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Thème :
Réalisé par :
- MOKDAD Houssem eddine
- CHEBLI Abdelmalek
Encadré par :
DR. MECHRAOUI Salah-Eddine
En premier lieu, nous remercions Dieu le tout puissant de nous avoir donné le privilège
et la chance d’étudier et de suivre le chemin de la science et de la connaissance.
En second lieu, nos remerciements les plus sincères vont droit à nos parents qui n’ont
pas cessé de nous encourager et nous soutenir tout au long du long parcours que furent nos
études.
Sans oublier toutes les personnes qui ont participé de près ou de loin pour achever ce travail
Enfin, nous remercions nos chers amis qui nous ont soutenus dans tous nos parcours du cycle
Des études
Dédicace
Mes chers parents, qui ont consacrés leurs existences à bâtir la mienne, pour leur soutient,
patience et soucis de tendresse et d’affection, pour tous ce qu’ils ont fait pour que je puisse
arriver à ce stade.
CHEBLI Abdelmalek
Tables des matières
Introduction générale .................................................................................................................... 1
Chapitre I : Généralités
Chapitre I : Généralité
Tableau 1.1. Différentes pièces du système différentiel présent sur la figure 1.10 ............................. 7
Tableau 1.2. Les différentes relations caractéristiques des roues dentées ....................................... 10
Tableau 1.3. Localisation des défauts dans le système de transmission par engrenage ..................... 13
r : rapport de transmission
N : vitesse de rotation
Z : nombre de dents
M : module
D : diamètre
P : puissance
V : vitesse linéaire
b : est la vitesse angulaire du boitier différentiel ou de la couronne
ωp : est la vitesse angulaire du planétaire
Cr : Le couple résistant des arbres des roues
ωps : Les vitesses des porte-satellites
Mt : couple de moteur [N.m]
𝜔: vitesse angulaire [rad/S]
K : coefficient de largeur de denture
Ft : effort tangentiel sur la dent [N]
Rpe : résistance pratique à l’extension
dp : Diamètre primitif
H : Hauteur de denture
hf : Hauteur de creux
ha : Hauteur de saillie
B : Largeur de denture
df : Diamètre de pied
Da : Diamètre de tête
P : Pas primitif
Rm : Résistance à la rupture
σe : Limite élastique
A : Allongement a la rupture
E : Module de Young
υ : Coefficient de Poisson
ᵟ : l’angle primitif
: Angle de creux
: Angle de tête
: Angle de pied
Fr : l’effort radial
F : l’effort normal
Mf: moment fléchissant
Mt : moment de torsion
T : Effort tranchant
ks : coefficient de sécurité
τ : taux de cisaillement
Résumé :
Abstract:
The aim of this project is the study, design, simulation and analysis of a car differential
system. The design of this mechanism was carried out after the theoretical and design study of
all their components with the CAD software "Solidworks". Before, design we realized the
machining range for each part of the differential system. The simulation part war carried out
with the calculation by finites element code Ansys. The objective of this is last a part is to
verify the results obtained in the theoretical parts.
:ملخص
تم تصميم النظام بعد دراسة نظرية.الهدف من هذا المشروع هو دراسة وتصميم ومحاكاة النظام التفاضلي للسيارات
وتصميمية لجميع مكوناته باستخدام برنامجCAD "Solidworks". قمنا بإعداد نطاقات المعالجة لكل جزء، بعد التصميم
تم إجراء جزء المحاكاة باستخدام كود حساب العنصر المحدود. من النظام التفاضليAnsys. الغرض من هذا الجزء
األخير هو التحقق من مقاومة جميع أعضاء النظام التفاضلي ومقارنة النتائج مع جزء الدراسة
Introduction générale
Introduction générale
Les engrenages sont des composants mécaniques essentiels. Ils font partie des systèmes de
transmission de mouvement et de puissance, d’un arbre vers un autre, les plus utilisés, les plus
résistants et les plus durables. Parmi ces systèmes de transmission de mouvement nous
trouvons les systèmes différentiels.
Un différentiel est un système mécanique qui a pour fonction de distribuer une vitesse de
rotation de façon adaptative aux besoins d'un ensemble mécanique. Par exemple, il est très
utile sur un véhicule automobile où il permet aux roues motrices de tourner à des vitesses
différentes lors du passage d'une courbe : les roues situées à l'extérieur du virage tournent plus
vite que celles situées à l'intérieur.
Sous sa forme la plus fréquente le différentiel est composé d'un pignon conique (solidaire de
l'arbre moteur) entraînant perpendiculairement une couronne dentée conique supportant une
Cage de pignons satellites, ceux-ci entraînant deux pignons planétaires solidaires des arbres
1
Chapitre I.
Généralité
Chapitre I : Généralités
Chapitre I : Généralités
1.1. Introduction
Un différentiel est un système mécanique qui a pour fonction de distribuer une vitesse de
rotation par répartition de l'effort cinématique, de façon adaptative, immédiate et automatique,
aux besoins d'un ensemble mécanique. Il permet aux roues motrices de tourner à des vitesses
différentes lors du passage d'une courbe : les roues situées à l'extérieur du virage tournent plus
vite que celles situées à l'intérieur. Sous sa forme la plus fréquente le différentiel est composé
d'un pignon conique (solidaire de l'arbre moteur) entraînant perpendiculairement une
couronne dentée conique supportant une cage de pignons satellites.
