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LES NOMBRES EXEMPLE 2 : Les quotients ; ; ; ; ; ; … sont-ils décimaux ?


2 4 5 6 7 8 9
1 1 1 2 1 1 1
I. ENSEMBLES DE NOMBRES. 2
=0 ,5 ;
4
=0 ,25 ; = =0 ,2 et = × =0 ,125 sont des nombres décimaux.
5 10 8 2 4

ANNEXE : Construction à la règle et au compas d’un axe gradué. 1 6 1 9 1 7


10 0,16 ... 10 0,1... 10 0,142857...
DÉFINITIONS : Des ensembles à connaître : 40 1 30
4 20
60
• Les entiers naturels : ℕ ={0 ; 1 ; 2 ; 3 ;… } 40
50
• Les entiers relatifs : ℤ ={ …;−2 ;−1; 0 ; 1 ; 2 ; …} 1
1 1 1
∉ID ∉ID ∉ID
a 6 9 7
• Les décimaux : ID ={ n , a ∈ℤ ,n ∈ℕ }
10
PROPRIÉTÉ : Les restes successifs finissent toujours par s’annuler ou se répéter.
p
• Les rationnels (fractions ou quotients) : ℚ ={ , p ∈ℤ ,q ∈ℕ* } Le développement décimal d’un quotient est donc périodique.
q
1
• Les réels (abscisses d’un point) : ℝ ={ 0 ; 1;−2 ; 1 ,21; ; √ 2 ; π ; … } EXEMPLE 3 : Parmi ces rationnels, reconnaître des entiers ou des décimaux.
3
1246 259 124 12 125 1300
• ∉ℕ ∈ℕ ∉ℕ ∉ℕ ∉ℕ ∉ℕ
EXEMPLE 1 : Exprimer ces nombres décimaux en fractions décimales. 3 7 5 30 6 8
235 12135 7 14 15 5 25 1246 259 124 12 125 1300
0 ,235= 121,35= = = = • ∉ID ∈ID ∈ ID ∈ ID ∉ID ∈ ID
1000 100 50 100 600 200 1000 3 7 5 30 6 8

345 1 345 1 702 000 000 2 ,6×10 4 26×103 13


3,45×10− 4= 2
× 4= 6 1,702×109 = 0
= = EXEMPLE 4 : Donner la forme irréductible puis compléter par ∈ ou ∉
10 10 10 10 2×106 2×106 103
0 5 –10 (–3)² –2² 0,74 1 1 21 10 √ 64 √ 2 π 10−2 3,25×103
APPLICATION : Calculer de tête. 4 3 3 15

= 0 5 –10 9 –4 0,74 0,25 1 7 2 8 √2 π 0,01 3250


0 ,2×0 ,07=
2
×
7
=
14
10 100 1000
=0 ,014 0 ,05 2=( ) 5 2
100
=
25
10000
=0 ,0025
0 ,27 27 9
= = =4 ,5
0 ,06 6 2
ℕ ∈ ∈ ∈
3

3
∈ ∈
1,2×103 +5×104=1200+50000=51200 1,2×103 ×5×104=5×1,2×103+4 =6×107 =60 000 000 ℤ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈
ID ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈
a ℚ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈
VRAI/FAUX : Un entier est un nombre décimal. Vrai, pour tout entier relatif a, a= 0 ∈ID
10 ℝ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈ ∈
Un décimal est un rationnel. Vrai, une fraction décimale est une fraction( 10n ∈ℕ )

