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ETUDE ET MISE EN PLACE D’UN SYSTEME DE VIDEOSURVEILLANCE

DEDICACE

Je dédie ce
travail à
ma famille

©TCHILEPECK TAGUETSOP Jospin, étudiant en 2ième Année option Systèmes et Réseaux IAI
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Cameroun, Centre D’excellence Technologique Paul Biya
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REMERCIEMENTS

La réalisation d’une œuvre intellectuelle poussée n’étant pas le fruit d’un effort personnel : raison pour
laquelle nous souhaitons exprimer nos sincères remerciements à ceux qui de près ou de loin, ont
contribué à l’obtention de ce chef-d’œuvre. Nous pensons notamment à :

 M. Armand Claude ABANDA, Représentant Résident de l’IAI-Cameroun, Centre


d’Excellence Technologique Paul BIYA, pour les efforts fournis dans la mise à notre
disposition des meilleures conditions scolaires.
 Mme Olivia FOFIE, Chef de Centre du Centre Informatique de Douala, pour son suivi
pédagogique tout au long de nos deux années de formation.
 M. Isidore DZANA, mon encadreur académique pour son accompagnement tant technique,
que moral à la réalisation d’un travail de dur labeur comme le présent.
 M. Tassa HYPPOLITE, mon encadreur professionnel pour son accompagnement tant
technique que professionnel à la réalisation de notre travail et à l’expérience qu’il nous a
permis d’acquérir au sein de son entreprise.
 M. Gabriel BELINGA, mon professeur pour sa dévotion, son apport constant et la
pragmatique de ses conseils.
 M. Albert Login AVINA MANY, mon professeur pour ses encouragement, ses conseils, son
soutien et son apport constant en cers nous les étudiants.
 A tout le personnel de MULTIPLEX SARL pour leur accompagnement et encouragement
durant cette période
 A tout le corps administratif et professoral de l’IAI-Cameroun, Centre de Douala.
 A tous mes camarades de promotion, qui malgré tous les difficultés rencontré durant ces deux
années ont su garder cette esprit de famille et d’entre aide entre nous
 A ma famille dont le soutien moral, financier et autres ne saurait être quantifié,
particulièrement ma mère Mme NONGNI ODETTE Azine Flore qui a été et continu d’être
une boussole pour moi.

Et à tous ceux qui d’une manière ou d’une autre, ont participé à l’élaboration de ce travail.

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Liste des abréviations

- IAI : Institut Africain d’Informatique


- IP : Internet Protocol
- CMOS : Complementary Metal Oxyde Semi-Conductor
- NTSC : National Television System Comittee
- PAL : Phase Alternation by Line
- MPEG : Motion Picture Expert Group
- NVR : Network Video Recorder
- DVR : Digital Video Recorder
- SMTP : Simple Mail Transfert Protocol
- SAN : Storage Area Network
- RAM : Random Access Memory
- PC : Personal Computer
- LGM : Le Glacier Moderne
- LAN : Local Area Network
- WAN : Wirless Area Network
- FTP : File Transfert Protocol
- PTZ :
- CCD : Couple Charge Device
- GIF : Graphics Interface Format
- JPEG : Joint Photographic Expert Group
- CIF :
- VGA : Video Graphic Array
- QVGA : Quart Video Graphic Array
- CCTV :
- RAID : Redundant Array of Inexpensive Disks
- NIC : Carte d’Interface Réseau
- POE : Power Over Ethernet
- ASCAM :
- HDMI : High Definition Multimedia Interface
- SATA : Serial Advanced Technology
- MP: Méga Pixel
- USB : Universal Serial Box
- IR : Infra Rouge
- DNR : Réduction du bruit numérique
- SMTP : Simple Mail Transfert Protocol

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RESUME

Pendant la période de temps réservée chaque année au stage académique que nous avons
eu à effectuer dans la société MULTIPLEX SARL. Nous avons eu à réaliser plusieurs tâches
relatives à notre formation. Nous pouvons citer entre autres la réparation de PC, la
réinitialisation des systèmes d’exploitation et aussi la maintenance des serveurs de données.
Tout ceci s’est déroulé dans de bonnes conditions, ce qui nous a permis d’avoir de très bons
résultats et d’acquérir plus d’expérience. Ce pendant la tâche principale que nous devions
accomplir dans le cadre de notre stage était l’installation d’un système de vidéosurveillance à
la direction technique de l’entreprise. Après avoir présenté les systèmes de vidéosurveillance
dans leur majorité, nous allons faire part de l’installation et la configuration d’un système de
vidéosurveillance.

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ABSTRACT

During the period of time reserved each year for the academic internship that we had
to carry out in the company MULTIPLEX SARL. We had to carry out several tasks relating to
our training. We can cite among others the repair of PC, the initialization of the operating
systems and also the maintenance of the data servers. All this took place in good conditions,
which allowed us to have very good results and to gain more experience. This during the main
task that we had to accomplish within the framework of our scene was the installation of a video
surveillance system to the technical direction of the company. After having presented the
majority of video surveillance systems, we will be part of the installation and configuration of
a video surveillance system.

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SOMMAIRE

DEDICACE............................................................................................................................................ 1
REMERCIEMENTS ............................................................................................................................. 2
Liste des abréviations ............................................................................................................................ 3
RESUME ................................................................................................................................................ 4
ABSTRACT ........................................................................................................................................... 5
SOMMAIRE.............................................................................................................................................. 6
LISTE DES TABLEAUX ..................................................................................................................... 8
TABLE DES ILLUSTRATIONS ......................................................................................................... 9
Introduction générale .......................................................................................................................... 10
DOSSIER D’INSERTION .................................................................................................................. 11
Introduction ......................................................................................................................................... 12
I. ACCUEIL DANS L’ENTREPRISE ......................................................................................... 12
II. PRESENTATION DE LA STRUCTURE ................................................................................ 12
III. PRESENTATION DE MULTIPLEX SARL ........................................................................ 13
IV. Environnement matériel et logiciel ....................................................................................... 15
CONCLUSION .................................................................................................................................... 17
DOSSIER TECHNIQUE .................................................................................................................... 18
ETUDE GENERAL DES RESEAUX INFORMATIQUES ............................................................ 19
I. PRESENTATION DU PROJET ............................................................................................... 19
GENERALITE SUR LA VIDEOSURVEILLANCE ....................................................................... 23
I. Les systèmes de vidéosurveillance ................................................................................................ 24
II. Production d’images ...................................................................................................................... 26
III. Compression .............................................................................................................................. 27
IV. Gestion vidéo............................................................................................................................. 33
V. Les techniques réseaux IP ............................................................................................................. 34
VI. Autres fonctionnalités ............................................................................................................... 34
VII. Domaines d’application de la vidéosurveillance ....................................................................... 37
VIII. Evolution de la vidéosurveillance ............................................................................................. 37

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EXEMPLES DE SYSTEMES DE VIDEOSURVEILLANCE ............................................................. 39


I. Système de vidéosurveillance analogique avec magnétoscope traditionnels ................................ 40
II. Système de vidéosurveillance analogique avec enregistreur numérique ....................................... 40
III. Système de vidéosurveillance analogique avec enregistreur réseau.......................................... 41
IV. Système de vidéosurveillance sur IP avec serveur vidéo .......................................................... 41
V. Système de vidéosurveillance sur IP avec caméras réseau ............................................................ 42
 EXEMPLES DE QUELQUES SYSTEMES EXISTANTS ...................................................... 42
PHASE PRATIQUE : CAS D’UN NVR PROLYNX PL-IPB777 ................................................... 45
I. Analyse du besoin ................................................................................... Erreur ! Signet non défini.
ANNEXE .............................................................................................................................................. 63

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LISTE DES TABLEAUX

Tableau 1 : Caractéristiques des terminaux utilisés à MULTIPLEX


Tableau 2 : Les équipements réseaux
Tableau 3 : Liste des intervenants
Tableau 4 : Ressources logicielles
Tableau 5 : Coût total du projet

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TABLE DES ILLUSTRATIONS

Figure 1 : Organigramme de la structure


Figure 2 : Plan de localisation de MULTIPLEX SARL
Figure 3 : Structure d’un système analogique
Figure 4 : Stockage déporté
Figure 5 : Système analogique/IP
Figure 6 : CMOS
Figure 7 : Résolution NTSC et PAL
Figure 8 : Résolution MPEG
Figure 9 : Stockage embarqué
Figure 10 : Stockage déporté
Figure 11 : Utilisation des entrées/sorties numériques – une caméra réseau reliée à un contact pour
porte/fenêtre ou à un système d’alarme
Figure 12 : Vidéosurveillance avec magnétoscope traditionnel
Figure 13 : Vidéosurveillance avec enregistreur numérique
Figure 14 : Vidéosurveillance avec enregistreur réseau
Figure 15 : Vidéosurveillance avec serveur vidéo
Figure 16 : Vidéosurveillance IP avec caméras réseau
Figure 17 : NVR PROLYNX
Figure 18 : Caméra IP
Figure 19 : Adressage réseau
Figure 20 : Paramétrage SMTP
Figure 21 : Fenêtre de gestion des utilisateurs
Figure 22 : Logiciel Perfect IP Camera Recorder
Figure 23 : Fenêtre de connexion via l’interface web du NVR
Figure 24 : Visionnage via l’interface web

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Introduction générale

La vidéosurveillance consiste à placer des caméras de surveillance dans un lieu public


ou privé et de recevoir le flux vidéo sur un PC localement ou à distance en vue d’augmenter le
niveau de sécurité. Les causes de l’installation de système de vidéosurveillance sont diverses,
toute fois la sécurité public ainsi que la protection des biens mobilier ou immobilier font office
d’élément phares dans la justification de la vidéosurveillance. L’industrie de la
vidéosurveillance englobe aujourd’hui toute une variété de système et d’équipements de
surveillance et de protection des personnes et des biens. Une vidéosurveillance performante
c’est une solution contre le vol à l’étalage, en cas de cambriolage… et une certaine tranquillité
les nuits de garde. Mais qu’est-ce qu’une vidéosurveillance efficace ? Et comment le système
fonctionne-t-il techniquement ? Cela fera l’objet de la première partie de notre étude et ensuite
nous ferons part de la mise en place d’un exemple de système de vidéosurveillance.

