Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
2019
EAMAC (ASECNA)
TECHNICIENS & TECHNICIENS SUPERIEURS
NIVEAU BACCALAUREAT
∑ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
FEXT = 𝑀𝑎 ⃗⃗⃗⃗𝐺
𝑛𝑥 𝑛 (𝑛 − 1)𝑥 2
(1 + 𝑥 )𝑛 1 + + +⋯
1! 2!
Exercice 1 :
A l’aide d’une intégration par parties, calculer les intégrations suivantes
1) I = ln 1
2) J =
²
Exercice 2 :
Soit l’application de définie par
F(z) = 2 3 4 6 8
2. on désigne par la solution de (E) ayant une partie imaginaire positive, par la
solution réelle et par l’autre solution. Montrer qu’il existe un nombre complexe q tel
que = q soient , les points du plan complexe d’affixes
respectives ,
Exercice 3 :
Soit la suite numérique de terme général , n appartenant à N* ; définie par :
1) Calculer , ,
2) Montrer que, pour tout entier naturel non nul, on a : 0
En déduire que la suite ( converge
3)
a) Montrer que la suite de terme général définie par = 0 est une
suite géométrique dont on déterminera la raison et le premier terme
b) En déduire lim
→
c) En déduire également l’expression de en fonction de n et calculer lim
→
Exercice 4 :
Partie I :
Soit l’équation différentielle (1) : y’’ – 4y’ + 4y = 0
1) Déterminer une solution de (1) de la forme (x) = où r est un nombre réel.
2) Montrer que la fonction telle que est aussi une solution de (1) (r
étant la valeur trouvée précédemment)
3)
a) Vérifier que pour tout couple des réels la fonction
est solution de (1)
b) Calculer pour que 0 0
Partie II
f et g sont les fonction de définies par :
f(x) = 1 1
(C) et (T) leurs courbes représentatives :
On se propose de trouver les points d’intersection de (C) et (T) dont l’abscisses α est
strictement positive.
1) Montrer que α est nécessairement strictement inférieur à 1.
2) Soit une fonction 0,1 é : 4
Exercice 1 :
Calculons les untergrales :
1) I = ln 1
On a : I = ln 1
Posons u(x) = ln(x + 1 ) →
Et par v’(x) = 1 →
Il vient que : I = 1
= ln2 1 2 | 1|
= 2ln2 – 1
Donc I = 2 ln 2 – 1
2) J =
²
On a : J =
²
Exercice 2 :
Soit l’application de définie par :
F(z) = 2 3 4 6 8
1.
a) Calculons f(i)
On a : f(i) = 2 3 4 6 8
= 2 3 4 6 8 4 4 8 8 0
Donc f(i) = 0
On a : f(z) = (z – i) (z² + az + b) =
ie f(z) = (2)
2 3
(1)= (2) et par identification des termes, on a:
8
D’où a = 2 + 4i et b = 8i
– –
Il vient donc que: = - 4i
Et = -2
Nature du triangle , ,
On pose: ; ,
On a: ∈
Exercice 3:
Soit la suite numérique de terme général n appartenant à * , définie par:
1) Calculons ,
On a:
2 1 3 3 1 3
2 2 4 4 2 8
3 1 4 2 3 1
2 3 6 3 8 4
On a : P(n) vrai 0
0
0
Donc 0 1 est aussi vrai
Conclusion
La propriété P étant aussi vrai au rang n + 1 on conclut que pour tout
entier naturel non nul, on a : 0
3)
a) Montrons que la suite de terme général définie par
0 est une suite géométrique dont on déterminera la raison et le
premier terme
On a :
Donc est une suite géométrique de raison q = et de premier terme
On a :
b) Déduisons lim
→
= lim
→
lim 0 Donc
→ →
Exercice 4:
Partie:
Soit l’équation différentielle (1): y’’ – 4y’ + 4y = 0
1) Déterminons une solution de (1) de la forme où r est un
nombre réel
On a : =x 2 → =x
2 2 2 4
ie 4 4
4 4 4 4 4 8 4
4 4 4 4 4 4 8
=0 8 8 0
Ainsi, 4 4 0 donc est aussi une
solution de (1)
3.
a) Vérifions que pour tout couple des réels ( , la fonction
est solution de (1)
On a: = → ′ = ′ ′
et ′′ = ′′ ′′
Ainsi 4 ′′ ′′
4 4
= ′ 4 4 ′′ 4 4
= 0 0
Donc ′ 4 0 donc est solution
de (1)
D’où et
Partie II :
f et g sont les fonctions de définies par :
f(x) = 1 et g(x) = 1
(C) et (T) leurs courbes représentatives :
On se propose de trouver les points d’intersection de (C) et (T) dont
l’abscisses α est strictement positive
1
lim lim 4 ∞
→ → 1
lim lim 4 ∞
→ →
Dérivée et sens de variation
La fonction est dérivable sur , et on a :
4 = 4
²
√ √
Donc
² ²
On en déduit donc le tableau de variation de la fonction par :
x √2 √2
-1 2 2 1
+ - +
+∞
√
f
√
f 0
-∞
Exercice 1 :
1) Résoudre dans l’ensemble des nombres complexes, l’équation
suivante :
iz² - 2iz + i – 2 = 0
Exercice 2 :
Le PDG d’une entreprise vous confie que pendant une période d’hiver, ses
observations lui ont permis de dresser le tableau suivant dans lequel x
désigne en degrés la température moyeznne extérieure au cours de 24 heures
et y la consommation en fuel (exprimée en lires) de sa chaudière au cours de
ces même 24 heures.
