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REPUBLIQUE DU BURUNDI

Ministère de l’Education National et de la recherche scientifique

SECTION SCIENCES

OPTION BIOLOGIE-CHIMIE, SCIENCE DE LA TERRE

PHYSIQUE
TROISIEME ANNEE POST-FONDAMENTALE

EPREUVES TYPES 2023

Edition 2023
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PALIER I
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A. EVALUATION DES RESSOURCES

I. TEXTE A TROUS
Complète les phrases suivantes par le(s) mot(s) convenable(s).
- Tout solide en mouvement rectiligne possède de l’énergie cinétique de …………… (1) ;
- L’énergie mécanique d’un corps est …………… (2) de l’énergie …………… (3) et de l’énergie …………… (4) ;
- La période d’un pendule simple augmente avec …………… (5) du pendule ;
- L’énergie de mouvement est appelée énergie …………… (6). Lorsqu’un objet tombe, il perd de l’énergie
…………… (7). Si sa vitesse augmente lors de la chute, alors l’objet gagne de l’énergie …………… (8) La
somme de l’énergie …………… (9) et de l’énergie …………… (10) constitue l’énergie …………… (11) de
l’objet.
- L’unité de l’énergie est le …………… (12), celle de la masse est le …………… (13), celle de la vitesse est le
…………… (14)
- L’énergie cinétique d’un objet est proportionnelle à sa …………… (15) mais n’est pas proportionnelle à
sa …………… (16) : si la vitesse est multipliée par 2, l’énergie cinétique est multipliée par …………… (17).
- Lors du freinage d’un véhicule, l’énergie …………… (18) se dissipe en énergie …………… (19) au niveau des
freins.
- Lors d’un accident automobile, l’énergie cinétique engendre des …………… (20) du véhicule et peut
occasionner des blessures aux passagers voire leur mort.
- Un objet possède une …………… (21) (ou énergie potentielle) qui augmente avec son …………… (22) et
une …………… (23) (ou énergie de mouvement) qui augmente avec sa …………… (24).
- Lors de la …………… (25) dans les turbines du barrage, …………… (26) de l’eau diminue tandis que son
…………… (27) augmente.
- L’onde à la surface de l’eau est une onde …………… (28) ;
- Une onde mécanique est le phénomène de propagation d’une perturbation dans un milieu avec
transport de …………… (29) ;
- Une balançoire est écartée de l’équilibre. A chaque période elle est légèrement poussée et monte
toujours à la même hauteur. Elle constitue un .. . . . . . . (30). L’amplitude des oscillations ………. (31). Le
mouvement est ………… (32)
- Un oscillateur est le siège d’oscillations …………… (33) quand, une fois écarté de sa position d’équilibre,
il est abandonné à lui-même.
- La valeur maximale prise par un paramètre algébrique caractérisant l’écart à l’équilibre au cours d’une
période est appelé ……………… (34)
- Un système qui, écarté de son état d’équilibre stable, et animé d’un mouvement oscillatoire de part et
d’autre de cette position d’équilibre est appelé………………………… (35)
- L’oscillateur contenant une source d’énergie lui permettant de compenser périodiquement les pertes
d’énergie dues à son amortissement est appelé……………………… (36)
- La distance entre le point de lancement du projectile et le point du sol qu’il atteint (ou atteindrait s’il
est arrêté avant) au cours de son mouvement est appelé …………………… (37)
- Le phénomène accompagnant parfois les oscillations forcées d’un oscillateur et qui se manifeste par le
passage, pour une fréquence donnée (fréquence de résonance), par un maximum d’une grandeur
physique caractéristique de cet oscillateur est appelé………………………… (38)

II. QUESTIONS VRAIES OU FAUSSES


Recopie le numéro et fait correspondre la lettre « V » ou « F ».
1. L’énergie cinétique d’un solide est l’énergie qu’il possède du fait de sa position.
2. Les satellites géostationnaires sont utilisés pour assurer la communication locale.
3. La période de révolution T pour tous les satellites géostationnaires est 24h.
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4. Un corps en mouvement de chute libre a toujours une accélération égale à ⃗g