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DOSSIER D’INSERTION

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Introduction

Le rapport d’insertion est un document qui présente brièvement les processus d’intégration des
stagiaires au sein des structures hôtes. Suivant le canevas prescrit dans notre cahier de charges, nous
parlerons de l’accueil qui nous a été réservé à MULTIPLEX SARL et ferons ensuite une présentation
de cette structure.

I. ACCUEIL DANS L’ENTREPRISE

Arrivés dans les locaux de MULTIPLEX le 07 Juillet 2021, nous avons été reçus par M. TASSA
Hyppolite (Directeur Général) qui nous a fait une brève présentation de l’entreprise et des attentes de
l’entreprise, ensuite il nous à confier à M. Loumou Armand (Technicien de l’entreprise) qui s’est chargé
de nous faire visiter les locaux et de nous présenter au personnel. Nous avons ainsi pu parcourir
l’ensemble des services et découvrir certains équipements. Nous pouvons dire en somme que l’accueil
qui nous a été réservé était très chaleureux.

II. PRESENTATION DE LA STRUCTURE

1. Historique

Entreprise de droit Camerounais ayant plus de 10 années d’expérience, MULTIPLEX SARL a


été créée par Monsieur TASSA Hyppolite et organise ses activités dans l’informatique, l’électronique
et la télécommunication ; la fourniture du matériel, des accessoires, des consommables et des services
informatiques et électroniques.

2. Mission

MULTIPLEX SARL crée depuis plus de 10 ans maintenant a pour principale but l’alignement de
l’outil informatique à plus d’une vingtaine de clients en Afrique répartis sur différents sites Offshore et

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Onshore dans la sous-région sur sa stratégie de production, sa performance, ainsi que sa rentabilité et
surtout son efficacité.

III. PRESENTATION DE MULTIPLEX SARL

1. Activités de MULTIPLEX

Dans le cadre de nos prestations, nous vous proposons de nombreux services à savoir :
 L’analyse des besoins, les conseils et la définition de l’architecture de l’infrastructure
appropriée
 La conception et l’implémentation des solutions réseaux
 Maintenance des serveurs et systèmes serveurs (sauvegardes, sécurité, la mise à jour
système et matériel etc….)
 Assistance à distance (prise de contrôle et maintenance des postes à distance)
 Implémentation des systèmes de stockage de type « SAN STORAGE »
 La virtualisation des serveurs et postes de travail
 La vente des consommables et du matériel informatique

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2. Organigramme de la structure

Figure 1 : Organigramme de la structure

Multiplex dont le siège est à Douala est constitué de 5 services qui vont de la direction générale
au bureau de la comptabilité. Elle est composée :

 La direction générale : Avec à sa tête le directeur général Monsieur TASSA Hyppolite, il est
le superviseur général et dirige l’ensemble des services.

 Le service technique dirigé par Monsieur YOMKIL Salomon et la logistique par Monsieur
Armand LOUMOU, ils sont chargé de la maintenance et de la fourniture des équipements au
sein de l’entreprise

 Le service commerciale et Marketing géré par Madame TCHANTCHOUA Yolande

 La Comptabilité est supervisée par Monsieur DAPNET Francky

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 Les Partenaires et agents extérieurs

3. Plan de localisation

L’entreprise MULTIPLEX SARL est située au quartier Akwa, en plein centre de la ville de
Douala juste en face de la direction générale de MTN. Le plan ci-dessous est une localisation
schématique de son emplacement, siège dans lequel nous sommes amenés à suivre notre stage :

Figure 2 : Plan de localisation de MULTIPLEX

IV. Environnement matériel et logiciel


1. Caractéristiques des postes

Tableau 1 : caractéristiques des terminaux utilisés à MULTIPLEX

Mémoire RAM Capacité disque Dur Caractéristiques Marque


processeur

2 Go 128 Go 1.60 HP

2. Ressources logicielles

Il existe au sein de MULTIPLEX deux grands groupes de logiciels :


 Les systèmes d’exploitation : Windows 10
 Les logiciels d’application :

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3. Environnement Réseau

Tableau 2 : Les équipements réseaux

EQUIPEMENTS MODELE OBSERVATIONS


Serveur HP Cisco C3KX-NM-1G Opérationnel
ProLiant DL380p Gen8
Switch Opérationnel
Modem Camtel Opérationnel
Routeur Cisco Opérationnel

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CONCLUSION

En somme, cette période d’insertion nous a permis de nous familiariser avec l’environnement
de l’entreprise et de tous ces membres. Dans cette partie, nous avons présenté l’organisme
d’accueil et ses domaines de travail, puis nous avons défini le domaine dans lequel il exerce.
Force est pour nous de noter qu’il existe une bonne collaboration entre le personnel de
l’entreprise. Les objectifs de l’Institut Africaine d’Informatique à savoir, l’intégration en milieu
professionnel et la restitution en entreprise des connaissances acquises tout au long de l’année,
pourront être atteints. Vu notre environnement de travail tel qu’il existe aujourd’hui, nous
pouvons aborder en toute quiétude la deuxième partie de notre étude à savoir « l’analyse du
système d’information » et ce, grâce à la disponibilité du directeur général.

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DOSSIER TECHNIQUE

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ETUDE GENERAL DES


RESEAUX INFORMATIQUES

Notre période d’insertion étant terminée, nous passons à la rédaction du cahier de charge puis
à la généralité, afin de présenter les besoins et exigences de la structure liée à notre thème.

I. PRESENTATION DU PROJET
Notre projet consiste à faire une étude complète du kit de caméra de surveillance PROLYNX
qui nous a été fourni et de procédé à sa mise en place. Cette étude commence tout d’abord par l’étude
de tout le matériel à notre disposition (les caméras, le NVR, etc…..) et en suite par la mise en fonction
du matériel ainsi que sa configuration et enfin l’accès à distance aux images.

1. Contexte
La vidéosurveillance consiste à placer des caméras de surveillance dans un lieu public ou privé
et de recevoir le flux vidéo sur un PC localement ou à distance en vue d'augmenter le niveau de
sécurité. Les causes de l'installation de systèmes de vidéosurveillance sont diverses, toutefois la
sécurité publique ainsi que la protection des biens mobiliers ou immobiliers font office d'éléments
phares dans la justification de la vidéosurveillance.

2. Etude de l’existant

Situé en plein Douala tout prêt du Glacier Moderne (LGM) dans le quartier Akwa, Rue
Franqueville, se situe les locaux qui servent de direction technique de l’entreprise MULTIPLEX
SARL.
Au vu des antécédents « malfamés » de ce quartier, nous avons trouvé bon de mettre en place
un maximum de mesure de sécurité afin de fournir un service de qualité nos clients et une certaine
assurance et protection tant en vers nous, qu’avec tous le matériel que nous conservons dans ces
locaux. Au nombre de ces mesures de sécurité figure la Vidéosurveillance.

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3. Critique de l’existant
Le système de vidéosurveillance en place présente de nombreux disfonctionnement tels que :
- La non sauvegarde automatique des images
- La non accessibilité à distance aux images des caméras
- La suppression rapide des images enregistrées (après 03 jours)
- La mauvaise configuration du DVR en place

4. Problématique

La vidéosurveillance est devenue courante dans la vie de tous les jours et chacun voudrait bien
pouvoir garder un œil sur ces biens, lorsqu’on est par exemple au travail. Or, les solutions proposées
aujourd’hui notamment avec les caméras analogique sont très moins chers et à al porté de tout le
monde mais ne sont malheureusement pas très efficace. Donc, il nous a paru intéressant de mettre en
place une vidéosurveillance en utilisant des caméras IP, ce qui bien vrai est un moyen très couteux que
les caméras analogique mais garantissent au maximum une plus grande sécurité. De ce fait, si la
sécurité des biens préoccupe de plus en plus les entreprises et les ménages, comment mettre en place
un système de vidéosurveillance aussi performant ??