2
Chapitre I : Généralités
Pont rigide : Le pont rigide a un carter rigide qui entoure les deux arbres des roues. le
déplacement d’une roue entraine ainsi directement le déplacement de la roue opposée.
Ponts à suspension indépendante : un pont à suspension indépendante est un pont
pour lequel chaque roue est suspendue à partir du châssis indépendamment de l’autre.
Pont combine : Le pont type de Dion est une combinaison du type rigide et du type à
suspension indépendante.
3
Chapitre I : Généralités
Il existe trois types de ponts rigides, c’est-à-dire, complètement flottant (figure 1.5), trois
quarts flottant (figures 1.6), et semi-flottant (figure 1.7). La différence entre ces trois types réside
dans la disposition des roulements des moyeux des roues. Dans chaque cas, l’arbre de roue est
relié par des cannelures au planétaire de différentiel.
Dans un pont complètement flottant (figure 1.5), la roue est supportée par deux roulements
montés sur le diamètre extérieur du carter de pont. Dans ce cas aucune des forces de réaction
de la roue n’est transmise à l’arbre de roue. [2]
4
Chapitre I : Généralités
5
Chapitre I : Généralités
6
Chapitre I : Généralités
Le tableau 1.1 représente les différentes pièces du système différentiel de la figure 1.10.
Repère Désignation Repère Désignation
1 Arbre secondaire 6 Satellites
2 Pignon d’attaque 7 Arbre de roue gauche
3 couronne 8 Arbre de roue droite
4 Boitier de différentiel 9 Roulements
5 Planétaire
Tableau 1.1: Différentes pièces du système différentiel présent sur la figure 1.10
Le différentiel est enfermé dans un boitier boulonné sur la grande couronne. L’ensemble
peut tourner autour de l’axe des demi-arbres des roues. L’extrémité de ces demi-arbre,
chacun, se termine dans le boitier par un pignon conique appelé planétaire les deux planétaire
identique sont placé face à face et reliés par deux pignons conique plus petits, appelés
satellites, et dont les axes sont portés par la cage ou boitier de différentiel. Les satellites
tournent donc sur eux-mêmes et également autours de l’axe des planétaire.
Le différentiel permet aux roues motrice de tourner à des vitesses différentes l’une par rapport
à l’autre .en effet, dans un virage en épingle à cheveux la roue intérieure au virage parcourt
un cercle de petit diamètre, alors que la roue extérieure parcourt un cercle de plus grand
diamètre, et donc une distance supérieure, et ce, dans même temps. Cette roue extérieure doit
donc pouvoir tourner plus vite que la roue intérieure. Le différentiel compense aussi la
déférence de vitesse entre deux arbre de roues si, en raison de l’usure inégale ou de pressions
de gonflage différentes, le pneu d’un côté du véhicule n’a pas exactement le même diamètre
que celui du côté opposé.
Lorsque la voiture roule en ligne droite, les deux planétaires tournent à la même vitesse et les
satellites sont immobiles sur eux-mêmes. Le boitier fixé sur la grande couronne tourne donc
exactement à la même vitesse que le planétaire .Autrement dit, l’ensemble satellites,
planétaire et boitier tourne d’un bloc avec la couronne. Lorsque la voiture prend un virage, la
roue intérieure, et donc le planétaire correspondant, ralenti.les satellites se mettent à tourner
sur eux-mêmes et forcent le planétaire de la roue extérieure à accélérer, rétablissement ainsi
l’équilibre.
7
Chapitre I : Généralités
On va raisonner que l’élément moteur est l’axe porte satellites « 3 », ainsi que les couples
Résistants sur chacune des roues motrices sont rigoureusement identiques, les vitesses des
roues sont égales. Le différentiel est bloqué et tourne comme un seul élément.
Cr : Le couple résistant des arbres des roues. P : Les vitesses des planétaires.
Ps : Les vitesses des porte-satellites (croisillon).
Avec : p1 = Ps = P2
1.7.2. En virage :
La roue intérieure reçoit un couple résistent Cr1 plus important (rayon de virage différent
entre roues gauche et droite), L’élément moteur est toujours l’axe-satellites « 3 » et la vitesse
Moyenne des deux roues reste égale à la vitesse de l’axe porte-satellites. Ainsi que les
satellites tournent doucement sur leur axe tel que la vitesse enlevée sur une roue est transmise
à l’autre.
En virage : p1 = Ps + s p1 = Ps – s
S : vitesse du satellite.
8
Chapitre I : Généralités
L’engrenage est un mécanisme élémentaire constitué de deux roues dentées mobiles autour
D‘axes de position relative invariable, et dont l’une entraîne l’autre par l’action de dents
Successivement en contact.