5. L’accélération d’un mouvement dans le champ de pesanteur uniforme étant égale à ⃗g si la vitesse
initiale est nulle, la trajectoire est verticale.
6. Le mouvement d’un projectile dans le champ de pesanteur uniforme est toujours accéléré.
7. Un parachutiste et son parachute ouvert sont en chute libre.
8. Un projectile est lancé du sol avec une vitesse initiale verticale v⃗ 0 . Il atteint une hauteur maximale
−2
h=10m au -dessus du sol. On donne g=9,8ms .
a. La trajectoire du projectile est verticale.
b. Le mouvement est rectiligne uniformément retardé.
c. v0 = 7m/s.
d. Lorsque le projectile atteint sa hauteur maximale, son énergie cinétique est nulle.
e. Lorsque le projectile retombe sur le sol, sa vitesse est nulle.
f. Lorsque le projectile atteint sa hauteur maximale, l’énergie potentielle du projectile dans le champ
de pesanteur est nulle.
9. Les oscillations sont dites amorties si on observe une diminution progressive de l’amplitude.
10. La spectroscopie est une méthode d’étude des phénomènes très rapides.
11. Les ondes stationnaires interviennent dans l’analyse des vibrations des poutres de béton.
12. La célérité d’une onde le long d’une corde dépend de sa masse linéique et de la tension de la corde.
13. Une onde transversale provoque une perturbation dont la direction est parallèle à la direction de
propagation.
14. Un pêcheur à la ligne est au bord d’un lac tranquille. Soudain un enfant vient perturber la surface de
l’eau en jetant un caillou à quelques mètres du flotteur. Le flotteur se déplace-t-il à la célérité v de
l’onde ?

III. QUESTIONS AUX CHOIX MULTIPLES


1. L’énergie de position d’un objet :
A. Augmente quand son altitude augmente ;
B. Diminue quand son altitude augmente ;
C. Ne dépend pas de son altitude ;
D. Reste constante.
2. L’énergie cinétique d’un objet en mouvement :
A. Ne dépend pas de sa vitesse ;
B. Est proportionnelle au carré de sa vitesse ;
C. Est proportionnelle à sa vitesse ;
D. Est inversement proportionnelle à sa vitesse.
3. L’énergie cinétique d’un objet est donnée par la relation :
1
A. EC = 2 mv
B. EC = mv 2
1
C. EC = 2 mv 2
D. EC = mv
4. Un objet ayant une vitesse de 15 m/s et une masse de 100 kg possède une énergie cinétique de :
A. 1,125 kJ ;
B. 11,25 J ;
C. 750 J ;
D. 11,25 kJ
5. Si l’énergie cinétique d’une voiture est de 120 . 103 J à 50 km/h, à 100 km/h, elle vaut :
A. 60 . 103 J
B. 480 . 103 J
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C. 240 . 103 J
D. 120 . 103 J

6. Un projectile lancé verticalement à partir du sol avec une vitesse initiale v0 = 20 m/s atteint une
hauteur h égale à :
A. 400 m B. 10 m C. 20 m D. 40 m

7. Un satellite de masse gravite à une altitude h autour de la Terre. On désigne par g h la valeur du
champ de gravitation terrestre à l’altitude considérée.
L’expression de la période T de rotation du satellite est :
2π(RT +h) 2π 2π 2π
A. T= B. T= R (R T + h)2/3 C. T= R (R T + h)3/2 D. T= R (R T + h)1/2
v2 T √ g0 T √ g0 T √ g0

8. Spoutnik I fut le premier satellite artificiel de la Terre. Soit T=96 min, sa période mesurée dans le
référentiel géocentrique. En admettant son orbite circulaire, Son altitude et sa vitesse sont données
par :

A.5,61.105 m et 7,6.103 m/s B.56,1.105 m et 7,6.103 m/s C.5,61.105 m et 76.103 m/s D.5,61 m et 7,6m/s
Données utiles :g 0 = 9,8m/s 2 R T = 6400km
9. Une pierre est lâchée à une hauteur h du sol. Les expressions du temps qu’elle met pour tomber et
de la valeur de sa vitesse lorsqu’elle touche le sol sont données par :

2h h 2h h
A.t = √ g et v = √2gh B.t= √g et v = √2gh C.t= √ g et v = √gh D.t= √g et v = √gh

10. Un ballon de football est envoyé verticalement vers le haut avec une vitesse initiale de 15 m/s. La
durée de sa montée est : (utiliser g = 10 m/s2 )
A. 11,25 s B. 1,5 s C. 15 s D. 2,25 s
11. Deux points consécutifs d’une corde en vibration sont en opposition de phase et sont séparés par 5
cm. La fréquence du vibreur sachant que c = 5 m/s est :
A. 5 Hz B. 100 Hz C. 314 Hz D. 50 Hz
12. Au laboratoire, on dispose d’une cuve à onde contenant de l’eau immobile à la surface de laquelle
flotte un petit morceau de polystyrène. On laisse tomber une goutte d’eau au-dessus de la cuve, à
l’écart du morceau de polystyrène. Une onde se propage à la surface de l’eau. Ceci correspond :
A. à une onde mécanique ; B. à une onde longitudinale ; C. à une onde transversale ; D. à une onde
de
surface
13. L’onde qui se propage à la surface de l’eau atteint le morceau de polystyrène.
A. Celui-ci se déplace parallèlement à la direction de propagation de l’onde ;
B. Celui-ci se déplace perpendiculairement à la direction de propagation de l’onde ;
C. Celui-ci monte et descend verticalement ;
D. Celui-ci reste immobile.