PROPRIÉTÉ : Chaque ensemble contient le précédent, on parle d’inclusion, on note : ℕ⊂ℤ⊂ID⊂ℚ⊂ℝ EXERCICE : Notre oncle a ramené 8 pièces de 2 euros mais je suis
punie et mes quatre sœurs se partagent cette somme, 16 euros en
1 récupérant chacune 4 euros. Si je n’avais pas été punie, j’aurais pu
VRAI/FAUX : Un rationnel est un nombre décimal. Faux, n’est pas un nombre décimal.
3
gagner équitablement 3,20€. Quand j’y pense, heureusement qu’on est
1 3
5, le partage est simple. Comment ferions nous à 3 ? On aurait 5,33€
10 0,3... Le reste ne sera jamais nul,
chacun mais il resterait 1 centime d’euro ! Ou alors, on achèterait une pizza chez Antonio, la gargantuesque,
1... Il sera toujours égal à 1. 1
celle qui mesure un mètre de diamètre! On en mangerait chacun. Mais vu que je n’aime pas la croûte des
3
pizzas, je laisserais π mètres de pain sur la table et ma solution ne serait plus réellement équitable.
SAVOIR : Un quotient est décimal si l’algorithme de division euclidienne se termine par un reste nul. 3
II. LES INTERVALLES RÉELS. DÉFINITIONS :
• La distance entre deux nombres a et b est |b−a| .
DÉFINITION : [ a ; b ]={ x ∈ℝ tel que a≤ x ≤b } est un intervalle fermé borné.
• b est une valeur approchée de a à 10-n près si |b−a|⩽10− n
] a ; b [={ x ∈ℝ tel que a <x <b } est un intervalle ouvert borné.
] a ;+∞[={ x∈ℝ tel que a < x } est un intervalle ouvert non borné. EXEMPLES :
]−∞ ; b ]={ x ∈ℝ tel que x≤b } est un intervalle fermé non borné.
3 −3 3
• ≈ 0 ,428 à 10 près par défaut mais l’arrondi de à 10−3 est 0,429.
EXEMPLES : 7 7

819 • Donner un encadrement décimal d’amplitude 10-1 : 3 ,1<π <3 ,2 6 ,2<2 π <6 ,3 et 31,4⩽10 π⩽31,5
• –2∉ ]−2;+∞[ ; ∉] 0 ;1 ] ; √ 2∈[1 ;2 ] ; π ∈[ 3 ,14; 3 ,15] ; 3,14∉[ π ;+∞[
737
• √ 17 ; √ 39 ; √ 77 ; et √ 101 et un autre irrationnel entre deux entiers consécutifs :
Encadrer
• Colorier les intervalles I₁= ]1 ; 5 ] ; I₂= ]−∞ ; 3[ ; I ₃=[ 2 ;+∞[ ; I₄= [ 5,5 ;6 ,5 ]
4⩽ √17⩽5 6< √ 39<7 √77∈[ 8 ; 9 ] √ 101∈]10 ; 11[ √ 5∈] 2 ;3 [
• Résoudre l’inéquation |x−2|⩽3 : La distance de x à 2 est inférieure à 3.

DÉFINITION : I ∩ J est l’ensemble des nombres appartenant à I et J.


I ∪ J est l’ensemble des nombres appartenant à I ou J (au moins l’un des deux).
S= [−1 ;5 ]
EXEMPLES :
• I ₁∩ I ₂=]1 ; 3[ I1 ∩ I ₃=[ 2 ; 5 ] I1 ∩ I 4 =∅ I2 ∩ I3 =[ 2; 3 [ EXERCICES :

• I1 ∪I 2 =]−∞; 5 [ I1 ∪I 3 =] 1 ;+∞[ I1 ∪I 4 =]1 ; 5 ]∪[ 5 ,5 ;6 ,5] I 2 ∪I 3=ℝ 1. Résoudre |x−1|<3 : La distance de x à 1 est strictement inférieure à 3. S=]−2 ; 4 [
Résoudre |3−x|=4 : La distance de x à 3 est égale à 4. S={−1; 7 }
III. VALEUR ABSOLUE, DISTANCE ET VALEURS APPROCHÉES. Résoudre |x +5|⩽2 : La distance de x à –5 est inférieure à 2. S=[−7;−3]