-5 -3 0 5 10
40 38 34 27 20
Exercice 3 :
Déterminer les primitives des fonctions suivantes :
TRIUM EDU TRIUM EDU
Email: contact@triummedia.com Tel : +237 699437061 / 672153615
www.trium-edu.com www.trium-edu.com
f(x) =
Exercice 4:
On considère la function f(x) = x - ln| |
1) Etudier les variations de cette fonction et tracer son graphique (C).
(unité graphique 1 cm)
2) On coupe (C) par la droite d’équation y = x + m. Montrer qu’il y a
toujours deux points d’intersection et trouver l’ensemble des
positions du milieu, I de
3) Calculer l’aire de la partie du plan comprise entre la courbe (C), la
droite d’équation y = x et les droites d’équation x = 1 et x = e
Exercice 1 :
1) Résolvons dans l’ensemble des nombres complexes, l’équation
suivante :
iz² - 2iz + i -2 = 0
on pose : ∆ 2 4 2 4 4 8 8 ∆ 8
cherchons les raciness carrés de ∆
soit u = x + iy une racine carré de ∆, alors u² = ∆
ainsi, u² = ∆ → ∆ 8 → 2 8
0
par identification des termes, on a :
4
par ailleurs, u² = ∆ → | ²| |∆| → | ²| |8 | → 8
on obtient donc le système d’équation suivante
0
8 la résolution de ce système donne pour solution :
4
S’ = ; ; ;
D’où 1 2
Donc S = {i ;1 + 2i}
On a :
Donc
Exercice 3:
Déterminons les primitives des fonctions suivantes:
f(x) =
on a: f(x) = 1
donc f(x) = sinx – sinxcos²x
Donc F(x) = , ∈
Exercice 4 :
On considère la fonction f(x) = x - ln| |
1) Etudions les variations de cette fonction et traçons son graphique (C)
(unité graphique 1 cm)
Domaine de définition
f existe sssi x 0
d’où * = ∞; 0 ∪ 0; ∞
Limites aux bornes du domaine de définition
Exprimons tout d’abord la fonction f sans le symbole de valeur absolue
x -∞ 0 +∞
x - +
| | -x x
f(x) x-ln(-x) X - lnx
ln ∈ ∞; 0
D’où f(x) =
ln ∈ 0; ∞
ln
lim lim ln lim 1 ∞
→ → →
lim lim ln 0 ∞ ∞
→ →
lim lim ln 0 ∞ ∞
→ →
ln 1 ∈ ∞; 0
f’(x) =
ln 1 ∈ 0; ∞
∈ ∞; 0
soit donc f’(x) = ie ∀ ∈
∈ 0; ∞
signe de f’(x)
x -∞ 0 1 +∞
x - + +
x-1 - - +
f’(x) + - +
-∞
1
De même
lim lim lim 1 =1 ie
→ → →
Représentation graphique
x’
y=x
y’
A= 1
A = 1 en unité d’aire
Exercice 1 :
1) Résoudre l’équation différentielle : 2y’ + y = 0 (E) où u est une
fonction définie et dérivable sur
2) On considère l’équation différentielle : 2y’ + y =
2
a) Déterminer deux réels a et b tels que la fonction définie sur par
f(x) = ² soit une solution de (E’)
b) Soit g une fonction définie et dérivable sur Montrer que : g est
solution de (E’) si et seulement si f – g est solution de (E)
c) Résoudre l’équation (E’)
Exercice 2 :
On considère la fonction numérique u définie sur]0 ; +∞ par : u(x) = 1 – lnx
1) Etudier le signe de u(x)
2) Soit la fonction g d éfinie sur]0 ; +∞ par : g(x) = x (1 – lnx)
a) Déterminer g’(x)
b) En déduire une primitive U de u sur]0 ; +∞ qui s’annule en e²
3) On considère la suite V définie sur : 1
a) Justifier que pour tout entier naturel n, on a : 0
b) Calculer en fonction de n
c) Déterminer la limite de V
4) Pour tout entier naturel n, on pose : ∑ ⋯
a) Exprimer en fonctio de n
b) Déterminer la limite de
Exercice 3 :
1) Recopier et compléter le tableau suivant :
Exercice 4 :
1) On considère la fonction g définie sur :
2 2
a) Dresser le tableau de variation de g
TRIUM EDU TRIUM EDU
Email: contact@triummedia.com Tel : +237 699437061 / 672153615
www.trium-edu.com www.trium-edu.com
Exercice 1 :
1) Résolvons l’équation différentielle : 2y’ + y = 0 (E) où y est
une fonction définie et dérivable sur
On a : 2y’ + y = 0 → 0 → , ∈
2) On considère l’équation différentielle : 2y’ + y = =
2
a) Déterminons deux réels a et b tels que la fonction f définie sur
f(x) = soit une solution de (E’) on a :