14. L’extrémité gauche d’une corde est reliée à un vibreur effectuant des oscillations sinusoïdales
entretenues à partir d’un instant de date t0 = 0 s. Les graphiques 1 et 2 représentent l’état de la
corde à une date donnée. Les élongations y et les abscisses x sont graduées en cm. On néglige tout
amortissement dans la totalité des questions de cette partie.
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En examinant le graphique 2 ci-dessus, la valeur numérique de la longueur d’onde est :


A. = 20 cm ;
B. = 30 cm ;
C. = 46 cm.

15. À partir des graphiques 1 et 2, la valeur de la période temporelle T est:

A. T = 30 ms ;
B. T = 60 ms ;
C. T = 18 ms.

16. En examinant les deux graphiques suivant,

la célérité de l’onde dans la corde est :


A. v = 5,0 m/s ;
B. v = 10,0 m/s ;
C. v = 15,0 m/s.

IV. QUESTIONS OUVERTES

1. On excite l’extrémité d’une corde à une fréquence de 50 Hz. Les vibrations se propagent le long de
la corde avec une célérité de 10 m.s-1. Quelle est la longueur d’onde ?
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2. Allez, hop !

a) L’acrobate A est prêt à sauter. Quelle forme d’énergie possède-t-il ?


b) Sous quelle forme sera son énergie lorsqu’il touchera le sol avec la planche ?
c) Quelle forme d’énergie possède l’acrobate B lorsqu’il décolle de la planche ?
d) Quelle sera la forme de son énergie lorsqu’il sera au sommet de sa trajectoire ?

3. Deux projectiles A et B sont lancés verticalement, de bas en haut, à partir de deux points voisins
situés dans un même plan horizontal d’altitude zéro. Le premier (A) part à la date t = 0 s, avec une
vitesse initiale de module v0 = 49 m/s. Le deuxième (B) part 2 s plus tard avec une vitesse initiale
v0′ = 53,9 m/s. L’action de l’air est négligée et g = 9,8 m/s2 . L’origine des dates est prise à l’instant
de départ de (A).
a) Calcule la date à laquelle (A) atteint son altitude maximale. Calcule l’altitude de (B) à cet instant.
b) Détermine la date t′ de leur croisement et l’altitude correspondante.

4. Un enfant joue avec son pistolet qui tire des fléchettes de masse m = 10 g. L’énergie cinétique d’une
fléchette est Ec = 1.6 J.
Déterminer la vitesse d’une fléchette à la sortie du pistolet.

5. La figure suivante représente le parcours d’un coureur :

Classe dans l’ordre croissant les énergies potentielles du coureur entre les points A et G.

6. En septembre 1665, Newton se reposait sous un pommier dans la maison de famille de Lincolnshire.
Il avait 23 ans et il était en vacances forcées : l’université de Cambridge avait fermé ses portes à
cause de la peste qui ravageait les grandes villes d’Angleterre.
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Une pomme s’est alors détachée du pommier sous lequel se reposait Newton et lui est tombé sur la
tête. La valeur de l’accélération de la pesanteur étant de g = 10 N/kg, la masse de la pomme étant
m = 250 g ;
a) Calcule la vitesse de la pomme lorsqu’elle a heurté la tête de Newton, si la hauteur de chute
était h = 11,25 m (on néglige les frottements de l’air) ;
b) Détermine le temps mis par la pomme pour parvenir à la tête de Newton ;
c) Si la hauteur de chute était de 320 m, indique quelle aurait été la vitesse de la pomme au
contact de la tête de Newton. Apprécie s’il est bon ou pas de s’asseoir sous un arbre fruitier et
précise le risque auquel il s’était exposé.

7. A partir des données de la figure ci-dessous, trouve l’amplitude, la longueur d’onde, la fréquence, la
période ainsi que la vitesse de propagation de l’onde.

8. Une corde élastique, tendue horizontalement, est attachée par l’une de ses extrémités S à une
lame vibrante qui lui communique, à partir de l’instant t = 0, des vibrations verticales sinusoïdales
d’amplitude a et de fréquence N. L’autre extrémité de la corde est reliée à un support fixe à travers
une pelote de coton comme le montre la figure suivante.

a) Indique le rôle de la pelote du coton.


b) Observée en lumière ordinaire, la corde parait sous forme d’une bandelette rectangulaire floue
de largeur ℓ = 8 mm.
i) Déduis que l’onde issue de S se propage le long de la corde sans amortissement.
ii) Détermine la valeur de a.
c) Les deux figures ci-dessous correspondent à deux photos de la corde prises à 20 ms l’une de
l’autre.