DÉFINITION : |x| est la valeur absolue de x. Résoudre |x +1|>4 : La distance de x à –1 est strictement supérieur à 4 S=]−∞ ;−5[ ∪ ]3 ;+∞[

• Si x⩾0 alors |x|=x Résoudre |x|<5 : La distance de x à 0 est strictement inférieure à 5. S=]−5 ; 5[

• Si x <0 alors |x|=– x Résoudre |x|=2 : La distance de x à 0 est égale à 2. S={−2 ; 2 }

EXEMPLES : |0|=0 |2|=2 |−3|=−(−3)=3 |−π|=π |1,2×10− 2|=1,2×10− 2 2. On a une calculatrice sans la touche √ , déterminer un encadrement décimal de √ 2 à 10-1 près.
1²=1; 1,1²=1,21; 1,2²=1,44; 1,3²=1,69; 1,4²=1,96; 1,5²=2,25. 1,4 2 <2<1 ,52 donc 1,4< √ 2<1 ,5
REMARQUE : Pour tout réel x, |x| est la distance de x à 0, elle est positive.
En s’appuyant sur le tableau de valeurs de la fonction carrée, donner un encadrement de √ 2 à 10−2 près.

EXEMPLE : a b Distance entre a et b |a−b|⩽10− 2 ? 1,41 2 <2<1,42 2 donc 1,41<√ 2<1 ,42
17 16,5 17−16 ,5=0 ,5 Faux Par cette méthode dite de balayage, donner un encadrement de √3 5 à 10−3 : 1,709<√3 5<1 ,710
2,292 2,3 2,300-2,292=0,008 Vrai
1 0,33 1 1 33 100 99 1 Vrai EXERCICES :
−0,33= − = − =
3 3 3 100 300 300 300
1 0,17 1 17 1 102 100 1 Vrai • Calculs de tête : 48 ; 49 ; 55 ; 57 ; 61 ; 87; 98 ; 29; 62
0 ,17− = − = − =
6 6 100 6 600 600 300 • Nature des nombres : 28 ; 38 ; 40 p.39
π 3,14 π−3 ,14 Vrai • Intervalles et valeur absolue : 41 – 47 p.40
π 3,15 3,15−π Vrai
IV. MULTIPLES, DIVISEURS ET NOMBRES PREMIERS. c. Montrer que la somme de trois entiers consécutifs est un multiple de 3.
• Soit n ∈ ℕ, n+n+1+n +2=3 n+3=3(n+1)=3 q est un multiple de 3.
EXEMPLES 1 :
a. 94 est un multiple de 7 : Faux, 94=7×13+3 , il reste 3.
DÉFINITIONS :
Citer tous les multiples de 7 jusqu’à 100 : 0; 7; 14; 21; 28; 35; 42; 49; 56; 63; 70; 77; 84; 91; 98
• Un nombre pair est un multiple de 2, il existe un entier n tel que a=2 n .
b. 6 est un diviseur de 88 : Faux, 88=6×14+4 , il reste 4.
• Un nombre impair n’est pas un multiple de 2, il existe un entier n tel que a=2 n+1 .
Citer tous les diviseurs de 88 : 1; 2; 4; 8; 11; 22; 44 et 88.
c. 77 est un nombre premier : Faux, 77=7×11 . 77 admet quatre diviseurs 1;7; 11 et 77. EXEMPLE 4 : a. Montrer que la somme de deux nombres pairs est un nombre pair.
Citer tous les nombres premiers jusqu’à 50 : 2 ; 3 ; 5 ; 7 ; 9 ; 11 ; 13 ; 17 ; 19 ; 23 ; 29 ; 31 ; 37 ; 41 ; 43 ; 47 • Soient a et b deux nombres pairs.
d. Décomposer 252 et 120 en facteurs premiers : 252=2×126=2×2×63=2 2×9×7=22 ×32 ×7 Il existe deux entiers p et q tels que a=2 p et b=2 q
2 3 3
120=2×60=2 ×30=2 ×15=2 ×3×5 donc a +b=2 p+2 q=2( p+q)=2 r est un nombre pair.
2 2
252 252 2 ×3 ×7 3×7 21
Simplifier : = = = =2 ,1
120 120 23 ×3×5 2×5 10 b. Montrer que le carré d’un nombre pair est pair.
√ 252= √ 2 ×3 ×7=√ 2 × √3 × √ 7=2×3×√ 7=6 √ 7
2 2 2 2 2 2
Simplifier √ 252 : • (2 n) =2 n×2 n=2×2 n est un nombre pair.