f(x) = → 2 ie
f’(x) = 2
ainsi, 2f’ + f = 2 ⇔
4 2 2
⇒ 4 2 2
4 1
Et par identification ⇒
2 2
Exercice 2:
On considère la function numèrique u définie sur ]0 ;+ ∞ par : u(x) = 1 –
lnx
1) Etudions le signe de u(x)
0; ∞ ; lim ∞ lim ∞
→ →
u est dérivable sur 0; ∞ comme somme de fonction dérivable sur
0; ∞ et on a :
u’(x) = (1 – lnx)’ = ∀ ∈ 0; ∞ ; ′ 0 d’où le tableau
de variation de la fonction u suivant
x 0 1 +∞
u’(x) -
u(x) +∞
-∞
b) Déterminons la primitive de u
On a : U(x) 1
ie U(x) = x + , ∈
donc U(x) = x + x (1 – lnx) + c = x (2 – lnx) + c
d’où U(x) = x (2 – lnx)
U(x) = x (2 – lnx)
⇒1 0 1 0→ 1 0
Donc 0
b) Calculons en fonction de n
1 2
= 1 2
Donc
c) Déterminons la limite de
lim lim 1 2
→ →
lim 0
→
Donc
→
2 1
………
………
2 3
1 2
2
⋯
Donc
b) Déterminons la limite de
lim lim
→ →
Donc
→
Exercice 3 :
1) Recopions et complétons le tableau suivant :
Donc
3)
a) Donnons la loi de probabilité de X
D’après les régles du jeu, on voit que X = {0, 5000, 8000, 10000}
Déterminons dans chaque cas, P(X
Calcul de P(X = 0)
Pour que le joueur ne gagne rien, il faut qu’il tire un carton portant un
bombre complexe donc le module est √2 au premier tirage et au
deuxième tirage ou alors qu’il tire un carton portant un nombre
complexe de module 2 au premier tirage et un carton portant un
nombre complexe de module √2 au deuxième tirage.
Ainsi : P(X = 0) =
Verification:
Donc
E(X)
Exercice 4 :
1) On considère la fonction g définie sur
2 2
a) Dressons le tableau de variation de g
x ∞ α ∞
g’(x) -
g(x) ∞
²
=
²
=
²
=
²
Donc
f’(x) =
²
x ∞ α +∞
f’(x) + -
f(x)
f(α)
∞ 0
x’ x
Par ailleurs, ∀ 1 ∀ ∈ ; 1 2 2
→ →
→ →
→ 1 2
Des relations (1) et (2) on conclut que ∀ 1∶0 1
b) Déterminons un entier naturel tel que pour tout n ; 0
10
On pose : 1 10 → 5 10 1
ie n 11,05 prendre
Exercice 1 :
Une urne contient 5 boules blanches et 4 boules rouges indiscernables au toucher. On
effectue 3 tirages successifs d’une boule en respectant la règle suivante : si la boule tirée
est rouge, on la remet dans l’urne. Si elle est blanche, on ne la remet pas.
On considère les événements suivants :
A = « seule la première boule tiréeest blanche »
B = « seule la deuxième boule tirée est blanche »
C = « seule la troisième boule tirée est blanche »
1) Calculer les probabilités des événements A, B et C
2) En déduire la probalilité qu’on ait tiré une seule boule blanche à l’issue des trois
tirages.
3) Sachant que l’on a tiré exactement une seule boule blanche, qu’elle est la
probabilité que cette boule ait été tiréeen dernier ?
Exercice 2 :
A) Soit la fonction f définie sur 0; ∞
Soit g la fonction définie sur 0; ∞ par g(x) = x² + lnx – 2
1) Etudier les variations de g et dresser son tableau de variation
2) a) montrer que l’équation g(x) = 0 admet une unique solution α et que 1,30
1,35
c) En déduire le signe de g(x) suivant les valeurs de x
B) Soit (C) la courbe représentative de f dans le plan muni d’un repère orthonormé
(unité graphique : 2 cm)
1) Calculer et dresser le tableau de variation de f
2) Tracer la courbe de (C)
Exercice 3 :
Linéariser f(x) = 4sin²(x) cos²(x) et donner une primitive de f
Exercice 4 :
Résoudre dans l’ensemble Cdes nombres complexes l’équation :
z² +zisinx 0 ,0
Exercice 1 :
1) Calculons les probabilites des événements A, B et C
A = « seule la première boule tirée est blanche »
A est possible si à l’issue des trois tirages on obtient une boule blanche que
l’on a tiré au première tour, c’est-à-dire que : l’on a une boule blanche au
premier tirage et une boule rouge au deuxième tirage et une boule rouge au
troisième tirage.
