Les 4 Lois Du Pardon - Brad Johnson

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LES QUATRE LOIS

DU PARDON
Comment se pardonner et pardonner aux autres
Brad Johnson
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Table des matières
Titre de page
droits d'auteur
Remerciements
Introduction
Chapitre 1. La première loi du pardon : besoin et
Disponibilité
Chapitre 2. La Deuxième Loi du Pardon—Paiement et
Paix
Chapitre 3. La troisième loi du pardon—Recevoir et
Donnant
Chapitre 4. La quatrième loi du pardon : risque et récompense
annexe
Notes de fin
Quatrième de couverture
LES QUATRE LOIS DU PARDON
Comment se pardonner et pardonner aux autres
Brad Johnson
Copyright © 2011 par le Dr Brad S. Johnson.
Les quatre lois du pardon par le Dr Brad S. Johnson
Tous droits réservés
Publié aux États-Unis par BSJ Publishing
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d'auteur des États-Unis d'Amérique.
Sauf indication contraire, les citations des Écritures proviennent de la Sainte Bible, New Living
Translation. Copyright © 1996, 2004 par Tyndale Charitable Trust. Tous droits réservés.
Conception de la couverture par BSJ Publishing
Aménagement intérieur du livre par Kerrie Lian, sous contrat avec MacGraphics Services :
www.MacGraphics.net
Numéro de contrôle de la Bibliothèque du Congrès : 2011943900

eISBN : 978-0-9847178-1-1
Remerciements
À ma famille et mes amis, qui m'ont donné le pardon dont j'avais désespérément besoin.
Je tiens également à remercier Russ Sands et Phil Potloff, dont le travail acharné sur les
détails a donné vie à ce livre.
Une profonde reconnaissance va aux gens de Life Change Community Church, qui sont des
exemples quotidiens de grâce et de pardon.
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Enfin, je remercie ma femme, Karen, qui est un don de Dieu. Elle m'a encouragé à écrire ce
livre et m'a soutenu dans mon cheminement. Et je remercie mes filles, Heather et Hilary, qui
sont les joies de ma vie.
Introduction
Si j'ai appris une chose dans la vie, c'est celle-ci : vous ne pouvez pas devenir une personne
spirituellement mature ou connaître un bien-être continu sans apprendre à pardonner.
Je ne fais pas que théoriser. J'ai passé une dure partie de ma vie à comprendre cela.
Ce livre est tiré d'un profond besoin personnel de donner et de recevoir le pardon. Je me suis
senti obligé de l'écrire parce que j'ai expérimenté le pouvoir transformateur du pardon et cela
a changé ma vie.
Après avoir rassemblé ces apprentissages de la vie réelle sur le pardon, j'ai commencé à les
tester dans le laboratoire de l'église où j'ai le privilège de diriger. En trente ans
d'enseignement, peu de sujets ont généré autant d'engagement, de rétroaction et de
discussion stimulante que celui-ci.
Il y a toujours un intérêt autour du pardon, semble-t-il, car c'est un sujet qui nous appartient
à tous.
Qu'on le veuille ou non, le pardon finit par devenir un énorme problème dans la vie de chaque
personne. Chaque personne qui ouvre ce livre et lit honnêtement ces mots admettra qu'elle a
eu besoin de pardon. Chaque personne admettra également qu'elle a eu besoin de pardonner
aux autres. Et nous comprenons tous que ces deux expériences se reproduiront encore et
encore tout au long de la vie.
Le problème est que les gens restent souvent bloqués sur cette question. Nous semblons savoir
intuitivement que le pardon est une option ; même une bonne option. Nous luttons,
cependant, pour le faire réellement .
Dans ma propre lutte pour apprendre à me pardonner et à pardonner aux autres, je me suis
attaqué au problème, j'ai étudié les Écritures de ma foi et j'ai poursuivi le « comment » avec
passion. Le résultat final est ce livre.
Mais soyez prévenu. Les pages à venir ne ressembleront pas à une approche de livre de cuisine
sur le thème du pardon. Vous ne trouverez pas d' approche étape-une-étape-deux .
Au contraire, vous ferez face, avec moi, aux défis de pardonner à vous-même et aux autres.
Vous ferez l'expérience, avec moi, du rythme du pardon à deux pas en avant et un pas en
arrière. Vous découvrirez une poursuite qui défiera votre foi, poussera votre compréhension
de Dieu et changera les croyances que vous avez sur vous-même. Et c'est une quête qui en
vaut vraiment la peine.
Le pardon est un cadeau qui s'offre à vous. Et une fois que vous l'acceptez profondément dans
votre propre âme, cela devient un cadeau à partager avec les autres.
Merci d'avance pour ce voyage. C'est mon espoir et ma prière que cela changera la vie.
Bénédictions,
Brad Johnson
Mille chênes, Californie
2011
h
Chapitre 1. La première loi du pardon—
Besoin et disponibilité
Peu d'idées nous font trembler comme le sujet du pardon.

Ce n'est pas que nous ne croyons pas que le pardon soit une pratique de vie utile. Nous
comprenons que c'est une chose saine, voire positive, à faire. C'est que pardonner nous appelle
souvent au-delà de là où nous sommes. Cela nous pousse à affronter des problèmes auxquels
nous ne nous sentirons peut-être jamais tout à fait prêts à faire face.
Parfois, nous évitons de pardonner parce que nous voulons nous laver les mains du drame, en
pensant « Je ne vais pas dans cette voie parce que je veux juste que cette personne et cette
situation sortent de mon
vie."
D'autres fois, nous nous figeons parce que nous pouvons énumérer un certain nombre de
personnes que nous ne voulons pas pardonner.
Mais malgré les difficultés impliquées, nous avons compris qu'il y a un mandat spirituel à
pardonner. Et cela pique nos curiosités.
Nous imaginons ce que cela ferait de se débarrasser de la honte et de la culpabilité. Nous nous
demandons ce que cela ferait de savoir – de croire profondément – que nous sommes d'accord
avec Dieu. Nous imaginons quelque chose de mieux au-delà de ce que nous savons ; plus de
liberté que ce que nous vivons actuellement.
Il n'est pas surprenant que l'acte de pardonner et d'être pardonné suscite un tel espoir, puisque
c'est le message central de l'Écriture. Le pardon est la base de notre relation avec Dieu ; c'est
la raison pour laquelle le Fils de Dieu, le Messie, est venu sur la planète; c'est la raison pour
laquelle le Ciel peut être notre maison ; c'est le secret des relations solides et c'est le cœur
du message de Dieu.
Il y a une chose – une seule – qui peut vous libérer de votre passé et vous libérer pour
votre avenir : c'est le pardon.
Avez-vous regardé le Super Bowl cet hiver ? C'est un spectacle télévisé de quatre heures. Les
annonceurs ont payé des millions pour les publicités. Le spectacle de la mi-temps a coûté des
centaines de milliers de dollars à produire. 110 millions de personnes l'ont regardé. La
meilleure des meilleures équipes y a joué.
Donc, voici une question : de tout cela - des heures et des heures et des millions et des millions
- combien de temps la balle a-t-elle réellement été en jeu ? À partir du moment où il est
parcouru, jusqu'à ce qu'un coureur ou un receveur de passe soit plaqué, si vous comptez les
ticks pendant que le ballon est en l'air, combien de temps le ballon est-il réellement en jeu ?
Suppositions?
Onze minutes !
Pour tout le battage des commentateurs sportifs parlant de football, des équipes qui
s'entraînent puis jouent au football, des annonceurs sponsorisant le football, le déplacement
réel du ballon vers une ligne de but pour marquer est de onze minutes !
Beaucoup de bavardage. Beaucoup de temps dans le caucus. Mais très peu de temps à faire le
sport du football.
C'est exactement comme ça que beaucoup d'entre nous traitent le pardon. Pour tous les
discours sur le pardon, pour toutes les fois où cela est mentionné dans la Bible, pour tous les
enseignements des pasteurs et des livres, nous pardonnons en fait très peu.
Beaucoup de « vouloir » et beaucoup de « comment faire », mais pas beaucoup de pardon.
Vous savez ce qui vous fera passer plus de minutes réelles à pardonner ? Venir à croire que
c'est l'outil dont vous avez besoin pour vivre une vie meilleure.
C'est délicat. Pensez aux moments où le pardon est mentionné sur Facebook ou Twitter ou
dans une conversation informelle. Cela suscite souvent la polémique. Les gens commencent à
laisser tomber leurs opinions. Et il devient souvent rapidement clair qu'ils ont un intérêt
émotionnel dans ce qu'ils croient. Pourquoi?
Car parler de pardon déterre souvent des années de douleur.
Pourtant, la douleur, je le maintiens, est ce qui donne au pardon son tranchant, capable de
trancher les défauts et les dysfonctionnements de la vie pour faire place à une vie meilleure.
Considérez la fable du porc-épic :
C'était l'hiver le plus froid de tous les temps. Beaucoup d'animaux sont morts à cause du froid.
Les porcs-épics, réalisant la situation, décidèrent de se regrouper pour se réchauffer. De
cette façon, ils se couvraient et se protégeaient, mais leurs piquants blessaient leurs plus
proches compagnons. Au bout d'un moment, ils décidèrent de s'éloigner l'un de l'autre et ils
commencèrent à mourir, seuls et figés. Alors, ils devaient faire un choix : soit accepter les
piquants de leurs compagnons, soit disparaître de la terre. Sagement, ils ont décidé de
redevenir ensemble. Ils ont appris à vivre avec les petites blessures causées par les relations
étroites avec leurs compagnons afin de recevoir la chaleur qui venait des autres. De cette
façon, ils ont pu survivre.
La meilleure relation n'est pas celle imaginaire qui prétend à tort qu'elle a réuni deux
personnes parfaites. Les amitiés les plus douces sont les vraies où les individus imparfaits
apprennent à donner et à recevoir librement la grâce qui est nécessaire entre eux.
Le pardon est le seul outil qui vous libère de vos propres méfaits et vous libère du fardeau de
tenir quelqu'un d'autre en otage pour le sien. Alors pourquoi résistons-nous à cette partie
essentielle du plan de Dieu, quelque chose d'aussi central à la foi que le pardon ?
Malheureusement, il est facile pour les humains de diviser notre foi entre les plans de Dieu et
nos propres opinions. Nous prétendons accorder une grande valeur au pardon, mais
secrètement - dans un secret que nous gardons parfois même pour nous-mêmes - nous
n'abandonnons jamais notre désir d'être en colère, d'obtenir ce que nous méritons ou même
de haïr.
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Nous pouvons dire, nous pouvons même croire , que nous essayons de vivre les intentions de
Dieu, mais sous la surface, nous suivons certaines parties de Son plan et en ignorons d'autres.
Nous utilisons notre propre formule pour essayer de manipuler une meilleure fin que Dieu lui-
même.
Et, étant des personnes imparfaites qui font des erreurs avec une grande régularité, la vie
devient vite emmêlée, désordonnée et douloureuse.
Mais cela peut être bon, mais en arrière, car la douleur est très souvent l'élément exact qui
nous oblige à changer.
UNE FOIS QUE LA DOULEUR DÉPASSE NOTRE PEUR DU CHANGEMENT, NOUS SERONS PRÊTS
À CHANGER.
Après assez de douleur, nous concluons : la seule façon de changer ma vie, la seule chance de
trouver la vie pour laquelle j'ai été créé, c'est avec l'aide de Dieu. Nous revenons ensuite au
plan complet de Dieu et Il pardonne, offrant à chacun de nous un nouveau départ, un tout
nouveau départ.
C'est l'histoire du pardon.
Le pardon ne signifie pas que Dieu change le passé ; Il ne débrouille pas les œufs. Le pardon
change l'avenir. Dieu prend nos œufs cassés et fait des omelettes.
Une fois que nous avons compris notre besoin de pardon, nous trouvons souvent une nouvelle
soif de comprendre le pardon. Pour vous aider dans ce voyage, j'ai identifié quatre principes
que j'appelle les quatre lois du pardon. Je les appelle des lois parce qu'elles sont toujours
vraies et ne changent jamais.
Parce que ces lois sont toujours vraies, vous n'avez pas seulement à les croire en théorie. Ils
font leurs preuves dans votre expérience de vie. Au fur et à mesure que vous les pratiquez,
ils vous donneront un aperçu que
conduit votre proche vers la vie meilleure et plus complète que Dieu a voulue.
Avant d'aller plus loin, vous tirerez le meilleur parti des pages à venir si vous vous engagez :
Je veux des relations saines donc je vais lire tout le livre, même s'il évoque des
expériences douloureuses que je préfère oublier.
J'ai besoin de gérer mes propres sentiments de culpabilité, de honte et de regret de mon
passé, alors j'apprendrai à comprendre comment fonctionne le pardon.
Chaque loi se décompose également en plusieurs aperçus plus petits. Par exemple, voici le
premier principe et le plus fondamental qui soutient la première loi :
NOUS PÉCHONS AVEC UNE GRANDE RÉGULARITÉ
Ne soyez pas stressé par cette déclaration. Il est important de reconnaître cette réalité,
cependant. Jusqu'à ce que nous reconnaissions et admettions que nous avons tous eu besoin
et aurons besoin de pardon, nous sommes moins susceptibles de pardonner .
C'est pourquoi c'est le premier principe. Nous soufflons tous. Nous devrions le savoir. Et en
cas de doute, la parole de Dieu le vérifie.
tous , comme des moutons, égarés.
Nous avons quitté les chemins de Dieu pour suivre les nôtres.
Pourtant, l'Éternel a fait retomber sur lui nos péchés à tous . (Isaïe
53:6)
(c'est moi qui souligne)
Si nous prétendons que nous n'avons pas de péché, nous ne faisons que nous
tromper et ne vivons pas dans la vérité. (1 Jean 1:8)
Beaucoup de gens n'intériorisent jamais cette réalité parce qu'ils se comparent aux criminels
les plus sévères de la société et concluent : je n'ai pas péché. Je ne suis pas un pécheur.
"Je n'ai jamais tué personne."
"Je n'ai jamais fait de mal à un enfant."
"Je n'ai jamais cambriolé une banque ou vendu de la drogue."
Ce que nous ne comprenons pas, c'est ce que signifie le mot péché . Il ne s'agit pas seulement
de commettre un crime vicieux. Il vient du mot grec hamartia , qui est défini comme « rater
la cible ».
Hamartia est l'image d'un archer tirant dans le mille et porté disparu. Il s'est peut-être
rapproché, mais sa flèche atterrit toujours à quelques centimètres du point mort.
Lorsque nous blessons quelqu'un, lorsque nous convoitons, ou nous haïssons, ou nous volons,
ou nous sommes égoïstes, nous avons raté la cible. Nous sommes au moins un peu éloignés des
meilleures intentions de Dieu pour nos vies. Ce sont les péchés, les actions « rater la cible »,
que nous commettons .
Tout comme nous manquons la cible en commettant des actions manifestement nuisibles, nous
manquons parfois la cible par ce que nous omettons également.
Par exemple, que diriez-vous lorsque nous ne sommes pas aussi généreux que nous pourrions
l'être, que nous ne sommes pas parfaitement altruistes, que nous ne pardonnons pas
complètement, que nous ne sommes pas entièrement aimants, patients, gentils, fidèles et
purs ?
Imaginez que vous arrivez aux portes du paradis, mais avant de pouvoir entrer, vous devez
montrer votre cible et votre cible. Faites semblant que seules les personnes qui ont une cible
parfaite, seules les personnes qui peuvent montrer que la marque a été atteinte à chaque
fois, entrent.
Seriez-vous d'accord, nous serions tous en difficulté à ce moment-là ?