9
Chapitre I : Généralités
r= (1.1)
10
Chapitre I : Généralités
Le module (m) choisi parmi les modules normalisés et déterminé par un calcul de résistance
des matériaux. [5]
m 2.34√ (1.2)
(1.3)
(1.4)
Avec :
11
Chapitre I : Généralités
12
Chapitre I : Généralités
la denture « droite », cas particulier de la denture « Spirale », avec angle de spirale nul
la denture « Spirale » pignon et roue d’un engrenage à axes concourants.
la denture « Hypoïde » pignon et roue d’un engrenage à axes décalés.
Chaque défaut d’un composant produit un ensemble particulier de vibration qu'on peut
utiliser pour l'identification. Cette partie décrit ces configurations de vibrations pour les
défauts de pont différentiel les plus courants. Les descriptions apportent l'information de base
nécessaire pour corréler les composantes de vibration des défauts.
Tableau 1.3: Localisation des défauts dans le système de transmission par engrenage
1.11.1.1. Défauts généralisés [7]
13
Chapitre I : Généralités
Pitting ou piqûres : Il s’agit de trous plus ou moins profonds qui affectent toutes
les dents. Se produisant surtout sur des engrenages en acier de construction
relativement dur.
14
Chapitre I : Généralités
Il y a donc diverses formes possibles, que nous allons passer en revue et on distingue :
La fatigue superficielle : par écrouissage qui est due aux contraintes maximales de traction
ou de compression, le premier signe visible est une apparence brunie, un éclat lustré du métal
et la disparition des marques d’usinage. L’incubation est assez courte, survenant même dans
des contacts peu chargés, puis de petites piqûres se forment, alignées le long des aspérités
initiales. [10]
La fatigue profonde : après un long temps de vieillissement se produit une émission brutale
de particule dans la surface atteint quelques mm², la profondeur quelques dixième de mm, et
dont la taille est sans rapport avec la structure du métal. L’usure s’étend par le bord des zones
écaillées, découvrant progressivement les sous-couches dont l’aspect est poli.
1.11.3. Corrosion
Elles provoquent des taches de couleur brune rouge, des irrégularités de surface, des piqûres
souvent foisonnantes, plus ou moins bien réparties sur tout ou partie des zones exposées. Il
s'agit évidemment d'attaques chimiques ou électrochimiques, le lubrifiant peut lui aussi être
incriminé, pour diverses raisons :
Elle concerne :
D’une part les dentures ordinaires soumises, pendant le transport ou l'arrêt, à des
vibrations d'origine extérieure.
La corrosion de contact produit des quantités importantes d'oxydes abrasifs qui vont
polluer les lubrifiants et provoquer, dans les cas graves, une usure destructrice. [8]
1.11.4. Surchauffe
Elles résultent d'un échauffement anormal consécutif à une surcharge, une sur vitesse, un
défaut de lubrification. Les plages colorées que l'on constate ne doivent pas être confondues
avec le résultat d'une oxydation ou d'une corrosion. [12]
Le roulement, organe de base pouvant assurer à lui seul plusieurs fonctions parmi lesquelles la
liaison mobile en rotation avec un minimum de frottement entre deux éléments, tout en
supportant des charges radiales ou axiales plus ou moins importantes, il peut être aussi utilisé
pour assurer un positionnement précis de l’arbre, et corriger les défauts de l’alignement.
16
Chapitre I : Généralités
1.11.7. Accouplement
Les accouplements sont des dispositifs de liaisons utilisés pour raccorder entre eux deux ou
plusieurs rotors tout en transmettant le couple. Les accouplements permettent selon leurs
types.
On trouve d’autres types de défaillances dans les différentiels, telles que : le jeu, le desserrage
et les mauvaises fixations. Cette classe de défauts concerne les fixations des composantes sur
leurs supports ou massifs. Si le montage est défectueux, on pourra observer différents
phénomènes.
production, soit en cours d'utilisation, soit dans le cadre de maintenances. On parle aussi
Ces méthodes sont très utilisées dans tous les domaines y compris dans l’industrie automobile
où on les utilise pour le contrôle des blocs moteurs, des engrenages .etc...
Pour les ponts différentiels, les méthodes les plus utilisées sont le ressuage, la radiographie, la
thermographie, l’ultrason et l’analyse vibratoire qui peut être utilisé en fonctionnement.
18
II.
Choix de matériaux,
Étude et calcul RDM
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
Pour les pignons du différentiel on a utilisé aciers 42CD4 (42CrMo) est un type d'acier de
construction en alliage à teneur moyenne en carbone offrant de bonnes performances globales
et une bonne trempabilité. Il est souvent utilisé pour fabriquer des engrenages, des bielles, des
boulons à haute résistance et d'autres pièces importantes lors du processus d'usinage.
19
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
2.2.3. L’arbre
Pour les arbres, l’acier utilisé est le 45SCD6 (ancienne appellation) ou bien le 45SiCrMo6
(Nouvelle appellation), c’est un acier faiblement allié avec une excellente trempabilité. Ses
Propriétés sont :
Résistance à la rupture Rm : 1600 MPa
Limite élastique : 1450 MPa
Allongement a la rupture (A) : 10%
Module de Young (E) : 220 Gpa
Coefficient de Poisson (υ) : 0.285
20
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
Un élément moteur.