i) En exploitant les deux figures, détermine la valeur de la longueur d’onde et celle de la


fréquence. Déduis-en celle de la célérité v de l’onde.
ii) Détermine, à l’instant de date t = 50 ms, les abscisses des point de la corde vibrant en phase
avec S.
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9. Soit un pendule élastique horizontal de raideur k=10N/kg et de masse m=200g.On néglige les
frottements. L’objet est écarté de x0 = 2cm de sa position d’équilibre et lancé avec une vitesse
v0 = 0,10 m/s.
a. Calculer l’énergie mécanique initiale du pendule.
b. Calculer l’amplitude du mouvement.
c. Calculer la vitesse maximale de l’objet de masse m.
d. Calculer la vitesse de l’objet quand son abscisse mesurée à partir de sa position d’équilibre est
x = −1cm.
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PALIER II
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I.TEXTE A TROUS
- Le soleil est une source naturelle importante de rayonnement ……………… (1) ;
- L’ensemble des couleurs de l’arc-en-ciel constitue le ……………… (2) de la lumière ……………… (3) ;
- Le transfert d’énergie solaire à la Terre se fait par des ondes ……………… (4) ;
- La hauteur d’un son est liée à la ……………… (5) des vibrations sonores ;
- Deux sons de même fréquence ont la même ……………… (6) ;
- Un son aigu a une fréquence ……………… (7) et un son grave a une fréquence ……………… (8) ;
- Un circuit comportant un condensateur de capacité C et une bobine d’inductance L constitue
un………………………. oscillateur électrique(9)
- Toute l’énergie consommée sous forme de travail électrique par un dipôle RLC est dissipée en chaleur
par ……………… effet Joule(10)

II.QUESTIONS VRAIES OU FAUSSES

1. La vitesse du son dépend du milieu dans lequel il se propage.


2. La vitesse du son dans le vide est proche de 340 m/s.
3. La chauve-souris s’oriente en émettant des ondes audibles par les humains.
4. Les ultrasons peuvent se propager dans le vide.
5. L’impédance dépend du dipôle et de la pulsation.
6. Le facteur de qualité caractérisant l’acuité de la résonance est proportionnel à R.
7. Le balancier d’une horloge constitue un oscillateur forcé.
8. Un enfant et sa balançoire constituent un oscillateur amorti.
9. L’oscillation est un cycle complet décrit par un oscillateur pendant une période.
10. Un oscillateur libre est un oscillateur qui est relié à une source d’énergie.
11. La célérité du son diminue-t-elle quand la température augmente ?
12. La célérité du son varie-t-elle avec la fréquence ?
13. La célérité du son dans l’air est-elle de l’ordre de 1000 km.s-1 ?
14. En courant alternatif, l’intensité maximale est celle lue sur l’écran d’un ampèremètre numérique.
15. La lumière issue d’un laser est une radiation monochromatique.
16. La modulation de fréquence est une augmentation de la fréquence de l’onde électromagnétique.
17. Au niveau de l’émission, le son est transformé en signal électromagnétique par l’antenne émettrice.
18. Les ondes électromagnétiques sont à la base de la technologie moderne.
19. La lumière blanche correspond à une seule radiation monochromatique.

III.QUESTIONS AUX CHOIX MULTIPLES


1. Les harmoniques d’un son musical (note) sont : 440 Hz, 550 Hz, 660 Hz ; le fondamental peut être :
A. 110 Hz B. 440 Hz C. 880 Hz D. 660 Hz

2. Les éléphants émettent des infrasons (dont la fréquence est inférieure à 20 Hz). Cela leur permet de
communiquer sur de longues distances et de se rassembler. Un éléphant est sur le bord d’une
étendue d’eau et désire indiquer à d’autres éléphants sa présence. Pour cela, il émet un infrason.
Un autre éléphant, situé à une distance L = 24,0 km, reçoit l’onde au bout d’une durée t = 70,6 s.
La valeur de la célérité de l’infrason dans l’air v est :
A. v = 34,0 km/s ; B. v = 340 km/s ; C. v = 340 m/s ; D. v=34,0 m/s

3. La propagation de la lumière visible :


A. montre que c’est une onde mécanique ;
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B. s’effectue avec une célérité plus petite dans l’eau que dans le vide (indice de réfraction de l’eau :
n = 1,3) ;
C. s’effectue avec la même célérité, dans un milieu dispersif donné, quelle que soit la fréquence de
la radiation.

4. La lumière rouge :
A. correspond à des longueurs d’onde plus grandes que celles de la lumière bleue ;
B. se situe dans un domaine de fréquences plus petites que celles du domaine de l’infrarouge ;
C. est moins énergétique que la lumière bleue.

