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Synthèse
CARLIN Guillaume
07/03/2022
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En France et en Europe, la reconnaissance faciale n’est pas autorisée à filmer en temps réel
sur la voie publique. En France, elle n’est utilisée qu’a posteriori, et notamment utiliser par
la police qui enregistre tous les visages sur un document de traitement des antécédents
judiciaires, le TAJ. Ce document recense 8 millions de visage en 2018. La reconnaissance
faciale est soumise à de nombreuse règle de confidentialité instaurer en France par la CNIL
mais plus généralement en Europe par le RGPD (Règlement Général sur la Protection des
Données).
Les enjeux de la reconnaissance faciale sont multiples. Il faut pouvoir améliorer l’efficacité
de la reconnaissance faciale tout en préservant la vie privée des gens. Cet enjeu est surtout
Européen, en effets en Europe, on retrouve comme vu précédemment le RGPD, mais
plusieurs autres pays comme la Chine ou la Russie ont pour seul but de développer
l’efficacité de la reconnaissance faciale et d’étendre leur réseau de caméras intelligent.
La reconnaissance faciale comme nous nous l’imaginons permet d’identifier une personne
grâce à son visage. Mais si la personne porte des lunettes ou une casquette cela devient
beaucoup plus compliquer de l’identifier. Pour répondre à ce problème, plusieurs
technologies sont en train d’être développé. On peut citer notamment la reconnaissance
vocale. Cette technologie va permettre d’ajouter à l’analyse de visage une analyse de vocal.
Cela permettrait une grande avancer puisqu’un logiciel pourrait donc reconnaître une
personne même cacher. Cette technologie ne se contente pas d’analyser seulement la voix,
mais aussi des bruits suspects. Ces caméras permettront d’envoyer un signal d’alarme pour
qu’une patrouille de police puisse se rendre sur place.
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La reconnaissance faciale pourrait aussi être utilisée de manière mobile. En effet des
lunettes équipées de reconnaissance faciale sont utiliser par la police chinoise et ces lunettes
aurait déjà permis d’arrêter 33 personnes, on peut donc imaginer que cette technologie se
développe dans le futur et soit utiliser par tous les policiers.
Toutes ces technologies sont en test et ne sont pas encore en fonctionnement partout dans
le monde. En France, le développement des technologies de reconnaissance faciale est très
dur, car la CNIL s’assure du respect du RGPD. Cela rend impossibles les tests de technologies
de reconnaissance faciale à grande échelle puisqu’il faudrait que chaque personne analysée
donne son consentement. Pour contourner ce problème certaines équipes de l’ISEN travaille
sur une reconnaissance cryptée. Ce type de reconnaissance faciale permet à une personne
de ne pas être identifié par son image, mais par un code crypté. Ces technologies
permettraient donc l’utilisation de la reconnaissance faciale tout en respectant les lois
européennes. On peut s’imaginer que la France pourrait bientôt équiper ces rues de
caméras à reconnaissance faciale.