Donc P(A) =
P(A) =
2) Déduisons la probabilité qu’on ait tiré une seule boule blanche à l’issue
des trois tirages
P ,
Exercice 2 :
A) Soitla fonction f définie sur 0; ∞ par f x
Soit g la fonction définie sur 0; ∞ par g(x) = x² + lnx – 2
1) Etudions les variations de g et dressons son tableau de variation
Domaine de définition
0; ∞
Limites
lim lim x² lnx – 2 ∞
→ →
Tableau de variation
x 0 α +∞
g’(x) +
g(x) +∞
-∞
Et ∀ ∈ ; ∞ , 0
B) Soit (C) courbe représentative de f dans le plan muni d’un repère
orthonormé (unité graphique : 2 cm)
1) Calculons f’(x) et dressons le tableau de variation de f
∀ ∈ 0; ∞,
²
ie f’(x) =
²
x 0 α 1,30 +∞
f’(x) - +
f(x) +∞ +∞
f (α) 1,86
y=x
0 1 2
Exercice 3 :
Linéarisons f(x) = 4sin²(x) cos²(x) et donnons une primitive de f
= 4
Donc
f(x) =
Déduisons la primitive F de f
F(x) = 4 ∈
Exercice 4:
Résolvons dans l’ensemble C des nombrescomplexes l’équation :
z² +zisinx 0 ,0
on pose ∆ 4 1 1 ²
ainsi,
d’où S= ;
Exercice 1 :
1. Vérifier que pour tout réel x, on a : 1
2. Calculer I =
3. a) déterminer une primitive sur de la fonction f définie par :
f(x) =
J=
Exercice 2 :
Une maladie est apparue dans le cheptel bovin d’un pays. Elle touche 0,5%
de ce cheptel.
1. On choisit au hasard un animal dans le cheptel. Quelle est la probabilité
qu’il soit malade.
2. a) on choisit successivement au hasard 10 animaux. On appelle X la
variable aléatoire égale au nombre d’animaux malades parmi eux.
Montrer que X suit une loi binomiale dont on donnera les paramètres.
Calculer son espérance mathématique.
b)on désigne par A l’événement « aucun animal n’est malade parmi les
10 ». On désigne par B l’événement : « au moins un animal est malade
parmi les 10 ». Calculer les probabilités de A et B.
Exercice 3 :
I. Soit la fonction g définie sur IR par : g(x) = 1 1 ²
1) Etudier les variations de g et dresser son tableau de variation.
2) Montrer que l’équation g(x) = 0 admet une solution unique α telle
que 0,78 0,79
3) En déduire le signe de g(x) sur
II. Soit la fonction f définie par : f(x) = 1 ²
(C) désigne la courbe représentative de f dans un repère orthogonal
, , d’unité graphique 2 cm en abscisses et 5 cm en ordonnées.
1. déterminer l’ensemble de définition de f et déterminer les limites
de f aux bornes de cet ensemble
2. a calculer f’(x) et montrer que pour tout réel x, f’(x) =
²
b) etudier le signe de f’(x) et dresser le tableau de variation de f
3.a montrer f(α) =
b) etudier les branches infinie de (C)
4. construire (C) (on prendra 0,785 .
Exercice 4 :
1) Donner sous forme trigonométrique les solutions de l’équation (E) :
∈ , 4√2 1
Exercice 1 :
1) Vérifions que pour tout réel x, on a : 1
On a : 1
Donc 1
1
1 1 1
2) Calculons I =
On a: I = 1 2
1 1
= |1 |
Donc
I=
f(x) =
on a : f(x) = →
1 1
→
1 3 1 1
Donc F(x) =
J= posons u = x u=1
Et v’ = →
Ainsi, J =
Donc J=
Exercice 3 :
I) Soit la fonction g définie sur IR par : g(x) = 1 1 ²
1) Etudions les variations de g et dressons son tableau de variation.
Domaine de définition
La fonction g est définie sur
Limites
lim lim 1 1 ² ∞
→ →
lim lim 1 1 ² ∞
→ →
Dérivée et sens de variation
La fonction g est dérivable sur comme somme et composée de
fonction dérivables sur et on a :
g’(x) = 1 √1 √1 √1
²
= √1
√
² ²
= donc g’(x) =
√
Or ∀ ∈ ,1 2 √1 → 0 0
√
La fonction g est donc décroissante sur , on déduit donc son tableau de
variation par :
x ∞ α ∞
g’(x) -
g(x) ∞
0
∞
2) Montrons que l’équation g(x) = 0 admet une solution unique α telle que
0,78 0,79
D’après le tableau de variation ci-dessus, la fonction g est continue et
strictement décroissante sur , de ce fait elle réalise donc une bijection
de → . De plus 0∈ donc l’équation g(x) = 0 admet une solution
réelle α.