5. Le phénomène d’écho est basé sur :


A. La transmission de l’onde B. La réfraction C. La réflexion D. La diffraction

6. La longueur d’onde d’une radiation lumineuse est d’un micromètre. Sa fréquence est alors :
A. 6. 1014 Hz ; B. 3. 108 Hz C. 50 Hz. D. 3. 1014 Hz

7. On monte en parallèle 100 résistances de 1000 Ω chacune. La résistance équivalente est de :


A. 100 000 Ω B. 1000 Ω C. 1100 Ω D. 10 Ω

8. L’intensité de l’onde sonore en un point d’un haut-parleur est de 10−4 W/m2 . Si huit haut-parleurs
émettent ensemble, le niveau sonore en ce point est : (utiliser log 2 = 0,3)
A. 83 dB B. 89 dB C. 180 dB D. 8. 10−4 dB

9. A la résonnance d’intensité, l’angle φ entre le courant et la tension est de :


π
A. 2 B. 1° C. nulle D. π

10. Les ondes électromagnétiques sont déviées par l’un des milieux suivants :
A. Le vide ; B. Les isolants C. Les liquides. D. Les métaux

11. Dans le vide, les radiations électromagnétiques ont la même :


A. Fréquence, B. Longueur d’onde C. Amplitude D. La même vitesse

12. On applique aux bornes d’un circuit (RLC) une tension u(t) = 20 cos 100πt. L’intensité du courant
π
qui le traverse étant i(t) = 0,4 cos (100πt − 3 ). L’impédance du circuit est :
A. 50 Ω B. 100 Ω C. 10 Ω D. 0,2 Ω

IV.QUESTIONS OUVERTES

1. Le circuit (RLC) série est branché aux bornes du générateur de tension efficace U = 120 V et de
fréquence N = 50 Hz. On donne : R = 30 Ω, L = 1 H et C = 4 μF. / 8 pts
a) Calcule l’intensité efficace du courant obtenu et le déphasage entre le courant et la tension ;
b) Détermine la tension efficace aux bornes de chaque élément du circuit ;
c) Indique la fréquence de résonnance. On donne √1233000 = 1110 et √233224 = 483.

2. Un dipôle (RLC) est alimenté par une tension alternative de valeur efficace U=10 V et de fréquence
variable. On donne : R = 2 Ω, L = 1,0 H et C = 10 μF. / 5 pts
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Détermine la pulsation à la résonnance ainsi que les valeurs efficaces des tensions aux bornes de la
bobine (supposée purement inductive) et du condensateur.

3. Soit le circuit représenté par un générateur de basse fréquence, l’inductance, une résistance et un
condensateur en série. Un voltmètre et un ampèremètre pour mesurer la tension et l’intensité du
circuit sont insérés dans le montage. La résistance totale du circuit est R=10Ω.Le voltmètre indique
5V et l’ampèremètre indique 0,2A.
a) Schématisez le circuit
b) Calculez les valeurs des amplitudes respectives de l’intensité et de la tension
c) Déterminez l’impédance du dipôle RLC
d) Pourquoi peut-on affirmer que la fréquence imposée par le générateur n’est pas égale à la
fréquence propre de l’oscillateur LC non amorti ?

4. Un circuit RLC est alimenté par un GBF de fréquence f ajustable. Un ampèremètre mesure
l’intensité efficace dans le circuit. La tension efficace aux bornes du générateur est constante :
U=2,5V. Soit C=1μF,la capacité du condensateur. La courbe
de réponse est donnée par la figure ci-dessous :

a. Déterminez à partir de la courbe :la fréquence de résonance, l’intensité à la


résonance et la bande passante à 3dB.
b. En déduire la résistance R et l’auto-induction L de la bobine.

5. Un circuit comprenant une bobine d’inductance L et de résistance r, un condensateur de capacité


C=5μF et un conducteur ohmique de résistance R=50Ωmontés en série, est alimenté par un GBF
délivrant entre ses bornes une tension alternative de valeur efficace constante U=6,4V. On place
dans le circuit un voltmètre qui mesure la tension efficace aux bornes du générateur et
l’ampèremètre qui mesure l’intensité efficace dans le circuit. Pour des fréquences variant de 50Hz à
170Hz, on relève les valeurs correspondantes de l’intensité efficace du courant. Les résultats
obtenus sont consignés dans le tableau suivant :

I(mA) 12 15,5 21 29 42,5 53 67 84 93

f(Hz) 50 60 70 80 90 95 100 105 108

I(mA) 100 94 85,5 71 59 43,5 34 28 24

f(Hz) 112,5 117 120 125 130 140 150 160 170

a. Faites le schéma du montage


b. Tracez la courbe I=g(f). En déduire la fréquence de résonnance et l’intensité correspondante.
c. Calculez l’inductance L de la bobine et sa résistance.
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d. Mesurez sur la courbe la bande passante et Calculez le facteur de qualité.


e. Déterminez la valeur de la phase à la résonance.

