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( )
Exercice 1* d. Déterminer la limite de la suite un .
( )
On considère la suite un dénie par : Exercice 4*
u0 = 0 ; un+1 = un + 2·n + 2 pour tout n ∈ N.
( ) Pour chacune des questions, quatre propositions de réponse
On dénit, pour tout entier naturel n, la suite vn : sont données dont une seule est exacte. Pour chacune des
vn = un+1 − un questions, indiquer, sans justication, la bonne réponse sur
la copie. Une réponse exacte rapporte 1 point. Une réponse
1. a. Exprimer vn en fonction de l'entier naturel n.
( )
fausse ou l'absence de réponse ne rapporte ni n'enlève aucun
b. Justier que la suite vn est une suite arithmétique point. Il en est de même dans le cas où plusieurs réponses
de raison 2 et dont on précisera le premier terme. sont données pour une même question.
( )
2. On dénit la suite Sn par : L'espace est rapporté à un repère orthonormé. t et t′ désig-
que : x = −2 + t + 2t
Sn = (n + 1)(n + 2) pour tout n ∈ N. y = − t − 2t′ où t ∈ R, t′ ∈ R
z = −1 − t + 3t′
Exercice 2*
La droite
(d) a pour représentation paramétrique :
( ) x = −2 + t
On considère la suite vn dénie pour tout entier naturel n
y = − t où t∈R
par :
9 z = −1 − t
v0 = 1 ; vn+1 = pour tout n∈N ( ) ( )
6 − vn On donne les points de l'espace M −1 ; 2 ; 3 et N 1 ; −2 ; 9 .
1. Démontrer par récurrence que, pour tout n∈N :
1. Une représentation paramétrique du plan (P) est :
0 < vn < 3
x = t x = t + 2t′
2. a. Démontrer que, pour tout entier naturel n:
a. y = 1 − 2t b. y = 1 − t + t′
(3 − vn )2
vn+1 − vn = z = −1 + 3t z = −1 − t
6 − vn
( ) x = t + t′ x = 1 + 2t + t′
b. En déduire que la suite vn est croissante.
c. y = 1 − t − 2t′ d. y = 1 − 2t + 2t′
( )
3. Démontrer que la suite vn est convergente.
z = 1 − t − 3t′ z = −1 − t′
2. On admet que pour tout entier naturel n : un < 1. c. La droite (M N ) et la droite (d) sont sécantes.
S
Fanny a des doutes, les parts ne lui semblent pas équitables.
Est-ce le cas? Justier la réponse.
Exercice 6*
( −
→ − → − →)
D Dans l'espace muni d'un repère O; i ; j ; k , on consid-
ère les trois points :
A C ( ) ( ) ( )
O A 1 ; 1 ; −2 ; B 3 ; −1 ; 2 ; C 0;2;1
B
( ) 1. Justier que les trois points dénissent un plan.
1. Sans utiliser de repère, démontrer que la droite
( ) SO
est orthogonale au plan ABC . 2. Déterminer un vecteur normal non-nul au plan (ABC)
ayant ses coordonnées entières.
2. En déduire le volume, en cm3 , de la pyramide SABCD.
3. Déterminer une équation cartésienne du plan (ABC).
Partie B : dans un repère
( −→ −−→ −→) Exercice 7*
On considère le repère orthonormé O ; OA ; OB ; OS .
( −
→ − → − →)
1. On note P et Q les milieux respectifs des segments [AS] Dans l'espace muni d'un repère orthonormé O; i ; j ; k ,
et [BS]. on donne les trois points :
( ) ( ) ( )
→(
− ) A 1 ; 2 ; −1 ; B −3 ; −2 ; 3 ; C 0 ; −2 ; −3
a. Justier que n 1 ; 1 ; −3 est un vecteur normal au
( )
plan P QC .
1. a. Démontrer que les points A, B et C ne sont pas
( ) alignés.
b. En déduire une équation cartésienne du plan P QC .
→(
− )
( ) ( ) b. Démontrer que le vecteur n 2 ; −1 ; 1 est un vecteur
2. Soit H le point du plan P QC tel
( ) que la droite SH
normal au plan (ABC).
est orthogonale au plan P QC .
2. Soit (P) le plan dont une équation cartésienne est :
a. Donner une représentation paramétrique de la droite
x+y−z+2=0
(SH). Démontrer que les plans (ABC) et (P) sont perpendic-
] ] Exercice 15*
( ) f dénie sur l'intervalle 0 ; 10 par :
On considère la fonction
[ [
f (x) = −x· ln x + 2·x + 1 Soit g la fonction sur 0 ; +∞
( x dénie
) par :
On note Cf la courbe représentative de la fonction f dans le g(x) = x e − e + e − 2
plan muni d'un repère.
1. Soit g′ g . Calculer
la fonction dérivée de la fonction
[ [
Montrer que la courbe C est entièrement située en dessous
] ]
′
g (x) pour tout réelx de 0 ; +∞ . Vérier que la fonc-
′′
[ [
de chacune de ses tangentes sur l'intervalle 0 ; 10 . tion dérivée seconde g est dénie sur 0 ; +∞ par :
g ′′ (x) = (2 + x)ex
Exercice 13 [ [
′
[ ] 2. En déduire les variations de la fonction g sur 0 ; +∞ .
Soit f la fonction dénie sur 0; 8 par :
0,4 3. Etablir que l'équation g ′[(x) = 0 [admet une solution
f (x) = +0,4
20·e−x +1 unique α dans l'intervalle 0 ; +∞ .
−1
Déterminer une valeur approchée de α à 10 près.
8·e−x
1. Montrer que f ′ (x) = ( )2 où f′ désigne la fonc- [ [
20·e−x +1 4. En déduire les variations de la fonction g sur 0 ; +∞ .
Dans une kermesse un organisateur de jeux dispose de 2 roues nés à l'issue d'une partie ; c'est à dire une fois la bille arrivée
de 20 cases chacune : en D, E , F ou G.
La roue A comporte 18 cases noires et 2 cases rouges. 1. Dans cette question, les résultats sont attendus sous
forme fractionnaire.
La roue B comporte 16 cases noires et 4 cases rouges.
a. Déterminer la loi de probabilité de X.
Lors du lancer d'une roue toutes les cases ont la même prob-
abilité d'être obtenues. b. Calculer l'espérance de X.
La règle du jeu est la suivante : c. Calculer la probabilité que la bille ait suivi la branche
Le joueur mise 1e et lance la roue A. AC sachant que le joueur a obtenu exactement 10
points.
S'il obtient une case rouge, alors il lance la roue B, note
la couleur de la case obtenue et la partie s'arrête. 2. Le joueur eectue 8 parties et on suppose que ces huits
S'il obtient une case noire, alors il relance la roue A, parties sont indépendantes. On considère qu'une partie
note la couleur de la case obtenue et la partie s'arrête. est gagnée si le joueur obtient 20 points à cette partie.
1. Traduire l'énoncé à l'aide d'un arbre pondéré. a. Calculer la probabilité qu'il gagne exactement 2 par-
ties. On donnera le résultat arrondi au millième.
2. Soient E et F les évènements :
b. Calculer la probabilité qu'il gagne au moins une par-
E: à l'issue de la partie, les 2 cases obtenues sont tie. On donnera le résultat arrondi au millième.
rouges ;
F : à l'issue de la partie, une seule des deux cases est
rouge.
Montrer que : p(E) = 0,02 ; p(F ) = 0,17.
3. Si les 2 cases obtenues sont rouges le joueur reçoit 10 e ;
si une seule des cases est rouge le joueur reçoit 2 e ; sinon
il ne reçoit rien.