Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Léonzio Stephane
TABLE DES MATIÈRES
Introduction 2
L'origine de ce livre 7
Les questions
1/ Covid-19 : le virus se transmet-il dans l'air ? 13
5/ Que se passera-t-il si nous avions à subir une autre maladie, plus dangereuse
que le covid-19 ? 16
11/ Peut-on soigner le covid-19 avec la Vitamine C en forte dose ? Peut-on se soigner
en buvant du Schweppes car il contient la molécule chloroquine ?
15/ Sommes-nous protégés des autres futures contaminations une fois qu'on a été
malade du coronavirus ?
17/ Est-ce qu'une personne peut avoir le coronavirus sans jamais en être au
courant car ces symptômes sont restés légers ? Peut-on être contaminé par le
coronavirus sans avoir de symptômes ?
20/ Questions cigarettes : une personne non-fumeuse est-elle mieux protégée que
les fumeurs face au coronavirus ? Est-ce qu’un fumeur porteur du virus a la
possibilité de contaminer son entourage par la fumée expirée ? 24
ou à la machine à laver ?
23/ La propagation du virus diminue avec la chaleur ? Est-il moins agressif quand
il fait chaud ? 26
26/ Les femmes sont-elles mieux protégées que les hommes face au covid-19 ? 27
27/ Est-il important de rester confiné chez soi pendant la quarantaine ? Qu'est-ce
que la distanciation sociale ? 28
28/ Comment créer des liens sociaux avec le confinement et comment s’occuper ?
29/ Pourquoi la population n’a pas de masque, test de dépistage et de gel ? 29
33/ Les masques que l’on fabrique soi-même sont-ils efficaces ? Dois-je porter un
foulard ou une écharpe si je n’ai pas de masque ? Une écharpe peut faire office de
masque contre le coronavirus ?
35/ Le virus du COVID-19 peut se transmettre dans tous les pays et toutes les
régions du globe ?
Coronavirus ?
40/ Pouvons-nous se laver les sinus avec de l’eau de mer pour limiter d’éventuelles
transmissions ?
41/ Quels sont les différents tests disponibles ? Qui peut être soumis à ce test ?
42/ Qui est habilité à faire les tests du covid-19 par PCR ? 34
43/ Qui peut passer les tests et sous quelles conditions ? Où peut-on faire le test de
dépistage au Covid-19 ?
44/ J’ai fait un test du coronavirus et je suis négatif mais j’ai une sorte de
46/ Faut-il laisser les courses sur le palier un certain temps avant de les toucher ?
36
50/ Puis-je recevoir une lettre ou un colis de Chine sans danger de contamination ?
37
51/ Le coronavirus pourrait aussi se transmettre par voie fécale et par l’urine ?
52/ Manger de l'ail peut-il aider à prévenir l'infection par le nouveau coronavirus ?
55/ Les antibiotiques sont-ils bénéfiques pour lutter contre les infections
du Covid-19 ?
56/ Est-il vrai selon le twitte de Donald Trump datant du 19 mars 2020, qu’il allait
assurer que l'Amérique allait "rendre ce médicament à base de chloroquine
disponible quasiment immédiatement" ?
58/ Doit-on vraiment s’inquiéter à propos du Covid-19? Nous n’en faisons pas un
peu trop dans certains pays ? Est-ce nécessaire de bloquer les gens en les plaçant
en quarantaine ?
60/ Si 70% des nouvelles maladies proviennent d'animaux sauvages, pourquoi les
chinois continuent de jouer avec le feu ?
anticorps, pourquoi ne pas s’en servir pour guérir les nouveaux infectés ? 42
65/ Est-ce que les animaux peuvent contaminer des humains en étant porteurs du
coronavirus ? Et l’inverse est-il possible ?
71/ Est-il possible qu’un seul et unique virus du covid-19 suffit à infecter une
personne saine ou en faut-il plusieurs ? Quelle est sa taille ?
72/ Un seul porteur du virus suffit-il à infecter une personne saine ou en faut-il
plusieurs ? 45
75/ Est-ce que les croyants sont protégés du COVID-19 comme le disent certains
gourous ou “représentant” de dieu ?
Médicales ? 49
87/ Quels sont les moyens de deviner si vous avez le rhume des foins ou les
débuts de COVID-19 ?
88/ Comment cela se fait-il que l'Europe et les USA ont déjà plus de cas de
Coronavirus COVID-19 que la Chine alors qu'ils ont eu le temps de se préparer ? 53
90/ Pourquoi le Japon ne connait-il pas d'épidémie alors qu’il a été un des
premiers pays touchés par le coronavirus ? 54
91/ Le sang est contaminant ? Le coronavirus peut-il nous infecter par une plaie,
92/ Les personnes obèses et contaminées par le covid-19 sont-elles plus à risque de
décéder ?
93/ Pourquoi y a-t-il toujours des milliers de nouveaux cas de coronavirus chaque
jour dans certains pays, alors qu'ils sont confinés depuis plusieurs semaines ? 56
94/ De quoi meurent les personnes atteintes par le covid-19 ?
95/ Quels sont les trois phases du développement du virus dans les poumons
lors de l’épidémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère), à l’origine d’une
épidémie fin 2002 ? Et le Covid-19 ? 57
96/ En lisant la question 93 de ce livre, on comprend que le covid-19 infecte
principalement en premier et en dernier les poumons, mais quand est-il des autres
organes du corps humain ? 58
106/ Quels sont tous les hôtes et tous les symptômes des coronavirus ?
INTRODUCTION
L'ORIGINE DE CE LIVRE
Au début de l’épidémie, tout le monde se regardait du coin de l’œil, tous les coins de
rue dégageaient une odeur de peur. Les gens semblaient être dans un état intense de
tension nerveuse, d'anxiété. C'est de la souffrance, en réalité, mais ce n'est pas
reconnu comme de la souffrance. J'ai pensé alors : où courent-ils tous comme ça ?
Bien évidemment, c'est vers l'avenir et les supermarchés qu'ils se précipitent ainsi. Ils
ont besoin d'aller quelque part qui n'est pas ici. L’air est devenu dangereuse...
Ce n’était pas facile de s’y retrouver dans le flux d’informations qui tombaient sur le
coronavirus. D’autant plus que les stratégies des gouvernements et les études sur le
Covid-19 sont en constante évolution. Les gouvernants et les professionnels de santé
ne sont pas des dieux sachant tout et anticipant tout, et l'impéritie est de plus en plus
flagrante. J'étais ici assigné à résidence et j’avais le temps, le temps d’aider face à une
Europe impuissante et protégeant les peuples du mieux qu’elle le peut...
La gestion de cette crise est bien évidemment complexe pour les acteurs étatiques,
que la nature de la crise est inédite, mais le maintien des élections municipales au
début de l’épidémie crée en moi une nouvelle suspicion de plus et je décide de réagir.