Un élément récepteur.
Dans le cas du différentiel, les deux planétaires servent de point d’appui et sont également
récepteur de mouvemente, en fonction de la réaction des planétaires dues à l’adhérence des
roues sur le sol, l’un ou l’autre planétaire deviendra plus récepteur que l’autre et inversement.
En ligne droite, si les résistances des deux planétaires sont identiques, le train est bloqué et
l’ensemble boîtier différentiel tourne à la vitesse imposée par la couronne du différentiel.
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Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
Une étude ayant déjà été faite auparavant a montré que la caisse et l’ensemble
de ses constituants pesait au plus 1,1 tonnes. Sachant que le poids moyen d’un
passager est de 70Kg et que la capacité du nouveau véhicule est de 5
passagers le poids total du véhicule à charge est estimé à 2,3 tonnes. Ajoutant
le poids des bagages et en prenant un poids total de 2,5 tonnes.
La répartition des charges dans un véhicule est de 30% sur l’essieu arrière et
70% à l’avant. C'est-à-dire que le poids reposant sur essieu est de 0.69 tonnes.
Toutefois sur le même essieu les charges sont supposées être réparties
équitablement sur les deux roues. Donc on suppose chaque moyeu est soumis
à une charge de 345 kg. [15]
22
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
Les données :
1/ Le rapport de transmission :
1 er cas : entre la couronne et pignon d’attaque.
= 0.25
= 0.56
⇒ r= 0.25x0.56 = 0.14
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Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
Z : nombre de dent.
AN: ⇒ ⇒
b) Le module:
𝑑 4= 𝑑4+ 2𝑚𝑐 𝑠 4
Avec :
d4=m×Z4=90 mm
𝑑 4= m Z4+ 2𝑚𝑐 𝑠 4
𝑚𝑚
d3=m.Z3 = 50 mm ⇒
24
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
d) Saillie :
- D’après le tableau (Tableau (1.2) de chapitre 1). [4]
𝑚𝑚
e) Creux :
- D’après la figure (1.13). [4]
f) Hauteur de dent :
⇒ ⇒
g) Diamètre de tête :
𝑑 3 = 𝑑3 + 2𝑚𝑐 𝑠 3
𝑑 3 = 50+ 4𝑐 𝑠 (29,03) ⇒
h) Diamètre de pied :
- D’après la figure 1.13 le diamètre de pied sous forme : [4]
𝑑f3= 𝑑3 – 2,5𝑚𝑐 𝑠 3
i) Angle de saille :
Avec : ⇒ ⇒
L : Largeur de denture.
j) Angle de creux :
⇒ ) ⇒
25
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
k) Angle de tête :
- C’est le total entre angle primitifs et angle de saille. [4]
⇒ ⇒
l) Angle de pied :
⇒ ⇒
o) Calcul de couple Mt :
- D’après équation (1.4) le couple égale : [4]
: La vitesse angulaire.
A.N : ⇒
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Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
Avec :
R : le rayon de pignon satellite.
Puisque on a deux pignon satellite donc l’effort tangentiel appliquée sur chaque une est de :
Ft’ = Ft/2 ⇒
√ ⇒
Pour m=3 :
Remarque :
27
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
√
28
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
On a:
Avec:
⇒ ⇒
√ ⇒ √ ⇒
29
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
√ ⇒ √
2.8.2. Calcul de moment fléchissant résultant de demi-arbre suivant le plan (ox ; oy)
On a:
b : distance entre l’axe du roulement et le flasque de la roue : b = 140[mm] [18]
T : effort tangentiel des surfaces de contact des roues avec le sol.
RZ1 : effort normal de contact de la roue gauche ou droite.
Or :
[18]
Avec :
G2 : charge totale sur le pont arrière
K2 : coefficient de la répartition de charges entre les roues
En ligne droite k2= 1 mais pendant le virage k2 1. Considérons que la voiture est en ligne
droite, alors k2=1.
On a : = [18]
[18]
Avec :
Alors on a :
√ ⇒
31
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
Le rayon libre pour le peu 195/65/R15 (model Peugeot 206 sw). 15 pouces = 38.1cm
Le rayon de la roue vous calculez en ajoutant les deux variables. Vous recevrez 19,05
centimètres de rayon de la jante, plus 12,68 montants de bord égale à 31,73 rayons de
centimètre de la roue.
√( ) ( ) Avec
D √ √ ⇒ D √ √
D = 21.75 mm ⇒ on prend
1/ Calcul de Ty max :
Chaque arbre possède de 15% la charge totale : donc la charge applique sur arbre.
⇒ Tymax = 507.1 N
32
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
= 1.03 N/mm2 ⇒
2/ Le moment fléchissant :
D : Distance en mm.
Vérification de résistance :
ks = 2 : coefficient de sécurité
1450 MPa
- En virage :
N3 : 420 [tr/min], vitesse de rotation des demi-arbres de la roue, motrice c’est la vitesse
correspond à planétaire.
