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ISET DE KEBILI
Atelier N°1
Découvrir ORACLE et
SQL*PLUS
Objectifs
Familiarisation avec SGBD et son environnement de
Rochdy BELHASSEN
travail (SQL*PLUS d’Oracle).
Installer Oracle 10g.
Tester quelques commandes SQL.
1. Définitions :
Bases de données :
Une base de données un ensemble structuré et organisé permettant le stockage de
grandes quantités d'informations afin d'en faciliter l'exploitation (ajout, mise à jour,
recherche de données).
SGBD :
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Fonctionnalités d’un SGBD :
Un SGBD permet d'enregistrer des données, puis de les rechercher, de les modifier et
de créer automatiquement des comptes rendus (anglais report) du contenu de la base
de données. Il permet de spécifier les types de données, la structure des données
contenues dans la base de données, ainsi que des règles de cohérence telles que
l'absence de redondance5.
Les caractéristiques des données enregistrées dans la base de données, ainsi que les
relations, les règles de cohérence et les listes de contrôle d'accès sont enregistrées
dans un catalogue qui se trouve à l'intérieur de la base de données et manipulé par le
SGBD
Exemples de SGBD :
Nom de Année Editeur Caractéristiques
SGBD
pour entreprises, groupes de
DB2 1983 IBM
travail, particuliers
pour entreprises, groupes de
Informix 1981 IBM
travail, distribué
Microsoft relationnel, pour particuliers et
1992 Microsoft
Access groupes de travail
Microsoft SQL entreprises, groupes de travail,
Rochdy BELHASSEN
1989 Microsoft
Server particuliers, relationnel, distribué
centralisé, embarqué, distribué,
Oracle Corporation
MySQL 1995 pour entreprises, groupes de
et MySQL AB
travail et particuliers
entreprises, groupes de travail,
Oracle
1979 Oracle Corporation particuliers, relationnel, spatial,
Database
distribué
PostgreSQL Global
PostgreSQL 1996 Relationnel
Development Group
dBase 1978 Ashton-Tate relationnel, pour particuliers
ISET DE KEBILI
1979 : Oracle 2. Première version commerciale. Premier SGBD basé sur le SQL de
CODD.
1983 : Oracle 3. Réécrit en C.
1984 : Oracle 4. Gestion des transactions.
1992 : Oracle 7. Contraintes référentielles. Procédures stockées. Triggers.
1997 : Oracle 8. Objet relationnel.
1998 : Oracle 8i. i pour inernet.
2004 : oracle 10g. g pour grid computing : calcul distribué et gestion de cluster.
2005 : Oracle 10g express édition. Version gratuite de Oracle 10g mais bridée en
nombre de processeurs, d’enregistrements (4Go) et de mémoire (1Go). L’objectif est
d’entrer sur le marché des PME (Petites et Moyennes Entreprises) sensibles aux
coûts et aux promesses de l’Open Source.
2007 : Oracle 11g. Amélioration de la version 10g en termes de performance et de
facilité d’administration.
2009 : Oracle achète Sun (Java) qui avait acheté MySQL en 2008.
Juillet 2013, sortie de Oracle Database 12c (c Pour le cloud).
Rochdy BELHASSEN
La nomenclature de version a changé au cours du temps, mais se base en général sur
la convention suivante : version X.Y.Z.a où X.Y désigne la version majeure du produit :
8.1 pour 8i, 9.2 pour 9i Release 2, etc. Ceci n'est plus vrai en 10, où l'on a une version
majeure (10g), déclinée en deux « releases ». Au sein d'une même version majeure
(8i, 9i ou 10g), les fonctionnalités générales du RDBMS sont censées être les mêmes.
Le chiffre Z désigne quant à lui le niveau de correctif générique appliqué. Oracle délivre
en général 3 ou 4 mises à jour (« patchset ») pour une version majeure, mais cela
reste très variable.
Enfin, le chiffre désigne un niveau de correctif spécifique à un système d'exploitation,
ou une plateforme.
Depuis la version 7, les versions majeures du SGBD Oracle ont été les suivantes :
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Parte II : Installation d’Oracle 10g:
Installing Oracle 10g database software:
1. Insérez le CD d'Oracle, la fenêtre d'autorun s'ouvre automatiquement. Si vous
installez à partir du réseau ou du disque dur, cliquez sur setup.exe dans le
dossier d'installation.
2. L'installateur universel d'Oracle (OUI) courra et montrera Choisissez la
méthode d'installation Fenêtre..
Etapes :
1) Vous devez insérer votre mot de passe (2 fois) pour les utilisateurs SYS,
SYSTEM, SYSMAN et DBSNMP.
Voici quelques exemples pour le mot de passe : MANAGER, DSI2 , MYPASS, …
2) Cliquez sur "suivant".
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3) Cliquez sur "Installer"
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L’installation est lancée :
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Comme l'installation du Serveur installe aussi une base de données, un installateur de
base est lancé :
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et le succès de la configuration est confirmé par :
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De même, une fenêtre s’affiche lorsque la base de données est configurée :
À la fin de la création de base de données, vous êtes incité à ouvrir des comptes
d'utilisateur pour rendre les comptes accessibles.
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4) Vous pouvez personnaliser les mots de passe en cliquant sur le bouton
« Gestion des mots de passe ». Puis tapez OK.
5) Sinon, cliquez sur OK pour éviter la gestion des mots de passe..
6) Finalement, l'écran de fin d'installation s’affiche :
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7) Cliquez sur le bouton Quitter.
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Partie III : Découvrir Oracle et SQL*Plus
1. Connexion à la base :
Entrer le nom d’utilisateur « SYSTEM » et le mot de passe ………….. puis cliquer sur
OK :
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2. Tester quelques commandes SQL :
Exécuter les commandes suivantes :
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INSERT INTO ETUDIANTS VALUES (‘E0001’, ‘TABBEL’, ‘FAHMY’,
‘TI11’, 8.86) ;
INSERT INTO ETUDIANTS VALUES (‘E0002’, ‘BELGACEM’, ‘CYRINE’,
‘DSI2’, 10.23) ;
INSERT INTO ETUDIANTS VALUES (‘E0001’, ‘HASSEN’, ‘ELYES’,
‘GE22’, 17.11) ;
INSERT INTO ETUDIANTS VALUES (‘E0001’, ‘BEDOUI’, ‘CHAHD’,
‘DSI2’, 9.23) ;
IDENTIFIED BY mypass;