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Alors que l’on a passé les 3 ans du début du premier confinement, Réinfo Québec a
décidé de faire un bilan de ce que l’on peut appeler une « plandémie ». Nous avons
publié il y a quelques jours les deux premières parties (partie 1 et partie 2) dans
lesquelles nous avons montré comment les autorités ont laissé entrer le virus sans
quasiment rien faire… avant de faire paniquer la population et d’en trouver prétexte
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pour nous enfermer et « détruire l’économie » (cf. les lockdown files) alors qu’elles
savaient que la covid ne représentait pas une menace pour l’immense majorité de la
population. Puis nous avons traité des tests PCR dont les réglages trop stricts et leur
multiplication ont permis aux autorités de continuer à faire peur après la « 1e
vague », les masques d’abord déclarés dangereux… puis obligatoires, et enfin le
discrédit jeté sur les traitements connus et bons marchés tandis que la santé
publique faisait la promotion des toutes nouvelles molécules des labos, très
dispendieuses et à la toxicité incertaine. Nous abordons succinctement dans cette
3e partie la question des « vaccins ».
Notons au passage que cette révélation explosive a été tenue cachée par la presse
subventionnée, qui n’a pas jugé bon d’en parler, à quelques exceptions près, mais alors
dans le but d’en limiter la portée. Tandis que les médias sociaux censuraient les personnes
qui partageaient l’article, ce qui a conduit le BMJ à publier une lettre ouverte à Marck
Zuckerberg, PDG de Facebook, pour lui demander que ces pratiques cessent. Cela donne
une idée de la censure exercée actuellement par les médias et les réseaux sociaux, qui
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sous couvert d’une presse apparemment indépendante, bloquent en fait tout discours qui
s’éloigne de la pensée dominante (nous y reviendrons).
Sachant qu’il s’agit en plus des propres données du fabricant, qui est donc en conflit
d’intérêt (même si cette pratique est hélas habituelle)… et qu’il s’agit d’une compagnie
maintes fois condamnée et pour des milliards pour tromperie, charlatanisme et autres, on
se dit que tous ces drapeaux levés auraient dû faire retentir une alarme avant qu’une
autorisation de mise sur le marché ne soit accordée. Mais malgré tous ces signaux d’alerte,
alors que les autorités savaient qu’il n’y avait pas d’urgence, une autorisation « d’urgence »
a malgré tout été accordée. Vu la réalisation du processus, il y a de quoi se poser de
très sérieuses questions.
Première chose : il est important de bien comprendre que les personnes qui ont reçu
leur première dose et qui sont positives lors des 14 jours suivants… étaient
probablement classées avec les non vaccinés car encore jugées « non adéquatement
protégées » (idem pour les personnes qui recevaient des doses subséquentes durant la
semaine suivant leur injection). Nous avons ajouté le terme « probablement » car nous
n’en avons pas la certitude. En effet, en dépit de plusieurs demandes d’accès à
l’information, les autorités (Santé Québec et l’INSPQ) n’ont jamais répondu à cette
question.
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Mais cette absence de réponse sonne comme un aveu et il est donc extrêmement
probable que les primo vaccinés malades étaient classés avec les non vaccinés… alors que
dans le même temps, comme le montre ce graphique de la Santé publique de l’Ontario, les
vaccins ont tendance à donner les symptômes de la COVID-19… essentiellement lors
e
des 14 jours suivant la 1 dose.
Les vaccins provoquent donc les symptômes de la maladie durant les 14 jours suivant
l’inoculation de la première dose… période durant laquelle les primo-vaccinés contaminés
sont classés avec les non vaccinés. On comprend alors pourquoi on a eu tout au long de
2021 une « épidémie de non vaccinés » : il s’agissait probablement pour une bonne part de
primo vaccinés classés non vaccinés puisque non encore « adéquatement protégés ». Un
joli tour de passe-passe, ni vu ni connu!
Les autorités de santé le savaient mais n’ont cessé de répéter que l’on avait affaire à une
épidémie de non vaccinés, que les hôpitaux étaient remplis de non vaccinés, ce qui
montrait que les « vaccins » étaient efficaces. Pour le prouver, Santé Québec a alors publié
un tableau de bord montrant les personnes hospitalisées pour la COVID-19 en fonction du
statut vaccinal. Dans le même temps, les données étaient accessibles sur le site Partenariat
données Québec.