6. Un élève a réalisé, au cours d’une séance de travaux pratiques, un récepteur radio réglé sur 164kHz
permettant l’écoute de « France Inter, grandes ondes ». Le capteur d’ondes radioélectriques est
équivalent à un circuit LC oscillant à sa fréquence propre. Pour une valeur donnée de L, ce circuit
permet une bonne écoute de France Inter. La valeur de capacité C est 0,47nF.
a. Représentez le montage du circuit LC
b. Déterminez la valeur de la fréquence propre de ce circuit.
c. Déterminez la valeur de l’inductance de la bobine permettant de capter France Inter.
d. Calculez la période de la porteuse de France Inter.
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PALIER III
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I.TEXTE A TROUS
- Un fluide est une substance formée par un grand nombre de . . . . . . . . . . . . . . (1) très libres de . . . . . .
. . . . . . . . (2) les unes par rapport aux autres.
- Au cours d’une réaction nucléaire, un noyau . . . . . . . . . . . . . . (3) donne naissance à un noyau . . . . . . .
. . . . . . . (4) ;
- La radioactivité α correspond à l’émission de noyaux . . . . . . . . . . . . . . (5) appelés aussi . . . . . . . . . . . .
. . (6) par certains noyaux ;
- L’énergie de liaison d’un noyau est l’énergie nécessaire pour séparer . . . . . . . . . . . . . . (7) les . . . . . . . .
. . . . . . (8) qui le constituent.
- Une particule et son antiparticule ont une même . . . . . . . . . . . . . . (9) et des charges électriques . . . . .
. . . . . . . . . (10).
- La transformation radioactive d’un noyau possède un caractère . . . . . . . . . . . . . . (11)
- La désintégration d’un noyau . . . . . . . . . . . . . . (12) celle d’un noyau voisin
- Un noyau « âgé » a . . . . . . . . . . . . . . (13) de se désintégrer qu’un noyau « jeune »
- L’évolution d’une population d’un grand nombre de noyaux radioactifs possède un caractère . . . . . . . .
. . . . . . (14)

II.QUESTIONS VRAIES OU FAUSSES


1. Un fluide est dit compressible lorsque son volume est constant.
2. Le nombre de Reynolds est le même pour tous les fluides.
3. La viscosité est la propriété physique dont dispose naturellement un fluide.
4. L’unité de l’énergie dans le système international est l’électronvolt (eV).
5. C’est la perte de masse qui est à l’origine de l’énergie libérée par une réaction nucléaire.
6. L’échographie médicale consiste à envoyer des ondes électromagnétiques dans le corps pour guérir
les tumeurs ;
7. La demi-vie d’un noyau radioactif est la durée pendant laquelle son activité est multipliée par deux.
8. La fusion est un processus par lequel un noyau lourd se divise en noyaux plus légers.

III.QUESTIONS AUX CHOIX MULTIPLES

1. Lorsque le volume occupé par une masse donnée varie en fonction de la pression extérieure, le
fluide est dit :
A. Parfait B. Réel C. Incompressible D. Compressible

2. L’une des caractéristiques suivantes n’est pas une caractéristique physique des fluides :
A. La masse volumique, B. La longueur du tuyau C. La densité D. La viscosité

3. L’équation-bilan générale de la radioactivité α s’écrit :


A. AZX → A−4 4
Z−2Y + 2He
B. AZX → A−4 4
Z+1Y + 2He
C. AZX → Z+1 A
Y + −10e
D. AZX → Z−1 A
Y + 01e̅

4. Lorsque le champ des vecteurs-vitesse des particules du fluide est indépendant du temps,
l’écoulement est dit :
A. Stable B. stationnaire D. non permanent C. invariant
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5. L’écoulement est laminaire si :


A. ℜ > 2000 B.ℜ < 2000 C.2000 < ℜ < 100.000 D.ℜ > 100.000

A A2 A3
6. Une désintégration radioactive est représentée par une équation suivante Z11X ⇒ Z2 Y + Z3 R où X
est :
A. le nombre de charge B. Le noyau-fils C. La particule émise D. le noyau-père

7. Au cours d’une désintégration β+ le noyau émet :


A. Un électron ou un positron B. Un positron et un neutrino C. un électron et un antineutrino D. un
positron et un antineutrino

8. L’expression qui relie la vitesse d’écoulement du sang à la pression est :


V21 P1 V2 P2 V2 P1 V2 P1
A. − gZ2 − B. 21 − gZ1 − C. 22 − gZ1 − D. 21 − gZ1 −
2 ρ ρ ρ ρ

IV.QUESTIONS OUVERTES

1. Relie chaque Homme de Sciences à son domaine d’activité (Recherche) (écris seulement le
numéro et la lettre correspondante) / 10 pts

Homme de Sciences Domaine de recherche

1. Young A. Energie
2. Melde B. Electrostatique
3. Joule C. Electronique
4. Coulomb D. Interférences lumineuses
5. Bernoulli E. Courant électrique
6. Hertz F. Electromagnétisme
7. Marie Curie G. Optique géométrique
8. Ohm H. Interférences mécaniques
9. Descartes I. Relativité
10. Einstein J. Ondes électromagnétiques
K. Radioactivité
L. Mécanique des fluides

2. Relie chaque grandeur physique à sa formule mathématique (écris seulement le numéro et la lettre
correspondante) / 6 pts