Par ailleurs, g(0,78) 0,79 0 0,78 0,79
3) Déduisons le signe de g(x) sur
De ce qui précéde,
∀ ∈ ∞; , 0
∀ ∈ ; ∞, 0
Donc
Limites
lim lim 1 ² ∞
→ →
= lim 1 ² ∞ ∞ 1 ∞
→
Donc lim ∞
→
on a : f’(x) = 1 ²
²
donc
f’(x) = x²
²
par ailleurs,
²
f’(x) = x²
√ √ ²
= donc
²
f’(x) =
²
x ∞ 0 α ∞
g(x) + + -
-x + - -
-xg(x) + - +
x ∞ 0 ∞
f’(x) + - +
f(x) -1 ∞
∞ f(
3. a) montrons f ( =
on a : f ( = 1 ² or g ( =0 1 √1 0
ie 1 ²
ainsi, f ( = √1
donc
f( =
√1 1
lim lim lim 1
→ → → 3
lim 1 ∞
→ ²
√1 1
lim lim lim 1
→ → → 3
lim 1 ∞
→ ²
4. courbe représentative de f
on a : f ( = 1,11 ù 0,785
f(
Exercice 3:
1) donnons sous forme trigonométrique les solutions de l’équation (E) :
∈ , 4√2 1
√ √
On a : 4√2 1 4√2 √2
=8
=8 2
Posons z = → 2 → 2
2 2
3 2
3 2 , 0; 1; 2
4 4 3
2
pour k = 0
→ 2 2
2
pour k =1
→ 2 2
2
pour k = 2
→ 2 2
√ √
on a : √2 √2 2 8
√ √
8 8
= 4√2 4 √2 4√2 1
Donc √2 √2 4√2 1
Montrons l’équivalence :
On a : 4√2 1 √2 √2 → √2 √2
Ainsi, √2 √2 → 1 1
√ √ √ √
Donc 1
√ √
posons : u = , 1 1
√ √ √ √
or 1 →
√
pour u = 1→ 1→ √2 √2
√ √
√ √
Pour u = → →
√ √
√ √ √ √ √
√2 √2
√ √
Pour u = →
√ √
√ √ √ √ √
z= = √2 √2
√ √ √ √
√2 √2
√6 √2 √6 √2
2 2
√ √ √ √ √
On a : z = √2 √2
√6 √2 √6 √2
→2
2 2
√ √ √ √
→2
11 11 √ √ √ √
→2
12 12
11 11 √ √ √ √
→
12 12
11 √ √
12
→
11 √ √
12
DEUXI7ME PARTIE :
EPREUVE DE PHYSIQUE ET CORRIGES
Exercice 1 :
Un joueur de tennis frappe la balle à une hauteur h = 2,40 m. L vecteur
vitesse de la balle est dirigé vers le bas, fait un angle α = 10 avec
l’horizontale et a une valeur 30 / .
1) Faire un schéma en représentant le vecteur vitesse dans un repère
(O, X,Y)
2) Etablir les équations horaires du mouvement de la balle x(t) et y(t)
3) En déduire l’équation de la trajectoire
4) La balle passera-t-elle au dessus du filet de 0,9 m situé à 11,89 m du
joueur ?
5) Quellesera la vitesse de la balle en touchant le sol ?
On donne : g = 10 N/kg
Exercice 2 :
Dans une expérience de Melde, un vibreur de fréquence N = 100 Hz, produit
sur une corde AB de longueur l = 1m des ondes stationnaires avec un nœud à
chaque extrémité (il n’y a pas d’autre nœuds). La corde est soumise à la
tension F = 400 N.
1) Qu’appelle-t-on ondes stationnaires ?
2) Shématiser l’aspect de la corde
3) Calculer la masse M de la corde
4) La largeur maximale d’un fuseau ou vente est de 4mm. Etablir
l’expression de l’élongation d’un point M de la corde, situé à la
distance x de l’extrémité fixe
TRIUM EDU TRIUM EDU
Email: contact@triummedia.com Tel : +237 699437061 / 672153615
www.trium-edu.com www.trium-edu.com
Exercice 3 :
Une bobine de section circulaire est constituée par un fil de cuivre de
longueur bobiné régulièrement. On suppose que les spires sont
pratiquement situées dans un plan perpendiculaire à l’axe du solénoîde.
La longueur de la bobine vaut l = 1000 mm, son inductance a pour valeur
L = 85 mH.
1) Calculer la longueur du fil de cuivre. On donne μ 4 0 SI
2) Cette bobine est montée en série avec un conducteur ohmique aux
bornes d’un générateur de tension continue. Lorsqu’on ferme le circuit
par l’intermédiaire d’un interrupteur K, l’intensité du courant passe de
0 à sa valeur maximale 2 en une durée 50 . lculer
la valeur moyenne de la force électromotrice fém d’auto-induction.
3) On ouvre maintenant l’interrupteur K.
a) Que peut-on observer ?
b) Comment annuler cet inconvénient en utilisant une diode et un
conducteur ohmique.
c) Montrer que la dérivation introduite ne modifie pas le
fonctionnement en régime permanent.
