Année Universitaire 2023/2024 ENSAM CASABLANCA

C orr e
cti on : Arit hm éti qu e

E x
er ci c
e 1

Soient a, b, c ∈ Z et n ∈ N∗ . Montrer que

1. |a| ∧ |b| = a ∧ b.

A
2. |a| ∨ |b| = a ∨ b.
3. an ∧ bn = a ∧ b)n .

NC
4. an ∨ bn = a ∨ b)n .
5. ac ∧ bc = |c| a ∧ b).
6. ac ∨ bc = |c| a ∨ b).

LA
C orr e
cti on d' ex
er ci c
e 1

1. On pose δ = |a| ∧ |b| et δ ′ = a ∧ b. On a δ |a| et δ |b|, alors δ a et δ b, puisque |a| a et |b| b. Donc
δ δ ′ . De la même manière, on montre que δ ′ δ . On en déduit que |δ | = |δ ′ |. Comme δ ≥ 0 et δ ′ ≥ 0,
alors δ = δ ′ . D’où le résultat. ✓
′
❒

B
2. On pose m = |a| ∨ |b| et m = a ∨ b. On a |a| m et |b| m, alors a m et b m, puisque a |a| et b |b|. Donc
SA
m′ m. De la même manière, on montre que m m′ . On en déduit que |m| = |m′ |. Comme m ≥ 0 et m′ ≥ 0,
alors m = m′ . Ce qu’il fallait démontrer. ✓❒
3. Le résultat est trivial pour a = 0 ou b = 0. Nous allons maintenant montrer le résultat pour tout
(a, b) ∈ Z∗ × Z∗ . Il est clair que
CA

|a| = pα1 1 × pα2 2 × · · · × pαk k

et
β β β
|b| = p1 1 × p2 2 × · · · × pk k
où les p j sont des nombres premiers et α j , β j ∈ N, pour tout j ∈ ⟦1, k⟧. Ainsi
M

min{αk ,βk } n
 
n n min{α1 ,β1 } min{nα1 ,nβ1 } min{nαk ,nβk }
(|a| ∧ |b|) = (a ∧ b) = p1 × · · · × pk = p1 × · · · × pk . (1)
SA

D’autre part, on a
min{nα1 ,nβ1 } min{nαk ,nβk }
|a|n ∧ |b|n = p1 × · · · × pk . (2)
De (1) et (2), on déduit le résultat désiré. ✓
❒
EN

4. En utilisant la même méthode que celle de la Question 3. ✓ ❒

′
5. On pose δ = ac ∧ bc et δ = |c|(a ∧ b). On a a ∧ b a et a ∧ b b, alors |c|(a ∧ b) ac et |c|(a ∧ b) bc, puisque
|c| c. On en déduit alors que δ ′ δ . De plus ∃(U,V ) ∈ Z2 ; aU + bV = a ∧ b. En multipliant la dernière
équation par c, on obtient
acU + bcV = c(a ∧ b),
ce qui implique que δ c(a ∧ b), c’est-à-dire δ |c(a ∧ b)|. Comme (a ∧ b ≥ 0, alors δ δ ′ . Par conséquent
δ = δ ′. ✓
❒

1/7 A. Tsouli
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6. Le résultat est évident pour a = 0 ou b = 0 ou c = 0. Soient a, b, c ∈ Z∗ . On a

|abc2 | |abc2 | |abc| |c|(a ∧ b)(a ∨ b)

ac ∨ bc = = = = = |c|(a ∨ b).
ac ∧ bc |c|(a ∧ b) a∧b a∧b

Ce qui termine la démonstration. ✓

❒

E x
er ci c
e 2

A
Soient a, b, c ∈ Z.
1. Montrer que si a ∧ b = 1 et si c divise a, alors b ∧ c = 1.