5. Objectifs
a) Objectifs généraux

Le point focal de notre entreprise est la revente de matériaux informatiques aux grandes
entreprises de la place, de ce fait nous possédons un stock de matériaux assez conséquent. Les raisons
de l’installation de système de vidéosurveillance sont diverses, toute fois la sécurité publique ainsi que
la protection des biens mobiliers ou immobiliers font office d’éléments phares dans la justification de
la vidéosurveillance.

b) Objectifs spécifiques
Les buts intrinsèques liés au développement de ce projet sont :
 Assurer la sécurité des appareils en stock
 Assurer la sécurité du personnel
 Assurer la sécurité de l’entreprise

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6. Les acteurs du projet

Tableau 3 : liste des intervenants

ACTEURS FONCTIONS ROLE


TCHILEPECK TAGUETSOP Réalisateur Stagiaire
JOSPIN
M. TASSA HYPPOLITE Encadreur professionnel Maitre d’ouvrage
M. ISIDORE NDZANA Encadreur académique Enseignant à l’IAI
CAMEROUN

7. Planification du projet

8. Evaluation financière
La réalisation du projet mis en place nécessite du temps et des finances. Elle peut être réalisée en six
(06) semaines par un ingénieur des travaux informatiques à compter de la date de signature du contrat.
Cependant, le contractant disposera d’une durée de deux (02) semaines pour la réalisation des travaux
de montage de la vidéosurveillance sur le site.
Pour la réalisation de ce projet, nous avons besoins d’un kit complet de vidéosurveillance PROLYNX
dont le prix est estimé à près de 500 000 (Cinq cent mille) franc, d’un technicien qui sera chargé
d’effectuer la mise place et donc ses frais s’élève à près de 100 000 (cent mille) franc et d’autre
équipement supplémentaire. Les tableaux ci-après représentent tous ceux dont nous aurons besoin :

Tableau 4 : Ressources logicielles

Logiciels Version Prix (FCFA) Rôle


Windows 7,8 et 10 Gratuit Système d’exploitation

Perfect IP Recorder Gratuit Logiciel permettant


l’accès en temps réel
aux images via internet
PSV Gratuit Logiciel permettant la
visualisation des
images via votre
Smartphone

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Tableau 5 : Coût total du projet


Ressources matérielles Quantité Coût
Caméra extérieur 01
Caméras intérieurs 03
Unité d’enregistrement(NVR) 01
Ecran 02 45 000 FCFA
Adaptateurs pour les prises 05 25 000 FCFA
Ressources humaine
Technicien 02 100 000 FCFA
Total général 670 000 FCFA

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GENERALITE SUR LA VIDEOSURVEILLANCE

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I. Les systèmes de vidéosurveillance


Les systèmes de vidéosurveillance obéissent presque tous à un même schéma de base englobent tout un
ensemble d’équipement orientes sécurité et peuvent être répartie en trois (03) grands groupes :
 Les systèmes de vidéosurveillance analogique
 Les systèmes de vidéosurveillance IP
 Les systèmes « hybrides »

1. Les systèmes analogiques

Figure 3 : Structure d’un système analogique

A leur début les systèmes de vidéosurveillance était entièrement analogiques c’est-à-dire que
la transmission se faisait comme celle des signaux de télé.
Les systèmes de vidéosurveillance analogique utilisent des caméras vidéos analogiques avec
sorties coaxiale. Pour visualiser les images dans de tels systèmes, on connecte un moniteur
directement sur la caméra via sa sortie coaxiale. Sur cette même sortie un magnétoscope peut
être branché pour enregistrer les images. Les caméras analogiques sont des caméras équipées
d’une connexion coaxiale et qui diffusent tel quel les images qu’elles captent.

2. La vidéosurveillance sur IP

Figure 4 : Stockage déporté

La vidéo sur IP souvent appelée IP-Surveillance, est un système permettant à ses utilisateurs de
visualiser et d’enregistrer des images via un réseau IP (LAN/WAN/Internet).

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A la différence des systèmes analogique, la vidéo sur IP utilise le réseau informatique plutôt qu’un
système de câblage point à point pour transmettre les informations. Le terme vidéo sur IP englobe à la
fois les sources vidéo et audio véhiculées par les systèmes. Dans une application de vidéo sur IP, les
flux d’images vidéo numériques peuvent être transférés n’ importe où dans le monde via un réseau IP
sécurisé, câblé ou sans fil, permettant une visualisation et un enregistrement vidéo en tout point du
réseau.
La vidéo sur IP permet aux utilisateurs d’obtenir en tout instant et en tout lieu des informations sur une
opération en cours, et de la suivre en temps réel. Cette caractéristique en fait une technologie idéale pour
assurer le contrôle des installations, des personnes et des locaux, sur place ou à distance comme le
contrôle de la circulation, le contrôle des lignes de production ou le contrôle des points de vente.
Divers outils sont généralement utilisés dans ce type de système :
- Les caméras réseaux
Une caméra réseau peut être définie comme l’association d’une caméra et d’un ordinateur. Elle capte et
transmet des images en direct sur un réseau IP, ce qui permet aux utilisateurs autorisés de suivre en local
ou à distance, d’enregistrer et de gérer la vidéo à l’aide d’une infrastructure réseau IP standard.
Une caméra réseau possède sa propre adresse IP. Connecté au réseau, elle intègre notamment un serveur
web, un client FTP, un client e-mail, la gestion d’alarmes, des possibilités de programmation, et bien
plus encore. Une caméra réseau n’a pas besoin d’être connecté à un PC : elle fonctionne de façon
indépendante et peut être installé en tout lieu disposant d’une connexion au réseau IP.
Outre ses fonctions vidéo, la caméra réseau possède bien d’autres fonctions permettant la transmission
d’autre type d’information via la même connexion réseau : entrées et sorties numérique, audio, ports
série pour des données série ou mécanismes de contrôle des mouvements en
panoramique/inclinaison/zoom.
Ces dernières années, les caméra réseau ont rattrapé la technologie analogique et répondent aujourd’hui
aux mêmes exigences et spécifications. Les caméras réseaux ont même dépassé les caméras analogiques
en termes de performance, grâce à l’intégration d’un ensemble de fonctions avancées, que nous
évoquerons plus loin.

- Les logiciels de gestion vidéo


Un logiciel de gestion vidéo fonctionnant sur un serveur Windows ou Unix/Linux est un outil qui
permet de gérer les images vidéo, de les analyser et de les enregistrer. Tout un ensemble de logiciel
permettent de répondre aux demandent des utilisateurs. Pour la plupart des applications vidéo, un
navigateur web standard assure l’affichage de la vidéo via l’interface web intégrée à la caméra réseau
ou au serveur vidéo et sera suffisant si le système ne comprend qu’un nombre restreint de caméras.
Pour visualiser simultanément plusieurs caméras, un logiciel de gestion vidéo spécifique est nécessaire.
Sous leur forme la plus simple, ces logiciels permettent l’affichage en direct, l’enregistrement et la
consultation des séquences vidéo. Les versions les plus élaborées englobent par exemple les fonctions
suivantes :
 Affichage et enregistrement simultané des séquences directes en provenance de plusieurs
caméras
 Différents mode d’enregistrement : continu, planifié, détection des alarmes et des
mouvements
 Prise en charge de fréquences d’image élevées et des données en grandes quantités

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 Fonction de recherche multiple des séquences enregistrées


 Possibilité d’accès distant via un navigateur web, une application cliente ou même un PDA
Contrôle des caméras PTZ et dôme
 Fonction de gestion des alarmes (alarmes sonores, message affichés ou e-mail) Support audio
duplex en temps réel

3. Les systèmes « analogique/IP »


Les systèmes mentionnés ici sont des systèmes réunissant des systèmes analogiques et des réseaux IP.
Ceci permet par exemple d’étendre un système analogique à fin de le rendre plus efficace, de l’ouvrir
sur l’extérieur. Ils sont également caractérisés par la présence d’un serveur vidéo. Un serveur vidéo
permet de migrer vers un système de vidéo IP en conservant les installations analogiques existantes et
en leurs octroyant de nouvelles fonctionnalités. Il permet par ailleurs d’éliminer certains équipements
spécifiques (câbles coaxiaux, moniteurs ou enregistreur numériques), ceux-ci devenant en effet
superflus puisque les enregistrements vidéo peuvent se faire à l’aide des serveurs informatiques
classiques. Un serveur vidéo possède en général un à quatre ports analogiques pour la connexion des
caméras analogiques, et un port Ethernet pour la connexion au réseau. Tout comme les caméras réseaux,
un serveur vidéo possède un serveur web intégré, une puce de compression et un système d’exploitation
permettant la conversion des flux entrants en images vidéo numériques, ainsi que leur transmission et
leur enregistrement sur le réseau informatique ou elles pourront être visualiser et consulter plus
facilement.

Figure 5 : Système analogique/IP

Ce système ci par exemple est un système analogique qui a été intégrer à un réseau informatique grâce
au serveur vidéo (NVR). Ainsi il est désormais possible de visionner les images de ces caméras
analogiques sur internet

II. Production d’images

La qualité d’image représente indéniablement l’un des éléments les plus importants, voire
l’élément le plus important d’une caméra. Ceci est particulièrement vrai dans les domaines de la
surveillance, de la sécurité et du contrôle distant, ou des biens et des vies peuvent être en jeu.
Contrairement aux caméras analogiques, les caméras réseaux présentent non seulement des capacités de

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capture et d’affichage d’images, mais aussi de gestion et de compression numérique pour le transfert
réseau. La qualité de l’image peut varier considérablement. Elle dépend d’un ensemble de facteurs tels
que le choix de l’optique et du capteur d’images, les capacités de traitement et le niveau de complexité
des algorithmes intégré dans le microprocesseur.