4) Calculer l’énergie électromagnétique libérée dans le circuit lors de
l’ouverture de l’interrupteur.
Exercice 4 :
1) On branche un volmètre aux bornes d’une source de courant alternatif.
Il indique 220V. La fréquence du courant est 50 Hz. Quelle est la
valeur maximale de la tension de la source ?
2) On dispose en série aux bornes de la source précédente un conducteur
ohmique de résistance R, une bobine B de résistance r et d’inductance
Exercice 1 :
1) Schéma en représentation le vecteur vitesse dans un repère (O,
X, Y)
y
0 x
0
→
A t = 0, 0
Et 0
D’où V(t) =
Or = 0 et = h il vient que :
Donc
y (x) =
²
On a : y(t) = x tanα x h
²
y(t) = 5,73 10 0,176 2,40
on a : y(x=11,89) = - 0,562 on voit que y(x = 11,89) 0,91 la balle ne
passera pas au-dessus du filet de 0,91 in situé à 11,89 m du joueur.
0,346 29,54
D’où 0,346
0,346 8,67
D’où 29,54 8,67 30,78
Donc
, /
Exercice 2 :
1) On appelle onde stationnaire le phénomène qui résulte de la
superposition d’une onde incidente et d’une onde réfléchie se
propageant en sens contraire de l’onde incidente sur une corde.
2) Aspect de la corde
3) Masse M de la corde
On sait que : C = 2 → 4 ²²
→μ →
4 ²² 4 ²
AN : M = 0,01 donc
²
M = 0,01 kg
On a : 2a = 4mm → a = 2mm = 2 10
M x
A B
→
L’onde incidente atteint le point M avant le point B la vibration au point M
présente donc une avance dans le temps de sur celle de B ainsi, à
l’instant t, le point M effectue le même mouvement que celui que reproduira
B à l’instant t + plus tard. Soit l’élongation de l’onde incidente au
point M on a :
t t
ie
2 2 2
t t
ie
= 2a cos
= - 2a sin
Donc
= - 2a sin
x = 25 cm = 0,25 m = ; 2 2
2 2
; 2 10
2 4 4
2 √2
→ 2 200 ù 4 10 200
2
Donc √
l →
2 2² ²
→ → →
2 μ μ μ
² ²
F= μ
ie F = 100N
Exercice 4 :
1) Valeur mximale
On sait que : √2 AN : 220√2 311,12
Donc ,
2)
a) Déterminons les impédances du conducteur ohmique, de la
bobine et Z de l’ensemble de la bobine et du condensateur.
On sait que : → 40 donc
,
,
: 34,51 ,
,
Z= : 62,85
,
Z = 62,85
Par ailleurs, √ → ² ² ²
²
De même : Z² = ² ² on obtient donc le système suivant
² ²
²
→ 2
² ²
→ 2 →
r=
, , ²
AN : r = 20 14,48Ω
Donc
r= ,
²
De même: →
, , ²
AN : L = 0,099 ù L = 0,099H
c) Calculons le déphasage
,
Tan AN: Tan 0,57 0,518
,
Donc ,
d) Exprimons i(t)
Or à t = 0, on pose u(t) =
u(t = 0) = → 1 0
donc u(t) = 311,12 314
le circuit étant inductif, le courant est en retard de phase par rapport à la
tension
d’où i(t) = √2 3,5 √2 4,949
Exercice 1 :
Les frottements sont néglifeables
On considère un ressort très long à spires non jointives de masse négligeable
et de raideur K. Le ressort est placé sur une table horizontale. On fixe l’une
des extrémités du ressort et on accroche à son autre extrémité un solide
ponctuel de masse m.
On déplace le solide de sa position d’équilibre d’une distance = 5 cm et
on abandonne sans vitesse initiale.
1.1) Faire le bilan des forces extérieurs s’exerçant sur la solide et montrer
que le système {ressort – solide – terre} est conservatif.
1.2) Pour une position x quelconque donner l’expression de l’énergie
mécanique du système en fonction de K, m, x et la vitesse V du solide.
Exercice 2 :
On relie l’extrémité O d’une lame vibrante à une corde tendue de longueur
OO’ = 2 m. La lame vibrante subit des oscillations sinusoïdales verticales de
fréquence N = 100 Hz et d’amplitude a = 3 mm. Ces vibrations se propagent
le long de la corde avec une célérité c = 20m/s
1) Calculer la longueur de l’onde .
2) Décrire le phénomène observé au moment où la corde est éclairée par
un stroboscope dont les fréquences prennent les valeurs :
200 ; 25 ; 50 et 102
Exercice 3 :
On place un élément chimique inconnu X dans une chambre d’ionisation.
Elle produit des ions qui sont introduits avec une vitesse nulle en
(voir la figure)
La masse des ions est notée m et on donne e = 1,6 10 .
1) Entre on applique une différence de potentielle U = .
Exprimer la vitesse des ions du trou B de la plaque en fonction
de n, e, m et .