NC
2. Montrer que a ∧ b = 1 ⇒ (a + b) ∧ ab = 1.
3. Montrer que (a2 + b2 ) ∧ ab = (a ∧ b)2 .
4. Montrer que a ∧ b = 1 ⇒ (ac) ∧ b = c ∧ b.

LA
5. Montrer que a ∧ b = 1 ⇒ (ab) ∧ c = (a ∧ c)(b ∧ c).
6. Dans le cas où l’on suppose plus a ∧ b = 1, donner des contres-exemples aux égalités précédentes.

C orr e
cti on d' ex
er ci c
e 2

1. D’après le théorème de Bézout :

B ∃(U,V ) ∈ Z2 , aU + bV = 1.
SA
De plus c|a, implique que a = kc, k ∈ Z. Il vient, alors

kU c + |{z}
V b = 1.
CA

|{z}
∈Z ∈Z

D’après le théorème de Bézout on déduit que b ∧ c = 1. ✓

❒
2. On pose δ = (a + b) ∧ ab. On a δ (a + b) et δ ab, alors δ (a2 + ab) et δ ab, ce qui implique que δ a2 .

2
De la même manière, on montre que δ b2 . Donc δ a2 ∧ b2 , c’est-à-dire δ a| {z
∧ b} = 1. Donc δ = 1,
M

=1
puisque δ ≥ 0. ✓
❒
3. Le résultat est trivial si a = 0 ou b = 0. Soient a, b ∈ Z∗ . Montrer l’égalité suivante
SA

(a2 + b2 ) ∧ ab = (a ∧ b)2

a b
revient à montrer que (a20 + b20 ) ∧ a0 b0 = 1, avec a0 = ; b0 = et a0 ∧ b0 = 1. On pose
EN

a∧b a∧b

δ0 = (a20 + b20 ) ∧ a0 b0 .

On a δ0 (a20 + b20 ) et δ0 a0 b0 , ce qui implique que δ0 (a40 + a20 b20 ) et δ0 a20 b20 , alors δ0 a40 . De la même
manière, on montre que δ0 b40 . Par suite δ0 a40 ∧ b40 = 1. Donc δ0 = 1. ✓ ❒
| {z }

4
= a0 ∧b0

2/7 A. Tsouli
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4. On a b ∧ c ac et b ∧ c b, alors b ∧ c (ac) ∧ b. D’après le théorème de Bézout :

∃(U,V ) ∈ Z2 , aU + bV = 1.
En multipliant cette équation par c, on trouve acU + bcV = c. Alors (ac) ∧ b c et (ac) ∧ b b, ce qui
implique que (ac) ∧ b b ∧ c. Par suite (ac) ∧ b = b ∧ c. ✓
❒
5. — Il est clair que a ∧ c ab et a ∧ c c, alors a ∧ c (ab) ∧ c. De plus b ∧ c ab et b ∧ c c, alors b ∧ c (ab) ∧ c.



Comme a ∧ c et b ∧ c sont premiers entre eux. En effet, on pose δ = a ∧ c ∧ b ∧ c , alors δ a ∧ c

A
et δ b ∧ c, c’est-à-dire δ a et δ b, ce qui implique que δ a ∧ b = 1. Donc δ = 1. On en déduit que
(a ∧ c)(b ∧ c) (ab) ∧ c.

NC
— D’autre part ∃(U1 ,V1 ) ∈ Z2 , aU1 + cV1 = a ∧ c et ∃(U2 ,V2 ) ∈ Z2 , bU2 + cV2 = b ∧ c. Alors



aU1 + cV1 bU2 + cV2 = (a ∧ c)(b ∧ c),
ce qui implique que

LA


abU1U2 +c aU1V2 + bV1U2 + cV1V2 = (a ∧ c)(b ∧ c).
| {z } | {z }
∈Z ∈Z

On en déduit que (ab) ∧ c (a ∧ c)(b ∧ c).

