GESTION DU PROTOLE DIPLOMATIQUE

COCHEZ LA BONNE REPONSE

1. L’UN DE RESPONSABLE CI-APRES N’EST PAS CONCERNE DANS LA PROCEDURE
D’ACCREDITATION :
a. Le Ministre des Affaires Etrangères.
b. Le Président de la République.
c. Premier Ministre.
d. Le Directeur du Protocole d’Etat.
e. Tout le monde cité ci-dessus est concerné.

2. LE DOCUMENT QUE L’AMBASSADEUR AMENE AUPRES DU MINISTRE DES AFFAIRES

ETRANGERES EN AUDIENCE DANS LE PROCESSUS D’ACCREDITATION S’APPELLE :
a. Les lettres de créance.
b. La lettre d’agrément.
c. Les copies foirées des lettres de créance.
d. La lettre de provision.
e. Exequatur.

3. L’ENTREE EN FONCTION D’UN AMBASSADEUR SE FAIT :

a. Après la réception des lettres de créance.
b. Dès son arrivée dans l’Etat accréditaire.
c. Après son audience auprès du Directeur du Protocole d’Etat.
d. Après son audience auprès du Ministre des Affaires Etrangères.
e. Après sa présentation des lettres de créance.

4. L’UNE DES ASSERTIONS CI-APRES N’EST CONSIDEREE DANS L’ORDRE DE

PRESEANCE AU COURS DES AUDIENCES PROTOCOLAIRES :
a. L’attribution du visiteur.
b. Le rang du visiteur.
c. L’origine du visiteur.
d. La qualité du visiteur.
e. L’accréditation du visiteur.

5. L’UNE DES ASSERTIONS CI-APRES N’EST PAS CORRECTE POUR LES AUDIENCES QUE
LE PRESIDENT ACCORDE AUX AMBASSADEURS :
a. La courtoisie pour un nouveau Président.
b. L’audience sur proposition du Ministre des Affaires Etrangères.
c. La présentation des lettres de créance.
d. L’audience sur demande du Premier Ministre.
e. L’audience de l’Ambassadeur pour les adieux.
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1. L’UN DE RESPONSABLE CI-APRES N’EST PAS CONCERNE DANS LA PROCEDURE
D’ACCREDITATION :
a. Le Président de la République.
b. Le Ministre des Affaires Etrangères.
c. Premier Ministre.
d. Le Directeur du Protocole d’Etat.
e. Tout le monde cité ci-dessus est concerné.

2. LE DOCUMENT QUE L’AMBASSADEUR AMENE AUPRES DU MINISTRE DES AFFAIRES

ETRANGERES EN AUDIENCE DANS LE PROCESSUS D’ACCREDITATION S’APPELLE :
a. La lettre d’agrément.
b. Les lettres de créance.
c. Les copies foirées des lettres de créance.
d. La lettre de provision.
e. Exequatur.

3. L’ENTREE EN FONCTION D’UN AMBASSADEUR SE FAIT :

a. Dès son arrivée dans l’Etat accréditaire.
b. Après la réception des lettres de créance.
c. Après son audience auprès du Directeur du Protocole d’Etat.
d. Après son audience auprès du Ministre des Affaires Etrangères.
e. Après sa présentation des lettres de créance.

4. L’UNE DES ASSERTIONS CI-APRES N’EST CONSIDEREE DANS L’ORDRE DE

PRESEANCE AU COURS DES AUDIENCES PROTOCOLAIRES :
a. Le rang du visiteur.
b. L’attribution du visiteur.
c. L’origine du visiteur.
d. La qualité du visiteur.
e. L’accréditation du visiteur.

5. L’UNE DES ASSERTIONS CI-APRES N’EST PAS CORRECTE POUR LES AUDIENCES QUE
LE PRESIDENT ACCORDE AUX AMBASSADEURS :
a. L’audience sur proposition du Ministre des Affaires Etrangères.
b. La courtoisie pour un nouveau Président.
c. La présentation des lettres de créance.
d. L’audience sur demande du Premier Ministre.
e. L’audience de l’Ambassadeur pour les adieux.
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1. L’UN DE RESPONSABLE CI-APRES N’EST PAS CONCERNE DANS LA PROCEDURE
D’ACCREDITATION :
a. Premier Ministre.
b. Le Ministre des Affaires Etrangères.
c. Le Président de la République.
d. Le Directeur du Protocole d’Etat.
e. Tout le monde cité ci-dessus est concerné.

2. LE DOCUMENT QUE L’AMBASSADEUR AMENE AUPRES DU MINISTRE DES AFFAIRES

ETRANGERES EN AUDIENCE DANS LE PROCESSUS D’ACCREDITATION S’APPELLE :
a. Les copies foirées des lettres de créance.
b. Les lettres de créance.
c. La lettre d’agrément.
d. La lettre de provision.
e. Exequatur.