Maintenir les élections municipales était une décision politique qui ne s’appuyait ni
sur la science, ni sur l’empirisme. L'inquiétude et l’incertitude sur des tas de
questions était en moi, certains scientifiques à la ramasse qui disaient n’importe
quoi, sans nul doute, on a été trop confiant dans notre expertise scientifique et nos
capacités sanitaires, pourtant on voyait bien que la Chine était en difficulté depuis un
moment. J'avais l’impression de voir une opinion fortement résiliente et une
stratégie plus que bancale des pouvoirs publics depuis le début de cette crise.
On culpabilisait encore une fois les français sur leur “indiscipline", comme l'a dit le
Directeur Général de la Santé "le virus ne circule pas en France, ce sont les gens qui
le font circuler", en se déplaçant, les citoyens créent le danger. On culpabilise mais
on n’a pas de masque pour aller faire les courses, pas d'emploi, plus de liberté,
aucune identité sociale. On n'a bien-sûr pas d’arme comme aux Etats-Unis pour
pouvoir se défendre au cas où... Je passais presque deux heures assis sur mon
fauteuil à penser, j’avais l’impression de voir des politiques qui se cachaient derrière
des savants afin de camoufler leurs propres lacunes. Je cherchais des réponses à
droite et à gauche, sans véritable conviction, j'avais l’impression d'attirer mon
attention sur ce qui est faux en nous. J'avais le sentiment que la nature de
l'inconscience et de la dysfonction chez l'humain était mise à nu, ainsi que de leurs
manifestations les plus communes, allant du conflit relationnel à la guerre entre
tribus ou nations. Les vrais ennemis étaient plus en haut à la verticale alors que nous
regardions à l’horizontale...
Je pensais au président Français après son allocution. Presque au milieu d’un
quinquennat souffrant de clivages durs, de tensions récurrentes justifiés par le
peuple, de polémiques superficielles, Emmanuel Macron avait tenté de se couler
dans ce personnage : le "père de la Nation". Je me souviens d’un Macron qui
déclarait qu’il « n’y avait pas d’argent magique » face aux revendications du
personnel hospitalier annonçant désormais un grand plan d’investissements pour la
santé. Il s'est montré en opportuniste et cela a fonctionné, mais les Français
n'oubliaient pas... La cote de popularité d'Emmanuel Macron connaissait une forte
hausse en pleine crise, soit une hausse de 13 points en un mois. Un niveau qu'il
n'avait plus atteint depuis février 2018. Mais il est bon de rappeler qu’il se mettait
magnifiquement en scène, c'était un bon acteur très convaincant...
Mon sentiment était que nous avions manqué de soldats clairvoyants et sereins. On a
clairement sous-estimé la menace. Voilà des années que nos chercheurs et nos
personnels de santé se battent contre le gouvernement et disent que nous manquons
de moyens ; on leur oppose une vision comptable, aussi suffisante qu’inefficace. Les
décisions d'hier sont les conséquences d'aujourd'hui. Je me demandais pour la
centième fois en passant devant une pharmacie où était donc les masques, les tests,
les gels hydroalcooliques, et les lits d’hôpitaux ? C'était avec de la peine et de tristesse
que je demande ça...
Le coronavirus relevait quelque chose de profond : l’appauvrissement de nos
politiques publiques et la défaillance de notre chaîne de commandement.
Je n’avais pas confiance en Emmanuel Macron après tout le passé qu’on lui
connaissait, je n’étais pas certains de ses ambitions et de ses idées, et je n’oublierais
pas dans ma tête que c’est un ancien banquier plus ou moins crée par les oligarques
pour des oligarques, que la dette publique de l'Etat s'accrue, je n’oublierais pas ses
paroles sur les retraites, les «Manipulations» des chiffres sur les allocations
chômage, l’augmentation du prix des carburants automobiles, la demande de
privatisation de l’aéroport de paris, le passage en force de la réforme des retraites par
l’article 49, etc. En politique et en sociologie, diviser pour régner (du latin divide et
impera) est une stratégie visant à semer la discorde et à opposer les éléments d'un
tout pour les affaiblir et à user de son pouvoir pour les influencer. Cela permet de
réduire des concentrations de pouvoir en éléments qui ont moins de puissance que
celui qui met en œuvre la stratégie, et permet de régner sur une population alors que
cette dernière, si elle était unie, aurait les moyens de faire tomber le pouvoir en
question...
Oui le covid-19 peut se transmettre dans l’air, une fois qu’il est projeté quelques
instants dans l’air par les postillons ou un éternuement, l’air devient à risque. Il se
transmet également par contact avec les muqueuses.
Afin de déterminer plus de détail sur le sujet, plusieurs recherches ont été menées
dont une équipe nord-américaine. Selon les résultats publiés ce 17 mars 2020, les
minuscules particules d’eau – d’une taille inférieure à 5 micromètres – peuvent
rester en suspension dans l’air durant au moins trois heures, chargées de virus.
Ce résultat est à prendre avec des pincettes, car en toussant ou en éternuant, nous
produisons généralement des gouttelettes lourdes qui tombent, pas une « brume »
comparable avec la vaporisation du virus générée artificiellement dans l’expérience.
Je pense que si tout ne s’écroule pas, des émeutes sont le plus à craindre que
l'émergence d'une nouvelle utopie … Les hôpitaux sont au bord du chao, la panique
s'installe, l'économie mondiale est sérieusement déstabilisée.
Des groupes mondiaux de résistance contre la destruction de la planète et autres
augmentent la colère de la majorité de la population, ils ont déclaré la guerre au 1%
de puissant et de très riche. Ils sont partout, dans l’armé, dans le milieu de la finance,
des industries pétrochimiques et agro-alimentaires. Ils détiennent tous les médias de
masse, l'énergie, la technologie, les ressources et avec le covid19, ils sont en train de
jouer leurs dernières cartes pour ne pas sombrer.
Hormis l’aspect révolte de la population et l’aspect fin d’un système, il y a l'arrêt
temporaire d'une partie de l'activité économique mondiale, il y a une nette
diminution de la pollution atmosphérique, les niveaux de pollution décroissent
significativement. Lorsque les déplacements pendulaires (domicile <-> travail) et
que l'activité économique s'interrompent, c'est une véritable bouffée d'air pur pour
l'atmosphère. Ainsi, le satellite Copernicus Sentinel-5P a pu détecter une chute de la
pollution atmosphérique au-dessus de l'Italie, plus spécifiquement en ce qui
concerne les émissions de dioxyde d'azote. "Cette diminution est particulièrement
visible dans le nord de l'Italie, ce qui coïncide avec le confinement national mis en
place afin de prévenir la progression du coronavirus" explique l'Agence Spatiale
Européenne (ESA).
