trouve, comme par
hasard, qu’Hyères-les-Palmiers se situe sur la presqu’île de Giens et que, pratiquement juste en face,
se situe… je vous le donne en mille : l’île du Levant ! … Ouais ! Génial non ? Donc, ni une ni deux, je
commence à travailler ma mère au corps pour qu’elle me permette de passer mes vacances d’été
chez ma sœur Anna à… Hyères-les-Palmiers, bien sûr ! Et, étrangement, elle accepta, mais seulement
parce que c’était chez ma sœur. … Je suis donc parti tout seul, comme un grand, en train. Une fois
arrivé chez ma sœur, je passais très agréablement mes premières journées à me balader et à me
baigner, pas trop loin, histoire de bien les rassurer. Puis, un matin, je pousse une pointe jusqu’au
port pour voir les horaires des bateaux depuis le port St-Pierre d’Hyères, pour l’île du Levant… … Et
manque de m’étrangler à chaque bouchée par le passage devant moi, en version «
hyperpanoramique », de jeunes filles en fleurs toutes nues avec leurs petits seins qui pètent au ciel,
et de jeunes femmes, également toutes nues, à la plastique encore parfaite, sacrément
appétissantes… … Pouvez-vous imaginer dans quel état de surexcitation je me trouve devant cet
incroyable, ce merveilleux spectacle, moi qui n’ai jamais vu en vrai plus que les jambes jusqu’aux
genoux et les bras nus des filles de mon quartier ou de mes sœurs !... … Donc, je pousse ce portillon,
j’enlève mon maillot, enfin tout quoi… et je descends timidement les marches en direction de la
plage avec mon zizi bringuebalant entre mes cuisses de grenouille. Vous pouvez aisément imaginer
la scène, n’est-ce pas ? Ça vous fait rire ? Attendez, attendez, ce n’est que le début…. … J’étale ma
serviette à une certaine distance du bord de l’eau, afin de laisser un passage à ces fabuleuses
créatures devant moi, m’offrant tout le loisir de reluquer leurs petits culs… et aussi, et surtout, leurs
petites chattes à peine nubiles pour certaines. Bon dieu, ça a été le défilé de mode version «nude» le
plus fantastique de toute ma jeune vie ! Imaginez l’état… ». « …J’ai l’exemple de trois « amis »
proxénètes qui, un beau matin, de très bonne heure, ont décidé sur un coup de tête, après une
soirée bien arrosée, d’aller braquer du côté de Lyon le chauffeur d’un camion sortant de l’usine
Moulinex, chargé jusqu’à la gueule de petits électroménagers. Trois heures après, ils se sont pointés
chez un receleur bien connu sur la place de Marseille. La valeur de la marchandise était estimée à
environ cinq millions de francs de l’époque. Ils ont reçu chacun un million… pour trois heures de
boulot avec un risque quasi nul et le receleur s’est bien frotté les mains aussi… ». « … Mon travail de
coursier se passait bien, gentiment, paisiblement… jusqu’au jour béni où, dans un de ces sacs se
«trouvassent» trois petits lingots !!! Valeur au cours actuel ? Environ cent soixante-cinq mille
euros !!! Mon calcul était vite fait ! Imaginez…cela équivalait à combien d’années de travail ? Mais
surtout combien d’années de dures économies ??? Alors qu’il me suffisait de… Déconne pas mon
Berny !!! Tu penses à quoi là ??? … « Mon Berny, tu t’étais quand même bien démerdé sur ce coup-
là, « Necesitabas un par de cojones » ! Oui, il m’a fallu une sacrée paire de couilles pour oser faire ce
que tu as fait, alors ne te laisse pas abattre, tu vas y arriver » ! … Ok, cela était bien beau, mais
encore me fallait-il convertir ces trois lingots en cash ! … Il examine minutieusement mon lingot d’or,
sort d’une trousse un petit kit de test à l’acide et une plaquette en ardoise, en fait les analyses
chimiques conventionnelles, sort de sa sacoche une balance de bijoutier, le pèse méticuleusement,
puis sort de sa poche une calculette, tape quelques touches, et me dit : « Bon, voilà, ce lingot d’un
kilo est authentique, il vaut actuellement… tant, et je peux vous en donner… tant, êtes-vous d’accord
? ». « … En fait, c’était une authentique princesse persane de la dynastie Qâdjâr qui a régné pendant
cent cinquante ans sur la Perse. Son père a été un des ministres du Shah d’Iran Mohammad Reza
Pahlavi, appelé Aryamer (Lumière des Aryens) à l’époque de son règne. Sa mère s’appelait Malakeh
(reine), Biglar Beygi Qâdjâr Bazghaleh. J’ai beaucoup aimé ma belle-mère, qui était une femme
absolument délicieuse qui parlait français ainsi que tous ses enfants, une pratique issue d’une
longue tradition très joliment relatée par Montesquieu au XVIIIe siècle dans ses Lettres persanes. …
Deux de ses frères en Iran étaient des chirurgiens célèbres dont l’un, Darius, général de corps
d’armée, opérait le matin dans les hôpitaux militaires et l’après-midi dans sa clinique privée
spécialisée dans la chirurgie esthétique ». « … - Sur ce site, a également été construit un immense «
centre de tri » et de stockage de billets neufs fraîchement imprimés et d’autres qui reviennent d’un
peu partout en France, usagés, qui seront détruits sur place… … Chaque mois sont acheminés, par
camions blindés, trente palettes contenant cinquante paquets de dix mille billets de banque ! Stock
habituel de 1 mois de billets usagés : environ 1 milliard d’euros… « … En billets neufs de 5€, 10€, 20€,
50€, 100€, et 200€, il y a également, toujours, un stock d’avance disponible d’environ 3 milliards
d’euros. Total : Environ quatre milliards d’euros se trouvent quasiment en permanence sous cette
immense serre… ».

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