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Dans ce moment hypothétique, si seulement le parfait gagnait l'entrée au paradis, nous
réaliserions qu'à cause de tout ce que nous avons commis et de tout ce que nous avons omis ,
nous sommes très pécheurs - hamartia - rater la cible - genre de personnes .
Maintenant, quelques bonnes nouvelles rapides : Jésus est le gars qui a bien compris. Il n'a
jamais commis un seul péché. Il n'a jamais raté le coche.
Il a tout fait parfaitement, à chaque fois. Il n'y avait aucune commission de péché et aucune
omission de bonnes choses. Sa cible ? Il l'a frappé à mort. Sa feuille de match ? Parfait.
La chose puissante à ce sujet n'est pas seulement que Jésus était le tireur d'élite. C'est que
lorsque Jésus nous pardonne, Il nous donne Sa feuille de match.
C'est une transaction radicale, folle et coûteuse. Mais Il y parvient par la mort sur la croix qui
annule nos ratés et nos dégâts, nos commissions et nos omissions. Il prend nos ratés et nos
feuilles de pointage désordonnées, et il nous donne les siennes.
Quand Jésus est mort sur une croix, notre dette a été payée, nos manquements effacés, notre
vie pardonné. En conséquence, une fois que nous sommes pardonnés, lorsque Dieu regarde
nos antécédents, Il voit la feuille de match de Jésus plutôt que la nôtre.
Oeil de boeuf !
Si vous pouvez convenir que nous tous, chacun de nous, toutes les personnes partout dans le
monde ont besoin de pardon, vous êtes sur la bonne voie pour apprendre le puissant potentiel
du pardon.
Principe numéro deux :
DIEU VEUT PARDONNER

En quel genre de Dieu croyez-vous ? Dans votre esprit, comment imaginez-vous que Dieu est ?
Certaines personnes passent leur vie entière à deviner à quoi ressemble Dieu.
Beaucoup vivent avec la notion d'un Dieu punitif, colérique et cracheur de feu. Ils fondent
toute leur vie et tout leur système de croyance sur cette opinion de Dieu. Leurs vies sont
littéralement construites autour d'une supposition.
Mais nous n'avons pas à deviner la nature de Dieu. La Bible explique à quoi ressemble Dieu. Et
le Messie est venu sur terre pour que nous puissions réellement voir, dans la chair, qui est
Dieu.
Peut-être avez-vous été l'une de ces personnes qui pensent que Dieu est comme un policier
cosmique, prêt à bondir lorsque vous franchissez la mauvaise ligne. Mais ce n'est pas vrai à
propos de Dieu.
Dieu est comme un Père dont le cœur se brise, tout comme le cœur d'un bon parent se brise,
quand Il voit Ses enfants faire des choses autodestructrices.
Dieu ne veut pas vous battre. Il veut te prendre.
Je le sais par expérience personnelle. Pendant une saison de la vie où j'étais loin de Dieu, ce
n'était pas le jugement de Dieu ou la punition de Dieu qui m'a ramené. Dieu m'a aimé en retour
à Lui.
Plus important encore, la Bible enseigne la même vérité.
O Seigneur, tu es si bon, si prêt à pardonner, si plein d'amour

indéfectible
pour tous ceux qui demandent votre aide. (Psaume 86:5)
Il est temps que le monde arrête d'imaginer un Messie tyran venu pour botter les fesses et
prendre des noms. Nous nous rendons un mauvais service lorsque nous fictifs un Sauveur qui
se tenait au coin des rues en criant « Tourne ou brûle !
La nature de Dieu est énoncée haut et fort dans la Bible. Dieu a envoyé Jésus-Christ pour nous
rappeler que Dieu nous aime.
Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit
en lui ne périr mais avoir la vie éternelle.
17 Dieu a envoyé son Fils dans le monde POUR NE PAS
JUGEZ LE MONDE, mais pour sauver le monde à travers lui. (Jean 3:16-17)
(Je mets l'accent sur les majuscules)
Le problème auquel nous sommes confrontés est le principe numéro un : NOUS PÉCHONS AVEC
UNE GRANDE RÉGULARITÉ .
L'espoir dans la vie est le principe numéro deux : DIEU VEUT PARDONNER.
Donc, si Dieu veut vraiment nous pardonner plutôt que nous condamner, qui peut être
pardonné par Dieu ?
Principe numéro trois :
LE PARDON EST ACCESSIBLE A TOUS

Pour accéder au pardon de Dieu, chacun doit AGIR
Admission
C'est l'étape d'admettre humblement que nous avons péché et que le péché nuit à notre
relation avec Dieu. Le péché brise le cœur de Dieu et nous prive de la bonne vie pour laquelle
nous avons été créés par Dieu.
Mais admettre n'est pas toujours facile. Quand il s'agit de notre péché, nous vivons souvent
dans le déni comme des hommes qui refusent d'admettre qu'ils ont besoin de directions en
conduisant. En moyenne, au cours d'une année, les hommes parcourront 276 miles en se
perdant ! 1
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Pourquoi? Parce qu'il est difficile d'admettre que nous avons tort. De même, il est difficile
d'être assez humble pour admettre que nous sommes spirituellement perdus, que nous avons
suivi notre propre chemin, raté la cible, manqué le centre de la cible. Pour être pardonné par
Dieu, nous devons reconnaître cela. C'est la première étape pour accéder au pardon de Dieu.
. . . Dieu s'oppose aux orgueilleux mais favorise les humbles . (Jacques 4:6b)
Humiliez -vous devant le Seigneur,

et il vous élèvera en honneur. (Jacques 4:10)
A est pour une humble admission.
Contrition
Pour recevoir le pardon de Dieu, il doit voir la contrition dans notre cœur, dans notre être
intérieur. Nous pouvons dire de notre tête : « D'accord, j'ai raté le coche. Oui je comprends."
Mais si nous ne faisons que le « dire » et que nous ne le « connaissons » pas vraiment
profondément à l'intérieur, cela reste juste une pensée vide et intellectuelle.
Dieu veut l'humilité et Dieu veut que nous exprimions la contrition – la douleur d'avoir brisé le
cœur de Dieu, d'avoir blessé les autres et de nous déprécier par ce que nous avons commis et
par ce que nous avons omis.
Je bénirai ceux qui ont un cœur humble et contrit ,

qui tremblent à ma parole. (Ésaïe 66:2b)
C'est différent que d'organiser une fête de pitié personnelle. Et c'est distinct de la dépression
qui vient de la culpabilité ou de la honte de notre passé. C'est une tristesse qui nous fait
atteindre le ciel. C'est une contrition qui nous oblige à tendre la main pour demander pardon.
Dans le Psaume 25:18, le roi David a montré cette contrition en disant à
Dieu, « Ressentez ma douleur et voyez mon problème. Pardonne tous mes péchés.
Après une humble Admission et une Contrition sincère,

Tourner dans une nouvelle direction
Il y a un mot biblique pour cela qui est abusé et mal compris. C'est le mot se repentir .
Pensez-vous aux prédicateurs de feu et de soufre lorsque vous entendez le mot repentir ?
Laissez-moi racheter ce mot pour vous. Se repentir signifie toujours tourner dans une
direction positive .
Lorsque nous nous repentons, nous nous détournons des choix et attitudes négatifs dans nos
vies et nous nous tournons vers la vie que Dieu a prévue pour nous. Repentez-vous était censé
être un mot positif, pas un mot négatif; une tournure positive, pas une tournure négative.
C'est un détour d'une vie bon marché et volontaire et un virage vers la bonne vie que Dieu
nous a destinée.
Alors si mon peuple qui est appelé par mon nom s'humilie et prie et cherche ma face
et se détourne de ses mauvaises voies, j'entendrai de
ciel et pardonnera leurs péchés et restaurera leur terre. (2 Chroniques 7:14)
Je pense que cette partie tournante est ce que nous laissons souvent de côté lorsque nous
cherchons le pardon de Dieu, mais nous l'exigeons dans l'équation du pardon avec les autres.
Droite?
Nous savons tous que dire « Je suis désolé », sans changement, n'est pas un vrai chagrin.
Arrêter un comportement, puis le redémarrer, puis l'arrêter et le redémarrer ? Cela ne tourne
pas. Dieu le sait et nous le savons.
Si quelqu'un dit qu'il est désolé, nous voulons voir un changement dans sa vie. Nous voulons
que les autres se repentent, prennent un virage positif.
La repentance est plus qu'un désir de changer, c'est prendre des mesures pour changer.
Si vous dévaliez l'autoroute et que la patrouille routière vous poursuivait, vous attrapait, puis
vous donnait une contravention, vous ne crisseriez probablement pas vos pneus en revenant
sur l'autoroute. Votre comportement changerait.
J'ai entendu une histoire humoristique à propos d'un chauffeur de camion qui roulait trop vite
sur l'autoroute lorsque la patrouille routière a allumé les feux juste derrière lui. Le
camionneur a enfoncé la pédale d'accélérateur au sol !
Le patrouilleur s'est approché et la sirène est devenue plus forte, mais le camionneur n'a cessé
d'accélérer. Le patrouilleur a exigé par son interphone que le camionneur s'arrête, mais le
conducteur a continué à courir. Il n'y a eu aucun repentir , aucun changement de
comportement.
Finalement, le camion a manqué d'essence et s'est immobilisé. Le patrouilleur s'est approché

du camion et a demandé au camionneur : « Avez-vous vu mes phares ?
"Oui." Le camionneur a répondu.
"Avez-vous entendu ma sirène et m'avez-vous entendu sur le haut-parleur vous demandant de

vous arrêter?"
"Oui." Le camionneur a encore répondu.