Grandeur physique Formule mathématique


1 1
1. Temps de demi-réaction A. mv 2 + 2 J∆ ω2
2
2. Fréquence des cordes vibrantes B. ∑ ⃗Fext = Ma⃗
3. Impédance du circuit RLC C. E = mg(ZB − ZA )
4. Energie cinétique d’un solide D. E = Mc 2
5. Equivalence Masse-Energie n F
E. N = 2ℓ √μ
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6. Relation fondamentale de la Dynamique 1 2


F. Z = √R2 + (Lω − Cω)
7. Energie potentielle

3. La période de l’isotope 226


88Ra du Radium est égale à 1600 ans. L’activité de 1,0 g de cet isotope est
10
de 3,7 . 10 Bq. Un échantillon a une masse m0 = 0,20 g. / 5 pts
a) Indique l’activité de cet échantillon ;
b) Calcule la masse de radium restante et son activité après 1600 ans, 3200 ans et 6400 ans.

4. Le tabac est une plante qui concentre le polonium 210 dans ses feuilles. Heureusement, cet élément
chimique radioactif existe dans la nature en très faible quantité. En fait, il est considéré comme
étant le produit le plus toxique que l’on connaisse. Quelques microgrammes (1μg = 10−6 g)
administrés par ingestion ou inhalation suffisent à entraîner la mort suite à sa fixation dans le foie,
la rate, les reins et la moelle osseuse, engendrant nausées, effondrement des défenses
immunitaires et perte des cheveux. C’est avec cette substance qu’a été empoisonné l’ancien espion
russe Alexandre LITVINENKO à Londres en 2006.
a) Ecris l’équation de la réaction nucléaire traduisant la désintégration d’un noyau de polonium
210 206 A
84Po en un noyau de plomb 82Pb avec une émission d’une particule ZX.
b) Détermine A et Z en précisant les lois utilisées.
c) Précise la nature de cette réaction.
d) Identifie la particule émise et justifie pourquoi une dose minuscule de ce poison est indétectable
par la police.

5. Les lampes fluorescentes :

Avez-vous déjà analysé l’allumage des lampes fluorescentes (les tubes à néon par
exemple) ? C’est une décharge dans le gaz se trouvant dans le tube qui provoque une émission de
lumière. En effet, la lampe n’est pas branchée directement à la source d’alimentation électrique : une
bobine (ballast) et un starter lui est associé (cfr la figure ci-contre).
Le starter est composé d’un petit tube rempli de gaz et pourvu d’un bilame. A l’allumage, la mise sous
tension provoque un arc électrique au sein du gaz. Celui-ci échauffe le bilame, jusqu’alors ouvert, qui se
ferme. Pendant ce temps un courant circule à l’intérieur des électrodes (filament en Tungstène). Les
électrodes s’échauffent et ionisent le gaz qui les environne, ce qui facilite ainsi l’allumage. Le bilame
étant fermé, l’arc électrique dans le starter disparaît. Le bilame se refroidi alors et s’ouvre. Il provoque
brusquement une interruption du courant dans le ballast raccordé en série. Le ballaste composé d’un
bobinage de cuivre entourant un noyau de fer (ballast dit inductif ou électromagnétique) va tenter de
rétablir le courant en libérant toute son énergie. Cela provoque une impulsion de tension très élevée
entre les électrodes de la lampe capable d’allumer le tube fluorescent. Souvent, cet allumage ne réussit
pas en une seule tentative. Si la lampe ne s’est pas allumée, le cycle recommence.
En fonctionnement, la tension de la lampe est trop faible pour générer un nouveau cycle d’allumage. Le
starter se maintient donc en position ouverte et le courant traverse la lampe qui reste allumée. A partir
de cet instant, le ballast joue le rôle de limiteur de courant et empêche la destruction de la lampe.
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D’après, Printemps des Sciences, 2015 – Bruxelles.

a) En te référant au texte, précise les éléments électriques qui assurent l’allumage des lampes
fluorescentes.
b) Précise le phénomène physique qui se produit dans le ballast et qui est responsable de
l’allumage de la lampe fluorescente.
c) Précise le double rôle du ballast et indique s’il s’agit d’un dipôle RL ou d’un dipôle RC.
d) Indique les étapes d’un cycle d’allumage d’une lampe fluorescente.

6. La médecine nucléaire, pourquoi faire ?


La médecine nucléaire couvre le champ d’une pratique médicale pour agir dans un but à la fois
diagnostic et thérapeutique. Dans les deux cas, une substance contenant un isotope est administré au
patient. Les isotopes utiles en médecine nucléaire se caractérisent par leur période relativement courte
qui tient compte des contraintes d’imagerie et d’élimination biologique . . .
Les rayonnements intéressant la médecine nucléaire sont au nombre de quatre. Pour le diagnostic, ce
sont les rayonnements 𝛄 et 𝛃+ , et pour la radiothérapie, ce sont les rayonnements 𝛃− et 𝛂 . . .
Le fluor 18 est un émetteur β+ pur ; c’est un candidat idéal pour le marquage des molécules d’imagerie .
. . le fluor 18, n’a qu’une demi-vie de 108 minutes. Cette propriété favorise une élimination rapide et un
faible impact de l’accumulation des déchets . . .
Le fluor 18 est injecté par la voie intraveineuse à une dose de 3,5 . 108 Bq. Au bout d’une certaine durée
après injection, un millième de la dose radioactive initiale est détectable.