Dès la fin de la quarantaine, je ne pense pas qu’il n'y aura que de la joie dans les rues
et les restaurants, ou alors elle sera éphémère. Je pense que ce sera l'heure de rendre
des comptes... Les passions reviendront doucement, mais l'animosité et les
représailles activées par ceux qui auront accumulé la rage et la colère demanderont
justice. Certains voudront faire payer, ils exigeront des têtes. Je ne sais pas quelle
forme cela prendra-t-il. Néanmoins je ne pense pas que l’on puisse dire qu'une crise
sanitaire comme celle-là comporte des choses positives. En revanche, on peut dire
qu'il y aura des choses utiles et importantes à retenir de cette pandémie, des tas de
choses difficile à expliquer. L’interdiction du trafic d'animaux sauvages, l’anticipation
d’une nouvelle épidémie, de nouvelle solidarité et une nouvelle vision du monde.
Accepter que notre civilisation soit plus vulnérable qu'on le pensait...
Oui bien-sûr, elle est même très contagieuse, et cela dès la première minute de sa
propre contamination ! Ce qui est le plus frustrant, c’est que le virus est contagieux
avant même l'apparition des symptômes ou même sans jamais avoir de symptôme.
C'est pour cela que l’on isole préventivement tout l'entourage des malades, même
s'ils ne présentent aucun signe de la maladie.
En général, les lois des pays contraint les entreprises du secteur à faire leur possible
pour éviter une pénurie, des dispositions sont donc prises.
A priori, le COVID-19 ne devrait pas créer une pénurie alimentaire, sauf si la
quarantaine dure vraiment très longtemps et qu’un violent crash économique
arrive...
Heureusement, cette crise sanitaire est menée par des bons soldats qui font tourner
seuls l'économie vitale et substantielle même si nous n’avons pas de masque ou de
fourniture de protection. L'Europe des marchés est à la ramasse, mais il faut bien que
le peuple puisse manger pour continuer à travailler, il lui faut de la force, c’est le
minimum pour pouvoir enrichir les 1%. Ne vous inquiétez pas, le haut de la
pyramide est cloitré dans des résidences secondaires, dans des villas de la côte
d’azur, et ils ont surement des stocks de nourriture.
Ironie du sort, les salaires très en dessous du mérite sont “les serveurs de nourriture
et de santé”, deux choses essentiels pour la survie d’un humain. Ils sont les
chauffeurs de transports en commun, le personnel soignant, les employés qui
ramassent les ordures, les fabricants de produit alimentaire, etc.
Ce n’est pas un banquier ou un trader qui va nourrir la population, par contre, pour
lancer un plan massif de salut national, il sait faire... Ils sauront creuser la dette et
nous demander de payer plus après cette crise. Je n’ose imaginer les fiscalistes pour
dispenser illico les entreprises en faillite, les huissiers pour requérir des logements,
les assureurs pour aider.
Des élus pour travailler au bien-être de leurs électeurs et non pas pour leurs propres
intérêts, on y croit tous... Tous ces suceurs de sang survivent grâce à ce prolétariat
mobilisé sur le front de l'épidémie.
Pour les autres personnes je ne peux que vous conseiller d'avoir des provisions pour
une semaine au minimum. Si vous avez un petit potager, vous pouvez y cultiver des
fruits et légumes. La meilleure façon d'y arriver, c'est de devenir autosuffisant et de
produire la totalité de votre nourriture. Pensez aussi à l'énergie solaire et à tout type
d’objet et technique de survivalisme. Si vous avez les moyens financiers et que vous
n’avez pas le petit potager, vous pouvez acheter des terres et commencer tout
doucement le processus. Avoir un peu de stock vous évitera aussi de côtoyer les
foules au supermarché, et d’être exposé aux risques de contamination ou tout autres
agressions physiques...
Le ministère de l’Intérieur indique que « les fumeurs ne sont pas plus à risque d’être
contaminés. Toutefois, ils sont plus à risque de développer des formes graves. » C’est
ce que souligne l'Alliance contre le tabac, qui, le 4 mars, a repris les données d’une
étude chinoise publiées dans le New England Journal of Medecine le 28 février.
En étudiant cette étude, on peut en conclure que fumer augmente le risque de
développer une forme sévère ou très sévère du Covid-19 de +50 %, ainsi qu’un risque
de décès de +133 % par rapport aux non-fumeurs ».
Mais pourquoi il y a plus de risque pour les fumeurs ? Le Comité national contre le
tabagisme (CNCT) répond à la question : Fumer abîme les tissus pulmonaires, et
rend donc les fumeurs plus vulnérables à l’arrivée du virus, les fumeurs portent
régulièrement leurs doigts potentiellement porteurs de virus à la bouche, porte
d’entrée fréquente du virus.
Les fumeurs infectés par le coronavirus sont des contaminateurs
potentiellement majeurs de leur entourage par tabagisme passif, du fait
de leur toux fréquente et de la présence dans la fumée de tabac de
particules sur lesquelles se fixent les virus qui peuvent alors être
inhalées par l’entourage.
Il est même probable que ces particules potentiellement contagieuses se déposent un
peu partout dans la maison, sur les meubles, fauteuil, vêtements… Le transfert du
virus se fait par inhalation, à la suite de leur relargage dans l’air, et par ingestion.
« Fumeurs ou vapoteurs, ne fumez pas et ne vapotez pas au domicile, enjoint le Pr
Yves Martinet, président du CNCT, sur le site de l’association. Si vous sortez, sortez
seul et à distance minimale de 10 m de toute personne et de toute habitation. »
L’infectiologue Bertrand Dautzenberg, ancien pneumologue à l’Hôpital de la
Salpêtrière et tabacologue à l’Institut Arthur-Verne, cité par Santé Magazine,
indique qu’une transmission du virus par la fumée ou la vapeur n’a pas été prouvée
scientifiquement. Mais il confirme la présence d’un danger de contact via les yeux,
le nez et la bouche, et les gouttelettes de salive expulsées qui transmettent le
COVID-19. Hors, les fumeurs et les vapoteurs se touchent le visage plus souvent que
les non-fumeurs.
On nous dit qu'il faut contenir la pandémie grâce à des nouveaux moyens dont la
géolocalisation des smartphones... La question que je me pose est de savoir si une
fois que la pandémie terminée, nous y seront habitués ou pas... Personnellement, je
ne souhaite pas m’y habituer si la pandémie est terminée !
J'observe également des choses inquiétantes, montrant que les régimes autoritaires
utilisent le Covid-19 comme prétexte pour restreindre les libertés fondamentales, en
allant plus loin que les besoins de santé publique ne l'exigent.
Ce qui m’inquiète est la potentielle naissance d’un état universel avec un
gouvernement mondial qui fera de plus ne plus d’économie sur les peuples. La loi du
marché dans la logique du transhumanisme passera avant tout. Ce gouvernement
mondial laissera le pouvoir à des pseudos techniciens, et nous n’aurons pas trop le
choix d’obéir et de travailler... Ce sera le nouvel ordre mondial par la nature
tyrannique et impérialiste du régime en même temps que la loi du plus fort par le
projet antihumaniste, un peu comme la Chine communisme actuelle...
Il y a plus de femmes que d’hommes parmi les personnes âgées, donc logiquement, il
devrait y avoir plus de décès chez le sexe féminin. Le 10 avril 2020, les chiffres
parlent encore une fois en faveur des femmes. Les femmes sont davantage
touchées que les hommes par le Covid-19 mais sont moins nombreuses à
en mourir.