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« Alors pourquoi ne t'es-tu pas arrêté ? demanda le patrouilleur.
Le camionneur a dit : « Eh bien, c'est comme ça. Il y a un an, ma femme s'est enfuie avec un
patrouilleur et j'ai pensé que vous alliez peut-être la ramener !
Parfois, nous ressemblons tous trop au speeder dont l'esprit est tourné vers tout sauf notre
besoin de changer.
Voici comment nous AGISSONS pour recevoir le pardon de Dieu. Nous Lui donnons notre humble
ADMISSION que nous avons péché. Nous le faisons avec une véritable CONTRITION, un vrai
chagrin pour toutes les fois où nous avons échoué. Ensuite, nous TOURNONS nos vies dans une
nouvelle direction. Avec l'aide de Dieu, nous nous repentons et prenons un chemin positif.
Dans Luc 24 :47, Jésus dit à ses disciples :

"Il y a le pardon des péchés pour tous ceux qui se repentent ."
Le pardon ne change pas votre passé, mais il vous libère de votre passé et vous donne l'espoir
d'un avenir meilleur en marchant avec Dieu.
On m'a raconté une fois l'histoire d'une relation brisée entre un père en Espagne et son fils
adolescent, Paco.
Au fur et à mesure que le récit m'a été raconté, Paco s'est enfui de chez lui pour Madrid, et
son père en deuil l'a cherché partout. En désespoir de cause, le père a placé une annonce
dans le journal de Madrid qui disait quelque chose comme ceci :
"Cher Paco, retrouvez-moi devant le bureau du journal demain à midi. Tout est pardonné. Je
t'aime."
Le lendemain matin, des centaines d'hommes pleins d'espoir nommés Paco se tenaient devant
le bureau du journal !
L'invitation à se faire pardonner par son Père est une force puissante, puissante !
La première loi du pardon a tout à voir avec notre besoin de faire personnellement et
parfaitement l'expérience du pardon de Dieu. Une fois que nous comprenons notre besoin de
pardon, comment Dieu a accordé le pardon et comment accéder à ce pardon, nous sommes
plus près d'apprendre à nous pardonner et à pardonner aux autres.
RÉSUMÉ:
LA PREMIÈRE LOI DU PARDON - Besoin et disponibilité

DES PRINCIPES:
1. NOUS PÉCHONS AVEC UNE GRANDE RÉGULARITÉ
2. DIEU VEUT PARDONNER
3. LE PARDON EST ACCESSIBLE À TOUS
RÉFLÉXION PERSONNELLE:
1. Y a-t-il des personnes et des circonstances auxquelles vous pensez fréquemment, par
lesquelles vous vous sentez gêné et jusqu'à présent, vous n'avez pas été en mesure de
« lâcher prise » ?
2. Réfléchissez à votre croyance au sujet de Dieu. Avec 1 étant très indulgent et 10 étant
policier cosmique, avant de lire ce chapitre, quelle était votre croyance à propos de Dieu ?
A-t-il changé après la lecture de ce chapitre ?
3. Alors que vous considérez votre propre besoin de pardon, quelle étape est la plus
importante pour vous : l'admission, la contrition ou une nouvelle direction ?
Chapitre 2. La deuxième loi du pardon : le paiement et la paix

Le cœur humain aspire à la paix.
Nous voulons faire l'expérience de la paix avec Dieu. Nous voulons trouver le chemin de la paix
avec les autres. Et peut-être plus que tout, nous voulons en quelque sorte faire la paix avec
nous-mêmes et notre passé.
Si vous pouviez refaire une partie de votre passé, le prendriez-vous ? Si vous pouviez retirer
ce que vous avez dit, si vous pouviez retirer ce que vous avez fait, si vous pouviez revenir sur
une occasion manquée, le feriez-vous ?
Je le ferais certainement.
Logiquement, nous savons qu'il n'y a pas de retour en arrière, pas de changement du passé.
Mais nous aspirons naturellement à un moyen d'échapper à la culpabilité, à la honte et au
regret des actions passées. Nos cœurs cherchent un moyen d'aller au-delà des occasions
manquées et de la douleur infligée.
J'ai de bonnes nouvelles.

Il y a une chose et une seule qui vous libérera de votre passé et vous libérera pour votre
avenir, c'est le pardon.
Trop souvent, nous perdons du temps à regretter, alors que nos cœurs devraient courir après
le pardon. Le regret est une émotion négative qui sape vos forces, vous fait regarder en arrière
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plutôt qu'en avant et vous retient captif. Mais le pardon ouvre la porte, vous libère et vous
permet de libérer les autres des actions du passé.
Même Dieu ne changera pas votre passé, mais Il vous donnera la clé pour changer votre avenir
en vous donnant un nouveau départ via le pardon.
La plupart d'entre nous veulent savoir comment ce genre de liberté peut se produire dans la
vie, mais nous ne savons tout simplement pas où la trouver.
Il était une fois un ivrogne qui est sorti d'un bar en titubant un soir et n'a pas pu trouver ses
clés de voiture. Il était à quatre pattes en train de ramper sous un lampadaire quand quelqu'un
lui a demandé ce qu'il faisait :
Il a dit : « Je cherche mes clés de voiture.
L'autre gars a demandé: "Où les as-tu perdus?"
L'ivrogne a dit: "Là-bas dans le parking."
Alors l'homme a demandé: "Alors tu regardes par ici?"
L'ivrogne a dit : "Parce qu'il y a plus de lumière ici."
Peut-être que la raison pour laquelle nous n'avons pas encore trouvé la paix avec Dieu, la paix
avec les autres et la paix avec notre passé est que nous avons cherché aux mauvais endroits.
C'est pourquoi je partage les quatre lois du pardon. Dans ces lois, vous découvrirez tout ce
que vous devez savoir pour recevoir le pardon de Dieu, apprendre à vous pardonner et à
pardonner aux autres.
La deuxième loi du pardon est la loi du paiement et de la paix. Une fois que nous savons que
tous nos échecs, toutes nos manières imparfaites d'entrer en relation, de penser, d'agir, de
croire - toutes les attitudes négatives qui nous ont gênés la majeure partie de notre vie - ont
été payés comme une facture en souffrance depuis longtemps, c'est alors que la paix
commence.
Voici les principes de cette seconde loi :

FAIRE LA PAIX AVEC LA HONTE, LE REGRET ET LA CULPABILITÉ
BESOIN D'AIDE
En d'autres termes, vous ne pouvez pas le faire seul. Mais mec, essayons-nous.
Lorsque nos ancêtres Adam et Eve ont été placés dans le jardin d'Eden, Dieu leur a dit que
tout le jardin était pour leur plaisir et leur plaisir. Tout. Tous les animaux sont sous votre
domination. Tous les fruits frais de beaux arbres sont à vous.
Sans oublier que le jardin était parfait : un temps parfait, des conditions de vie parfaites et
même une relation parfaite entre les hommes et les femmes. C'était le paradis sur terre.
Et Dieu a défini une seule règle—une seule. Au milieu du jardin pousse un arbre, un arbre
spécifique. Ne mangez aucun des fruits qui poussent sur cet arbre singulier.
Gardez l'histoire de la Genèse dans votre esprit en pensant à cette histoire que mon professeur
de psychologie a racontée à ma classe un jour à l'université.
Un groupe d'enfants a été placé dans une pièce avec beaucoup de blocs. Ils étaient autorisés
à les empiler, à faire semblant avec eux, à les disposer et à en profiter.
Tous les blocs – des tas et des tas de blocs – étaient carrés et il y avait plein de blocs carrés
pour chaque enfant.
Là, les chercheurs ont dit à la bobine qu'il y avait un bloc rond sur chaque table. Les enfants
ont reçu pour instruction de ne pas jouer avec ce bloc rond. Ils ont été autorisés à jouer avec
tous les autres blocs, mais pas celui du tour. Ensuite, le chercheur a quitté la pièce.
En quelques secondes, que pensez-vous qu'il s'est passé ? Un petit doigt potelé a commencé à
glisser le bloc rond ou à pousser des blocs carrés dans le bloc rond pour le déplacer autour de
la table.
Avant longtemps, le bloc rond serait incorporé dans les jeux de jeu et d'empilement et
d'empilement avec les blocs carrés.
Bien sûr, c'était une histoire d'enfants. Les adultes sont différents, non ?
Retournez voir les adultes dans le jardin d'Eden. On leur a dit que tous les arbres étaient à
vous. Tous les fruits sont à vous. Tous les animaux, les ruisseaux et les rivières sont à vous.
Un mari et une femme parfaits ? Aussi le vôtre.
MANGER. JOUER. APPRÉCIER.

Ne mangez pas les fruits de cet arbre.
Que pensez-vous que les gens ont fait?
DROITE!
Dans le dernier chapitre, vous avez lu qu'il existe un schéma prévisible que les gens suivent,
mais il n'est pas nécessaire qu'il en soit ainsi. Dieu nous donne son meilleur plan pour la vie et
nous dit exactement comment poursuivre la bonté qu'il nous destine. Tout est écrit dans notre
manuel du propriétaire, la Bible.
Mais, étant humain, nous nous convainquons parfois que nous sommes un peu plus avisés que
Dieu, alors nous faisons les choses à notre façon. On fait ce qu'on veut.
t
Avant longtemps, la vie devient désordonnée, emmêlée et douloureuse. Et après assez de
douleur, nous regrettons nos choix. Nous ressentons de la honte et de la culpabilité pour nos
actions égoïstes et nuisibles.
Que peut-on faire pour remédier à notre honte, notre culpabilité et nos regrets ?
Curieusement, les gens ne font souvent pas ce qui est évident et se tournent vers Dieu pour
obtenir de l'aide. La première chose que nous faisons généralement est d'essayer de résoudre
nos problèmes à notre manière.
Nos tentatives pour faire la paix avec notre passé impliquent généralement deux verbes :
cacher et nier.
Une fois qu'Adam et Eve se sont tellement éloignés du plan de Dieu, comme un archer
décochant une flèche qui échoue, quelque chose de remarquable s'est produit. Pour la
première fois, ils ont réalisé qu'ils étaient nus.
Avant l' échec , le plan de Dieu ne comprenait que l'innocence et la perfection, sans honte.
Après la désobéissance des gens, le bon est devenu mauvais, le pur est devenu impur, le droit
est devenu tordu.
Et, comme nous, Adam et Eve ont décidé de se couvrir. Ils ont cousu ensemble des feuilles
pour les vêtements, croyant qu'ils pourraient nier leur désobéissance et cacher leur passé à
Dieu. Cacher et nier sont des trucs anciens.
Quand mon frère était petit, le jour du bulletin scolaire n'était jamais une bonne expérience.
Un jour de bulletin, mon frère est arrivé à la maison après l'école et ma mère lui a demandé
où était son bulletin. Mon frère a feint l'innocence : « La chose la plus étrange s'est produite.
Le professeur a donné un bulletin à tous les autres enfants de la classe, mais ne m'en a pas
donné. Étrange, hein ? »
La vérité était que le bulletin scolaire de mon frère était sous un rocher, dans la boue, à l'arrêt
de bus.
Pensons-nous vraiment que nous pouvons cacher nos bulletins scolaires imparfaits aux parents
? Et pensons-nous vraiment que nous pouvons cacher notre passé imparfait à Dieu ?
Toutes nos cachettes, toutes nos vies dans le déni, finissent par devenir comme des poissons
dans une poubelle – ça commence à sentir mauvais. Même si nous la gardons enfouie, la vérité
commence à éclater.
Edgar Allen Poe a écrit une petite histoire effrayante appelée "TellTale Heart".
Dans l'histoire, le personnage principal décide de tuer un homme âgé. Lorsque l'acte sinistre
a été commis, le tueur a démembré le corps et a caché le cadavre sous le plancher de la
maison.
En peu de temps, la police s'est présentée à la maison, en réponse à la plainte d'un voisin qui
a entendu un cri. L'homme de la maison a insisté sur le fait que c'était son propre cri d'un rêve
et que tout allait bien.
Pour le prouver, et parce qu'il était convaincu d'avoir bien caché son crime, il a fait visiter la
police, les faisant même s'asseoir dans la pièce où le corps était caché.
Mais alors, à cause de la culpabilité qui pesait sur lui, le tueur s'imagina qu'il était le cœur
battant du mort.
Au fur et à mesure qu'il devenait de plus en plus fort, il me fit croire que la police devait aussi
pouvoir l'entendre.
"PLUS FORT . . . PLUS FORT . . . PLUS FORT . . . .” Poe écrit.
La paranoïa a rendu l'homme fou, alors il a avoué et a dit à la police où le corps était caché.
Nos péchés nous pressent de la même manière. Ils ne restent pas cachés, mais dans nos cœurs,
ils deviennent PLUS FORTS. . . PLUS FORT . . . PLUS FORT, jusqu'à ce que nous devions nous
en occuper.
Dans le Psaume 32:3-5, le roi David a dit : « Quand j'ai refusé de confesser mon péché, mon
corps a dépéri et j'ai gémi toute la journée. Jour et nuit ta main de discipline était lourde sur
moi. Ma force s'est évaporée comme de l'eau dans la chaleur de l'été. Finalement, je t'ai avoué
tous mes péchés et j'ai arrêté d'essayer de cacher ma culpabilité. Je me suis dit : 'Je
confesserai ma rébellion à l'Éternel.' Et tu m'as pardonné ! Toute ma culpabilité a disparu.
Cacher et nier peut sembler fonctionner pendant un court moment, mais c'est une mauvaise
stratégie à long terme.
Une deuxième façon dont nous essayons de réparer notre passé est de faire le bien .
Les personnes qui tentent de le faire de cette manière sont souvent appelées des bienfaiteurs.
Ils peuvent être des gardiens des règles plus saints que toi, pharisaïques et tendus. Ils
collectionnent l'étoffe de la religion, essayant de se frayer un chemin jusqu'à un bon «
curriculum vitae de justice » à remettre un jour à Dieu.
Ils font tourner des moulins à prières dans l'espoir d'avoir plus de mérites que de démérites à
la fin de la journée.
Ils s'en tiennent à une croyance trompeuse selon laquelle si je suis assez bon , mes péchés
n'auront pas d'importance. Mon passé ne sera pas un problème. Et quand je me tiendrai à la
porte du paradis, il n'y aura pas de problème.
Et si être bon ne suffisait pas ?

