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DÉMOCRATIE
Introduction
1. L'origine du virus
2. les symptômes
I/La vaccination des soignants :
3. La transmission
une atteinte aux libertés
fondamentales et à l'Etat de
Droit. II/La vaccination des soignants :
1.un choix forcé nécessaire et respectueuse des
2.Une question politique
Plan
libertés fondamentales de notre
3.Problème de consentement démocratie.
4.Des incohérences pouvant créer des
1. Le contexte lors de la sortie du
conflits internes
vaccin
2. La balance des bénéfices/risques
3. La vaccination des soignants
Conclusion
L'ORIGINE DU VIRUS
LES SYMPTÔMES
Les symptômes
LA TRANSMISSION
La transmission
La maladie se transmet par des sécrétions minuscules
projetées au cours d’une discussion, d’éternuements ou
en toussant. Les postillons peuvent se déposer sur les
mains et sur les objets.
Histoire
du Vaccin
-to
- On force le choix des soignant le choix étant le l’expression de la liberté (Sartre) on nous prive
alors de notre liberté fondamentale.
-Tous les soignant y compris ceux qui ne sont pas en contact avec le public sont contraints à se
vacciner, malgré qu'ils ne soient pas en contact avec le public
-to
II/UNE QUESTION POLITIQUE
- Pour certains c'est une infraction de l’État de droit ,c’est donc illégal car ça atteint leur propre
liberté individuelle (droit à la libre disposition de son corps, atteinte à l'intégrité corporelle).
- Sentiment d’injustice, bien que les soignants ont été en plein coeur de la crise ils sont de
nouveaux visés par les restrictions.
- Un virus nouveau, apparu trop rapidement pour certains avec des lois bâclées.
- atteinte aux libertés individuelle des soignants qui n'ont pas le droit à la parole, pas le
pouvoir de décision (comme dans un régime autoritaire)
-dynamique d’action « rapide », mise à l’écart d’analyses juridiques extérieures qui pour certaines,
soulevaient la question du libre consentement aux soins
-l'urgence fait que la loi échappe à un réel contrôle du juge et à une analyse coût-bénéfice-risque
approfondie à laquelle se refuse le Conseil constitutionnel,
=> laisse la porte ouverte à des violations non justifiées aux droits et libertés fondamentales
- vu comme du chantage
-problème consentement médical car on agit sur le corps des personnes, elles n’ont même plus la liberté
de leur propre corps
- Discrimination des gens non vaccinés face à l’écrasante majorité de ceux qui les sont. En effet les
soignants non vaccinés ne peuvent plus penser par eux même et si il sont contre le vaccins tout le monde le
sait car ils ne peuvent plus venir travailler, ça peut entraîner des conflits entre collègues.
- être non vaccinés c’est comme être "juif sous l’occupation", on leur interdits l’accès aux espaces publiques
on les montre du doigt et on leur interdit d’exercer leur profession surtout les soignants.
LA PHARMACOVIGILANCE
Elle a été mise en place dès la sortie du vaccin.
Exemple 1 d’action : la pharmacovigilance détecte un risque accru de
myocardite avec le vaccin MODERNA . Il est alors prescrit pour les
patients plus âgés.
Exemple 2 d’action : la pharmacovigilance détecte de très rares cas de
thromboses cérébrales avec le vaccin AstraZénéca. On est alors passé à
d’autres vaccins comme Pfeizer et Moderna.
LES CONTROVERSES
*** 1ère controverse : la durée d’efficacité du vaccin
- On ne connaissait pas en effet la durée d’immunisation du vaccin.
*** 2ème controverse : le taux de reproduction
- La source originelle : taux de reproduction de 2 personnes.
- Le variant Omincron BA5 : taux de reproduction de 15 à 18 personnes.
NÉCESSITÉ DE RENDRE LA
VACCINATION OBLIGATOIRE
1. On est passé en quelques mois à la maladie respiratoire la plus contagieuse au monde, dépassant la
rougeole.
2. On ne peut pas cependant l’éradiquer avec le vaccin comme c’est le cas de la rougeole.
3. Le vaccin n’arrête pas la transmission, il la réduit de 30 %.
4. Les objectifs du cahier des charges ont été atteints : le vaccin a réduit les formes graves et la mortalité
tout en freinant un peu la transmission.
5. La personne vaccinée portera moins longtemps le virus et en moins grande concentration.
6. On a toujours autant de risques de l’attraper même si on est vacciné mais on a moins de risques de le
transmettre.
7. Le vaccin est efficace à 90 % contre la mortalité.
III/LA VACCINATION DES
SOIGNANTS
Il y a des décennies que les soignants ont des vaccinations obligatoires
supplémentaires par rapport à la population, notamment contre
l’hépatite B
LA LIBERTÉ INDIVIDUELLE ET LE
DROIT DANS UNE DÉMOCRATIE
- Cet argument « liberté individuelle et droit dans une démocratie » est systématiquement invoqué
alors que dans les pays démocratiques il existe des obligations vaccinales spécifiques aux soignants.
- Il y a eu à ce sujet des recours en justice jusqu’à la Cour Européenne des Droits de l’Homme mais ils
ont tous été déboutés : le Conseil d’Etat, la Cour de Cassation, la Cour Européenne des Droits de
l’Homme (cour de juridiction la plus élevée en Europe). C’est cette dernière qui décide en dernier
recours pour toutes les autres et qui a rejeté les demandes de supprimer une obligation vaccinale au
nom de la liberté individuelle.
- Dans une société, la liberté individuelle (au même titre que la liberté d’expression) a ses limites
qu’est le respect des droits des autres. La simple protection d’une minorité très fragile suffit à justifier
l’obligation vaccinale pour l’ensemble d’une population ou d’une catégorie de personnel.
LE TAUX DE VACCINATION
Article L3111-4 - Code de la santé publique - Légifrance (legifrance.gouv.fr) Les cours de Mr Pradal
https://journals.openedition.org/revdh/14638