2) En B ouverture très petite, les ions pénétrent avec une vitesse
horizontale dans une région où régne un champ magnétique
perpendiculaire au plan de la figure. Les particules sont détectées au
point C.
2.1) indiquer le sens du champ magnétique
2.2) déterminer la nature du mouvement dans le champ magnétique.
2.3) quelle est la vitesse en C ?
3) exprimer la distance BC en fonction de m, n, e, et B (où B est la
norme du champ magnétique)
4) on sait que X est ; soit isotope de masse atomique 59 du nickel qui
conduit à l’ion , soit de l’aluminium (isotope de masse atomique 27) qui
conduit à soit de l’argent (isotope de masse atomique 108) qui conduit
à . Caculer numériquement les distances BC correspondant à chacun des
trois ions.
On donne : B = 1T ; 1000 1,67 10
Chambre chambre d’
d'
ionisation accélération B
Exercice 4 :
Une bobine sans noyau de fer est formée de 2000 spires de 6 cm de diamètre,
reparties uniformément sur une longueur de 40 cm. Cette bobine est placée
en série avec un condensateur de capacité réglable (boîte de condensateur)
une résistance R = 60Ω et un milliampèremètre de résistance négligeable.
L’ensemble est branché aux bornes d’une prise de courant alternatif
sinusoîdal de fréquence 50Hz, de tension efficace 120V. L’intensité efficace
passe par un maximum 1,5A pour C = 318 µE.
On demande :
1.1) La valeur théorique de l’inductance de la bobine. On donne μ 4
10 .
1.2) La valeur de cette inductance déduite des résultets de l’expérience,
expliquer le sens de la différence entre les deux valeurs trouvées.
1.3) La valeur de la résistance R’ de la bobine.
2.) on considère maitenant une bobine dont on ne connait ni la résistance R
ni l’inductance L. On se propose de déterminer ces deux grandeurs. Pour
Exercice 1 :
A G (S)
A (S)
x' 0 x
G
On a : ∑ → 1
Suivant (x’x), la relation (1) s’écrit : →
0
(i)est une équation différentielle du second degré sans second membre et
linéaire en x. Cette équation traduit le fait que l’oscillateur est harmonique et
donc un tel système est conservatif.
Les fonctions solutions de (i) sont les fonctions x(t) de la forme
x(t) = avec = et 5
On a : x(t) = →
Donc V(t) =
Ainsi,
1 1
² ²
2 2
1 1
² ²
2 2
Donc
2.1) montrons que l’énergie potentielle élastique du ressort peut s’écrire sous
la forme
On sait que : → ²
Donc
Il vient donc que :
2.2) déduction de m et k
On a : 0,1 2,5 10 et par identification des termes :
1
0,1 → 0,2
2
1 2,5 10
2,5 10 → 2 20
2 5 10
Exercice 2 :
1) Calculons la longueur de l’onde
On sait que : AN : 0,2
donc ,
0 →
A t = 0 on a :
0 0 →
D’où 200
Donc
=
Donc
(en m)
donc k’ = {0 ; 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8 ; 9}
il y a donc également 10 points qui vibrent en opposition de phase avec la
source O.
La valeur de l’abscisse du point le plus proche de O.
On sait que x' = 2 1 , le plus proche du point O correspond à k = 0
ie
x 0 3
4 2 4
y 0 3 10 0 3 10 0
o
4 x
Exercice 3 :
1) Entre on applique une différence de potentiel U = .
Exprimons la vitesse des ions au trou B de la plaque en fonction
de n, e, m et . Appliquons à la particule le thèorème de
l’énergie cinétique entre les plaques .
On a : ∆ → .
Or F = q 0
D’où q
D’où donc
Champ champ
d'
ionisation d’accélération B
→ 1
Dans la base de frenet, (1) s’écrit :
→ 0 → 0 → 2
3) calculons BC
Calculons le rayon de courbe R
De (i), on a : F = → → 2
D’où R = U or BC = 2R
D’où
BC =
Donc BC ( 0,04963m=49,63 mm
,
BC = 1000 0,02741 27,41
,
,
BC = 1000 0,0949 94,9
,
donc
BC ( 0,0949 94,9
5) Element X correspondant
BC = 27,41 mm et d’après la relation (3) X ≡
Donc l’élément correspondant est l’Aluminium qui conduit à l’ion
Exercice 4 :
1.1) Valeur théorique de la bobine
On sait que : ∅ →
²
Or B =
² ²
² ² ² ²
D’où
² ²
Donc ² ² ²
²
² , ² , ²
AN : 0,0351 35,1
, , ²
Donc , ,
²
²
AN : 0,0318
²
Donc , ,
I= →
AN : R’ = 60 20 donc R’ = 20
,
r L, r
i(t)
u(t)
√2 √2
√2
√2
0 √2 x
Donc
AN : Z 25 43,95 donc ,
,
→ 2 .