Simplifier √ 120 : √ 120= √ 23×3×5=√ 22× √ 2×3×5=2× √ 30


c. Montrer que le carré d’un nombre impair est impair.

DÉFINITIONS : • (2 n+1)2 =(2 n+1)( 2 n+1)=4 n2 +2 n+2 n+1=2(2 n2 +2 n)+1=2 q +1

• On dit que b divise a si le reste de la division euclidienne de a par b est nul.


Autrement dit, a est un multiple de b s’il existe un entier q tel que a=bq .
APPLICATION : √ 2 n’est pas rationnel.
Supposons comme les grecs l’ont longtemps pensé que √ 2 est une fraction .
• Un entier est premier s’il admet exactement deux diviseurs 1 et lui-même.
p
Dans ce cas, il existe deux entiers p et q premiers entre eux tels que √ 2= .
q
EXEMPLE 2 : Citer les nombres premiers : p2
On en déduit que 2= puis que 2 q 2 = p 2 et donc que p² est pair.
q2
• 178 divisible par 2 n’est pas premier.
p est donc pair, s’il était impair son carré le serait aussi !
• 1113 divisible par 3 n’est pas premier.
Il existe donc un entier n tel que p=2 n .
• 275 divisible par 5 n’est pas premier.
On en déduit que 2 q 2 =(2 n)2 =4 n2 puis que q 2 =2 n 2
• 231 divisible par 7 n’est pas premier.
Donc que q² est pair et donc que q l’est aussi.
• 221 divisible par 13 n’est pas premier.
p et q sont divisibles par 2. Ils ne sont pas premiers entre eux.
• 293 n’est pas divisible par 2; 3; 5; 7; 11; 13; 17; 19 …
Le quotient devient alors plus petit que le diviseur. 293 est premier.
Le nombre √ 2 n’a pas d’écriture sous forme de fraction irréductible.
• 841 divisible par 29 n’est pas premier. On en déduit que √ 2 est irrationnel.

EXEMPLE 3 : a. Montrer qu’un multiple de 4 est un multiple de 2.


EXERCICES :
• Soit n un multiple de 4, on sait qu’il existe un entier q tel que n=4 q .
• Décomposition : 13 ; 16 ; 18 Calculatrice : 25 ; 51
Donc n=2×2 q donc n est multiple de 2.
• Racines carrées : 12; 13; 15; 18 p.156
b. Montrer que la somme de deux entiers consécutifs est un nombre impair.
• Arithmétique : 8 ; 23 ; 91 ; 86 p. 36–42
• Soit n un entier, n+n+1=2 n+1 est un nombre impair.
ANNEXE I : CONSTRUCTION À LA RÈGLE ET AU COMPAS D’UN AXE GRADUÉ. PARTIE A : Constructions géométriques élémentaires.

1. Soient A ; B et C trois points. Construire la parallèle à (AB) passant par C.

2. Soient A; B et C trois points. Construire la perpendiculaire à (AB) passant par C. PARTIE B : Construction d'ensembles de nombres.
ANNEXE II : VRAI-FAUX, CONTRE-EXEMPLES ET DÉMONSTRATIONS.