v
Je connais de très bonnes personnes encore hantées par les décisions et actions passées. Je
connais des gens très généreux qui luttent contre la culpabilité et la honte. Je connais des
pratiquants très assidus qui se demandent encore ce qu'il faudrait pour payer les erreurs et
les comportements passés. Toute leur bonté ne suffit pas.
Les gens courent. . . en cours d'exécution . . . courir pour échapper à leur passé.
Hypothétiquement, même si nous pouvions vivre parfaitement à partir de ce jour, nous ne

pouvons toujours pas échapper à des "choses" de notre passé : tout l'égoïsme, tous les mots
prononcés dans la haine ou la colère, toute la violence, tous les abus de nos corps. par la
dépendance, tous les échecs à être la mère ou le père que nous voulions être, toutes les
incohérences, les immoralités sexuelles, le manque de générosité, les moments où nous
n'avons montré aucune pitié. Que ferions-nous de tout cela ?
Ce truc pèse sur notre âme, a déclaré le roi David. Nous le sentons. Comme le poisson à la
poubelle, nous le sentons et à vrai dire, nous soupçonnons que les autres le sentent aussi.
Mais les gens sont comptés comme justes, non pas à cause de leur travail, mais à
cause de leur foi en Dieu qui pardonne les pécheurs. (Romains 4:5)
Revoyez le premier principe : POUR FAIRE LA PAIX AVEC LA HONTE, LE REGRET ET LA

CULPABILITÉ DU PASSÉ, IL FAUT DE L'AIDE
Cela signifie que Dieu doit nous pardonner.
Le principe numéro deux est :
LE PARDON EST TOUJOURS BASÉ SUR LE SACRIFICE
Lorsque vous et moi sommes nés, Dieu a planté quelque chose dans chacune de nos
consciences : un sens de la justice . Nous l'avons juste. Seuls les psychopathes ne le font pas
parce qu'ils ont tué leurs inclinations naturelles.
Notre conscience fournit ce sentiment inhérent que les mauvaises actions nécessitent une
sanction. Vous accélérez, vous obtenez un billet. Tu blesses une personne, tu vas en prison.
Et c'est mondial. Nous lisons des articles sur le génocide au Soudan et nous grinçons des dents.
Quelque chose à l'intérieur de nous dit : "Quelqu'un doit payer pour ça."
Lorsque des milliers de gallons de pétrole ont été déversés dans le golfe du Mexique, nous
avons exigé : "Quelqu'un doit payer".
Pour chaque négatif, il doit y avoir un positif. Pour chaque dette, il doit y avoir un paiement.
C'est la vie de Dieu en nous qui cherche et veut la justice.
Peut-être avez-vous ressenti cela en conduisant. Avez-vous déjà souhaité être policier pour
arrêter un conducteur imprudent et rendre JUSTICE ?
Ce désir de justice vient de Dieu. La Bible déclare maintes et maintes fois cet attribut de Dieu
:
Alors que les cieux proclament sa justice,

car Dieu lui-même sera le juge. (Psaume 50:6)
Afin de comprendre le lien entre le sacrifice et le pardon maintenant, il faut comprendre ce

message dans l'Ancien Testament. À l'époque, pour qu'un tort soit réparé, un paiement
(sacrifice) devait être effectué afin que le pardon puisse être prolongé.
Quand Adam et Eve ont essayé de dissimuler, de cacher et de nier leurs méfaits avec des
feuilles, Dieu savait qu'une solution plus permanente était nécessaire. Alors Dieu a tué un
animal, le premier sacrifice jamais enregistré dans l'histoire du monde, et Dieu a utilisé la
peau de cet animal pour couvrir la nudité et le péché d'Adam et Eve.
Si vous lisez les livres du Lévitique, des Nombres et du Deutéronome dans l'Ancien Testament,
vous trouverez des instructions spécifiques sur les sacrifices requis pour obtenir le pardon.
Quelqu'un devait payer.
Et plus important encore, vous trouverez des instructions pour le jour saint le plus élevé du
judaïsme, Yom Kippour, également connu sous le nom de jour des expiations.
Ce jour-là, le Souverain Sacrificateur - et le seul Souverain Sacrificateur et seulement ce jour-

là chaque année - reçut l'ordre d'entrer dans la partie la plus sacrée du Tabernacle ou du
Temple, le lieu appelé le Saint des Saints.
Dans ce lieu saint, en ce jour saint de chaque année, le prêtre se tenait entre Dieu et tout le
peuple et il offrait un sacrifice spécifique. Ce sacrifice, ce jour-là, par ce prêtre expierait tous
les péchés de tout le peuple, pour toute l'année précédente ! C'est pourquoi il a été appelé
Jour d'EXPIATION.
Pensez au mot ATONE .
Maintenant, séparez-le.
À . . . UN
Lorsqu'un sacrifice est fait et que les péchés sont pardonnés, les gens ne sont plus séparés de
Dieu à cause du péché. Après un sacrifice, notre faute est payée, comme une dette annulée,
et nous ne sommes plus séparés de Dieu. Nous sommes UN avec Dieu.
x
Voyez-vous comment cela se rapporte à notre besoin de justice? Dieu saint nous donne sa
façon de vivre. Nous suivons notre propre chemin, créant une séparation entre nous et Dieu.
Mais Dieu, dans sa grâce, a quand même fourni un sacrifice par l'intermédiaire du Messie -
parce que quelqu'un ou quelque chose devait payer - pour rendre le pardon possible.
Dieu a établi que la justice pour tout péché exige la mort. L'impiété exige des sacrifices.
. . . sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon.
(Hébreux 9:22b)
Quand on étudie le Nouveau Testament, il devient clair pourquoi le Messie a sacrifié sa vie
pour nous. Depuis le début, l'Ancien Testament indiquait ce que Jésus accomplirait un jour
sur la croix. Jésus est mort pour répondre au besoin de justice.
Dans Jean 1 : 36, la Bible appelle Jésus-Christ « l' agneau de Dieu ».
Dans 1 Pierre 3:18, la Bible dit à propos de sa mort, " le juste est mort pour l'injuste ".
La Bible explique également pourquoi nous n'avons plus de sacrifices d'animaux qui doivent
être répétés encore et encore chaque année, car le sacrifice parfait et complet est finalement
arrivé.
Dans Romains 6:10, la Bible souligne que lorsque Jésus est mort, Il est mort UNE FOIS POUR
TOUTES ! C'était un paiement complet parfait où l'Ancien Testament épousait le Nouveau
Testament. Tout convenait. La justice était satisfaite.
Maintenant, voici quelque chose qui pourrait rendre cela encore plus clair. Dans l'Ancien
Testament, il y avait une Ancienne Alliance ou un accord entre Dieu et le peuple.
On disait que les gens qui mettaient leur confiance dans la voie de Dieu avaient la foi, et la
foi plaisait à Dieu. Ils ont mis leur foi dans les voies de Dieu et par la foi, ils ont obéi à Ses
instructions pour le sacrifice. Par conséquent, leurs péchés ont été pardonnés.
C'est la voie de l'Ancien Testament, appelée l'Ancienne Alliance ou l'ancien accord.
Alors, qu'y a-t-il de différent dans le Nouveau Testament ? En quoi le nouvel accord a-t-il
changé les choses ?
La lecture d'une conversation tirée de la vie de Jésus fournira la réponse. En tant qu'agneau
ou sacrifice parfait, il s'est réuni avec ses disciples la nuit avant d'être exécuté pour les péchés
du monde. Cette nuit-là, Jésus prit du vin – comme symbole de son sang qui devait être versé
lors de cette horrible exécution – et dit :
Buvez-en chacun, car ceci est mon sang, qui confirme la nouvelle alliance entre Dieu
et son peuple.
Il est versé comme un sacrifice
pour pardonner les péchés de plusieurs. (Matthieu 26:27b-28)
Jésus a dit clairement, c'est le nouvel accord entre Dieu et le peuple, la Nouvelle Alliance. En
conséquence, les gens ne mettent pas leur foi dans le sang des animaux pour pardonner leurs
péchés, mais placent leur foi dans le sang et le sacrifice de Jésus.
Nous espérons que ce que le Messie a fait nous expie (AT ONES) avec Dieu.
Rappelez-vous, principe un : FAIRE LA PAIX AVEC LE PASSÉ

LA HONTE, LE REGRET ET LA CULPABILITÉ NÉCESSITENT UNE AIDE
Le principe numéro deux stipule :

LE PARDON EST TOUJOURS BASÉ SUR LE SACRIFICE
Le pardon n'est pas basé sur ce que vous pouvez FAIRE. C'est la religion; qui essaie de gagner
sa vie, mais qui ne peut jamais ébranler son passé.
La Nouvelle Alliance, d'autre part, est basée sur ce que Jésus A FAIT et sur ce que vous avez
fait lorsque vous avez placé votre foi en Lui et en Son don de grâce.
Lisez ce passage (j'ai fait tous les p onnoms personnels à la première personne, afin que vous
puissiez voir comment ces versets s'appliquent à vous)
« Dieu m'a sauvé par sa grâce quand j'ai cru. Et je ne peux pas m'en attribuer le mérite;
c'est un don de Dieu. Le salut n'est pas une récompense pour les bonnes choses que j'ai
faites, donc je ne peux pas m'en vanter. Car je suis le chef-d'œuvre de Dieu. Il m'a créé de
nouveau en Jésus-Christ, afin que je puisse faire les bonnes choses qu'il a prévues pour
moi il y a longtemps. (Éphésiens 2:8-10)
Le principe suivant vous permet de décrocher ; il donne la permission d'arrêter de se battre

et d'arrêter de vivre dans la honte, le regret et la culpabilité.
Principe trois :
QUAND DIEU PARDONNE, IL LE FAIT PARFAITEMENT ET COMPLÈTEMENT
Pensez à la culpabilité et à la honte passées comme étant comme une personne violente qui
vient vous battre et avec ses mots, essaie de vous vaincre et de vous diminuer.
Votre passé vous réprimande avec :
"Tu ne mérites pas le bonheur."