1. Capteurs CCD et CMOS


Le capteur d’images de la caméra assure la transformation des signaux lumineux en
signaux électrique. Une caméra peut intégrer un capteur d’images basé sur l’une des deux
technologies suivantes :

 CCD (Charged Coupled Device)


Les capteurs appelées CCD (Charged Coupled Device), ceux que l’on trouve sur la plupart
des APN sont des systèmes en couplage de charge. Le transfert des informations s’effectue en
décalant la charge électrique de l’image de photosite. Pour que cela fonctionne correctement,
ces capteurs sont associés à une électronique d’horloge externe. Les CCD sont d’excellents
systèmes d’imagerie mais sont chers à fabriquer.

Figure 6 : CMOS (Complementary Metal Oxyde SemiConducteur)

Les capteurs CMOS (Complementary Metal Oxyde SemiConducteur) fonctionnent


différemment, même si le principe de base reste le même. Les photosites, comme sur un CCD
sont sensibles à la lumière et acquièrent une certaines charges électriques en fonction de la
quantité de lumière reçue. Jusqu’ici pas de différence. Mais ensuite, à l’intérieur de chaque
photosite, la charge générée quand la lumière frappe la micro cellule est convertie directement
en tension utilisable. Par ailleurs, les CMOS sont moins chers à la fabrication que les CCD.

III. Compression

La compression des images et données vidéo peut suivre deux approches différentes : lossless
(sans perte) ou lossy (avec perte). Dans le cas d’une compression « lossless », c’est-à-dire sans perte,
chaque pixel est maintenu intact. L’image obtenue après compression est donc identique à l’original.
Cependant, le prix à payer est que le gain, en termes de réduction de données, est très limité. Un format
de compression « sans perte » bien connu est le format GIF. Du fait de son faible taux de compression,
ce format ne convient guère aux solutions de vidéo sur IP nécessitant l’archivage et la transmission des
quantités importantes d’images. Voilà pourquoi plusieurs méthodes et normes de compression dites
« lossy » ou « avec perte » ont été développées. Le principe fondamental est de réduire les éléments
invisibles à l’œil humain et d’accroitre ainsi considérablement le taux de compression.

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Les méthodes de compression suivent également deux approches différentes par rapport aux normes
de compressions : compression des images fixes et compression vidéo

1. Normes de compression des images fixes


Tous les nomes de compression des images fixes ont la particularité de se concentrer sur une seule
image à la fois. La norme la plus connu et la plus rependue en la matière est JPEG.
Le mode de compression bien connu JPEG a été normalisé au milieu des années 1980, à l’initiative
du Joint Photographic Expert Group. Grâce au format JPEG, il est possible de décompresser et de
visualiser des images à l’aide d’un navigateur web standard. JPEG permet d’obtenir le degré de
compression souhaité : le taux de compression est paramétrable.
La compression sélectionnée est directement liée à la qualité de l’image voulue. Outre le degré de
compression, l’image elle-même influence également le taux de compression obtenue. Par exemple, un
mur blanc peut produire un fichier image de taille relativement petite (et un taux de compression élevé),
tandis que le même degré de compression appliqué à une scène complexe et chargée produira un fichier
de plus grande taille, avec un taux de compression plus faible

2. Norme de compression vidéo


Plusieurs formats ou normes de compression sont utilisées dans la vidéosurveillance :

2.1 (M-JPEG) Vidéo obtenue par une suite d’image JPEG ou Motion JPEG

M-JPEG est la norme la plus rependue parmi les systèmes de vidéo sur IP. Une caméra réseau,
tout comme un appareil numérique permettant la capture d’image immobile, saisit des images
individuelles, et les compresses au format JPEG. Une caméra réseau peut ainsi capturer et compresser,
par exemple, 20 images individuelles par seconde puis les envoyés sur le réseau sous forme de flux
continu pouvant être lu sur un poste de visualisation.

2.2 H.264

La technique de compression H.264 est conçue pour une transmission vidéo à débit fixe.
L’inconvénient du débit fixe est que l’image perd de sa qualité lorsque les objets sont en mouvements.
La norme H.264 était initialement destinée aux applications de vidéoconférence et non à la surveillance
ou les détails ont plus d’importance que la régularité du débit.

2.3 MPEG

La norme MPEG (fondée par la Motion Picture Experts Group à la fin des années 1980) est la
plus connu des techniques de transmission directe audio et vidéo. Dans cette section, nous nous
limiterons à la partie vidéo de la norme MPEG.
Le principe de base du MPEG consiste à comparer entre elles deux images compressées destinées
à être transmises sur le réseau. La première des deux vidéos servira de trame de référence. Sur les images

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suivantes, seuls seront envoyées les zones qui diffère de la référence. L’encodeur réseau reconstruit alors
toutes les images en fonction de l’image de référence et de la « plage de différence ».
MPEG-1 : Destiné à l’archivage des vidéos numériques sur cd, la fréquence plafonne à 25 images/S.
MPEG-2 : Destinées à la vidéo numérique de qualité supérieure (DVD), à la télévision haute définition
(HDTV), aux supports d’enregistrement interactifs (ISM), le format MPEG-2 visait à accroitre la
technique de compression de la norme MPEG-1 afin de couvrir des images plus grandes et de meilleur
qualité, mais aux d’un taux de compression plus faible et d’un débit d’image plus rapide. La fréquence
est plafonné à 25 (PAL) /30 (NTSC) images par seconde, tout comme en MPEG-1
MPEG-4 : représente une évolution substantielle par rapport au format MPEG-2. Les outils permettant
de réduire le débit d’images de manière à atteindre une certaine qualité pour une application ou une
scène déterminée sont beaucoup plus nombreux en MPEG-4. En outre, la fréquence n’est plus limitée à
25 ou 30 images par seconde. Soulignons ce pendant que la plupart des outils actuels permettant de
réduire le débit ne concerne que les applications en temps réel. Ceci est dû au fait que ces outils
requièrent des capacités telles que les durées d’encodage et de décodage (temps de latence) les rendent
quasiment impossible à utiliser à d’autres fins que pour l’encodage de films en studio, de films
d’animation, etc.

Avantages et limitations respectifs des normes Motion JPEG, MPEG-2 et MPEG-4


De par sa simplicité, la norme très répandu M-JPEG (Motion JPEG), utilisée en standard dans de
nombreux systèmes, représente souvent un choix judicieux. Le délai entre la capture par la caméra,
l’encodage, le transfert sur le réseau, le décodage et l’affichage final à l’écran est limité. En d’autre
terme, M-JPEG produit un temps de latence plus faible du fait de sa simplicité (compression des images
et images individuelles entières). Il convient donc aux applications de traitement d’image et, notamment,
à la détection des mouvements et la localisation des objets. Toutes les résolutions d’image disponible
en pratique, depuis les images adaptées aux téléphones portables (QVGA) jusqu’aux images vidéo en
taille réelle (4CIF) ou supérieur (Mégapixels), sont possibles en M-JPEG. Quels que soient le
mouvement ou la complexité de l’image, le système garanti la qualité tout en permettant de choisir entre
une qualité supérieur (faible compression) ou inférieur (compression élevée).
Quant aux fichiers d’images, leur petite taille ne réclame qu’un faible débit et n’utilise qu’une
faible bande passante. La fréquence d’image peut facilement être réglée afin de limiter la bande passante
utilisée sans pour autant nuire à la qualité de l’image.
Cependant, le format Motion JPEG génère des volumes de données images assez importante à
destination du réseau. Sur ce plan, MPEG présente l’avantage d’envoyer sur le réseau un volume moins
important de données par unité e temps (débit) que M-JPEG, sauf à des fréquences peut élever, comme
décrit ci-dessous. Lorsque la bande passante disponible est limitée ou si la vidéo doit être enregistrée à
fréquence élevée alors que l’espace de stockage est limité, MPEG s’avère plus indiqué. MPEG offre
une qualité d’image relativement élevée pour un débit plus faible. Néanmoins, cette consommation
moins importante de la bande passante se fait au prix d’encodages et de décodage plus complexes, qui
affectent à leur tour les temps de latence par rapport à M-JPEG.
Remarque : MPEG-2 et MPEG-4 sont tous deux soumis à des droits de licence.

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3. Résolution d’affichage
Analogique ou numérique, la résolution répond aux mêmes critères. Ce qui diffère c’est la manière de
la définir.

3.1 Résolution NTSC et PAL


En Amérique du Nord et au Japon, la toute première norme en matière de vidéo numérique
correspond à la norme NTSC (National Télévision System Comittee). En Europe, c’est la norme PAL
(Phase Alternation by Line). Ces normes proviennent toutes deux de l’industrie télévisuelle. La
résolution offerte par la norme NTSC est de 480 lignes, pour une fréquence de rafraîchissement de 60
champs entrelacés par seconde (ou 30 images complètes par seconde). La résolution offerte par la norme
PAL est de 576 lignes, pour une fréquence de rafraîchissement de 50 champs entrelacés par seconde (ou
25 images complètes par seconde). Dans les deux cas, la quantité totale d’informations par seconde est
la même.
Quand on numérise une vidéo analogique, le nombre maximum de pixels pouvant être crées dépend du
nombre de ligne TV disponibles pour la numérisation. En NTSC, les images numérisées font au
maximum 720 x 480 pixels. En PAL, leurs taille est de 720 x 576 pixel (Da1). La définition la plus
courante est 704 x 576 (PAL) ou 704 x 480 (NTSC) pixels en 4CIF, ou 704 x 240 (NTSC) ou 704 x
288 (PAL) en 2CIF soit le nombre de ligne horizontal divisé par 2. Dans la majorité des cas, chaque
ligne horizontale s’affiche en double (ligne doubling) à l’écran, de manière à préserver les rapports de
l’image. Cette méthode permet d’éviter le flou de mouvement lié au balayage entrelacé.
On utilise aussi parfois un quart d’image CIF ou QCIF (quart de CIF).