Plusieurs études montrent que de manière générale, les femmes semblent avoir une
réponse immunitaire plus forte aux infections. Les raisons sont diverses, certains
scientifiques avancent des causes à la fois génétiques et hormonales, d’autres
avancent des causes sociologiques et démographiques...
1. Le chromosome X : d’après une étude publiée dans la revue BMC, qui contient
de nombreux gènes relatifs à l'immunité, nous savons dorénavant qu’il est
présent en deux exemplaires chez la femme contre un seul chez l'homme.
2. L'évolutionniste avec l'allaitement. Qu’est-ce que cela veut dire ? D’après
certains chercheurs, le corps s'adapterait au fil de l’évolution pour être moins
virulent.
3. Les hommes ont un mode de vie moins sain, ils travaillent plus, boivent plus,
et surtout fument plus que les femmes. Les hommes ont ainsi moins tendance
à se laver les mains après être allés aux toilettes, indiquent plusieurs études.
On sait aussi que les femmes sont plus attentives à leur santé et consultent
plus tôt en cas de problème, ce qui augmente leurs chances de survie.
Quoi qu’il en soit, “le taux de mortalité du Covid-19 est étroitement lié aux
comorbidités comme l'hypertension, le diabète ou les maladies cardiorespiratoires,
qui affectent davantage les hommes », rapporte ainsi le directeur chargé de la
coordination des alertes sanitaires auprès de ministère de la Santé espagnol, dans El
Paìs. Pour revenir à la cigarette, elle accroît à la fois le risque de contamination (en
portant la cigarette à la bouche avec ses doigts) et la mortalité (en réduisant la
capacité pulmonaire).
Pour faire simple et court : oui il faut rester chez soi car le coronavirus est très
contagieux, y compris lorsque les personnes infectées ne présentent que peu de
symptômes, et nous n’avons toujours pas de vaccin ni de véritable traitement.
En France ou ailleurs, certaine tradition est de se faire la bise, on aime vivre à notre
façon, on aime faire des apéros, boire des verres de vins, discuter sans fin autour d'un
café... Le mieux en période inédite de quarantaine est d’éviter de prendre part à toute
sorte d’activités du genre à l’extérieur, et cela s’appellera la distanciation sociale.
Toutes ces journées d'attente n’est pas facile pour certains, les amateurs de de
délicieux restaurants salivent devant leur téléviseur en regardant des émissions de
cuisine...
Il est toujours possible d'imaginer de beaux endroits dans notre tête, pensez où nous
volerions quand la quarantaine sera terminée. Quand la vie normale reviendra,
gardons en mémoire cette épidémie afin de mieux apprécier chaque seconde de
liberté, et de faire ce que vous aimez !
Comme le soulignait Jérôme Salomon, directeur général de la Santé : « Le
coronavirus ne circule pas en France. Ce sont les hommes et les femmes qui le
transmettent. »
Ainsi, si aucune mesure de distanciation sociale n'est prise, nous risquons
l'emballement des cas graves et une saturation des services de soins. Une saturation
qui pourrait conduire à une surmortalité très importante.
Olivier Véran, ministre de la Santé, le signale très bien : « Ce n'est pas un acte de
résistance que de sortir quand on vous dit de ne pas sortir. C'est un acte
d'inconséquence ou d'insouciance. Et l'insouciance, aujourd'hui, elle peut tuer. »
• Avec des vrais humains : communiquer avec les humains qui habitent à côté de
chez nous et qui sont également confinés à travers les balcons ou jardins.
N’oubliez pas de garder les nécessaires distances de sécurité, bien sûr.
Si vous êtes en bonne santé, porter un masque chirurgical ne vous sera pas d'une
grande utilité. Il sert surtout à protéger les autres contre celui qui le porte. Il est donc
doit surtout pas contaminer un corps ouvert devant lui avec des postillons ou autre
ET ECHARPE.
Ils sont “mieux que rien”, et pour preuve, l'Académie de médecine recommande le
port obligatoire du masque, même "alternatif". Cela veut dire qu’ils sont mieux que
rien. Il reste néanmoins totalement inefficace pour certains spécialistes. Le problème
majeur de ce genre de masque est que les autorités responsables de la santé ne
peuvent pas vérifier leurs étanchéités ni de leurs imperméabilités...
Avant utilisation, ils doivent passer quatre tests : vérifier l'intégrité des conditions de
stockage par contrôle visuel, si la couleur n'a pas changé, si les élastiques et la
D’après les données de l’OMS, le virus peut se transmettre dans TOUTES LES
RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Peu importe où vous vivez,
prenez des mesures de protection et d’hygiène si vous vous rendez dans une zone où
il y a des cas de COVID-19. Ne vous toucher pas le visage et lavez-vous les mains. Le
lavage des mains élimine les virus qui pourraient s’y trouver et évite qu’on ne soit
contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
Quelle que soit la température de votre bain ou de votre douche, cela n’empêchera
pas de contracter le COVID-19. Votre corps restera à une température normale, entre
36,5°C et 37°C. Il est fortement déconseillé de prendre un bain très chaud à cause du
risque de brûlure et d’effets secondaires dangereux.
Le virus est si nouveau et différent qu’il nécessite un vaccin qui lui est propre.
40/ On peut se laver les sinus avec de l’eau de mer pour limiter
d’éventuelles transmissions ?
Oui on peut le faire, mais les experts n'ont pas de certitudes si cela a un impact ou un
intérêt, ils pensent plutôt que cela n’a pas de véritable impact.
41/ Quels sont les différents tests disponibles ? Qui peut être
soumis à ce test ? En quoi consiste-t-il ? Où peut-on se faire
dépister ?
Il existe les tests PCR (réaction en chaîne par polymérase), les tests rapides, et les
tests sérologiques.
Des tests rapides ainsi que de nouveaux tests (dits sérologiques) sont en cours de
production afin d'augmenter les capacités de dépistage.
42/ Qui est habilité à faire les tests du covid-19 par PCR ?
Seuls deux types de professionnels de santé sont habilités à faire ce prélèvement : les
infirmières et les biologistes - qu’ils soient pharmaciens ou médecins.
"On ne peut pas accueillir un patient dans nos salles d’attente qui risque de
contaminer l’ensemble des patients et nos personnels. Cela affaiblirait la chaîne de
soins et le système de santé dans son ensemble", indique le Dr François
Blanchecotte. Ainsi, en ce qui concerne les laboratoires, les prélèvements ne sont pas
réalisés sur place, mais en ambulatoire, à bord du véhicule des patients, et parfois à
leur domicile.
Si vous ne voulez pas vous provoquer des érythèmes (irritation de la peau), il est
déconseillé de se désinfecter de cette manière-là. L’organisation Mondial de la Santé
le confirme.
Toujours selon l’OMS, l’alcool et le chlore peuvent tous deux être utiles pour
désinfecter les surfaces, mais ils doivent être utilisés en suivant les recommandations
appropriées.