D’après La médecine nucléaire.


La radioactivité au service du diagnostic et de la thérapie. Richard ZIMMERMANN. EDP. Sciences 2006.
a) En se référant au texte, montre la caractéristique des isotopes utiles en médecine nucléaire.
b) Précise la nature de chaque rayonnement intéressant la médecine nucléaire et donne pour
chacun d’eux le champ d’application.
c) Dégage du texte, un avantage de la courte demi-vie du fluor 18.
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A. EVALUATION DE LA COMPETENCE
LA TELEMEDECINE OU L’EXERCICE DE LA MEDECINE A DISTANCE
La Télémédecine est l’application novatrice de la communication électronique pour la fourniture de
l’information médicale. Cette approche a surgi dès les années 1800 avec la découverte du téléphone et a
été prolongé par le radiotéléphone qui a tenu compte de la boîte de vitesse des images médicales. Elle
s’est développée avec les technologies de l’information et de la communication au cours du 20 ème siècle,
et encore plus aujourd’hui avec la mise en pratique de la vidéoconférence, l’internet, des réseaux pour
la consultation en temps réel et le diagnostic et, parfois même, des actes médicaux à distance.
La télémédecine a ceci de particulier : le médecin et le patient peuvent être en contact tout en étant
physiquement à des milliers de kilomètres l’un de l’autre. De la même façon, un médecin consultant
peut lire et interpréter une image radiologique numérisée en temps différé, à des distances de milliers
de kilomètres, et faire connaître son opinion au médecin traitant via la communication.
Le citoyen Lambda ne se représente pas scientifiquement comment fonctionne la Télémédecine.
Pourtant, elle est possible et présente des avantages surtout pour les patients, mais elle est
contraignante pour la mise en pratique relativement au degré de développement des pays et des
citoyens.

SUPPORT : Carte schématique du vecteur de voies de communication intercontinental

Consigne : En tant que finaliste des humanités dans la section « SCIENCES », sur base des connaissances
acquises en Sciences Physiques et en vue d’éclairer le citoyen Lambda ;
1. Après identification d’une ressource incontournable qui doit être disponible en permanence pour la
réussite de cette ingénieuse application dans la Médecine, montre la part de la Physique dans la
mise en œuvre de la Télémédecine en indiquant au moins trois ressources qui entrent en jeu avec
une justification à l’appui ;
2. Indique brièvement, avec une illustration à l’appui, comment le médecin consultant parvient à
diagnostiquer un patient se trouvant à des milliers de kilomètres ;
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LA COMMUNICATION VIA WhatsApp

MAGURU est un petit commerçant de KAYOGORO. Il vit chez lui à la campagne avec sa femme et son fils
KAGABO. Son fils ainé, KABWIGIRI est Docteur en Médecine et travaille comme médecin au Ghana.
KAGABO lui, est enseignant à l’Ecole Fondamentale de DUNGA de sa commune natale.
Un bon soir, MAGURU désire mener une discussion avec ses deux enfants pour l’intérêt de la famille
toute entière. Mais KABWIGIRI ne peut pas être sur place. KAGABO suggère à son père que la discussion
est possible avec KABWIGIRI en passant par WhatsApp en appel audio ou appel vidéo. MAGURU est
alors obligé de s’acheter un téléphone mobile pouvant rendre possible la communication avec sa famille
en temps réel, mais il demande à son fils KAGABO comment est-il possible que son frère qui se trouve au
Ghana puisse l’entendre. Comme KAGABO n’a pas poussé loin dans ses études, il n’a pas pu convaincre
son père qui est parti tout de même s’acheter le téléphone mobile.

SUPPORT : Synthèse de la consultation publique sur la technologie RLAN

Consigne : En tant que finaliste des humanités dans la section « SCIENCES », sur base des connaissances
acquises en Sciences Physiques et en vue de fournir des explications convaincantes à KAGABO
et son père ;

1. Nomme au moins trois ressources de la Physique qui interviennent dans la Communication via
WhatsApp avec le téléphone mobile de MAGURU.
2. En vue d’indiquer à MAGURU l’appareil qu’il doit acheter comme accessoire du téléphone, identifie
les conditions environnementales qui doivent être remplies pour que la communication soit
possible, avec une justification scientifique.
3. Indique, avec une illustration scientifique à l’appui, le processus permettant à MAGURU de
communiquer aisément avec son fils KABWIGIRI malgré la distance qui les sépare.

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