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Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
Remarque :
- Avant de calculé le diamètre de pignon d’attaque on va calcule les efforts sur les paliers :
T = effort tangentiel.
Fr = effort radial.
Fa = effort axial.
Mp Cm r U1
Mp 24daNm0,980,980,990.56 ⇒
Cm=24 [daNm] pour la Répartition de la charge la précision et rigidité telles que le contact
ne se fait pas sur toute la largeur de la face.
Mc= Mp× U2
Mc = × 0.25 ⇒
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Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
b) Effort tangentiel :
⇒
Dm2=0.857×D2
Avec : D2= 240 [mm] : diamètre moyen de la grande couronne.
γ1 = arctg ( et
γ1 = arctg ( ⇒ et
et
et
⇒
4/ Effort sur le palier de pignon d’attaque :
Figure 2.2 : Les efforts applique sur le palier de pignon d’attaque suivant axe (⃗⃗⃗⃗ )
35
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
a1= 13 [mm]
a2= 60 [mm]
L1= 83 [mm]
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗
( )
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗
( )
36
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
Figure 2.3 : Les efforts applique sur le palier de pignon d’attaque suivant axe (⃗⃗⃗⃗ )
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗
⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗
AN ⇒
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗
AN ⇒
√ [18]
Sont données :
Mf1y= 15,41[Mpa] et Mf1x= 44,87[Mpa] ⇒ D’où
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Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
= =
: Moment quadratique.
√ √ ⇒ 21.2 mm
Avec :
Mf1=47,44. [MPa] et Mt1=931.8 [MPa] d’où finalement, on désigne que le diamètre normalise
N/mm2
38
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
Avec /
( )
Permet d’écrire : √
39
Chapitre II : Choix de matériau et calcul RDM
√ → 𝑐
b) Dimensions du roulement :
40
Chapitre III : Conception avec solidworks
Chapitre III.
Par conséquent, ce chapitre a été introduit par une première partie donnant une vision générale
Sur le logiciel CAO/DAO «solidworks ».
Ensuite, une deuxième partie qui traite la méthode de la conception en 3D du différentiel en
Donnant les détails ainsi que les différentes étapes de conception.
3.2 Historique
Créé en 1993 par l'éditeur américain éponyme (Jon Hirschtick) a commencé à travailler sur
Solidworks en 1993 accompagné d'une équipe de développeur afin de rendre la CAO plus
accessible. A partir de 1995, la première version du logiciel est lancée. En 1997, Dassault
Systèmes devient actionnaire principal et continuera de développer les outils du logiciel.
Solidworks permet de réaliser de la modélisation 2D et 3D, ce logiciel de CAO est réputé
pour sa simplicité d'utilisation et se veut intuitif.
41
Chapitre III : Conception avec solidworks
Il utilise le principe de conception paramétrique et génère trois types de fichiers qui sont liés:
la pièce, l'assemblage, et la mise en plan. Ainsi toute modification sur un
De ces trois fichiers sera répercutée sur les deux autres.
3.4.1 : Pièce
Une pièce est la réunion d'un ensemble de fonctions volumiques avec des relations
D’antériorité, des géométriques, des relations booléennes (ajout retrait)... Cette organisation
est rappelée sur l'arbre de construction. Chaque ligne est associée à une fonction qu'on peut
Renommer à sa guise.
42
Chapitre III : Conception avec solidworks
Les assemblages sont obtenus par la juxtaposition de pièces. La mise en position de pièces est
définie par un ensemble de contraintes d'assemblage associant, deux entités respectives par
une relation géométrique (coïncidence, tangence, Co axialité...). Dans une certaine mesure,
ces associations de contraintes s'apparentent aux liaisons mécaniques entre les pièces. Le
mécanisme monté, s'il possède encore des mobilités, peut être manipulé virtuellement. On
peut alors aisément procéder à des réglages à l'aide des différents outils disponibles
(déplacement de composants, détection de collision ou d'interférence, mesure des Jeux, etc.)
Une fois les pièces ou assemblages créés, il est possible de générer automatiquement les mise
en plan (représentation 2D) avec insertion automatique des côtes et liaisons entre les vues 2D
et le modèle 3D.
Pour faire des mises en plan, il est tout d’abord nécessaire d’avoir des fonds de plan pour y
projeter les dessins. Ces fonds de plans sont en format (A4, A3,…), une orientation
Un certain nombre de fonds de plan de base sont proposés à l’origine, mais il est préférable.
Avant de commencer, de personnaliser les fonds en plan que l’on utilisera par la suite. [4]
43
Chapitre III : Conception avec solidworks
Ouvrir Solidworks
On choisit la norme ISO afin de créer notre pièce à partir d’un modèle existant.
En fin, on remplit le tableau proposé par Solidworks qui consiste à définir notre couronne et
tous les pignons créés dans ce système
44
Chapitre III : Conception avec solidworks
- puis on esquisse un cercle puis on clique sur basse/bossage puis une symétrie
par rapport axe et on valide :
45
Chapitre III : Conception avec solidworks
On modélise le pignon d’attaque de la même manière que la couronne tout on réspectons les
propriétés de ce dernier tel que le module, nombre de dents, nombre de dents de
La couronne,…etc.