Si le virus a déjà pénétré dans votre corps, vaporiser de l’alcool ou du chlore sur tout
le corps ne le tuera pas. La pulvérisation de ces substances peut être nocive pour les
vêtements ou les muqueuses (c’est-à-dire les yeux, la bouche).
50/ Puis-je recevoir une lettre ou un colis de Chine sans
danger de contamination ?
Oui, c’est sans danger. D’après des analyses antérieures, nous savons que les
coronavirus ne survivent pas longtemps sur des objets, tels que des lettres ou des
colis.
Selon l’OMS : “Le risque de contracter le COVID-19 par contact avec les matières
fécales d’une personne infectée paraît faible.” Les premières investigations semblent
indiquer que le virus peut être présent dans les matières fécales dans certains cas,
mais la flambée ne se propage pas principalement par cette voie. Cependant, comme
le risque existe, c’est une raison supplémentaire de se laver les mains régulièrement,
après être allé aux toilettes et avant de manger.”
« Il est important de noter que le 2019-nCoV a été rapporté ailleurs dans les
matières fécales de patients avec des symptômes abdominaux atypiques, similaires
au SRAS qui se trouvait aussi dans l’urine, suggérant une voie de transmission
fécale », a dit William Keevil, professeur à l’Université de Southampton, dans un
commentaire au Science Media Centre du Royaume-Uni.
Sur la base des recherches selon Jiayu Liao, bioingénieur à l’Université de
Californie : « le 2019-nCoV retrouvé dans les selles pourrait se transmettre par voie
fécale ».
L’ail est un super aliment, sain, qui a des propriétés incroyables, il peut même avoir
certaines propriétés antimicrobiennes. Cependant, rien ne prouve, dans le cadre de
l’épidémie actuelle, que la consommation d’ail protège les gens contre le nouveau
coronavirus.
Les personnes de tous âges peuvent être infectées par le nouveau coronavirus.
Malheureusement, les personnes âgées et les personnes souffrant de maladies
préexistantes (comme l’asthme, le diabète, les maladies cardiaques) semblent plus
susceptibles de tomber gravement malades à cause de ce virus.
Selon la majorité des spécialistes, la réponse est non, les antibiotiques n’agissent pas
contre les virus, mais seulement contre les bactéries. Néanmoins, plusieurs médecins
parlent sur les réseaux sociaux et dans les médias d’expérience positifs sur
l’utilisation de l’azithromycine pour soigner les patients atteints du Covid-19. Mais
aucune étude scientifique le confirme pour le moment.
La majorité des autres spécialistes disent que nouveau coronavirus est un virus et,
par conséquent, les antibiotiques ne doivent pas être utilisés comme moyen de
prévention ou de traitement.
Cependant, une personne hospitalisée pour une infection par le 2019-nCoV, peut
recevoir des antibiotiques car une co-infection bactérienne est possible.
Une fois ce mini livre terminé, je ne peux que vous conseiller de prendre conscience
deux petites secondes de votre respiration et de voir les coté positif de la vie. Y aviez-
vous pensé aujourd’hui ? Depuis combien de temps n’aviez-vous pas mis votre
attention sur la respiration consciemment ? Vous n’avez pas de virus à l’intérieur de
vos poumons, tout va bien. Si malheureusement vous l’avez, pensez que vous allez
vous en sortir, battez-vous... Je pense qu'il faut être heureux en dépit de tout le reste,
n’ayez pas peur du bonheur car il est dans l'inattendu. Essayer de diminuer le
nombre de question que vous avez en tête, se poser des questions active le mental...
Les matins calmes dans l’instant présent et sans pensées ! ont la splendeur des
choses neuves.
Le COVID-19 est généralement bénin, en particulier chez l’enfant et le jeune adulte,
mais ne vous mentez pas à vous-même et sachez qu'il peut aussi être grave et que les
quarantaines sont justifiées pour le bien collectif. N’hésitez pas à apaiser vos
inquiétudes en prenant des mesures pour se protéger et protéger ses proches et son
entourage. Laver régulièrement les mains et respecter les règles d’hygiène
respiratoire. Tenez-vous au courant de la situation et suivez les conseils des autorités
sanitaires locales.
On pense que l’épidémie est partie du marché Huanan, à Wuhan, qui pourrait être le
lieu d’un passage de ce virus de l’animal à l’humain. De nombreux animaux sauvages
y étaient en effet illégalement vendus. Il aurait donc de grandes chances de provenir
d'une de ses espèces interdites à la vente et à la consommation
Mais il n’y a pas de véritable source sûre, c’est ce qui est le plus frustrant.
D'après l'association Wildlife Conservation Society, 70% des nouvelles maladies
viennent d'animaux sauvages
C’est en effet une bonne idée et peut-être un nouvel espoir, des essais démarreront le
mardi 7 avril 2020 en France. Selon un communiqué commun de l'Assistance
publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), l'Etablissement français du sang (EFS) et
l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). L’idée est de
transfuser du plasma sanguin de personnes guéries du Covid-19 vers des "patients en
phase aiguë de la maladie", en espérant que cela transfert cette immunité à un
patient souffrant du Covid-19", "Le plasma des personnes qui ont guéri du Covid-19
contient ces anticorps que leur organisme a développé.
Pour le moment non, le covid-19 ne se transmet pas aux animaux, sauf les races
d’animaux déjà contaminées avant l’humain. Toute transmission du genre est un
phénomène rare et complexe, mais cela arrive de temps en temps. Rappelons que le
SRAS-CoV2 est issu d’une chauve-souris infectée par un virus qui lui est propre et
qui a été par mutation vers un hôte intermédiaire, plus proche de l’humain, en
l’occurrence, on penche pour le pangolin (le fourmilier). Puis un nouveau
franchissement du pangolin vers l’humain auquel il s’est adapté, permettant
finalement une transmission de l'humain vers l’humain...
C’est désormais un virus humain qui, pour contaminer une espèce animale, devrait
de nouveau franchir la barrière des espèces. C’est un phénomène plutôt rare et
surveillé de près par les scientifiques du monde entier. A l’heure actuelle il n’existe
aucune preuve que les animaux de compagnie et ceux d’élevage soient porteurs du
virus. Quelque rare cas existe, notamment un chien testé "faiblement positif" au
coronavirus à Hong-Kong à la fin du mois de février, mais cela n’est pas une preuve
car trop faiblement positif. L’agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) exclut
donc aussi la possibilité de transmission du virus en mangeant de la viande issue
d’un animal d’élevage.
Selon l’agence nationale de Sécurité sanitaire (Anses), une personne infectée pourrait
souiller les aliments en les préparant ou en les manipulant avec des mains
contaminées, ou en les exposant à des gouttelettes infectieuses lors de toux et
d’éternuements. Dès que vous commencez à préparer à manger et même avant, il y a
un risque. Il faut avoir en tête que les produits sont potentiellement souillés, l’agence
recommande de pratiquer les règles strictes d’hygiène. Il est recommandé de laver
les fruits et des légumes, et de se laver souvent les mains avec du savon. Même si on
ne se croit pas contaminé, c’est un geste à répéter après avoir toussé ou s’être
mouché car certaines personnes sont asymptomatiques. Le nettoyage des surfaces de
préparations est tout aussi important.