Figure 7 : Résolution NTSC et PAL

3.2 Résolution VGA

L’arrivée des caméras réseau permet désormais de concevoir des systèmes entièrement
numériques permettant de dépasser les limitations du NTSC et du PAL. Plusieurs nouvelles résolutions
dérivées du monde de l’informatique ont ainsi vu le jour, offrant une flexibilité accrue. Elles font
aujourd’hui parties des normes reconnues mondialement.
VGA est l’abréviation de Vidéo Graphics Array, un système d’affichage graphique initialement
prévu pour les ordinateurs et mis au point par IBM. La résolution est de 640 x 480 pixels, soit un format
fort semblable aux formats NTSC et PAL. La définition VGA convient en principe mieux aux caméras

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réseau, étant donné que la vidéo est généralement destinée à être vue sur l’écran d’un ordinateur, aux
résolutions VGA et VGA multiplié. Très proche du format CIF par sa taille, le format QVGA (Quart
VGA) en résolution 320 x 240 pixels est aussi fréquemment utilisé. Le format QVGA est parfois aussi
appelé résolution SIF (Standard Interchange Format), que l’on confond facilement avec le format CIF.
D’autres résolutions liées au VGA comprennent : XVGA (1024 x 728 pixels) et 1280 x 960 pixels,
quadruple VGA, qui offre des résolutions de l’ordre du mégapixel.

3.3 Résolution MPEG


La résolution MPEG concerne en général l’une des résolutions suivantes :
 704 x 576 pixels (PAL 4CIF)
 704 x 480 pixels (PAL ou D1)
 720 x 480 pixels (NTSC ou D1)

Figure 8: Résolution MPEG

3.4 Résolution en mégapixels


Plus la résolution est élevée, plus l’image sera détaillée. Il s’agit là d’un principe très important
à prendre en compte dans les applications de vidéosurveillance, ou une haute résolution d’image peut
permettre d’identifier un malfaiteur. La résolution maximale en NTSC et PAL sur caméra analogique,
après numérisation du signal vidéo numérique sur enregistreur numérique ou sur serveur vidéo, est de
400 000 pixels (704 x 576 = 405 504). 400 000 correspond à 0,4 mégapixel.
Si l’industrie de la vidéosurveillance a pu palier à ces limitations jusqu’à aujourd’hui, les caméras
réseaux permettent dorénavant des résolutions supérieures. Un format mégapixel bien connu est le
format 1280 x 1024, qui offre une résolution de 1,3 mégapixel, soit 3 fois plus qu’une caméra
analogique. On trouve également des caméras de 2 ou 3 mégapixels, et des résolutions supérieures
devraient voir le jour à l’avenir.
Les caméras réseaux ont l’avantage de proposer différent rapports largeur-hauteur. Les systèmes
CCTV utilisent le rapport de 4:3, tant disque les écrans de cinéma et les écrans larges ont un rapport de
16:9. Les parties supérieures et inférieure des images étant en général sans intérêt mais occupant tout de
même de précieux pixels, ce rapport à l’avantage d’économiser la bande passante et l’espace de
stockage. Une caméra réseau utilise n’importe quel rapport.
Elles permettent en outre de réaliser des mouvements panoramiques/inclinaisons/zooms
numérique sans perte de résolution, en laissant à l’opérateur le choix de la partie des images mégapixels
à afficher. Aucun mouvement mécanique n’est nécessaire sur les caméras. D’où une fiabilité accrue.

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4. Stockage
L’émergence des systèmes de vidéosurveillance sur IP implique une utilisation plus en plus importante
d’espace disque. Ceci pose un certain nombre de questions, et notamment celle de savoir quelle espace
disque sera nécessaire et comment assurer un stockage sûr. Plusieurs approches sont possibles à la
question de stockage :

 Le stockage embarqué :
Ici il est question d’enregistrer les flux vidéo directement sur le disque dur du NVR ou alors sur le disque
dur du PC exécutant l’application de gestion vidéo.
Avec cette solution ci il reste le problème de l’espace disque généralement réduit dans les PC et aussi
celui des crashs de disque dur, aussi est-il mieux d’utiliser des systèmes conçus pour le stockage et
fournissant une plus grande sécurité

Figure 9 : Stockage embarqué

 Stockage déporté :
Le stockage déporté fait référence à des structures, des configurations systèmes mises sur pied exprès
pour le stockage de données, et offrant une plus grande sécurité pour les données en cas de problème.
Il peut s’agir ici d’un serveur FTP, de configuration RAID disponibles sur le réseau, ou même de
simple partage sur le réseau.

Figure 10 : Stockage déporté

Tout système de vidéosurveillance pose certaine questions majeures quant aux secrets de la vie privée.
L’intelligence vidéo et les caméras réseaux peuvent apaiser certaines inquiétudes à ce sujet.
Contrairement aux caméras en circuit fermé, qui ne transmettent qu’un seul flux vidéo pouvant être
intercepté, une caméra réseau est capable de crypter la vidéo qu’elle transmet sur le réseau, de manière
à ce qu’elle ne puisse être ni visualisée, ni manipulé d’aucune façon. Le système peut également être
configuré pour authentifier la connexion avec des certificats de cryptage qui acceptent uniquement une
caméra réseau spécifique, ce qui permet d’éliminer la possibilité de piratage de la ligne. Il est

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également possible d’utiliser des techniques telles que l’estampillage et le tatouage numérique qui
permet l’insertion d’information numériques.

IV. Gestion vidéo

a) Gestion vidéo – surveillance et enregistrement

La gestion vidéo d’un système de vidéo englobe des activités de visualisation, gérées à l’aide
d’un navigateur web ou d’un logiciel de gestion vidéo spécifique, ainsi que des activités
d’enregistrement vidéo pouvant être menées à l’aide d’un logiciel de gestion vidéo installé sur PC ou à
l’aide d’un enregistreur de vidéo sur IP .

b) Visualisation via l’interface web

Dans un système de vidéo sur IP, la vidéo peut être visualisée en tout point du réseau à
condition d’avoir accès à un navigateur web. Chaque caméra intègre un serveur web disposant d’une
adresse IP. Pour visualiser les images sur PC, il suffit donc d’ouvrir le navigateur web et de saisir
l’adresse IP de la caméra dans la zone d’adresse et de s’y connecter.

c) Visualisation via logiciel de gestion vidéo

Bien que la vidéo puisse être directement visualisée sur un navigateur web standard, un logiciel
de vidéo peut aussi être installé si l’on souhaite bénéficier d’option d’affichage plus spécifique ou si
l’on souhaite pouvoir archiver et gérer les enregistrements vidéo. Il existe sur le marché une multitude
de solution applicative, allant des solutions indépendantes pour un seul PC aux logiciels client/serveur
avancés, fonctionnant en mode multi-utilisateurs. Ces différentes solutions proposent en général des
options de vidéosurveillance, de gestion d’évènements et d’alertes par sirène ou e-mail par exemple en
cas d’alarme.

d) Enregistrement vidéo

Il y’a différente façons d’enregistrer les séquences vidéos sur IP. Pour les opérations simples, les
options proposées sur la caméra réseau sont suffisantes pour enregistrer les images ou la vidéo en
fonction d’évènement programmés ou dès qu’ils surviennent. Les images sont ensuite chargées sur un
serveur FTP ou sur le disque dur d’un ordinateur.
Un enregistreur vidéo sur IP peut être utilisé pour rassembles les flux de données en provenance
des caméras réseaux distantes et des serveurs vidéo et pour les stocker sur un disque dur. L’outil utilisé
pour l’enregistrement vidéo sur IP peut être un PC standard en réseau ou un serveur de disques durs
équipé d’une application réservée à cet effet.

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V. Les techniques réseaux IP

Le protocole internet (Internet Protocol, ou IP) est le protocole de communication entre


ordinateurs le plus utilisé de nos jours. Il sert de base à la communication par internet, par messagerie,
web et multimédia. L’une des raisons de son succès tient à son adaptabilité. IP convient en effet aussi
bien aux infrastructures de petite taille qu’aux entreprises de grande envergure et est accepté par un
nombre croissant d’équipements et de technologies puissantes, économiques et éprouvées.
Cette partie vous donne un aperçu des différentes technologies IP utilisées, afin de profiter
pleinement des systèmes vidéo sur IP.

a) Ethernet

Aujourd’hui dans le domaine de la vidéosurveillance, les équipements utilisent largement la


technologie TCP/IP et sont généralement connectés entre eux via un réseau Ethernet. Ethernet permet
de bénéficier d’un réseau rapide, moyennant un coût raisonnable. La plupart des ordinateurs actuels
intègrent en standard une interface Ethernet ou acceptent facilement une carte d’interface réseau (NIC)
Ethernet.
Principales normes Ethernet :
 Ethernet 10 Mbits/s (10 Mbps)
 Fast Ethernet (100 Mbps)
 Giga Ethernet (1000 Mbps)

b) Power over Ethernet

Power over Ethernet (PoE), ou l’alimentation électrique par câble Ethernet, est une technologie
qui permet d’alimenter les infrastructures LAN standard. Les équipements réseaux, tels que les
téléphones IP ou les caméras réseau, sont ainsi alimentés par le même câble que celui qui sert à établir
la connexion réseau. Certaines caméras réseaux utilisent ce système d’alimentation car ce n’est pas
toujours chose aisée que de trouver des prises électriques à tout point du bureau.