46
Chapitre III : Conception avec solidworks
47
Chapitre III : Conception avec solidworks
49
Chapitre III : Conception avec solidworks
Sur le corps en introduit deux roulements qui assurent la rotation sans frottement de l’axe
intérieur et le pignon satellite et la couronne. et protégé par des joints spi et des caches
latéraux. Les caches latéraux sont usinés par le tour et la perceuse et ils sont protégés par un
revêtement métallique anticorrosion.
JIS B 1512-6 - 43C1015 - 12, SI, AC, 12 JIS B 1512-6 - 63C5057 - 38, SI, AC, 38
La clavette utilisée
Clavette type A montée sur un arbre en mécanique, une clavette (étymologiquement, une
petite clé) est une pièce qui a pour fonction de lier en rotation deux pièces (liaison de
moyeux). En complément, elle peut être dimensionnée pour se rompre par cisaillement
lorsque le couple transmis est trop important
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Chapitre III : Conception avec solidworks
Pour cette partie de travail, nous allons présenter la gamme d’usinage des composants de
différentielle. La gamme d’usinage contient tous les phases et l’opération rencontrée avec les
autres pièces.
52
Chapitre III : Conception avec solidworks
54
Chapitre III : Conception avec solidworks
55
Chapitre III : Conception avec solidworks
56
Chapitre III : Conception avec solidworks
Les pièces réalisées par CNC sont la couronne et les satellites, les autres pièces ont été
réalisées par la méthode conventionnelle.
58
Chapitre IV.
Simulation
Numérique
Chapitre IV : Simulation numériques
4.1. Introduction
4.2. Historique
Le programme Ansys Inc. est un éditeur de logiciels spécialisé en simulation numérique, crée
en 1970, l’entreprise à son siège à Canonsburg en Pennsylvanie aux États-Unis. Ansys
développe, promeut et assure le support de ses logiciels de simulation servant à prédire le
comportement d’un produit dans son environnement. Ses produits majeurs sont des logiciels
qui mettent en œuvre la méthode des éléments finis, afin de résoudre des modèles
préalablement discrétisés.la société possède de nombreuses filiales à travers le monde
notamment en Europe et en Asie.
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Chapitre IV : Simulation numériques
60
Chapitre IV : Simulation numériques
- Données d'ingénierie :
Définition des propriétés des matériaux.
- Géométrie :
Défi. De la géométrie du problème.
- Modèle:
Défi. Du maillage.
- Configuration :
Défi. Des conditions aux limites.
- Résultats:
Contient les différents résultats.
Figure 4.3: Fenêtre de structure statique
La méthode des éléments finis est un outil numérique permettant d’aboutir à des solutions
approchées des problèmes physiques qui sont régis par des équations aux dérivées partielles.
Son principe repose sur la discrétisation d’un milieu complexe supposé continu (un objet) en
un certain nombre fini d’éléments de géométries (un maillage) relativement simples
(segments, triangle, rectangle, etc…) appelés élément fini. [18]
Ceci permet la création du modèle géométrique, le choix du type d’élément fini et enfin le
choix du type d’analyse (statique, dynamique,…etc.). [18]
61
Chapitre IV : Simulation numériques
62
Chapitre IV : Simulation numériques
Cette étape consiste à préparer le maillage du domaine structure. Dans notre cas, on a utilisé
un élément tétraédrique linéaire avec taille d’élément 3 mm (490450 nœuds et 285389
éléments). La figure (4.7) montre convergence du maillage en fonction de taille d’élément
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Chapitre IV : Simulation numériques
Cette étape consiste à modéliser des actions mécaniques extérieures et de liaison auxquelles le
pont est assujetti. Il est alors nécessaire, d’une part, de définir au préalable les différentes
liaisons mécaniques et d’autre part, afin de vérifier la résistance du pont, de déterminer les
conditions les plus défavorables auxquelles il est susceptible d’être sollicité.
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Chapitre IV : Simulation numériques
En admettant que la voiture est parfaitement symétrique, que les actions de contact sur les
deux roues du même essieu sont égales, les seules actions auxquelles est soumis le moyeu en
configuration arrêt, sont la pression de frettage, le poids du véhicule et la réaction du sol. Les
figures de (4.10), (4.11) et (4.12) représentent respectivement les contours de contraintes,
déformations et déplacement du différentiel pour l’acier (42CD04) avec un moment d’entrée
de 120 N.m.
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Chapitre IV : Simulation numériques
La figure 4.10 montre la distribution des contraintes équivalentes de Von Mises dans le
mécanisme du différentiel. Elle montre une concentration de contraintes au niveau de la dent
du satellite (entre planétaire et stellite). Cependant, la valeur maximale (124.62 MPa)
multipliée par le coefficient de sécurité (ks=2) donne une valeur de contrainte pratique de
249.24 MPa, cette valeur reste en dessous à la limite d’élastique du matériau (acier allié
trempé) qui est de 850MPa.