2
2U² = 2 2 4
U² = donc
, ²
AN : 0,5
,
On sait que : →
Par ailleurs, Z →
ie 1 →
R=
,
AN : R = 21,975 donc R
√
Par ailleurs, →
→
Avec I = →
, ²
AN : 155,68
²
Donc ,
(E)
y
x o
Figure 2 D
Exercice 3 :
Un solide ponctuel S de masse m = 0,20 kg mobile sur une table à coussin
d’air horizontale, est accroché à deux ressorts identiques de masse
négligeable entre deux points A et B comme l’indique la figure ci-dessous.
Lalongueur à vide de chaque ressort est = 15 cm et la constante de raideur
k = 10 N/m. La distance des points d’attache A et B vaut L = 40 cm.
S
B
Exercice 4 :
On envisage la séparation d’un mélange naturel d’isotopes du nickel à l’aide
d’un spectrographe de masse. On néglige le poids des ions devant les forces
magnétiques.
L’échantillon est introduit dans la chambre d’ionisation (les ions
produits sont accélérés dans le vide entre 2 plaques parallèles par
une tension U de valeur absolue 3880 V.
(I)
→ ′
→ 2
Calculons HH’
On sait que : HH’ = IH’ – IH or IH’ = r cos et IH = r cosα
→ HH’ = r cos - r cosα = r cos cosα
Donc
→ 2 cos cosα
2 cos cosα
=m 3cos 2cosα
Donc
m
2.a) vitesse minimale notée que doit avoir la bille lors de son passage en
0 pour qu’elle puisse atteindre le point C.
En C, → 3 2cosα
La bille arrive en C si 0 → 3 2cosα 0
→ 3 2cosα 0 → 3 2cosα
3 2cosα on prendra donc
1 1
1 cosα → 2 1 cosα
2 2
→ 2 1 cosα donc
c)calculons la distance
Appliquons à la bille le T.E.C entre A et O
On a : On a : ∆ 0
→ 0
→ 3 2 donc
àt = 0,
0 0
0
D’où → (ii)
²
Après son passage en C, la bille effectue un mouvement plan dont l’équation
paramétrique est donnée par :
²
(III) dans (II) →
ie ²
AN : r = 20 cm = 0,2 m →
Y(x) =
Y(x) = 2,5 x²
On a : ∆ ∑ → 1
Or 0, .0 0 0 0 0
et | | ù 1 → | |
il vient que
| |
b) L’ion position est repoussée par la plaque 1 pour être attiré par la
plaque 2, donc 1 est reliée au potentiel positif et 2 au potentiel
négatif, d’où
0
Expression de
On a : ∆ | | | |
(E)
y
+ + + + + + + + + +
0 0 0 x α 0 0
z y
- - - - - - - - - - - -
D
Prenons pour système l’ion
Le référentiel est celui du laboratoire supposé galiléen
Les forces extériezurs sont :
: La force électrique
: Le poids de la particule négligeable devant la force électrique
Appliquons au système le T.C.I
On a : ≫ → 1
Suivant 0 , 1 →0 → 0
Suivant 0 , 1 → →
0
ie ù →
→
2
(i)→ ,
Donc
Ainsi, ∆ :
Avec f’ (l)
D’où ∆ :
= 0
d’où
Y= lD
Exercice 3 :
1) Calculons
On sait que : L = 2 2 →
AN : donc
-2kx =
Or à t = 0, x(t = 0) = 0 → 0 0 3
3) Instant t pour lequel le solide passe par l’abscisse 1,5 cm en allant dans
le sens négatif des élongations pour la première fois
On a : x(t) = 1,5 cm = →
→ 2 →
∈
, ,
AN : , donc ,
Exercice 4 :
1) Précisons sur un schéma, justification à l’apui, le sens duvecteur champ
électrique entre et représenter la tension U.
L’ion N est un ion positif et est attirée par la plaque donc la plaque
est négative et donc est une plaque positive. Pa ailleurs, le champ
électrique est toujours dirigé vers les potentiels décroissants.
+ + + + + + + + + + + +
- - - - - - - -
2) Vitesse
Par application du TEC, on a :
1 1
∆ → 0
2 2
3) Calculons la distance
Par application du TCI à la particule 1 de masse dans un référentiel
galiléen
On a : ∑
qB= →
Donc →
De même,
= √ √
Etablir la relation
0’ ′
0
Ionisation Accélération
Exercice 2 :
Etude stroboscopique d’un mouvement
I.1) Sous éclairage stroboscopique une roue parait immobile lorsque la
fréquence des éclaires vaut : 100Hz, 50Hz, ou 33Hz. Expliquer le
phénomène.
2) Calculer en tours par minute la vitesse de rotation de la roue sachant
que 100 est la fréquence la plus élevée permettant l’immobilité
apparente.
3) Quelle est la vitesse apparente de la roue si la fréquence des éclaires est
101 ?
Exercice 4 :
1) Une automobile roule sur une route droite à la vitesse constante de 108
km/h. Soudain, le conducteur perçoit à 150 m devant lui un panneau de