VI. Autres fonctionnalités


a) Détection de mouvements
La détection de mouvement est une façon de définir l’activité d’une scène en analysant les
données de l’image et en déterminant les différences entre une série d’images.

 Détection de mouvements dans les systèmes avec enregistreur numérique (NVR)


Les caméras sont reliées à l’enregistreur numérique qui assure la détection de mouvements sur
chaque flux d’images vidéo. L’enregistreur peut ainsi réduire la qualité d’enregistrement vidéo, traité
les enregistrements par ordre de priorité et utilisé les mouvements d’une zone précise comme terme
pour la recherche d’évènements. Malheureusement, la détection de mouvements est un processus fort
gourmand en ressource, qui peut alourdi considérablement l’enregistrement numérique lorsqu’elle
concerne un nombre important de canaux.

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 Détection de mouvements dans les systèmes de vidéo sur IP


Intégré aux caméras réseau ou aux serveurs vidéo, la fonction de détection de mouvements
présente d’importants avantages par rapport au scénario évoqué ci-dessus. En particulier, elle est
effectuée par la caméra réseau elle-même ou sur le serveur vidéo. On évite ainsi la sollicitation
d’autres équipements d’enregistrement du système tout en permettant la mise en œuvre d’une
surveillance axée sur la notion d’évènements. Dans ce cas, aucune séquence (ou juste les séquences à
basse fréquence) n’est envoyé à l’opérateur ou au système d’enregistrement tant qu’aucune activité n’a
été détectée dans la scène.
Avantages de la détection de mouvements menée directement sur la « cible » (c’est-à-dire la
caméra réseau ou le serveur vidéo) par rapport aux systèmes d’analyse centrale, comme les
enregistreurs vidéo numériques :
- Conservation de la bande passante
- Moindre consommation des ressources sur le serveur d’enregistrement
- Gain d’espace de stockage
- Possibilité d’interaction de la caméra avec d’autre système via les ports entrée/sortie (par
exemple, le déclanchement d’alarme)

b) Entrées et sorties numériques

Parmi les caractéristiques propres aux produits de vidéo sur IP, il convient de mentionner leurs
entrées et sorties intégrées, pouvant être gérées à partir du réseau. Les sorties peuvent être utilisées pour
déclencher différents mécanismes, soit sur un PC distant, soit de façon automatique, suivant un schéma
défini sur la caméra. Les entrées peuvent, quant à elles, être configurées de manière à réagir à des
capteurs externes, notamment les caméras à infrarouge ou le bouton poussoir déclenchant la
transmission vidéo.

Les entrées et sorties peuvent également être utilisées avec des détecteur d’alarme par exemple,
afin d’éviter les transmissions vidéo inutiles tant que le détecteur fixé à la caméra ne se déclenche pas.

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Figure 11 : Utilisation des entrées/sorties numériques – une caméra réseau reliée à un contact pour porte/fenêtre ou à un
système d’alarme

Entrées numériques
L’éventail d’équipement pouvant être connectés sur le port d’entrées d’une caméra réseau est
quasiment infini. La règle de base est que tout équipement capable de passer d’un circuit ouvert à un
circuit fermé est susceptible d’être branché sur une caméra réseau ou un serveur vidéo.

Sorties numériques
La fonction première d’un port de sortie est de permettre à la caméra de déclencher
certains équipements, soit de façon automatique, soit par contrôle distant via un opérateur
humain ou une application.

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VII. Domaines d’application de la vidéosurveillance

La tendance de l’économie mondiale actuelle exige aux entreprises d’être réactive devant les
demandes de plus en plus gourmandes de moyen de connectivite et infrastructure de
communication et de marketing, la technologie de la vidéo sur réseau IP redynamise les
applications de vidéosurveillance par de nombreuse fonctionnalité comme le contrôle à distance,
la vidéo en temps réel. Ce qui rend plusieurs secteurs d’activités interactives.
On dénombre trois grandes catégories publiques dans lesquelles l'on retrouve ces systèmes de
surveillance :

 Les aéroports, les transports publics et les gares.


 Les lieux publics et les parkings. Qui se verront principalement doter de systèmes
classiques pour la surveillance globale bien que les aéroports commencent à adopter les
mesures biométriques.
 Le trafic autoroutier. Qui pour sa part privilégiera les caméras qui ont la possibilité de
reconnaître les véhicules.
Les installations privées importantes concernent les casinos et autres salles de jeux qui font
régulièrement appel à des systèmes d'identification faciale pour reconnaître les fraudeurs.

VIII. Evolution de la vidéosurveillance

Les premières caméras avaient des images de basse qualité et noir et blanc, sans possibilité
de zoomer, ni de changer l'angle de vue. Les caméras modernes les plus performantes sont en
couleur, permettent des zooms et une mise au point très nette. Les dispositifs d'enregistrement
et d'analyse sont plus précis, plus efficaces.

La loi de la République Française en vigueur définit dans l'arrêté du 3 août 2007 (publié
au
Journal officiel le 21 août, avec son rectificatif du 25 août), les normes techniques des images.
A de rares exceptions près, la définition requise est dite 4 CIF, soit 704 x 576 pixels.

Définition très rarement atteintes par les anciennes caméras ou même certaines toujours
sur
le marché, en général en CIF soit 352 x 288 pixels, ou VGA, soit 640 x 480 pixels. Il est possible
d'avoir une caméra de résolution plus faible si elle permet de prendre une "vignette de visage"
pour identification de 90x60 pixels. Sur les anciennes caméras, cela signifie que le visage doit

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représenter 5% environ de la superficie de l'image (1% en 4 CIF). Par ailleurs, le nombre


d'images par seconde requis est de 6 ou 12, selon la situation, lente ou rapide, à surveiller. Les
nouvelles installations doivent évidemment se conformer à la loi, tandis que les anciennes ont
jusqu'au 21 août 2009 pour se mettre en conformité. C'est l'utilisateur du système qui est
responsable de sa conformité à la loi.

En pilotant ces caméras avec des ordinateurs, il est possible de suivre des mouvements,
il
est par exemple possible de déceler des mouvements dans un endroit où il ne devrait pas y en
avoir, ou au contraire se focaliser sur un individu et le suivre à travers la scène. L'informatique
peut faire coopérer plusieurs caméras pour le suivre dans un espace urbain entier.

L'une des évolutions les plus probables de la vidéosurveillance est le rapprochement des
enregistrements avec des données biométriques. Cette technologie permettrait par exemple aux
ordinateurs d'analyser la démarche des passants : une personne lourdement chargée adopte une
démarche inhabituelle ; que transporte-t-il ? Des explosifs, des armes, une caméra de télévision
ou des bouteilles de soda ? De même, des recherches récentes misent sur la prévisibilité du
comportement humain dans les espaces publics : un voleur ne se comporterait pas de la même
façon qu'un usager. L'ordinateur peut identifier ce genre de mouvements et donner l'alerte.

Couplées à une base de données biométrique, il devient possible de déterminer l'identité


d'une personne sans l'aborder et sans même qu'elle ne s'en rende compte. Une expérience de ce
type eut lieu en 2007 dans une gare à Mayence, en Allemagne ; 60% des volontaires furent
identifiés parmi une foule de 20 000 personnes. Ce résultat est trop faible pour une mise en
application mais ces promoteurs pensent pouvoir proposer une technologie convaincante d'ici
2012.

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EXEMPLES DE SYSTEMES DE
VIDEOSURVEILLANCE

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I. Système de vidéosurveillance analogique avec magnétoscope


traditionnels

Figure 12 : Vidéosurveillance avec Magnétoscope traditionnels

Un système de vidéosurveillance analogique utilise une caméra vidéo analogique avec sortie
coaxiale qui la relie à un moniteur analogique, lequel restitue l’image à partir du signal vidéo transmis
par la caméra. Pour enregistrer ces images vidéo, on utilise un magnétoscope traditionnel.

Dans le cas de systèmes analogiques d’envergure, un quad ou multiplexeur peut être connecté
entre la caméra et le moniteur. Ce quad/multiplexeur permet alors de visualiser et d’enregistrer le
contenu de plusieurs caméras sur un même moniteur et magnétoscope, mais selon une fréquence
d’image cependant inférieur.

Ce système est de nos jours obsolète.

II. Système de vidéosurveillance analogique avec enregistreur


numérique

Figure 13 : Vidéosurveillance avec enregistreur numérique

Un système de vidéosurveillance analogique peut être couplé à un enregistreur numérique ou


« digital ». Avec ce dispositif, l’enregistrement vidéo ne se fait plus sur bandes magnétiques, mais
sur des disques durs ou les séquences vidéo sont numérisées et compressées de manière à

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emmagasiner quotidiennement un gros volume d’images. Par ailleurs, la plupart des enregistreurs
numériques disposent de plusieurs entrées vidéo (4,9 ou 16), ce qui leur permet d’intégrer d’emblée
les fonctionnalités du quad ou des multiplexeurs.

Ce système ci pourrait être idéal si l’on ne dispose pas d’un réseau informatique existant et
un budget restreint. Son principal avantage est qu’il est entièrement « sédentaire ».