"Tu n'iras pas mieux."
« Regarde tout ce que tu as fait dans ta vie. Vous ne pouvez pas vous attendre à recevoir du
bien.
"Dieu ne vous aidera pas."
"Regardez combien de personnes vous avez blessées et déçues."

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Et chaque fois que vous vous souvenez du passé et que vous lui donnez du pouvoir, chaque fois
que vous traversez ces jours dans votre esprit et votre mémoire - ce que vous avez dit, ce que
vous avez fait, ce que vous n'avez pas bien fait - vous donnez vie à l' agresseur .
Il n'y a qu'un seul moyen de vaincre l'agresseur. L'agresseur doit mourir.

Lorsque nous donnons notre passé à Christ, Il l'emporte sur cette croix où Il est mort et il est
mis à mort avec Christ.
Et quand Jésus est ressuscité des morts, Il est ressuscité sans votre passé, sans votre péché.
Tout était resté dans la tombe. C'est pourquoi
Dieu a dit : « Je pardonne ton péché et je choisis de ne pas m'en souvenir ! ”
Oh, quelle joie pour ceux dont la désobéissance est

pardonné,
dont le péché est mis hors de vue! (Psaume 32:1)
. . . Nous arrivons tous à ta porte tôt ou tard, chargés de culpabilité, nos péchés sont
trop pour nous, mais tu t'en débarrasses une fois pour toutes. (Psaume
65:2-3—Le Message)
Vous vous demandez pourquoi les gens ont du mal à pardonner aux autres ? C'est parce que
nous n'avons pas compris comment nous pardonner.
Nous réclamons toujours justice dans nos vies. Nous insistons toujours pour que quelqu'un paie
. Et nous exigeons la même chose des autres : ils doivent payer, ils doivent souffrir, justice
doit être rendue.
Dans le pardon, Jésus nous prend par la main, et Il nous conduit à la croix et Il dit doucement
: « Quelqu'un a payé. La justice est satisfaite.
Grâce à ce que Christ a fait, dès que vous mettez votre foi en lui et en son œuvre de sacrifice
parfaite et complète, vous êtes libre de votre passé. Vous avez un nouveau départ avec Dieu.
Le passé est mort et maintenant vous pouvez avoir un tout nouvel avenir !
RÉSUMÉ:
LA DEUXIÈME LOI DU PARDON—Paiement et Paix PRINCIPES :

1. FAIRE LA PAIX AVEC LA HONTE, LE REGRET ET LA CULPABILITÉ NÉCESSITE DE L'AIDE
2. LE PARDON EST TOUJOURS BASÉ SUR LE SACRIFICE
3. QUAND DIEU PARDONNE, IL LE FAIT PARFAITEMENT ET COMPLÈTEMENT
1. Avez-vous eu du mal à vous pardonner ou à pardonner aux autres ? Si oui, après avoir lu
le premier principe de cette loi, voyez-vous à quel point Dieu est disposé à vous aider
avec cela ?
2. Êtes-vous d'accord que notre besoin de justice (quelqu'un doit payer) est une raison pour
laquelle vous avez hésité à vous pardonner ou à pardonner aux autres ?
3. Écrivez votre compréhension du paiement que Jésus-Christ a fait pour que justice puisse
être rendue et que vous (et les autres) puissiez être pardonnés.
Chapitre 3. La troisième loi du pardon—Recevoir et Donner

Peu de gens veulent être connus comme un haineux, un juge, un rancunier ou une personne
amère.
Cette vérité est capturée dans une histoire de sagesse sage qui dit : C'est pourquoi vous
n'épousez pas une femme du Sud.
Un homme a épousé une femme du Nord. Il lui a dit qu'elle devait faire la vaisselle et le
ménage. Cela a pris quelques jours, mais le troisième jour, il est rentré à la maison pour voir
une maison propre, avec de la vaisselle lavée et rangée.
Le deuxième homme a épousé une femme de l'Ouest. Il lui a donné l'ordre de faire tout le
ménage, la vaisselle et la cuisine. Le premier jour, il n'a vu aucun résultat, mais le lendemain,
il a vu que c'était mieux. Le troisième jour, il vit que sa maison était propre, que la vaisselle
était faite et qu'il y avait un énorme dîner sur la table.
Le troisième homme a épousé une fille du Sud. Il lui a ordonné de garder la maison propre, la
vaisselle lavée, la pelouse tondue, le linge lavé
et des repas chauds sur la table pour chaque repas. Le premier jour, il n'a rien vu, le deuxième
jour, il n'a rien vu, mais le troisième jour, une partie de l'enflure avait diminué et il pouvait
voir un peu de son œil gauche, et son bras était guéri. assez pour se préparer un sandwich et
charger le lave-vaisselle.
Admettre que nous portons rancune, admettre que nous sommes toujours en colère après le
passage du temps, admettre que nous détestons ou sommes même amers, crée le besoin de
prendre une décision.
Vais-je rester comme ça ou vais-je chercher à pardonner ?
Chaque jour, nous prenons des décisions concernant le type de personne que nous serons et
les types de comportement que nous adopterons. Si vous êtes bloqué dans la circulation,
qu'allez-vous faire ? Choisirez -vous d'être patient, gentil et indulgent ? Si vous êtes trahi par
un conjoint, offensé par un proche, qu'allez-vous faire ?
De nombreuses études révèlent que ceux qui choisissent de pardonner ont un rythme
cardiaque plus bas, une pression artérielle plus basse, une meilleure qualité de sommeil, une
spiritualité renforcée, une diminution des plaintes de douleur et une augmentation du
fonctionnement du système immunitaire. 2
bb
Voici une bonne nouvelle : vous ne pouvez pas pardonner à quelqu'un sans recevoir une
bénédiction personnelle positive pour vous ! Lorsque nous pardonnons, le fait de lâcher prise
libère un prisonnier et, plus tard, nous réalisons souvent que le prisonnier, c'était nous !
Les quatre lois du pardon contiennent des bénédictions pour vous cachées dans chaque loi. La
Loi Une est la bénédiction du pardon de Dieu envers vous. La deuxième loi est la bénédiction
de se pardonner.
La Loi Trois révèle la bénédiction de pardonner aux autres.
J'appelle la troisième loi la loi de recevoir et de donner. Et sous cette loi se trouvent trois
principes.
Le premier principe de cette loi est le suivant :

LES GENS PARDONNÉS PARDONNENT MIEUX
Jésus raconte une histoire dans Matthieu 18 au sujet d'un homme riche qui a prêté beaucoup
d'argent à un autre homme. Le moment est venu pour l'emprunteur de rembourser, mais il
n'avait pas d'argent. Il a supplié le prêteur de lui accorder plus de temps et a promis de
rembourser.
Heureusement, le prêteur se sentait généreux. Il fit miséricorde au pauvre homme, lui remit
sa dette et le laissa partir.
Lorsque l'emprunteur a quitté l'homme riche, il est tombé sur quelqu'un qui ne lui devait
qu'une petite somme d'argent. Il a immédiatement exigé le paiement, plutôt que de prolonger
le même pardon qu'il venait de recevoir.
Ce pauvre homme a demandé grâce et a demandé plus de temps, promettant de
rembourser.
Arrêtez l'histoire un instant et réfléchissez : si vous veniez de recevoir miséricorde et que vous
aviez immédiatement l'opportunité d'accorder miséricorde à un autre, que pensez-vous que
Jésus voudrait que vous fassiez ?
Qu'a fait l'homme dans l'histoire de Jésus ? Même s'il avait sa dette annulée, il n'a pas offert
de pardon et a jeté l'autre pauvre homme en prison.
L'homme riche d'origine, qui a été le premier à faire miséricorde, en a entendu parler. Il a
appelé l'emprunteur qui lui devait beaucoup et l'a emprisonné pour sa méchanceté et a rétabli
la dette.
C'est la loi de recevoir et de donner. Le point est douloureusement clair. Si vous avez déjà
reçu le pardon, cette expérience devrait vous apprendre à pardonner aux autres.
Il est clair comment appliquer la Loi Trois : Si j'ai reçu le pardon, je dois accorder le pardon.
La Bible n'est pas subtile à ce sujet :
Au lieu de cela, soyez bons les uns envers les autres, compatissants, pardonnez-
vous les uns les autres, tout comme Dieu vous a pardonné à travers le Christ.
(Éphésiens 4:32)
Rappelez-vous que le Seigneur vous a pardonné, vous devez donc pardonner aux
autres. (Colossiens 3:13b)
Dans la prière du Seigneur, Jésus nous a appris à prier comme ceci :
. . . et pardonne-nous nos péchés, comme nous avons pardonné à ceux qui ont
péché contre nous. (Matthieu 6:12)
Mais si vous refusez de pardonner aux autres, votre Père ne pardonnera pas vos
péchés. (Matthieu
6:15)
Ne jugez pas les autres et vous ne serez pas jugé.
Ne jugez pas les autres et vous ne serez pas jugé.
Ne condamnez pas les autres, sinon cela se retournera contre vous.
Pardonne aux autres et tu seras pardonné. (Luc 6:37)
Peut-être comprenez-vous maintenant pourquoi la Loi Un et la Loi Deux devaient venir avant
cette loi. Nous devons d'abord comprendre notre propre besoin de pardon et comprendre
comment Dieu nous a pardonné parfaitement et complètement, avant de ressentir la puissante
attraction de cette troisième loi universelle.
La conscience de tout ce que Dieu a fait pour vous est ce qui vous pousse à être un meilleur
pardonneur ! D'un autre côté, la personne qui pense qu'elle n'a pas eu besoin de beaucoup de
pardon de la part de Dieu pardonnera probablement très mal les autres.
Mais une personne à qui on a peu pardonné ne montre que peu d'amour. (Luc 7:47b)
Recevoir, puis donner, c'est la séquence. La capacité de pardonner à un autre commence

lorsque nous comprenons notre propre besoin d'être pardonné.
Il existe une autre option. Vous pourriez choisir de « Go Old Testament » sur quelqu'un : Tu
me blesses, BAM, je te blesse. Œil pour œil et dent pour dent !
Mais si vous adoptez cette approche, méfiez-vous de ce que Gandhi a dit : « Si nous vivons
tous œil pour œil, bientôt le monde entier sera aveugle.
C'est pourquoi le Messie a enseigné que nous recevons d'abord le pardon, puis nous accordons
le pardon aux autres.
Les gens pardonnés finissent donc souvent par devenir les meilleurs pardonneurs.
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Le deuxième principe de la loi de recevoir et de donner est :
LES GENS IMPARFAITS PARDONNENT PAR PROCESSUS

Juste pour garder chaque personne honnête qui lit ce livre, nous devons tous faire cette
confession : Dieu est parfait. je suis imparfait.
Parce que Dieu est parfait, quand Il pardonne, Il le fait parfaitement.
Parce que vous et moi sommes imparfaits, lorsque nous pardonnons, nous devons
généralement pardonner à plusieurs reprises jusqu'à ce que nous réussissions. Nos premières
tentatives de pardon sont souvent imparfaites et imparfaites comme chacun de nous.
C'est pourquoi la Bible raconte l'histoire du moment où on a demandé à Jésus combien de fois
nous devrions pardonner à une autre personne.
« Non, pas sept fois », répondit Jésus,

« mais soixante-dix fois sept ! (Matthieu 18:22)
Voici comment cela fonctionne. Je dis à quelqu'un, je te pardonne. Je le pensais peut-être à

l'époque, mais le lendemain, je me réveille, je me souviens des torts qui m'ont été faits et je
suis de nouveau en colère et blessé. Je dois donc répéter le processus et pardonner à nouveau.
J'ai dit les mots "Je te pardonne", mais je sais dans mon cœur l'acte qui a été fait, la déception
qui a été infligée et les mots qui ont été prononcés ont encore une emprise sur mon cœur. Ils
affectent toujours mon humeur et mes émotions et ont toujours le pouvoir de ramener la
douleur de la blessure. Donc je sais que mon pardon n'est pas encore complet. C'est imparfait.
Donc, je dois revenir en arrière et pardonner à nouveau.
Jésus a dit qu'un pardon complet pourrait prendre 500 tentatives. Nous devons persévérer à
cause du principe caché à l'intérieur de la Loi Trois : les personnes imparfaites pardonnent
par processus.
Il y a un troisième et dernier principe :
LE DÉLINQUANT ET L'OFFENSÉ FONT TOUS LES DEUX PARTIE DE
L'ÉQUATION DU PARDON
Les responsabilités de chaque partie se décomposent ainsi :
La partie offensée - Si nécessaire, vous pouvez réprimander la personne qui vous a fait du
mal ou même vous éloigner de cette relation pendant une saison.
Si un autre croyant pèche, réprimandez-le. . .