3. L’ENTREE EN FONCTION D’UN AMBASSADEUR SE FAIT :

a. Après son audience auprès du Directeur du Protocole d’Etat.
b. Après la réception des lettres de créance.
c. Dès son arrivée dans l’Etat accréditaire.
d. Après son audience auprès du Ministre des Affaires Etrangères.
e. Après sa présentation des lettres de créance.

4. L’UNE DES ASSERTIONS CI-APRES N’EST CONSIDEREE DANS L’ORDRE DE

PRESEANCE AU COURS DES AUDIENCES PROTOCOLAIRES :
a. L’origine du visiteur.
b. L’attribution du visiteur.
c. Le rang du visiteur.
d. La qualité du visiteur.
e. L’accréditation du visiteur.

5. L’UNE DES ASSERTIONS CI-APRES N’EST PAS CORRECTE POUR LES AUDIENCES QUE
LE PRESIDENT ACCORDE AUX AMBASSADEURS :
a. La présentation des lettres de créance.
b. La courtoisie pour un nouveau Président.
c. L’audience sur proposition du Ministre des Affaires Etrangères.
d. L’audience sur demande du Premier Ministre.
e. L’audience de l’Ambassadeur pour les adieux.
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1. L’UN DE RESPONSABLE CI-APRES N’EST PAS CONCERNE DANS LA PROCEDURE
D’ACCREDITATION :
a. Le Directeur du Protocole d’Etat.
b. Le Ministre des Affaires Etrangères.
c. Le Président de la République.
d. Premier Ministre.
e. Tout le monde cité ci-dessus est concerné.

2. LE DOCUMENT QUE L’AMBASSADEUR AMENE AUPRES DU MINISTRE DES AFFAIRES

ETRANGERES EN AUDIENCE DANS LE PROCESSUS D’ACCREDITATION S’APPELLE :
a. La lettre de provision.
b. Les lettres de créance.
c. La lettre d’agrément.
d. Les copies foirées des lettres de créance.
e. Exequatur.

3. L’ENTREE EN FONCTION D’UN AMBASSADEUR SE FAIT :

a. Après son audience auprès du Ministre des Affaires Etrangères.
b. Après la réception des lettres de créance.
c. Dès son arrivée dans l’Etat accréditaire.
d. Après son audience auprès du Directeur du Protocole d’Etat.
e. Après sa présentation des lettres de créance.

4. L’UNE DES ASSERTIONS CI-APRES N’EST CONSIDEREE DANS L’ORDRE DE

PRESEANCE AU COURS DES AUDIENCES PROTOCOLAIRES :
a. La qualité du visiteur.
b. L’attribution du visiteur.
c. Le rang du visiteur.
d. L’origine du visiteur.
e. L’accréditation du visiteur.

5. L’UNE DES ASSERTIONS CI-APRES N’EST PAS CORRECTE POUR LES AUDIENCES QUE
LE PRESIDENT ACCORDE AUX AMBASSADEURS :
a. L’audience sur demande du Premier Ministre.
b. La courtoisie pour un nouveau Président.
c. L’audience sur proposition du Ministre des Affaires Etrangères.
d. La présentation des lettres de créance.
e. L’audience de l’Ambassadeur pour les adieux.
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1. L’UN DE RESPONSABLE CI-APRES N’EST PAS CONCERNE DANS LA PROCEDURE
D’ACCREDITATION :
a. Tout le monde cité ci-dessous est concerné.
b. Le Ministre des Affaires Etrangères.
c. Le Président de la République.
d. Premier Ministre.
e. Le Directeur du Protocole d’Etat.

2. LE DOCUMENT QUE L’AMBASSADEUR AMENE AUPRES DU MINISTRE DES AFFAIRES

ETRANGERES EN AUDIENCE DANS LE PROCESSUS D’ACCREDITATION S’APPELLE :
a. Exequatur.
b. Les lettres de créance.
c. La lettre d’agrément.
d. Les copies foirées des lettres de créance.
e. La lettre de provision.

3. L’ENTREE EN FONCTION D’UN AMBASSADEUR SE FAIT :

a. Après sa présentation des lettres de créance.
b. Après la réception des lettres de créance.
c. Dès son arrivée dans l’Etat accréditaire.
d. Après son audience auprès du Directeur du Protocole d’Etat.
e. Après son audience auprès du Ministre des Affaires Etrangères.

4. L’UNE DES ASSERTIONS CI-APRES N’EST CONSIDEREE DANS L’ORDRE DE

PRESEANCE AU COURS DES AUDIENCES PROTOCOLAIRES :
a. L’accréditation du visiteur.
b. L’attribution du visiteur.
c. Le rang du visiteur.
d. L’origine du visiteur.
e. La qualité du visiteur.

5. L’UNE DES ASSERTIONS CI-APRES N’EST PAS CORRECTE POUR LES AUDIENCES QUE
LE PRESIDENT ACCORDE AUX AMBASSADEURS :
a. L’audience de l’Ambassadeur pour les adieux.
b. La courtoisie pour un nouveau Président.
c. L’audience sur proposition du Ministre des Affaires Etrangères.
d. La présentation des lettres de créance.
e. L’audience sur demande du Premier Ministre.