Déformation
D’après la figure 4.11 on remarque que la valeur maximale de la déformation est enregistrée
au niveau du pignon d’attaque néanmoins, cette valeur reste négligeable.
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Chapitre IV : Simulation numériques
Déplacement total
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Chapitre IV : Simulation numériques
Dans cette configuration les contraintes ont toutes diminué par rapport au cas statique où
véhicule. La figure 4.13. Illustrent bien ce constat. La valeur maximale des contraintes
équivalentes de Von mises ont diminué. Il y a également apparition des concentrations de
contraintes au niveau de la zone des dentures entre satellite et planétaire. Cependant, la valeur
maximale (76.47MPa) multipliée par le coefficient de sécurité (ks=2) donne une valeur de
contrainte pratique de 152.94 MPa, cette valeur reste en dessous à la limite d’élastique du
matériau (acier allié trempé).
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Chapitre IV : Simulation numériques
Déformation
Sur la figure 4.14 est représenté également le champ de déformations. Sa distribution montre,
comme pour les contraintes, des déformations élevées autour de la zone de pignon satellite et
planétaire. on remarque que la déformation élastique dans le cas de freinage et plus petit par
rapport le cas de ligne droite.
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Chapitre IV : Simulation numériques
Déplacement total
Sur la figure 4.15 est représenté également le champ de déplacement sa distribution montre,
que la valeur maximale du déplacement est enregistrée au niveau de dentures de la couronne
néanmoins, cette valeur reste négligeable.
(a) (b)
Figure 4.18 : Contour de : (a) déformation et (b) déplacement total.
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Chapitre IV : Simulation numériques
Trois types de matériaux ont été utilisés pour cette partie d’étude. Le tableau (4.4) présente les
caractéristiques mécaniques de chaque matériau. L’objectif de cette partie est de trouver le
matériau qui assure une meilleur résistance des organes du différentiel tout en assurant un
poids optimal.
matériaux
Propriété : unité
Fonte nickel chrome Acier (AISI 4340)
Module d'élasticité Gpa 145 200 205
3
Masse volumique Kg/dm 7300 7800 7850
Coefficient de Poisson 0.27 0.28 0.32
La figure (4.19) présente la distribution des contraintes dans les trois cas de matériaux.
Avec des couples différents a été utilisé comme outil d'analyse pour déterminer le
comportement structurel de sous les conditions de chargement données.
L'analyse est menée pour vérifier le meilleur matériau pour des vitesses plus élevées en
analysant les contraintes et la déformation.
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Chapitre IV : Simulation numériques
120 N.m
100 N.m
90 N.m
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Chapitre IV : Simulation numériques
couple
120 N.m
100N.m
90N.m
Figure 4.19:La distribution des contraintes dans les trois cas de matériaux.
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Chapitre IV : Simulation numériques
Le tableau (4.5) résume tous les résultats de la simulation pour les trois matériaux.
On remarque que l’acier (AISI 4340) présente une contrainte maximale de 127.07 MPa
par contre la fonte et le nickel chrome ayant presque la même contrainte de 123.94 MPa
et 122.04 MPa respectivement. Alors La valeur maximale multipliée par le coefficient de
sécurité (ks=2) donne une valeur de contrainte pratique cette valeur reste en dessous à la
limite d’élastique du matériau. Donc elle est acceptable
D’autre part la déformation elle est différent dans chaque matériaux néanmoins, cette
valeur reste négligeable.
Couple
N.m Contrainte de Von mises (MPA) Déformation élastique équivalente (mm)
Fonte nickel chrome Acier (AISI Fonte nickel chrome Acier (AISI
4340) 4340)
120 123.94 122.38 127.02 8.54e-4 6.1e-4 6.35e-4
Remarque :
L'objectif principal du projet est de se concentrer sur la fabrication mécanique et l'analyse des
contacts sur l'assemblage d'engrenages dans un pont différentiel. L'analyse est menée pour
vérifier le meilleur matériau pour les engrenages dans le pont différentiel à des vitesses plus
élevées en analysant les contraintes, la déformation et également en considérant la réduction
de poids. Pour le but de choisi meilleur matériaux pour un faible coût et un poids.
Donc pour un matériau de faible cout et un poids optimal on peut choisir la fonte. Pour la
fabrication, ou bien pour une solidité plus élève et un poids lourd en peut choisi le chrome.
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Chapitre IV : Simulation numériques
L’effort calculé dans la partie théorique ont été appliqué sur chaque denture. L’objectif de
cette partie d’étude et de vérifier la résistance de chaque organe séparément. Le calcule par
élément fini de cette partie a été réalisé avec solidworks.
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Chapitre IV : Simulation numériques
D’aprés les résultats obtenue on remarque que la contrainte Max sur la couronne est tres petite
par rapport à la limite élastique ce qui signifie qu’elle est loin du domaine plastique et on
constate que pour atteindre sa limite d’elasticité il faut appliquer 28 fois la force
appliquée,cette constante est un coefficient de securité supplémentaire,et le deplacement est
de l’ordre de [mm] donc elle va résistéé au chargement appliqué.[4]
(a) (b)
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Chapitre IV : Simulation numériques
D’apres les figure on remarque que la contrainte Max sur le pignon satellite est petite par
rapport à la limite élastique ce qui signifie qu’elle est loin du domaine plastique et on constate
que pour atteindre sa limite d’elasticité il faut appliquer 3.6 fois la force appliquée,cette
constante est un coefficient de securité supplémentaire,et le deplacement est de l’ordre de
[mm] donc elle va résistéé au chargement appliqué.