(Luc 17:3a)
Vous êtes si fiers de vous, mais vous devriez pleurer de chagrin et de honte.
Et vous devriez retirer cet homme de votre communauté. (1 Corinthiens 5:2)
Le rôle du délinquant — Présentez des excuses sincères dès que possible.
Voici un conseil « comment s'excuser » : ne gâchez jamais une excuse avec une excuse. Les
excuses authentiques sont marquées par l'humilité, la sincérité et le chagrin qui conviennent
au mal commis.
La part de l'offensé —Créez un environnement pour un nouveau départ.
Certes, laisser quelqu'un faire un « refaire » est risqué parce que cette partie se produit avant
qu'il y ait eu un véritable changement chez l'autre personne.
Réfléchissez à cette séquence. Vous contestez les actions, les paroles ou les attitudes de la
personne. Vous les appelez et vous vous éloignez de la relation. Ensuite, la personne vient
vers vous. Ils sont authentiques, tristes et ils s'excusent.
Maintenant, vous ouvrez la porte pour pardonner, vous leur offrez la chance de commencer à
regagner votre confiance.
Bon nombre d'entre vous ont lu ce scénario et vous sentez la peur s'insinuer dans votre esprit.
Vous sentez le risque de cette étape. C'est dangereux, nous le savons tous, à cause d'une
question. Comment savez-vous quand une autre personne est vraiment désolée ?
La vérité est qu'il est généralement impossible de le savoir.
Comme donner de l'argent à un mendiant au coin de la rue, comment savez-vous qu'il utilisera
cet argent pour se nourrir et non pour se droguer ou boire de l'alcool ? Vous ne le faites pas.
Une partie de l'équation du pardon est que celui qui pardonne, celui qui est blessé, déçu ou
offensé, est celui qui doit prendre une certaine mesure de risque.
S'il y a un esprit de peur ou d'autoprotection, alors le pardon total ne peut pas être accordé.
Le pardon est un attribut du fort.
Une peur supplémentaire se glisse souvent dans cette occasion. Il y a la crainte que si le
pardon est donné trop rapidement ou trop facilement, alors le mauvais comportement est
toléré. NON! Pardonner n'est pas cautionner le passé. Le pardon crée la possibilité d'un
nouveau départ dans le futur.
Lorsque vous offrez le pardon à quelqu'un, vous offrez à quelqu'un la possibilité de regagner
sa confiance.
Une fois que le pardon est offert et qu'une chance est donnée au délinquant de changer son
comportement et de regagner la confiance, il y a la partie suivante de cette séquence.
Le rôle du délinquant — Un revirement d'anciens comportements et attitudes marque l'effort

de regagner la confiance.
Pour que la séquence du pardon soit complète et complète, celui qui a commis le mal doit
faire preuve de changement. Si une personne monte dans le mauvais bus, courir dans l'allée
dans la direction opposée n'est pas suffisant. Une personne doit changer de bus.
ff
Voici un exemple : Jésus a rencontré un collecteur d'impôts nommé Zachée. Il avait collecté
des impôts injustes, volant ses propres voisins et les habitants de sa ville. Après avoir
rencontré Jésus, et après avoir reçu le pardon de Jésus, regardez ce que dit la Bible à propos
du tour de Zachée :
Pendant ce temps, Zachée se tenait devant le Seigneur et dit :

"Je donnerai la moitié de mes biens aux pauvres, Seigneur, et si j'ai trompé les gens
sur leurs impôts,
Je leur rendrai quatre fois plus ! (Luc 19:8)
Zachée a prouvé son changement. Les Écritures démontrent qu'un vrai changement sera vu,
tout comme les fruits sur les branches d'un arbre.
Produisez des fruits en accord avec la repentance.
(Matthieu 3:8 [Nouvelle version internationale])

La séquence ci-dessus est résumée succinctement dans ce verset :
Si un autre croyant pèche, réprimandez-le ; alors s'il y a repentance, pardonnez. (Luc

17:3b)
Le repentir, c'est un virage, c'est un nouveau chemin, c'est un vrai changement qui mène à
une crédibilité reconstruite – qui est le fruit du repentir.
Réviser:
La part de l'offensé - Il n'y a rien de mal à réprimander ou même à s'éloigner pendant une
saison.
La partie du délinquant — Excusez-vous dès que possible.
La part de l'offensé — Créez la possibilité d'un nouveau départ avec une confiance
reconstruite.
Le rôle du délinquant — Se détourner des anciens comportements et attitudes préjudiciables

et regagner la confiance.
Avant de conclure ce chapitre, une question cruciale doit être abordée : Comment savez-vous
que vous avez vraiment pardonné à une autre personne ?
Ma femme a fréquenté une autre église pendant près de vingt ans. Son pasteur défiait souvent
les gens de pardonner. En enseignant le pardon, le pasteur demandait à chacun d'écrire le
nom de la personne à qui il fallait pardonner.
Dans la vie de Karen, très souvent, le nom qu'elle écrivait était celui de son ancien mari. Il y
a eu des années difficiles dans leur mariage. Ainsi, message après message, lorsqu'on lui a
demandé à qui elle devait pardonner, Karen a écrit le nom de son mari.
Chaque fois, Karen suivait la séquence de pardon décrite dans ce chapitre, mais chaque fois
que le pasteur le demandait, elle écrivait toujours le nom de son mari.
Il y a plusieurs années, Karen était à l'église à côté de son mari. Et encore une fois la question
a été posée par le pasteur : à qui devez-vous écrire le nom, à qui devez-vous pardonner ?
Karen se pencha vers son mari et chuchota : « Je
ne trouve personne à écrire.
Ce n'est qu'après ce service religieux qu'elle a réalisé qu'à un moment donné - et elle ne sait
pas exactement quand - la colère était partie, les ressentiments s'étaient évaporés et pendant
des années avant sa mort, ils avaient passé une bonne saison ensemble.
Le pardon est complet ou presque complet lorsque vous pouvez penser à l'autre personne et
qu'il ne s'empare plus de vos émotions. Vous savez que le pardon a suivi son cours lorsque vous
n'êtes plus ramené à l'endroit de la douleur et de la blessure.
Vous avez pardonné quand vous ne retournez pas dans le passé et vous ne ressentez pas non
plus le désir de ramener l'autre personne dans le passé.
Vous avez pardonné lorsque la vue de cette personne ou la pensée de cette personne rencontre
votre désir de la voir bénie et de vraiment prier pour elle.
Avant de passer à la Loi Quatre, prenez un temps de réflexion personnel et considérez :
A qui devez-vous pardonner ? Qui avez-vous besoin de laisser s'en tirer ? De qui avez-vous
besoin pour ouvrir la porte à un nouveau départ, à la « chance » de regagner votre confiance
?
Qui avez-vous besoin de laisser sortir d'une prison émotionnelle pour être libre ?
Êtes-vous rapide à pardonner, pardonnez-vous vraiment, ou êtes-vous un pardonneur lent et

réticent ? Savez-vous combien Dieu a dû pardonner en vous ?
Prenez trente secondes et déterminez le genre de pardonneur que vous allez être avec l'aide
de Dieu.
hh
RÉSUMÉ:
LA TROISIÈME LOI DU PARDON - Recevoir et donner

DES PRINCIPES:
1. LES GENS PARDONNÉS PARDONNENT LE MIEUX
2. LES GENS IMPARFAITS PARDONNENT PAR PROCESSUS
3. LE DÉLINQUANT ET L'OFFENSÉ FONT TOUS LES DEUX PARTIE DE L'ÉQUATION DU
PARDON
1. Êtes-vous prompt à pardonner ou réticent ? De quelle manière votre compréhension de
votre propre besoin de pardon affecte-t-elle la façon dont vous pardonnez aux autres ?
2. Selon vous, que voulait dire Jésus en pardonnant aux autres sept fois soixante-dix ? Êtes-
vous prêt à étendre le pardon plusieurs fois pour qu'il soit complet en vous ?
3. Lorsque vous considérez les choix « aller-retour » entre l'offenseur et l'offensé, à quel
moment en êtes-vous dans ce processus ?
Chapitre 4. La quatrième loi du pardon : risque et récompense

Réfléchissez à cette question : avez-vous la garantie absolue que non seulement vous vivrez
demain, mais que tout se passera comme vous le souhaitez ?
Aucun de nous ne le fait.
Voici une autre question : êtes-vous sûr que vous réussirez cette journée ?
Aucun de nous ne le fait.
Vivre, c'est affronter le risque.

En plus des risques qui existent déjà dans votre vie, il faut reconnaître d'emblée que
pardonner, c'est risquer.
Parce que le pardon (et toutes les parties de la vie) comporte des risques, nous procédons
constamment à des évaluations de risques miniatures ; analyses coûts/bénéfices de ce que
nous faisons. Et si nous concluons qu'un risque en vaut la peine, nous prenons le risque.
Quand j'étais plus jeune, j'avais l'habitude d'être très nerveux à l'idée de voler dans un avion.
Je ne sais pas pourquoi. J'avais volé plusieurs fois dans mon enfance sans subir de dommages.
À une occasion, mon père était à l'hôpital et je me suis arrêté pour lui rendre visite. Pendant
que j'étais là-bas, le médecin est entré alors je suis sorti dans le couloir. De l'autre côté du
couloir se tenait un autre homme et nous avons entamé une conversation informelle :
Je lui ai demandé: "Avez-vous un être cher ici?" Il m'a dit qu'il l'avait fait et a ensuite commencé
à me raconter cette horrible histoire. Sa femme s'était cassé le cou et a été tragiquement
blessée.
J'ai pensé à quel point c'était horrible et je me suis demandé dans quel genre de comportement
à risque elle avait été impliquée - probablement un accident d'avion, pensa mon esprit opposé
à l'aviation.
Il m'a dit qu'elle s'était levée la nuit pour aller aux toilettes et, alors qu'elle était assise,
s'était endormie, était tombée par terre et s'était cassé le cou.
Je dois admettre qu'il y a des endroits dans la vie où je pensais que mon cou aurait pu être
cassé, mais ce n'en était pas un.
La prochaine fois que je devais prendre l'avion, je me souviens clairement d'avoir eu une
conversation avec moi-même et d'avoir dit à voix haute : « Brad, si quelqu'un peut se casser
le cou en étant assis sur les toilettes, tu n'es en sécurité nulle part. Vous pourriez aussi bien
monter dans cet avion et si vous vous blessez, eh bien au moins vous vous blessez en faisant
quelque chose de plus excitant que . . . vous obtenez l'image.
Depuis ce jour, je n'ai plus eu peur de voler.