COVID-19 est le nom donné à la MALADIE causée par un coronavirus nommé SARS-
COV2.
COVID-19 car elle est due à un CORONAVIRUS et 19 car elle est apparue en 2019.
SARS-COV2 car c'est un deuxième CORONAVIRUS responsable et SARS pour
Syndrome Aigu Respiratoire Sévère.
On l'appelle ainsi car il ressemble à une couronne. Le nom coronavirus, du latin
signifiant « virus à couronne », est dû à l'apparence des virions sous un microscope
électronique, avec une frange de grandes projections bulbeuses qui ressemblent à la
couronne solaire.
Pour un virus parfaitement isolé, les chances d'infecter une personne saine sont très
faibles, il aurait assez peu de chance de tomber sur la bonne cellule à infecter.
Néanmoins, il suffit qu’il trouve le moyen de se répliquer pour que l’infection
commence.
Vu sa microscopique taille, il n'aime pas la solitude et attaque à plusieurs. Son
diamètre va de 60 à 140 nanomètres, le nanomètre égale 1 x10 –⁹ mètre soit un
milliardième de mètre.
Bien qu’il soit très petit, c'est le virus connu ayant la plus longue chaine d'ARN.
S'il arrive à pénétrer dans un poumon, il a toutes les chances d’être détruit par les
muqueuses qui le couvrent et par les défenses du système immunitaire.
Mais quand un virus attaque, il ne vient pas tout seul, sur un postillon, il y en a des
milliers, et une fois “installé”, ils vont se multiplier immédiatement par milliers, en
utilisant les systèmes propres des cellules qu'ils envahissent.
À l'heure actuelle, les scientifiques ne savent pas encore quelle quantité de virus est
nécessaire pour infecter un être humain (dose pathogène).
Oui, il est possible d’être contaminé par les yeux, et c'est une raison pour laquelle une
barrière devant leurs yeux (des lunettes de sécurité) est souvent mise pour le
personnel médical soignant.
En parallèle au Covid-19, il existe des individus infectés par le virus Ebola à cause
d’une infection oculaire. La contaminé se plaignait d'avoir une sorte de brouillard
devant les yeux, son œil était infecté par le virus Ebola.
Cette question-réponse invite les personnes, encore une fois, à éviter de se toucher le
visage : si le virus est présent sur vos doigts, vous ne risquez rien (il ne peut pas vous
infecter via la peau), jusqu’au moment où vous vous frottez les yeux/nez/bouche…
• Ajoutons à cela que ce virus est très contagieux et que les personnes à
risque peuvent tomber mortellement malades en l'espace de quelques heures. Il a
le pouvoir de se propager très rapidement.
• Il est dangereux. Les médecins disent en effet qu’il existe des virus bien plus
dangereux pour les individus tels que le virus Ebola, mais ils sont mortels sur un
laps de temps si court qu'ils tueront leurs hôtes avant même d'être en mesure de
se disperser trop loin. Donc des virus tels qu'Ebola sont plutôt une menace locale
avec très peu de possibilités de contamination à travers le monde et donc de
devenir une pandémie.
• Les chiffres inquiétant du CDC. Ils estiment qu’il pourrait avoir entre
160 et 214 millions de personnes aux Etats-Unis infectées durant cette
pandémie, d'après les projections actuelles. Elle pourrait durer des mois, voire
même une année, avec des foyers d'infections concentrés sur de courtes périodes,
échelonnés au travers du temps sur plusieurs communautés, selon les experts.
• Une personne testée positive n'aura pas le même comportement qu’une personne
qui ne sait rien de sa situation.
• Cela permet aussi la traçabilité des malades qui sera utile pour la sortie du
confinement, comme le dit la Ministre de l'Enseignement supérieur.
La France était à un moment donné en pleine crise épidémique avec 9000 dépistages
par jour alors que l'Allemagne est à 25 000. Aujourd’hui l’Allemagne en proportion,
présente un nombre de décès moins importants. Le taux de mortalité du pays est l'un
des plus faible du monde, avec 0,5%, alors qu'il tourne autour de 5% en France. Je
pense personnellement que les tests pratiqués très tôt en Allemagne et en plus grand
nombre ont permis d'intervenir plus tôt dans les mesures de soin et
d'accompagnement des personnes contaminées. Et donc de prendre plus rapidement
des mesures de quarantaine. Par ailleurs, L’entreprise Bosch a développé un test de
dépistage rapide et automatisé
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) le dit clairement :’’il faut tester
massivement la population au coronavirus”. Une injonction à laquelle a répondu
favorablement Olivier Véran, ministre de la Santé, qui répond que “oui, la France a
vocation à suivre les recommandations de l’OMS” et à "démultiplier le nombre de
tests réalisés sur le territoire”. L’objectif de l’Organisation mondiale est de “passer à
l’attaque” face à la pandémie de coronavirus…"
C'est une coupe de cheveux improvisée pendant que votre coiffeur habituel est fermé,
généralement elle se fait à l'aide d'une paire de tondeuses et peut-être d'un tutoriel
YouTube. Le buzzcut de la coupe rasée est la coupe de cheveux quarantaine /
COVIDhead par excellence !
Peut-être que dans un monde avec amour et compassion il est bien de se couper le
bras pour sauver un doigt infecté”...
Il est très difficile de prévoir plusieurs choses différentes. Combien de dommages
économiques vont réellement se produire et combien de morts vont se produire ?
Une approche contrôlée comme en Allemagne peut limiter les décès à environ 1%,
tandis que les décès peuvent être supérieurs à 10% avec d’autres stratégies...
Je ne vais pas dire qu'un certain nombre de décès est acceptable ou non, il s'agit de
problèmes très difficiles et graves avec autant de variables et de composition qu'il est
impossible de modéliser la situation. Il y a les statistiques de ceux qui ont été
directement affectés par la maladie, celles qui n'ont pas été affectées ni par la
maladie ni économiquement, etc.
• Pour certains experts, l'explication tient dans la théorie des jeux : si chacun
achète uniquement ce dont il a besoin, il n'y a pas de pénurie. Mais si certains
succombent à l'achat-panique, la meilleure stratégie est de faire de même pour
être sûr de ne pas manquer.
87/ Quels sont les moyens de deviner si vous avez le rhume des foins ou
les débuts de COVID-19 ?
88/ Comment cela se fait-il que l'Europe et les USA ont déjà
plus de cas de Coronavirus COVID-19 que la Chine alors qu'ils
ont eu le temps de se préparer ?
Beaucoup de gens remettent les chiffres chinois en question, on parle alors de
censure des dirigeants relative au nombre de victimes de l'épidémie.
