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Je trouve que Boussaâda c’était une prestigieuse oasis bien paisible qui est devenue aujourd’hui une
véritable grande ville que la modernité et l’extension anarchique de ses quartiers ne cessent de cacher sa
légendaire beauté de petite ville bédouine de naguère.
D’abord, « La porte du Sahara. » est construite au pied des montagnes riches en végétation et encore
entourées de larges dunes de sables bien visibles.
Ensuite, les ruelles monotones du vieux Bou-Saâda, dominées par le minaret de la vieille mosquée
Sidi-Brahim, se distinguent par leur pente assez raide. On ne voit que quelques vieilles habitations et
commerces qui tentent de conserver le charme peu visible et la fraîcheur de la vieille cité. Juste à l’est se
trouve le vieux cimetière où repose le grand peintre Nasseredine Dinet qui fut toute sa vie fasciné par la
lumière généreuse de « La cité du bonheur » et la chaleur des Boussaâdi et leurs multiples scènes de vie.
Enfin, tout en bas apparait la nouvelle ville bâtie sur 4 km et dont le centre est marqué par une
magnifique mosquée qui se veut la réplique de sainte Sophie d’Istamboul.
Pour toutes ces raisons, visiter Boussaâda, la cité du bonheur reste un voyage incontournable pour les
amoureux de l’histoire algérienne.
Questions :
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