Une fois que vous avez déterminé que personne ne traverse la vie indemne, personne ne
traverse la vie sans risque, alors vous apprenez à choisir les risques qui offrent la possibilité
de la plus grande récompense. Pour moi, les récompenses du vol l'emportent sur les risques
du vol. Et c'est la même chose avec le pardon : les récompenses l'emportent sur les risques.
Le pardon est-il risqué, dans la mesure où nous nous ouvrons à la possibilité d'être à nouveau
blessés ? Absolument, mais je sais par expérience qu'une relation guérie en vaut la peine.
Voici une partie de mon histoire. Il y a des années, j'ai été infidèle à ma femme et à ma
famille. Rien n'aurait pu leur faire du mal ou leur briser davantage le cœur. Ce que j'ai fait
était sans raison et totalement faux.
J'ai blessé tous ceux qui m'étaient chers.
Après avoir repris mes esprits, j'avais soif de pardonner et de guérir les relations dans ma vie.
Dans les mois qui ont suivi, j'ai poursuivi chaque étape que nous avons apprise dans les
chapitres précédents de ce livre sur le pardon.
Je suis allé voir mon ex-femme et d'autres personnes que j'avais blessées et j'ai déversé mon
chagrin et ma confession. J'ai alors commencé le long et difficile processus de démonstration
du changement dans ma vie un jour à la fois, un élément de confiance à la fois.
Pendant ces années, les conversations avec mon ex-femme étaient dures, maladroites et
souvent émotionnelles. J'étais toujours conscient de la douleur que j'avais causée et du mal
e
que j'avais fait. Mes enfants pouvaient toujours sentir l'éléphant de mon passé dans la pièce
et la douleur dans leur cœur restait sensible et profonde.
Après deux ans d'humilité, de contrition sincère et de confiance constante, mon ex-femme et
moi avons eu une conversation où elle a dit qu'elle m'avait finalement pardonné. Cela a-t-il
effacé mon passé ? NON. Le pardon ne change pas le passé, mais il change l'avenir.
Depuis son pardon et jusqu'à maintenant, nos conversations ont été plus chaleureuses, la
tension s'est évaporée, mes enfants ont moins de stress et la paix entre nous est réelle et
guérissante.
Vous lui demandez si le pardon vaut le risque ? Elle dirait qu'elle en est arrivée au point où
elle a su que c'était pour elle, pour le bien de nos enfants et pour le bien de Christ. Et elle
expérimente la récompense maintenant dans sa propre tranquillité d'esprit et dans la paix
entre nous.
Et bien sûr, son pardon a été un cadeau puissant dans mon esprit et dans ma vie.
Maintenant, honnêtement, est-ce que ça marche toujours ? NON. Aurait-elle pu pardonner et

aurais-je pu encore choisir de m'écraser et de brûler ma vie à nouveau ? Oui. Mais plus
souvent qu'autrement, si nous prenons toutes les personnes à qui nous avons pardonné et
toutes les relations qui ont été guéries dans nos vies parce que nous avons pris des risques,
je crois que nous conclurions :
Avec tous ses risques, la récompense du pardon en vaut la peine !

Il y a trois principes qui soutiennent cette quatrième Loi du Pardon :
LE RISQUE PEUT ÊTRE DIEU
Celui-ci commence par Dieu. Dieu a pris un risque quand il m'a pardonné et quand il vous a
pardonné. Permettez-moi d'établir la vérité de ce principe à partir de la parole de Dieu.
Mais Dieu a montré son grand amour pour nous

Mais Dieu a montré son grand amour pour nous en envoyant Christ mourir pour
nous alors que nous étions encore des pécheurs . (Romains 5:8)
C'est important. A-t-il montré son amour et donné sa vie avant ou après que vous et moi ayons
choisi de l'aimer ? Il l'a fait avant, ce qui était un risque. Il n'avait aucune assurance que nous
l'aimerions jamais en retour.
Nous nous aimons parce qu'il nous a aimés le premier . (1

Jean 4:19)
Encore une fois, Dieu a initié. Il a pris tous les risques. Il s'est étendu, et s'est rendu vulnérable,
pour réconcilier une relation avec nous.
Dieu s'est engagé dans un comportement à haut risque. Pourquoi? Dieu considérait qu'une
relation guérie en valait la peine.
Pour les moments où ça marche, pour les relations qui se soignent, pour les relations qui se
renouvellent, ça vaut le coup.
Est-ce que ça marche toujours ? Tout le monde sur terre a-t-il choisi d'aimer Dieu en retour et
de lui donner son cœur et sa loyauté ? Non. Mais en avez-vous? Oui, et c'est pourquoi Dieu a
pris le risque et a donné le pardon et l'amour en premier . VOUS êtes pourquoi Dieu a pris un
risque et a donné le pardon et l'amour en premier !
Certes, et soyons réalistes, être en première ligne pour pardonner sera effrayant. Il faut un
certain temps pour s'habituer à tout nouveau changement important dans la vie.
Une fois, un passager d'un taxi s'est penché en avant depuis la banquette arrière pour poser
une question au chauffeur de taxi et lui a doucement tapé sur l'épaule pour attirer son
attention.
Le conducteur a crié, a perdu le contrôle de la cabine, a failli heurter un bus, a franchi le

trottoir et s'est arrêté à quelques centimètres d'une grande baie vitrée.
Pendant quelques instants, tout fut silencieux dans la cabine.
Puis, toujours tremblant, le chauffeur a dit : « Ça va ? Je suis vraiment désolé, mais tu m'as
fait peur.
Le passager très secoué s'est excusé auprès du conducteur et a déclaré qu'il ne se rendait pas
compte qu'une simple tape sur l'épaule effraierait autant le conducteur.
Le chauffeur a répondu : "Non, non, c'est moi qui suis désolé, c'est entièrement de ma faute.
Aujourd'hui, c'est mon tout premier jour de conduite de taxi.
Je conduis un corbillard depuis 25 ans.
Si vous ne voulez pas avoir affaire à des êtres humains vivants et respirants, et si les relations
ne comptent pas pour vous, alors vous n'avez pas besoin de faire de changements. Mais si vous
choisissez de vous engager dans une nouvelle façon de vivre avec une dynamique relationnelle
saine, cela va vous effrayer de temps en temps.
Les relations valent le risque du pardon.
Dieu a pris un risque en me pardonnant. Ainsi, je suis pieux chaque fois que je prends un risque
et que je pardonne aux autres. Et vous l'êtes aussi !
Principe numéro deux :

LA VULNÉRABILITÉ PEUT ÊTRE PIEUSE
Je suis fier de faire partie du KO Kickboxing Gym à Westlake Village, avec l'entraîneur Henry,
qui est dans notre église. Nous faisons beaucoup de boxe, beaucoup de coups de pied et
beaucoup d'apprentissage pour nous protéger dans le processus.
La clé est de frapper, tout en se protégeant d'un contre-coup. La clé est de lancer un coup de
poing et de revenir rapidement dans une position défensive.
J'ai également passé plusieurs années en thérapie chrétienne et j'ai dépensé des milliers et
des milliers de dollars pour me reconstruire et guérir émotionnellement. Une partie de ce que
j'ai dû apprendre était l'utilisation de limites appropriées et comment dire NON aux personnes
qui abusent ou blessent les gens.
Psychologiquement, j'ai dû apprendre à me protéger comme je l'ai fait en kickboxing.
J'ai dû venir aux Écritures pour apprendre l'art des relations humaines afin que mes relations
ressemblent aux désirs de Dieu. J'ai dû acquérir la sagesse de savoir quand baisser ma garde,
ouvrir les bras, exposer mon cœur et tenter ma chance avec une personne qui pourrait –
pourrait bien – me blesser .
À partir des Écritures, j'apprends la vulnérabilité appropriée .
Dans le dernier chapitre, nous avons appris la séquence étape par étape qui se produit entre
celui qui blesse ou offense et celui qui est blessé ou offensé. Et nous avons appris comment
celui qui nous blesse doit nous approcher avec une attitude humble avant que le pardon puisse
être complet et scellé.
Partant de là, lorsque nous sommes approchés par une personne affligée qui désire se tourner
vers Dieu et changer ses attitudes et ses actions, c'est le point même où, comme Dieu, nous
faisons preuve de vulnérabilité et de risque.
Voici un visuel : lorsque je suis agressé physiquement, je sais maintenant comment me

protéger et adopter une position défensive. Fermé. Protecteur. Sur ses gardes.
Mais dans une relation, quand on me demande pardon, je dois prendre le risque et m'ouvrir
pour créer un environnement où un vrai et profond pardon peut arriver.
Étirez vos bras grand ouverts. Cela vous semble familier ? C'est la position de Jésus sur la croix.
Après avoir été battu pour des crimes qu'il n'a jamais commis, après avoir été accusé de
blasphème qui n'a jamais eu lieu, après avoir été fouetté et sa barbe arrachée de son visage
et après s'être fait planter des clous dans les mains et les pieds, dans la position la plus
vulnérable de toutes, avec son cœur pleinement exposé, écoutez ce que Jésus a dit.
Père, pardonne-leur. . . (Luc 23:34a)
Dieu ne s'attend pas à ce que nous ne fassions plus jamais de mal quand Il nous pardonne, mais
Il s'attend à ce que nous désirions ne plus jamais faire de mal. Et les gens qui viennent nous
demander pardon, viennent de manière appropriée quand c'est leur désir de ne plus jamais
nous faire de mal.
Quand on demande à Dieu à quel point il nous aime et à quel point il est disposé à pardonner,
il étend les bras et dit : « Ceci ! »
LES RÉCOMPENSES DU PARDON SONT GRANDES
C'est le dernier principe soutenant la quatrième loi du pardon.
Dans l'Ancien Testament, Joseph était le plus jeune de nombreux frères. Ses frères et sœurs
aînés l'ont vendu comme esclave. Pendant des années, il a souffert en tant qu'esclave et a été
emprisonné pendant un certain temps injustement. Sa vie était horrible.
Au fil du temps, Joseph a gagné en renommée et en autorité en Égypte, de sorte que lorsqu'une
famine a frappé le Moyen-Orient, Joseph a été chargé de distribuer toutes les rations
alimentaires pour toute la nation. Dans une famine, la nourriture a plus de valeur que l'or.
Les gens affamés faisaient la queue et racontaient leurs histoires de souffrance. Joseph avait
l'autorité exclusive et la pleine capacité de donner autant ou aussi peu de nourriture qu'il le
décidait. Il détenait beaucoup de pouvoir. Les gens étaient nourris ou envoyés mourir sur son
ordre.
Un jour, un groupe d'hommes affamés s'avança dans la file pour mendier de la nourriture.
Ils étaient familiers. Joseph reconnut les hommes. C'étaient ses frères qui, bien des années
auparavant, l'avaient vendu pour de la monnaie à des marchands d'esclaves.
À ce moment-là, Joseph les a reconnus, mais eux ne l'ont pas reconnu.

Arrêtez-vous un instant et réfléchissez : que feriez-vous ? Joseph aurait pu les faire
emprisonner. Il aurait pu les faire tuer. Il aurait pu les mettre dehors dans la nuit froide et les
laisser mourir de faim.
Finalement, les frères ont pris conscience de l'identité de Joseph. Pouvez-vous imaginer leur
peur et leur dilemme ? Regardez l'histoire se dérouler, alors que les frères envoient un message
à Joseph :
Avant de mourir, votre père nous a demandé de vous dire :
« Je vous en prie, pardonnez à vos frères le grand tort qu'ils vous ont fait...
pour leur péché en vous traitant si cruellement. "Alors on,
les serviteurs
du Dieu de ton père, te prie de pardonner à nos
péché."
Lorsque Joseph a reçu le message, il s'est effondré et a pleuré.
Alors ses frères vinrent et se jetèrent devant Joseph.
"Regardez, nous sommes vos esclaves !" ils ont dit.
Mais Joseph répondit : « N'aie pas peur de moi. Suis-je