EXERCICE 1 : Vrai ou faux ? NOTATION :

• La somme de deux entiers naturels est un entier naturel. a ∈ℕ et b∈ℕ ⇒ a+b ∈ℕ


• Le produit de deux entiers naturels est un entier naturel. a ∈ℕ et b∈ℕ ⇒ ab∈ℕ
1
• Le quotient de deux entiers est un entier. Faux =0 ,5
2
FORMULER LES RÉCIPROQUES : V/F CONTRE-EXEMPLE
• Si une somme est entière alors les termes sont entiers. Faux 0 ,8+0 ,2=1
• Si un produit est entier alors les facteurs sont entiers. Faux 2×0 ,5=1
0 ,4
• Si un quotient est entier alors numérateur et dénominateur sont entiers Faux =2
0 ,2

EXERCICE 2 : Et si dans l’exercice précédent on remplaçait entier naturel par décimal ?

a b a×10 n +b×10m
• La somme de deux décimaux est un décimal. Vrai m
+ n=
10 10 10 n+ m
a b ab
• Le produit de deux décimaux est un décimal. Vrai × =
10 m 10 n 10 n+m
0 ,1 1
• Le quotient de deux décimaux est un décimal. Faux =
0 ,3 3
FORMULER LES RÉCIPROQUES : V/F CONTRE-EXEMPLE
1 2
• Si une somme est décimale alors les termes sont décimaux. Faux + =1
3 3
1
• Si un produit est décimal alors les facteurs sont décimaux. Faux 3× =1
3
1
3
• Si un quotient est entier alors numérateur et dénominateur sont entiers Faux =1
1
3

EXERCICE 3 : Et si dans l’exercice précédent on remplaçait décimal par quotient ?


a c ad +bc
• La somme de deux quotient est un quotient. Vrai + =
b d ad
a c ac
• Le produit de deux quotients est un quotient. Vrai × =
b d bd
a
b a d ad
• Le quotient de deux quotients est un quotient. Vrai = × =
c b c bc
d
FORMULER LES RÉCIPROQUES : V/F CONTRE-EXEMPLE
• Si une somme est rationnelle alors les termes sont rationnels. Faux π +(−π)=0
• Si un produit est rationnel alors les facteurs sont rationnels. Faux √ 2× √ 2=2
π
• Si un quotient est rationnel alors numérateur et dénominateur sont rationnels Faux =1
π
ANNEXE III : LECTURE ET ÉCRITURE DES NOMBRES DÉCIMAUX.

EXE
RCI

CES

:
1.
Don

ner les différentes écritures décimales de :


12345 98,76 235000
a.
100 10 1000
b. 12121,2 0,057 2046
6 2 −2 −3
c. 1,07×10 9 ,999×10 5,5×10 12005×10
2. Ecrire en lettres le plus grand nombre contenu dans ce tableau.
10 4×10 3 3,2×105×8×10 2 3 2
3. Calculer : 0 ,2+0 ,7×0 ,5 3,2×10 +4 ,5×10
102 4×104
1 2 2 32 2 2 7 16 10×9×8×7×6×5 28×36
+ − ×2 (− ) :5×10 3 ×
3 1 5 4 5 4 5 6×5×4×3×2×1 12×14×5
1+
3
4. Décomposer en facteurs premiers 324 et 256. En déduire √ 324 et √ 256 .
5. Simplifier √ 20 , √ 18 ; √ 50 et √ 700 .
2 2
6. Calculer √ 5× √6× √ 30 , √ 4+ √ 9 , ( √ 2−√ 8) , ( √3+ √ 5) .

FORMULES : A compléter et à connaître.


10n
Soient n et m deux entiers naturels, 10n ×10m=10 n+m m
=10n−m
10
xn xn
()
n
x
Soient x et y deux réels, n
x ×x = x
m n+m
=x n−m n n
x × y =( xy)
n
=
x
m
y
n
y
Soient x et y deux réels positifs, √ x √ y=√ xy mais √ x +√ y⩾ √ x + y

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