III. Système de vidéosurveillance analogique avec enregistreur


réseau

Figure 14 : Vidéosurveillance avec enregistreur réseau

Il est possible de configurer un système de vidéosurveillance analogique passant par un


enregistreur numérique en réseau grâce à une connexion via un port Ethernet. La vidéo étant numérisée
et compressée sur l’enregistreur numérique, les images peuvent ainsi être transportées sur un réseau
informatique pour visualiser sur PC distant. Sur certains systèmes, la restitution d’images vidéo requiert
un client Windows spécifique sur d’autres, il suffit d’un navigateur web standard, plus flexible pour une
visualisation à distance. Les enregistreurs numériques en réseau permettent donc la visualisation
d’images vidéo à distance sur PC et le contrôle du système (de prise de vue/de la caméra) à distance.

IV. Système de vidéosurveillance sur IP avec serveur vidéo

Figure 15 : Vidéosurveillance IP avec Serveur vidéo

La plupart des nouveaux systèmes de vidéosurveillance fonctionnent sur réseau IP. Associé à un serveur
vidéo, ils comprennent une caméra analogique, un serveur vidéo, un commutateur réseau et un PC
équipé d’outil de gestion vidéo. Le serveur vidéo sert de pierre angulaire : il assure la migration du

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système de vidéosurveillance analogique vers une solution de vidéosurveillance sur IP. Ainsi, la caméra
analogique est branchée sur le serveur vidéo, lequel assure la numérisation et la compression des
séquences vidéo. De son côté, le serveur vidéo est connecté sur le réseau informatique qui transporte les
images vidéos vers un PC ou un serveur via un commutateur réseau. Les images vidéo sont alors
enregistrées sur le disque dur du PC. Ce type de système permet l’enregistrement hors site, et de faire
évolué le système, une caméra à la fois.

Ce système à l’avantage de coupler des caméras vidéo analogiques à un réseau informatique te n’est pas
très couteux. Cependant le problème ici pourrait venir de la capacité d’extension du système. En effet
un NVR, par exemple a un nombre fixe de connexion coaxiale pour caméras et ci ce nombre est atteint
il faut changer de NVR pour un autre avec plus de ports.

V. Système de vidéosurveillance sur IP avec caméras réseau

Figure 16 : Vidéosurveillance IP avec caméras réseau

Il s’agit d’un système entièrement numérique dans lequel les images vidéo sont transmises sur réseau IP
à l’aide de caméras réseau. Une caméra réseau associe une caméra numérique et un ordinateur, et permet
la numérisation et la compression vidéo. Les images vidéo sont acheminées par réseau IP via les
commutateurs réseau, pour être restituées et enregistrées sur un PC/serveur standard à l’aide d’outil de
gestion vidéo.

Ce système ci est certes le plus onéreux de tous, mais le plus flexible, le plus efficace, et le plus difficile
à gérer car pour un parc avec plein de caméra réseau, il faut les configurer une par une et cela peut
s’avérer lassant.

 EXEMPLES DE QUELQUES SYSTEMES EXISTANTS

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1. Le système ASCAM-2E2EI

La solution ASCAM intègre un logiciel de vidéosurveillance sur réseau IP, un logiciel


d’enregistrement sur mouvement avec les fonctions magnétoscope et finalement des caméras réseaux
IP jour / nuit pour extérieur en caissons étanche et pour intérieur.
L’accès aux caméras et aux enregistrements sur alarme par Internet permet d’assurer une
surveillance à distance. Les logiciels permettent un monitoring temps réel sur site et à distance via
Internet ainsi que l’enregistrement sur détection de mouvement, planning et alarme.
La détection de mouvement peut être configurée selon les critères suivants :

 Champ de vision des caméras de surveillance


 Zone de détections, masques de détection
 Objet manquant (détection de vol)
 Nouvel objet statique (colis douteux)
 Focus déréglé, caméras obstruée (vandalisme)
Enfin la notification d’alarmes comprend l’envoi d’email d’alerte, appel téléphonique et également une
alarme sonore.

2. Le système ASCAM-NUUO

La solution ASCAM-NUUO intègre un serveur de vidéo surveillance permettant une


visualisation à distance via internet sur PC et sur téléphone mobile 3GPP. Elle fournit un ensemble de
fonctionnalités que l’on peut résumer dans la liste suivantes :
 Visualisation des flux vidéo en local sur moniteur
 Alarme et visualisation en levée de doute, fenêtre pop-up
 Console d’administration des paramètres de gestion
 Gestion des droits d’accès : profils, horaires, à distance
 Alarme sur détection de mouvement
 Enregistrement possible sur planning (Schedule)
 Etc.

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PHASE PRATIQUE : CAS D’UN NVR PROLYNX PL-IPB777

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1. Présentation
1.1. NVR PROLYNX – IPB777

Figure 17 : NVR PROLYNX

Caractéristiques :
 Prise en charge du format vidéo ultra H.265
 Quatre (04) canaux Plug & play avec quatre interface réseau PoE indépendante
 Résolution d’enregistrement jusqu’à 2MP
 1 disque dur SATA : jusqu’à 8 To
 Prise en charge de la mise à niveau vers le Cloud
 Support pour souris USB, HDMI et VGA

1.2. Caméra Analogique IPB-777

Figure 18: Caméra IP

Caractéristiques :
 Fonctionnalité jour/nuit
 DNR 2D/3D (Réduction du bruit numérique)
 Détection de mouvement jusqu’à 4 zones
 IR intelligent, jusqu’à 30 m (98 pi) de distance IR
 Large plage de température : -30°C, +60°C (-22°F- 140°F)

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2. Installation et configuration
2.1. Installation
Pour notre installation, nous avons utilisé un NVR et quatre caméras IP. Le NVR est relié à un écran
grâce à un câble VGA qui sert d’écran de contrôle et dont les images sont visualisées par l’administrateur
du système. Les caméras sont disposées de façon à ce qu’il ait une visibilité sur tout l’intérieur de la
structure.

2.2. Configuration
Le NVR pour être opérationnel et pleinement fonctionnel, il y’a des configurations de base qui doivent
être définis :
2.2.1. La section Réseau
Elle regroupe plusieurs fonctionnalités tel que :

- L’adressage réseau
Il est d’ordinaire en DHCP mais peut également avoir une adresse statique sur le réseau.

Figure 19 : Adressage réseau

- La configuration FTP
Il est essentiel car outre son disque dur, le NVR est capable d’effectuer des sauvegardes à distances. Ici
on entre l’adresse du serveur FTP ainsi que les informations de connexion.

- La configuration Mail

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Elle est utilisée lorsque le système doit envoyer des alertes par mail à l’administrateur. Ici on entre les
informations de convection et le nom du serveur de messagerie.

Figure 20 : Paramétrage SMTP

 Test de réception des mails du NVR

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2.2.2. La Section utilisateur


Elle permet de créer et/ou de modifier des comptes d’utilisateurs pour se connecter au NVR. Chacun
de ces comptes disposant d’un niveau de privilèges.

Figure 21 : Fenêtre de gestion des utilisateurs

3. La visualisation
Pour la visualisation, on dispose de trois (03) modes selon l’équipement utilisé :

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 Le logiciel de visualisation Perfect IP Camera Recorder


Le logiciel Perfect IP Camera Recorder est un logiciel gratuit, qui permet de visualiser les flux
provenant d’un NVR sur le réseau et aussi enregistrer ces flux sur le disque dur de la machine locale.
Pour pouvoir accéder au NVR depuis Perfect IP Camera Recorder il faut au préalable être connecté au
même réseau que le NVR et en suite disposer d’un couple nom d’utilisateur (user)/mots de passe
(password) existant sur le NVR. Ce logiciel peut aussi bien s’installer sur une machine Windows, une
machine Unix, une machine Mac Os.

Figure 22 : Logiciel Perfect IP Camera Recorder

Configuration de Perfect IP Camera Recorder


 Etape 1

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Télécharger et lancer l’installation :

 Etape 2

 Etape 3

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Choisir l’adresse IP qui correspond à votre camera

 Etape 4
Authentifier vous :

 Etape 5

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 Etape 6
Donner un nom à la caméra

 Etape 7

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 L’interface Web
Pour pouvoir se connecter à l’interface Web comme avec Perfect IP Camera Recorder, l’on doit
disposer d’un compte d’utilisateur. Et comme pour Perfect IP Camera Recorder, l’interface varie selon
le niveau de privilège de l’utilisateur.

Figure 23 : Fenêtre de connexion via l’interface Web du NVR

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Figure 24 : Visionnage via l’interface Web

 Le Smartphone : Via le logiciel PSV sur Android


Pour avoir accès aux images depuis votre Smartphone, télécharger l’application PSV (Prolynx Smart
Viewer)

 Présentation de l’application
Après installation de l’application, créer son compte en entrant son adresse e-mail et son mots de
passe

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Ensuite scanner le code QR qui se trouve sur le NVR et profiter des images.

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Puis choisissez la qualité de l’image et cliquer ensuite sur Live View pour avoir les images en directe.

La disposition des images est selon le nombre de caméra

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4. Enregistrement
Par défaut, l’enregistrement de tous les flux, venant de toutes les caméras, à toute heure de la journée,
est fait directement sur le disque dur du NVR. Cependant, le NVR peut être configuré pour ne faire des
enregistrements sur son disque dur qu’à des moments cruciaux de la journée. Chaque utilisateur
disposant du logiciel de gestion vidéo Perfect IP Camera Recorder peut choisir de faire des
enregistrements sur son disque dur à lui.