(a) (b)
Figure 4.22 : Contour de: (a) contrainte Von mises et (b) déplacement
satellite
1210.14 530 146 0.000237 0.00574
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Conclusion générale
Conclusion générale
L’objectif de ce travail est la conception et simulation d'un système différentiel (cas d’un
différentiel d'automobile). Pour la conception nous avons utilisé le logiciel de CAO/DAO
Solidworks. Ce travail nous a aussi permis de nous familiariser avec les logiciels solidworks
et Ansys et de connaitre les difficultés rencontrées lors de la modélisation.
A travers cette étude, nous avons réalisé la conception d’un différentiel d'automobile, puis
vérifier grâce à une étude de simulation numérique avec Solidworks et Ansys la résistance des
composants du mécanisme. Dans ce travail, nous avons commencé par une étude
bibliographique, qui nous a permis d'approfondir nos connaissances pour les différentiels.
Ensuite nous avons réalisé les points suivant :
- Une vérification de la résistance des organes du différentiel selon deux configurations les
plus défavorables au différentiel (véhicule en ligne droite, et véhicule en freinage).
- Enfin, une partie d’optimisation a été proposé afin de trouver un compromis Poids/meilleurs
caractéristiques du différentiel.
En perspective, des futures pistes d’étude peuvent être proposées telle que : effectuer une
étude dynamique, ou encore une étude de vibration.
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Références bibliographiques
Références bibliographiques
[1] : Toufik TAFADJIRA, Conception et étude de fabrication des organes de transmissions -
Etude de cas : La Boite de Vitesses CVT, Mémoire d’ingénieur, Ecole Nationale
Polytechnique-Alger, 2017
[2] GLEASON- Conception des engrenages de pont moteur sur les véhicules de tourisme -
FENWICK, 8, Rue de Rocroy. Paris (10), Edition 1971.p.3-16
[3] Pierre DU SIN - Partim technologie des essieux - Ingénierie des véhicules terrestres
Université de Liège, 2014.
[4] Samir AIT MOULA et El-yesse BENBARA, Etude, conception et fabrication d’un
système Différentiel, Mémoire de Master, Université Abderrahmane Mira De Bejaia, 2015.
[5] : Copyright Gaston Nicolet conception et calcul des éléments de machines école
D’ingénieurs de fribourg (E.I.F.) section de mécanique revue en 2006.
[6] :bernarderic4926.perso.sfr.fr/dr/Les_engrenages.pdf en mars 2015.Amphi Fatigue.
[7] : HADJ SAID Baba, Mémoire de fin d’études « diagnostique des défauts des machines
tournantes par analyse spectrale des vibrations » école nationale polytechnique
[8] : diagnostic des machines tournantes par les techniques de l’intelligence artificielle, thèse
De doctorat, université Badj Mokhtar Annaba
[9] :https://biblio.univ.annaba.dz/ingeniorat/wpcontent/uploads/2018/04/KHOUALDIA-
SOUMAYA.pdf.
[10] :https://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecaniqueth7/comportement-
en-service-des-systemes-et-composants-mecaniques-/fatigue-et-mecanique-de-la rupture /
[11] : https://www.insa-lyon.fr/fr/formation/controle-non-destructif
[12] : DOUGDAG, défauts mécaniques dans l’étude des machines tournantes, thèse magister
[13] :http://www.metaux-detail.com/pdf/acier/42cd4/traitements-thermiques/.pdf
[14]: http://univ-biskra.dz/enseignant/bensaada/Traitement %20 thermique.pdf
[15]: https://www.autotitre.com/fiche-technique/Peugeot/206/1.4e_16v_XS.
[16] : Mémoire de fin d’études : Conception d’une transmission classique d’une voiture tout
terrain réaliser par : RAZAFIMANDIMBY Felamandefitra Ary année 2005.
[17] : https://fr.wikipedia.org/wiki/ANSYS
80
Annexe
Annexe
Les mises planes
- Annexe (1) : Mise plane pignon satellite avec sa cotation
81
Annexe
82
Annexe
83
Annexe
84
Annexe
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Annexe
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Annexe
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Annexe
Annexe (5) : Affichage sur la surface déformée avec les propriétés de maillage
Propriétés
Volume 6,2836e+005 mm³
Masse 4,9326e-003 t
Longueur suivant X 275,19 mm
Maillage
Type de maillage Maillage volumique
Mailleur utilisé Maillage standard
Qualité de maillage Haute
Nombre de nœuds 490450
Nombre d’éléments 285389
Valeur de tolérance 2,5625 mm
Taille d’élément 3 mm
Déplacement total :
88
Annexe
89
Annexe
90