Certes, à partir du 20 janvier 2020, la Chine a imposé sur son territoire une sévère
discipline face au coronavirus. Dans toutes les villes, des contrôles stricts ont été mis
en place à l'entrée de chaque immeuble, mais la chine est capable de construire en
dix jours seulement un nouvel hôpital pour lutter contre le coronavirus.
Elle est capable de gérer une situation de crise rapidement avec puissance, quand les
mesures ont été mises en place il n’y avait “que” 50 cas déclarés à Shanghai. La Chine
a envoyé rapidement des personnels soignants de tout le pays. Ils ont été envoyés
dans les villes les plus touchées par la pandémie et ils étaient généralement trois
pour s'occuper d'un malade.
Des mesures drastiques ont été prises pour l’intégralité du pays : non réouverture des
écoles après les vacances, fermeture de tous lieux publics, télétravail pour tous,
fermeture des usines, traquer partout dans le pays les personnes ayant séjourné dans
le Hubei (grâce aux données téléphone) et j’en passe.
Interdiction d’entrer dans les résidences autre que la vôtre, port du masque
obligatoire quand vous sortez de chez vous. Le filtrage des passagers à l'aéroport est
plus que drastique, alors qu’en France, au début de l’épidémie, la plupart des avions
n’étaient pas vraiment contrôlés...
Les voyageurs qui reviennent de zone à risque sont escortés chez eux (pas de
transport public pour eux -quarantaine surveillée), et si des cas suspects sont trouvés
dans l’avion, l’intégralité des passagers de ce vol se voit transféré en quarantaine non
pas chez eux mais dans des hôtels réquisitionnés. Tout ce que je raconte ici sur la
Chine n’est pas forcément de source sure, la chine a un peu perdu en crédibilité
depuis cette pandémie.
89/ Que se passerait-il si le pourcentage de décès des
personnes infectées par le coronavirus s’élevait, non pas à 2%,
mais à 98% ?
Le danger actuel du coronavirus ne provient pas de son taux de mortalité élevé mais
de la large contamination qui sature les systèmes de santé.
Ce qui fait le danger de ce virus, c'est le grand nombre de personnes contaminantes
qui ne se sentent pas malades et transmettent la maladie.
Si le décès des personnes se fait rapidement après la contamination, alors l'épidémie
diminuera car les malades meurent avant même de contaminer d'autres personnes.
Le virus Ebola a un fort taux de mortalité, mais les gens sont malades rapidement et
ne peuvent donc pas contaminer d’autres personnes sans s'en rendre compte. Ce
virus est très mortel individuellement, par contre il ne peut créer de grande épidémie
mondiale.
Si le décès intervient après une longue période d'incubation, dans ce cas on combine
un fort taux de contagion et un fort taux de mortalité. Si cette combinaison arrive un
jour, l’humanité serait en danger et une vraie déferlante de malades zombies
marcheraient dans les rues...
• Phase 1 : Durant les premiers jours d'une infection chez l'Homme, le COVID-19
envahit rapidement les cellules pulmonaires. Ces cellules se classent en deux
catégories : celles qui produisent le mucus et d'autres, dotées de petits filaments
semblables à des poils appelés cils cellulaires. Malgré son aspect repoussant, le
mucus exerce un rôle crucial dans nos poumons, il aide à protéger le tissu
pulmonaire contre les agents pathogènes et veille à ce que notre organe
respiratoire ne s'assèche pas. Les cellules ciliées se mettent en mouvement autour
du mucus et se désencombre des débris comme le pollen ou les virus.
Il est légitime de se demander pourquoi un virus respiratoire est présent dans nos
autres organes tels que nos intestins ou ailleurs. « Le SRAS peut facilement pénétrer
tout type de cellules, » déclare Anna Suk-Fong Lok, vice-doyenne aux recherches
cliniques à l'école de médecine de l'université du Michigan et ex-présidente de
l'American Association for the Study of Liver Diseases. Cependant, Frieman rappelle
que nous ne savons pas à ce jour si le coronavirus de cette année suit le même mode
opératoire. Les chercheurs pensent que COVID-19 utilise le même récepteur que le
SRAS, un récepteur que l'on trouve à la fois dans nos poumons et notre intestin grêle.
Les scientifiques ne comprennent pas vraiment pourquoi certaines victimes du
covid-19 présentent des complications en dehors des poumons, mais elles pourraient
être liées à des problèmes de santé sous-jacents comme les maladies cardiaques ou le
diabète.
Dès que le virus s'infiltre dans votre organisme, il “chasse” les cellules munies de ses
passerelles préférées : des protéines situées à l'extérieur de la cellule appelées
récepteurs. Si le virus trouve une cellule avec un récepteur compatible, l'invasion
peut commencer. « Même si le virus n'atteint pas directement les reins, le foie, la rate
ou d'autres systèmes, il peut avoir de sérieux effets de ruissellement sur tous ces
processus, » précise Frieman. Et c'est là que les choses sérieuses commencent.
• Le foie : Lorsqu’un virus s'est introduit dans votre système sanguin, il peut
“naviguer” jusqu'à n'importe quelle partie de votre corps. Le foie est un organe
très vascularisé donc un coronavirus peut facilement s'y introduire. Lorsqu'un
coronavirus zoonotique se propage depuis le système respiratoire. Le foie est l'un
des premiers organes à en subir les conséquences. Les médecins ont décelé des
signes de lésion hépatique avec le SRAS, le MERS et le COVID-19. Généralement
modérées, elles mènent parfois à des dommages irréversibles et même à des
insuffisances hépatiques dans les cas les plus graves. Les scientifiques ne
comprennent pas encore totalement la façon dont ces virus respiratoires se
comportent dans le foie. Peut-être le virus infecte-t-il directement le foie en se
répliquant puis en tuant lui-même les cellules. Ou peut-être que ces cellules ne
sont que des victimes collatérales de la réaction inflammatoire démesurée
provoquée dans le foie par notre système immunitaire. Il est à noter que
l'insuffisance hépatique n'a jamais été l'unique cause de décès pour les patients
atteints du SRAS.
• LES REINS : Puisque les reins filtrent en permanence le sang, les cellules
tubulaires peuvent parfois retenir le virus et provoquer des lésions momentanées
et modérées. Des études scientifiques ont montré que le COVID-19 pouvait
entraîner des dégâts similaires lors des précédentes épidémies. Rappelons que
Kidney International, 91,7 % des malades du SRAS souffrant d'une insuffisance
rénale aiguë sont morts ! Ces lésions aux reins peuvent devenir mortelles si le
virus pénètre les cellules et commence à se répliquer. Cependant, comme le
souligne Lai qui faisait également partie du groupe de chercheurs à l'origine de
l'étude parue dans Kidney International, il n'y avait aucune preuve de la
réplication du virus SRAS dans les reins. Cette découverte suggère que
l'insuffisance rénale aiguë des patients atteints de SRAS serait due à un
ensemble de causes diverses, notamment une pression artérielle basse, un sepsis,
les effets des médicaments ou une perturbation du métabolisme. L'insuffisance
rénale aiguë peut également occasionnellement être provoquée par la prise
d’antibiotiques, la défaillance d'autres organes ou le fait d'être relié pendant
trop longtemps à une assistance respiratoire, etc.