Dieu, que je peux te punir ? Tu avais l'intention de me faire du mal, mais Dieu a tout
voulu pour le bien. Il m'a amené à
cette position afin que je puisse sauver la vie de nombreuses personnes. Non, ne fais
pas
avoir peur.
Je continuerai à prendre soin de vous et de vos enfants.
Alors il les rassura en leur parlant gentiment. (Genèse 50:16-21)
Le pardon. Gentillesse . Risque. Récompense. Par le pardon, Joseph a reconquis ses frères.
Dans Matthieu 18:15, les enseignements de Jésus ont renforcé cela : « Si un autre croyant
pèche contre vous, allez en privé et signalez l'offense. Si l'autre personne écoute et l'avoue,
vous avez reconquis cette personne.
Retrouver son frère, retrouver un ancien meilleur ami, retrouver son conjoint ou son enfant...
retrouver une relation autrefois précieuse est la GRANDE récompense du pardon.
Je connais un homme qui, il y a plus de vingt ans, soupçonnait sa femme d'avoir une liaison.
Il a suivi ses soupçons et le scénario était pire que prévu. Il a découvert qu'elle trichait avec
son propre frère. Pouvez-vous imaginer le sentiment de trahison d'avoir été trompé à la fois
par sa femme et son frère ?
Il était dévasté. La famille était brisée. Et le pire est devenu pire. Sa femme est partie et a
finalement épousé son frère.
Au fil du temps, cet homme s'est remarié, a eu une douce famille avec sa nouvelle épouse,
mais bien plus merveilleusement - et si jamais vous voulez un miracle des temps modernes,
c'en est un - lui et son frère se sont réconciliés grâce au pouvoir du Christ et au pouvoir du
pardon. .
Aujourd'hui, les deux familles célèbrent les fêtes ensemble. Ils vont à l'église ensemble. Leurs
enfants sont aussi bien amis que cousins. C'est presque incroyable.
Imaginez ce même pouvoir de pardon dans votre vie, dans votre situation, dans votre cœur et
dans vos relations. Pouvez-vous imaginer la récompense d'une famille autrefois décimée et
fracturée, maintenant guérie et unie ?
Certains qui lisent ce chapitre pensent : JE NE POURRAI JAMAIS FAIRE ÇA. J'ai ressenti ça aussi.
Mais ensuite je me souviens que ce n'est pas seulement mon pouvoir qui entre en jeu, mais le
pouvoir du maître qui pardonne ; la puissance de Celui qui a créé l'univers et la puissance de
Celui qui a ressuscité le Messie d'entre les morts. Ce même pouvoir existe pour TOUS ceux qui
L'aiment et Lui obéissent.
Avec sa puissance à l'œuvre en vous, vous pouvez vous aussi prendre le risque, ouvrir vos bras,
exposer votre cœur et profiter des riches récompenses que le pardon apporte.
Si nous résumons nos lois de pardon, nous voyons qu'elles remontent toutes à Dieu. Ils
remontent tous à notre Sauveur, à Celui qui nous a aimés le premier, qui a choisi de privilégier
le pardon en mourant à notre place.
Il a pris le risque, il a pris les clous, il a ouvert ses bras et son cœur et nous a aimés avec
vulnérabilité. Et Il l'a fait parce qu'Il a déterminé que la récompense d'avoir une relation avec
nous en valait la peine .
Décidez avec Son aide de baser votre vie sur le pardon qui vous est accordé. Rappelez-vous
clairement à quel point il est maintenant nécessaire de partager ce genre de pardon risqué et
vulnérable avec les autres. Avancez d'un pas. Prendre le risque. Les récompenses du pardon
en valent tellement la peine.
RÉSUMÉ:
LA QUATRIÈME LOI DU PARDON – Risque et récompense

DES PRINCIPES:
1. LE RISQUE PEUT ÊTRE DIEU
2. LA VULNÉRABILITÉ PEUT ÊTRE PIEUSE
3. LES RÉCOMPENSES DU PARDON SONT GRANDES
1. Énumérez les risques associés au fait de pardonner à quelqu'un qui vous fait du mal.
2. Vous n'avez pas besoin d'être un artiste pour tenter cet exercice suivant. Dessinez une
image de Jésus sur la croix avec les bras tendus et vulnérables. Maintenant, dessinez une
image qui reflète votre vulnérabilité actuelle et votre ouverture à pardonner. À quel point
les deux images sont-elles similaires ?
3. Bien qu'il puisse être difficile d'imaginer les récompenses du pardon, veuillez énumérer
les récompenses et utiliser cette liste comme une prière pour que Dieu crée en vous un
désir pour chacun.
annexe
La question la plus fréquemment posée que j'ai reçue est la suivante : que se passe-t-il si la
personne ne demande jamais pardon OU ne réalise pas qu'elle en a besoin ?
Imaginez avec moi la métaphore selon laquelle le pardon est un don. Avant qu'un cadeau ne
soit offert, il y a un travail interne qui doit se produire dans votre cœur. Vous devez venir à
un endroit où vous désirez offrir le cadeau d'un endroit sincère.
Une fois que le désir est là de faire le cadeau, alors, un prix doit être payé. Dans un sens
spirituel, il n'y a pas de pardon sans que quelqu'un en paie le prix. Le sacrifice et le pardon
vont de pair. Ils coexistent.
Dans le processus où vous vous préparez à pardonner à une autre personne, à lui offrir ce
cadeau, vous devez commencer à payer le prix du cadeau. Vous en payez le prix en renonçant
à votre besoin ou désir de vengeance (et votre cœur s'allège un peu). Vous payez le prix de
ne plus garder rancune, d'alimenter l'amertume ou de rejouer le mal encore et encore dans
votre esprit.
Ce qui commence à se produire en vous, c'est la liberté. Ce que vous commencez à
expérimenter, ce sont les premières étapes de la guérison.
Certaines personnes paient ce prix sur le plan de versement. Ils ne peuvent se résoudre à tout
faire d'un coup, alors ils "lâchent" leurs droits, ils déposent leurs justifications et paient petit
à petit le prix du don.
Tout cela peut être accompli avant même qu'une autre personne ne soit consciente de la
douleur qu'elle a infligée, du mal qu'elle a fait ou de la déception qu'elle a causée. Cette
partie du processus se produit en vous et dans votre propre cheminement spirituel.
Une fois le cadeau « payé », quelque chose de beau se produit. Le cadeau est maintenant prêt
dans votre cœur. C'est comme si le cadeau était maintenant emballé et assis à cet endroit où
autrefois il n'y avait que de la douleur. Dans cet espace en vous où il y avait une blessure,
maintenant se trouve ce don.
Maintenant, imaginez que vous atteignez votre cœur, prenez le cadeau entre vos mains et
étendez ce cadeau en direction d'un autre.
Arrêtez-vous à ce stade et considérez ceci : tous les avantages qui découlent du fait de
pardonner à une autre personne sont DÉJÀ vôtres à ce stade. La guérison a transpiré, une
légèreté d'âme a remplacé une ancienne lourdeur, et vous êtes dans un endroit plus paisible
avec Dieu et avec vous-même. Cela s'est produit avant qu'une personne n'admette ses torts ou
ne vous demande de lui pardonner.
Maintenant, nous revenons à l'image de vous offrant un cadeau à la personne qui vous a fait
du mal, vous a fait du tort ou vous a déçu. Que se passe-t-il s'ils ne viennent jamais à vous
pour chercher le cadeau ? Et s'ils ne reconnaissent jamais le mal qu'ils ont fait ou n'admettent
pas le pardon dont ils ont besoin ?
La bonne nouvelle est que vous avez déjà fait tout le nécessaire pour leur pardonner s'ils vous
le demandent. Et, vous profitez déjà des bénédictions du pardon dans votre vie.
Comme un cadeau joliment emballé qui a été acheté à un prix très élevé, vous aurez le cadeau
prêt pour eux, afin qu'eux aussi puissent profiter de la bénédiction du cadeau et des bienfaits
du pardon. Jusque-là, ils ne sont pas pardonnés. Cela se produit au moment où ils
reconnaissent leur besoin d'être pardonnés et vous le demandent.
En attendant, vous avez déjà les bénédictions et vous appréciez déjà les avantages du 'cadeau.'
La majeure partie de ce processus concerne vraiment votre cœur et le mien ; il s'agit de nos
attitudes, de notre travail, de notre processus et de notre volonté de nous libérer d'un passé
douloureux. Il s'agit de notre volonté de commencer une vie en avançant vers l'avenir béni
que Dieu attend pour chacun de nous.
Notes de fin
Chapitre 1. La première loi du pardon : besoin et disponibilité

1.David Williams, "Les hommes gaspillent 2 000 £ en carburant lorsqu'ils sont perdus",
Telegraph.co.uk - Telegraph Online, Daily Telegraph et
Télégraphe du dimanche - Télégraphe. Le Télégraphe , 24 août,
2010, Internet. 18 septembre 2011,
http://www.telegraph.co.uk/motoring/news/7960150/Menwaste-2000-in-fuel-while-
lost.html .
Chapitre 3. La troisième loi du pardon : recevoir et donner
"Les avantages du pardon incluent un véritable soulagement du stress", Gentle
2.
Conseils de soulagement du stress pour la paix, la santé et le bonheur ,

GentleStressRelease.Com, Web. 18 septembre 2011,
http://www.gentle-stress-relief.com/benefits-offorgiveness.html .

Les 4 Lois Du Pardon - Brad Johnson

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LES QUATRE LOIS

Comment se pardonner et pardonner aux autres

Copyright © 2011 par le Dr Brad S. Johnson.

Les quatre lois du pardon par le Dr Brad S. Johnson

Tous droits réservés

Publié aux États-Unis par BSJ Publishing

Conception de la couverture par BSJ Publishing

Numéro de contrôle de la Bibliothèque du Congrès : 2011943900

Chapitre 1. La première loi du pardon—

Peu d'idées nous font trembler comme le sujet du pardon.

Considérez la fable du porc-épic :

C'est l'histoire du pardon.

"Je n'ai jamais tué personne."

"Je n'ai jamais fait de mal à un enfant."

"Je n'ai jamais cambriolé une banque ou vendu de la drogue."

Seriez-vous d'accord, nous serions tous en difficulté à ce moment-là ?

Principe numéro deux :

DIEU VEUT PARDONNER

Plus important encore, la Bible enseigne la même vérité.

O Seigneur, tu es si bon, si prêt à pardonner, si plein d'amour

LE PARDON EST ACCESSIBLE A TOUS

Humiliez -vous devant le Seigneur,

Je bénirai ceux qui ont un cœur humble et contrit ,

Après une humble Admission et une Contrition sincère,

Finalement, le camion a manqué d'essence et s'est immobilisé. Le patrouilleur s'est approché

"Oui." Le camionneur a répondu.

"Avez-vous entendu ma sirène et m'avez-vous entendu sur le haut-parleur vous demandant de

"Oui." Le camionneur a encore répondu.

« Alors pourquoi ne t'es-tu pas arrêté ? demanda le patrouilleur.

Dans Luc 24 :47, Jésus dit à ses disciples :

LA PREMIÈRE LOI DU PARDON - Besoin et disponibilité

Chapitre 2. La deuxième loi du pardon : le paiement et la paix

J'ai de bonnes nouvelles.

Il a dit : « Je cherche mes clés de voiture.

L'autre gars a demandé: "Où les as-tu perdus?"

L'ivrogne a dit: "Là-bas dans le parking."

Alors l'homme a demandé: "Alors tu regardes par ici?"

L'ivrogne a dit : "Parce qu'il y a plus de lumière ici."

Voici les principes de cette seconde loi :

MANGER. JOUER. APPRÉCIER.

Que pensez-vous que les gens ont fait?

"PLUS FORT . . . PLUS FORT . . . PLUS FORT . . . .” Poe écrit.

Et si être bon ne suffisait pas ?

Hypothétiquement, même si nous pouvions vivre parfaitement à partir de ce jour, nous ne

Revoyez le premier principe : POUR FAIRE LA PAIX AVEC LA HONTE, LE REGRET ET LA

Alors que les cieux proclament sa justice,

Afin de comprendre le lien entre le sacrifice et le pardon maintenant, il faut comprendre ce

Quelqu'un devait payer.

Ce jour-là, le Souverain Sacrificateur - et le seul Souverain Sacrificateur et seulement ce jour-

Pensez au mot ATONE .

Dans Jean 1 : 36, la Bible appelle Jésus-Christ « l' agneau de Dieu ».

C'est la voie de l'Ancien Testament, appelée l'Ancienne Alliance ou l'ancien accord.

Rappelez-vous, principe un : FAIRE LA PAIX AVEC LE PASSÉ

Le principe numéro deux stipule :

Le principe suivant vous permet de décrocher ; il donne la permission d'arrêter de se battre

Votre passé vous réprimande avec :

"Tu ne mérites pas le bonheur."

"Dieu ne vous aidera pas."

"Regardez combien de personnes vous avez blessées et déçues."

Il n'y a qu'un seul moyen de vaincre l'agresseur. L'agresseur doit mourir.

Oh, quelle joie pour ceux dont la désobéissance est

LA DEUXIÈME LOI DU PARDON—Paiement et Paix PRINCIPES :

Chapitre 3. La troisième loi du pardon—Recevoir et Donner