À lire : Deux ans de vaccination anti-COVID-19 : les « vaccins » ont une efficacité
négative. Ce n’est pas nous qui le disons mais les données de la Santé publique
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Cependant, cette stratégie ne pouvait durer qu’un temps. En effet, à mesure que le
nombre de personnes qui recevaient une première dose diminuait, l’étude des données
montre au cours des années 2021 et 2022 une baisse constante du ratio vaccinés-non
vaccinés (cas et hospitalisations). La démarche est détaillée sur notre propre tableau de
bord. La tendance était tellement défavorable aux vaccins que les autorités ont dû
retirer les données.
Cela a commencé par le retrait par Santé Québec du ratio du risque d’infection d’une
personne non vaccinée par rapport à une personne vaccinée. Le 9 janvier 2022, ce ratio
était tombé à 0,7 fois… en faveur des non vaccinés. Cela signifiait qu’un non vacciné avait
0,7 fois la chance d’un vacciné d’être contaminé :
La situation étant devenue intenable, Santé Québec devait retirer la donnée de son
tableau de bord le 10 janvier.
Il est vrai que l’apparition des tests rapides avait quelque peu changé la donne mais ce
résultat était la suite logique d’une tendance lourde. Tendance qui ne devait que continuer
de se confirmer lors du printemps 2022, le ratio étant rendu à 0,38 le 4 juillet 2022,
dernière journée où les données furent rendues disponibles. Cela signifie qu’à ce moment,
d’après les données de Santé Québec, un vacciné avait 2,63 fois plus de chances qu’un non
vacciné d’être contaminé.
Ces constats étaient confirmés au même moment par… La Presse, qui rapportait en juin
2022 que des tests aléatoires effectués dans les aéroports montraient que les vaccinés
avaient un taux de positivité plus élevé que les non-vaccinés (3 % contre 2,4 %)…
alors que l’on mélangeait encore les non vaccinés et les personnes ayant reçu une seule
dose de vaccin (probablement car ces deux catégories de personnes étaient considérées
comme « non adéquatement protégées »). Qu’aurait-on découvert si les non vaccinés
n’avaient pas été regroupés avec les une dose?
23, 24 et 25)
On voit que les vaccinés 3 doses, qui étaient 51,2 % de la population… représentaient 70 %
des nouvelles hospitalisations COVID-19 (dans le coin en bas à droite), soit un différentiel
négatif de -18,8 points!
Nos travaux basés sur les données partagées par Santé Québec devant probablement
e
gêner puisqu’ils montraient une efficacité négative de la vaccination, notamment de la 3
dose, les autorités les ont tout simplement retirées.
Un incroyable aveu.
Nous le répétons ici, ces constats sont tirés à partir de calculs réalisés à partir des données
partagées par Santé Québec, ce sont les données des autorités, nous n’inventons rien. À
cette heure, aucun « fact checkeur » ne nous a « débunké ». Si cela était faux, cela fait
longtemps qu’on l’aurait su!
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Ainsi, comme nous l’expliquions dans cet article, en vertu de la loi sur l’accès à
l’information, nous avons demandé à Santé Québec les données sur les décès de la COVID-
19 en fonction du statut vaccinal. Et les résultats ne laissent pas place au doute : sur les 3
450 décès COVID-19 correctement catégorisés depuis le début de la 4e vague (18 juillet
2021), 95,7 % (3 303) sont « adéquatement vaccinés » alors que 4,3 % (147) sont non-
vaccinés. À comparer au taux de vaccination actuel (mais qui était inférieur au début et
durant quasiment toute la période étudiée) de 84,8 %.
Une preuve supplémentaire est donnée par les statistiques que publie l’INSPQ. La simple
lecture des graphiques sur les hospitalisations et les décès montre des hausses
étonnantes en 2022 :
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Les données sont tout aussi déroutantes concernant la mortalité : on note une étonnante
augmentation des décès COVID-19 entre 2021 (3 300 morts) et 2022 (5 800 morts).
Comment expliquer cela alors que la population est vaccinée à près de 85 %? N’est-elle pas
censée être « protégée »? Pire, Omicron étant moins virulent que la souche de Wuhan, la
situation devrait nettement s’améliorer. Pourquoi constate-t-on alors cette étonnante
évolution? La seule explication est, comme nous l’avons montré plus haut, que les vaccins
ont tendance à aggraver la situation.
Et encore ne parle-t-on ici que des décès COVID et non des décès toutes causes et des
effets indésirables (nous y reviendrons plus loin).
Les autorités ont donc les données qui montrent (au mieux) l’inefficacité de la
vaccination (sans parler des effets secondaires). Pourtant, contre tout bon sens, elles
persistent à promouvoir l’opération. À l’heure où nous écrivons ces lignes, elles
autorisent toujours la vaccination aux enfants de 6 mois. Santé Canada indique
même le 6 avril 2023 « que les personnes de cinq ans et plus qui n’ont pas reçu de
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