Les personnes concernées par l'épidémie dans cette population sont les personnes
saine (ou "susceptibles") du groupe 1 et les infectés des groupes 2, 3 et 4. Quand ils
guérissent, "ils entrent dans la catégorie des immunisés, et donc forcément, il y a de
moins en moins de matière première pour le virus".
La fin d’une épidémie peut se faire de plusieurs manières :
• La fin d’une épidémie peut se faire grâce à l’environnement. Le SRAS [Syndrome
Respiratoire Aigu Sévère] s’est arrêté il y a quelques années au Vietnam parce que
les températures étaient trop élevées pour l’environnement et pour le virus",
explique sur LCI le Dr Gérald Kierzek. La limite environnementale du
Covid-19 n'est toutefois pas encore connue, rappelle François Renaud.
• La fin d’une épidémie peut se terminée grâce aux moyens développer par
l’humain. Cela dépend de beaucoup de chose, comme de la prise en charge des
malades aux mesures préventives, viennent en fait en renfort de ces entraves
naturelles. Les campagnes de vaccination une fois qu’un vaccin existe,
les quarantaines mises en place bien respecté.
1. Type A - 38%
2. Type B - 26%
3. Type AB - 10%
4. Type O - 25%
Il a été découvert pour la première fois au États-Unis en 1930 sur des volailles.
L'année suivante, un médecin décrit dans un article la maladie qui cause une
détresse respiratoire et une diminution dans la ponte et la qualité des œufs.
106/ Quels sont tous les hôtes et tous les symptômes des
coronavirus ?
Les groupes de coronavirus ont normalement un hôte par espèce animal spécifique
(mammifères, oiseaux ou reptiles). Il arrive par mutation que le coronavirus change
d'hôte. De telles mutations ont conduit à l'apparition de souches causant de graves
infections chez l'homme (SRAS, MERS et Covid-19).
Les hôtes Idéaux des coronavirus étaient des vertébrés volants à sang chaud comme
les chauves-souris et les oiseaux. Ces espèces-réservoir assurent l'évolution et la
dissémination des coronavirus.
Les symptômes varient d’une espèce à l’autre, chez d'autres espèces. La poule
développe comme l’humain des problèmes aux voies respiratoires supérieures !
La vache et le porc développe de la diarrhée.
L'être humain abrite naturellement quatre types de coronavirus bénins, qui
provoquent des infections des voies respiratoires, comme le rhume, et plus rarement
affectent les systèmes gastro-intestinaux, cardiaques et nerveux.
Le stade 1 est celui où le virus n'est pas en circulation générale dans la population ; il
doit permettre de freiner l'introduction du virus en France ;
Le stade 2 a pour objectif de freiner la propagation du virus sur le territoire ;
Le stade 3 correspond à une circulation libre du virus sur le territoire, et vise
l’atténuation des effets de la pandémie11 ;
Le stade 4 constate le retour à une situation normale.
• Les marchés baissent en même temps que le pétrole, ce qui peut rendre difficile
l'accès des entreprises françaises à certains financements. Ensuite, et c'est
l'essentiel, parce que les Etats-Unis sont désormais exportateurs nets de pétrole.
• Le pétrole plonge après les mesures décidées par Trump pour combattre le
coronavirus
Des producteurs de pétrole risquent de faire faillite, leur prix d'exploitation étant
parfois supérieur à celui du baril. Et d'autres auront moins intérêt à investir. Comme
l'économie américaine représente un quart du PIB mondial et que la France exporte
42 milliards d'euros de biens vers les Etats-Unis, certaines entreprises françaises
pourraient en souffrir.
Sans compter les entreprises qui vendent aux autres pays producteurs, comme la
Russie et l'Arabie saoudite.
• Arrêtons l’élevage intensif qui crée des virus comme le covid-19. Les nouvelles
épidémies et pandémies ont souvent pour origine les animaux sauvages
(SRAS, COVID-19) ou d’élevage (grippes porcine et aviaire, vache folle).
Aujourd'hui, une écrasante majorité des animaux sont élevés de façon
intensive, confinés par milliers dans des élevages surpeuplés et insalubres. En
plus d'être terribles pour les animaux, ces conditions sont propices aux
maladies.
• Arrêtons l'idée dualiste qu'il n'existe que deux possibilités dans la nature, à
savoir être prédateur ou la proie, celui qui tient le flingue et ou celui qui lève
les mains. Toute ces conspirations politiques et de volontés hégémoniques ne
prouvent pas du tout que nous sommes au summum de notre évolution, la
recherche du bonheur et de la liberté de tous les peuples résonne trop
faussement dans les discours politiques... Punissons les hommes politiques
corrompus ou menteurs, il ne faut plus d’indulgence.
• Arrêtons le crime écologique que nous faisons. Nous brulons des forêts,
l’élevage et la production de soja pour nourrir les animaux que l'on mange
sont les premières causes de déforestation dans le monde. L’élevage bovin à
lui seul est responsable à 63% de la destruction de la forêt amazonienne.
Chaque repas sans produits animaux allège notre empreinte sur la forêt et ses
habitants. Nous créons une extinction des animaux, les poissons de rivières et
de nos océans disparaissent et sont de moins en moins nombreux chaque
année, 4 heures : c’est le temps d’asphyxie que subissent chaque année dans le
monde, plus de 1000 milliards de poissons tués pour finir dans nos assiettes.
Une agonie lente et douloureuse. Comme tous les autres animaux, les
poissons sont des êtres sensibles. Nous ne les entendons pas crier, mais leur
souffrance est bien réelle. En France 99,9% des lapins sont enfermés dans des
élevages intensifs. Ils passent leur vie entière sur une surface équivalente à
une feuille A4, la vie de ces lapins est lamentable et misérable, 95% des
cochons sont enfermés en bâtiment. Ils ne verront la lumière du jour qu'à leur
départ pour l'abattoir, chaque année en France, 20 millions d'oiseaux naissent
dans ce type d'élevage pour être abattus par les chasseurs. 50 millions de
poussins vivent l’enfer chaque année en France, simplement parce qu’ils sont
nés mâles et ne pondront pas d’œufs.
• Arrêtons la pollution industrielle et la dispersion de poisons chimiques et
d'éléments radioactifs dans la nature. Les d'additifs chimiques dans mon
alimentation, et nous continuons de croire qu’ils sont utiles et sans danger.
• Arrêter de dire que je ne peux rien faire à ma petite échelle pour changer ou
l'améliorer car je ne suis pas le président Américain ou Chinois, il n'appartient
qu'à nous d'ouvrir la voie à un monde meilleur et bienveillant envers tous.
Soyons le changement que tous les animaux attendent. Arrêtons de fermer les
yeux et créons une véritable opposition