B
Par conséquent (ab) ∧ c = (a ∧ c)(b ∧ c). ✓
❒
6. Pour a = 2 et b = 4, les égalités des Questions 1, 2, 4 et 5 ne sont pas vraies. ✓
❒
SA
E x
er ci c
e 3

Montrer que si p est premier et p|a2 alors p2 |a2 .

CA

C orr e
cti on d' ex
er ci c
e 3

On rappelle que si p est un nombre premier tel que p|ab, alors p|a ou p|b. On en déduit que p|a2 ⇒ p|a.
Ainsi p2 |a2 . ✓
❒

Exercice 4
M

ln(x)
Soient x, y ≥ 2 deux entiers premiers entre eux. Démontrer que < Q.
ln(y)
SA

C orr e
cti on d' ex
er ci c
e 4

ln(x) ln(x) p
Par absurde, on suppose que ∈ Q. Alors ils existent deux entiers p, q ≥ 2 tels que = avec
ln(y) ln(y) q
q p q p
p ∧ q = 1. Ceci entraı̂ne que ln(x ) = ln(y ) et donc, par injectivité de l’application ln, que x = y . Ainsi
EN

x|y p . Par suite x|y. Mais ceci contredit le fait que x ∧ y = 1. ✓

❒

Exercice 5
Soient a, b ∈ N. Montrer que a ∨ a + 5 = b ∨ b + 5 ⇒ a = b.

C orr e
cti on d' ex
er ci c
e 5

3/7 A. Tsouli
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— Le résultat est trivial pour a = 0 ou b = 0.
— Nous allons maintenant montrer le résultat pour a, b ∈ Z∗ . On pose δa = a ∧ (a + 5) et δb = a ∧ (b + 5).
Alors δa a et δa (a + 5), ce qui implique que δa 5. Ainsi δa ∈ {1, 5}. De la même manière, on montre
que δb ∈ {1, 5}. Nous allons montrer que δa = δb . Par l’absurde, on suppose que δa , δb . Comme a et
b jouent le même rôle, on peut supposer par exemple que δa = 5 et δb = 1. Autrement dit b et b + 5
sont premiers entre eux. D’après le théorème de Bézout :

∃(U,V ) ∈ Z2 ; Ub + V (b + 5) = 1,

A
ce qui implique que
(U + V})b + 5 |{z}
V = 1.

NC
| {z
∈Z ∈Z
Donc 5 ∧ b = 1. De plus, on a

a(a + 5) b(b + 5)
= a ∨ (a + 5); = b ∨ (b + 5).

LA
δa δb

Alors a(a + 5) = 5b(b + 5). Comme 5 a, alors a = 5k1 , k1 ∈ N∗ . Ainsi

5k1 (k1 + 1) = b(b + 5),

B
ce qui implique que 5 b ou 5 (b + 5), puisque 5 est premier. On en déduit que 5 b. Ce qui est absurde,
SA
puisque 5 ∧ b = 1. Donc δa = δb . Par suite a(a + 5) = b(b + 5). Dans ce cas, on a

(a − b)(a| +{z
b + 5}) = 0,
>0
CA

ce qui implique que a = b.

E x
er ci c
e 6

À quelle condition sur les chiffres x et y le nombre 27x85y est-il divisible par 33 ?
M

C orr e
cti on d' ex
er ci c
e 6

On a 27x85y = y × 100 + 5 × 101 + 8 × 102 + x × 103 + 7 × 104 + 2 × 105 avec x, y ∈ {0, 1, . . . , 9}. De plus, on a
SA

100 ≡ 1[33]; 101 ≡ 10[33]; 102 ≡ 1[33]; 103 ≡ 10[33]; 104 ≡ 1[33]; 105 ≡ 10[33].

Ainsi 27x85y est divisible par 33 implique que 27x85y ≡ 0[33]. On a

EN

27x85y ≡ y + 17 + 8 + 10x + 7 + 20[33] ≡ 10x + y − 14[33].