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Cependant, nous pouvons choisir le mode d’enregistrement des caméras. Soit on laisse les
enregistrements se faire automatiquement à tout heure de la journée, soit on programme les
enregistrements selon les évènements rencontré par les caméras :

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CONCLUSION

La vidéosurveillance ne date pas d’aujourd’hui. Analogique à ses débuts, elle est de nos jours de
plus en plus numérisée. L’avènement des réseaux IP (internet Protocol) à haut débit et la numérisation
des images ouvrent la voie à une quantité d’applications innovantes et très importantes. L’industrie de
la vidéosurveillance englobe aujourd’hui toute une variété de système et d’équipements.
Ce projet nous a permis de connaitre tous les contours d’un système de vidéosurveillance, les
paramètres qui interviennent dans la conception d’un système complet et sécurisé et aussi de voir des
exemples de système de vidéosurveillance utilisé de nos jours. Nous déplorons le fait de n’avoir pas pu
réaliser un système un peu plus évolué que celui que nous avons expérimenté en fin de projet ; cela à
cause d’une difficulté d’acquisition du matériel nécessaire et du fait que nous voulions plus axé notre
projet sur une étude des systèmes de vidéosurveillance en général et de tous les paramètres qui
interviennent.
En dehors de cela nous n’avons pas rencontré de difficulté majeure, nous avons pu récolter un
grand nombre d’information et espérons que notre étude pourra servir à des fins de réalisation de projet
d’implémentation de vidéosurveillance.

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WEBOGRAPHIE

 http://www.lirmm.fr/~leclere/enseignements/TER/2009/Rapport/G.pdf (Visité le 03 Aout à


11h)
 https://www.google.com/search?sxsrf=ALeKk02JPyCyFG5ddWhF7oC60L62zzTraQ:162988
9229923&source=univ&tbm=isch&q=Images+d%27un+syst%C3%A8me+analogique+avec+
NVR&client=firefox-b-
d&sa=X&ved=2ahUKEwj7hcrEgszyAhURyKQKHQJ2AVcQ7Al6BAgKEE8&biw=1366&bi
h=654 (Visité le 25 Aout à 14h)
 https://community.fs.com/fr/blog/setting-up-nvr-for-ip-cameras-with-or-without-poe-
switch.html (Visité le 25 Aout à 11h)
 https://www.camerasurveillance.net/16-camera-ip-wifi (Visité le 11 Septembre à 16h)
 https://www.seagate.com/fr/fr/solutions/surveillance/how-much-video-surveillance-storage-is-
enough/ (Visité le 16 Septembre à 11h)
 https://rapportstag1.blogspot.com/2019/06/rapport-de-stage-videosurveillance.html (Visité le
16 Septembre à 9h)
 https://youtube.com (Visité du 10 Aout au 20 Septembre)

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TABLE DES MATIERES

DEDICACE............................................................................................................................................ 1
REMERCIEMENTS ............................................................................................................................. 2
Liste des abréviations ............................................................................................................................ 3
RESUME ................................................................................................................................................ 4
ABSTRACT ........................................................................................................................................... 5
SOMMAIRE.............................................................................................................................................. 6
LISTE DES TABLEAUX ..................................................................................................................... 8
TABLE DES ILLUSTRATIONS ......................................................................................................... 9
Introduction générale .......................................................................................................................... 10
DOSSIER D’INSERTION .................................................................................................................. 11
Introduction ......................................................................................................................................... 12
I. ACCUEIL DANS L’ENTREPRISE ......................................................................................... 12
II. PRESENTATION DE LA STRUCTURE ................................................................................ 12
1. Historique .............................................................................................................................. 12
2. Mission .................................................................................................................................. 12
III. PRESENTATION DE MULTIPLEX SARL ........................................................................ 13
1. Activités de MULTIPLEX .................................................................................................... 13
2. Organigramme de la structure ............................................................................................... 14
3. Plan de localisation ................................................................................................................ 15
IV. Environnement matériel et logiciel ....................................................................................... 15
1. Caractéristiques des postes .................................................................................................... 15
2. Ressources logicielles............................................................................................................ 15
3. Environnement Réseau .......................................................................................................... 16
CONCLUSION .................................................................................................................................... 17
DOSSIER TECHNIQUE .................................................................................................................... 18
ETUDE GENERAL DES RESEAUX INFORMATIQUES ............................................................ 19
I. PRESENTATION DU PROJET ............................................................................................... 19

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1. Contexte................................................................................................................................. 19
2. Etude de l’existant ................................................................................................................. 19
3. Critique de l’existant ............................................................................................................. 20
4. Problématique........................................................................................................................ 20
5. Objectifs ................................................................................................................................ 20
a) Objectifs généraux ............................................................................................................. 20
b) Objectifs spécifiques ......................................................................................................... 20
6. Les acteurs du projet.............................................................................................................. 21
7. Planification du projet ........................................................................................................... 21
8. Evaluation financière ............................................................................................................. 21
Tableau 5 : Coût total du projet ................................................................................................... 22
Ressources matérielles .................................................................................................................. 22
Quantité ......................................................................................................................................... 22
Coût ............................................................................................................................................... 22
Caméra extérieur ........................................................................................................................... 22
01 ................................................................................................................................................... 22
Caméras intérieurs ......................................................................................................................... 22
03 ................................................................................................................................................... 22
Unité d’enregistrement(NVR) ....................................................................................................... 22
01 ................................................................................................................................................... 22
Ecran.............................................................................................................................................. 22
02 ................................................................................................................................................... 22
45 000 FCFA ................................................................................................................................. 22
Adaptateurs pour les prises ............................................................................................................ 22
05 ................................................................................................................................................... 22
25 000 FCFA ................................................................................................................................. 22
Ressources humaine ...................................................................................................................... 22
Technicien ..................................................................................................................................... 22
02 ................................................................................................................................................... 22
100 000 FCFA ............................................................................................................................... 22
Total général .................................................................................................................................. 22
670 000 FCFA ............................................................................................................................... 22
GENERALITE SUR LA VIDEOSURVEILLANCE ....................................................................... 23
I. Les systèmes de vidéosurveillance ................................................................................................ 24

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1. Les systèmes analogiques ...................................................................................................... 24


2. La vidéosurveillance sur IP ................................................................................................... 24
3. Les systèmes « analogique/IP »............................................................................................. 26
II. Production d’images ...................................................................................................................... 26
1. Capteurs CCD et CMOS ....................................................................................................... 27
III. Compression .............................................................................................................................. 27
1. Normes de compression des images fixes ............................................................................. 28
2. Norme de compression vidéo ................................................................................................ 28
2.1 (M-JPEG) Vidéo obtenue par une suite d’image JPEG ou Motion JPEG ..................... 28
2.2 H.264 ............................................................................................................................. 28
2.3 MPEG ............................................................................................................................. 28
3. Résolution d’affichage .......................................................................................................... 30
3.1 Résolution NTSC et PAL ....................................................................................................... 30
3.2 Résolution VGA .................................................................................................................. 30
3.3 Résolution MPEG ................................................................................................................. 31
3.4 Résolution en mégapixels.............................................................................................. 31
4. Stockage ................................................................................................................................ 32
IV. Gestion vidéo............................................................................................................................. 33
a) Gestion vidéo – surveillance et enregistrement ................................................................. 33
b) Visualisation via l’interface web ....................................................................................... 33
c) Visualisation via logiciel de gestion vidéo ........................................................................ 33
d) Enregistrement vidéo ......................................................................................................... 33
V. Les techniques réseaux IP ............................................................................................................. 34
a) Ethernet ............................................................................................................................. 34
b) Power over Ethernet .......................................................................................................... 34
VI. Autres fonctionnalités ............................................................................................................... 34
a) Détection de mouvements ................................................................................................. 34
b) Entrées et sorties numériques ............................................................................................ 35
VII. Domaines d’application de la vidéosurveillance ....................................................................... 37
VIII. Evolution de la vidéosurveillance ............................................................................................. 37
EXEMPLES DE SYSTEMES DE VIDEOSURVEILLANCE ............................................................. 39
I. Système de vidéosurveillance analogique avec magnétoscope traditionnels ................................ 40
II. Système de vidéosurveillance analogique avec enregistreur numérique ....................................... 40
III. Système de vidéosurveillance analogique avec enregistreur réseau.......................................... 41

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IV. Système de vidéosurveillance sur IP avec serveur vidéo .......................................................... 41


V. Système de vidéosurveillance sur IP avec caméras réseau ............................................................ 42
 EXEMPLES DE QUELQUES SYSTEMES EXISTANTS ...................................................... 42
1. Le système ASCAM-2E2EI .................................................................................................. 43
2. Le système ASCAM-NUUO ................................................................................................. 43
PHASE PRATIQUE : CAS D’UN NVR PROLYNX PL-IPB777 ................................................... 45
I. Analyse du besoin ................................................................................... Erreur ! Signet non défini.
1. Etude de l’existant ........................................................................... Erreur ! Signet non défini.
2. Objectifs visé par l’intervention ...................................................... Erreur ! Signet non défini.
3. Cahier de charge .............................................................................. Erreur ! Signet non défini.
ANNEXE .............................................................................................................................................. 63
TABLE DES MATIERES..................................................................................................................... 65

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