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Matière : FRANÇAIS

Code de la matière : FR31

N° du devoir : 3
(tel qu’il figure dans le fascicule devoirs)

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LV2 : doubleclic

Temps passé à faire ce devoir :

Aide éventuelle : Non

Vos coordonnées
Indicatif : 13B-30-0013-4

Nom : Casalini

Prénom : Hugo

Ville de résidence : Chexbres

Pays (si vous ne résidez pas en France) : Suisse

Nom du professeur correcteur : NOTE :


Observations générales du correcteur :

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Première partie

I. Questions

1. Hans est confus , perdu, il ne sait plus où il en est. Il a besoin


d’explications.

2. « Écoute » est conjugé à l’impératif, deuxième personne du singulier.


«crois-tu» est quant à lui conjugé au présent à la deuxième personne du
singulier également. La première phrase est affirmative ( elle exprime
l’ordre) , la deuxième est faussement interrogative (question rhétorique.)
Après « crois-tu » , on a une subordonée au subjonctif présent.

B. Non elles n’attendent pas de réponse, c’est une figure de style, Hans
est sûr de lui.

3. Il s’agit d’une répétition.

4. Hans ne veut pas se sentir un intrus chez Conrad , il ne veut pas avoir
l’impression de ne pas être le bienvenu ou de ne pas avoir été invité.

5. Conrad répond avec assurance et de manière convaincante, il donne de


bons arguments comme par exemple le fait que Hans est seul ami et qu’il
ne l’humilirait pour rien au monde. Il ne se cache pas non-plus d’être son
ami.

6. Le mot « personne » est écrit en italique pour l’accentuer ou le mettre


en valeur.

b. On découvre un Hans fier et orgueilleux.

7. Conrad avoue que sa mère est antisémite.

8. Non, Conrad n’a pas honte de son ami et il ne l’a pas rejeté, mais il l’a
ignoré par obligation.

9. « les gens de cette sorte » , désigne les gens issus de la haute noblesse.

10. Cette phrase comporte une comparaison et une métaphore (deux pour
être exact)

11. La proposition subordonnée est introduite pas la conjonction de


subordinnation « si » (/si elle était mourante et que ton père pût la
sauver/, je ne suis pas certain qu’elle le ferait appeler). Il s’agit d’une
hypothèse et plus exactement d’une condition irréelle, d’où l’emploi du
subjonctif imparfait (pût). La mère de conrad n’est evidemment pas
gravement malade mais le cas échéant elle ne ferait probablement pas
appel au père de Hans.

12.On se rend compte que les deux garçons tiennent profondemment l’un
à l’autre : chacun est véritablement le meilleur ami de l’autre et ils n’ont
pas peur de se le dire.
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II. Réécriture

Il ne se souciait guère de relations sociales avec ses parents, sinon une


fois pour cinq minutes, de façon à ne pas se sentir un intrus chez lui.
D’ailleurs, il préfèrait être seul plutôt qu’humilié. Il valait autant que tous
les Hofenhels du monde.

III. Dictée
La scène violente de la cour avait été vue d’un répétiteur.

En raison des conséquences dangereuses qu’elle avait failli avoir, l’agresseur


fut gravement puni et l’affaire fit assez de bruit pour qu’on n’osât plus
persécuter ouvertement Silbermann.

Mais ses ennemis ne désarmèrent pas et changèrent seulement de tactique.

Nous fûmes tous deux mis en quarantaine.

Personne, ni en récréation ni en classe, ne nous adressa plus la parole.

Les groupes s’écartaient sur notre passage ; les bouches se fermaient.

Maintenant, tandis que je me promenais dans la cour avec lui, je tâchais,


n’ayant plus à le défendre, à le perfectionner, ce qui était aussi ma mission.

J’aurais voulu qu’il perdît ce besoin continuel de s’agiter, de parler, de se


mettre en évidence.
Jaques de la crettelle , Silberman, galimard

IIII.
276 Degerlochstraße, Stuttgart

Mon cher Conrad,

J'espère que cette lettre te trouvera bien. La dispute d'hier a secoué


notre amitié, mais je crois que nous pouvons surmonter cela.

D'abord, je veux te dire que mes sentiments sont complexes en ce


moment. La dispute a révélé des choses difficiles, mais je ne veux
pas te juger. Je veux juste partager mes sentiments.

Les balades, les randonnées au lac de Constance restent dans ma


mémoire comme des moments spéciaux. Nos rires, nos discussions,
et plus généralement tous nos moments passésensemble sont des
souvenirs précieux.Ces moments me manquent déjà.

Hier a laissé des marques, mais je ne veux pas que cela ruine ce que
nous avons construit. L’antisémitisme de ta mère a été pour moi
une découverte qui fut pour le moins bouversante , mais je ne veux
pas que cela détruise notre amitié. Tu es mon ami, celui qui a com-
blé un vide dans ma vie.

ll y a eu des moments de doute,d’angoisse et je dois avouer que


quand tu m’as ignoré à l’opéra cela m’a profondemment déçu mais
malgré tout, je veux rester ton ami. Je te vois au-delà des croyances
de ta mère. J'ai vu la sincérité dans tes yeux, même quand certains
propos étaient difficiles à dire.

Peut-être que certains diront que je suis naïf, mais je crois en la


force d’une vraie amitié pour surmonter les épreuves. Si nous lais-
sons cette dispute détruire notre lien, nous perdons tous les deux. Je
choisis de continuer à te voir comme mon ami, au-delà des idées de
ta mère.

Je comprends que tu aies eu peur de me blesser, mais il est temps


d'être matures et d'affronter cela ensemble. Notre amitié peut sur-
vivre à cela, j’en suis certain, oui, je pense que si nous le voulons,
nous pouvons surmonter ça. Tu m’acceptes comme je suis et je t'ac-
cepte comme tu es.

Je n'écris pas pour te faire des reproches, mais pour te dire que je
suis prêt à pardonner. Nos chemins se sont croisés pour une bonne
raison, et je ne veux pas les laisser diverger à cause des idées de ta
mère.

Pardonne-moi si mes mots semblent insufisants, mais je ressens le


besoin de t'exprimer encore un peu plus à quel point je tiens à toi.
Notre amitié a été un phare dans des moments sombres, une bouf-
fée d'air frais lorsque la vie devenait étouffante. Les éclats de rire
partagés au bord du lac et nos conversations sans fin sont des tré-
sors que je veux préserver.

En pensant à tout cela, je suis convaincu que nous pouvons traver-


ser cette épreuve et en sortir plus forts. J'ai confiance en notre ami-
tié . Souviens-toi des moments où la complicité était notre bous-
sole, et ensemble, retrouvons le chemin qui nous ramènera à cette
belle amitié que nous avons construite.

Avec tout mon respect et mon affection,

Ton ami, Hans


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