Ainsi
10x + y = 14 + 33k, k ∈ Z. (3)
14 85
En utilisant le fait que 0 ≤ 10x + y ≤ 99, il vient − ≤ k ≤ . Donc k ∈ {0, 1, 2}. Il y a trois cas se présentent
33 33
1. Pour k = 0, la seule solution de (3) est le couple (x, y) = (1, 4).

4/7 A. Tsouli
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2. Pour k = 1, la seule solution de (3) est le couple (x, y) = (4, 7).
3. Pour k = 2, la seule solution de (3) est le couple (x, y) = (8, 0).
Donc les seuls nombres possible sont 271854; 274857 et 278850. ✓
❒

E x
er ci c
e 7

1. Résoudre dans Z2 l’équation suivante 140x − 132y = 6.

A
2. Déterminer l’ensemble des couples (x, y) ∈ Z2 tels que 20x + 8y = 2020.

NC
C orr e
cti on d' ex
er ci c
e 7

1. On a 140 ∧ (−132) = 140 ∧ 132 = 132 ∧ 8 = 4 et 4 ne divise pas 6. Donc l’équation n’admet pas de
solutions dans Z2 . ✓
❒
2. On a 20∧8 = 4 et 4 2020. Ainsi l’équation admet une infinité de solutions dans Z2 . On divise l’équation

LA
20x + 8y = 2020 par 4, on trouve 5x + 2y = 505. Ici 5 ∧ 2 = 1. Une solution évidente est x0 = 101 et
y0 = 0. Donc la solution de l’équation sont les couples (101 + 2k, −5k), k ∈ Z. De plus le couple
(101 + 2k, −5k), k ∈ Z, vérifie l’équation 20x + 8y = 2020. ✓
❒

B
E x
er ci c
e 8

1. Résoudre dans Z, l’équation 18x ≡ 31[9].

SA
2. Résoudre dans Z, l’équation 11x − 3 ≡ 0[7].

C orr e
cti on d' ex
er ci c
e 8

CA

1. On a 18 ∧ 9 = 9 ne divise pas 31, donc l’équation 18x ≡ 31[9] n’admet de solutions dans Z. ✓
❒
2. Il est clair que l’équation
11x − 3 ≡ 0[7]
est équivalente à l’équation suivante
M

11x ≡ 3[7].
De plus, on a 11 ∧ 7 = 1 divise 3, donc
x ≡ 11′ × 3[7],
SA

où 11′ désigne l’inverse de 11 modulo 7. D’après le théorème de Bézout :

2 × 11 − 3 × 7 = 1,
EN

ce qui implique que 2 est l’inverse de 11 modulo 7. Donc x ≡ 2 × 3[7] ≡ 6[7]. ✓

❒

E x
er ci c
e 9

1. Trouvons tous les entiers x tels que 

x ≡ 3[11]
x ≡ 5[7].

5/7 A. Tsouli
Année Universitaire 2023/2024 ENSAM CASABLANCA
2. Résoudre dans Z2 le système de congruence

3x − 2y ≡ 1[7]
4x + 5y ≡ 3[7].

C orr e
cti on d' ex
er ci c
e 9

1. Trouvons tous les entiers x tels que

A

x ≡ 3[11]
x ≡ 5[7].

NC
On a l’équivalence suivante

∃k ∈ Z, x = 3 + 11k ∃k ∈ Z, x = 3 + 11k
  
x ≡ 3[11]
⇔ ⇔
x ≡ 5[7] 11k = 5 − 3[7] 11k ≡ 2[7].

LA
D’autre part 2 × 11 − 3 × 7 = 1, on déduit alors que

∃k ∈ Z, x = 3 + 11k ∃k ∈ Z, x = 3 + 11k
  
x ≡ 3[11]
⇔ ⇔
x ≡ 5[7] k ≡ 4[7] ∃l ∈ Z, k = 4 + 7l.

B
On remplace alors k par sa valeur dans la première équation, et on trouve que x est solution si et
seulement si il existe l ∈ Z tel que
SA
x = 3 + 11(4 + 7l ) = 47 + 7 × 11l.

On obtient bien des solutions qui sont uniques modulo 7 × 11. Autrement dit x ≡ 47[7 × 11]. ✓
❒
CA

2. On note S l’ensemble des solutions du système proposé. Soit (x, y) ∈ Z2 . On a

  
3x − 2y ≡ 1[7] 3x ≡ 1 + 2y[7] 5 × 3x ≡ 5 × (1 + 2y)[7]
⇔ ⇔ (car 3 ∧ 7 = 1)
4x + 5y ≡ 3[7] 4x + 5y ≡ 3[7] 4x + 5y ≡ 3[7]
 
x ≡ 5 + 10y[7] x ≡ −2 + 3y[7]
M

⇔ ⇔
4x + 5y ≡ 3[7] 4(−2 + 3y) + 5y ≡ 3[7]
 
x ≡ −2 + 3y[7] x ≡ −2 + 3y[7]
SA

⇔ ⇔
17y ≡ 11[7] 3y ≡ −3[7]
 
x ≡ −2 + 3(−1)[7] x ≡ −5[7]
⇔ ⇔
y ≡ −1[7] y ≡ −1[7]
EN


x ≡ 2[7]
⇔
y ≡ −1[7].

Donc S = {(2 + 7k, −1 + 7k′ ); (k, k′ ) ∈ Z2 } = (2 + 7Z) × (−1 + 7Z). ✓

❒

E x
er ci c
e 10

6/7 A. Tsouli
Année Universitaire 2023/2024 ENSAM CASABLANCA
1. Montrer que pour tout n ∈ N, 82n ≡ 1[21].
n+1
2. En déduire que pour tout n ∈ N, 24 + 5 ≡ 0[21].
2 2
84 84
3. Calculer les restes de la division par 21 de 216 et 3216 .
C orr e
cti on d' ex
er ci c
e 10

1. Nous allons procéder par récurrence. Pour n = 0, on a 82×0 ≡ 1[21] est une assertion vraie. On suppose
que 82n ≡ 1[21] et montrons que 82(n+1) ≡ 1[21]. Il est clair que

A
82(n+1) = 82 × 82n ≡ 1 × 1[21] ≡ 1[21].

NC
D’après le principe de récurrence, on déduit que pour tout n ∈ N, 82n ≡ 1[21]. ✓
❒
n+1 n+1
2. Pour montrer que pour tout n ∈ N, 24 + 5 ≡ 0[21], il suffit de monter que ∀n ∈ N, 24 ≡ 16[21].
On procède par récurrence. La propriété est évidemment vraie pour n = 0. Supposons la propriété

LA
n+1 n+2
vraie à l’ordre n, c’est-à-dire 24 ≡ 16[21] et montrons que 24 ≡ 16[21] est vraie. Il est clair que
n+2 n+1 n+1 n+1 n+1 n+1 n+1 n+1
24 = 24×4 = 24 × 24 × 24 × 24 = 84 × 24 ≡ 1 × 16[21] ≡ 16[21].
n+1 n+1

B
D’où pour tout n ∈ N, 24 ≡ 16[21]. Ainsi pour tout n ∈ N, 24 + 5 ≡ 5 + 16[21] ≡ 0[21]. ✓
❒
3. On déduit de la deuxième question que
SA
2 2
84 2×84
216 = 24 ≡ 16[21].

D’autre part, on a
CA

2 2 2 2 2 2 2 2 2
84 84 84 84 84 84 84 84 2×84
3216 = 22×16 × 816 = 216 × 216 × 816 = 216 × 216 × 84 ≡ 4[21].
2 2
84 84
Par conséquent les restes de la division par 21 de 216 et 3216 respectivement sont 16 et 4. ✓
❒
M
SA
EN

7/7 A. Tsouli